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FICHE LECTURE : Les Mille Visages de notre histoire

FICHE LECTURE : Les Mille Visages de notre histoire

• TITRE VO : Holding Up the Universe.
• AUTRICE : Jennifer Niven.
• ANNÉE : 2016 (USA) ; 2018 (FRANCE).
• GENRE (S) : Contemporain, YA.
• THÈMES : Adolescence, obésité, prosopagnosie, reconnaissance des visages, apparences, s'accepter, amour de soi, s'ouvrir aux autres, lycée, expérience, traumatisme, passé, deuil, secrets, amitié, famille, amour, pardon, élever sa voix, passion, confiance en soi, valeurs, tolérance, différence, être là pour l'autre, sincérité, bravoure...
• PAGES : 464.

A partir de 13 ans - 17,00¤.

Vivant, chaleureux, un roman bouleversant sur l'adolescence,
le pouvoir des rencontres et le courage de s'accepter tel que l'on est.


Tout le monde croit connaître Libby Groby, mais personne n'a jamais cherché à savoir, au delà de son obésité, qui elle est vraiment. Depuis la mort de sa mère, Libby s'est cachée chez elle, mais elle se sent aujourd'hui prête pour le lycée. Elle veut être celle pour qui tout est possible. Tout le monde croit connaître Jack Masselin, sexy, distant, trop cool pour le lycée. Mais la trop belle confiance de Jack cache un secret.
Il doit être charmant, drôle, mais proche de personne. Puis Jack rencontre Libby. Et leurs mondes changent. Parfois, il suffit d'une rencontre pour que l'univers entier devienne plus net.

Jennifer Niven est à la fois un écrivain mondialement connu, une scénariste et une blogueuse littéraire avec Germ Magazine. Elle tient également son propre site internet, jenniferniven.com. Elle vit désormais à Los Angeles avec ses trois chats littéraires et son fiancé.

Pour agrémenter votre lecture : ♫ et ♫.

ஜ MON AVIS : On me veut. On a besoin de moi. On m'aime.

Tout d'abord, merci infiniment aux éditions Gallimard Jeunesse pour cet envoi qui m'a fait sortir le c½ur de ma poitrine car, depuis mon SP de Tous nos jours parfaits il y a trois ans (pourtant, j'ai l'impression que c'était hier...), une très belle histoire d'amour livresque est née entre Jennifer Niven et moi. En un roman, cette auteure avait réussi l'exploit de me faire tomber amoureuse de ses deux personnages principaux, les inoubliables Finch et Violet, et de m'éblouir d'un maximum d'éclat ultraviolet le plus beau et pétillant qui soit. All the bright places, pour son petit nom en V.O., était devenu mon nouveau soleil littéraire en matière de Young Adult, mon nouvel horizon et une maison aussi réconfortante et inspirante qu'elle a été aussi capable de me briser le coeur en mille morceaux. Marco... Polo. A jamais gravé dans ma mémoire. Mais bref, assez parlé de ce petit chef d'oeuvre, si vous voulez en savoir plus, ma chronique dithyrambique à son sujet est toujours ici, et elle ne bougera pas, elle vous attendra bien patiemment. Mais, au vu de mon amour débordant pour le premier roman que j'avais découvert de cette autrice en tout point formidable, vous pouvez aisément comprendre mon excitation insoutenable pour cette parution qui s'annonçait et qui était imminente. Le bébé est désormais à la maison et, tout comme Tous nos jours parfaits autrefois (j'ai prêté mon chéri d'amour afin de le faire irradier au plus grand nombre, mais on me l'a enlevé, je suis toujours inconsolable), je suis extrêmement fière comme une maman poule de le faire trôner fièrement dans ma bibliothèque. Ce petit frère bien aimé est une petite perle d'exception lui aussi, et à sa manière, et il revendique sa différence avec force et honneur, la tête haute et le bleu éclatant de pureté (regardez-moi ces bubulles sur la couverture !). Mes livres chéris, mes enfants... Que ferais-je sans eux pour me guider et me redonner du courage dans ce monde bien moche et bien sombre, je vous le demande...

Le premier conseil que je peux vous donner avant d'aborder la lecture de ce livre radieux et sublimement extraordinaire, c'est de ne surtout, mais alors surtout pas, essayer de le comparer à son prédécesseur. Celui-ci ne perdra jamais sa place dans votre c½ur, n'ayez crainte d'une éventuelle concurrence alors ne la cherchez pas pas partout sous prétexte de vouloir trouver la petite bête. Il n'y a rien à reprocher à ce petit ange blanc qu'est Les mille visages de notre histoire, il vous suffit juste de le savourer et de le chérir de toutes vos forces et il vous le rendra bien. Je sais que cela est difficile, après avoir lu une pépite rayonnante et dévastatrice tel un ouragan d'émotions et de justesse foudroyante comme Tous nos jours parfaits, de pouvoir passer à autre chose et de ne pas l'avoir sans cesse en tête en attaquant un nouveau livre de la même auteure. Mais, si Jennifer Niven, l'incroyable, la fabuleuse Jennifer, m'a bien appris une chose, c'est que notre c½ur est bien assez gros comme ça pour avoir assez de place pour deux amoureux littéraires. On n'a jamais assez de place dans notre c½ur aimant et aventureux pour de bons livres, et de bonnes personnes, croyez-moi. Il suffit d'ouvrir grand les bras, littéralement et métaphoriquement parlant, et Jen fera le reste avec sa plume de fée qui sait nous susurrer à l'oreille des mots qui font le bruit des timbales les plus agréables et les plus puissantes du monde à la fois. Des mots qui nous marquent, qui nous font chavirer, qui nous rappellent, et à raison, à quel point nous sommes, en tant qu'individus, importants, beaux et nécessaires à ce joli petit monde pour qu'il tourne rond, qu'il avance et qu'il se renforce, pour qu'il devienne meilleur et plus lumineux. Si je devrais conseiller un auteur à des ados récalcitrants à l'action de lire, ce serait la production littéraire de cette femme, formidable et spectaculaire, qui puise dans son vécu de la meilleure des façons, comme on le ferait en pressant des citrons acides et repoussants pour en faire une rafraîchissante limonade. Lire un de ses livres, cela rend tout de suite la vie plus ensoleillée et riche en opportunités de se prouver à soi même qu'on est capable de profiter de chaque instant, de montrer qu'on a de la valeur et qu'on compte, et aussi de se monter à soi même qu'on s'aime, qu'on a la capacité de voir au-delà du miroir cruel et moqueur et qu'on est capable de voir la beauté intérieure et les qualités de tout un chacun, à commencer par nous.

Libby Groby est un exemple flagrant de ces actions bénéfiques sur soi même. Comme beaucoup d'auteurs figures de proue de la littérature pour adolescents/YA et collègues de Jennifer Niven, tels que Nicola Yoon (Everything, Everything ; The Sun is also a Star) ou encore Jay Asher (Treize Raisons ; What Light) pour ne citer qu'eux, je suis moi aussi tombée sous le charme ravageur de Libby Groby, une héroïne hors normes, et je ne parle pas de son poids. Libby est une jeune fille singulière et étonnante, totalement irrésistible, et ce pour plus de raisons que je ne pourrais en compter sur les dix doigts de la main. Et puis, le beau et attachant Jack Masselin saura vous expliquer pourquoi Libby a un tel effet sur son entourage. Vous voilà obligés à lire le livre maintenant, niark niark niark. Non pas que cela soit une corvée, bien au contraire. Ce livre est un petit nuage qui saura vous soulever au plus haut et faire battre la chamade à votre petit c½ur éprouvé et fondant. Mais, pour en revenir à ma Libby d'amour, si je l'admire et l'aime autant, c'est parce que, déjà, les fantasmes amoureux qui se déroulent dans sa petite tête bourdonnante de pensées qui partent loooooin dans leur délire sont absolument tordants. Ça grouille là-dedans, ça bouillonne, ça rêve de changement, de vie nouvelle, d'existence exaltante et fascinante à tous les niveaux (et notamment celui du pieux, humhum - les adolescents et leurs hormones, que voulez-vous...), ça fulmine de rage et d'envie de dire clairement les choses, d'oser, de scandaliser, de se défendre et de clouer le bec aux lèvres glosées, pulpeuses et vomissant les pires limaces de haine et de mépris des poupées Barbie à la Caroline Lushamp. Et ma Libby adorée va réaliser tout ça. Elle va assumer l'intégralité de son corps, l'exhiber, l'aimer, le faire danser car elle a ça dans le sang et elle ne va pas s'arrêter juste parce que des personnes répugnantes détestent voir se mouver des poignées d'amour et des personnes aveuglantes d'être elles mêmes et de dire les choses franchement, sans avoir honte et sans se rabaisser, se libérer, elle va se battre et montrer qu'elle en a dans le ventre (façon de parler), que son poing est d'acier, et que son gigantisme est loin de se limiter à son aspect physique. Libby est épatante, surprenante et à couper le souffle sur de nombreux points, et ce n'est pas Jack qui vous dira le contraire. Elle a un humour ravageur, une grandeur d'esprit impressionnante et elle est complètement bouleversante. Certes, elle ne se leurre pas sur le monde, décevant, qui l'entoure, mais, après les événements traumatisants qu'elle a vécus, elle a fait énormément d'efforts pour améliorer son quotidien, pour montrer à son père sa gratitude envers lui, envers tout ce qu'il a fait et encaisser pour elle, en tant que super-papa, et elle n'a pas l'intention de voir tous ses efforts être ruinés par des crétins de la pire engeance. Elle se bat quotidiennement pour obtenir une vie meilleure que son ancienne étiquette d' "obèse à la morbidité extrême" aurait pu lui offrir, et elle ne lâche pas le morceau. Libby est un sacré modèle, et elle aurait de bonnes leçons à vous donner, si vous lui en laissiez l'opportunité. Deuxième appel urgent à lire ce roman, mais en même temps, cette chronique tout entière vous hurle de le faire ! Bien sûr, notre chère héroïne aura ses moments de faiblesse, ses doutes et ses craintes, ses moments de désespoir et de désarroi, car, au-delà de son odeur d'encre fraîche, elle est faite de tissu d'émotions profondément humaines (autre force indubitable de l'écriture de Jennifer Niven - donner vie à ses personnages sous tous leurs pores), et vous saurez certainement vous retrouver dans son vécu ou dans celui de l'un des divers personnages de ce roman, il est très facile de s'identifier à l'un d'eux ou de reconnaître les traits de l'un de vos proches à travers ces personnages, leur quotidien et leurs épreuves. Jennifer Niven sait nous parler, aller droit vers notre c½ur sans frapper, tel l'appel envoûtant de la sirène aux marins, avec ici une promesse non de mort, mais de vie.

Bon, c'est pas tout ça, mais je me rends compte que mon petit Jackounet a aussi besoin de son moment de gloire dans cette chronique, dis donc ! Jack Masselin, je te déclare mon amour éternel et je te considère désormais officiellement comme l'un de mes book boyfriends de mon harem privilégié. Je suis un c½ur d'artichaut incorrigible, cependant, je ne me laisse pas attraper si facilement, même pas des filets très alléchants comme ceux de Jack. Or, justement, ce garçon n'a pas de filets, il est désarmant et profondément sincère, malgré la réalité qu'il vit et qui, elle, est maquillée comme un pot de peinture, son c½ur, lui, est blessé, confus face à des centaines de visages, mais, de c½ur à c½ur, le dialogue que nous avons eu au cours de cette lecture a été magnifique. Préparez-vous à ce que Jack soit LA véritable surprise de ce roman, qui en a des tas en réserve pour vous. Après tout, il a appris du meilleur, son grand frère adulé Tous nos jours parfaits. Difficile de se remettre des surprises qu'il nous fait tout du long de son intrigue d'ailleurs, moi, je n'y suis toujours pas arrivé... Mais ne croyez pas que Les Mille Visages de notre histoire va rester tranquillement dans l'ombre, béat et admiratif, non non non. Lui aussi, il sort du lot, lui aussi, il brille à son maximum d'éclat, le bleu cette fois, et, lui aussi, il nous ébranle avec la force d'un tremblement de terre, il nous secoue comme un prunier et il nous quitte, après avoir refermé le livre, en ayant dessiné un immense sourire sur nos lèvres tremblantes. Pour Tous nos jours parfaits, elles étaient tremblantes d'allégresse teintée d'une tristesse qui ne nous quitte pas. Ici, celle du deuil de Libby, de la mort de cette mère tant aimée d'un claquement de doigts qui détruit une existence, celle d'une enfant innocente et absolument pas préparée à ce cataclysme, du jour au lendemain, celle de Jack et de son anomalie cérébrale, qui nous laisse les bras ballants, les boyaux tordus d'angoisse et de chagrin, celle de l'incompréhension et de la peur qui envahit notre esprit, celle que rien ne va guérir ni s'arranger. Cependant, on fait avec, dit Jennifer Niven, on avance pas à pas, en tâtonnant, on accepte de partager notre fardeau avec d'autres personnes, car on ne mérite pas de porter toute cette souffrance sur nos seules frêles épaules. On vit, tout simplement. Je ne veux pas vous en dire plus sur ce qui gâche l'existence de Jack à chaque instant car vous méritez d'ouvrir ce cadeau empoisonné vous aussi. Je vous rassure, empoisonné, il ne le restera pas bien longtemps, car vous allez prendre Jack par la main, l'accompagner, l'encourager, le réconforter car il est loin d'être le connard qu'il pense être, et vous allez tomber amoureux, d'un coup, de lui, de Libby, de l'unique Jayvee et de ses références à Atticus Finch (les Finch, encore et toujours ♥), du disco (bouge ton corps, bébé !), des bikinis violets, des pizzas de chez Clara, de Nous avons toujours vécu au château (je meurs d'envie de lire ce bouquin maintenant !) et de sa cinglée de Merricat, de l'afro indomptable de Jack (je rêve de lui fourrager les mains dans les cheveux sans cesse), même de la perfection charmante et évidente de Bailey Bishop et de son shampoing. Et même de la petite poupée qui manque de confiance en elle et qui se cache tout au fond de l'affreuse Caroline Amelia Lushamp. Même de ça. Vous serez avec eux tous jusqu'à la fin du chemin et même après.

Sur ce, que puis-je vous dire de plus ? Juste de vous laisser prendre au piège des yeux d'ambre et de l'odeur de soleil de l'énorme Libby (et je ne parle toujours pas de son poids, du moins pas le poids physique), par le demi-sourire en coin qui cache bien du courage et des cicatrices que vous fera Jack, par l'histoire extraordinaire qui va naître entre eux et qui existe depuis bien plus longtemps qu'ils ne le pensent. Je remercie encore mille fois les éditions Gallimard Jeunesse de m'avoir fait parvenir ce livre aux mille visages, que j'ai pris un immense et intense plaisir à dévorer dès réception au cours de mon week-end douillet sous au moins trois plaids et entourée de mes peluches adorées. Ce roman lui aussi est digne d'un livre-doudou, auprès duquel se rouler en boule comme un chaton dès que l'envie nous prend. Il suffit d'allumer la lumière pour les ténèbres s'évanouissent. Et un grand merci à Jennifer Niven de faire polir et briller à chaque fois sa gemme d'écriture à son maximum d'éclat à chaque nouveau roman. Enfin, je voulais terminer cette chronique sur une mention que je ne fais d'habitude jamais, et j'ai honte rien que d'y penser : un merci chaleureux et absolument démentiel à la traductrice de ce livre, Vanessa Rubio-Barreau, qui va permettre à un grand nombre de lecteurs français non anglophone, soit la plupart du lectorat visé, de découvrir cette pépite d'or et de se l'acquérir. Cet acte de traduction et de restitution de l'esprit de l'écrit de l'auteure dans notre belle langue de Molière signifie beaucoup et mérite d'être souligné. J'y prêterai plus d'attention désormais. Quant à vous, qui m'avez lu jusqu'au bout (quelle rigueur ! quelle ténacité !), vous savez où votre devoir se situe... Le COUP DE FOUDRE ϟ vous attend !

On veut ce livre. On en a besoin. On l'aime.

« Je sais ce que vous pensez : "Si ça ne te convient pas, si c'est un tel fardeau, alors tu n'as qu'à perdre du poids, comme ça, ce sera fini." Mais je me sens bien comme ça. Peut-être que je perdrai encore du poids, peut-être pas. Mais en quoi cela regarde-t-il les gens ? Franchement, tant que je ne m'assieds pas sur leurs genoux, qu'est-ce que ça peut bien leur faire ? »
Tags : Fiche lecture, Service Presse, Gallimard Jeunesse, Jennifer Niven, 2018, Contemporain, YA, Littérature américaine, Adolescence, obésité, prosopagnosie, reconnaissance des visages, apparences, s'accepter, amour de soi, s'ouvrir aux autres, lycée, expérience, traumatisme, passé, deuil, secrets, amitié, famille, amour, pardon, élever sa voix, passion, confiance en soi, valeurs, tolérance, différence, être là pour l'autre, sincérité, bravoure, Coup de foudre ♥
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#Posté le mardi 06 mars 2018 08:42

Modifié le jeudi 22 mars 2018 17:47

FICHE LECTURE : Stony Bay Beach - T1 : Sam & Jase

FICHE LECTURE : Stony Bay Beach - T1 : Sam & Jase

• TITRE VO : My life next door.
• AUTRICE : Huntley Fitzpatrick.
• ANNÉE : 2012 (USA) ; 2018 (FRANCE).
• GENRE (S) : Contemporain, YA.
• THÈMES : Adolescence, collision des mondes, préjugés, jugement, amour, romance, premières fois, été, expériences, absence, passé, manque, secrets, amitié, famille, fraternité, entraide, joie, s'ouvrir aux autres, grandir, pardon, drame, passion, changements, tolérance, cocon familial, valeurs de la famille, différence, être là pour l'autre, sincérité, bravoure, maturité, relation mère/fille compliqué, émotions, espoir, classes sociales différentes...
• PAGES : 544.

Dès 14 ans - 17,95¤.

Les premières fois traitées avec un grand réalisme.

Samantha a 17 ans. Sa mère est une figure politique locale.
Leur maison est immense, immaculée, tout le contraire de celle des Garrett, les voisins que sa mère a en horreur. Ces derniers ont huit enfants et vivent dans un bouillonnant désordre organisé. Un jour d'été, alors que Sam les observe de son balcon, un garçon l'y rejoint ; c'est Jase, le troisième enfant des Garrett.
Commence alors pour Sam et Jase l'été des premières fois, mais aussi des secrets, qui ne peuvent rester bien longtemps gardés...

« L'excellent premier roman de Fitzpatrick capture avec émotion l'intensité du premier amour, les forces corruptrices du pouvoir. »

Publishers Weekly

L'AUTEURE : Huntley Fitzpatrick vit dans le Massachusetts avec son mari et ses six enfants. Elle a grandi dans une petite ville de la côte Est des Etats-Unis, qui ressemblait beaucoup à Stony Bay. Après ses études, elle a travaillé dans de nombreux domaines, de la publication universitaire à l'édition de romances. Sam & Jase est son premier roman publié en France.

ஜ MON AVIS : All I wanna do is get high by the beach / Get high by the beach get high / All I wanna do is get by by the beach / Get by baby, baby, bye bye...

Un grand merci aux éditions Nathan pour cet adorable envoi ! ♥ Le livre est paru au mois de janvier, donc vous pouvez d'ores et déjà vous le procurer si l'envie vous prend quand vous aurez fini de lire cette chronique. Après tout, c'est le but. Quant à moi, il était grand temps que je me plonge entre ces pages gorgées de soleil et qui sentent bon le sable chaud sous les pieds frémissants de plaisir. Après avoir passé deux mois mémorables le temps d'un long week-end de trois jours (la magie de la lecture de ne pas respecter les barrières du temps et de l'espace),-je peux vous dire que j'ai adoré mon escapade dans la petite ville fictive et balnéaire de Stony Bay, au côté de deux adolescents merveilleux et extrêmement attachants, qui n'en ont pas fini de grandir et de se trouver.

Je tiens à vous avertir que, même si la couverture laisse particulièrement à penser qu'on va pénétrer dans un lieu idyllique, rythmé au son des vagues et à la rengaine de coquillages et crustacés, ce roman n'est pas constitué que de ce côté détente et évasion, en attendant que l'été bien aimé et tant chéri pointe le bout de son nez, il va bien au-delà. Bien sûr, si vous souhaitez le lire tranquillement à la période estivale sur votre balcon en train de bronzer en maillot de bain (ce n'est absolument pas moi que je décris là) ou sur la plage à lézarder sur votre serviette, lunettes de soleil au nez, il n'y a pas de soucis. Au contraire, Stony Bay Beach sera le compagnon idéal. Sous son apparence de gros pavé, ce roman en réalité se lit extrêmement bien, grâce à sa police d'écriture parfaite pour ceux et celles qui ont des problèmes de vue comme votre humble Servante, grâce à ses chapitres aérés qui se lisent comme une bouchée de pain, et enfin grâce à l'écriture pétillante et pleine de mordant d'Huntley Fitzpatrick, qui nous happe jusqu'à la dernière page. Cependant, je n'aimerais pas que son premier ouvrage, extrêmement réussi qui plus est, en soit réduit à la simple et minimaliste étiquette de "lecture de plage détente", car les émotions et le message de tolérance et d'amour véhiculé sont très percutants et intenses. J'en ai été toute chamboulée. Une grande partie du roman va se concentrer sur la rencontre de Sam et Jase, deux héros aux univers complètement opposés qui, après des années d'attirance et de fascination mutuelles et inavouées, font enfin faire le premier pas l'un vers l'autre, pour le meilleur et pour le pire. Et, concernant le pire, je ne m'y attendais pas, mais alors pas du tout. Après avoir réchauffé mon petit c½ur de Bisounours avec la chaleur radieuse du soleil de la ravissante ville de Stony Bay, le choc fracassant se produit et comprime dès lors mon pauvre petit organe cardiaque dans sa cage thoracique, jusqu'à l'en étouffer. Tout l'optimisme du roman au sujet de l'ouverture aux autres, de la découverte de ceux qui nous entoure, de leurs valeurs et de leur Beauté propre malgré leurs différences au niveau du mode de vie et de leur façon de penser par rapport à la nôtre, tout cela, ce positivisme ambiant et bourré d'espoir, semble se ternir et ne prendre qu'un chemin désastreux, sans issue autre que le triomphe du pouvoir, de l'hypocrisie et de l'influence des gens dits "de bien",-j'ai nommé nos hommes et femmes politiques (humour *raclement de gorge étouffé*), et la douche froide. Mais c'est mal connaître Huntley Fitzpatrick car, avec elle, le soleil finit toujours par se lever.

J'ai énormément apprécié l'écriture de cette dernière, et cela ne m'a pas étonné, à la fin du roman, d'apprendre qu'elle était elle aussi mère de famille nombreuse, six enfants en tout, contre huit pour Mme Garrett, que la souffrance de l'accouchement et la vie éreintante de femme au foyer n'arrêtent en rien dans son désir de mettre inlassablement au monde le fruit de l'amour intarissable qu'elle éprouve pour son tendre et bienveillant mari, et réciproquement. En effet, la force de l'écriture de l'autrice est d'allier la vigueur, l'insouciance et l'humour parfois (souvent même)-presque cynique de cette jeunesse fougueuse et en pleine révolte (ah, les jeunes, de nos jours, tous des dévergondés !, dixit Mme Reed, maman maniaque de la propreté de Samantha) et l'esprit maternelle et protecteur, réconfortant comme une bulle de chaleur et d'amour, d'une femme qui n'a pas enfanté que la chair de sa chair, le sang de son sang, mais aussi des écrits, comportant notamment et pour la première fois en ce livre, des personnages d'encre et de papier. On sent la bienveillance,-la compassion et la tendresse de l'auteure envers ses personnages, même dans les pires moments de tourment et de douleur qu'elle leur fait vivre, même envers ceux qu'on pourrait trouver profondément antipathiques, elle les aime pour nous tous,-lecteurs incompréhensifs et au doigt accusateur, et cela se ressent à chacune des pages qui constitue cette première pierre à son édifice littéraire, qui va se révéler très beau et inspirant, j'en suis persuadée. Et Stony Bay Beach est un socle, une colonne vertébrale, à cette production littéraire dont elle peut se sentir fière et qui ne peut annoncer que d'autres belles ½uvres pour l'avenir, tant de belles choses que, nous les Français, nous avons encore à découvrir avec cette édition française qui ne fait que commencer. Tant d'amour pour la structure de son histoire, pour ses personnages fabuleux façonnés comme avec de l'argile et dans lesquels on se reconnait aisément ou où l'on reconnait des personnes de notre connaissance, ainsi que pour sa plume, qu'elle soigne et qu'elle améliore à chaque pas métaphorique en avant, cela force le respect et, pour que cela crève ainsi les yeux, c'est que Huntley Fitzpatrick est une écrivaine née, je vous le garantis. Elle ira loin, et je suis ravie que ses romans soient enfin traduits en France. On serait passés à côté d'une jolie perle sinon. Et cela aurait été fort dommage, qui plus est. Donc, encore merci aux éditions Nathan, cette fois pour avoir su déceler le talent et le potentiel émotionnel, intergénérationnel et littéraire de cette histoire qui m'a fait m'émerveiller face à l'épanouissement de nos deux jeunes amoureux, qui éclosent telles des fleurs qui n'étaient alors que de charmants bourgeons, mais aussi face à mes propres émois et moments d'adolescence, qui m'ont été rappelés à moi de façon foudroyante et assez désarmante, je le confesse. Ces instants de magie imparfaite se sont passés hier pour moi, c'est le cas de le dire ; je conseille néanmoins à tous les Sam et les Jase dans la fleur de leur âge, dix-sept ans allant sur dix-hui, à l'aube des tracas des adultes grincheux et irrationnels, de bien profiter de cette période où les papillons fleurissent dans votre ventre et où vous vous sentez pousser des ailes. Envolez-vous le plus haut possible, jusqu'au firmament des étoiles que Sam chérit tant grâce au télescope de son père, seule relique de cette absence paternelle terriblement pesante, qui la dépasse, et qui laisse des centaines de questions sans réponse, même pour nous, pauvres lecteurs frustrés. Nous avons tout de même un beau réconfort : la vue des constellations dans le ciel noir d'encre de la nuit infinie est juste magnifique et vaut le détour.

Cependant, ne soyez pas trop angoissés : si vous entretenez bien votre âme d'homme/femme enfant à l'aide de baisers tout doux ou au contraire chauds comme la braise, d'étreintes passionnées et ardentes et de sourires qui étirent vos lèvres comme un chewing-gum et qui vous font des rides de bonheur sur votre visage qui porte votre vécu, comme le font chaque jour de leur quotidien mouvementé mais unis dans l'amour de la famille et dans la joie de voir un nouveau jour se lever, tous ensemble, M et Mme Garrett, les parents jeunes, éclatants de santé et d'amour comme au premier jour, s'aimant comme des adolescents, mais toujours là pour soutenir leurs enfants et se montrer présent quoiqu'il arrive, comme tous les parents responsables et au c½ur bon devraient le faire, alors votre esprit rebelle et épris de liberté et d'envolées extraordinaires ne risquera rien lors de son passage compliqué (mais on y survit) à l'âge adulte assez rebutant. Je suis véritablement tombée en amour pour ce couple si attendrissant et touchant, qui nous rappelle que, oui, le véritable amour à la façon contes de fées, cela existe, et que la réalité peut même dépasser la fiction dans certains cas, comme celui flagrant des Garrett. « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants. » n'a jamais été aussi vrai que dans ce roman. Bien sûr, le grand méchant n'a pas dit son dernier mot et essayera de troubler l'harmonie bruyante et si accueillante de cette famille paisible, dans tout son brouhaha, et qui n'a rien demandé à personne, ni qu'on les juge, ni qu'on leur fasse du tord. Même s'il y aura toujours des grands méchants loups cupides et avides de puissance et de triomphe, de gloire servie par la tromperie et de victoires injustes qui écrasent les plus faibles,-Huntley Fitzpatrick fait triompher la vérité sans fard et sans fioritures, le fait de savoir rester fidèle à soi même et de tenir debout face à l'opposant qui nous met constamment dans son ombre sans vaciller. Ne jamais abandonner, rester digne et garder la tête haute, les Garrett savent montrer leur bonté et leur magnanimité,-ils m'ont ébahie et inspiré mon plus profond respect, car, malgré le fait que les habitants de la ville leur crachent toujours leur venin en pleine face concernant leur façon d'être fertiles comme des animaux et d'avoir une telle ribambelle d'enfants, malgré leurs envies de meurtre (et les miennes), ils ne se laissent pas atteindre par un tel manque d'irrespect et ils montrent l'exemple. Ce sont mes héros.

N'ayez pas peur non plus face au nombre désarmant que sont les petites têtes blondes de la famille Garrett. Vous ne serez pas prêts de les oublier car, eux, ne vous oublieront jamais. A la façon de Samantha et de sa petite jupette bleue et veston sur les épaules assorti de son uniforme de Ohé Petit Déjeuner, vous êtes vous aussi des Sailor Moon en herbe qui vont devoir gérer des sessions de babysitting assez mouvementées. Mais cela va donner naissances à des moments inoubliables d'amour débordants, de rencontres qui vous bouleversent l'existence, et de drôlerie à vous faire exploser de rire et à vous redonner le sourire face à la franchise décapante des enfants Garrett qui prend toutes les formes : droit au but, langage peu châtié, premiers mots qui font sacrément originaux comme souvenirs dans l'album de bébé, ou encore babillage affirmé et convaincu d'enfant de quatre ans qui s'inquiète du danger de mort de chaque animal, fictif ou réel, de chaque être humain et de chaque chose qui puisse exister dès qu'il entend une information de grand grâce à ses oreilles curieuses ou qu'il interprète ses livres pour enfants et le contenu de Madame Télévision à sa sauce. Dès lors, impossible d'oublier l'un des enfants Garrett et sa personnalité qui lui est propre et qui le rend si unique et attachant : Joel et son côté gros bras-motard-cuir-cuir-cuir-moustache en mode taciturne et grande gueule dès que l'occasion se présente, mais qui cache certainement un c½ur en or de gros nounours battant très fort pour sa famille en dessous de tant de muscles de quarterback ; Alice, l'effrontée super sexy qui fait une grande s½ur de choc hyper-protectrice et sans langue de bois, qui sait aussi utiliser un jargon médical très impressionnant ; Andy, l'adorable adolescente fan de Jake Gyllenhaal qui connaît son premier amour et qui est juste beaucoup trop choupinette et attendrissante, on a juste envie d'être sa grande s½ur, de la conseiller du mieux qu'on peut et de la serrer dans nos bras comme une peluche, très, très fort ; Duff et Harry, les jumeaux, morfalou pour l'un, casse-cou, déroutant mais c'est ce qui le rend drôle, et amateur de télévision pour l'autre, de vraies piles électriques ces deux-là ; George, mon petit bébé chéri qui s'inquiète du bien-être de tout le monde et qui est une vraie crème à câliner sans le lâcher ; et Patsy, la petite dernière, qui ne jure que par le sein de sa maman et le caca (oui, j'ai ri à cet humour mimi cracra qui date de la maternelle, shame on me). Bien sûr, j'ai fait exprès de ne pas mentionner mon Jase chéri, qui rejoint officiellement mon harem de Book Boyfriends, bienvenue à toi, chaton ! Ce jeune homme a absolument tout pour lui : il est beau comme un Dieu, à sa façon 100% naturelle et authentique, avec ses yeux verts comme l'herbe fraîche, son physique d'Apollon (lui aussi fait du foot américain, en mode entraînement intensif sur la plage, oh yeah) et son sourire contagieux qui nous va droit au c½ur, il est pur, sincère, il est ami des animaux,-et justement, ce qui m'a le plus plu chez lui, c'est qu'il aime prendre soin de tout ce qui mérite de l'attention, c'est-à-dire tout, les êtres qui lui sont chers et tous ceux qu'il peut aider à aller de l'avant, tout ce qui a besoin de lui et de son don de trouver ce qui est cassé et de réparer les choses, même celles qui semblent être les plus élémentaires et signifiantes. C'est un aspect de sa personnalité qui m'a énormément plu et touchée. Et puis, il est tel qu'il est, sans fard, sans artifices, et il m'a éblouie sans rien faire d'autre. Ce jeune homme est une source perpétuelle d'émerveillement. Bon, je ne vais pas le piquer à Samantha car leur relation, malgré les problèmes qu'a causés la maniaque du sacro-saint contrôle, l'insupportable mais source d'empathie Grace Reed, est tellement parfaite, ils y vont pas à pas, ils s'écoutent, ils se comprennent, ils s'accompagnent et ils s'acclimatent à l'univers de l'autre. Et ils apprennent que le changement, même des choses qui nous semblaient nécessaires et immuables, telles que la présence d'une meilleure amie à nos côtés depuis toujours, qui a changé et qui a d'autres aspirations, sans vous, ou de ne plus gentiment obéir à votre mère, même si elle a fait du mieux qu'elle a pu pour vous élever mais qui a fait aussi de belles boulettes, et pas des moindres, eh bien, ça peut avoir du bon.

Pour conclure avec cette chronique qui m'en a fait mal aux doigts à force de taper, mais c'était pour une superbe bonne cause, je vous recommande du fond du coeur Stony Bay Beach, je pense que vous l'aurez compris sans problème. Je n'ai pas vu le temps passé dans le cadre splendide de Stony Bay et j'ai pu assister à la naissance d'une histoire d'amour d'exception et faire partie d'une des familles les plus merveilleuses du monde,-qui s'agrandit de jour en jour grâce à nous tous, les lecteurs joyeux et captivés de cette histoire dans le monde réel hors du commun. Je suis impatiente de la parution du tome deux cet été, même si mon c½ur se serre à l'idée de quitter Sam & Jase en tant que personnages centraux de l'intrigue. Néanmoins, je sais qu'ils n'en sont qu'au début de leur magnifique histoire à deux et je ne m'inquiète pas pour leur avenir, qui sera plein de promesses et radieux ensemble. J'ai donc hâte de voir Tim, l'ami d'enfance de Sam ex-toxico qui a fait de sacrés efforts, haut en couleur et qui devrait cesser d'avoir un langage de charretier (FAUX : ça me fait bien rire), et Alice, notre infirmière en devenir, se rapprocher dans ce second tome, même si je me demande comment Tim va bien pouvoir faire fondre notre femme fatale qui semble s'être construit un mur pour se protéger du véritable amour... Mystère et boules de gomme, la suite au prochain épisode à Stony Bay, prendrez-vous votre billet ? Le mien est déjà réservé, j'en redemande et j'espère bien retrouver toute la fratrie Garrett au complet, parents et voisines Reed inclus ! Ils me manquent déjà et Stony Bay est devenu ma destination de vacances coup de c½ur ♥ A vous de faire le voyage maintenant ! Et encore merci à Nathan pour le mien, je ne les remercierai jamais assez je pense !

Un roman drôle, lumineux, qui nous parle et qui nous bouleverse, le tout en faisant souffler un joli vent d'été plein de fraîcheur littéraire ! Un roman incontournable du YA selon moi !

« Finalement, l'occasion se présente le soir même, lorsque Mme Garrett, tout ébouriffée et en peignoir bleu saphir, demande à Jase d'aller lui acheter du Gatorade. Nous nous retrouvons donc au rayon contraception du magasin avec un chariot rempli de boissons énergétiques et les mains pleines de...
- Troyen, Ramsès, Magnum... Bon sang, c'est encore pire que les noms de grosses cylindrées, commente Jase.
- Ils ont l'air, euh, puissants.
Je retourne la boîte que je tiens à la main pour lire les instructions. Jase me sourit.
- Ne t'inquiète pas, Sam. On est entre nous.
- Je ne comprends pas la moitié de ces descriptions... C'est quoi, un anneau vibrant ?
- Ça me fait penser à la pièce qui se casse toujours dans les machines à laver. Et ultrasensible, ça veut dire quoi . C'est comme ça qu'on décrit George.
Je me mets à glousser. »
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#Posté le lundi 12 mars 2018 11:43

Modifié le lundi 12 mars 2018 15:50

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