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FICHE LECTURE : L'Anti-Magicien - T5 : Les Traîtres de la cour

FICHE LECTURE : L'Anti-Magicien - T5 : Les Traîtres de la cour
• TITRE V.O. : Spellslinger, book 5: Queenslayer.
• AUTEUR : Sébastien de Castell.
• ANNÉE : 2019 (CANADA, USA) ; 2020 (FRANCE).
• GENRE (S) : Fantasy.
• THÈMES : Magie, aventure, action, mystère, humour, cruauté, ignorance, légendes, mensonges, hypocrisie, secret, pouvoir, politique, puissance, sorts, malédiction, mépris, souffrance, guerre, féminisme, courage, intelligence, amitié, alliance, famille, fraternité, adolescence, maturité, grandir, s'endurcir, noirceur, magie noire, amour, créatures fantastiques, dignité, conscience, humanité, habileté, devenir soi-même, combat, espoir, générosité, bienveillance, combativité, pacifisme, savoir, connaissance, philosophie, destinée, volonté, détermination, révélation, affrontement, enseignement, cheminement...
• PAGES : 512.

Ma chronique du tome 1 : ici.
Ma chronique du tome 2 : ici.
Ma chronique du tome 3 : ici.
Ma chronique du tome 4 : ici.

Kelen, le mage sans pouvoir, a commis un acte impardonnable. Il sera pendu haut et court... à moins qu'il parvienne à obtenir la grâce de la Reine de Darome. Mais le palais est un guépier où les alliés d'hier sont les ennemis de demain : pour sauver leur peau, Kelen et le féroce Chacureuil Rakis n'auront pas droit à l'erreur.

Complots machiavéliques, pouvoirs explosifs et dangereuses rencontres: un héros qui détonne au c½ur d'une grande fresque pleine d'humour et d'action.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique de la suite de saga que j'attendais sans doute le plus impatiemment cette année, j'ai nommé le tome cinq de L'Anti-Magicien, Les Traîtres de la cour, par Sebastien de Castell. Je remercie du fond du coeur les éditions Gallimard Jeunesse de m'avoir fait parvenir ce cinquième opus en service de presse tout comme ses prédécesseurs. Depuis le tout début, cette série livresque a été une véritable révélation pour moi et je me surprends à chaque parution d'un nouveau tome à aimer ce dernier presque plus que le précédent, Les Traîtres de la cour ne faisant assurément pas exception à la règle.

Comme toujours avec un tome de L'Anti-Magicien, l'on a droit à une intrigue avec une entrée en matière tout bonnement tonitruante et une conclusion du même acabit. Entre les deux : une série de rebondissements chocs et de vérités éclatant au grand jour qui ont de quoi vous laisser sonnés. Une fois n'est pas coutume, Sebastian de Castell est parvenu à m'emporter dans son univers qui ne ressemble à aucun autre et à me faire vivre comme si j'y étais un récit des plus palpitants et sombres, le tout sans se dépareiller de son humour si caractéristique qui ne manque jamais de faire mouche (avec moi en tout cas).

En clair, j'ai retrouvé avec ce volume cinq tant espéré tous les ingrédients qui font de cette saga littéraire un authentique petit bijou à mes yeux. Pour autant, la partie n'était pas forcément gagnée d'avance : en effet, pendant un bon tiers, pour ne pas dire la moitié du récit, un sentiment désagréable me troublait sans que j'en puisse expliquer la raison. Puis j'ai réalisé "ce qui n'allait pas" (je mets cela entre guillemets car ce n'est pas un tort en réalité) : l'intrigue avait considérablement gagné en noirceur, en cynique avec ce cinquième opus ; cela se ressentait même jusque dans l'écriture et surtout dans les dialogues, beaucoup plus "clash". Le monde de l'Anti-Magicien n'était déjà pas un royaume de Bisounours à la base mais jusqu'à présent, il s'en dégageait toujours une certaine légèreté qui permettait de relâcher la pression ambiante. Là, malgré l'humour toujours omniprésent, la tension continuait à monter crescendo, sans nous accorder véritablement de répit, jusqu'à l'explosion finale qui m'a purement et simplement soufflée. Jusqu'alors, je parvenais toujours à m'émerveiller des aventures et exploits de Kelen, aussi dangereux soit-il, à trouver une certaine part de magie et de pureté dans cet univers essentiellement corrompu et au bord de l'implosion. Dans Les Traîtres de la cour, l'on sent que la fin d'une grande épopée est proche, que l'heure des révélations va bientôt sonner et que celles-ci ne vont probablement pas nous plaire. S'ajoute à cela que la Darome, contrée inspectée à la loupe dans ce récit, est sans conteste le royaume le plus hypocrite et froid de tout cet univers à mes yeux, et vous comprendrez aisément le sentiment de malaise et de suffocation que j'ai éprouvé pendant une bonne partie du récit. Sebastien de Castell nous prouve avec cet avant-dernier tome qui a déjà un déchirant goût d'adieu qu'il n'est pas là pour plaisanter et nous en mettre plein les mirettes mais au contraire pour aller jusqu'au bout de son histoire ayant pour coeur battant à 100/h une certaine ombre au noir dont la soit-disant propension à la cruauté et au mal n'a certainement rien à envier à la nature démoniaque et effarante de bien des actions perpertrées par les protagonistes principaux comme secondaires de cette remarquable fresque de fantasy.

Enfin, je ne pouvais pas conclure cette chronique sans vous parler du plus grand bouleversement que m'a procuré ce cinquième tome, à savoir l'évolution que connaît mon petit chouchou Kelen, au passage plus si petit que ça. Le tout jeune Jan'Tep de 15 ans avide d'amour et de reconnaissance de la part de sa famille comme de son peuple que je rencontrais dans le premier tome a effectivement laissé sa place à un jeune adulte de 18 ans beaucoup moins naïf et innocent, qui possède désormais un état d'âme d'homme, une maturité d'homme et qui nourrit aussi des désirs d'homme mûr (suivez mon regard, humhum). Cette constatation a été dure à encaisser car je voyais auparavant Kelen comme un petit frère, un petit garçon qu'il était de mon devoir de protéger de toutes mes forces. Il m'est maintenant impossible de porter un regard aussi candide, quasi maternel et attendri sur ce bout d'homme qui s'est sacrément endurci sans pour autant perdre ce qui fait qu'il est lui, cet anti-magicien à l'intelligence folle et au sarcasme ravageur dont je suis tombée éperdûment amoureuse dans ce cinquième tome. Au fond, j'avais toujours considéré Kelen comme un fictional crush potentiel malgré le fait que je ressentais à chaque fois le besoin irrépressible de le serrer dans mes bras comme je l'aurais fait d'un de mes petits-cousins ou d'un enfant apeuré et en cruel manque d'affection et de soutien dès qu'il se retrouvait déçu/en danger de mort/enragé/déséspéré, autrement dit à presque chaque page qui se tournait. Aujourd'hui, je peux affirmer haut et fort que Kelen fait partie de ce box tout ce qu'il y a de plus V.I.P. de mon petit coeur et je l'assume pleinement, même si je sens que je vais regretter cette décision avec le tome six qui s'annonce des plus mouvementés et déchirants...

Pour conclure, je ne peux que vous conseiller de vous lancer dans la lecture de L'Anti-Magicien si ce n'est pas déjà fait. Au programme : de l'action, des combats à couper le souffle, un suspens insoutenable, des personnages complexes et captivants à suivre, une relation désarmante d'amour/haine à la magie, un humour aux petits oignons et des morceaux indénombrables de votre coeur qui s'éparpilleront le long du chemin jusqu'à ce qu'il n'en reste rien, foi de Nanette. Alors, vous vous sentez d'attaque ? COUP DE FOUDRE ϟ

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, service de presse, Gallimard Jeunesse, L'Anti-Magicien, Tome 5, Les Traîtres de la couronne, hexalogie, Sébastien de Castell, Littérature américaine, Fantasy, Magie, aventure, action, mystère, humour, cruauté, ignorance, légendes, mensonges, hypocrisie, secret, pouvoir, politique, puissance, sorts, malédiction, mépris, souffrance, guerre, féminisme, courage, intelligence, amitié, alliance, famille, fraternité, adolescence, maturité, grandir, s'endurcir, noirceur, magie noire, amour, créatures fantastiques, dignité, conscience, humanité, habileté, devenir soi-même, combat, espoir, générosité, bienveillance, combativité, pacifisme, savoir, connaissance, philosophie, destinée, volonté, détermination, révélation, affrontement, enseignement, cheminement, Coup de foudre ♥, Les Traîtres de la cour
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#Posté le jeudi 06 août 2020 12:51

Modifié le mardi 01 septembre 2020 04:58

FICHE LECTURE : Miss Charity - T1 : L'Enfance de l'art

FICHE LECTURE : Miss Charity - T1 : L'Enfance de l'art
• AUTEUR : Loïc Clément.
• ILLUSTRATRICE : Anne Montel.
• ANNÉE : 2020 (FRANCE).
• GENRE (S) : Bande-dessinée jeunesse.
• THÈMES : Angleterre - XIXe siècle - Époque victorienne - Enfance - Maturité - Animaux - Éducation - Récit d'apprentissage - Nature - Amitié - Liberté - Non-conformisme - Humour - Amour - Intelligence - Créativité - Religion - Imaginaire...
• PAGES : 120.

Charity, en digne petite fille de la bonne société anglaise des années 1880, n'a d'autre choix que de se taire et rester invisible. Comme personne ne fait attention à elle, Charity se réfugie dans la nursery, au troisième étage de la maison, avec Tabitha, la bonne, et Blanche, sa préceptrice qui lui enseigne l'aquarelle. Pour ne pas mourir d'ennui ou même sombrer dans la folie, elle élève des souris, dresse un lapin, étudie des champignons au microscope, apprend Shakespeare par coeur et dessine inlassablement des corbeaux par temps de neige. Sa rencontre avec ses cousin et cousines ainsi que leur séduisant ami Kenneth Ashley va lui faire réaliser qu'à l'extérieur existe un vaste monde qui ne demande qu'à être exploré...

Les plumes harmonieuses de Loïc Clément et d'Anne Montel révèlent une splendide version naturaliste du chef d'½uvre de Marie-Aude Murail.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique d'une bande-dessinée jeunesse absolument somptueuse, j'ai nommé le tome 1 de Miss Charity, L'Enfance de l'art, que l'on doit au duo de choc Loïc Clément et Anne Montel. En effet, difficile de qualifier leur tandem autrement quand on voit la beauté, que dis-je la magnificence, de leur travail à deux !

Je ne vais pas vous mentir, je n'ai pas lu le roman dont cette bande-dessinée est adaptée. Je sais, je sais, je devrais avoir honte ! Surtout que j'ai déjà eu l'occasion de dévorer des romans de Marie-Aude Murail, ou l'autrice à l'origine de l'univers merveilleusement scientifique et haut en couleurs de notre inénarrable Charity, et que j'ai donc bien conscience que tout ce qui naît de la plume de cette écrivaine de renom constitue une valeur sûre. So why ? Pourquoi ? Warum ? Si vous souhaitez comprendre pourquoi j'ai décliné mon interrogation existentielle en ces trois langues en particulier, il vous faudra absolument lire cette BD. Oui, c'est l'hôpital qui se fout de la charité (promis, je n'ai pas fait exprès ! Oh, j'en ai marre de moi...)'! Mystère et boule de gomme mais, ce que je puis vous assurer, c'est que maintenant que je n'ai fait qu'une bouchée de cette bande-dessinée jeunesse purement et simplement enchanteresse, me voilà décidée à me procurer le roman originel séance tenante ! C'est comme si je m'étais reçue un sacré coup de pied au derrière tiens, et ce n'est résolument pas plus mal !

Plus sérieusement, j'étais déjà extrêmement curieuse de découvrir le magnifique pavé qu'est Miss Charity tout simplement parce que cette fabuleuse intrigue réinvente l'enfance d'une romancière et aquarelliste de grand talent que j'admire immensément et à laquelle je dois beaucoup, Beatrix Potter. Cette remarquable femme n'étant autre que la "maman" de Pierre Lapin, ou l'un des personnages de fiction ayant ensoleillé mes journées de petite fille de par ses folles et formidables aventures, je me devais de faire connaissance avec la fillette exceptionnelle qu'elle a été. Et quelle rencontre marquante et tourneboulante j'ai fait là !

Comment résumer Charity en quelques mots ? Cette petite fille est pour ainsi dire un véritable phénomène, un électron libre, une force de cette nature qu'elle chérit tant et qui le lui rend bien... Enfin, façon de parler. Les expériences hautement savantes de notre petite naturaliste en herbe ne vont effectivement pas toujours se révéler fructueuses, loin de là, mais cela ne va en rien entamer sa farouche détermination, bien au contraire. Charity est une enfant à contre-courant de son époque. Ce qui lui importe, ce ne sont pas les bonnes manières, une foi pieuse ou bien encore la démonstration d'un certain raffinement au passage intelligemment tourné en ridicule par notre duo de choc, mais la beauté et la richesse du monde qui l'entoure. Pour ma part, je suis tombée sous le charme de cette protagoniste à la curiosité insatiable éprise de liberté dans laquelle je me suis énormément retrouvée. Certes, je ne suis pas passionnée de sciences à la façon flamboyante et acharnée de Charity mais je sais ce que cela fait quand les personnes de notre entourage ne prennent pas nos aspirations au sérieux et nous relayent dans un coin alors que nous sommes faits pour irradier de mille feux.

A plusieurs reprises, j'avais envie de serrer ma petite Charity dans mes bras, de lui dire que cela irait, qu'un jour, l'on reconnaîtrait son don exceptionnel pour prendre soin des animaux, raconter des histoires et user de la technique de l'aquarelle comme personne, au point d'inspirer Anne Montel à réaliser les somptueuses illustrations de cet ouvrage de la même manière. Cela m'a semblé là un merveilleux hommage envers celle qui à mes yeux a donné ses lettres de noblesse à cette peinture tout en délicatesse et en couleurs lumineuses par le biais de ses scènes animalières plus vraies que nature. Pour faire simple, tout dans cet ouvrage m'a transportée : la splendeur de ses planches, le grain et l'onctuosité au toucher de ses pages, la finesse de son humour, la richesse de son histoire, la complexité et la construction de ses personnages dont il me tarde sincèrement d'en apprendre plus, en particulier sur un certain garçon renard au charisme indéniable et au magnétisme juste saisissant. En bref, je me suis délectée de cette bande-dessinée du début jusqu'à la fin. Mon seul regret, c'est que cela se soit terminé beaucoup trop vite à mon goût et qu'il va falloir désormais attendre la parution du tome deux pour découvrir la suite de l'incroyable vie de Charity !

Pour conclure, je ne peux vivement vous encourager à aller observer l'aristocratie et la campagne anglaises à la loupe aux côtés de notre enthousiasmante et brillante héroïne. Entre frissons et grandes expectations, vous ne regretterez assurément pas le voyage ! De mon côté, j'ai passé un moment divin entre les pages de cet époustouflant livre que je suis extrêmement fière de posséder. Je n'ai peut-être pas (pas encore, à tout le moins) lu le roman originel de Marie-Aude Murail mais l'amour et la déférence que Loïc Clément et Anne Montel éprouvent à l'égard de son écriture et de son imaginaire crèvent à ce point les yeux que je ne doute pas de tout le respect dont ils ont pu faire montre en retranscrivant son intrigue en images et en bulles de bande dessinée. Vous l'aurez compris je pense, cette BD, à défaut d'être un coup de c½ur absolu pour une raison sur laquelle je n'arrive pas à mettre le doigt, représente pour moi une franche réussite dans le domaine des adaptations de romans en BDs. Il en faudrait définitivement plus des objets-livres de cette qualité pour démontrer que la BD a elle aussi son mot à dire et pèse son poids dans le "game" de la littérature. En tout cas, ce titre-ci ne manquera certainement pas de convaincre les réfractaires qu'une BD ou autre forme de mise en bulles d'un scénario peut être un excellent investissement. En ce qui me concerne, je sais pertinemment que le mien valait le détour ! ★★★★★(♥)

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, Editions Rue de Sèvres, Bande dessinée ♥, Miss Charity, Tome 1 ♥, Trilogie, L'Enfance de l'art, Littérature française, adaptation de roman, Jeunesse, Angleterre ♥, XIXe siècle, Epoque victorienne, enfance, maturité, animaux, éducation, récit d'apprentissage, nature, amitié, liberté, non-conformisme, humour, amour, intelligence, créativité, religion, imaginaire, Mini coup de coeur
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#Posté le lundi 13 juillet 2020 09:44

Modifié le samedi 18 juillet 2020 10:14

FICHE LECTURE : Moi, Arthur, maître du royaume perdu

FICHE LECTURE : Moi, Arthur, maître du royaume perdu
• TITRE V.O. : The Land of Roar.
• AUTRICE : Jenny McLachlan.
• ANNÉE : 2019 (ROYAUME-UNI ; FRANCE).
• GENRE(S) : Jeunesse, fantastique.
• THÈMES : Magie - Amitié - Famille - Enfance - Grandir - Maturité - Affection - Amour inconditionnel - Danger - Mystère - Noirceur - Imaginaire - Espoir - Courage - Entraide - Merveilleux - Dragons - Sorciers - Épouvantails - Corbeaux - Sirènes...
• PAGES : 346.

Arthur en est sûr : il y a un sorcier dans le grenier de son grand-père. Pourtant, il va entrer au collège et n'est plus le petit garçon qui, avec sa s½ur jumelle Rose, s'était inventé un monde imaginaire dans le grenier. Un Royaume rempli de choses qu'ils aimaient : des dragons, des sirènes, des sorciers ninjas ; et d'autres qui les effrayaient... Aujourd'hui, le Pays de Groaar est presque oublié et, de toute façon, Arthur et Rose ne jouent plus ensemble.
Mais quand leur grand-père disparaît sous ses yeux, Arthur n'a plus le choix : il doit retrouver le chemin du Royaume. Se pourrait-il que Groaar soit... réel ?

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du roman jeunesse Moi, Arthur, maître du royaume perdu signé Jenny McLachlan et paru en France aux éditions Auzou. Je les remercie infiniment pour ce magnifique envoi.

Que vous dire si ce n'est que j'ai été complètement embarquée par ma lecture de ce titre qui me promettait moult aventures magiques et qui m'a in fine entraînée dans une odyssée féérique encore plus folle et captivante que je ne l'escomptais ? Très sincèrement, j'ai vécu mon périple à Groaar comme si j'y étais. Je voyais devant moi la Forêt enchevêtrée, la Route Magique et les abominables zombies-épouvantails comme si cela était devenu ma nouvelle réalité. A bien des égards, ce récit m'a rappelé de nombreux univers ayant bercé mon enfance et ne m'étant jamais véritablement quitté, tels le Pays imaginaire de Peter Pan et de ses enfants perdus, le Fantasia de L'Histoire sans fin ou bien encore le fameux Pays d'Oz régi par le célèbre magicien éponyme. En rédigeant cette chronique, je me rends compte que cette histoire ébouriffante est truffée de bien d'autres références encore à de grands classiques de la littérature jeunesse et à des contes de fées que je n'ai jamais cessé de chérir au plus profond de moi et rien que ce détail qui vous semblera peut-être de peu d'importance me donne envie d'y replonger séance tenante afin de reconnaître d'autres intrigues bien aimées dans les méandres de Groaar et les profondeurs de ses eaux.

Moi, Arthur, maître du royaume perdu, ce sont aussi des protagonistes diantrement attachants auxquels il est tout aussi aisé de s'identifier, des illustrations à tomber par terre que l'on doit au talentueux Ben Mantle et qui facilite d'autant plus notre immersion dans ce monde merveilleux des plus extraordinaires, une plume toute aussi vivante et colorée avec laquelle on accroche dès les premières lignes et que l'on suivrait jusqu'aux confins de cette contrée dont il nous reste encore tant à découvrir mais surtout un message des plus véridiques et émouvants. En effet, la leçon que je retiendrai de cette lecture, c'est qu'il ne faut jamais abandonner ses rêves d'enfant. On doit certes à un moment charnière de notre vie les renier un tant soit peu afin d'aller de l'avant et de faire de nouvelles expériences qui nous permettront de nous construire et de devenir la meilleure version de nous-même mais il ne faut cependant pas les oublier pour autant. Jenny McLachlan nous enseigne avec beaucoup de subtilité et de sagesse que continuer à cultiver notre part d'imagination et préserver notre innocence d'enfant toute notre vie durant, loin de nous rendre faibles ou bizarres, fera de nous les adultes les plus remarquables et admirables qui soient.

Vous l'aurez compris, je pense, mais j'ai été totalement séduite par la créativité de l'autrice, par la richesse de son écriture, la profondeur et la complexité de son univers et de ses personnages. J'en redemande encore et rien que de savoir que le tome deux de cette formidable épopée doit normalement paraître chez nous en 2020, j'en ai le c½ur bondissant de joie et les yeux constellés d'étoiles à la façon de la robe de Prosecco, l'étalon étincelant ! COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, service de presse, Moi Arthur maître du royaume perdu, Jenny McLachlan, Littérature anglaise, 2019, Jeunesse, fantastique, magie, Famille ♥, Amitié ♥, enfance, grandir, maturité, affection, Amour inconditionnel ♥, danger, mystère, noirceur, imaginaire, espoir, courage, entraide, merveilleux, dragons, sorciers, épouvantails, corbeaux, sirènes, coup de coeur ♥
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#Posté le mercredi 15 juillet 2020 07:26

Modifié le jeudi 16 juillet 2020 05:31

FICHE LECTURE : Circus Mirandus - T2 : La Femme Oiseau

FICHE LECTURE : Circus Mirandus - T2 : La Femme Oiseau
• TITRE V.O. : The Bootlace Magician.
• AUTRICE : Cassie Beasley.
• ANNÉE : 2019 (ETATS-UNIS), 2020 (FRANCE).
• GENRE(S) : Jeunesse, fantastique.
• THÈMES : Cirque - Magie - Amitié - Famille - Enfance - Grandir - Maturité - Affection - Amour inconditionnel - Danger - Mystère - Noirceur - Colère - Espoir - Courage - Entraide - N½uds - Merveilleux...
• PAGES : 571.

Ma chronique du tome 1 : ici.

Un miracle a conduit Micah au Circus Mirandus. Il en faudra un autre pour le sauver. Micah a réalisé son rêve : le jeune garçon vit désormais au Circus Mirandus en tant qu'apprenti du Plieur de Lumière. Tout semble pour le mieux dans le plus magique des mondes, entre la découverte de ce lieu surprenant et la maîtrise de ses pouvoirs. Mais c'est sans compter sur sa terrible grand-mère, la Femme Oiseau, qui a juré de se venger du cirque.
Micah et le Plieur de Lumière ont-ils une chance de défaire ses plans machiavéliques ?

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du tome deux de la saga Circus Mirandus, La Femme Oiseau, signée Cassie Beasley et parue aux éditions Auzou. Je les remercie infiniment pour ce magnifique envoi.

Ayant tout bonnement adoré le premier tome, il me tardait de retrouver mon formidable petit Micah pour d'autres mémorables et fabuleuses aventures au sein de ce cirque pas comme les autres. Un aspect d'ailleurs de ce second tome que j'ai particulièrement apprécié, c'est celui d'avoir pu enfin faire la connaissance de l'ensemble des membres de ce merveilleux cirque. En effet, si dans le premier tome, on se focalisait essentiellement sur le Plieur de Lumière qui reste là encore la personne au sein du cirque de laquelle notre attachant jeune héros se sent le plus proche, ici, on apprend à connaître ses collègues et cela m'a procuré un bonheur incommensurable. C'est simple, je me suis sentie extrêmement proche de ces personnages remarquables, magiques jusqu'au bout des ongles, qui ont pour objectif dans leur quotidien d'apporter un peu de paix et de lumière aux enfants afin de préserver la part d'innocence qui réside en chacun d'eux. Si ce n'est pas le plus beau métier du monde, ça ! Plus sérieusement, je me suis sentie comme appartenir à cette joyeuse troupe solidaire dont aucun des membres n'est laissé pour compte, même quand face aux pires catastrophes. Et croyez moi, ils vont tous devoir en affronter dans ce tome-ci ; de quoi vous en hérisser les poils !

Un autre point du récit qui m'a extrêmement plu, même si j'ai trouvé cela triste tout à la fois, c'est que l'on sent que notre personnage principal, l'émouvant Micah, a grandi, mûri depuis le tome 1. Certes, il croit toujours en la magie en ce bas monde, comme au début de sa folle épopée, mais ce n'est malgré tout plus le petit garçon rêveur qui écoutait les histoires rocambolesques de son grand-père la bouche grande ouverte comme si on lui procurait du pain béni. Micah s'est rendu compte depuis de la cruauté et de la noirceur du monde, de l'incroyable et troublante complexité de ce dernier qui est capable depuis des millénaires d'abriter le pire comme le meilleur. Cela m'a attristée de parfois voir mon magicien en herbe d'ordinaire si joyeux et créatif à ce point désillusionné et en colère mais Micah tire les bonnes leçons de cette rage. Il comprend que s'abaisser au niveau des individus vils qui peuplent ce bas monde et qui font parfois même partie de sa propre famille ne lui apporterait strictement rien si ce n'est de l'amertume et un dégoût profond de lui-même. De Micah le petit garçon intrépide et candide, on est passés à Micah le pré-adolescent sage mais au c½ur toujours aussi pur, quand bien même certaines personnes (une en particulier mais je n'en dis pas plus) essayent de le corrompre, et vous ne pouvez pas savoir à quel point je suis fière de sa fantastique évolution. Micah ira loin dans la vie et il a encore beaucoup à apporter au Circus Mirandus, j'en suis persuadée. Sa place est là-bas, cela ne fait aucun doute.

Enfin, histoire de tout de même soulever un minuscule bémol à ce récit : j'ai trouvé que la femme oiseau qui donne pourtant son titre à ce second (ou deuxième ? Je l'espère vivement) tome arrivait bien tardivement dans l'intrigue. Certes, on ressent bien la menace que celle-ci représente tout au long de l'intrigue, telle une épée de Damoclès au-dessus de nos têtes, un danger imminent et effroyable qui, comme évoqué un peu plus haut, m'a véritablement donné des sueurs froides. Néanmoins, j'aurais tout de même souhaité que cette fameuse femme oiseau soit plus présente et surtout en apprendre plus sur elle que ce que le tome in nous en avait déjà dévoilé. Cependant, il semblerait que l'autrice n'ait pas jugé cela nécessaire et je peux tout à fait le comprendre : Cassie Beasley a en effet tenu à faire passer un message tout particulier à travers cette antagoniste et je l'ai trouvé pour ma part tout ce qu'il y a de plus clair et pertinent. Sans rancune, donc.

Pour conclure, malgré le léger désappointement que j'ai éprouvé face au traitement accordé à celle qui est censée être le personnage phare de ce second tome, et qui l'est d'une certaine façon tout ce qu'il y a de plus tonitruante et déroutante, j'ai autant adoré ce roman que son prédécesseur. Il est certes différent mais tout aussi poignant et authentique dans les émotions qu'il véhicule, et je puis vous assurer qu'il vous en fait passer par une sacrée palette ! En le lisant, j'ai eu envie de rire, de pleurer, de me cacher sous ma couette mais surtout, j'ai ressenti un amour juste incommensurable pour la quasi-totalité de ses personnages, une boule de chaleur au creux du ventre qui ne m'a plus quitté depuis que j'ai refermé ce livre et c'est bien là tout ce qui importe, non ? En clair, ce second tome de Circus Mirandus a été une franche réussite de mon côté et j'escompte bien qu'il ait une suite ! COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, éditions Auzou, service de presse, Circus Mirandus, La Femme Oiseau, Cassie Beasley, 2019, 2020, Jeunesse, Fantastique, Cirque, Magie, Amitié, Famille ♥, Enfance, grandir, maturité, affection, Amour inconditionnel ♥, danger, mystère, noirceur, colère, espoir, courage, entraide, noeuds, merveilleux, Littérature américaine, Tome 2 ♥, coup de coeur ♥
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#Posté le samedi 13 juin 2020 08:14

Modifié le lundi 15 juin 2020 09:41

FICHE LECTURE : Les Travaux d'Apollon - T4 : Le tombeau du tyran

FICHE LECTURE : Les Travaux d'Apollon - T4 : Le tombeau du tyran
• TITRE V.O. : The Trials of Apollo, book 4: The Tyrant's Tomb.
• AUTEUR : Rick Riordan.
• ANNÉE : 2019 (ETATS-UNIS, FRANCE).
• GENRE (S) : Jeunesse.
• THÈMES : Dieux grecs et romains, divinités, mythologie grecque, empereurs, histoire, ennemis, dangers, menace, prophétie, quête, héroïsme, courage, bravoure, aventure, déchéance, faiblesse, fantasy, humour, action, amitié, servitude, grandir, apprentissage, humanité, maturité, solidarité, entraide, combats, souffrance, soumission, peur, angoisse, repentance, famille, retrouvailles, créatures fantastiques, surnaturel, poésie, nature, fanatisme, autorité, psychopathes, musique, deuil, guerre...
• PAGES : 512.

Ma chronique du tome 3 : ici.

Zeus est vraiment excessif dans ses châtiments, non ? Faire de moi, Apollon, un simple mortel, passe encore. M'imposer deux trois petites épreuves avant de regagner l'Olympe, pourquoi pas ? M'envoyer protéger le Camp Jupiter d'une armée de morts-vivants et affronter une deuxième fois le redoutable Python, je dis stop, je ne joue plus.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du quatrième tome de la saga Les Travaux d'Apollon signée Rick Riordan. Ou quand le maître de la fantasy mythologique (je ne sais pas si cela existe mais si c'était le cas, Rick Riordan en serait assurément le maître) nous pond encore un chef d'oeuvre d'humour et d'émotion !

Comme vous le savez sûrement, j'éprouve une tendresse toute particulière pour le personnage divin d'Apollon tel qu'il est traité par Rick Riordan. Ce dernier a en effet su insuffler au Dieu du soleil, de la musique, de la poésie et de la médecine entre tant d'autres choses une humanité à fleur de peau qui ne cesse jamais de m'émouvoir. Néanmoins, et en dépit de tout l'amour qui je ressens à son encontre, ce tome encore plus que les autres m'a rappelé qu'en tant que divinité, Apollon, comme l'essentiel des autres dieux du panthéon gréco-romain, a accompli dans le passé bien des actes condamnables et qu'il s'agissait donc là d'un personnage nettement plus nuancé qu'il n'y paraissait, avec en outre une zone d'ombre résolument conséquente pour un Dieu du soleil. Pour ma part, cela m'a fortement embêtée que l'on me rappelle ainsi de la même manière qu'on me foutrait une belle poire en pleine figure que le monstre vert qu'est la jalousie, bien pire que n'importe quelle créature mythologique un tant soit peu affamée qu'Apollon a pu et peut encore et toujours rencontrer au cours de ses folles péripéties, a souvent eu raison de mon génie du tir à l'arc et que les actions abominables dont le soleil de mes jours livresques (oui, en amour, il n'y a assurément pas de limites, surtout en matière de petits surnoms affectueux tout ce qu'il y a de plus ridicules et pompeux) a été à l'origine, même si elles ont été perpétrées il y a de cela plus de 4000 ans, restent irréversibles. Cela a considérablement noirci mon tableau concernant cette lecture et surtout mon rapport très spécial à la divinité des prophéties (il a tellement d'attributs mon Apollon, c'est juste fou - c'est le meilleur en même temps) dans un premier temps. Cependant, j'ai très vite réalisé que Rick Riordan n'y pouvait rien de rien : en effet, il ne peut pas réécrire les mythes en en modifiant la substantifique moelle, cela est impossible et même sacrilège, en particulier pour un professeur d'histoire comme lui. En revanche, il peut s'approprier des personnages mythologiques tels qu'Apollon (mais pas que lui, loin s'en faut) et en tirer les bons enseignements. Malgré ses crimes (à ce stade là, ce ne sont plus de simples erreurs, ce serait un euphémisme éhonté), Apollon va nous prouver qu'il est digne de son statut de dieu, de héros central de sa propre saga épique, notamment en se remettant constamment en question et en avançant pas à pas sur le chemin de sa rédemption. Même si cela était déjà le propre des écrits de Rick Riordan dans leur ensemble, Le tombeau du tyran met particulièrement l'accent sur des valeurs et des qualités telles que le courage, la sagesse, l'entraide, l'estime de soi et l'abnégation et nous apprend avant toute chose qu'il est possible de changer, que cela, contrairement à tout le reste, est tout sauf un mythe et qu'un être ne naît pas foncièrement mauvais. Il ne tient qu'à nous de faire les bons choix en choisissant entre autres de ne jamais emprunter la voie la plus facile. Il y aura certes bien des embûches en apparence insupportables tout au long du chemin mais le voyage comme la destination en vaudront largement la peine comme ce quatrième tome me l'a habilement prouvé.

Autre point que je souhaitais rapidement aborder : comme dans les tomes précédents, la rocambolesque quête d'Apollon nous permet de renouer avec des protagonistes issus des Héros de l'Olympe, pour mon plus grand bonheur. Ces derniers m'avaient tellement manqué, tout autant qu'ils sont, et cela m'a procuré une immense fierté de découvrir ce qu'ils sont devenus, à savoir des guerriers redoutables qui ne baissent jamais les bras quelque soit le combat à affronter et qui nous donnent ainsi de formidables leçons de vie qui de mon côté resteront gravées, en plus de constater qu'ils vont tous à peu près bien - enfin, façon de parler dans les romans de Rick Riordan. Par ailleurs, je ne vous remercie pas de m'avoir flanqué la plus grosse trouille de ma vie de lectrice, monsieur ! Je risque d'avoir diantrement du mal à vous pardonner, vous savez... Plus sérieusement, Rick Riordan a le don de vous faire à chaque fois vivre de véritables ascenseurs émotionnels sans en éprouver le moindre remords. C'est tout lui, ça, et cela finira bien par causer un jour ma perte...

Pour conclure, je ne vous recommanderai jamais assez la saga des Travaux d'Apollon. De l'action, de l'aventure, un humour ravageur qui vous fera rire aux éclats (ou à tout le moins vous donnera le sourire jusqu'aux oreilles) à presque chaque ligne, un suspens souvent à la limite de l'insoutenable... Tout y est pour vous faire passer un moment de lecture absolument mémorable ! Désormais, il me tarde de dévorer le tome cinq car oui, la saga ne sera pas une tétralogie comme cela avait été auparavant annoncé, oh joie ! En même temps, Rick Riordan n'aurait pas pu nous laisser sur une telle fin, c'était tout bonnement impensable de clore la série de cette effroyable façon... Je vais donc maintenant ronger mon frein en attendant la parution française de ce cinquième et normalement ultime tome qui à n'en pas douter sera encore meilleur que le précédent, comme toujours avec un auteur d'exception tel que Rick Riordan. COUP DE FOUDRE ϟ

Nanette ♥

« Comment reconnaître un cauchemar d'un simple rêve ? Si on y brûle des livres, c'est sans doute un cauchemar. »
Tags : Fiche lecture, Les travaux d'Apollon, Le Livre de Poche Jeunesse, Tome 4 ♥, Littérature américaine, Rick Riordan, 2019, Jeunesse, Dieux grecs et romains, divinités, mythologie grecque, empereurs, histoire, ennemis, dangers, menace, prophétie, quête, héroïsme, courage, bravoure, aventure, déchéance, faiblesse, fantasy, humour, action, amitié, servitude, grandir, apprentissage, humanité, maturité, solidarité, entraide, combats, souffrance, soumission, peur, angoisse, repentance, famille, retrouvailles, créatures fantastiques, surnaturel, poésie, nature, fanatisme, autorité, psychopathes, musique, deuil, guerre, Coup de foudre ♥
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#Posté le lundi 25 mai 2020 08:07

Modifié le mercredi 03 juin 2020 06:31

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