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5 articles taggés J.K. Rowling ♥

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FICHE LECTURE : Harry Potter - T3 : Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban (illustré par Jim Kay)

FICHE LECTURE : Harry Potter - T3 : Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban (illustré par Jim Kay)
• TITRE V.O. : Harry Potter, book 3: Harry Potter and the Prisoner of Azkaban.
• AUTRICE : J.K. Rowling.
• ANNÉE : 2017 (ROYAUME-UNI, FRANCE).
• GENRE (S) : Fantastique, jeunesse.
• THÈMES : Aventure - Amitié - Magie - École de sorcellerie - Mystère - Passé - Noirceur - Danger - Courage - Révélations - Loyauté - Espoir...
• PAGES :
326.

Ma chronique du tome 2 : ici.

Sirius Black, le dangereux criminel, qui s'est échappé de la forteresse d'Azkaban, recherche Harry Potter. C'est donc sous bonne garde que l'apprenti sorcier fait sa troisième rentrée. Au programme : des cours de divination, la fabrication d'une potion de ratatinage, le dressage des hippogriffes... Mais Harry est-il vraiment à l'abri du danger qui le menace ? Le troisième tome des aventures de Harry Potter vous emportera dans un tourbillon de surprises et d'émotions. Frissons et humour garantis !

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du troisième tome d'Harry Potter, Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban, illustré par Jim Kay.

Très sincèrement, j'ai beau avoir lu et relu les différents volumes (surtout les quatre premiers) que compte cette incontournable saga maintes et maintes fois et savoir que j'ai un nombre infini d'autres livres qui attendent sagement que je leur laisse enfin la chance qu'ils méritent, je ne puis m'empêcher de savourer avec un plaisir non dissimulé mon énième redécouverte de cet univers qui m'est si familier et cher à mon c½ur à travers les yeux et le fabuleux trait de crayon de Jim Kay.

Cet artiste au talent juste monstre a su à mon sens tout à fait respecter l'essence de l'½uvre originelle signée par la magicienne J.K. Rowling tout en y apposant son propre style, sa touche artistique propre à lui et absolument enchanteresse. Pour ma part, je me suis tout bonnement régalée entre les pages de ce livre résolument collector. Il me tarde désormais de découvrir mon tome favori entre tous de la saga, à savoir Harry Potter et la Coupe de feu, revisité par cet illustrateur à la créativité débordante qui ne cesse de m'émerveiller de tome en tome. Cette prochaine aventure promet d'être assurément grandiose ! COUP DE FOUDRE ϟ

Nanette ♥

« Tu crois donc que les morts que nous avons aimés nous quittent vraiment ? Tu crois que nous ne nous souvenons pas d'eux plus clairement que jamais lorsque nous sommes dans la détresse ? Ton père vit en toi, Harry, et il se montre davantage lorsque tu as besoin de lui. Sinon, comment aurais-tu pu créer ce Patronus en particulier ? Cornedrue est revenu la nuit dernière. »
Tags : Fiche lecture, Gallimard Jeunesse, Harry Potter, Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban, Tome 3 ♥, J.K. Rowling ♥, Littérature britannique, 2017, Fantastique, Jeunesse, aventure, amitié, magie, école de sorcellerie, mystère, passé, noirceur, danger, courage, révélations, loyauté, espoir, Coup de foudre ♥
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#Posté le dimanche 12 avril 2020 06:05

Modifié le dimanche 31 mai 2020 16:16

FICHE LECTURE : Harry Potter - T2 : Harry Potter et la chambre des secrets (illustré par Jim Kay)

FICHE LECTURE : Harry Potter - T2 : Harry Potter et la chambre des secrets (illustré par Jim Kay)
• TITRE V.O. : Harry Potter, book 2: Harry Potter and the Chamber of Secrets .
• AUTRICE : J.K. Rowling.
• ANNÉE : 2016 (GRANDE-BRETAGNE ; FRANCE).
• GENRE(S) : Fantastique, jeunesse.
• THÈMES : Aventure - Amitié - Magie - École de sorcellerie - Mystère - Passé - Noirceur - Courage - Loyauté - Espoir...
• PAGES : 258.

Une rentrée fracassante en voiture volante, une étrange malédiction qui s'abat sur les élèves, cette deuxième année à l'école des sorciers ne s'annonce pas de tout repos ! Entre les cours de potion magique, les matches de Quidditch et les combats de mauvais sorts, Harry trouvera-t-il le temps de percer le mystère de la Chambre des Secrets ? Un livre magique pour sorciers confirmés.

ஜ MON AVIS : Un ouvrage enchanteur aux illustrations juste somptueuses !

Il y a maintenant trois ans, je recevais ce beau bébé à Noël. De l'eau a depuis coulé sous les ponts et c'est en ouvrant mes cadeaux de cette année que je me suis rendue compte que je n'avais pas encore relu ce deuxième tome d'Harry Potter, Harry Potter et la chambre des secrets, dans cette magnifique version signée Jim Kay. J'en suis toujours blême de honte mais au moins, cette fois, je peux dire que la faute est réparée !

Très sincèrement, je me demande comment j'ai fait pour laisser ce petit (enfin, façon de parler) bijou prendre la poussière dans ma bibliothèque pendant si longtemps ! J'avais pourtant bien dévoré le Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban issu de cette extraordinaire collection dès que je l'avais reçu sous mon sapin en 2017 et il faudra absolument que je me procure les tomes 1 et 4 dans cette même édtion car force est d'admettre que Jim Kay réalise pour le moment un travail remarquable avec cette série tout bonnement fabuleuse. Ses illustrations sont en effet d'un dynamisme saisissant, c'est comme si l'univers incomparable à aucun autre de notre cher Harry prenait véritablement vie sous nos yeux qui en prennent décidément plein la vue. Il faut dire que chaque page regorge de couleurs, de lumière et d'énergie, et ce ne fut certainement pas pour me déplaire !

En clair, cette revisite du merveilleux monde des sorciers crée par J.K. Rowling, c'est de la magie à l'état pure et je ne peux que vous inviter à redécouvrir ou à vous initier à la saga de cette manière ! COUP DE FOUDRE ϟ

Nanette ♥

FICHE LECTURE : Harry Potter - T2 : Harry Potter et la chambre des secrets (illustré par Jim Kay)
Source gif : Be Kind, Always (we♥it).
Tags : Fiche lecture, Gallimard Jeunesse, Harry Potter ♥♥, Tome 2 ♥, Harry Potter et la chambre des secrets, 2016, Version illustrée, Jim Kay, J.K. Rowling ♥, Littérature britannique, Jeunesse, Fantastique, Aventure, Amitié ♥, magie, école de sorcellerie, mystère, passé, noirceur, courage, loyauté, espoir, Coup de foudre ♥
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#Posté le samedi 04 janvier 2020 08:19

Modifié le lundi 06 janvier 2020 11:02

FICHE LECTURE : Harry Potter - T1 : Harry Potter à l'école des sorciers

FICHE LECTURE : Harry Potter - T1 : Harry Potter à l'école des sorciers

• TITRE V.O. : Harry Potter and the Philosopher's Stone.
• AUTRICE : J.K. Rowling.
• ANNÉE : 1997 (ROYAUME-UNI) ,1998 (FRANCE).
• GENRE (S) : Fantastique.
• THÈMES : École de sorcellerie, magie, créatures fantastiques, enfance, jeunesse, amitié, découvertes, aventure, menace, apprentissage, famille, merveilleux, courage, intelligence, ingéniosité, sortilèges, pierre philosophale, secret, mystère, extraordinaire, entraide, épreuves, malice, témérité, valeurs, rivalité, grandir, enchantement, renouveau, amour, quotidien morose, cohabitation sorciers/êtres humains...
• PAGES : 240.


ஜ MON AVIS : Chronique rédigée en 2014. /!\ Attention, cette chronique est truffée de spoilers ! En même temps, peut-on encore spoiler le premier tome d'une saga aussi internationalement connue et aimée que celle-là ? Franchement, j'en doute. Mais enfin bref, pour tous ceux qui n'auraient pas encore lu le début de l'histoire mythique d'Harry Potter, passez votre chemin ! Vous m'en excuserez, j'en étais à mes débuts vacillants en tant que toute jeune blogueuse littéraire quand j'ai rédigé cet avis, je ne savais pas trop encore comment il fallait procéder, donc soyez indulgents ! /!\

Aaaah, Harry Potter ! La saga devenue presque anthologique ("presque" ? Mais cette saga est carrément anthologique, oui !), autant en livres qu'en films ! Avec sa communauté de Potterheads plus passionnés les uns que les autres de Poudlard et de l'univers des sorciers ! Tandis que tous mes camarades de classe suivaient ardemment les sorties au cinéma et en livre, je crois bien que j'étais la seule qui ne s'intéressait pas à l'½uvre de J.K. Rowling ! Ma mère en était désespérée, elle ne comprenait pas pourquoi moi, avide de lectures et grande amatrice de tout ce qui était sorcières et qui baignait dans de la magie, je ne voulais pas lire Harry Potter. Après avoir entendu moult fois des élèves de ma classe au fil des années s'extasier devant cette saga, je me suis finalement décidée à la commencer (au grand dam de ma petite maman, qui a eu du mal à y croire tant elle avait abandonné cette idée !) ! C'est parti donc pour ma chronique du premier tome : Harry Potter à l'école des sorciers !

J'ai été plongée dans l'histoire dès le début. Ce petit bébé ayant survécu à l'attaque du grand et maléfique sorcier Tu-Sais-Qui n'est-il pas intriguant ? Après qu'il ait tué tant de personnes, dont les parents de l'enfant, comme le rappelle Mme McGonagall, il s'est fait vaincre par un bébé ? Voilà qui est très intéressant. Je me demandais quel pouvait être le grand pouvoir d'Harry et j'avais hâte de voir l'évolution de ses pouvoirs, pour découvrir ce qui avait pu faire au moins disparaître Voldemort. J'ai également découvert pourquoi ma très bonne amie Marie-Amélie appelait celui que j'aimais Voldemort. Je vous explique : il y a deux ans (déjà !), j'étais amoureuse d'un jeune garçon de ma classe et seule Marie-Amélie le savait. Alors, pour parler de lui sans que les autres sachent de qui on parlait (surtout lui !), je l'appelais Tu-Sais-Qui. Elle avait alors proposé de l'appeler également Voldemort dans ce cas. J'avais accepté, sans comprendre le lien entre Voldemort et le garçon que j'aimais alors. Maintenant, je sais ! Enfin bref, on s'éloigne du sujet là !

Je me suis de suite attachée au petit Harry. Le pauvre, avec la famille qu'il a, c'est horrible ! Son oncle, sa tante et son cousin sont vraiment horribles et détestables, ils me dégoûtent ! Ils le maltraitent, le font vivre dans un placard à araignées et surtout, ils ne lui disent rien sur la sorcellerie et refusent de le laisser s'en aller à Poudlard lors de son onzième anniversaire ! S'ils le haïssent autant, pourquoi le garder ? Il serait bien mieux à Poudlard, à étudier la magie, comme ses parents jadis. Ils le gardent avec eux juste pour le faire souffrir et c'est horriblement cruel et inhumain. Heureusement qu'Hagrid l'adorable géant est venu le chercher et lui offrir un cadeau (parce que, franchement, des vieilles chaussettes, ce n'est pas le top...). Une chouette, c'est beaucoup mieux ! J'ai beaucoup apprécié Hagrid, qui est très doux, gentil et serviable. On adorerait tous l'avoir pour ami je pense ! Et c'est lui qui a arraché Harry à son enfer sous l'escalier, sans amour familial ni considération. Rien que pour ça, on ne peut que l'apprécier ! On découvre également qu'il était autrefois sorcier, mais il ne l'est plus car il a commis une faute grave... Je me demande de quoi il s'agit... Mais on le découvrira bien assez vite dans le tome deux, comme je m'en rendrai compte plus tard...

L'achat des fournitures scolaires m'a subjuguée ! Autant l'achat des affaires pour la rentrée est assez ennuyeux chez les Moldus (chouette synonyme du mot "mortel", Mme J.K. Rowling !), autant pour les sorciers, c'est merveilleux ! Je me serais presque cru une petite sorcière issue d'une famille moldue (comme Hermione ♥), à acheter ma baguette, mes livres de sorcellerie et mon uniforme ! Durant ce passage, j'ai été intriguée par l'objet entouré de papier kraft qu'Hagrid va chercher pour Dumbledore à Gringotts, la banque des sorciers. Qu'est-ce que c'est ? Je me posais plein de questions et j'étais très curieuse vis-à-vis de cet objet. Le fait qu'Harry ait une baguette semblable à Voldemort m'a surprise également. Cela peut sembler anodin mais je pense que ça a une signification... Durant ce passage, on fait la connaissance de Drago Malefoy, le futur ennemi de Harry qui m'a été dès le départ très antipathique à dénigrer ainsi les sorciers issus de familles moldues.

Ensuite vient le départ pour la fameuse école de sorciers ! J'étais super excitée pour Harry et bien heureuse qu'il quitte enfin les Dursley ! Mais j'ai aussi eu très peur qu'Harry manque son train, vu qu'il se trouve entre la voie 9 et 10 et est invisible aux Moldus. Dieu soit loué, Mrs Weasley était là ! On fait alors la connaissance de Percy, le préfet de Gryffondor, de Fred et de George, les jumeaux farceurs, et de Ron, le futur meilleur ami de Harry ! Comme avec Harry, je n'ai eu aucun problème à m'attacher à Ron ! Ses grands frères Fred et George ne m'ont pas beaucoup plu au départ, à toujours taquiner leur petit frère mais ils sont gentils au fond. [Update : Non mais sérieusement, j'adooooore Fred et George, ce sont mes personnages préférés de la saga, qu'est-ce qui m'a pris d'écrire ça ?!] Et puis, tous les grands frères et s½urs font cela, ce n'est pas bien méchant. A mon avis, j'ai dû réagir ainsi car je ne suis pas habituée à cela vu que je suis fille unique ! On retrouve à nouveau Malefoy avec désormais ses deux acolytes Grabble et Goyle. Toujours aussi désagréable, je ne l'apprécie vraiment pas ! Harry m'a beaucoup touchée, Malefoy lui propose de choisir un camp et il préfère largement Ron, malgré le peu de fortune de sa famille, plutôt que Drago. Ce n'est pas tout le monde qui aurait réagi comme cela ! Une belle amitié est désormais née ♥ On rencontre également Hermione et Neville Londubat, un jeune garçon beaucoup plus courageux qu'il ne le croit et beaucoup plus fort qu'il ne le pense qui a perdu son crapaud. Cela doit être génial d'avoir un animal de compagnie original comme cela ! Bon, pas forcément un crapaud ! Mais j'adorerais avoir une chouette comme Hedwige, elle est tellement craquante ! J'ai plus qu'adoré Hermione : elle est pratiquement comme moi ! Le type Miss-Je-Sais-Tout qui énerve ses camarades de classe à force de tout savoir justement. Bon, je ne suis pas comme Hermione à réviser mes examens deux-trois mois à l'avance, mais je me suis beaucoup reconnue en elle : studieuse, appliquée et dévoreuse de livres à tout heure du jour et de la nuit. Je trouve qu'Hermione est un personnage extrêmement inspirant pour toutes les petites filles du monde entier : elle est brave, brillante, passionnée, elle ne s'en laisse pas conter et heureusement qu'elle est là pour aiguiller nos deux garçons, ils ne s'en seraient certainement pas sortis sans elle ! Je suis vraiment fan de ce trio d'or qui se serre les coudes quoi qu'il arrive et qui fait des prouesses ensemble grâce à leur travail d'équipe ! Tous les trois vont grandir et voir leur vision du monde changer grâce à ce que les deux autres leur apportent, c'est juste formidable !

Le passage du Choixpeau m'a pas mal étonnée : alors que le chapeau choisit dans quelle maison les élèves iront (Serpentard, Poufsouffle, Serdaigle ou Gryffondor), j'ai été bien surprise que le Choixpeau hésite à mettre Harry à Serpentard. Second point commun avec Tu-Sais-Qui ! Ce n'est pas une coïncidence ! Alors que j'étais sure qu'Harry allait directement être mis à Gryffondor avec Hermione et les Weasley (et non pas après hésitation du Choixpeau), il aurait pu être dans la maison des élèves malins et rusés, dont plusieurs ont mal tournés par la suite. Voldemort entre autres. Cependant, voilà une bonne occasion pour vous rappeler mes amis que la discrimination entre maisons, c'est mal ! Alors, on répète après moi : les Serpentards ne sont pas que de mauvaises engeances vicelardes, les Gryffondor ne sont pas que des pédants imbus de leur petite personne, les Serdaigle ne sont pas que des snobinards ennuyeux le nez constamment plongé dans leurs bouquins et la tête dans les études et enfin, NON, les Poufsouffle ne sont pas des mous du genou dont on peut abuser de la confiance ! Chaque maison de Poudlard représente des valeurs particulières et peut en être fière alors pas de préjugés et d'animosité entre sorciers je vous prie ! Cela vaut aussi pour l'origine sociale de tout un chacun (coucou Drago ou plutôt Lucius) !

Le mystérieux objet entouré de papier kraft revient ! On a en effet tenté de le dérober à Gringotts mais il n'y était plus et est bien gardé à Poudlard ! La mission de Harry, Hermione et Ron sera donc de découvrir qu'est-ce que c'est et pourquoi on veut à tout prix le voler. Et surtout qui veut le voler ! J'étais persuadée que c'était Severus Rogue qui voulait à tout prix s'en emparer. Ce professeur de potions représentant de Serpentard et aimant visiblement beaucoup Drago m'a été détestable dès le départ. [Re-update : lui aussi je l'adore maintenant, j'étais pas nette en février 2014, je vous le dis !] Toujours à vouloir faire baisser Gryffondor dans le classement de la Coupe des Quatre Maisons et à tenter de vouloir tuer Harry durant les matchs de Quidditch. Du moins, c'est ce que je pensais. Et je me suis lourdement trompée. Mais faisons une petite parenthèse sur le Quidditch d'abord ! Je suis devenue une grande fan de ce sport, qui m'a totalement fascinée. J'avais l'impression d'assister aux matches. Et j'ai de plus appris que des Potterheads jouaient même au Quidditch avec des balais, des uniformes et tout le reste l'équipement nécessaire ! Ce doit être super d'y jouer ! On a même en Lorraine une équipe baptisée les Brimbelles volantes ! C'est pas trop stylé, ça ? Vous pouvez d'ailleurs assister à des démonstrations de Quidditch moldu lors de salons littéraires comme les fameuses Imaginales vosgiennes si vous le voulez. Elle est pas belle, la vie ?

Reprenons le cours de l'intrigue ! Comme je vous le disais un peu plus tôt, l'amitié qui lie Ron, Harry et Hermione m'a vraiment touchée. Je me répète mais c'est le trio parfait, j'aurais tant voulu avoir de pareils amis (et je les ai en vrai, je pourrai toujours compter sur eux ♥) ! Le passage où leur amitié est scellée, à savoir quand Harry et Ron bravent tous les deux le danger et les interdits (enfreindre les règles ou la devise même du trio d'or) et assomme l'hideux troll introduit dans l'école afin de sauver Hermione, était très émouvant. J'en avais des étoiles pleins les yeux, quel courage ! Après cela, nos trois amis ne se sépareront plus. Enquêtant sur le fameux objet protégé par les professeurs - dont Rogue ! Mais je pensais que ce n'était qu'une ruse de sa part -, ils découvrent qu'il s'agit de la pierre philosophale, permettant à celui qui la possède d'obtenir la vie éternelle et de changer les métaux en or ou argent, et issue de la collaboration entre Dumbledore et Nicolas Flamel (qui a réellement existé ! Notre professeure de Physique-Chimie nous a expliqué que c'était un alchimiste français. Cocorico !). J'ai été sous le choc de découvrir qui voulait la pierre : il s'agit du professeur contre les forces du mal, Quirrell ! Le dernier à qui j'aurai pensé ! J'étais triste, je l'aimais bien moi ! En plus, Voldemort habite en lui - enfin, de l'autre côté de son crâne (et veut la Pierre pour vivre sans dépendre d'un autre corps) ! C'était effrayant, de quoi traumatiser les plus jeunes esprits ! Heureusement que Dumbledore arrive à temps ! J'ai vraiment eu peur ! Tout est bien qui finit bien ! Profitons-en car cela ne va guère durer et J.K. Rowling aura après l'âme d'une vraie serial killer en assassinant beaucoup de nos personnages favoris... Mon c½ur en saigne encore... Car Voldemort reviendra, ça, c'est sûr, et il frappera dur et fort... Une vraie sangsue, celui-là !

Le livre se finit avec la révélation de la fameuse raison pour laquelle Harry a été épargné lors du meurtre de ses parents. C'est grâce à sa mère, qui l'a protégée grâce à son amour si fort et puissant. J'en avais les larmes aux yeux, il devait vraiment avoir des parents exceptionnels ! Malgré le fait que j'ai soupçonné Rogue injustement, il ne me plait pas pour autant ! Détester le père d'Harry car celui-ci l'a sauvé de la mort, c'est invraisemblable ! Il est vraiment bizarre ! Mais je l'aime beaucoup quand même ! C'est complètement irrationnel car je reproche toujours énormément de choses à Rogue, des actes qu'il a commis, des paroles qu'il a eues et que je cautionne pas, loin de là... Cependant, je lui pardonne quand même et je lui reconnais certaines qualités ! Tout n'était pas perdu et pourri par la noirceur et le désespoir en lui ! C'est un personnage que je trouve très complexe et touchant in fine, avec une part de lumière insoupçonnée et bien plus grande que je ne me l'imaginais.

Conclusion : Quelle imagination ! Quelle originalité ! Je n'en reviens toujours pas ! J.K. Rowling m'a rendue accro à son univers de sorciers ! Un coup de foudre ! A tel point que j'ai été acheté l'adaptation cinématographique cet après-midi et je compte bien le regarder demain, j'ai hâte ! Quatre ans après, j'ai dû voir ce premier film magique un bon paquet de fois et le livre d'origine a subi le même traitement. Ce tome introducteur est celui qui incontestablement est le plus "innocent", celui qui regorge le plus de magie à l'état pure à tous les recoins. Il ne manquera pas de réveiller l'âme d'enfant qui sommeille en vous, peu importe la combientième fois que vous le relisez. Si vous n'avez toujours pas commencé cette saga, qu'est-ce que vous attendez ? Foncez ! Vous ne le regretterez pas !

Nanette ♥

FICHE LECTURE : Harry Potter - T1 : Harry Potter à l'école des sorciers
COUP DE FOUDRE ϟ comme la cicatrice emblématique qu'Harry a sur le front !

« Lee Jordan avait du mal à ne pas prendre parti.
- Donc, après cette scandaleuse tricherie...
- Jordan ! protesta le professeur McGonagall.
- Je voulais dire, après cette faute révoltante...
- Jordan, je vous préviens...
- D'accord, d'accord. Flint a failli tuer l'attrapeur de Gryffondor, ce qui aurait pu arriver à n'importe qui et donc Gryffondor bénéficie d'un penalty repris par Spinnet et c'est Gryffondor qui garde le Souafle. »
Tags : Fiche Lecture, Gallimard Jeunesse, Harry Potter, Tome 1 ♥, Harry Potter à l'école des Sorciers, J.K. Rowling ♥, 1997, 1998, Fantastique, Jeunesse, Littérature britannique, École de sorcellerie, magie, créatures fantastiques, enfance, jeunesse, amitié, découvertes, aventure, menace, apprentissage, famille, merveilleux, courage, intelligence, ingéniosité, sortilèges, pierre philosophale, secret, mystère, extraordinaire, entraide, épreuves, malice, témérité, valeurs, rivalité, grandir, enchantement, renouveau, amour, quotidien morose, cohabitation sorciers/êtres humains, Coup de foudre ♥
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#Posté le dimanche 09 décembre 2018 09:20

Modifié le lundi 28 janvier 2019 08:52

FICHE FILM : Les Animaux fantastiques - Les Crimes de Grindelwald

FICHE FILM : Les Animaux fantastiques - Les Crimes de Grindelwald

FANTASTIQUE | 2018 | DAVID YATES | AVENTURE, MAGIE, NOIRCEUR, SORCIERS, PARIS | AVEC EDDIE REDMAYNE, JOHNNY DEPP, JUDE LAW, EZRA MILLER, ZOË KRAVITZ, DAN FOGLER...

➜ En 1927, quelques mois seulement après son arrestation par le Congrès magique des États-Unis, Gellert Grindelwald s'évade et rassemble des fidèles désireux de s'en prendre aux personnes dépourvues de pouvoirs magiques à travers le monde. Albus Dumbledore, un professeur renommé de l'école de sorcellerie de Poudlard, au Royaume-Uni, semble le seul en mesure de l'arrêter. Les deux hommes, autrefois inséparables, seraient devenus ennemis depuis un accident au cours duquel la jeune s½ur de Dumbledore aurait perdu la vie.

Dumbledore accepte la mission et fait alors appel à son ancien élève Norbert Dragonneau, qui a déjà fait ses preuves en ayant su déjouer une première fois les plans du mage noir. C'est l'occasion pour Norbert de retrouver ses amis Tina, Queenie et Jacob, à l'heure où le monde magique se fragmente plus que jamais.

ஜ MON AVIS :

Bonjour mes petits amis ! Aujourd'hui, je vais vous parler d'un film dont j'attendais la sortie avec grande impatience depuis maintenant deux ans. Deux années qui ont passé à la vitesse de l'éclair, je dois bien vous l'avouer ! J'ai d'ailleurs du mal à croire que j'ai vu le film dont il sera question dans cette chronique. Je me revois encore avec ma maman chérie à la séance de son prédécesseur, et ça me semble à la fois tellement proche et si loin. Et pourtant, nous y voilà : je suis allée voir Les Animaux fantastiques 2 : Les Crimes de Grindelwald. Alors même que j'étais sortie du cinéma suite à mon visionnage du premier opus, je mourrais d'ores et déjà d'envie de voir sa suite. J'ai suivi de très près chaque actualité qui pouvait se rapporter au tournage de ce deuxième volet que je n'étais pas la seule à attendre avec une extrême impatience. Je sautais sur chaque still, chaque information que je pouvais trouver, cela a fait partie de mon quotidien pendant deux ans, cette pêche aux éventuels exclusivités. Cela en devenait presque comme respirer, tant je faisais cela machinalement sur les réseaux sociaux, les blogs et avec d'autres sources. Et au fur et à mesure que la date de sortie se rapprochait, ma frénésie allait grandissant. La bande-annonce a fait pétiller mes yeux de bonheur et j'ai dû la regarder une bonne vingtaine de fois afin de ronger au mieux mon frein. Que voulez-vous, il fallait bien combler l'impatience que j'éprouvais du mieux que je le pouvais. Désormais, la voilà rassasiée, et le soulagement en est immense. Qu'en est-il de mon opinion ? Le suspense est insoutenable, je le sais, mais rassurez-vous, je vais y mettre fin de ce pas.

Avant toute chose, sachez que, si vous souhaitez voir Les Crimes de Grindelwald avec une personne non initiée aux joies de l'univers d'Harry Potter, je vous recommanderais de ne pas le faire au risque de perdre le spectateur qui vous accompagnera. Cela peut sembler stupide de vouloir voir la saga des Animaux fantastiques sans avoir vu Harry Potter auparavant, et pourtant certaines personnes sont dans ce cas. Il faut dire que le premier volet des Fantastic Beast se regarde selon moi très bien, et ce même pour une personne qui serait tout à fait étrangère à la saga des Harry Potter. Bien sûr, il y a de petites références qui sont égrainées par-ci par-là, à commencer par le fameux thème de la saga originelle qu'on ne présente plus, Hedwig's theme. Néanmoins, même si les nouveaux spectateurs ne savourent pas de tels échos, cela n'empêche pas le scénario de J.K. et l'univers des Animaux fantastiques d'être parfaitement compréhensibles pour ce public de véritables moldus, comme on les appelle affectueusement entre Potterheads. La preuve, ma maman d'amour n'a jamais vu aucun des Harry Potter (ce n'est pas faute d'avoir essayé de la mettre devant pourtant) et avait su tout à fait apprécier les Animaux fantastiques premier du nom. Tandis que pour le second film... Elle en est ressortie essentiellement confuse. En effet, Les Crimes de Grindelwald, contrairement à son prédécesseur qui se voulait suffisamment détaché de l'époque de notre garçon qui a survécu, est truffé de références à la saga de l'Élu à l'éclair sur le front. Ces rappels à de nombreux événements et personnages que nous connaissons constitue pour moi la force du film. Ces références permettent d'apporter bien des éclaircissements sur ce qui nous était déjà familier sans que nous ayons pour autant réussi à saisir pleinement la teneur des dits personnages et événements. De nombreux éléments de la saga HP se voient accorder un traitement en profondeur, une background story, ou alors simplement des indications qui suffissent à ce que tout s'éclaire. En regardant Les Crimes de Grindelwald, on en apprend énormément sur la saga Harry Potter, sur tout ce que J.K. Rowling a pu créer au sein de cet univers si riche et dense. Grâce à ce scénario, elle nous livre beaucoup de secrets sur ce monde tout droit sorti de son imagination fourmillante d'idées qui ne cessera jamais, au grand jamais, de nous surprendre. Ce tour de force que réalise ce film, bien loin d'être un simple opus de transition comme cela est souvent le cas avec le film numéro deux d'une longue saga, constitue néanmoins un inconvénient : il réduit l'audience du film d'une bonne partie des spectateurs qu'il aurait pu avoir comme cela avait été le cas pour le premier. J'ai d'ailleurs trouvé cela déroutant que le premier se veuille clairement tout public (dans le sens où il est accessible à tous, qu'on ait vu ou non la première saga) alors que le second est de façon toute aussi affirmée, si ce n'est plus encore, destiné à un cercle beaucoup plus restreint. Les fans se verront ravis de voir ainsi que leurs attentes, notamment celles qu'ils ne soupçonnaient même pas (ce qui a été mon cas), ont été entendues. Pour les autres, eh bien, Les Crimes de Grindelwald les encourage sans détour à se plonger à corps perdu dans le visionnage de la superbe saga qu'est Harry Potter. Je dirais même que la lecture des livres enrichit d'autant plus cette expérience unique qu'il nous est donné de vivre avec cette magie du cinéma. C'est un tout qu'il faut prendre dans son intégralité pour mieux l'en savourer et saisir ce qui nous est donné à comprendre. Après, ce n'est que mon humble avis, vous en faites ce que bon vous semble.

En tout cas, pour ce qui est des fans de la première heure (ou non) d'Harry Potter, impossible de rester de marbre face à toutes ces références qui sont parfaitement bien amenées et très bien exploitées, de façon à donner à cette suite une véritable consistance et identité qui en ferait pâlir d'envie le premier film. Non pas que celui-ci n'ait aucune personnalité, bien au contraire : le premier Animaux fantastiques a joué à merveille son rôle de film introducteur qui était l'incarnation même de tout ce qui fait Norbert Dragonneau, le formidable nouveau héros de ces grandes aventures inédites que nous propose le monde magique. Mais Les Crimes de Grindelwald est le film qui s'impose clairement en tant que conquérant. En tant que second film, comme je vous l'ai expliqué, il ne veut pas être relayé au second plan, il veut nous marquer et le c½ur et la rétine, et tout dans sa réalisation va dans ce sens : les images, les effets spéciaux, les chemins que les différents personnages suivent, le dévoilement de l'histoire de chacun. Au fond, la seule chose qui m'a manqué, c'est une bande soundtrack qui nous reste dans les oreilles. En effet, à ce niveau-là, rien de vraiment marquant car, pour tout vous avouer, ce que j'ai essentiellement retenu sur le plan musical, c'est le fameux Hedwig's theme que l'on entend en arrivant à Poudlard (ou ma seconde maison). J'exagère sûrement un peu car certaines musiques, en particulier vers la fin, arrivent à sortir du lot pour capturer des moments d'émotion d'une grande solennité et ainsi nous faire ressentir toute la gravité, l'intensité et l'importance des instants en question de façon à la fois sobre et marquée. Bref, tout ça pour vous dire que Les Crimes de Grindelwald va à bien des moments faire se dessiner un sourire béat sur vos jolis petits minois. Ce film va aussi vous retourner l'estomac, vous mettre le c½ur au bord des yeux, vous faire prendre une expression de la plus intense et réelle des stupéfactions, vous mettre en colère aussi. Les Crimes de Grindelwald sait y faire en manière d'émotions brutes, authentiques et spontanées. On a à peine le temps de se remettre d'une révélation que la prochaine scène choc arrive, c'est fulgurant, c'est puissant. Il y a de quoi en être sérieusement ébranlé. Là où les Animaux fantastiques avait une aura comique et sympathique assumée, malgré l'orage qui s'annonce (et finit par éclater), et une intrigue axée sur l'incroyable bestiaire fantastique de Norbert qui fait naître de la magie à l'état pure dans nos petits yeux de grands enfants que nous sommes tous, Les Crimes de Grindelwald prend un virage émotionnel à 360° du côté sombre de la force. L'atmosphère s'alourdit, malgré un humour toujours présent et efficace qui fait désormais office plus de comic relief bienvenu face à tant de tension et de malheur stagnant dans l'air. L'esthétique du film passe d'ailleurs essentiellement par le noir, le gris, le sépia, de la lumière ternie et délavée en somme. Les moments aux couleurs vives et éclatantes sont beaucoup moins nombreux que dans le premier film, même si ce dernier avait déjà des teintes sombres dans sa réalisation à certains moments. On l'aura compris, ce second volet de Fantastic Beasts fait dans le dark et dans le grave, et il le fait bien. Il nous fait vivre un véritable yo-yo émotionnel entre bulles de légèreté et moments choc, sans jamais nous faire oublier la menace qui gronde et qui croit de façon exponentielle. J'étais loin d'être prête pour ce qui m'attendait, même au bout de deux ans. Difficile de faire face à tout ça stoïquement. Et encore, ce n'est que le début, le troisième volet promet d'être explosif et sans pitié après ça. En attendant ce moment fatidique, je vais essayer de m'en remettre comme je le peux et de ramasser les morceaux...

Au niveau des personnages, quel bonheur ce fut de retrouver mon petit Norbert d'amour comme si je ne l'avais jamais vraiment quitté ! Oui, ce personnage est socially awkward, et alors ? Pour ma part, je l'aime tel qu'il est et, comme le dit si bien Dumbledore, Norbert a juste à c½ur de faire ce qui est foncièrement juste, et de le faire de toutes ses forces. Ça, c'est mon Norbert adoré ! ♥ Oui, bon, les méthodes qu'il emploie sont peu orthodoxes, mais elles ont toujours fait leurs preuves et elles envoient grave du pâté ! Norbert est un personnage pour lequel j'éprouve une profonde tendresse et affection, je trouve que c'est un être formidable qui ne mérite que tout l'amour et le soin qu'il apporte à ses extraordinaires animaux. Norbert, c'est le meilleur, c'est simple ! Il faut dire qu'avec le prodigieux Eddie Redmayne comme interprète, difficile d'en être autrement ! Ce que j'ai adoré avec ce film, c'est que Norbert soit à la fois toujours au c½ur du récit comme c'était déjà le cas dans le premier, tout en laissant aux autres personnages, anciens comme nouveaux, la place qu'ils méritent. Ce qui n'était pas le cas dans le un je trouve, mon Norbert chéri monopolisant toute l'attention avec ses créatures. Là, Norbert et ses animaux jouent toujours un rôle très important, pour notre plus grand bonheur car ces instants avec eux nous offrent toujours de grands fous rires et de l'attendrissement (et du swag aussi), mais chaque autre personnage a son quart d'heure de gloire et sa place à prendre et ça c'est bien. J'ai pris aussi beaucoup de plaisir à retrouver ma petite Queenie, si douce, si belle, si attachante, et mon adorable Jacob. Comme on s'y attendait (en tout cas, on l'espérait très, très fort), ils forment un couple évident et très touchant, qui va cependant connaître bien des tourments en ces temps troublés. Queenie m'a beaucoup touchée de par le souhait le plus profond de son c½ur, qui est juste magnifique et tout à fait honorable. Elle est si sensible notre petite blondinette adorée, et j'avais envie de la protéger de toutes mes forces face à l'influence néfaste de Grindelwald. Quant à Jacob, sa bonhomie et son capital sympathie m'avaient vraiment manqué, ce personnage est juste génial et ne manque jamais de nous faire rire, même dans les pires moments ! J'ai envie de dire qu'il est indispensable notre Jacob-chou, c½ur sur lui ♥ Je vais directement vous parler de celle qui fut pour moi la plus belle surprise de ce film, j'ai nommé : Leta Lestrange. Croyez-moi, j'en suis restée bouche bée et les yeux hagards quand j'ai réalisé cela, c'est-à-dire à quel point je m'étais attachée à elle et à quel point je l'aimais. Pourtant, lorsque Leta avait été évoquée dans le premier film, je ne la sentais pas, je me disais qu'entre elle et moi, le courant ne passerait sûrement pas. Je n'aurais pas pu mieux me tromper ! Zoë Kravitz est vraiment magnifique et incarne ce rôle à la perfection. Elle donne à Leta une aura presque hypnotique et ce personnage m'a véritablement saisie de par son passif extrêmement douloureux, le rejet et la discrimination que cette jeune et brillante sorcière a subis toute sa vie durant, sans jamais pour autant en perdre sa dignité et sa bonté. Leta est un personnage qui aime ardemment, qui a tant d'amour à donner, elle qui en a bien peu reçu. C'est aussi une jeune femme extrêmement courageuse qui assume ses actes, sa culpabilité la tête haute, malgré le fait qu'elle soit brisée à l'intérieur. Sa prestance et son aplomb ont forcé mon admiration. Je la préfère clairement à Tina, ne serait-ce que dans le traitement de son personnage. La seule chose qui reste encore obscure à mes yeux, c'est pourquoi Leta a préféré Thésée, le frère Dragonneau qui nous rappellerait presque Percy Weasley de la première saga, à Norbert. Ne vous y trompez pas, j'ai beaucoup apprécié Thésée également, bien plus que je ne l'aurais cru, et je pense que les deux frères ont un lien extrêmement fort qu'ils ont laissé à l'état de sommeil pendant très longtemps. Dans ce film, on se rend bien compte qu'ils ont beaucoup plus en commun qu'ils ne le pensaient, bien au-delà de leur simple apparence physique, leurs idéaux fondamentaux sont au fond les mêmes. Thésée ½uvre constamment pour le bien et veut à la fois obéir aux règles tout en faisant les choses à sa façon et en démontrant que tout n'est pas ni tout noir ni tout blanc. C'est un personnage plus profond qu'il n'y parait, et j'espère qu'il aura plus de temps à l'écran dans le prochain volet. Quand je pense qu'il est incarné par Callum Turner, qui jouait Anatole Kouragine dans l'adaptation BBC de Guerre et Paix ! Pas étonnant que ce visage me disait quelque chose tout au long du film. En réalité, quand je dis que je ne comprends pas pourquoi Leta a choisi Thésée, ce n'est pas parce qu'il n'aurait pas été possible à mes yeux qu'elle tombe amoureuse de ce dernier. C'est juste que, dans le film, on ne le voit pas. On nous montre clairement à quel point Leta et Norbert étaient proches à Poudlard mais nous n'avons rien à nous mettre sous la dent concernant le passif du couple Leta/Thésée, leur rencontre, etc. C'est tout bonnement frustrant !

En ce qui concerne Tina, j'ai toujours trouvé que c'était un personnage assez fade qui méritait d'être plus mis en lumière. On sent tout le potentiel que cette femme forte a en elle mais il reste somme toute assez effacé. En comparaison, Leta met clairement Tina dans son ombre à mes yeux. Après, je n'ai jamais trouvé Tina méchante, elle est elle aussi mal-aimée quand on y pense, et elle mériterait mieux. Son lien avec Norbert est aussi fort et évident que celui qu'ont Queenie et Jacob, il y a une réelle alchimie entre notre magizoologiste et notre nouvellement Auror qui s'exprime de façon naturelle et silencieuse. Là où Queenie et Jacob babillent de la plus adorable des façons, pas besoin de paroles entre Norbert et Tina. On ne peut pas y être insensible. Ils sont totalement fascinés l'un par l'autre et on comprend tout à fait pourquoi. Dommage que je ne sois pas attachée à Tina plus que ça du coup, je ne saurais expliquer pourquoi ça ne passe pas. J'aimerais que celle-ci s'affirme plus par rapport aux autres personnages. J'avoue avoir aussi du mal avec l'actrice qui la joue. Katherine Waterston est une bonne actrice, je ne dis pas, mais elle ne me transporte pas, c'est comme ça. Bref, fin de l'acharnement sur Tina, ce n'est pas très gentil pour elle, la pauvre.

Je terminerai ma chronique avec deux personnages essentiels à l'histoire : Croyance et Grindelwald, bien sûr, Gellert de son petit nom. Pour ce qui est de Croyance, quelle ne fut pas ma surprise de le voir de retour ! Je savais pourtant qu'Ezra Miller rempilerait pour le second volet, et je l'avais d'ailleurs vu sur les affiches du film aux côtés du reste du cast ; malgré cela, j'ai été très agréablement surprise de constater que son personnage avait survécu à l'explosion qui avait détruit la moitié de New York dans le premier Animaux fantastiques. Il faut dire que Croyance en tant qu'Obscurial est extrêmement puissant, les effets spéciaux rendent une fois de plus à merveille toute l'étendue de sa capacité magique et croyez-moi qu'il y a de quoi en rester cloué sur son siège ! C'est dire à quel point mon petit bébé d'amour souffre de ne pas avoir une famille digne de ce nom et de ne pas connaître sa véritable identité... Encore une fois, mon c½ur a saigné pour lui, on sent que ce personnage est véritablement brisé de l'intérieur, de par tout ce qu'il a vécu d'atroce à New York depuis sa plus tendre enfance. Le traumatisme est encore bien vivant, et l'expression sempiternellement apeurée et anéantie d'Ezra Miller tout au long du film m'a donné envie d'y entrer et de traiter Croyance comme une peluche vivante. Il a tellement besoin d'amour et de bienveillance ce petit, ça crève les yeux ♥ J'étais si heureuse qu'il ait trouvé quelqu'un, et pas des moindres, pour se tenir à ses côtés et le soutenir dans sa démarche de trouver la clé de son passé. Je ne vous révèlerai pas l'identité de cette personne, mais préparez-vous à être surpris, ainsi que par la véritable identité de Croyance par ailleurs. Et pourtant, sous la fragilité apparente de celui-ci se cache une noirceur dévastatrice qui a de quoi nous faire tourner de l'½il... Pas étonnant que Grindelwald désire de tout son être un tel élément dans son armée. Passons justement à ce dernier d'ailleurs. Si dans le premier film, il ne faisait qu'une brève apparition qui n'augurait cependant rien de bon, dans ce second film auquel il donne son titre, il occupe une évidente place de choix. Au départ, j'avais peur que Grindelwald soit d'une telle méchanceté qu'on en vienne à ne pas le trouver crédible. En effet, dès les premières scènes, il fait preuve d'une cruauté si inimaginable et instantanée que cela nous empêche presque de pleinement l'éprouver et de la craindre sérieusement. Par la suite, Grindelwald va cependant se révéler bien plus nuancé et subtil que cela. Cet homme a un charisme qui crève l'écran (en même temps, Johnny Depp quoi) et dès qu'il est là, il accapare toute notre attention, que ce soit celle des autres personnages ou de nous spectateurs tout aussi impuissants. Tels les plus machiavéliques des dirigeants, Grindelwald sait persuader son auditoire, appuyer là où ça fait mal et tenir un discours tout à fait poignant et cohérent (malgré l'abomination de son actuel propos) qu'on s'en laisserait sérieusement convaincre. Voilà qui a de quoi me faire avoir des sueurs froides tout le long de mon petit corps. A tout vous avouer, Grindelwald parviendrait presque à me faire plus peur que notre Vous-Savez-Qui, et cela en dit déjà long je pense. Mieux vaut ne pas sous-estimer le petit Gellert, ce sorcier-là est indéniablement redoutable.

Pour conclure, je ne peux que vous encourager à regarder ce second volet qui, à mes yeux, s'est révélé être bien plus abouti et intéressant que le premier. Si ce dernier jouait sur l'effet spectaculaire irréfutable qu'ont les nombreuses créatures fantastiques de Norbert et les immenses talents de magizoologiste de ce dernier, ainsi que sur un côté comique clairement voulu et très agréable pour le spectateur, qui en ressort le sourire aux lèvres, Les Crimes de Grindelwald, quant à lui, affirme sa solennité et promet un contenu beaucoup plus sombre et enrichissant. On se dirige clairement pas à pas vers la première Guerre des Sorciers, qui s'est vu conclue par l'affrontement légendaire entre Grindelwald et Dumbledore, les anciens comparses de toujours qui se préparent pourtant à se déchirer pour de bon. J'ai par ailleurs adoré le fait qu'ils aient repris les acteurs qui jouaient ces deux-là jeunes dans le septième volet des HP, Jamie Campbell Bower et Toby Regbo, même si ces flashbacks étaient encore une fois beaucoup trop courts à mon goût. En espérant qu'ils exploiteront plus cette background story dans le prochain opus des FB, même si on la connaît déjà. Dans la foulée, je me rends compte que je ne vous ai pas parlé de notre Dumby qu'on ne présente plus dans cette chronique, joué dans le film par le génial Jude Law. Que dire à part que Dumbledore est toujours aussi fidèle à lui-même, très énigmatique et impressionnant, touchant de vulnérabilité aussi. Sa présence apporte beaucoup au film, elle éclaire notre lanterne, et on le sent, on le sait pertinemment, que Dumby va jouer un rôle-clé par la suite, un rôle majeur qui en éclipsera même notre petit Norbert adoré. Et j'attends désormais ce grand moment avec une impatience folle, mais aussi avec beaucoup d'appréhension... Vu ce qui se prépare, nous ne ressortirons pas indemnes de cette guerre-là, pas plus que nous n'avions été épargnés lors de la Bataille Finale de Poudlard le 2 mai 1997. Mais haut les c½urs et les baguettes les amis, le bien vaincra, soyons patients ! Pour ma part, vous l'aurez compris, la magie a opéré avec ce second volet, la magicienne qu'est J.K. est loin d'avoir perdu son talent et je suis sûre (du moins, je l'espère) que vous ressortirez conquis par ce film ! A condition d'en saisir toutes les références. Donc regardez au moins les HP, c'est un ordre ! Prescription de votre Mme Pomfresh en herbe ;)

Nanette ♥

P.S. : Je ne sais pas grand chose de la polémique qui entoure actuellement Johnny Depp et J.K. Rowling. Pour ce qui est de Johnny Depp, j'ai compris qu'il s'agissait d'Amber Heard et de violences conjugales (et d'autres choses encore), et que J.K. l'aurait défendu lorsque son choix concernant qui incarnerait Grindelwald a été remis en cause. Mais apparemment, J.K. est aussi beaucoup blâmée en ce moment, et j'ignore pourquoi. N'hésitez pas à éclairer ma lanterne et à me délivrer de mon ignorance si vous en savez plus que moi. En attendant, je ne fais que juger la performance d'acteur de Johnny et le talent scénaristique et imaginatif de J.K., pas leur intégrité en tant que personne. Je ne suis pas assez informée pour en juger de toute manière. Donc don't spread the hate et discutons-en tous tranquillement !

FICHE FILM : Les Animaux fantastiques - Les Crimes de Grindelwald FICHE FILM : Les Animaux fantastiques - Les Crimes de Grindelwald FICHE FILM : Les Animaux fantastiques - Les Crimes de Grindelwald
Source des gifs : westwallys.tumblr.com
★★★★★
Un excellent film qui a su répondre à mes attentes, et me procurer plus encore !

« Il n'y a pas de créatures étranges, il n'y a que des gens ignorants. »
Tags : Fiche film, Les Animaux Fantastiques ♥, les crimes de grindelwald, Second volet, 2018, Fantastique, David Yates, J.K. Rowling ♥, Aventure, Magie, Noirceur, Sorciers, Paris, Eddie Redmayne ♥, Johnny Depp., Jude Law., Ezra Miller ♥, Zoë Kravitz ♥, Dan Fogler, ★★★★★, Excellent film !
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#Posté le dimanche 18 novembre 2018 16:07

Modifié le samedi 24 novembre 2018 16:41

FICHE LECTURE : La meilleure des vies

FICHE LECTURE : La meilleure des vies

• TITRE VO : Very Good Lives: The Fringe Benefits of Failure and the Importance of Imagination.
• AUTRICE : J.K.Rowling
• ANNÉE : 2015 (GRANDE-BRETAGNE) ; 2017 (FRANCE).
• GENRE (S) : Témoignage, essai.
• THÈMES : Discours, Harvard, développement personnel, apprentissage, espoir, combat, courage, amour de soi, échec, imagination, inspiration, tolérance, force, leçon de vie, réflexion, philosophie de vie, expérience personnelle, empathie, écriture,...
• PAGES : 88.

Invitée à prononcer le traditionnel discours annuel lors de la cérémonie de remise des diplômes de fin d'année à l'université Harvard, J.K. Rowling a transformé ce rituel convenu en un témoignage très personnel, dont chacun peut tirer une véritable leçon de vie.
Puisant directement aux sources de sa propre expérience, dont elle nous confie des épisodes méconnus, l'autrice dégage ici avec émotion, acuité et ironie des principes qui aideront toute personne à la croisée des chemins à méditer sur le sens de l'existence en général et de sa vie en particulier.
L'autrice souligne notamment les bienfaits insoupçonnés de l'échec et l'importance de l'imagination, non seulement comme faculté de création, mais comme pouvoir d'empathie.
La nature des sujets abordés et la puissance intemporelle de ce bref ouvrage circonstanciel en font un grand livre de sagesse éternelle.

« Il en va de la vie comme d'une histoire : peu importe ce qu'elle dure; ce qui compte, c'est qu'elle soit bonne. »
- Sénèque

ஜ MON AVIS : Un petit livre qui peut avoir un grand impact sur votre vie...

Tout d'abord, et pour ne pas perdre les bonnes habitudes, un grand merci aux éditions Grasset pour ce sublime envoi. Etant donné que l'ouvrage est très court (moins de cent pages) et que donc, je ne vais pas trop m'éterniser à son propos afin de ne pas vous en gâcher son contenu si intéressant, inspirant et enrichissant, juste une petite mise en avant de l'objet-livre.

Tout simplement car il le mérite à mille pour cent. Ce livre est petit, compact,-très léger, donc très agréable à tenir en main. De plus, c'est un hard-back et je sais que pour pas mal de lecteurs, ça signifie beaucoup. Sa couverture papier est superbe, très épurée et élégante, et, quand vous l'enlevez, cela vous dévoile un petit livre rouge avec des toques de diplômés américains dessus.

Bref, je pourrais m'extasier pendant des heures sur cet ouvrage qui fait divinement bien dans ma bibliothèque et continuer mon télé-achat, mais voilà, je tenais à souligner la qualité d'édition de cet ouvrage. Bravo, Grasset.

Maintenant, entrons dans le vif du sujet. Késako ? Qu'est-ce que ce livre peut bien nous raconter en une poignée de pages seulement, même pas cent ? Eh bien, toute l'expérience d'une vie, mes amis. Et pas des moindres : celle de notre maman magicienne, notre reine adorée, celle qui a marqué l'enfance et la vie de lecteur de beaucoup, j'ai nommé : J.K. Rowling.

Et une fois de plus, force est de constater que notre autrice bien-aimée sait manier les mots avec une dextérité que personne d'autre ne possède et qui, pour le coup, relèverait presque de la magie. Celle-ci, en tout cas, continue de faire mouche, cette fois dans le cadre d'un discours donné aux diplômés de Harvard de la promo 2008. Soit il y a presque dix ans, et pourtant, je peux vous assurer que les mots prononcés par J.K. ce jour-là ne tomberont pas dans l'oubli, qu'ils garderont éternellement leur valeur et leur force, et je remercie la maison d'édition anglaise Little, Brown and Company, et celle française de Grasset deux ans après, d'avoir eu l'intelligence remarquable de transmettre et de partager ces mots prononcés sur papier, de les graver noir sur blanc.

Même Albus Dumbledore n'aurait pas fait mieux en prononçant ces paroles qui vous forgent un individu et lui permettent d'avancer dans la vie. Qui plus est, de magnifiques illustrations viennent agrémenter la lecture et s'accordent parfaitement avec les propos pleins de bon sens et éclairants comme un phare dans la nuit de J.K.

Un vrai plus à ce livre petit par la taille mais grand par l'effet colossal qu'il produit sur nous, lecteurs, par la leçon de vie foudroyante qu'il nous donne, tel un nouveau jour qui se lève et qui nous éblouit. Je le garderai à tout jamais comme livre de chevet dans lequel me replonger dès que je me sentirai mal dans ma peau ou aurai la sensation de n'être qu'une moins-que-rien. Ce livre est une source de motivation perpétuelle qui en fait un indispensable à mes yeux afin d'aborder convenablement la vie.

Je vais vite conclure, car je ne voudrais pas vous priver de cette opportunité unique de découvrir d'autres pans de la vie de J.K. Rowling, qui, malgré ses malheurs, son désarroi, son sentiment d'abandon et de non-appartenance au monde, s'est rendue compte qu'on peut en survivre, surpasser ce chagrin presque morbide, et que la fidélité, la dignité, le respect et l'intégrité continuent à exister dans un monde malade qui peut sembler être un gouffre sans fin de noirceur.

Une fois de plus, J.K. confirme qu'elle a le c½ur grand comme ça, accompagné d'un humour qui n'a pas su être entaché des dures épreuves qu'elle a dû traverser, et elle nous prodigue des conseils réconfortants et qui nous poussent à aller de l'avant. Ce discours fait preuve d'une grande humilité, d'une sagesse exemplaire concernant la façon de percevoir autrui et soi-même, et surtout, Joanne a su, je pense et je l'espère grandement, atteindre en plein c½ur, toucher, émouvoir ces étudiants de la prestigieuse Harvard qui, elle le rappelle, sont brillants de leur travail acharné et n'auront sans doute aucun mal à trouver une place enviable dans ce bas monde.

Le fait qu'elle leur incombe comme mission d'élever la voix pour ceux qui n'en ont pas, de se servir de ce privilège qu'ils ont entre leurs mains d'être entendus et considérés comme importants pour se placer du côté de l'Humanité au lieu de celui du pouvoir, c'est un exemple qu'on devrait tous prendre comme maxime dans notre vie, qu'elle soit lumineuse de gloire, d'argent, de réussite, de succès, ou qu'on soit plus dans l'ombre. Tant qu'on a l'imagination d'un monde meilleur, une grandeur et une ouverture d'esprit, tout reste possible et réalisable. COUP DE C¼UR ♥

J'ai fait lire cet ouvrage à ma maman, et elle a su être conquise par son message instructif, rayonnant de vérité et de lucidité. Et vous, qu'en sera-t-il pour vous ?

« Nous n'avons pas besoin de magie pour transformer notre monde ; nous portons déjà en nous tout le pouvoir dont nous avons besoin. »
Tags : Fiche Lecture, service de presse, Grasset, J.K. Rowling ♥, La meilleure des vies, 2017, Témoignage, Discours, Harvard, développement personnel, apprentissage, espoir, courage, amour de soi, échec, imagination, tolérance, force, écriture, combat, inspiration, leçon de vie, réflexion, philosophie de vie, expérience personnelle, Empathie, essai, coup de coeur ♥
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#Posté le dimanche 17 décembre 2017 14:39

Modifié le vendredi 09 février 2018 17:38

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