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FICHE LECTURE : There's something about Darcy

FICHE LECTURE : There's something about Darcy
• AUTEURE : Gabrielle Malcolm.
• ANNÉE : 2019 (ROYAUME-UNI).
• GENRE(S) : Essai.
• THÈMES : Littérature du 19ème siècle - Langue anglaise - Angleterre - Jane Austen - Mr. Darcy - Etude de personnage - Cinéma - Télévision - Tourisme - Merchandising - Communauté de fans...
• PAGES : 368.

For some, Colin Firth emerging from a lake in that clinging wet shirt is one of the most iconic moments in television. But what is it about the two-hundred-year-old hero that we so ardently admire and love?

Dr Gabrielle Malcolm examines Jane Austen's influences in creating Darcy's potent mix of brooding Gothic hero, aristocratic elitist and romantic Regency man of action. She investigates how he paved the way for later characters like Heathcliff, Rochester and even Dracula, and what his impact has been on popular culture over the past two centuries. For twenty-first century readers the world over have their idea of the 'perfect' Darcy in mind when they read the novel, and will defend their choice passionately.

In this insightful and entertaining study, every variety of Darcy jostles for attention: vampire Darcy, digital Darcy, Mormon Darcy and gay Darcy. Who does it best and how did a clergyman's daughter from Hampshire create such an enduring character?

A must-read for every Darcy and Jane Austen fan.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve une fois encore pour la chronique d'un livre différent que ceux que j'ai l'habitude de vous présenter, à savoir There's something about Darcy par le Dr. Gabrielle Malcolm. Cette femme est spécialisée en littérature anglaise et se penche plus particulièrement sur le cas de Jane Austen et de ses ½uvres dans le cadre de ses travaux de recherche. C'est ainsi que There's something about Mr Darcy a vu le jour.

Contrairement à ce que l'on pourrait croire de prime abord, There's something about Darcy n'est pas une énième revisite littéraire d'Orgueil et Préjugés et de la figure emblématique de Mr Darcy mais bien une étude et analyse complète du phénomène Darcy, de cette passion dévorante que les Janeites nourrissent pour ce dernier depuis maintenant plus de deux siècles et qui ne cesse de s'essouffler.

En tant que grande fan de Lady Austen et de ce cher Fitzwilliam, j'ai été purement et simplement enchantée par cet ouvrage que je trouve pour ma part extrêmement enrichissant et tout bonnement captivant. L'autrice a choisi une approche résolument linéaire de son sujet mais c'était selon moi la bonne décision à prendre car cela permet de prendre conscience du véritable impact que Darcy a pu avoir sur la littérature, le cinéma, la télévision ainsi que les fanfictions et communautés de fans s'étant développées sur Internet au fil des décennies. Gabrielle Malcolm n'hésite en outre pas à démontrer l'influence de Darcy sur l'élaboration de protagonistes masculins bien connus de la littérature britannique de la fin XIXᵉ - début XXᵉ siècle et l'ensemble de son argumentaire est en somme tout ce qu'il a de plus convaincant. De mon côté, j'ai littéralement bu ses paroles et cela m'a assurément donné envie de creuser plus avant en allant consulter les nombreuses ressources numériques et papier que Gabrielle Malcolm nous conseille de découvrir par nous-mêmes afin de mieux comprendre la teneur de la Darcymania, de la Austenmania dans un sens plus général, et pourquoi cette dernière n'est certainement pas prête de s'arrêter.

Pour conclure, je ne peux que chaudement vous recommander la lecture de ce livre aussi ravissant à l'extérieur que consistant et prenant à l'intérieur si vous aussi, l'Austenverse vous fascine et que vous êtes capable de comprendre un tant soit peu l'anglais. Rien d'insurmontable, rassurez-vous, Gabrielle Malcolm a beau être une enseignante-chercheuse d'université, sa plume est des plus fluides sans que cela n'en enlève rien à la complexité et à la richesse de son propos. Un livre absolument délicieux à mettre entre les mains de tout admirateur/trice de Darcy qui se respecte en somme ! ★★★★(★)

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, There's something about Mr. Darcy, Gabrielle Malcolm, 2019, Essai, Littérature du 19ème siècle, Langue anglaise, Angleterre, Jane Austen, Mr. Darcy, Etude de personnage, cinéma, télévisions, tourisme, merchandising, communauté de fans, Excellente lecture !
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#Posté le lundi 20 avril 2020 16:43

Modifié le vendredi 22 mai 2020 15:36

FICHE LECTURE : Le Goût du Bonheur

FICHE LECTURE : Le Goût du Bonheur
• AUTRICE : Angéline Michel.
• ANNÉE : 2019 (FRANCE).
• GENRE(S) : Contemporain.
• THÈMES : Amour, romance, romantisme, amitié, travail, famille, projet de vie, île, dépaysement, Italie, Angleterre, Sicile, Londres, distance, secret, passé, révélation, courage, détermination, entraide, soutien, humour, espièglerie, enthousiasme, bonheur, spontanéité, aller de l'avant, oser, espoir, voyage, aventure, expériences, joie, ravissement, bien-être, confiance, affection, attachement, défi, risques, solidarité, inspiration...
• PAGES : 288.

Valentina coule des jours paisibles sur sa petite île au large de l'Italie avec son fidèle acolyte à quatre pattes, Ferdinand, et travaille dans un bar.

À Londres, Laure fait ses premiers pas en tant que journaliste, et tous les moyens sont bons pour épater le rédacteur taciturne qui la chaperonne.

Tout oppose les deux jeunes femmes jusqu'à l'apparition inopinée d'une seule et unique photographie qui va bouleverser leurs existences à jamais...

ஜ MON AVIS :

Coucou les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un roman au titre extrêmement attrayant, Le Goût du Bonheur, et à l'histoire qui me promettait entre autres du dépaysement en veux-tu en voilà, notamment en me faisant voyager en Italie, terre de mes racines maternelles ; une aventure humaine tout ce qu'il y a de plus poignante et bouleversante et de l'Amour (oui, avec un grand A, carrément) et de la Joie (avec un grand J aussi - pourquoi pas ?) à profusion. Et je peux désormais confirmer que ce roman a su tenir toutes ses promesses de mon côté du moins. Je remercie infiniment les éditions J'ai Lu pour ce ravissant envoi accompagné d'un tote-bag résolument pratique car large et résistant. Parfait pour transporter une multitude de livres en tous genres donc ! Et puis, je peux balader ma sincère affection pour ce roman en particulier partout comme ça avec ce sac en toile à son effigie. Plus sérieusement, merci du fond du c½ur à la maison d'édition et à la community manager pour leur patience et leur gentillesse. Maintenant que les remerciements sont faits en bonne et due forme, place à ma critique sur ce livre au charme juste ravageur !

Très honnêtement, je me demande encore à l'heure actuelle pourquoi je n'ai pas lu ce bouquin plus tôt. J'ai en effet un peu relayé ce SP aux oubliettes à l'époque, plus que de raison je dois l'avouer. Mea culpa. Et non seulement j'ai manqué à tous mes devoirs à cette période particulière de mon année 2019, tiraillée que j'étais en mes études, mon petit boulot et le blog, mais j'avais d'autant plus tort sur toute la ligne car ce roman n'aurait pas du tout été contraignant à lire à cet instant précis de ma vie étudiante vu qu'il se lit pour ainsi dire à vitesse grand V. Pour ma part, je l'ai trouvé tout bonnement « impossible à lâcher », c'est clairement le mot. Si vous cherchez un titre qui vous fera vivre un véritable moment d'évasion et de détente, foncez sans hésiter sur celui-ci ! Pour ma part, j'avais la sensation indéniablement jouissive, euphorisante, grisante (bref, tous les synonymes de ces adjectifs s'appliquent ici) d'être comme enveloppée dans une bulle réconfortante, dans un plaid bien douillet et extrêmement agréable en le lisant, ou devrais-je dire en le dévorant goulument telle l'une des succulentes et si alléchantes pâtisseries de Lisbeth (quel magnifique prénom au passage, J'ADORE ! ♥) - et pourtant, je n'aime absolument pas ça (les pâtisseries) de base alors juste CHAPEAU à l'autrice pour m'avoir ne serait-ce que de donner envie de goûter aux petites merveilles de cette auto-entrepreneuse de talent qu'est ma Lili d'amour (quand je commence à donner des surnoms aux personnages du récit, c'est que ça sent très bon dans l'air) !

Cette transition parfaite, bien que tout à fait involontaire, me permet d'aborder la question des protagonistes de cette fabuleuse histoire que j'ai tous trouvés profondément humains et indubitablement attachants. On adorerait avoir une telle famille de sang et de c½ur qui nous donne assurément envie de nous secouer, de garder espoir et d'ouvrir les yeux face aux petites beautés de la vie qui changent en réalité tout une fois qu'on en prend conscience, ça, je peux vous le garantir. A ce niveau-là, j'ai notamment énormément apprécié le fait que l'autrice ait su contourner habilement la plupart des clichés propres à ce genre de la littérature dite feel good de laquelle je suis fort peu coutumière à cause des fameux stéréotypes caractéristiques de ce type de publications, également souvent empreintes du libellé "romance" (ce n'est pas au c½ur de l'intrigue dans les romans feel good mais j'ai remarqué en voulant me penchant un peu plus sur ce sujet que ça y jouait tout de même un rôle important la plupart du temps), justement. Pour en revenir à mon propos, malgré la présence de quelques schémas narratifs inévitables avec ce type d'histoire qui, comme je l'évoquais à l'instant, fleurent généralement bon le romanesque et le fleur bleue, Angéline (quel joli prénom là encore !) Michel a su me conquérir grâce à son écriture pétillante, tout ce qu'il y a de plus rafraîchissante et chaleureuse à la fois (ce qui démontre à mon sens la complexité sous-jacente et la beauté de sa plume), d'une sincérité désarmante, touchante et grandement appréciable qui donne à ce récit beaucoup moins prévisible et mièvre, naïf, qu'il ne peut l'y paraître de prime abord tout son sel et son supplément d'âme. Je dirais que ce que je retiendrai le plus du Goût du Bonheur, c'est qu'il m'a donné le besoin irrépressible de croire de toutes mes forces en ce qu'il me racontait, à savoir une histoire d'amour sous toutes ses formes extraordinaire imprégnée d'une gaieté et d'un romantisme à l'état pur qui me semblaient avoir disparu à tout jamais. A tout le moins, qui me paraissaient avoir été dilués, presque décolorés, dans la morosité et la noirceur de notre présent. Angéline Michel est parvenue à me prouver avec un aplomb sans failles qu'il n'en était rien en m'offrant à lire un roman à la lumière aussi éblouissante, douloureuse que salvatrice. Pourquoi, douloureuse ? Tout simplement parce que le plus difficile, ce n'est pas d'appréhender ce qui est le meilleur pour nous mais d'agir, de laisser le rêve prendre le pas sur l'implacable (en apparence seulement, l'autrice me l'a bien fait comprendre) réalité. En clair, j'avais besoin qu'Angéline Michel éclaire ma lanterne sur comment vaincre les ombres qui menacent à chaque seconde de submerger nos existences à tous, mais il n'empêche que cela fait mal dans un premier temps. Le réveil fut effectivement très dur et, même si la partie est loin d'être terminée en ce qui concerne ma victoire face à mes propres ténèbres, Le Goût du Bonheur m'a rappelé à mon optimisme premier et à tous ces petits bonheurs qui parsèment le chemin de notre vie et qui nous donnent l'insatiable désir de voir un autre jour se lever encore.

Pour vous parler un peu plus de la délicieuse écriture de l'autrice, ce qui m'a aussi immensément séduite à ce niveau-là, c'est l'indéniable évidence de tout l'amour débordant qu'Angéline Michel porte à ses "enfants" d'encre et de papier. Cela se sent définitivement qu'elle ne leur souhaite rien de moins que tout le bonheur et l'or du monde et elle leur en fait cadeau avec une tendresse et une justesse infinies. Valentina et Laure, les deux irrésistibles héroïnes solaires de ce récit, ne rechignent jamais à la tâche. Elles se tracassent souvent (comme je me reconnais bien dans ce trait-là de leurs personnalités respectives - et dans beaucoup d'autres, d'ailleurs !), vont devoir prendre des décisions semblant être difficiles au commun des mortels, y compris bien entendu à elles mêmes, mais qui sont en réalité bêtes comme choux (il suffit de suivre la voie/voix de son c½ur - plus facile à dire qu'à faire, j'en ai parfaitement conscience), et elles vont faire cela progressivement, en prenant en effet petit à petit la peine d'écouter leur être intérieur tout en restant fidèles à leurs principes. Vous l'aurez compris, rien n'est jamais véritablement facile. Néanmoins, quand on fait son petit bonhomme de chemin avec le sourire et toujours la main tendue vers les autres, il ne peut nous arriver que du bon. Tout est question de patience et d'efforts, c'est ce que les parcours très différents l'un de l'autre mais amenés au bout du compte à ne faire qu'un de Laure et Valentina nous enseignent, entre autres choses. Ce qui est certain, c'est que le c½ur d'Angéline Michel déborde d'amour pour chacun des nombreux personnages de ce récit hors du commun et que cette déferlante de douceur, d'espièglerie et de bonté est purement et simplement contagieuse. Au fond, je dirais que mon seul minuscule regret avec Le Goût du Bonheur concerne son côté "dépaysement", ou ce qui m'avait justement le plus attiré quand j'avais lu le communiqué de presse réalisé pour sa promotion. J'aurais effectivement aimé des descriptions plus poussées et en longueur des deux lieux de vies de nos adorables héroïnes, en particulier de La Maddalena, le coin de Sicile si idyllique où vit notre superbe Valentina et le meilleur chien du monde, j'ai nommé Ferdinand. Je pense que j'aurais aimé que ce livre soit beaucoup plus porté sur le contemplatif comme cela avait pu être le cas avec La Maison au bord de la nuit de Catherine Banner (voir ma chronique ici) qui nous dépeint avec moult détails méticuleux la magnificence de l'île Santa Lucia, en Sicile toujours. Après, si Angéline Michel avait procédé de cette manière, on aurait totalement perdu l'intérêt du roman feel good qui est d'avancer rapidement dans l'intrigue sans s'appesantir et avant toute chose sans se prendre la tête. Et puis, ce livre m'a permis de découvrir l'exceptionnel archipel qu'est La Maddalena en effectuant les recherches adéquates pour en apprendre beaucoup plus sur cet authentique paradis sur Terre et c'est tout ce qui compte !

Pour conclure, je dirais que Le Goût du Bonheur est un livre qui porte décidément bien ce nom. Ce premier roman signé Angéline Michel est à mes yeux une très jolie réussite qui m'a définitivement mis des étoiles plein les yeux et des rêves plein la tête. En outre, cette parution sous le signe du courage, de la persévérance, de la bonne humeur et de la joie de vivre nous donne une sacrée leçon de vie et respire la positive attitude à plein nez. Pour ma part, il m'a permis de déstresser un bon coup juste avant ma rentrée en master 1 (une nouvelle grande étape de ma vie de jeune femme qui s'annonce !) et cela m'a fait un bien fou. De quoi me remettre sereinement sur les rails d'une quatrième année d'études intensives qui commence et que je suis désormais d'autant plus impatiente d'attaquer ! L'obstination et les encouragements l'une envers l'autre de Laure et Valentina auront eu raison de moi. Et ne me demandez pas pourquoi, mais je suis persuadée qu'Angéline Michel est à l'image de ses héroïnes de choc, aussi vivante, enjouée et avenante ! A défaut de rencontrer les fantastiques habitants de La Maddalena, j'adorerais la rencontrer ! Encore un rêve à inscrire sur ma checklist des choses à absolument faire longue comme le bras ! Mais ce sont toutes ces petites/grandes espérances qui nous rendent encore plus pressés de vivre intensément fort et de croquer la pomme à pleines dents, n'est-ce pas ? ★★★★★ (♥)

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, service de presse, Éditions J'ai Lu, Le Goût du Bonheur, Angéline Michel, 2019, Littérature française, Contemporain, Amour, romance, romantisme, amitié, travail, famille, projet de vie, île, dépaysement, Italie, Angleterre, Sicile, Londres, distance, secret, passé, révélation, courage, détermination, entraide, soutien, humour, espièglerie, enthousiasme, bonheur, spontanéité, aller de l'avant, oser, espoir, voyage, aventure, expériences, joie, ravissement, bien-être, confiance, affection, attachement, défi, risques, solidarité, inspiration, Mini coup de coeur
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#Posté le dimanche 08 septembre 2019 07:28

Modifié le dimanche 08 septembre 2019 11:58

FICHE FILM : Goodbye Christopher Robin

FICHE FILM : Goodbye Christopher Robin

BIOPIC | 2017 | SIMON CURTIS | HISTOIRE VRAIE, DRAME, ENFANCE, TRAUMATISME, ANGLETERRE, ACTE D'ÉCRITURE, RENOUVEAU, POPULARITÉ, WINNIE L'OURSON, ANIMAUX, ÉMERVEILLEMENT, INNOCENCE, ESPOIR, ESPIÈGLERIE, CHAGRIN, PARDON | 2H01 | AVEC DOMHNALL GLEESON, MARGOT ROBBIE, KELLY MACDONALD, WILL TILSON...

➜ La relation entre A. A. Milne, le créateur de Winnie l'Ourson, et son fils Christopher Robin, dont les jouets ont inspiré le monde magique du personnage.

ஜ MON AVIS :

Quel film, mais quel film... J'étais surexcitée à l'idée de le voir, car Winnie l'Ourson et moi, c'est une grande histoire d'amour depuis... toujours. J'étais donc impatiente de découvrir l'origine de ce petit ourson adorable au t-shirt rouge qui adore manger du miel et se promener dans la forêt des rêves bleus au côté de ses nombreux amis animaux et d'un petit garçon bien particulier. D'ailleurs, c'est plus son histoire à lui qu'on va suivre, celle de ce petit enfant non pas d'encre et de papier comme Jean-Christophe (qui s'appelle Christopher Robin en V.O., d'où l'ambiguïté qui se crée pour ce qui est de distinguer le vrai petit garçon de celui des histoires pour enfants), mais un de chair et de sang, Christopher Robin, de son vrai nom d'enfant Billy Moon, qui va subir bien trop tôt et sans l'avoir demandé la pression de la célébrité, alors qu'il souhaitait juste être un petit garçon comme les autres, sans qu'on lui vole ses jouets bien aimés et qu'on s'approprie sa vie. Je dirais que ce film m'a véritablement bouleversée, et qu'il est certain que je ne verrai plus jamais Winnie l'Ourson, l'Ours Edward pour son véritable propriétaire, de la même façon, même si je ne cesserai jamais de l'aimer aussi fort qu'avant. Quand on voit ce film, tout ce qui se passe dans Winnie l'Ourson a une symbolique encore plus forte. A commencer par ce lieu anthologique où se passe toutes les belles aventures de Winnie, la forêt des rêves bleus. Un lieu qui permet à tous les enfants et adultes du monde de s'évader, d'être enclin à la rêverie, au doux bonheur et à l'innocence. Un lieu en réalité bien réel qui, pendant un long week-end, aura fait le bonheur d'un père d'apparence froid et distant, brisé de l'intérieur par les horreurs de la guerre et incapable de reprendre sa vie de dramaturge comique là où il l'avait laissé, incarné avec brio par un Domhnall Gleeson plus vulnérable, à fleur de peau et authentique que jamais (cet acteur ne cessera jamais de m'étonner) et celui d'un fils, un petit garçon espiègle, plein de joie de vivre, curieux de tout, adorable en tout point (merci à la merveilleuse bouille de Will Tilston, qui ira loin dans sa toute jeune carrière d'acteur, j'en suis convaincue), qui veut simplement que son père si doué avec les mots lui invente une histoire pour lui. Une histoire qui va être donnée comme un cadeau au reste du monde, un cadeau rempli d'amour, d'espoir, d'allégresse, de tolérance, d'amitié éternelle, et de soleil, mais aussi un sacrifice de la part de Christopher Robin qui a tant souffert de sa "notoriété". Malgré toutes les souffrances et le chagrin causés par la publication des albums d'A.A.Milne, je suis heureuse que le film se finisse sur cette image : que Winnie, avant toute chose, est un symbole de l'enfant qui continue à vivre en nous, malgré les traumatismes, les guerres, la peur, la solitude, la cruauté et la Bêtise de l'être humain. Il y aura toujours un petit ourson et son ami humain pour vous rappeler que, oui, vous êtes important, oui, vous êtes plus fort et intelligent que vous ne le pensez, que vos différences font ce que vous êtes, et qu'il y aura toujours une place pour vous dans les rêves et dans le c½ur de quelqu'un. Je remercie sincèrement les producteurs, le réalisateur, les scénaristes, les acteurs, les monteurs, bref toute l'équipe de ce film d'avoir permis que celui-ci existe, vraiment, du fond du c½ur, un immense merci. COUP DE FOUDRE ϟ

Nanette ♥
Tags : Fiche film, Goodbye Christopher Robin, Biopic, 2017, Simon Curtis, Histoire vraie, drame, enfance, traumatisme, Angleterre, acte d'écriture, renouveau, popularité, Winnie L'Ourson ♥., animaux, émerveillement, innocence, espoir, espiéglerie, chagrin, pardon, Domhnall Gleeson, Margot Robbie, Kelly Macdonald, Will Tilson, Coup de foudre ♥
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#Posté le lundi 22 juillet 2019 15:09

Modifié le mercredi 24 juillet 2019 05:50

FICHE LECTURE : Lady Helen - T3 : L'Ombre des Mauvais Jours

FICHE LECTURE : Lady Helen - T3 : L'Ombre des Mauvais Jours

• TITRE V.O. : Lady Helen, book 3 : The Dark Days Deceit.
• AUTRICE : Alison Goodman.
• ANNÉE : 2018 (AUSTRALIE) ; 2019 (FRANCE).
• GENRE(S) : Dark fantasy.
• THÈMES : XIXe siècle, Angleterre, époque de la Régence anglaise, drame, surnaturel, démons, apprentissage, place de la femme, aristocratie, romance, fiction historique, chasseurs de démons, énigme, quête, mystère, amour, surnaturel, secret, révélation, souffrance, lutte bien/mal, attachement, affection, amitié, famille, royauté, force, espionnage, bienséance, aventure, complot...
• PAGES : 649.

Ma chronique du tome 1 : ici.
Ma chronique du tome 2 : ici.

Bath, décembre 1812. Lady Helen prépare son mariage avec le duc de Selburn, mais son esprit est ailleurs : sa mission de Vigilante Suprême n'est pas encore accomplie. Cette double vie met Helen au supplice : non seulement elle doit résister à ses sentiments pour le charismatique Lord Carlston, mais elle doit aussi maîtriser ses pouvoirs. La confrontation finale avec leur grand ennemi, l'Abuseur Suprême, est imminente...

Action, trahison, suspense à son comble et révélations renversantes pour le final grandiose d'une fascinante trilogie.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du troisième et dernier tome d'une saga que j'affectionne tout particulièrement, j'ai nommé Lady Helen. PRATIQUEMENT DEUX ANS QUE J'ATTENDAIS CE GRAND MOMENT (il fallait que ça sorte), j'en avais le c½ur qui battait la chamade rien que d'y penser. Et je suis en effet tellement heureuse d'avoir enfin pu découvrir le dénouement de cette histoire tout bonnement extraordinaire, même si ces retrouvailles tant espérées avec cet univers so british et si sombre ont été à la fois des plus belles et des plus déchirantes. Dans tous les cas, ce tome trois est tout simplement d'une beauté sans égale, j'applaudis à deux mains Marion Louw qui s'est clairement surpassée avec cette nouvelle illustration de couverture. De façon générale, je suis extrêmement fière des tirages français de cette trilogie et je remercie du fond du c½ur la maison d'édition d'avoir cru en cette série livresque et de me l'avoir fait parvenir au fur et à mesure de sa parution. En fait, c'est simple : Gallimard Jeunesse, amore mio. Et ces mots doux ne sont pas prononcés à la légère, croyez-moi sur parole. Ma reconnaissance envers eux est infinie et vous allez vite comprendre pourquoi avec ma critique de ce livre !

Pour commencer, cet ultime opus de cette série m'a rappelé pourquoi j'aimais à ce point cette dernière : cet amour incommensurable résulte d'un ensemble de qualités qui donne à Lady Helen tout son sel et son irrésistible charme. Il faut déjà savoir que cette trilogie n'appartient à aucun genre précis ; il s'agit là d'un savant mélange semblable à la plus incroyable des alchimies, et ce n'est pas rien de le dire. Vous prenez un décor et une intrigue de period drama, vous la saupoudrez d'éléments fantastiques et vous recouvrez le tout d'une atmosphère extrêmement anxiogène et d'un suspens digne des plus intenses et troublants des thrillers et vous obtenez alors une recette imparable qui fonctionne à merveille, et ce jusqu'au bout. Un véritable délice de tous les instants ! La fan que je suis de romans historiques et fantastiques en est ressortie littéralement comblée difficile de trouver les mots pour décrire un tel rêve devenu réalité pour la lectrice invétérée de ces deux genres littéraires que je suis. Alison Goodman a maîtrisé la fusion de ces diverses excellentes influences à la perfection et le rendu est ainsi à la hauteur des espérances qu'elle fait naître en nous dès le départ. Très honnêtement, cette saga a dépassé les attentes que j'avais placées en elle, je n'aurais pas pu être plus satisfaite au vu de l'enthousiasme débordant qu'avait suscité de ma part le résumé du premier tome il y a deux ans de cela maintenant. Cette époque me semble si lointaine et si proche à la fois, la nostalgie s'est faite puissamment ressentir dès que j'eus refermé L'Ombre des Mauvais Jours et à l'heure où je vous écris ces lignes, je me laisse envahir sans résistance aucune par cette sensation douce-amère de ne jamais pouvoir avoir de nouveau la chance de découvrir cette saga comme si c'était la première fois. C'est vous dire à quel point mon attachement pour Lady Helen est immense et sincère...

Un autre point fondamental qui m'a fait chérir cette série littéraire du plus profond de mon petit être, c'est l'évidence flagrante selon moi que la cause féministe constitue le réel enjeu central du récit : Lady Helen Catherine Wrexhall est effectivement probablement l'une des héroïnes de romans les plus courageuses et inspirantes que j'ai jamais rencontrée au cours d'une de mes lectures. Qui plus est, dans ce tome-ci, elle se libère enfin des carcans oppressants et ridicules de la société de son temps pour mieux embrasser sa véritable nature et ça, ça fait un bien fou ! J'ajouterais que chaque personnage féminin de cette aventure dans l'Angleterre guindée et pleine de charme du dix-neuvième siècle, qu'il soit principal, secondaire ou même mineur, a voix au chapitre et des convictions qu'il défend, un certain charisme, une aura particulière, une présence imposante dans ce monde d'hommes façonné par des hommes pour laquelle il ne s'excuse guère et une authentique consistance, résultatifs d'un tempérament de feu qui est loin de se laisser doucher tout au long de la trilogie. Que ce soit au travers de figures emblématiques du récit issues de la haute société comme la spontanée, loyale et ravissante Lady Delia ou l'impitoyable, farouche, inébranlable et digne de confiance Lady Margaret ou du petit peuple comme la jeune, rusée, indubitablement surprenante et culottée Sprat, Alison Goodman célèbre dans Lady Helen la force brute et l'insubordination de la Femme avec un grand F et rien que pour ça, je dirais même pour cette raison bien précise justement, ces trois livres consistant une trinitas d'exception devraient être mis entre les mains de TOUS, parole de Nanette.

Cependant, les mâles ne sont pas tous à mettre dans le même panier sous la plume sensible et très intelligente d'Alison Goodman. En réalité, c'est un quatuor superbement équilibré, égalitaire et inoubliable qui s'est emparé de mon c½ur à tout jamais au cours de cette inquiétante, fascinante et effrénée course contre la montre, et quel bonheur radieux et frémissant cela a été de les retrouver après si longtemps ! Si je suis tombée amoureuse de Lady Helen et de sa formidable servante Jen Darby, qui est tout simplement l'incarnation même de l'abnégation et de la bravoure faite femme, leurs deux soupirants ne sont pas en reste non plus : difficile de ne pas fondre comme neige au soleil (ou comme du beurre chaud sur une tartine, j'adore cette métaphore !) face à un Lord Carlston véritable Fitzwilliam Darcy sur les bords (ces deux-là se seraient sacrément bien entendus s'ils avaient réellement existé, quelle tristesse... J'ai absolument besoin d'individus de leur trempe dans ma vie !!!) à l'humour pince-sans-rire juste exquis et à un Quinn extrêmement attendrissant sous ses airs de colosse invincible, dévoué comme il est corps et âme au bien-être de sa dulcinée et sur qui l'on peut toujours compter. Prenez exemple sur ces parangons de vertu, messieurs, cela ne vous ferait pas de mal !

Cette jolie et nécessaire leçon de respect et d'humilité qu'Alison Goodman nous donne tout au long de sa magnifique saga m'amène à vous parler de la révélation que j'ai eu en pleine lecture de ce tome trois et qui se confirmait dans mon esprit à mesure que j'avançais dans l'histoire, à savoir que les créatures ignobles mais tolérées que sont les Abuseurs seraient une vaste allégorie de cette société patriarcale qui nous étouffe et qui fait montre d'une cruauté sans bornes envers quiconque sort de la case qui a été prédéfinie pour lui. Après tout, ils portent dans ce cas bien leur nom, ces "Abuseurs", qui usent et abusent effectivement de leurs prétendus "droits" sur les êtres qui leur sont considérés comme inférieurs, notamment les femmes, les personnes d'origine ethnique différente de la leur, et les pauvres. Peut-être que la fièvre provoquée par la trace énergétique m'est un peu trop monté au cerveau mais je pense sincèrement que les êtres surnaturels crées par l'autrice ne se cantonnent pas qu'à leur univers parallèle imaginaire justement, que leur excès de zèle à faire souffrir autrui et à le vider de sa substantifique moelle, de son identité et de son souffle de vie, de ce qui fait ce qu'il est, un individu à part, peut être comparé à la cupidité et à la haine vorace de bien des êtres humains, personnalités célèbres ou non, en ce bas-monde...

Une chose est sûre, Alison Goodman n'aura eu de cesse de m'impressionner grâce à son travail de recherches passionnel et passionnant, juste remarquable. Le soin qu'elle a apporté à chaque petit détail dans cette saga force l'admiration. De quoi me mettre en joie, surtout que ce troisième tome se déroule à Bath, lieu de rencontre incontournable des personnages issus de l'imagination de la grande Lady Jane et désormais des protagonistes de Lady Helen ! Je ne me suis jamais rendue à ce véritable point de pèlerinage pour tout janeite qui se respecte (il faudrait résolument que je le fasse un jour, d'ailleurs) mais, grâce à la plume captivante et si entraînante d'Alison Goodman, c'est comme si j'y étais ! L'autrice nous fait en effet vivre un véritable voyage dans le temps et dans l'espace, et la magie ne peut qu'opérer instantanément dès les premières pages tant son dur labeur en quête de véracité historique et sociétale porte fantastiquement ses fruits. Je la remercie du fond du c½ur de se montrer aussi investie, minutieuse, appliquée et ingénieuse dans l'élaboration de ses univers et de ses intrigues (du moins pour ce qui est de Lady Helen, je ne peux pas juger ses autres ½uvres pour le moment). Rien n'est laissé au hasard, jusqu'au plus petit élément pouvant sembler insignifiant de prime abord mais qui in fine se révèle essentiel, et cela nous en laisse sans voix tant les décisions scénaristiques de l'autrice se révèlent être extrêmement judicieuses, percutantes et efficaces. Elle est assurément devenue l'une de mes autrices phares, à suivre de très, très près.

Pour conclure, je ne peux que vous inviter à plonger dans la lecture mouvementée et palpitante de la saga grandiose et mémorable qu'est Lady Helen. Pour ma part, j'ai le c½ur lourd comme un sac de pierres rempli à ras bord (mes comparaisons laissent toujours à désirer quand j'écris sous le coup d'une vive émotion comme c'est le cas présentement) à l'idée de devoir dire adieu à mes bien-aimés Lord Carlston et Lady Helen. Néanmoins, je ressors également grandie et changée à jamais de la conclusion de cette éprouvante mission que j'ai dû mener avec eux et je ressens une indescriptible fierté à la pensée du bout de chemin que j'ai parcouru aux côtés de ces deux nobles âmes durant ces deux dernières années. Il nous faut certes désormais nous séparer mais le souvenir que je garde de ce couple splendide ne risque pas de s'effacer de sitôt, je peux vous le garantir sans l'ombre d'un doute. Et puis, il est temps pour moi de voyager en direction de la Chine impériale avec la duologie Eon, même période mais paysages, traditions et m½urs différentes qui attendent que je les découvre au cours de cette autre aventure épique et périlleuse signée Alison Goodman ! Voilà une bien belle consolation pour mon c½ur esseulé... COUP DE FOUDRE ϟ

Nanette ♥

« Un magnifique équipage commit l'erreur de tourner vers l'entrée ouest. Les porteurs protestèrent bruyamment devant cette intrusion, ce qui fit paniquer les deux chevaux de l'équipage. La discussion s'échauffa bientôt. Le cocher refusa avec hauteur de rebrousser chemin, et les porteurs se mirent à l'insulter dans un langage peu convenable pour les oreilles de gens du monde.
- Que signifie le mot « couilles » ? chuchota le Carlin à Helen quand elles se joignirent à la cohue du vestibule.
Helen, qui avait employé ce mot avec délectation lorsqu'elle était déguisée en Mr Amberley, haussa les épaules.
- Je crois que c'est en rapport avec les b½ufs.
- Ah, bien sûr, dit le Carlin. »
Tags : Fiche Lecture, service de presse, Gallimard Jeunesse, Lady Helen, Trilogie, Tome 3 ♥, Alison Goodman, 2018, 2019, Dark fantasy, XIXe siècle, Angleterre, époque de la Régence anglaise, drame, surnaturel, démons, apprentissage, place de la femme, aristocratie, romance, fiction historique, chasseurs de démons, énigme, quête, mystère, amour, secret, révélation, souffrance, lutte bien/mal, attachement, affection, amitié, famille, royauté, force, espionnage, bienséance, aventure, complot, Coup de foudre ♥
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#Posté le samedi 13 juillet 2019 04:22

Modifié le dimanche 14 juillet 2019 05:18

FICHE LECTURE : O.R.A.C.L.E. - T2 : Ys City

FICHE LECTURE : O.R.A.C.L.E. - T2 :  Ys City

• AUTRICE : Justine Morvan.
• ANNÉE : 2018 (FRANCE).
• GENRE (S) : Urban fantasy.
• THÈMES : Monde contemporain, Bretagne, Angleterre, magie, mythologie, révélation, légendes, criminalité, apocalypse, déterrer le passé, souffrance, drame, deuil, conflit, enquête, policier, humour, amitié, travail d'équipe, créatures surnaturelles, cohabitation, noirceur, violence, insubordination, organisation internationale, technologie avancée, mystère, action, aventure, modernité, courage, combativité, témérité, assurance, confiance, loyauté, entraide, jalousie, rivalité, mission, secrets, menace, danger, épouvante, suspens...
• PAGES : 320.

Ma chronique du tome 1 : ici.

« Le tome 2 du Men in Black celte »

La suite des aventures de Youna et de son unité nous emmène cette fois jusqu'aux forêts et aux métropoles du Royaume-Uni, à la recherche d'un remède contre un mal meurtrier répandu par l'Ankou, l'ange de la mort des légendes celtiques...

Les choses ne s'arrangent pas pour Youna et son équipe, chargés par O.R.A.C.L.E. d'enquêter sur de terrifiants cas de folie meurtrière. L'épidémie qui commence à infecter la zone celte, poussant ses habitants à la violence, est causée par le plus redoutable adversaire qui soit : l'Ankou, l'esprit de la mort. Ivre de haine, il sème sur son passage les graines de la peur et son message est clair : il ne s'arrêtera pas avant d'avoir envoyé dans la tombe tous les vivants à sa portée...

Contre le chaos qui approche, il faut désormais une arme et vite : le sang est prêt à couler et les requins rôdent...

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'une suite de saga que j'étais juste impatiente (et encore, le mot est faible) de continuer, j'ai nommé O.R.A.C.L.E.. En effet, je ne pouvais contenir mon excitation et ma joie à l'idée de pouvoir lire ce second tome, Ys City, que j'ai juste dévoré et adoré, c'est le cas de le dire. Déjà, on ne va pas se le cacher : la couverture donne hyper envie de découvrir le contenu de l'ouvrage à mon sens. Elle est selon moi tout aussi intrigante que le titre énigmatique octroyé au successeur de Korrigans : que ce soit la superbe ville de Londres en arrière-plan, le serpent tout bonnement angoissant qui nous lorgne depuis la pénombre où il se terre et qui n'attend qu'une chose, frapper fort et sec, là où cela fait le plus mal, ou encore cette prédominance du rouge qui rappelle le sang et la violence, il n'en fallait pas plus pour que naisse en moi l'irrépressible désir de me jeter sur ce roman et d'y plonger pieds et poings liés en contemplant cette saisissante illustration. Avec tous ces éléments mystérieux et fascinants qui nous tapent dans l'½il d'emblée de jeu, ce tome deux me promettait de vivre des aventures démentielles et je peux vous assurer qu'il s'est révélé être à la hauteur de mes attentes. Très honnêtement, il a même réussi à aller au-delà. Laissez-moi vous en convaincre sans plus tarder ! Mais avant cela, je n'oublie pas les bonnes manières : un grand merci au Temps éditeur pour ce merveilleux envoi. Grâce à eux, et au talent indéniable de Justine Morvan pour raconter des histoires aussi mouvementées, j'ai vécu des péripéties extraordinaires et éprouvantes auprès de mes personnages adorés !

Le premier sentiment à m'avoir envahi en commençant ce livre, c'est le plaisir non dissimulable que j'ai pris à retrouver ma fameuse unité 29 chérie. Quel bonheur de pouvoir être de nouveau à leur côté et de les suivre dans leur enquête qui prend avec Ys City une tournure de plus en plus sombre et effrayante. Qui plus est, j'ai trouvé cela particulièrement appréciable le fait que l'autrice ait décidé de nous dévoiler un pan du passif extrêmement douloureux de chacun. Cela nous permet de nous faire sentir encore plus proche d'eux, de les rendre plus réels à nos yeux, d'avoir la sensation de pouvoir presque les toucher, les atteindre, de créer ou plutôt dans le cas présent de renforcer ce profond lien d'empathie qui avait été tissé entre le lecteur et chaque membre de cette équipe de choc dans le premier tome. Il n'y a rien à ajouter, j'aime toujours autant Youna, Talmad, Netun et Elias de tout mon être. Ils sont fidèles au rendez-vous, avec leurs incomparables qualités et leurs fêlures désarmantes, et ils se montrent ici beaucoup plus humains et vulnérables qu'auparavant, ils apprennent aussi à compter les uns sur les autres et à baisser la garde, à briser leur carapace, ce qui fait juste chaud au c½ur et renforce le sentiment d'identification que l'on éprouve instantanément à leur égard dès le début de cette mission qui va petit à petit amorcer leur descente aux enfers. Cependant, les deux personnages qui m'ont le plus bluffée, et c'était bien la dernière chose que j'escomptais d'eux, ce sont Démétrius et Cérès. D'en apprendre plus sur eux aussi m'a permis de faire la lumière sur leur comportement qui me paraissait souvent irrationnel et la plupart du temps tout simplement ignoble, pour ne pas dire des plus dérangés. Je ne dis pas que je leur pardonne leurs actes déplorables et d'une cruauté sans nom, loin de là, mais je comprends mieux ces pauvres âmes en perdition désormais. Démétrius, que je prenais pour un benêt sans cervelle, est parvenu à me toucher en plein c½ur ; quant à sa redoutable jumelle, jamais je n'avais croisé au cours d'une de mes lectures un personnage autant noyé dans sa noirceur d'encre et torturée qu'elle auparavant. La folie indicible à laquelle ses décisions sans appel l'ont menée m'a littéralement hérissé les poils. J'ai également beaucoup apprécié faire connaissance avec deux nouvelles figures-clés de cette histoire, aux caractères pour ainsi dire radicalement opposés : Kimpa, mère de Youna dont celle-ci tient indéniablement son fort tempérament et son courage sans bornes, est aussi sévère, colérique, imposante et intimidante que Devronn (je vous laisse découvrir par vous même de qui il s'agit, vous n'allez pas en revenir) est nonchalant, culotté (doux euphémisme), sournois et exaspérant. Pour autant, autant l'un que l'autre ont agréablement me surprendre grâce à leur fragilité habilement enfouie sous leurs milliers de défauts qui a su m'émouvoir et faire écho en moi. Et ma corde sensible n'est pas prête de s'arrêter de vibrer avec cette saga littéraire unique en son genre, je vous le garantis.

De toute manière, l'autrice a le don pour malmener ses protagonistes et pour creuser leur psychologie en profondeur, de façon à ce qu'ils nous paraissent être les plus crédibles et authentiques possibles. S'ajoute à cela sa capacité épatante à capter notre attention jusqu'au bout, jusqu'aux ultimes lignes qui ont été pour ces deux premiers tomes un véritable supplice à vivre (dans le bon sens du terme, rassurez-vous), ainsi qu'à construire une histoire extrêmement haletante, intense et prenante qui tient résolument la route, ce qui rend alors le livre impossible à lâcher avant d'en avoir obtenu le tout dernier mot, le point final. En outre, les révélations tout bonnement ahurissantes égrainées au fil de l'intrigue ont participé à me tenir véritablement en haleine et à me décrocher la mâchoire au vu du coup de massue que je recevais à chaque épiphanie. Cependant, l'autrice ne nous dit pas tout et cela lui laisse ainsi de quoi faire pour les tomes trois et quatre à venir. Je vous laisse deviner quelle torture c'est actuellement pour moi de devoir attendre leur parution à tour de rôle pour pouvoir être enfin pleinement contentée. Un autre point qu'il me semblait important d'aborder afin de vous persuader comme il faut de découvrir cette série livresque juste incroyable : Justine Morvan fait tout au long du récit, et l'on peut remarquer cela dans ce tome deux en particulier, de très nombreuses références à la pop culture qui se sont révélées être à mon sens très intelligentes et pertinentes. Elles enrichissent le récit à mon sens, en lui apportant généralement une pointe d'humour bienvenue pour apaiser les tensions, tout en faisant bien évidemment avancer l'histoire. Et puis, quel délicieux bonheur de constater à quel point l'autrice a bon goût ! Il ne fait aucun doute : l'autrice maîtrise la pléthore d'influences dont elle recèle en terme de fantastique, fantasy, légendes, mythologie celtique et une culture G qu'elle a très large pour donner à son ½uvre une autre toute particulière.

Pour conclure, je ne peux que chaudement vous encourager à laisser sa chance à O.R.A.C.L.E. Pour ma part, j'ai trouvé ce tome deux, dont le titre se lit Ys City, Ys tout attaché, et non Y.S. City (petit conseil d'amie qui ne s'est rendue compte de son erreur de prononciation qu'à la fin de sa lecture et qui s'est sentie bien bête à ce moment-là), encore plus dense et poignant que le premier, qui était déjà une jolie réussite en matière d'événements sordides hallucinants au premier sens du terme et de monstruosité(s). Par rapport à l'opus précédent, l'autrice monte encore d'un cran au niveau de l'horreur insoutenable que nous fait vivre cet esprit de la mort particulièrement appliqué dans son immonde tâche de destruction et de perversion des esprits. On ressort ainsi de ce livre complètement lessivés et à bout de souffle. Cette lecture m'a également permis d'ouvrir les yeux sur beaucoup de détails qui me semblaient énigmatiques et qui ont fini par prendre tout leur sens, notamment en ce qui concerne la personnalité et les agissements des divers personnages. Je terminerai ma critique de ce livre sur les paroles suivantes : MERCI à Justine Morvan de maintenir avec un brio qui force l'admiration le suspens insoutenable engendré par ce cliffhanger renversant. Et merci aussi d'avoir su élaborer une telle intrigue d'exception, d'avoir donné naissance à un univers aussi spécial ! J'EN VEUX ENCORE !!! COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥
Tags : Fiche Lecture, service de presse, Le Temps éditeur, Justine Morvan, Littérature française, Tome 2 ♥, O.R.A.C.L.E, Ys City, 2018, urban fantasy, Monde contemporain, Bretagne, Angleterre, magie, mythologie, révélation, légendes, criminalité, apocalypse, déterrer le passé, souffrance, drame, deuil, conflit, enquête, policier, humour, amitié, travail d'équipe, créatures surnaturelles, cohabitation, noirceur, violence, insubordination, organisation internationale, technologie avancée, mystère, action, aventure, modernité, courage, combativité, témérité, assurance, confiance, loyauté, entraide, jalousie, rivalité, mission, secrets, menace, danger, épouvante, suspens, coup de coeur ♥
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#Posté le dimanche 07 juillet 2019 05:50

Modifié le dimanche 07 juillet 2019 11:37

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