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FICHE LECTURE : Les Chroniques de St Mary's - T1 : Un monde après l'autre

FICHE LECTURE : Les Chroniques de St Mary's - T1 : Un monde après l'autre

• TITRE V.O. : The Chronicles of St Mary - T1 : Just one damned thing after another.
• AUTRICE : Jodi Taylor.
• ANNÉE : 2013 (ANGLETERRE) ; 2018 (FRANCE).
• GENRE (S) : Science-fiction.
• THÈMES : Histoire, voyage dans le temps, études, projet universitaire, institution, détermination, passion, volonté, équipe, tensions, rivalité, humour, romance, traumatisme, haine, déception, secrets, mystère, dissimulation, cupidité, danger, menaces, Angleterre, amitié, amour, complicité, solidarité, famille, s'apprivoiser, courage, angoisse, Crétacé, dinosaures, première Guerre mondiale, incendie de Londres, Egypte antique, événements historiques, observation, analyse des faits, entraînement, instinct de survie, ressources, suspens...
• PAGES : 320.

14,50¤.

À l'institut St Mary de recherche historique, les historiens n'étudient pas seulement le passé, ils le visitent.

Derrière l'innocente façade de St Mary, le secret du voyage dans le temps a été découvert et reste bien gardé. Les chercheurs en Histoire ont ainsi une méthode de travail tout à fait particulière : ils « étudient 'en temps réel' les événements majeurs de l'Histoire ». En se faisant passer pour d'inoffensifs excentriques, ils tentent de répondre à certaines questions qui n'ont jamais été résolues, sans jamais toucher au cours de l'Histoire... au risque d'en mourir.
Madeleine Maxwell, une jeune et brillante historienne, est contactée par son ancienne professeure afin de rejoindre l'équipe de l'Institut St Mary. Au cours de son étrange entretien d'embauche, Maxwell comprend vite les possibilités qui s'offrent à elle...
De la disparition de Pompéi aux tranchées de la Première Guerre mondiale, du grand incendie de Londres à la destruction de la bibliothèque d'Alexandrie, la jeune historienne va revivre d'extraordinaires événements alors qu'au sein de l'institut naissent des enjeux de pouvoir...

L'AUTRICE : Jody Taylor est une auteure anglaise, née à Bristol, qui s'est d'abord fait connaître en auto-publication. Le premier titre de sa série "Les Chroniques de St Mary's" a très vite rencontré son public (dépassant les 60 000 lecteurs avec plus de mille 5 étoiles). La série est achetée par Accent Press qui publie le premier tome, Just one damned thing after another, en format papier en juin 2013. Publié aux Etats-Unis en 2016, le roman entre le même mois dans les meilleures ventes de USA TODAY.

La série compte aujourd'hui 9 tomes. Jodi Taylor vit en Turquie et travaille sur le dixième.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du premier tome d'une saga très particulière mais qui a su néanmoins me séduire : je vous souhaite en effet la bienvenue entre les murs de l'institut d'histoire Saint Mary, prêts à passer d'un monde à un autre. Je remercie du fond du c½ur les éditions HC - Hervé Chopin pour cet envoi, premier opus d'une saga qui s'annonce longue si j'en crois leur communiqué de presse... En effet, ce ne sont pas moins de neuf tomes qui ont été édités jusqu'à présent Outre-Manche et un petit dixième est d'ores et déjà annoncé. C'est à se demander dans quoi je me suis laissée entraîner mais au fond, je ne regrette rien. Je suis parée à faire face à toutes les péripéties les plus effrayantes et ahurissantes en compagnie de Madeleine, une héroïne pas comme les autres à laquelle j'ai fini par m'attacher.

Pour ce qui est de l'histoire et de l'univers présenté, direction Londres et son charme intemporel pour intégrer un institut mystérieux et au personnel sacrément barré ! Dans ce premier tome, la romancière britannique Jodi Taylor nous propose de monter dans ses drôles de capsules qui nous embarquent à toutes les périodes historiques possibles et imaginables, avec des risques cependant de complications... Si j'ai trouvé l'imagination de l'autrice juste complètement dingue et captivante, à mes yeux, l'intrigue est beaucoup trop vite expédiée à mon goût. En effet, l'histoire est censée se dérouler sur au moins cinq ans mais est développée bien trop rapidement. Bien sûr, je ne m'attendais pas à un récit qui corresponde à l'échelle de cinq véritables années (sinon, on ne serait pas sortis de l'auberge) mais selon moi, le livre comporte beaucoup trop d'ellipses. Je comprend tout à fait que l'autrice ait probablement souhaité ne pas ennuyer ses lecteurs avec des descriptions interminables de mois et de mois de recherches scientifiques et de préparations d'expéditions entre autres. Par ailleurs, tout cela nous est suffisamment bien expliqué, de façon tout ce qu'il y a de plus claire et fluide qui plus est, avec l'évocation de l'étude de la faune, de la flore, de l'habillement, du parler et d'autres considérations à prendre en compte en fonction du voyage temporel et spatial à effectuer. Mais justement, on ne laisse pas assez de place à ces derniers dans ce roman. Par exemple, le temps consacré aux semaines que Maxwell passe en France durant la Première Guerre mondiale se retrouve réduit à peau de chagrin au profit de la période du Crétacé, alors que c'était justement le traitement de la Grande Guerre dans le récit qui m'intéressait le plus. Après, cela dépend des goûts et des intérêts historiques de chacun, je vous l'accorde. Encore une fois, je ne fais qu'exprimer mon humble opinion. Pour ne pas trop faire dans le négatif, ce livre ne manque certainement pas de dynamisme avec un rythme soutenu et constant tout du long mais il y a trop d'éléments qui se retrouvent condensés, compressés en "seulement" 350 pages alors que tout ce que l'intrigue et les personnages ont à nous offrir méritait de donner lieu à un bon gros pavé des familles. En clair, j'aurais aimé plus de profondeur, d'étoffement.

Au niveau des protagonistes, comme je l'ai mentionné plus haut, Maxwell est une héroïne qui est parvenue à m'apprivoiser. Sa passion vorace pour son nouveau métier d'historienne nec plus ultra est carrément contagieuse et on peut dire là que ce personnage féminin crève littéralement les pages, à défaut de l'écran. En effet, Maxwell prend toute la vedette tant elle est brillante, courageuse et tout bonnement impressionnante. Ce ne sont pas les qualités qui lui manquent, là-dessus, je ne peux pas me plaindre. Je me retrouve face à une érudite qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et au sarcasme absolument délicieux, que demande le peuple ? En revanche, sa relation amoureuse avec Léon, le "Chef", ne m'a fait ni chaud ni froid pendant très longtemps. Je suis d'ailleurs très contente que Jodi Taylor ait rectifié le tir et ajoute un supplément d'âme à leur histoire, même si cela n'a pas été fait de la plus tendre des façons. Je suis exigeante, que voulez-vous... Cependant, je ne suis pas un c½ur de pierre et à un moment donné, l'empathie que j'ai ressenti pour ces deux-là m'a tout particulièrement submergée. Comment pouvait-il en être autrement au vu de leur passif douloureux à chacun et du destin qui continue décidément à s'acharner sur eux ? Mais voilà, leur désir ardent, pour ne pas dire chaud lapin, de se jeter l'un sur l'autre m'a honnêtement plus dégoûtée qu'autre chose. Encore une fois, tout va trop vite à mon goût et j'ai trouvé Maxwell tout à fait niaise et exécrable en présence de ce charmant gaillard lors de leurs instants torrides décidément beaucoup trop fréquents à mon sens. En même temps, l'insertion de ces scènes censurées pour les enfants ne m'étonne pas car elle correspond parfaitement à l'écriture de Jodi Taylor, qui est loin de faire dans la dentelle et qui a cette volonté d'être au plus près du réel. Cette plume résolument dynamique et accrocheuse représente également bien l'état d'esprit de l'héroïne avec son côté mordant et diablement cynique. Le personnel de l'Institut étant très nombreux, je ne vais pas m'attarder sur chaque employé afin de ne pas vous perdre mais il s'agit là d'une véritable famille composée de véritables tempéraments de feu qui créent régulièrement des étincelles mais jamais dans le but de nuire à l'autre. Chacun a sa place dans ce chaos très bien organisé et un sentiment d'appartenance à cette équipe de joyeux drilles se fait rapidement et fortement ressentir.

Pour conclure, je remercie encore une fois les éditions HC pour ce SP, et aussi la géniale booktubeuse Axelle de La parenthèse d'Axelle (pour aller voir sa chaîne, c'est par ici que ça se passe) de m'avoir fait découvrir ce titre et de m'avoir donné envie de me plonger dans la lecture de cette série livresque ébouriffante et qui nous réserve bien des surprises, bonnes comme mauvaises. Malgré ses défauts (ce n'est là que mon humble point de vue, gardez toujours cela en tête), ce premier tome débordant de créativité et d'un humour so british qui se boit comme le meilleur des thés, ainsi que la plume décapante et à l'énergie débordante de son autrice ont in fine su me séduire et me convaincre de m'engager pour de bon dans cette galère. Car dites vous bien une chose : si l'idée de voyages dans le temps est extrêmement enthousiasmante (c'est mon petit péché mignon inconditionnel en matière de fiction), vous allez vite déchanter en vous rendant compte de tous les dangers que cela implique. Mais justement, Jodi Taylor nous prouve rien que dans ce premier tome que l'être humain est particulièrement tenace et que sa soif de connaissances et sa volonté à se dépasser n'a pas de limites. Vivement donc que je me plonge dans la lecture de la suite, d'autant plus que la révélation finale de ce tome-ci m'en en a juste coupé les bras. Et encore, le mot est faible. Chapeau l'artiste ! ★★★(★)★

Nanette ♥
Tags : Fiche Lecture, service de presse, HC éditions, Les Chroniques de St Mary's, Tome 1 ♥, Un monde après l'autre, Just one damned thing after another, 9 tomes, Série en cours, 2013, 2018, Jodi Taylor, Littérature anglaise, Science-fiction, Histoire, voyage dans le temps, études, projet universitaire, institution, détermination, passion, volonté, équipe, tensions, rivalité, humour, romance, traumatisme, haine, déception, secrets, mystère, dissimulation, cupidité, danger, menaces, Angleterre, amitié, amour, complicité, solidarité, famille, s'apprivoiser, courage, angoisse, Crétacé, dinosaures, première Guerre mondiale, incendie de Londres, Egypte antique, événements historiques, observation, analyse des faits, entraînement, instinct de survie, ressources, suspens, Très bonne lecture
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#Posté le jeudi 28 mars 2019 17:40

Modifié le dimanche 23 juin 2019 11:30

FICHE LECTURE : Orphéa Fabula - T4 : Orphéa Fabula et l'étoile de Saint-Pétersbourg

FICHE LECTURE : Orphéa Fabula - T4 : Orphéa Fabula et l'étoile de Saint-Pétersbourg

• AUTRICE : Marie Alhinho.
• ANNÉE : 2019 (FRANCE).
• GENRE (S) : Jeunesse.
• THÈMES : Espionnage, adolescente, intrépide, courage, aventure, voyage dans le temps, Russie, empire, vingtième siècle, danse classique, ballet, rigueur, raffinement, compétition, intégration, entraînement, ressources, déguisement, dissimulation, alliances, personnages historiques, quête, cristal, menace, danger, secrets, mystères, noirceur, tensions politiques, conflits sociétaux, révolte, révolution, insurrection, colère, famille royale, humour, chat, compagnon de route, action, monde moderne, double vie, gadgets, technologie, ingéniosité, interrogations, curiosité, famille, amitié, folie, dynamisme, énergie, la vie n'est pas un long fleuve tranquille, espièglerie...
• PAGES : 200.

9,95¤.

Ma chronique du tome 3 : ici.

Orphéa découvre la Russie impériale !

Cette fois, c'est dans la Russie des tsars qu'est envoyée Orphéa ! Projetée en 1903 à Saint-Pétersbourg dans un contexte politique tendu, elle se retrouve sous la protection de l'exigeant maître de ballet Marius Petipa. Malheureusement, cet allié inattendu pourrait bien lui mettre des bâtons dans les roues : il convoite l'Étoile du Soir, le cristal qu'est justement venu récupérer Orphéa ! L'aide de ses nouveaux amis danseurs ne sera pas de trop pour permettre à la jeune espionne de réussir sa mission...

L'AUTRICE : Marie Alhinho est une jeune autrice passionnée de littérature jeunesse et d'Histoire, dont le ton frais et contemporain nous fait voyager dans le temps avec une grande facilité !

L'ILLUSTRATRICE : Miss Paty est une illustratrice de bandes dessinées et de romans pour la jeunesse.

ஜ MON AVIS :

Bonjour mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du quatrième tome d'une saga historique pour enfants pétillante et haute en couleurs, Orphéa Fabula ou une intrépide héroïne qui nous fait à chaque opus de ses aventures voyager dans le temps et de l'espace. Cette fois-ci, c'est pour Saint-Pétersbourg et la Russie tsariste de Nicolas II qu'elle nous embarque et je remercie infiniment les éditions Poulpe Fictions pour l'envoi de ce très beau roman qui fonctionne comme une véritable capsule temporelle !

Avant toute chose, je tiens à préciser que je n'avais pas lu les trois premiers tomes d'Orphéa Fabula avant d'entamer celui-ci. On m'avait assuré que les tomes étaient suffisamment indépendants les uns les autres, chacun nous proposant une mission inédite de la jeune espionne, pour être lus séparément, sans même forcément respecter un ordre. Et c'est effectivement le cas. Je ne me suis pas sentie perdue ou perplexe lors de ma lecture. J'avais plutôt la sensation très agréable de regarder l'épisode d'un de mes dessins animés d'enfance, au hasard, et j'ai simplement savouré ce pur instant de nostalgie que m'a offert ici Marie Alhinho, dont je découvrais alors la plume très dynamique et enjouée.

Par ailleurs, si je devais comparer ce livre à un dessin animé, ce serait certainement Kim Possible ! Les deux intrigues ont en effet beaucoup de points communs : une jeune héroïne, espionne, jolie, courageuse et ingénieuse, avec aussi ses tracas d'adolescente ; ses deux petits frères, des jumeaux qui sont de vraies piles électriques et qui lui mènent la vie dure ; des parents exemplaires mais qui font des cachotteries ; des gadgets à gogo mais surtout beaucoup de matière grise et d'agilité ; des contacts réguliers avec une société d'espionnage secrète par le biais d'un intermédiaire indispensable et tout aussi jeune que l'héroïne qui fait office d'associé, un animal de compagnie qui fait un super sidekick... Même la grand-mère délurée et incomparable à aucune autre est présente ! La seule différence majeure au fond, et qui fait qu'à mes yeux Orphéa est encore plus incroyable que ma chère Kim Possible, si cela est justement possible, c'est que la première voyage dans le temps (et qu'il lui manque un Robin Trépide bébé d'amour aussi) ! Si ce n'est pas trop stylé, ça ! Enfin, le voyage dans le temps bien sûr car, ne pas avoir son Robin Trépide, c'est triste...

Cependant, le but de cette chronique n'est pas de présenter Orphéa Fabula comme étant la pâle copie de Kim Possible car ce n'est pas la réalité. En effet, la patte de Marie Alhinho se ressent tout au long du récit. C'est son univers, son imaginaire, sa trame narrative qu'elle nous livre entre ces pages. Son écriture, tout comme l'héroïne de sa saga, a une réelle personnalité. Par ailleurs, j'ai ressenti au cours de ma lecture un réel lien entre Orphéa et sa créatrice, Marie Alhinho. Je ne connais pas cette dernière personnellement, bien sûr, mais je reste persuadée, et cette impression s'est renforcée avec mon "analyse" d'après-lecture que j'essaye d'effectuer avec chaque ½uvre dans laquelle je me suis plongée, que l'autrice a mis beaucoup d'elle-même dans la série littéraire qu'elle a créé, c'est juste indéniable. Orphéa et elle sont, je pense, très semblables : malicieuses, pleines d'énergie, captivantes et joliment culottées. Bref, elles ne sont pas comme les autres, elles ont leur personnalité bien affirmée et qui nous éblouit. Cela me donne d'autant plus envie de me délecter des autres ouvrages de l'autrice. Cela me plairait effectivement énormément de retrouver sa plume qui a le pouvoir de charmer petits et grands.

Avant d'aborder d'autres points de ma chronique, je tenais aussi à souligner que la comparaison que j'ai fait avec Kim Possible est à mes yeux très flatteuse car ce dessin animé m'a profondément marqué et a une petite place spéciale qui lui est attribué dans mon c½ur. Justement, ce parallèle que j'ai établi entre Orphéa Fabula et Kim Possible m'a permis de réaliser que j'aurais adoré lire une telle série livresque durant mon enfance. De l'aventure, des péripéties, des complots déjoués, des personnages attachants aux fortes personnalités, un brin d'humour juste ce qu'il faut pour égayer ma journée bénie de petite lectrice insouciante et toujours joyeuse, la tête dans les nuages et les yeux dans les étoiles... Que demander de plus ? Orphéa Fabula regorge de cette magie bienveillante et extraordinaire de l'enfance. Ce livre dégage une aura qui nous apaise et qui nous enferme comme dans un cocon de douceur. Il a un savant goût de nostalgie, telle une madeleine de Proust salvatrice qui viendrait nous rappeler nos jours heureux et notre innocence quand cela ne va pas. Je dis sûrement cela parce que j'ai lu ce roman à un moment où je me sentais patraque, tant physiquement que moralement, le premier état influant sur le second. Orphéa Fabula a agi sur moi à ce moment-là comme un pansement pour mes bobos de fillette en quête de palpitant et de compagnons de route qui lui ressemblent.

En effet, je me suis pas mal identifiée à Orphéa, ainsi qu'aux deux amis qu'elle va se faire au cours de son incroyable quête. Comment ne pas les aimer tous les trois ? J'avoue adorer particulièrement les grands yeux si expressifs que Miss Paty, une illustratrice fabuleuse dont je vais décidément suivre de très près le minutieux et adorable travail à partir de maintenant, a fait à Orphéa, qui est d'autant plus mignonne dans mon imaginaire grâce à elle, je trouve ! Mascha et Kostia (et non Mischka) sont eux aussi deux personnages absolument charmants, j'aurais voulu en savoir beaucoup plus sur eux ! J'ai trouvé cela dommage qu'ils n'aient pas un rôle plus important que ça mais, la discrétion d'Orphéa pour garder sa mission secrète oblige, il ne pouvait en être autrement.

Cela me permet d'aborder un des seuls "véritables" points négatifs que j'ai pu trouver au roman, si je peux le dire ainsi : son manque de contenu. Certes, c'est palpitant, l'histoire se boit comme du petit lait et m'a indéniablement fait retomber en enfance. Cependant, elle m'a aussi permis de réaliser qu'en tant qu'adulte, mes attentes étaient désormais différentes. Pourtant, j'ai souvent lu des livres jeunesse au nombre de pages certes petit mais ces dernières contenaient juste ce qu'il faut, à la bonne mesure, pour pleinement me satisfaire. Rien ne manquait et il n'y avait pas forcément besoin d'épiloguer davantage sur des pages et des pages, bien au contraire. Ici, j'ai trouvé que ce livre, L'étoile de Saint-Petersbourg, manquait de beaucoup d'informations sur la période qu'il couvrait, ainsi que sur les personnages historiques qu'il mettait en scène. Par ailleurs, en parlant de la fameuse étoile de Saint-Pétersbourg, à savoir la pierre précieuse qu'Orphéa doit aller chercher, on n'en parle in fine pas tant que ça ! On sait qu'il est urgent de la mettre en lieu sûr, entre de bonnes mains, mais on ne sait pas pourquoi ! Le mystère reste entier et j'imagine que, si j'avais lu les tomes précédents, j'aurais compris l'importance de ces artéfacts... Mea culpa.

J'ai aussi trouvé cela bizarre qu'Orphéa soit acceptée aussi facilement au sein des ballets russes. Car oui, la danse classique est au c½ur de l'histoire également et du coup, cela m'a fait d'autant plus plaisir de lire ce livre. Toutefois, je déplore la facilité de l'avancement de l'intrigue. Certes, on nous explique qu'Orphéa pratique régulièrement la gymnastique et a fait de la danse classique par le passé. Néanmoins, cela fait longtemps qu'elle ne s'y est pas remis et, si la gymnastique aide sûrement grandement à la pratique de la danse classique, l'un ne peut remplacer l'autre ! Surtout qu'Orphéa n'a jamais connu les conditions d'apprentissage au sein des ballets russes, ni ce qui y était clairement requis pour y assurer sa place. Or, elle arrive à s'intégrer avec une aisance déconcertante ! Cela m'a pas mal perturbée au début mais in fine, j'ai réussi à passer outre.

Malgré ces petits bémols que j'ai soulevé, je considère néanmoins que ce tome quatre, à défaut de pouvoir le comparer à ses prédécesseurs, est une jolie petite réussite. En effet, je suis d'avis que, si un livre parvient à allumer la flamme vibrante et vorace de l'insatiable curiosité dans l'esprit éveillé d'un jeune lecteur, ou même d'un moins jeune d'ailleurs, le combat est déjà gagné selon moi. Surtout qu'un roman, quelqu'il soit, n'est pas censé se substituer au thème/domaine qu'il aborde, ou ici à un livre d'histoire. J'aurais juste aimé un peu plus de profondeur et de détails mais je suis sûre que Marie Alhinho n'a pas lésiné en matière de recherches et de véracité. Elle a romancé son sujet de façon à le rendre attractif et vivant aux yeux de son lectorat, et c'est tout à son honneur car cela fonctionne très bien. Oui, j'en attendais plus, c'est certain. Néanmoins, je n'oublie pas le fait que ce roman a su me prendre par la main et me faire m'évader le temps de deux cent pages qui ont passé bien trop vite à mon goût, ni la volonté de Marie Alhinho d'insuffler de la fraîcheur et son petit grain d'écrivaine passionnée au sujet déjà bien sombre qu'est la naissance du communisme en Russie. Cela permet au moins aux jeunes lecteurs comme aux grands nostalgiques de ne pas avoir comme seule image des Romanov et de leur pays celle du film d'animation Anastasia, aussi belle, triste, grandiose, fantastiquement racontée soit-elle. En tout cas, j'espère que ce roman se basant sur un sujet d'histoire qui me fascine depuis toujours saura donner l'envie à quiconque de se renseigner par lui-même et d'élargir ainsi son champ de connaissances. Mais je ne m'inquiète pas trop pour ça !

Et puis, je suis assez médisante à ce niveau là car les pages de fin d'ouvrage nous offrent de beaux renseignements sur cette Russie tsariste qui a pris l'ampleur d'un véritable mythe au fil des décennies et sur laquelle il y aurait encore tant à dire.

Au fond, je dirais pour conclure que j'ai juste essayé de mettre à mal avec cette chronique un livre dans lequel j'aurais tout simplement souhaité rester beaucoup plus longtemps.
Trois cent, quatre cent, même cinq cent pages d'Orphéa Fabula ne m'auraient pas dérangées, bien au contraire. Mais toutes les bonnes choses ont une fin, et toutes mes histoires d'enfance, comme un opus d'Orphéa, se terminaient bien trop rapidement, au point que je m'y replongeais inlassablement. Ce sera sûrement le cas avec ce livre. Mais, avant cela, et avant de découvrir avec une excitation folle le cinquième tome de la saga, j'ai déjà trois missions spéciales qui m'attendent ! Et je suis prête à relever le défi à trois reprises avec panache et ferveur, comme Orphéa ! Cette héroïne colorée, très attirante, attachante, tellement bien dessinée par la brillante Miss Paty, dont je découvrais pour la première fois aussi le superbe travail, m'aura résolument séduite. Je la remercie infiniment d'être devenue l'héroïne de mes jours d'enfance alternatifs, dirons-nous. Mais l'enfance a-t-elle véritablement une fin ? Avec Orphéa, la réponse est indéniablement non. J'ai retrouvé avec ce livre le goût des chocolats chauds, de mes innombrables peluches qui m'entourent durant ma lecture, de mes rêves de voir la vie en grand et constellée de paillettes, de tout simplement ouvrir mon c½ur et mon esprit à l'aventure avec un grand A et de me montrer toujours courageuse et fidèle à mes valeurs. Eh oui, un petit livre comme celui-là a in fine beaucoup de choses à nous apprendre quand on y pense... ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche Lecture, service de presse, Poulpe Fictions, 2019, Orphéa Fabula, Tome 4 ♥, L'étoile de Saint-Pétersbourg, Marie Alhinho, Littérature française, Jeunesse, Espionnage, adolescente, intrépide, courage, aventure, voyage dans le temps, Russie, empire, vingtième siècle, danse classique, ballet, rigueur, raffinement, compétition, intégration, entraînement, ressources, déguisement, dissimulation, alliances, personnages historiques, quête, cristal, menace, danger, secrets, mystères, noirceur, tensions politiques, conflits sociétaux, révolte, révolution, insurrection, colère, famille royale, humour, chat, compagnon de route, action, monde moderne, double vie, gadgets, technologie, ingéniosité, interrogations, curiosité, famille, amitié, folie, dynamisme, énergie, la vie n'est pas un long fleuve tranquille, espièglerie, Bonne lecture
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#Posté le lundi 08 avril 2019 17:24

Modifié le vendredi 28 février 2020 15:49

FICHE LECTURE : La Faucheuse

FICHE LECTURE : La Faucheuse

• TITRE VO : Scythe.
• AUTEUR : Neal Shusterman.
• ANNÉE : 2016 (USA) ; 2017 (FRANCE).
• GENRE (S) : Science-fiction, dystopie, YA.
• THÈMES : Mort, confrérie, univers futuriste, intelligence artificielle, angoisse, sang, massacres, tueurs, honorabilité, menaces, rivalité, confrontation, justice, valeurs, apprentissage, maturité, grandir, s'endurcir, entraînement, sens de la vie, régénération, ressusciter, immortalité, morale, conscience, compassion, réflexion, questionnement de l'humanité, remise en question...
• PAGES : 493.

LES COMMANDEMENTS DU FAUCHEUR

Tu tueras.

Tu tueras sans aucun parti pris, sans sectarisme et sans préméditation.

Tu accorderas une année d'immunité à la famille de ceux qui ont accepté ta venue.

Tu tueras la famille de ceux qui t'ont résisté.

Best-seller aux États-Unis, ce premier tome de la trilogie La Faucheuse est déjà en cours d'adaptation par les studios Universal.

ஜ MON AVIS : Prenez garde à ce qu'elle ne vienne pas pour vous !

Une lecture addictive et à l'univers extrêmement bien construit et fascinant !

Encore un autre livre que je devais lire depuis belle lurette et que j'ai pour ainsi dire dévoré une fois que je l'ai eu sous la main. Et encore, je me suis retenue afin de pouvoir m'immerger dans ce monde futuriste comme je les aime et vraiment pas commun...

En effet, imaginez vous un monde où plus personne ne mourrait. Les maladies, les accidents de la route ou domestiques, les tentatives de suicide, la vieillesse... Tout cela deviendrait obsolète car, soit vous pourriez vous régénérer (on évite en dessous de vingt-cinq ans afin d'être jeune et libre comme l'air sans revivre les misères de l'adolescence et de la vie d'étudiant hein), soit on vous amène en centre de résurrection. Plus de hasards malencontreux possibles. Excepté... les faucheurs. Eh oui, qui dit plus de mortalité naturelle dit surpopulation. Et ça, ce n'est pas bon pour notre belle planète bleue. D'où l'existence du glanage. Ce n'est pas un très beau terme pour parler du fait de prendre la vie d'un être humain, vous ne trouvez pas ?

Ce qui m'a purement impressionnée tout autant que terrifiée avec ce roman, c'est la question de la moralité et de la valeur de notre humanité. Cyra et Rowan, les deux jeunes protagonistes de cette histoire, ce tandem parfait et explosif, bouillonnant, qui m'a tant fait vibrer, sont justement choisis en tant qu'apprentis-faucheurs pour leur innocence encore palpable, ainsi que pour leur sens moral irréprochable. Et ce, malgré la dureté de leur monde "soi-disant" havre de sûreté grâce au Thunderhead, cette version améliorée du Cloud d'Internet x 1 000, qui se charge de tous les problèmes d'ordre politique, social, économique, écologique... Bref, le Thunderhead, c'est le big boss.

Nos deux protagonistes se posent tout plein de questions sur le sens de leur future mission : à quel moment sait-on qu'une personne doit partir, sur quels critères juge-t-on de cela, comment agir face à la famille du défunt... Tout au long de leurs parcours très différents, ils vont faire preuve d'une profonde empathie et d'une force mentale extraordinaire pour leur jeune âge. Ils m'ont clairement épatée. Dans un monde où mourir n'a plus de sens et en devient même un jeu irrespectueux et inconscient ou une crainte des plus atroces, comment redonner un semblant de dignité à l'acte de mourir et à la mémoire de ceux qui s'en vont ? Comment embrasser la mort sereinement quand le cycle de la vie est sans cesse rompu par la sempiternelle immortalité ?

D'honorables faucheurs tentent et parviennent toute leur existence durant à administrer la mort avec compassion (ça sonne très tordu dit comme ça), à regarder ceux qu'ils doivent glaner et leurs proches non comme des victimes de la Grande Faucheuse mais comme des personnes étant leur égal, dignes de considération et de mourir noblement, en paix avec soi même lorsqu'il est temps de partir. J'ai trouvé cela très intéressant d'avoir accès par intervalles réguliers aux journaux des faucheurs, où ils consignent tout ce qui concerne leur activité, y compris leur ressenti. J'ai particulièrement goûté la sagesse de l'Honorable Dame Curie et ses réflexions sur l'avenir de l'Humanité s'il devait arriver que les faucheurs prennent du plaisir à faire leur funeste travail. J'ai trouvé ses interrogations et inquiétudes pertinentes, tout à fait justifiées et assez angoissantes, il faut l'avouer. Surtout quand on a accès au journal d'autres faucheurs, tel que celui de Maître Goddard, qui se veut clairement plus Tueur que Faucheur. Il détourne les Commandements du Faucheur avec sournoiserie et sa délectation lorsqu'il se décide à provoquer des massacres collectifs d'innocents m'a fait froid dans le dos, ce n'est pas rien de le dire. Des individus pareils, qui embrigadent de jeunes esprits avides d'espoir d'un monde meilleur et révolutionné de A à Z, qui se croient les dieux de leur propre cosmos et qui se permettent de déclencher de telles boucheries meurtrières, des esprits aussi fondamentalement détraqués, mauvais, pourris jusqu'à la moelle et manipulateurs, cela ne devrait pas exister.

Quand on sait que l'auteur a commencé à écrire cette saga après avoir lui même perdu un être cher, on se dit que ça met en lumière beaucoup de choses. Notamment le fait que l'auteur parle de l'épreuve qu'est la mort avec beaucoup de justesse, d'authenticité et d'intensité. Il nous invite également, si on y regarde bien dans cette histoire pleine de rebondissements, de mystères, de révélations et d'aucun temps mort (ça aurait été un comble sinon, lol), à philosopher sur le sens de la vie, sur pourquoi la mort doit-elle y avoir une place essentielle, pourquoi les deux ont tant besoin l'une de l'autre pour que chaque instant passé, vécu, soit si précieux et ait une valeur toute particulière, unique à nos yeux, pourquoi les deux sont un duo inséparable afin qu'elles aient un sens et de l'importance, purement et simplement. C'est une invitation à la réflexion et à la discussion que nous fait Neal Shusterman, sur le deuil, sur l'importance de la mort dans nos vies, et sur pourquoi faut-il l'accepter à bras ouverts quand notre tour vient de s'éteindre et de partir.

Après ce final époustouflant, le tome deux s'impose comme une lecture à faire de toute urgence. Surtout que, si le tome un était déjà sensationnel, sa suite est apparemment du feu de Dieu, d'après la blogosphère et Bookstagram ! Il me tarde de découvrir ça par moi même, de retrouver mes chéris d'amour, Cyra et Rowan, et d'en apprendre plus sur le Thunderhead, qui a carrément donné son nom au second tome. Cette Intelligence Artificielle est pour moi un véritable personnage à part entière, et sa capacité, en plus de toutes les autres exceptionnelles qu'il possède en matière de gestion des ressources humaines, d'empathie et de conscience humaine envers les autres me taraude énormément... Quelle est la limite entre technologie surpuissante et humanité ? Réponse au prochain épisode (je sais, vous êtes tristes) ! En attendant, ne vous faites pas glaner, ce serait fort dommage !

Un premier tome qui tient toutes ses promesses, avec une écriture mordante, dynamique, qui nous tient en haleine et nous fait nous poser de nombreuses questions.

Nanette ♥

FICHE LECTURE : La Faucheuse

★★★★★
C'était dément ! ENCORE, ENCORE !

✓- Les personnages principaux, Rowan et Cyra, sont ardents et déterminés à accomplir leur apprentissage dans le respect de l'être humain, même si cette mission ardue les dépasse encore. Ils m'ont fait battre le c½ur plus fort. Quant à des Faucheurs tels que l'Honorable Dame Marie Curie et Maître Faraday, ils m'ont fait ressentir le plus profond des respects. Ils sont de dignes modèles pour Rowan et Cyra.
- L'écriture de Neal Shusterman, pleine de pep's, de verve, et qui nous happe du début jusqu'à la fin.
- Des rebondissements et des retournements de situation en veux-tu, en voilà. Impossible de s'ennuyer une seule seconde !


✗ Maître Goddard et ses disciples (sauf Maître Volta), qui m'ont donné envie de vomir de dégoût face à leur mode de vie opulent et de débauche et leur goût prononcé pour la tuerie sanguinaire. Ça me répugne et ça m'a fait écarquiller les yeux d'effroi et de pure horreur.
- Il me faut la suite, ouiiiiin... Mais ça, ça ne dépend que de mon emploi du temps et de mon porte-feuilles aussi.

« Elle se demandait si, quoique silencieux, le Thunderhead l'observait. Dis donc, tu farfouilles dans mon cerveau, lui dirait-il avec un clin d'oeil virtuel. Petite coquine. »
Tags : Fiche lecture, La faucheuse, Neal Shusterman, Collection R, 2017, Science-fiction, Dystopie, YA, mort, confrérie, univers futuriste, intelligence artificielle, angoisse, sang, massacres, tueurs, honorabilité, menaces, rivalité, confrontation, justice, valeurs, apprentissage, maturité, grandir, s'endurcir, entraînement, sens de la vie, régénération, ressusciter, immortalité, morale, conscience, compassion, réflexion, questionnement de l'humanité, remise en question, Excellente lecture !
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#Posté le mardi 27 mars 2018 09:30

Modifié le samedi 22 décembre 2018 08:28

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