Skyrock.com
  • ACCUEIL
  • BLOGS
  • PROFILS
  • CHAT
  • Apps
  • Musique
  • Sources
  • Vidéos
  • Cadeaux
  • Connecte-toi
  • Crée ton blog

Lunartic

Photo de Lunartic
  • Suivre
  • Envoyer un messageMessage
  • Plus d'actions ▼
  • Offrir un cadeau
  • Bloquer
  • S'abonner à mon blog

Statistiques

  • 43 890 Visites
  • 5 045 Kiffs
  • 23 427 Coms

500 tags

  • 2018
  • 2019
  • amitié
  • amour
  • aventure
  • coup de coeur ♥
  • Coup de foudre ♥
  • courage
  • drame
  • entraide
  • espoir
  • famille
  • Fiche Lecture
  • Fiche lecture
  • humour
  • Jeunesse
  • Littérature française
  • mystère
  • noirceur
  • service de presse

430 archives

  • FICHE LECTURE : Je t'aime jusqu'au bout du monde
  • FICHE LECTURE : Les AutresMondes de Tara Duncan - T1 : La Danse de la Licorne
  • FICHE LECTURE : 100% Bio - T5 : Cléopâtre vue par une ado
  • FICHE LECTURE : Gardiens des Cités Perdues - T1
  • FICHE LECTURE : Miguel, dauphin rebelle

647 fans

  • lolo-cine-2020-21
  • Vasias-Crazy-Kitchen
  • funnygal
  • yingchun
  • Herrmoso

382 sources

  • Bibliotekk
  • Riverdale-source
  • ChloeMoretz
  • Mila-Kunis
  • Mamzelle-Lie

Son morceau préféré

In Your Eyes

Jouer The Weeknd In Your Eyes

Skyrock music Ajouter

25 honneurs

  • Saint-Valentin
  • Spotlight
  • Anniv' 2 ans
  • Post 100
  • Écolo

Partage

  • Tweet
  • Amis 0

Retour au blog de Lunartic

6 articles taggés lutte bien/mal

Rechercher tous les articles taggés lutte bien/mal

FICHE FILM : Dark Crystal

FICHE FILM : Dark Crystal
FANTASY | 1982 | RÉALISÉ PAR FRANK OZ, JIM HENSON | OPPRESSION, LUTTE DU BIEN CONTRE LE MAL, QUETE, APPRENTISSAGE, SAGESSE, RENCONTRE DECISIVE, ENTRAIDE, AVENTURE, RESTAURER L'HARMONIE DU MONDE | 1 H 33 | AVEC LES VOIX ORIGINALES DE STEPHEN GARLICK, LISA MAXWELL, BILLIE WHITELAW, JERRY NELSON, BARRY DENNEN...

➜ Un autre monde, un autre temps, à l'âge des miracles... Jen et Kira, seuls survivants de la race des Gelfings, partent à la recherche d'un éclat de cristal gigantesque, abîmé dans une commotion planétaire, qui donne force et puissance aux Mystiques, un peuple sage et pacifique. Ils doivent affronter les terribles et cruels Skekses qui tiennent ces derniers en esclavage.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique d'un film culte de la fantasy, j'ai nommé Dark Crystal de Jim Henson et Frank Oz.

Personnellement, j'ai beaucoup apprécié ce long-métrage où absolument tout crie années quatre-vingt, à commencer par la conception des personnages avec ces marionnettes caractéristiques de l'½uvre de Jim Henson. Après avoir entre autres créé les mythiques Muppets, c'est tout un univers sombre et enchanteur que ce dernier a réussi à élaborer avec l'étroite collaboration de Frank Oz, interprète du légendaire Maître Yoda. Certes, les effets spéciaux de ce film ne sont clairement plus tout jeunes, c'est kitsch à souhait, mais c'est ce qui fait son charme selon moi. Cela contribue effectivement à mon sens grandement à l'ambiance du film ainsi qu'à son identité et esthétique reconnaissables entre mille. La bande soundtrack accompagne elle aussi à merveille l'intrigue et apporte ainsi sa pierre à l'édifice. Le tout donné un monde inventé de A à Z (même s'il reprend les codes classiques de la fantasy/conte de fée : un héros, une quête, des méchants à vaincre - quoique...) aussi hostile et dangereux que fascinant et ensorcelant. Je peux tout à fait comprendre pourquoi aujourd'hui on en parle encore !

Pourtant, l'on pourrait penser que d'employer des marionnettes comme essentielles, voire carrément comme seules et uniques protagonistes de l'histoire, disons le franchement, aurait pu rendre l'ensemble fort peu crédible, or, ce fut tout l'inverse de mon côté : j'ai en effet trouvé ces pantins articulés tout ce qu'il y a de plus vivants et attachants, j'ai ressenti les mêmes émotions qu'eux au fil de leurs tumultueuses péripéties et j'ai également craint sérieusement pour leur existence - du moins, pour ce qui est de nos deux personnages principaux Jen et Kira, du mignon tout plein petit peuple des Podlings, de la prophétesse qui n'a pas la langue dans sa poche Aughra et de l'adorable boule de poils de compagnie Fizzgig. Les Skesis et leurs serviteurs/mercenaires Garthim quant à eux m'ont fichée une sacrée frousse ! Très sincèrement, je pense que si j'avais vu ce film enfant, j'en aurais été traumatisée tant ils sont aussi répugnants à l'intérieur qu'à l'extérieur, ça, c'est certain ! Quant bien même j'ai adoré la façon dont ils sont tournés en ridicule et souligne leur vanité, cela a permis d'alléger considérablement l'atmosphère de mon côté...

Vous l'aurez compris, j'ai été tout simplement embarquée dans le monde ténébreux et si envoûtant de Dark Crystal. Ce fut là une bien jolie aventure que j'ai vécue au côté des Gelflings et des Skesis ! Il me tarde désormais de visionner la série Netflix Dark Crystal : L'âge de la Résistance qui m'a tout l'air d'être une préquelle assurément digne de son illustre film d'origine ! ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche film, Dark Crystal, fantasy, 1982, Franz Oz, Jim Henson, oppression, lutte bien/mal, quête, apprentissage, sagesse, rencontre décisive, entraide, aventure, restaurer l'harmonie du monde, Stephen Garlick, Lisa Maxwell, Billie Whitelaw, Jerry Nelson, Barry Dennen, Excellent film !
​ 4 | 28 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.239.40.250) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le dimanche 26 avril 2020 17:00

Modifié le vendredi 22 mai 2020 15:51

FICHE FILM : Alita Battle Angel

FICHE FILM : Alita Battle Angel
ADAPTATION DE MANGA | 2019 | RÉALISÉ PAR ROBERT RODRIGUEZ | SCIENCE-FICTION, CYBERPUNK, MONDE FUTURISTE, LUTTE BIEN/MAL, FRONTIÈRE HUMANITÉ/ROBOTIQUE, ACTION, AMNÉSIE, MYSTÈRES, PASSE, COURAGE, DYSTOPIE, AMOUR | AVEC ROSA SALAZAR, CHRISTOPH WALTZ, MAHERSHALA ALI, JENNIFER CONNELLY...

➜ Au vingt-sixième siècle, un scientifique sauve Alita, une jeune cyborg inerte abandonnée dans une décharge. Ramenée à la vie, elle doit découvrir le mystère de ses origines et le monde complexe dans lequel elle se trouve, afin de protéger ses nouveaux amis contre les forces sombres lancées à sa poursuite.

ஜ MON AVIS : Un pur concentré d'action et d'émotion qui ne m'aura certainement pas laissé indifférente !

Hier soir, j'ai visionné le film Alita Battle Angel qui me tentait fort depuis sa sortie en février dernier. Je n'ai certes jamais lu le manga d'origine, qui si je ne me trompe pas s'intitule GUNNM, mais cela ne m'empêchait pas d'être extrêmement attirée par sa toute dernière adaptation cinématographique. Et force est d'avouer que j'ai désormais plus que jamais envie de me plonger dans la lecture de ce dernier !

Étant donné que je ne connais pas le matériau d'origine, je ne pourrai pas dresser de comparaison entre celui-ci et le film ; néanmoins, s'il y a bien une chose qui soit indéniable, c'est que, malgré la présence de la plupart des codes propres aux blockbusters hollywoodiens au sein du scénario - entre autres choses certains clichés particulièrement gros qui peuvent faire sérieusement grincer des dents et des dialogues parfois peu savoureux ou empreints d'intelligence et d'originalité - ; malgré aussi cette appropriation, cette occidentalisation évidente d'une intrigue à la base élaborée par un esprit japonais (et donc oriental), on ressent une réelle volonté de la part de l'équipe du film de vouloir faire les choses dans les règles et donc de rester fidèle le plus possible à l'esprit de cet univers assurément hors-normes et fascinant qu'est celui de notre héroïne. Pour ma part, je n'ai pas eu besoin d'avoir lu le manga pour percevoir cela ; il y a en effet un tel amour pour l'½uvre originelle qui se dégage de ce live-action que cela en crève les yeux à mon sens. Et autant vous dire que cette passion-là, cet enthousiasme débordant et euphorisant, est purement et simplement contagieuse, d'où mon désir irrépressible de me jeter sur le manga de légende qu'est GUNNM séance tenante.

Cependant, Alita Battle Angel ne se résume pas à un simple souci de bien-faire vis-à-vis de la culture manga japonaise ou à un excellent mais rudimentaire divertissement made in USA comme seuls les Américains savent assurément nous en pondre, bien au contraire : j'ai en effet trouvé que ce film recelait d'une valeur ajoutée que je ne saurais vous décrire. Histoire de ne pas trop me perdre dans mon propos, je dirais simplement que ce qu'il nous propose à contempler et à vivre va au-delà de ce à quoi je pouvais m'attendre avec ce type de films grand public. Il ne s'agit pas là de juste nous en mettre plein la vue, même si le film accomplit sans grande difficulté cet exploit, mais plutôt de nous toucher, de nous ébranler au plus profond de nous-même, de faire naître en nous des sentiments d'une puissance insoupçonnée qui laissent pantois et résolument confus, qui donnent matière à réfléchir et nous marquent de façon indélébile. En bref, ce film possède un petit je-ne-sais-quoi qui le fait sortir du lot par rapport aux autres films de SF classiques et, s'il y a encore du chemin à parcourir en matière d'adaptation à 100% réussie de manga, Alita Battle Angel constitue un sacré bon début dont l'on parvient sans problème à oublier les défauts tant on est immergés rapidement dans ce monde épatant et pris dans le feu de l'action.

En clair, Alita Battle Angel est un film qui pour moi a tout bon : casting impeccable, personnages attachants, surprenants et que l'on prend un immense plaisir à suivre, en particulier l'extraordinaire et fougueuse protagoniste éponyme qui nous transmet définitivement son feu sacré, scènes d'action d'exception, esthétisme grandiose et indubitablement époustouflant, bande soundtrack qui fait à merveille son job (et puis, Dua Lipa-quoi ♥)... Vous l'aurez compris, je suis tombée sous le charme de ce film et j'espère sincèrement qu'il aura une suite car il le mérite ! COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥

FICHE FILM : Alita Battle Angel
Source gif : Vampire_Taylor (we♥it).
Tags : Fiche film, Alita Battle Angel, 2019, Robert Rodriguez, Adaptation de manga, Science-Fiction ♥, Cyberpunk, monde futuriste, lutte bien/mal, frontière humanité/robotique, courage, action, amnésie, mystères, passé, dystopie, amour, Rosa Salazar, Christoph Waltz, Mahershala Ali, Jennifer Connelly, coup de coeur ♥
​ 3 | 13 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.239.40.250) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le samedi 04 janvier 2020 08:30

Modifié le samedi 04 janvier 2020 15:22

FICHE LECTURE : L'Héritage - T2 : L'Aîné

FICHE LECTURE : L'Héritage - T2 : L'Aîné

• TITRE V.O. : Inheritance, book 1 : Eldest.
• AUTEUR : Christopher Paolini.
• ANNÉE : 2005 (ÉTATS-UNIS) ; 2006 (FRANCE).
• GENRE(S) : Jeunesse.
• THÈMES : Heroic fantasy - Aventure - Magie - Roman d'apprentissage - Guerre - Tyrannie - Dragons - Légendes - Famille - Amitié - Courage - Bravoure - Quête - Combats - Hardiesse - Action - Épopée - Espoir - Évolution - Noirceur - Mystère - Secrets - Suspens - Créatures fantastiques - Elfes - Nains - Trolls - Ombres - Cruauté - Violence - Persévérance - Lutte bien/mal - Nature - Univers d'inspiration médiévale...
• PAGES : 793.

Ma chronique du tome 1 : ici.

Un Dragonnier, un nouveau rebelle, une princesse. L'épopée continue...

Eragon et Saphira, sa dragonne, sont à peine sortis vainqueurs de la bataille de Farthen Dûr que des Urgals attaquent de nouveau et tuent le chef des Vardens... Nasuada, sa fille, est nommée à la tête des rebelles. Après lui avoir prêté allégeance, Eragon entreprend avec Saphira un long et périlleux voyage vers Ellesméra, le royaume des elfes, où ils recevront les enseignements d'un vieux Dragonnier.
Pendant ce temps, Roran, le cousin d'Eragon, organise la défense de son village contre les Ra'zacs, qui au cours d'un assaut enlèvent sa fiancée. Ces épreuves ont endurci le jeune homme. Plus que jamais déterminé à lutter contre l'Empire de Galbatorix, il convainc les villageois de rejoindre les rebelles au Surda.
Désormais, Eragon et Roran poursuivent un seul et même but: détruire les forces du Mal.

ஜ MON AVIS :

Coucou les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un tome deux entouré de mystères et au titre véritablement intriguant, j'ai nommé L'Aîné issu de la saga L'Héritage écrite par le seul et l'unique Christopher Paolini.

Comme pour le premier tome, cela fait déjà quelques années que je l'ai lu donc je ne pourrai pas entrer dans les détails comme j'ai l'habitude de le faire afin d'exprimer concrètement mon ressenti sur tel ou tel élément de l'intrigue mais une chose est sûre, c'est que les nombreuses émotions que m'a fait ressentir ce roman, elles, sont restées gravées dans mon c½ur et dans ma mémoire. En fait, je me souviens avant toute chose que c'est avec cet opus-ci de la série que l'on se retrouve véritablement pris dans le feu de l'action. J'avais aussi trouvé L'Aîné meilleur en tout par rapport à son prédécesseur qui plaçait quand même déjà la barre haut : plus intense, avec BEAUCOUP plus de révélations pour la plupart choquantes... Bref, tout simplement plus haletant, plus fort, plus marquant et percutant, avec des enjeux fondamentaux qui se précisent pour l'avenir de l'Alagaësia et un avancement dans l'histoire qui annonce le meilleur en matière d'évolution pour certains protagonistes ou le pire pour d'autres (dans le sens OMFG !!!! du terme, attention). Tout est question de point de vue...

Concernant la plume de l'auteur, celle-ci est bien entendu toujours aussi addictive et envoûtante. C'est simple : L'Aîné, comme tous les autres tomes de la saga, c'est un roman qui se DÉVORE, peu importe son volume colossal. On ne voit pas les pages défiler, c'est comme une bulle hors du temps et de l'espace tels que nous les connaissons. L'immersion en terre d'Alagaësia est pour ainsi dire totale et l'on a guère envie de quitter cet univers extraordinaire une fois le livre terminé, et ce malgré son degré extrêmement élevé de dangerosité qui ne fait qui plus est que de grimper de manière accélérée dans ce tome-ci. Certes, on tremble véritablement pour sa vie, comme si nous aussi, nous faisions partie intégrante de cette histoire et qu'on pouvait influer sur la façon dont cette dernière va se terminer, en bien comme en mal, mais on ne peut que ressentir une affection toute particulière, un amour absolument débordant, inconditionnel pour ce monde fantastique à tous les niveaux et aux mille visages, à savoir ceux de ses nombreux, merveilleux peuples et de leur environnement à chacun.

Pour ce qui est des personnages, et notamment du protagoniste-clé de l'histoire, on sent véritablement que notre petit Eragon a bien grandi. Ce n'est pas tant au niveau de l'âge qu'il a changé car il y a très peu d'ellipses au sein de l'½uvre de Christopher Paolini (elles sont même quasiment inexistantes il me semble), mais surtout au niveau de son comportement et de son caractère. Notre jeune héros s'est assagi, même s'il a encore beaucoup, BEAUCOUP de choses à apprendre. En tout cas, déjà à cette époque, je le considérais comme un authentique compagnon de route, un ami fidèle qui m'était et qui m'est toujours extrêmement cher. Pour être tout à fait honnête avec vous, notre dragonnier en herbe a assurément fait chavirer mon c½ur depuis belle lurette. Comment pouvait-il en être autrement en même temps ? Ce courageux et empathique jeune homme ne cesse de défendre de magnifiques valeurs de témérité et d'abnégation tout au long de son éprouvant périple, il fait preuve d'une compassion sans failles et son c½ur est des plus nobles. Forcément, il ne pouvait que ravir le mien de cette manière. J'ai également adoré suivre dans ce tome-ci son apprentissage de la magie afin de parfaire son éducation en tant que dragonnier. J'ai trouvé cela juste passionnant, d'autant plus que ses leçons très ardues se déroulent au sein de la magnifique cité d'Ellesméra auprès du peuple des elfes, que j'ai mieux appris à connaître avec ce tome et rien n'aurait pu me faire plus plaisir. En effet, j'éprouve un sentiment de profond respect envers cette admirable communauté et surtout envers la beauté et la sincérité de leur lien avec la nature et les autres êtres vivants. Et puis, le Du Weldenwarden est une contrée tout bonnement à couper le souffle telle que je me l'imagine dans mon imaginaire. Voilà clairement un univers fictif dans lequel j'aimerais franchement bien me rendre (qui sait, ce sera peut-être le sujet d'un prochain tag, je dis ça, je dis rien...) !

Pour conclure, je dirais simplement que L'Aîné est un roman qui ne peut que nous faire réagir. Au cours de la lecture, il nous fait effectivement vivre des instants de grâce infinis, des moments d'horreur absolue aussi (un indice : cela a un lien avec le titre de ce second tome - si vous ne l'avez pas encore englouti goulument (oui, à ce stade-là, je parle carrément d'engloutir un livre, vous n'avez pas la berlue), vous n'êtes pas prêts pour en découvrir la signification, croyez-moi) ; il nous donne le besoin irrépressible de pleurer toutes les larmes de notre corps, de hurler à s'en vider les poumons, de s'arracher les cheveux un par un (oui, j'en rajoute dans le sado-masochisme), de se rouler en boule dans un recoin de sa couette afin d'oublier la cruauté abjecte de ce bas monde ainsi que celle des écrivains et de ne plus jamais s'en déloger. Bref, ce livre nous touche, nous atteint au plus profond de nous-même, c'est très sérieux. Vous l'aurez compris, l'aventure épique commencée avec Eragon continue dans ce tome-ci et y gagne même en profondeur et en maturité. Pour ma part, je suis toujours aussi captivée et je ne peux donc que vous encourager à découvrir cette saga de fantasy juste incontournable par vous-même si ce n'est pas encore fait ! COUP DE C¼UR (brisé...) ♥

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, Bayard jeunesse, L'Héritage, Tome 2 ♥, Tétralogie, Christopher Paolini, 2005, 2006, Littérature américaine, Jeunesse, Heroic fantasy, aventure, magie, roman d'apprentissage, guerre, tyrannie, dragons, légendes, famille, amitié, courage, bravoure, quête, hardiesse, action, trolls, ombres, cruauté, violence, persévérance, combats, lutte bien/mal, nature, univers d'inspiration médiévale, L'Aîné, coup de coeur ♥
​ 9 | 19 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.239.40.250) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le dimanche 18 août 2019 09:42

Modifié le lundi 02 septembre 2019 08:39

FICHE LECTURE : L'Héritage - T1 : Eragon

FICHE LECTURE : L'Héritage - T1 : Eragon

• TITRE V.O. : Inheritance, book 1 : Eragon.
• AUTEUR : Christopher Paolini.
• ANNÉE : 2003 (ÉTATS-UNIS) ; 2004 (FRANCE).
• GENRE(S) : Jeunesse.
• THÈMES : Heroic fantasy - Aventure - Magie - Roman d'apprentissage - Guerre - Tyrannie - Dragons - Légendes - Famille - Amitié - Courage - Bravoure - Quête - Combats - Hardiesse - Action - Épopée - Espoir - Évolution - Noirceur - Mystère - Secrets - Suspens - Créatures fantastiques - Elfes - Nains - Trolls - Ombres - Cruauté - Violence - Persévérance - Lutte bien/mal - Nature - Univers d'inspiration médiévale...
• PAGES : 679.

Ma chronique du tome 2 : ici.

Un garçon...
Un dragon...
Une épopée...

Voilà bien longtemps que le mal règne dans l'Empire de l'Alagaësia... Et puis, un jour, le jeune Eragon découvre au c½ur de la forêt une magnifique pierre bleue, étrangement lisse. Fasciné et effrayé, il l'emporte à Carvahall, le village où il vit très simplement avec son oncle et son cousin. Il n'imagine pas alors qu'il s'agit d'une ½uf, et qu'un dragon, porteur d'un héritage ancestral, aussi vieux que l'Empire lui-même, va en éclore... Très vite, la vie d'Eragon est bouleversée. Contraint de quitter les siens, il s'engage dans une quête qui le mènera aux confins de l'Alagaësia. Armé de son épée et guidé par les conseils de Brom, le vieux conteur, Eragon va devoir affronter, avec son jeune dragon, les terribles ennemis envoyés par le roi dont la malveillance démoniaque ne connaît aucune limite.
Eragon n'a que quinze ans, mais le destin de l'Empire est désormais entre ses mains !

ஜ MON AVIS :

Bonjour les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du premier tome d'une saga incomparable à aucune autre, j'ai nommé L'Héritage de Christopher Paolini. Cela fait des lustres que je dois rédiger cette critique littéraire (pour ma défense, je n'avais pas encore de blog lorsque j'ai lu ce livre) et il me faut vous avouer que j'ai mis des années avant même de commencer cette exceptionnelle série livresque. La raison à mon rechignement est simple : j'avais tout bonnement peur d'être déçue au vu de l'engouement suscité par cet univers fantastique incomparable à aucun autre et puis, pour être tout à fait honnête, je n'avais pas envie de "suivre le mouvement" non plus et d'apprécier ce qui faisait déjà vibrer les autres tel un gentil petit mouton (l'argument en carton, je sais). In fine, vous l'aurez compris, j'ai mis beaucoup de temps à laisser sa chance à L'Héritage et, cela va paraître très cliché ce que je vais dire (écrire, plutôt) là, mais je me demande encore sincèrement pourquoi je ne me suis pas lancée plus tôt. Une chose est sûre, c'est que la réputation de Christopher Paolini le précède et on comprend clairement pourquoi lorsque l'on découvre l'extraordinaire monde de son remarquable héros d'encre et de papier, Eragon. En réalité, j'aurais dû me plonger immédiatement dès la sortie du premier tome (bon, j'avais six ans à l'époque, c'était peut-être un peu tôt et encore, je savais déjà lire et cela aurait éveillé instantanément mon appétit pour les romans et notamment pour les gros pavés pour sûr - mais le passé est le passé, on ne le changera pas #instantphilosophie) dans la lecture de cette série de formidables bouquins de fantasy les yeux fermés et me laisser transporter en Alagaësia sur le dos de la somptueuse et majestueuse Saphira, aka MY QUEEN FOREVER. Bref, tout ça pour vous dire que la saga L'Héritage, c'est une véritable tuerie et que je vais vous expliquer dans un très court instant plus en détails pourquoi (même si, à mon avis, la plupart d'entre vous s'en doutent déjà...) !

Je vous l'annonce d'entrée en jeu : je ne vais pas épiloguer pendant des milles et des cents sur toutes les innombrables qualités de ce premier tome. En effet, la saga L'Héritage dans son ensemble n'a guère plus besoin de faire ses preuves depuis fort longtemps donc vous savez déjà un peu près ce que je vais souligner au cours de cette chronique et puis, force est de constater que mes souvenirs de ma lecture d'Eragon ne sont plus tout frais non plus étant donné que cette dernière remonte à un peu près 2013-2014 ou mon année scolaire préférée de toute mon existence, la période bénie de la classe de seconde 3 - j'ai suffisamment pleuré et fait mon deuil de ces instants de grâce pour ne pas encore larmoyer en tapant ces lignes. Cependant, malgré la quantité d'eau considérable qui a coulé sous les ponts, cette lecture et celles des deux tomes qui ont suivi (je n'ai pas encore lu le quatrième et ultime opus, honte à moi...) m'ont laissée avec une trace indélébile gravée dans mon c½ur et ma mémoire. Il faut dire que la magie indescriptible d'Eragon opère dès les toutes premières pages. Je me souviens m'être retrouvée éberluée, béate d'admiration face à la prodigieuse créativité de l'auteur qui, rappelons-le, n'avait que 19 ans seulement lorsque ce premier tome est paru. J'ai pu me rendre compte au cours de cette lecture et de celles qui lui ont succédé à quel point son génie était monstrueux et le succès de L'Héritage amplement mérité à mon sens. Pour ma part, j'ai été immédiatement charmée et tout bonnement impressionnée par la richesse exponentielle de l'univers d'Alagaësia (au passage, j'aime tellement ce nom et les autres appellations proposées dans les divers langages inventés par l'auteur, je trouve cela juste magnifique et fascinant), royaume aussi enchanteur que dangereux (on ne te remercie pas, Galbatorix) qui ne semble pas avoir de fin. A tout le moins, notre émerveillement vis-à-vis de lui n'est pas prêt de cesser, comment se lasser d'un microcosme fantastique pareil ? C'est simple : en Alagaësia, il y a toujours quelque chose à découvrir, un secret à déceler, un combat à mener, une contrée époustouflante à parcourir. Il faut s'armer de bravoure et de patience car le chemin nouvellement arpenté par Eragon est extrêmement rude et semé d'embûches et autres nombreux tourments mais on en prend également plein les yeux au cours de cette exceptionnelle aventure. Mon c½ur a aussi loupé un battement plus d'une fois mais, une fois encore, je ne vous apprends rien, sauf si vous n'avez toujours pas lu au moins le premier tome de cette saga résolument enchanteresse. Dans ce cas-là, je ne peux que vous exhorter à vous procurer les volets de cette série livresque de n'importe quelle manière possible et à les dévorer. Vous verrez, ce n'est vraiment pas compliqué : une fois qu'on est dedans, on ne peut que vibrer avec les personnages, trembler face à la pléthore d'épreuves qu'ils doivent affronter au cours de leur insoutenable périple et retenir constamment son souffle (la lecture est une activité tout ce qu'il y a de plus risquée, vous ne le saviez pas encore ?). En clair : on vit intensément le récit.

Un autre aspect de l'intrigue qui rend ce livre si addictif et attrayant, ce sont ses protagonistes que je trouve pour ma part extrêmement bien construits et intéressants, tant au niveau de leur personnalité que de leur histoire personnelle. L'auteur a pris la peine de creuser le passif de chacun et cela se ressent de façon flagrante, même si cela ne nous est révélé qu'en filigrane au fil des pages afin de nous tenir en haleine jusqu'au bout. Par ailleurs, Eragon est certainement l'un des livres dont les pages se tournent le plus facilement que j'ai pu lire jusqu'à présent. Ça a beau être une belle briquette, on en redemande encore une fois le livre refermé ! Cela passe tellement vite et personnellement, je n'étais pas rassasiée après avoir fini ma lecture. J'avais certes vécu un trop plein d'émotions (comment en aurait-il pu être autrement ?) avec ce livre et en même temps, j'avais envie de rester entre ses pages pour toujours et ne plus m'en déloger. Oui, avec la menace Galbatorix qui plane comme une épée de Damoclès au-dessus des têtes de nos trois jeunes héros, il faut être franchement sadomaso pour vouloir continuer à vivre dans l'angoisse la plus totale à leurs côtés ! Mais, et cela me permet justement d'en revenir à nos chers personnages (parfois, quand j'écris des chroniques sur des romans qui m'ont mise sens dessus dessous, il m'arrive de sérieusement m'égarer), impossible de faire et de vouloir autrement car on grandit véritablement avec Eragon au fur et à mesure de sa remarquable quête initiatique, on t'attache à lui et on ressent une profonde compassion et connexion à son égard, comme lui peut la vivre avec Saphira, que j'adore autant, si ce n'est plus (quoique, difficile de battre mon Eragon-chou dans mon c½ur - je suis un être faible et superficiel, je sais), que son maître, comme vous l'aurez sûrement compris au tout début de cette chronique. Quoiqu'il en soit, le lien qui unit ces deux êtres est à mon sens juste tout bonnement magnifique et saisissant. Il n'y a pas de mots assez forts selon moi pour décrire leur extraordinaire relation entre dragonne et dragonnier. Il faut assister à cette rencontre d'anthologie et vivre leur évolution spectaculaire en tant que tandem de choc pour le comprendre. Pour ma part, je suis assurément tombée littérairement amoureuse du duo si puissant et complémentaire qu'ils forment. Pour ce qui est du reste des personnages, je les ai tous énormément appréciés de façon générale, sauf Galbatorix, Durza et tous les partisans de l'Empire, bien évidemment. Mais même les figures les plus détestables, pour ne pas dire haïssables, parviennent à captiver notre attention. Personnellement, j'ai été autant fascinée qu'effarée face au pouvoir colossal et à la cruauté sans limites de Galbatorix et de son Ombre. Cependant, malgré le fait qu'ils paraissent tout ce qu'il y a de plus redoutables, les jeunes guerriers qui se retrouvent avec le lourd fardeau sur les épaules de devoir les affronter et les vaincre ne sont pas en reste non plus ! En dehors d'Eragon qui m'a juste fait fondre le c½ur, j'ai ressenti une grande tendresse également pour Murtaugh, un valeureux jeune homme qui va en quelque sorte le prendre sous son aile et devenir une sorte de grand frère à son égard (si seulement j'avais su à ce moment-là à quel point j'étais proche de la vérité, j'en aurais eu moins le c½ur brisé par la suite... ou pas). Quant à Arya ou le seul personnage féminin qui se distingue dans ce premier tome, si l'on ne compte pas Saphira, bien évidemment (ne t'en fais pas ma dragonne adorée, je ne t'oublie pas !), on tombe aisément sous son charme : elle est sublime, badass, pleine de ressources et heureusement qu'elle est là (avec Saphira, toujours) sinon les garçons ne s'en sortiraient pas tout seuls, je vous le dis, moi ! GIRL POWER ! Mais je reparlerai plus tard de cette question de la représentation féminine au sein des ½uvres de Christopher Paolini, en particulier dans ma critique livresque du tome trois, vu qu'il s'agit du titre de la saga que j'ai lu le plus récemment et dont je me souviens le mieux, donc, vous pouvez compter sur moi !

Pour conclure, Christopher Paolini nous fait vivre avec ce premier tome les prémices d'une aventure épique dont on ne ressortira résolument pas indemnes. L'histoire du jeune Eragon et de l'ensemble du territoire d'Alagaësia est digne des plus grandes légendes. Certes, il faut prendre le temps en tant que lecteur tout ce qu'il y a de plus terrestre, lambda et mortel de s'acclimater à ce nouvel environnement qui transpire la magie, l'adrénaline et la menace par tous ses pores mais une fois les cent premières pages dévorées, il devient à proprement parler impossible de lâcher ce livre. C'est juste palpitant, épatant, extrêmement grisant et grandiose. Qui plus est, on sent que l'auteur y a mis énormément de lui-même, de ses influences en matière de fantasy et de littérature au sens large et de sa passion vorace et contagieuse pour les cultures anciennes et les différents types de mythologies entre autres choses. Pour ma part, je lui suis sincèrement reconnaissante pour le travail phénoménal qu'il a accompli avec l'écriture ne serait-ce que d'Eragon et je lui tire même mon chapeau. Un immense BRAVO, Monsieur ! Et ce n'était là que le tout début d'une saga qui a bercé l'enfance et l'adolescence de millions de lecteurs et qui continue aujourd'hui encore à séduire un public extrêmement diversifié qui comprend en outre tous les âges. Je ne sais pas pour vous mais pour moi, cela veut dire beaucoup. Sur ces paroles tout ce qu'il y a de plus véridiques et pensées du fond du c½ur, je vous laisse et vous dis à très vite (plus vite que vous ne le pensez, par ailleurs) pour le prochain épisode, à savoir : L'Aîné ! COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, Bayard jeunesse, Littérature américaine, L'Héritage, Tétralogie, Eragon, Christopher Paolini, 2004, Jeunesse, Heroic Fantasy., Aventure, Magie, Roman d'apprentissage, Guerre, Tyrannie, Dragons, Légendes, Famille, amitié, courage, bravoure, quête, combats, hardiesse, action, épopée, espoir, évolution, noirceur, mystère, secrets, suspens, créatures fantastiques, elfes, nains, trolls, ombres, cruauté, violence, persévérance, lutte bien/mal, nature, univers d'inspiration médiévale, coup de coeur ♥
​ 12 | 31 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.239.40.250) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le dimanche 11 août 2019 10:24

Modifié le jeudi 05 septembre 2019 09:07

FICHE FILM : Les Indestructibles 2

FICHE FILM : Les Indestructibles 2

FILM D'ANIMATION | 2018 | BRAD BIRD | DISNEY/PIXAR, COMÉDIE, SUPER-HÉROS, FAMILLE, TECHNOLOGIE AVANCÉE, POUVOIRS EXTRAORDINAIRES, LUTTE BIEN/MAL | AVEC LES VOIX DE GÉRARD LANVIN, DÉBORAH PERRET, LOUANE, AMANDA LEAR... (version française)

➜ Notre famille de super-héros préférée est de retour! Cette fois, c'est Hélène qui se retrouve sur le devant de la scène, laissant à Bob le soin de mener à bien les mille et une missions de la vie quotidienne et de s'occuper de Violette, Flèche et de bébé Jack-Jack. C'est un changement de rythme difficile pour la famille, d'autant que personne ne mesure réellement l'étendue des incroyables pouvoirs du petit dernier... Lorsqu'un nouvel ennemi fait surface, la famille et Frozone vont devoir s'allier comme jamais pour déjouer son plan machiavélique.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un des derniers Pixar en date, à savoir Les Indestructibles 2. Mais tout d'abord, je tenais à sincèrement remercier l'association Fans Disney d'Alsace de m'avoir permis de remporter une place pour l'avant-première absolument géniale qui avait lieu au Kinépolis de Mulhouse (oui, je suis censée vous faire cet article depuis plus d'un an, ça va hein !). Juste MERCI, MERCI, MERCIIII !!!! Et vous chers visiteurs (venus d'ailleurs), n'hésitez pas à aller voir leur page Facebook par là car ce sont juste des gens merveilleux qui organisent de super événements pour les fans Disney du Grand Est (sorry, not sorry pour les autres - je plaisante, il n'y a que de la paix et de l'amour à partager par ici) que nous sommes et ça, c'est carrément de la balle (Mr. Incredible approves) !

Cette suite, je l'attendais avec une impatience folle. Comme beaucoup de jeunes adultes d'aujourd'hui, je fais en effet partie de la "génération" Indestructibles. J'avais sept ans lors de la sortie du premier film, ou l'une de mes toutes premières séances de cinéma après Le Monde de Némo et Frères des Ours entre autres. Je baigne effectivement dans le bain Disney/Pixar depuis toujours en somme et c'est tellement agréable qu'il est tout bonnement impossible de s'en extirper... Pour en revenir à mon propos initial, dès les premières minutes de cet Indestructibles 2, j'ai eu l'impression de littéralement retourner treize ans (eh oui, déjà...) en arrière, comme si je n'avais jamais véritablement quitté la salle de cinéma de mon enfance. Un pur moment d'euphorie qui a fait exploser de joie mon c½ur de gamine.

Toute cette incroyable (voir titre V.O.) famille réunie pour combattre le crime, quel pied ! Cependant, c'est Elastigirl, alias Helen Parr, cette mère au foyer féministe des pieds à la tête de sa combinaison trop stylée en lycra (bon, il n'a pas forcément été fabriqué avec cette matière, mais vous avez saisi l'idée : il est moulant) et assurément badass, qui va être cette fois-ci mise sur le devant de la scène. Elle le méritait amplement, tant elle est intelligente, époustouflante et indispensable à ce monde ingrat et injuste qui avait en effet définitivement bien besoin d'une justicière de son calibre pour le faire tourner rond à nouveau. I LOVE YOU HELEN PARR, YOU ROCK ! ♥

Pendant ce temps, c'est M. Indestructible qui doit se charger de maintenir l'ordre au sein de la maisonnée et ça aussi, c'est une mission à remplir à plein temps, ce ne sont pas les femmes/hommes au foyer qui diront le contraire (ils assurent carrément eux aussi, et même plus que n'importe qui d'autre !). Entre un Flèche (mon petit chouchou, il me fait toujours autant mourir de rire et il n'aime pas les légumes, c'est un bon, lui) au mieux de sa forme, une Violette toujours aussi mignonne et touchante qui expérimente son premier chagrin d'amour qui, par ailleurs, se produit lui aussi de façon Super (sacrée ironie, youhou), et un Jack-Jack... qui va se révéler être la plus grande des surprises pour sa famille au quotidien déjà bien mouvementé (quel euphémisme, dis donc !), je peux vous garantir que Bob est un père qui a vraiment du mérite, à l'instar de son exceptionnelle femme. Certes, il lui arrive de faire des erreurs comme tout le monde mais il tient absolument à ce que sa moitié ne s'inquiète de rien, vive sa vie d'héroïne démentielle à fond et à ce que ses enfants s'épanouissent et soient heureux. Les deux époux du couple Parr est pour ainsi dire tout à fait complémentaires et se soutiennent mutuellement ; quant aux trois enfants, ils sont juste à mourir de rire et extrêmement attendrissants. Mention spéciale à Jack-Jack qui nous offre dans ce film-ci encore des scènes de pure anthologie, que ce soit en partageant la vedette avec un raton-laveur ou avec la superbe et reconnaissable entre mille Edna Mode. Bref, enfants comme parents et spectateurs de tout âges et de tout horizons sauront résolument y trouver leur compte et s'identifier à l'un des membres de cette fabuleuse famille qui m'avait tant manquée.

Concernant le message du film, ne vous attendez pas à quelque chose de particulièrement transcendant ou d'élaboré comme dans Vice-Versa ou qui vous fera pleurer toutes les larmes de votre corps comme dans Coco ou Là-haut. Les Indestructibles 2 ne comporte pas de scènes à l'intensité bouleversante non plus, même si certaines d'entre elles m'ont donné bien des sueurs froides ! Disons que l'idée centrale véhiculée par Les Indestructibles 2 me rappelle fortement le propos de fond de Renegades/Le Gang des Prodiges de Marissa Meyer (quand je peux faire une référence à mon autrice chouchoute, je n'hésite pas !), à savoir que nous sommes tous des héros d'une certaine façon, du moment que nous ne restons pas passifs face à notre vie et à ce qui nous entoure. Je dirais que ce film d'animation est un divertissement qui ne cherche qu'à vous faire du bien, à vous faire rire, sourire jusqu'aux oreilles, frissonner, positiver un max et ce n'est pas plus mal in fine !

Pour conclure, je ne peux que vous conseiller cette bonne dose de Supers que nous propose Les Indestructibles 2, cela ne pourra que vous regonfler à bloc ! En effet, Disney/Pixar possède cet incroyable super-pouvoir parmi tant d'autres. De véritables magiciens, à n'en pas douter ! Pour ma part, je suis ressortie de ma séance charmée et revigorée ! ★★★★★ (♥)

Nanette ♥

✓- Cette ambiance so sixties qui se dégage du film... I LOVE IT SO MUCH ♥
- Les personnages, anciens comme nouveaux, juste irrésistibles et tellement attachants !


✗ - Ça passe beaucoup trop vite... Ceci n'est pas un argument, je sais, mais laissez-moi chouiner un peu, non mais !
- Un léger (mais vraiment léger) manque de profondeur, maybe ? Mais après tout, la saga des Indestructibles est faite pour se détendre et passer un excellent moment sans prise de tête (à mon sens) alors cet argument "contre" n'en est pas vraiment un non plus. Je suis désespérante...
Tags : Fiche film, Les Indestructibles 2, Pixar, 2018, Film d'animation, Disney, comédie, super-héros, famille, technologie avancée, pouvoirs extraordinaires, lutte bien/mal, Gérard Lanvin (voix), Déborah Perret, Louane, Amanda Lear, Excellent film !, Mini coup de coeur
​ 15 | 58 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.239.40.250) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le mercredi 17 juillet 2019 10:29

Modifié le jeudi 01 août 2019 10:07

  • 1
  • 2
  • Suivant

Design by Lunartic

Signaler un abus

Abonne-toi à mon blog ! (2 abonnés)

RSS

Skyrock.com
Découvrir
  • Skyrock

    • Publicité
    • Jobs
    • Contact
    • Sources
    • Poster sur mon blog
    • Développeurs
    • Signaler un abus
  • Infos

    • Ici T Libre
    • Sécurité
    • Conditions
    • Politique de confidentialité
    • Gestion de la publicité
    • Aide
    • En chiffres
  • Apps

    • Skyrock.com
    • Skyrock FM
    • Smax
  • Autres sites

    • Skyrock.fm
    • Tasanté
    • Zipalo
  • Blogs

    • L'équipe Skyrock
    • Music
    • Ciné
    • Sport
  • Versions

    • International (english)
    • France
    • Site mobile