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FICHE LECTURE : Le Cycle d'Avalon - T1 : Les Dames du lac

FICHE LECTURE : Le Cycle d'Avalon - T1 : Les Dames du lac
• TITRE V.O. : The mists of Avalon: Mistress of magic.
• AUTRICE : Marion Zimmer Bradley.
• ANNÉE : 1983 (USA) ; 1986 (FRANCE).
• GENRE(S) : Fantasy.
• THÈMES : Légende arthurienne - Réécriture - Mythologie - Magie - Femmes - Fées - Paganisme - Chrétienté - Religion - Conflits - Amour - Aventure - Sorcellerie - Destinée - Druidisme - Épopée - Nature - Noirceur - Royaume - Dynastie...
• PAGES : 442.

La légende du roi Arthur et des chevaliers de la Table ronde n'avait, depuis longtemps, inspiré un roman d'une telle envergure, d'un pareil souffle. Merlin l'Enchanteur, Arthur et son invincible épée, Lancelot du Lac et ses vaillants compagnons, tous sont présents mais ce sont ici les femmes qui tiennent les premiers rôles : Viviane, la Dame du Lac, Ygerne, duchesse de Cornouailles et mère d'Arthur, son épouse Guenièvre, Morgane la fée, s½ur et amante du grand roi... Cette épopée envoûtante relate la lutte sans merci de deux mondes inconciliables, celui des druides et des anciennes croyances défendant désespérément un paradis perdu et celui de la nouvelle religion chrétienne supplantant peu à peu rites et mystères enracinés au c½ur de la Grande-Bretagne avant qu'elle ne devienne l'Angleterre.

ஜ MON AVIS :

Coucou les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique consacrée au tout premier tome du Cycle d'Avalon, j'ai nommé Les Dames du lac, que l'on doit à l'immense autrice américaine Marion Zimmer Bradley. Cette dernière étant en effet indéniablement l'un des plus grands noms de la littérature entre autres fantasy, il me tardait ainsi de découvrir ce qui est probablement son oeuvre la plus connue et estimée maintes et maintes fois encensée entre autres par l'une de mes booktubeuses préférées, à savoir Margaud Liseuse. Et force est de constater que toutes ces louanges étaient amplement méritées !

Très sincèrement, j'ai vécu une expérience de lecture incomparable à aucune autre grâce aux Dames du lac. Le fait que les légendes et récits d'antan et plus particulièrement tout ce qui tourne autour du royaume de Camelot me fascinent depuis fort longtemps a indubitablement pesé dans la balance, bien entendu, mais je pense néanmoins que ce livre a son propre pouvoir magique qui pourrait opérer sur n'importe qui exprimant un tant soit peu la volonté de se laisser embarquer dans cet univers aussi riche, majestueux et intemporel. Pour ma part, à peine les pages de ma très vieille et merveilleuse édition survivante des années 80 avaient-elles commencé à se succéder l'une l'autre que j'avais déjà voyagé vers la contrée du futur roi Arthur, immergée corps et âme que j'étais alors dans ce monde de légende au sein duquel l'Angleterre s'appelait encore Albion et où le christianisme n'avait pas encore supplanté les autres croyances existantes.

Par ailleurs, cette opposition constante et omniprésente, extrêmement marquée et soulignée, entre la religion du Christ et le paganisme des anciens peuples aurait pu profondément m'irriter au vu de ma propre foi en mon Seigneur et Dieu mais il n'en fut rien. En réalité, Marion Zimmer Bradley ne porte aucun jugement et ne fait que dépeindre ce qui s'est produit il y a de cela des millénaires, à l'orée de l'humanité telle que nous la connaissons et, malgré le fossé temporel colossal qui s'est creusé entre ces civilisations et celle de notre monde actuel, son discours, même appliqué à un univers (totalement ou presque) fictif, n'aurait pas plus être plus pertinent, criant de vérité et triste à pleurer que de nos jours.

Je vous le dis : la plume de Marion Zimmer Bradley, bien que très traditionnelle et donc généralement peu ragoûtante pour des individus issus de notre génération n'étant point habitués à ce type d'écriture et de lecture de façon globale (et je suis la première à le reconnaître et à le déplorer), vaut largement le détour car ses idées, elles, sont tout ce qu'il y a de plus contemporaines et brillantes, faisant ici la part belle à des femmes fortes, tourmentées, passionnées, vibrantes d'émotions et d'espoir (mention spéciale à la fée Morgane qui m'a tout bonnement époustouflée) ; à la beauté brute, sauvage, lumineuse et authentique de Mère Nature et à l'importance fondamentale du lien que nous entretenons avec celle-ci et qui se détériore un peu plus à chaque seconde qui passe. Et puis, je vous le déclare en toute franchise, la forme est, dans le cas présent, aussi précieuse et travaillée que le fond. Marion Zimmer Bradley est peut-être une romancière "à l'ancienne" mais c'est bien là ce qui fait tout le charme unique en son genre de sa voix minutieuse, poétique, emplie de sagesse, de vigueur et d'une ampleur sans commune mesure.

Pour conclure, je ne peux que vous encourager de tout mon c½ur à vous laisser transporter entre les pages cornées, abîmées par le temps et les mains fébriles d'un nombre sûrement incalculable de lecteurs éparpillés dans le monde entier des Dames du lac. De mon côté, je suis fort aise de m'être enfin décidée à me procurer ce roman et à m'y plonger sans résistance. Ce livre aura purement et simplement réussi à me captiver de bout en bout, à faire battre mon c½ur assurément plus fort, à me faire craindre pour la vie et surtout le feu sacré de ses protagonistes résolument entrés dans la légende et à m'envelopper dans une atmosphère faite de dangers, de sueur, de sang et d'une sorte de fantasmagorie féerique pour le dire ainsi juste indescriptible. J'avais déjà eu l'occasion de découvrir un autre titre de l'autrice auparavant, bien trop sous-côté et relayé aux oubliettes à mon sens, La princesse de la nuit, qui m'avait diablement exaltée et avec Les Dames du lac, j'ai été d'autant plus comblée et ravie par le délicieux et trépidant moment de lecture que j'ai passé ! Rien que de songer à la grandiose et extraordinaire aventure complètement folle qui m'attend avec les autres tomes qui constituent le génial Cycle d'Avalon, j'en frémis d'avance d'une excitation non contenue... ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, Le Cycle d'Avalon, Les Dames du lac, Marion Zimmer Bradley, 1983, 1986, Littérature américaine, Fantasy, Légende Arthurienne, réécriture, mythologie, magie, femmes, fées, paganisme, chrétienté, religion, conflits, Amour ♥., aventure, sorcellerie, destinée, druidisme, épopée, nature, noirceur, royaume, dynastie, Excellente lecture !
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#Posté le lundi 23 décembre 2019 15:09

Modifié le lundi 23 décembre 2019 16:12

FICHE LECTURE : Le Renard de Morlange

FICHE LECTURE : Le Renard de Morlange
• AUTEUR : Alain Surget.
• ANNÉE : 1995, 2018 (FRANCE).
• GENRE (S) : Jeunesse.
• THÈMES : Renard, malédiction, magie, sorcellerie, Lorraine, aristocratie, noblesse, hiérarchie sociale, cruauté, violence, rédemption, forêt, dangers, métamorphoses, pleine lune, réincarnation, Moyen Age, conte, fable, légende, seigneurie, comté, serviteurs, rivalité, jalousie, haine, méchanceté, oppression, extorsion, interdiction, liberté, vengeance, ruse, malice, revanche, désarroi, désespoir, pardon, apprentissage, maturité, enseignement, religion, chrétienté, orgueil, péché...
• PAGES : 224.

Violences, humiliations : rien n'arrête le cruel comte de Morlange. Rien ? Jusqu'au jour où un vieil ermite lui prédit que, s'il ne change pas sa conduite, il sera transformé en jeune renard les nuits de pleine lune... tout en conservant son esprit humain, et ainsi jusqu'à ce qu'il ait fait pénitence ! Si Renaud de Morlange est un fin chasseur, Renard a, lui, bien des choses à apprendre pour affronter les dangers de la forêt...

ஜ MON AVIS :

Bonjour mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du Renard de Morlange d'Alain Surget, ou un récit que je ne connaissais ni d'Eve ni d'Adam avant que les éditions Nathan ne me l'envoie inopinément. Je les en remercie par ailleurs chaleureusement car j'ai passé un joli petit moment de lecture avec ce très court roman qui s'apparente plus à un long conte à dire vrai.

La réédition de ce livre jeunesse m'a permis de découvrir une collection de chez Nathan, j'ai nommé Dyscool, dont je salue grandement l'initiative, à savoir faciliter la lecture aux jeunes et moins jeunes dyslexiques ainsi qu'aux malvoyants à l'aide d'une grande taille de police agréable à lire, avec une forme des caractère ronde et claire qui ne fatigue résolument pas les yeux, et d'une pagination extrêmement aérée qui simplifie la tâche à notre vue parfois vacillante. Personnellement, pour moi qui doit porter des lunettes depuis que je suis enfant et qui adore lire, ça m'a fait énormément plaisir de pouvoir reposer mes mirettes constamment ou à tout le moins la plupart du temps plissées afin de se concentrer et avancer dans des lectures généralement conséquentes avec un ravissant petit ouvrage qui a tout pour donner envie, et ce même aux récalcitrants qui ont l'impression que la lecture n'est pas une activité faite pour eux, que ce soient pour des raisons de santé ou d'origine sociale. Vous l'aurez compris, cela fait déjà un bon point pour cette nouvelle (ou plutôt devrais-je dire "dernière" au vu de la date de parution) édition du Renard de Morlange.

L'autre caractéristique de cette histoire d'antan qui m'intéressait immensément, c'est son cadre : la folle quête initiatique vers un retour, pour ne pas dire une découverte et appréhension totale, à l'humanité de Renaud de Morlange se déroule en Lorraine, ma région adorée. Ça peut sembler n'être pas grand chose dit comme ça mais pour moi, le simple fait que le récit se passe dans mon petit coin de Grand Est (enfin, je ne suis pas mosellane, encore moins messine, mais vosgienne - quelle importance, on fait tous partie de la même famille après tout !), cela compte énormément et change pour ainsi dire carrément tout ! J'exagère sans doute un tantinet mais, histoire de parler un peu plus sérieusement, j'adore en apprendre plus sur les anciens ducs et seigneurs de Lorraine, sur le mode de vie et la hiérarchie sociale d'autrefois, sur le passé entre autres glorieux de ma contrée au fil de mes lectures, surtout lorsque cela se produit de manière aussi impromptue ! La surprise n'en est que plus agréable et délectable à mon sens. Et puis, quand on connaît déjà le territoire qu'une intrigue nous fait explorer, on se repère immédiatement, on parvient de suite à se représenter mentalement le paysage visuel - quoique, le jour où j'ai dévoré telle une louve affamée ce récit, j'ai fait une splendide balade en forêt déodatienne donc autant vous dire que j'avais un sacré bon équivalent de la forêt de Renaud-renard juste sous mes yeux ébahis et qui ne lassent jamais de cette superbe vue... Bref, c'est comme si l'on était à la maison ! Ce qui était doublement mon cas à ce moment-là, comme j'aime encore une fois à m'en vanter (promis, j'arrête dès à présent de radoter comme une vieille grand-mère). En ce qui concerne la légende du Renard de Morlange, même si celle-ci a été inventée de A à Z par l'auteur et ne se base donc probablement pas sur des faits réels, ou fort s'en peut, je remercie infiniment cette dernière d'avoir rendu un si belle hommage à notre terre sacrée des mirabelles (cette appellation provient à 100% de mon imagination farfelue, merci de ne pas en tenir compte) avec ce que je considère être digne d'une authentique fable venue tout droit des temps anciens pour nous enchanter et nous emporter dans une bulle temporelle absolument magique.

Néanmoins, ce à quoi je ne m'attendais véritablement pas et qui m'a tout bonnement conquise, envoutée, exaltée, fait vibrer (bref, vous visualisez le tableau) et que je ne peux que vigoureusement approuver, c'est la dimension profondément humaine de cette histoire de châtiment divin et de cheminement vers une bien meilleure version de soi-même, respectueuse d'autrui et de ses droits. S'ajoute à cela un rapprochement très intelligent qu'Alain Surget réalise entre nous, pauvres fous et mortels, êtres à quatre pattes, et les merveilleuses créatures que sont les animaux et qui permet à icelui de véhiculer par le biais de son ½uvre un fabuleux et nécessaire message, une ingénieuse et somptueuse morale axée sur la déférence, l'ouverture d'esprit et la bonté dont nous devons faire preuve les uns envers les autres, que ce soient envers nos semblables hommes et ou femmes ou vis-à-vis des êtres vivants, tous autant qu'ils sont. Avec Le Renard de Morlange, le romancier nous inculque en effet une leçon mémorable de savoir-vivre et de décence. Il nous rappelle qu'il faut être apte un jour à se mettre à la place du plus petit et du plus humble et que nous sommes tous, SANS EXCEPTION, dignes de l'estime d'autrui, que tout un chacun a sa place sur cette Terre et qu'il faut savoir l'apprécier à sa juste valeur, qui qu'il soit. Cela peut paraître évident mais, pour une multitude de personnes, essentiellement des hommes soit dit en passant (je n'ai pas peur de clasher, moi, madame !), ce n'est pas encore le cas - et pour ce qui est de certains spécimens particulièrement affolants (je ne cite personne tant cela me semble gros comme une maison - et encore, ces figures de proue de la stupidité crasse et de l'ignominie sont loin d'être les seules, il y en a une pléthore de phénomènes comme ceux-là éparpillés sur la nature), cela ne leur rentrera sans aucun doute jamais dans le crâne. C'est fort malheureux, n'est-ce pas ? Et encore, le mot est faible... Pour en revenir à mon propos, je confirme qu'une petite piqûre de rappel de ce genre en ce qui concerne notre nature intrinsèquement humaine, cela fait toujours le plus grand bien !

Au fond, les seuls petits "bémols" que j'ai relevés avec ce livre, les "regrets" que j'éprouve personnellement de mon côté, concernent dans un premier temps la cruelle atténuation (je préfère utiliser ce mot-ci plutôt que celui de "manque" qui serait totalement injuste dans le cas présent) de l'identité et de la personnalité des protagonistes de cette histoire. Ou plutôt, ce qui m'a en réalité extrêmement frustrée car je ne tiens certainement pas à être mauvaise langue, c'est le fait que l'auteur n'ait fait le travail qu'à moitié au niveau de l'élaboration de leur caractère à chacun. Je m'explique : si, d'un côté, leur comportement est digne des parfaites figures stéréotypes des histoires moyenâgeuses (le seigneur sans pitié, la damoiselle en détresse, le fringuant amant et rival, le monarque magnanime mais souvent bourru), de l'autre, leur façon de penser et de se percevoir soi-même et les uns les autres est à proprement parler visionnaire, bien en avance sur leur époque. J'ai immensément goûté cette facette-là de nos personnages-types mais je regrette amèrement qu'Alain Surget ne soit pas allé plus loin, notamment en étoffant le passif de chacun et en leur donnant ainsi une réelle consistance et singularité. Très honnêtement, je trouve cela tout ce qu'il y a de plus dommage parce que Le Renard de Morlange avait in fine le potentiel pour devenir un roman-fleuve historique unique en son genre avec une histoire bien plus approfondie, épique et bouleversante. Le fait que ce véritable petit trésor en soit réduit in the end à une simple comptine pour enfants me navre sincèrement. Peut-être que je vois trop grand pour un mignon petit récit qui recèle déjà bien des qualités et qui fait parfaitement le job auprès de sa cible éditoriale principale mais au vu des connaissances de l'auteur en ce qui concerne la géographie, l'Histoire de sa région mais aussi le langage que l'on tenait en ce temps-là, il y avait moyen de faire beaucoup fort et marquant. Ce n'est là que mon humble opinion, je ne cesserai jamais de vous le rappeler. D'autre part, je déplore la quasi (je me montre extrêmement gentille en employant ce mot-là car en réalité, pour parler franchement, il n'y a qu'une maigre illustration en fin d'ouvrage pour contenter nos pupilles) absence d'illustrations pour agrémenter le récit qui auraient justement permis d'égayer ce dernier et de le rendre d'autant plus vivace, dynamique, prenant et attrayant que le trait de crayon de Philippe Mignon est absolument charmant. Il suffit de voir l'adorable, exquise couverture de cet ouvrage pour le comprendre. En clair, cette inexistence flagrante d'ambition dans le cas du Renard de Morlange m'a sans conteste déçue, je ne vous le cache pas. L'ancien Renaud de Morlange n'aurait sûrement pas approuvé cela et, pour une fois, j'aurais été bien d'accord avec lui...

Pour conclure, je dirais que Renard de Morlange est une très jolie petite histoire que je suis bien heureuse d'avoir découverte, même si, en tant que lectrice adulte, mes exigences sont clairement insatisfaites. Mais afin de tempérer mon propos car je n'apprécie pas du tout le ton précieux que je suis en train de prendre à l'heure où j'écris ces lignes, je suis persuadée que la petite fille que j'étais aurait adoré vivre une aventure aussi palpitante et périlleuse qu'est celle d'un goupil au fin fond des bois. Et ce qui est encore plus certain, c'est que j'aurais largement préféré étudier Le Renard de Morlange en cinquième plutôt que l'abrutissant et tout ce qu'il y a de plus ennuyeux Yvain ou le chevalier au lion de Chrétien de Troyes, ou l'un des titres que je peux me targuer d'avoir tout bonnement détesté en matière de lecture scolaire ! J'achèverais donc cette chronique en assertant sans trop pouvoir me tromper que la plume d'Alain Surget constitue une excellente porte d'entrée vers l'univers indéniablement extraordinaire de la lecture et ce peu importe notre âge et les horizons desquels nous provenons ! ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, service de presse, éditions Nathan, Le Renard de Morlange, Alain Surget, 2018, Littérature française, Jeunesse, 1995, Renard, malédiction, magie, sorcellerie, Lorraine, aristocratie, noblesse, hiérarchie sociale, cruauté, violence, rédemption, forêt, dangers, métamorphoses, pleine lune, réincarnation, Moyen Age, conte, fable, légende, seigneurie, comté, serviteurs, rivalité, jalousie, haine, méchanceté, oppression, extorsion, interdiction, liberté, vengeance, ruse, malice, revanche, désarroi, désespoir, pardon, apprentissage, maturité, enseignement, religion, chrétienté, orgueil, péché, Bonne lecture
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