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FICHE FILM : Le Conte de la Princesse Kaguya

FICHE FILM : Le Conte de la Princesse Kaguya
FILM D'ANIMATION | 2013 | RÉALISÉ PAR ISAO TAKAHATA | 2 H 17 | LEGENDE, CONTE, JAPON, NATURE, MIRACLE, RICHESSE INTERIEURE, DRAME, FANTASTIQUE, ARISTOCRATIE, ARGENT, ETIQUETTE, BIENSEANCE, PRETENDANTS, CHAGRIN, NATURE, ESPIEGLERIE, ENFANCE, AMOUR, FAMILLE, SENTIMENTS, HUMANITE | AVEC LES VOIX ORIGINALES DE AKI ASAKURA, KENGO KORA, TAKEO CHII, NOBUKO MIYAMOTO...

➜ Un vieux coupeur de bambou trouve une mystérieuse et reluisante plante de bambou.
En la coupant, il tombe nez à nez sur un bébé minuscule, une petite fille de la taille d'un pouce. Il l'emmène chez lui et l'élève avec sa femme. La petite est surnommée Pousse de bambou par les autres jeunes villageois. Depuis ce jour, le vieux coupeur de bambou trouve des pépites d'or et de somptueuses etoffes chaque fois qu'il coupe un bambou, et devient ainsi très riche. Celle qui fut appelée Kaguya-hime suite à sa cérémonie de passage à l'âge adulte est devenue une belle jeune femme, si bien que les rumeurs sur sa beauté sont difficiles à étouffer et se répandent.
Cinq jeunes princes viennent la voir pour la demander en mariage, mais celle-ci leur réserve des tâches ardues...

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique d'un film d'animation que je souhaitais voir depuis fort longtemps déjà, j'ai nommé l'oeuvre-testament du grand réalisateur japonais Isao Takahata, Le Conte de la Princesse Kaguya.

Je ne vous cacherai pas que, si j'ai entre autres autant tardé à voir ce film, c'est en raison de sa technique animation pour le moins... particulière qui m'avait pas mal brusquée en visionnant la bande-annonce il y a de cela bien des années déjà. Et pourtant, dès les premières minutes du long-métrage, c'est que ce qui m'a séduite d'emblée. Je sais, je suis un être étrange... Personnellement, je suis tombée amoureuse de la façon dont les images prenaient vie telles des peintures ancestrales qui se réveilleraient de leur long sommeil pour nous raconter une poignante histoire d'autrefois. Car en effet, la légende de Kaguya est considérée comme la plus ancienne au Japon. Ce serait même elle qui justifierait l'existence du Mont Fûji, ou la montagne la plus sacrée de ce pays ! Une chose est sûre, j'ai été fascinée par la façon qu'Isao Takahata a choisi pour donner corps à ce conte aussi somptueux et envoûtant que triste et désarmant. Au niveau de l'animation, de la musique traditionnelle sélectionnée, de la technique employée pour exprimer au mieux la nature profonde des personnages, leurs sentiments, et captiver l'audience, rien à redire : ce film est un pur chef d'oeuvre.

Pour ce qui est de l'intrigue et des protagonistes en soi, je me suis instantanément attachée à la figure phare de Kaguya, cette princesse de c½ur éprise de liberté, de simplicité, dont l'unique désir est de ne faire qu'un avec le monde qui l'entoure et qui possède l'immense sagesse de percevoir et d'apprécier pleinement la beauté de toute chose. Ce film nous fait indéniablement passé un magnifique et vibrant message sur la valeur immesurable de ce qui justement ne s'achète pas, à savoir l'amour incommensurable d'un père et d'une mère, la chaleur d'un sourire, d'une amitié, la tendresse et le réconfort d'un premier amour et surtout l'importance fondamentale de notre libre-arbitre. Tout au long du film, Kaguya va aller à l'encontre de ses souhaits les plus ardents par souci de rendre heureux son père adoptif qui a absolument voulu l'élever au rang presque de déesse sur Terre et toutes ces effroyables concessions vont finir par la briser, ainsi que notre c½ur au passage. Je préfère vous prévenir, ce conte n'est pas une fable à la Disney où tout se termine pour le mieux - et après tout, j'ai envie de vous dire que ce n'est justement pas cela que l'on attend d'un film Ghibli ou d'animation japonaise en général, cet happy ending à l'américaine qui finit par résolument nous bercer d'illusion à la longue. Le dénouement de Le Conte de la Princesse Kaguya vous laissera au contraire une saveur particulièrement douce-amère dans la bouche et vous vous retrouverez avec le besoin irrépressible de crier tout votre soûl sur votre écran de télévision (ou d'ordinateur/portable/tablette, vous choisissez le média que vous voulez pour pouvoir visionné ce film, tant que vous le regardez) comme si cela pouvait arranger quelque chose. Néanmoins, ce que je retiendrai de ce film, c'est la magistrale leçon de vie qu'il nous donne : soyez en harmonie avec la Nature, montrez lui à quel point le bonheur qu'elle vous procure vous importe et elle vous rendra votre amour au centuple, prenez conscience d'à quel point l'innocence immaculée de votre enfance et les liens qui vous unissent à vos proches sont précieux, ne trahissez jamais votre être intérieur. Cela semble assurément plus simple à dire qu'à faire, je vous l'accorde, mais il est cependant vital de respecter ces principes à mon sens.

Pour conclure, je dirais qu'Isao Takahata a ici clôt sa carrière sur une superbe note de douceur et de majestuosité juste inouïe. 14 ans après son dernier film en date à l'époque, à savoir Mes voisins les Yamada (que je n'ai toujours pas vu par ailleurs, je sais, je devrais avoir honte, mais Netflix va m'aider à remédier à cela, encore une fois), et au bout de 40 années de réflexion et 8 de production pour mettre en oeuvre ce projet somme toute pharaonique, je peux pour ma part affirmer que Le Conte de la Princesse Kaguya valait définitivement la peine d'abattre tout ce dur labeur. Ce long-métrage est un petit bijou d'humanité que je ne suis pas prête d'oublier de sitôt. Merci du fond du coeur M. Takahata pour l'héritage inestimable que vous laissez derrière vous. ★★★★★

Nanette ♥

« Qu'est-ce que j'ai fait de bien sur cette terre ? »
FICHE FILM : Le Conte de la Princesse Kaguya
Tags : Fiche film, Le Conte de la Princesse Kaguya, film d'animation, 2013, Japon, Isao Takahata, Légende, conte, nature, miracle, richesse intérieure, drame, fantastique, aristocratie, argent, étiquette, bienséance, prétendants, chagrin, espiéglerie, enfance, Amour ♥., Famille ♥, sentiments, humanité, Aki Asakura, Kengo Kora, Takeo Chii, Nobuko Miyamoto, Excellent film !
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#Posté le samedi 14 mars 2020 06:16

Modifié le dimanche 15 mars 2020 06:44

FICHE LECTURE : L'Écume des jours

FICHE LECTURE : L'Écume des jours

• AUTEUR : Boris Vian.
• ANNÉE : 1947 (FRANCE).
• GENRE(S) : Roman, conte moderne, contemporain, fantastique.
• THÈMES : Amour - Jazz - Musique - Fêtes - Routine - Maladie - Satire sociale - Jeux de mots - Réinvention de l'écriture - Poésie - Temps - Monde du travail - Obsessions - Addiction - Argent - Désespoir - Drame - Surréalisme - Tendresse - Amitié - Existentialisme - Extravagance - Passion - Violence - Guerre - Bonheur - Plaisir - Optimisme - Humour...
• PAGES : 320.

Un titre léger et lumineux qui annonce une histoire d'amour drôle ou grinçante, tendre ou grave, fascinante et inoubliable, composée par un écrivain de vingt-six ans. C'est un conte de l'époque du jazz et de la science-fiction, à la fois comique et poignant, heureux et tragique, féerique et déchirant. Dans cette ½uvre d'une modernité insolente, livre culte depuis plus de cinquante ans, Duke Ellington croise le dessin animé, Sartre devient une marionnette burlesque, la mort prend la forme d'un nénuphar, le cauchemar va jusqu'au bout du désespoir.
Mais seules deux choses demeurent éternelles et triomphantes : le bonheur ineffable de l'amour absolu et la musique des Noirs américains...

ஜ MON AVIS :

Ah, L'Écume des jours ! Après avoir vu une heure de film (pour la petite anecdote, je ne savais pas que c'était adapté d'un roman à la base, honte à moi), mon amie Léa, ma maman et moi sommes sorties de la salle tellement c'était catastrophique. Autant dire qu'après ce désastre, je n'avais pas la moindre envie de lire le roman. Mais bon, nous devions par la suite en faire une fiche-lecture dans le cadre du cours de français au lycée donc je n'avais pas vraiment le choix. Et puis, j'étais au fond curieuse de lire enfin un livre de Vian, qui plus est l'un des livres préférés des Français (en dixième position sur cent). C'est parti donc pour ma chronique de L'Écume des jours !

Dans ce livre, nous plongeons donc dans un monde fictif, avec des codes et des lois différents des autres, qui nous est totalement inconnu. En effet, qui a déjà vu un jeune homme qui se taille les paupières en biseaux pour donner du mystère à son regard ? Ou un cuisiner qui attrape des anguilles dans le tuyau de son évier avec de la pâte à dentifrice ? Si je devais citer tous les éléments absurdes qui parsèment ce roman, je crois bien que la liste serait longue. Très longue, même. J'ai donc cité les deux éléments ci-dessus car ils ont été pour moi les plus marquants.

J'ai trouvé les personnages très attachants, ils forment un cercle d'amis soudé que j'apprécie beaucoup. Certes, ils évoluent dans un univers à la fois radicalement différent et proche du nôtre, telle une réalité parallèle à l'aube des années cinquante tout droit sortie de l'imagination saugrenue mais enchanteresse de Boris Vian, mais on parvient cependant à s'identifier à eux et à ressentir de forts sentiments à leur égard. Aucun de nos personnages principaux ne m'a semblé antipathique, exception faite pour Chick. Au fond, il n'est pas bien méchant, mais sa passion obsessionnelle est vraiment agaçante, surtout qu'elle l'empêche véritablement d'épouser la pauvre Alise, qui est quant à elle folle d'amour pour son compagnon. Sa détresse désarmante et contagieuse m'a fendue le c½ur, elle ne méritait absolument pas ça. En effet, en lisant le titre du livre, L'Écume des jours, on s'attend à un texte léger, joyeux et frais, tant il est terriblement accrocheur. Et effectivement, tous ces adjectifs correspondent tout à fait au roman qui se lit d'une traite, de façon fluide et tout ce qu'il y a de plus addictive. Cependant, je m'attendais pas à un final aussi tragique et crève-c½ur. Cela m'a énormément attristée car, comme je l'ai affirmé plus haut, tous les personnages m'étaient sympathiques. Et puis, on ne souhaite un destin malheureux à personne, pas même à Chick ou l'incarnation de l'effet de mode à mes yeux. En effet, ne voyons-nous pas de nombreux Chick dans notre quotidien, prêts à tout pour s'acheter le moindre objet d'une marque ou associé à une personnalité sans pour autant l'apprécier et lui donner in fine une réelle utilité ? Malgré la différence entre les deux mondes, le nôtre et celui du roman, on voit néanmoins à travers les personnages des comportements et des mentalités encore présents aujourd'hui, à notre époque.

Pour vous parler encore un peu plus des protagonistes de cette bien drôle d'histoire, j'ai sincèrement beaucoup aimé Colin et Chloé. Certes, Colin est oisif, à tout du moins au début du livre, mais inventif (Le Pianocktail, c'était franchement bien trouvé-! Cet objet est extrêmement original et nous donne carrément envie de le tester !) mais il n'hésitera pas à travailler pour sa femme Chloé, même à faire pousser des fusils alors qu'il a horreur de la violence. Cela ne m'a pas choquée que Colin et Chloé se marient aussi vite dans le roman, ils s'aiment d'un si bel et sincère amour que je n'en ai été que plus heureuse pour eux. Nicolas, Isis et Alise sont très attachants également ; ils rendent très souvent visite à Chloé lorsque celle-ci est malade, lui apporte en outre des fleurs pour la soigner et aider Colin qui se ruine afin de parvenir à la sauver. De vrais bons amis sur qui l'on peut compter, en somme. Pour ce qui est de la petite souris grise, elle est vraiment adorable : elle aide notre couple à survivre dans leur appartement qui rétrécit au fur et à mesure et qui perd de sa lumière. Sa présence et son importance dans l'histoire ne m'ont pas choquée non plus, étant donné qu'on s'habitue très vite à l'univers et à la pléthore d' éléments absurdes du roman. Pour en revenir à notre extraordinaire, et ce dans tous les sens du terme, rongeur, sa destinée tout bonnement abominable a été pour moi d'une violence et d'une injustice inouïes. J'ai trouvé cela totalement injuste que cela finisse ainsi.

In fine, j'ai été agréablement surprise par ma lecture. Après le véritable cauchemar qu'avait été de mon côté l'adaptation cinématographique, je n'ai eu aucun problème à m'intégrer au monde absurde du roman, dans lequel les personnages sont nettement plus attachants et où l'atmosphère jazzy est presque féerique, magique et très heureuse. J'avais presque envie de me retrouver réellement dans le monde où vivent et évoluent les personnages pour pouvoir monter dans un nuage digne d'un chaud et accueillant cocon qui me ferait survoler la ville, pour pêcher des anguilles dans mon évier, pour goûter aux plats de Nicolas et jouer sans discontinuer du Pianocktail, pour avoir une jolie petite souris de compagnie et pour aller à la piscine-patinoire, malgré le fait que la plupart des patineurs y meurent de façon incessante et sont récupérés par les varlets-nettoyeurs. Oui, on peut dire que l'univers de L'Écume des jours m'a indubitablement enchantée. Je ne m'attendais cependant pas à ce qu'une telle tristesse et cruauté émanent de la seconde partie du roman, ni non plus à une telle fin. Aussi, le portrait que Vian nous dresse de l'église m'a particulièrement déplu : selon lui, du moins dans ce récit, les membres du clergé sont des individus avides d'argent qui savent se montrer à la hauteur de leur fonction si leurs bourses sont pleines et qui se montrent tout bonnement exécrables et impitoyables si vous n'avez pas de quoi payer. Cette manie de retourner sa veste et de faire montre d'une si évidente hypocrisie m'a énormément choquée. Certes, je sais qu'une Église comme cela a réellement existé (et existe encore au niveau de certaines strates par ailleurs...), mais c'est juste horrible d'y repenser. Ce que je reproche en réalité surtout à Boris Vian, c'est le fait d'avoir décidé à un moment donné de tourner en dérision Jésus. Toucher à un tel symbole de chrétienté, là, je ne suis plus d'accord ! Après, cela dépend des croyances religieuses, et je peux comprendre ce choix ... Et puis, il n'empêche que cela ne change pas mon avis sur le roman, qui est très positif.

En conclusion, je dirais que L'Écume des jours est un roman dont l'absurde est résolument charmant et merveilleux. Un vrai petit bijou d'originalité et de modernité en somme. La fin est cruelle et surprenante (doux euphémisme que voilà), mais elle est tout à fait compréhensible et cohérente par rapport au déroulé de l'intrigue. Qui plus est, la réalité ne regorge-t-elle pas d'événements odieux et tout bonnement insoutenables qui rythment notre actualité ? Vous avez quatre heures. Sinon, un petit conseil d'amie en particulier : ne regardez pas le film, il n'est absolument pas digne de l'½uvre et de la magie qui s'en dégage ! Ou, du moins, si vous êtes curieux, alors faites-le, mais après avoir lu le livre dans ce cas, sinon vous n'aurez pas la moindre envie de le lire et ce serait fort dommage car il en vaut absolument le détour ! COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, L'Ecume des jours, Le livre de Poche, Boris Vian, 1947, Littérature française, Roman, conte moderne, Contemporain, fantastique, Amour ♥., jazz, musique, fêtes, routine, maladie, satire sociale, jeux de mots, réinvention de l'écriture, poésie, temps, monde du travail, obsessions, addiction, argent, désespoir, drame, surréalisme, tendresse, amitié, existentialisme, extravagance, passion, violence, guerre, bonheur, plaisir, optimisme, humour, coup de coeur ♥
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#Posté le dimanche 18 août 2019 04:54

Modifié le dimanche 18 août 2019 07:57

FICHE LECTURE : Six of Crows (T1)

FICHE LECTURE : Six of Crows (T1)

• TITRE VO : Six of Crows.
• AUTRICE : Leigh Bardugo.
• ANNÉE : 2015 (USA) ; 2016 (FRANCE).
• GENRE (S) : Fantasy, YA.
• THÈMES : Aventure, magie, gangs, adolescents, violence, vols, vengeance, deuil, traumatisme, ranc½ur, brutalité, noirceur, mission, effraction, argent, cupidité, criminels, secrets, complot, revanche, amertume, drogue, esclavage, guerre, conflits, tensions, danger, menace, fidélité, amitié, croyances, action, doutes, amour...
• PAGES : 564.

SIX HORS-LA-LOI, UNE QUÊTE IMPOSSIBLE.

Les bas-fonds de Ketterdam s'organisent en gangs rivaux. KAZ BREKKER est l'homme le plus ambitieux et le plus jeune de la pègre. Aussi brillant que mystérieux, aussi charismatique que dangereux, et, surtout, connu pour être un voleur hors pair.
Dit « Dirtyhands » et prêt à tout pour de l'argent, il accepte la mission du riche marchand Van Eck : délivrer un savant du palais de Glace, réputé imprenable. Ce prisonnier est l'inventeur du jurda parem, une drogue multipliant sans limites les pouvoirs surnaturels de la caste des magiciens : les Grishas. Une drogue qui, tombée dans les mauvaises mains, risque d'engranger un chaos irréversible...
Il devient alors le chef des « Six of Crows », une équipe de malfrats aux talents exceptionnels : INEJ, espionne défiant les lois de la gravité ; MATTHIAS, soldat assoiffé de vengeance ; NINA, Grisha aux puissants pouvoirs magiques ; WYLAN, fugueur des beaux quartiers, expert en démolition, et enfin JESPER, tireur d'élite accro au jeu.

Ensemble, ils peuvent sauver leur monde de la destruction... s'ils ne s'entretuent pas avant !

« Six of Crows réunit tous les ingrédients propres à captiver le lecteur : un leader génial avec un plan pour chaque situation, une équipe de marginaux irrésistibles, une intrigue aux multiples rebondissements, et un suspense éprouvant pour les nerfs. »

PUBLISHERS WEEKLY

« Si vous n'y prenez garde, ce livre va vous rendre dangereusement addict. »

NEW YORK TIMES

LEIGH BARDUGO est l'auteure de la trilogie Grisha. Née à Jérusalem, elle a grandi à Los Angeles. Diplômée de la prestigieuse université de Yale, Leigh a travaillé dans la publicité, le journalisme et, plus récemment, en tant que maquilleuse dans les effets spéciaux. Elle vit et écrit actuellement à Hollywood, où il est possible de l'entendre chanter avec son groupe.

ஜ MON AVIS : No mourning, no funerals.

Ça y est, my god, j'ai ENFIN lu Six of Crows !!!! Certes, ce roman n'est sorti qu'il n'y a deux ans "seulement" chez nous mais, depuis le temps que je bavais dessus, cette période de temps a été déjà beaucoup trop longue à mon goût ! Avec tous les avis élogieux que je pouvais en lire et en entendre, je n'en pouvais plus à l'idée d'avoir enfin un jour ce livre entre mes serres de corbeau noir de jais pour pouvoir in fine le dévorer à mon aise. Et ce jour est arrivé, alléluia ! Alors, est-ce que moi aussi j'ai été conquise par le monde fantastique, plein de magie et de dangers à chaque coin de page de Leigh Bardugo ? La réponse est oui, indubitablement oui. Mille fois oui, autant de oui que vous voulez. Juste : oui.

Cette histoire, c'est celle de six jeunes, tous menés à la baguette par l'appât du gain et l'appel si séduisant de la liberté, pleine et entière, une liberté loin de leur gang et de leur quartier miteux et craignos du Barrel. Croyez-moi, vous n'auriez pas envie d'y rester une seconde de plus que nécessaire. Bon, avec mes six bébés d'amour aux armes bien aiguisées et bichonnées, cela reste vivable, mais enfin, si on peut y échapper, on part en courant et on ne demande pas son reste dans un bled comme celui-là.

Cette liberté que j'ai mentionnée leur permettrait d'assouvir enfin leur soif de vengeance, leurs aspirations ou leur désir ardent de retrouver leur patrie chérie. C'est donc ainsi que ces criminels hors-pairs pour leur jeune âge et bluffants dans leur "art" respectif, à savoir le vol, les explosions, le maniement des pistolets, l'acrobatie et l'art de manier les dagues, et la capacité de contrôler une magie hyper-puissante et super-stylée avec ses mains aussi, se retrouvent sous la houlette du plus jeune boss de tout le Barrel, Kaz Brekker. Un garçon boiteux mais impitoyable, qui répond également au doux surnom de Dirtyhands.

Car oui, pour de l'argent, Kaz est prêt à se salir les mains et à faire la sale besogne lui même, peu importe la nature de la mission, le degré de risque, ou la personne visée. Un chef de gang redoutable et qui fait purement froid dans le dos en somme. Et cette fois-là, pour ce qui est au c½ur de l'intrigue, il ne s'agit pas d'une simple petite broutille entre gangs. Même si Leigh Bardugo nous fait une jolie petite entrée en matière en nous montrant ce dont Kaz est au minimum capable au sein de son milieu naturel pour se faire respecter et faire comprendre qu'on a pas intérêt à le contrer. Le message est passé de mon côté, c'est parfaitement clair.

Non, non, non, l'enjeu est bien plus important : entrer par effraction dans un palais royal le jour de l'ascension des soldats de l'armée nationale du pays en question, afin de délivrer un prisonnier politique dont l'invention pourrait ravager les relations entre les pays, voire même carrément le monde entier de nos chers personnages. Rien que ça. Eh bien, sachez que malgré toutes les menaces qui planent sur nos six anti-héros, malgré le nombre de fois où mon c½ur a manqué un battement et où j'ai maudit cette petite troupe de m'avoir embarquée avec eux dans cette mission-suicide qui n'a décidément pas été bonne pour mon rythme cardiaque, je m'en suis sortie. Et j'ai même pris mon pied, tout en manquant d'y laisser ma peau avec eux. Bande de cinglés, va. Mais c'est pour ça que je les aime du plus profond de mon petit c½ur.

Cette aventure dans laquelle vous acceptez, sans savoir où cela diantre va pouvoir vous mener, de vous jeter la tête la première dans la gueule du loup est, dès que vous ouvrez ce magnifique ouvrage (c½ur sur la couverture qui envoie grave du pâté ♥), pour le moins mouvementée. Et aussi diablement périlleuse, semée d'embûches en tout genres, ponctuée d'explosions programmées par des gangs rivaux (mais ils ne sont pas à la hauteur des Dregs, bien sûr. I'm a crow forever ♥), de sabotage. Bref, en tant que lecteur, vous avez le droit à la totale de toute l'adrénaline possible quand on est dans la peau d'un jeune membre de gang, avec toute la violence et le degré de sûreté qui avoisine le 0 pointé dans l'environnement qui vous entoure. De quoi nous donner le grand frisson pour nous sortir de notre monotonie de pauvre humain qui n'a aucun pouvoir Grisha, ni ne maîtrise des techniques d'arts martiaux ou de gangster totalement badass.

On se demande bien comment Kaz réussit à élaborer un plan savamment orchestré et appliqué à la règle, dans ce monde de fous qui respire la sérénité (quelle ironie, dites donc !) et la tolérance les uns envers les autres (*raclement de gorge franchement forcé*). Néanmoins, malgré le fait que mon voyou chéri a toujours un petit sort du diable dans sa caboche, son opération qui vaut un million (ou plutôt trente millions à se partager en six donc. Et nous alors ? On morfle aussi, que je sache. J'exige ma part !!) subira quelques imprévus (c'est la vie, c'est comme ça) qui vont par moments vous déclencher le fou rire imparable au vu de l'écriture décapante, mordante et absolument géniale de Leigh Bardugo. Qui, bien sûr, fait naître de sa plume certaines situations pour le moins cocasses, sans pour autant ne pas être empreintes d'un réalisme désarmant. Cette plume magique à la façon surnaturelle des Grishas a aussi la capacité de vous donner la forte envie de pleurer et d'appeler votre maman à la rescousse.

Et on nous laisse tout de même le temps malgré ce rythme de récit effréné (comme celui des phrases que vous êtes en train de lire depuis le début par ailleurs. C'est tout moi ça, mais je fais des efforts.) de faire connaissance avec nos six compagnons de route à l'esprit un peu tordu quand il s'agit de la manière de tuer des ennemis ou de faire les poches au premier ingénu venu, et ceux-ci sont la VRAIE bombe atomique de cette intrigue à l'action noire comme le corbeau et sacrément addictive à la manière du jurda parem, la petite dro-drogue qui nous a foutu dans tout ce merdier, hein. Ou une équivalence du crystal meth et autres saloperies (je ne surveille pas mon langage aujourd'hui, moi) des Moldus de notre monde gris (référence à V.E. Schwab, une autre auteure dont j'ai très envie de découvrir les ouvrages ♥) en somme. Quelle tristesse, mais ce réalisme saisissant et particulièrement marquant dans une oeuvre de fiction fantasy mérite d'être souligné, et cela se révèle également en chacun de mes six hors-la-loi d'amour.

Vous l'aurez compris, je suis une grosse sado-maso avec mon Kazounet, un jeune homme qui sait bien tromper son monde et qui s'est bâti une véritable légende, alors qu'à l'intérieur de ce corps jeune mais déjà meurtri par la vie et aux mains de corbeau recouvertes de cicatrices, symboles de combat, de souffrance et d'acharnement, se cache un petit garçon qui n'a pas totalement réussi à faire le deuil de l'être qu'il aimait le plus au monde et dont l'innocence et les yeux pétillants face à son rêve grandiose de devenir magicien ont perdu tout leur éclat. Ce personnage dont l'arrogance et les coups bas peuvent irriter certains m'a profondément touché et a forcé tout mon respect. Don't mess with Kaz Brekker, guys, 'cause he's the true boss of the town ! Je vous aurais prévenus. Et puis, je ne peux pas résister à ce petit rictus sexy en diable que Kaz fait dès qu'il a une longueur d'avance sur ses adversaires. Au fond, il est un magicien de la tromperie et des stratagèmes machiavéliquement ingénieux. Et il s'en sort toujours bien, le bougre ! C'est le meilleur dans son domaine, je ne peux que le répéter, il est AGAHAAAAAAGA ! ♥ Quand je me transforme en guenon pour baver devant mes amoureux de harem imaginaire, c'est toujours mauvais signe...

Je me rends compte que, depuis le début de cette chronique sans dessus-dessous (c'est l'effet renversant que m'a fait ce premier tome en même temps), il n'y en a que pour Kaz par-ci, Kaz par-là. Je vous vante les prouesses bien sombres de mon petit namoureux, mais sans Inej, il n'y aurait plus de Kaz qui tienne depuis longtemps ! Au sein de la fabuleuse Six of Crows team, il n'y a peut-être que deux femmes,-mais QUELLES FEMMES ! Girl power guys, respect ! Elles sont deux amies parfaitement assorties l'une à l'autre, elles s'écoutent et se complètent avec brio. C½ur sur mes girls ♥

Inej, c'est le Spectre de la bande. Elle a beau se faufiler et grimper partout, elle est insaisissable et elle ne fait pas un seul bruit. Angoissante et mystérieuse de prime abord, Inej se révèle être une femme forte, une amie fidèle et dévouée, une personne impressionnante, aux croyances louables et profondément belles. Inej est la seule "croyante" du groupe, la seule qui prie les dieux de sa contrée et qui a foi en un ailleurs, un monde au-delà des apparences. Elle a également vécu un passé très douloureux, entre séparation brutale avec sa tendre famille, kidnapping et prostitution forcée à l'horrible lieu qu'est la Ménagerie de l'ignoble tante Heleen. Malgré la carapace qu'Inej s'est forgée, elle n'a jamais cessé d'espérer et elle a su rester une personne faisant preuve de sentiments, d'empathie, même si elle a souvent honte du fantôme qu'elle est devenue pour survivre. Mais, comme le dirait un autre de mes bébés d'amour, j'ai nommé Bellamy Blake dans The 100, la personne que l'on est et celle que l'on devient pour survivre sont deux choses très différentes. Je souhaite de tout c½ur à Inej de réussir dans sa quête de retrouver sa famille, même si la partie n'est pas gagnée. Cette fille est tout bonnement remarquable, elle ne se laisse pas faire et elle va donner de sacrées leçons à Kaz, qui en mérite bien parfois (mais seulement parfois hein). Ses silences sont particulièrement lourds de significations. Inej, c'est le calme après la tempête, la tranquillité paisible, mais gare à ses dagues baptisés du nom de ses Saints. Faut pas la chercher, ma cocotte, et faut pas essayer, car vous ne gagnerez pas face à une fille aussi phénoménale.

Avant de parler de l'autre femme extraordinaire de cette histoire, Nina ma petite chouchoute, juste quelques mots concernant la relation Kaz et Inej : PER-FEC-TION. En fait, cela va se passer de mots, je crois. Bon, dans ce premier tome, vous n'en aurez pas encore pour votre argent, mais cela va dans le bon sens, leur relation prend le temps de se développer, et leur lien extrêmement puissant se décèle même dans les moments de dialogue les plus simples, même dans de brefs gestes amorcés l'un vers l'autre.-Il s'agit de particules, d'électrons libres qui imprègnent constamment l'air. Ça coupe le souffle et c'est l'évidence même. J'ai hâte de voir ce que cette magnifique relation va donner dans le tome deux, ça va être sensass' !

Bon maintenant, ma Nina chérie, ma petite poupée voluptueuse qui ne s'en laisse pas conter. Déjà Nina, c'est une Grisha, et une morfale, donc ça nique le game. « Quand j'ai pas envie de manger, c'est qu'il y a vraiment un problème. », c'est tout moi ça. Aussi, ses pouvoirs sont très flippants mais, en même temps, goddamn que j'aimerais avoir les mêmes ! Mais surtout, surtout, dans ce récit, Nina est la voix de la raison et de la tolérance. Son peuple est réduit au rang d'esclaves car les gens, même les plus puissants, riches et influents, ont peur d'une invasion de Grishas et de ce que ces derniers seraient capables de faire pour conquérir les autres pays. Ou alors, dans le pays d'inspiration nordique où les Six of Crows pénètrent illégalement, Fjerdan, les Grishas sont exterminés à la suite de procès soit-disant "justes" et "équitables" juste parce-qu'ils ont le malheur d'être eux-même, soit des êtres humains capables de magie. Ce rappel effarant au phénomène de scapegoating et de chasse à la sorcière qui dure depuis que le monde est monde, à cause de la satanée paranoïa de notre espèce humaine face à tout ce qui est différent de notre façon d'être et d'exister est rondement bien mené par Leigh Bardugo et ne nous fait pas de mal. Ma petite Nina d'amour ne cesse de lutter de tout son être et de toute son âme contre cette injustice criante et inhumaine, contre ces massacres et cette réduction à l'impuissance d'innocents qui n'en finissent pas. Elle va former un duo des plus singuliers avec Matthias, un drüskelle déchu et rejoignant les Six, un soldat qui avait pour mission d'abattre et d'éradiquer les Grishas sans aucune mesure. Si ce dernier m'a donné envie de sortir de mes gonds et de le rouer de coups toute la première partie du roman, il m'a réservée une très agréable et poignante surprise, l'un des moments les plus marquants de ce tome un pour moi, indélébile. Mais je ne souhaite pas vous gâcher cet instant de grâce, alors je vous encourage très fortement à vous procurer Six of Crows et à lire cette pépite de fantasy YA.

Je termine avec un duo bromance absolument trop chou cette fois, les deux petits derniers mais pas des moindres : Wellan et Jesper. Wellan est mon choupinounours de la bande. Du haut de ses seize ans, il a de la ressource le petiot, et il m'a surtout donné envie de le câliner jusqu'à l'en étouffer tant il est adorable dans son complexe d'infériorité face aux cinq "grands" et tant j'avais envie de l'encourager et de le féliciter. Oui, pour des explosions massives, et alors ? Surtout, même si Wellan a connu une réalité plus privilégiée que les autres en provenant des beaux quartiers, sa relation désastreuse avec son père m'a brisé le c½ur en mille morceaux et m'a rappelé une fois de plus qu'il ne faut jamais cesser d'être fier de soi-même, et ce même quand nos propres proches veulent nous rabaisser plus bas que terre et nous faire sentir comme des moins-que-riens. Wellan est un écorché de la vie, comme les autres, mais il ne baisse jamais les bras. Il a tout mon respect et mon amour pour lui, mon tout petit ♥ Quant à Jesper, il m'a beaucoup fait rire avec sa passion pour le jeu et ses pistolets bien-aimés, et il est avant tout un ami formidable et toujours présent. Je n'ai pas grand chose à rajouter sur lui, si ce n'est qu'il fait partie de cette seconde famille que je possède grâce à ce livre, tout autant que les cinq autres. Dans tous les cas, eux forment indubitablement une famille de c½ur superbe, malgré tout ce que la vie leur a réservé de moche en matière de souffrances lourdes à supporter seul.

Brefouille, je vais m'en arrêter là pour cette chronique. Si vous auriez une seule chose à retenir de tout ce mic-mac, ce serait la suivante : COMMENCEZ.CETTE.DUOLOGIE. Y'a que deux tomes, donc pas d'excuses. Bon,-y'a aussi la Trilogie Grisha qui se passe dans un temps fort, fort lointain, bien avant la période de l'intrigue de SoC, mais quand c'est aussi bon et bien écrit, on en redemande. Moi, en tout cas, j'en redemande, surtout après la fin extrêmement frustrante et cruelle sur laquelle Leigh Bardugo nous laisse dans ce tome un. Je proteste. Il me faut le tome deux immédiatement, c'est une urgence. Alors, vous laisserez-vous envahir par la fièvre du corbeau ? On n'a pas envie d'en guérir, croyez-moi. COUP DE C¼UR MORTEL ET FOUDROYANT ♥

Six hors-la-loi aux compétences d'exception. Une quête. Pas le droit d'échouer. Sinon, on en perdrait notre prime. (révise tes priorités Kaz)

« Kaz se radossa.
- Quel est le moyen le plus facile de voler son portefeuille à un homme ?
- Un couteau sous la gorge ? répondit Inej.
- Un pistolet dans le dos ? proposa Jesper.
- Du poison dans son verre ? suggéra Nina.
- Vous êtes monstrueux, s'indigna Matthias.
Kaz leva les yeux au ciel. »
Tags : Fiche lecture, Six of Crows, Leigh Bardugo, éditions Milan, 2016, Fantasy, YA, Aventure, magie, gangs, adolescents, violence, vols, vengeance, deuil, traumatisme, ranc½ur, brutalité, noirceur, mission, effraction, argent, cupidité, criminels, secrets, complot, revanche, amertume, drogue, esclavage, guerre, conflits, tensions, danger, menace, fidélité, amitié, croyances, action, doutes, amour, coup de coeur ♥
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#Posté le dimanche 31 décembre 2017 18:28

Modifié le samedi 01 décembre 2018 16:21

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