Skyrock.com
  • ACCUEIL
  • BLOGS
  • PROFILS
  • CHAT
  • Apps
  • Musique
  • Sources
  • Vidéos
  • Cadeaux
  • Connecte-toi
  • Crée ton blog

Lunartic

Photo de Lunartic
  • Suivre
  • Envoyer un messageMessage
  • Plus d'actions ▼
  • Offrir un cadeau
  • Bloquer
  • S'abonner à mon blog

Statistiques

  • 43 677 Visites
  • 5 045 Kiffs
  • 23 425 Coms

500 tags

  • 2018
  • 2019
  • amitié
  • amour
  • aventure
  • coup de coeur ♥
  • Coup de foudre ♥
  • courage
  • drame
  • entraide
  • espoir
  • famille
  • Fiche Lecture
  • Fiche lecture
  • humour
  • Jeunesse
  • Littérature française
  • mystère
  • noirceur
  • service de presse

430 archives

  • FICHE LECTURE : Je t'aime jusqu'au bout du monde
  • FICHE LECTURE : Les AutresMondes de Tara Duncan - T1 : La Danse de la Licorne
  • FICHE LECTURE : 100% Bio - T5 : Cléopâtre vue par une ado
  • FICHE LECTURE : Gardiens des Cités Perdues - T1
  • FICHE LECTURE : Miguel, dauphin rebelle

646 fans

  • yingchun
  • Vasias-Crazy-Kitchen
  • LittleLiars-daily
  • xtiernamente
  • lempire-du-feu

382 sources

  • SelenGomez
  • Mamzelle-Lie
  • Akueriasu
  • Hudgens-Vanessa
  • Riverdale-source

Son morceau préféré

In Your Eyes

Jouer The Weeknd In Your Eyes

Skyrock music Ajouter

25 honneurs

  • Saint-Valentin
  • Spotlight
  • Anniv' 2 ans
  • Post 100
  • Écolo

Partage

  • Tweet
  • Amis 0

Retour au blog de Lunartic

13 articles taggés suspense

Rechercher tous les articles taggés suspense

FICHE LECTURE : Le gang des prodiges - T2 : Ennemis jurés

FICHE LECTURE : Le gang des prodiges - T2 : Ennemis jurés
• TITRE VO : Renegades, book 2: Archenemies.
• AUTRICE : Marissa Meyer.
• ANNÉE : 2018 (USA) ; 2019 (FRANCE).
• GENRE (S) : Science-fiction, dystopie, YA.
• THÈMES : Super-héros, pouvoirs surnaturels, univers futuriste, aventure, action, danger, mystères, angoisse, sang, violence, méchants, complots, honorabilité, menaces, rivalité, confrontation, justice, valeurs, apprentissage, maturité, amitié, ambition, pièges, stratégie, secrets, s'endurcir, vengeance, duels, oppression, remise en question, amour, suspense, meurtres, guerre...
• PAGES : 544.

Ma chronique du tome 1 : ici.

Audacieux. Courageux. Impartial.
Serez-vous capable de devenir un héros ?

La double vie de Nova est intenable. En tant que Renégate, elle travaille avec Adrian au maintien de l'ordre dans la ville. En tant qu'Anarchiste, son rêve est de détruire les Renégats. Si elle est démasquée, elle risque gros : perdre Adrian et faire souffrir la ville toute entière...

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du deuxième tome de la saga Le gang des prodiges signée Marissa Meyer. Une fois n'est pas coutume avec cette autrice, j'ai juste adoré cette lecture !

En effet, il s'agit là d'une grande histoire d'amour entre Marissa Meyer et moi. Ennemis jurés était le seul roman d'elle qu'il me restait dans ma bibliothèque que je n'avais pas encore dévoré et je ne vous cacherai pas que je me sens désormais démunie à l'idée de ne plus avoir aucun de ses écrits à me mettre sous les dents. Très sincèrement, cette romancière n'a jamais cessé de m'épater. Tous les titres que j'ai pu découvrir d'elle jusqu'à présent m'ont purement et simplement transportée et fait éprouver une myriade d'émotions incomparables à aucune autre. En résumé, absolument tout ce qui est né de la plume magique et experte de cette autrice et qui a pu se retrouver en mes mains est spécial à mes yeux, pour des raisons qui me sont toutes personnelles. Et avec Le gang des prodiges, elle m'a prouvé qu'elle en avait encore résolument sous le pied.

Ce deuxième tome du Gang des prodiges en particulier est parvenu à produire un impact certain sur ma petite personne. Pour commencer, il a réussi à me sortir d'une panne de lecture indéniablement pénible, ce dont je lui suis infiniment reconnaissante. Il m'a ensuite permis de retrouver ma brigade de Renégats favorite, ces personnages que j'aime tant, profondément humains et complexes quel que soit leur camp, qui ne manqueront pas de vous captiver tous autant qu'ils sont. Vous les adorerez ou vous adorerez les détester, croyez-moi. Vous chercherez à sonder leur âme, à comprendre leurs motivations, tant l'ambiguïté de leur caractère respectif est fascinant. Pour ma part, mon duo chouchou formé par Nova et Adrian a définitivement fait battre mon coeur plus fort. J'ai été également été séduite par le nouveau personnage de Callum. Son pouvoir de prodige est sans conteste le meilleur qui soit : tellement simple et... merveilleux à la fois. J'aime ce personnage du plus profond de mon petit coeur et j'espère sincèrement que vous prendrez la peine d'aller à sa rencontre en vous procurant ce roman.

Sur ce, mon désir le plus cher étant de vous en dévoiler le moins possible sur cette intrigue tout ce qu'il y a de plus mouvementée et extraordinaire, je dirais donc simplement que, si vous comptez lire Le gang des prodiges un jour (le but est que vous le fassiez, bien entendu), attendez vous à de l'action, à des combats de super-héros sacrément stylés, à un épais voile de mystère qui ne fait qu'augmenter la tension au fur et à mesure que le récit progresse, à un univers extrêmement bien construit et qui rassemble indubitablement toutes les qualités pour vous embarquer et vous donner l'envie de ne plus le quitter malgré la nouvelle terrible guerre qui s'annonce... En toute honnêteté, je ne sais combien de tomes comportera cette saga : elle devait à la base être une duologie mais cela ne peut décemment plus être le cas au vu du cliffhanger tout bonnement abominable sur lequel l'autrice nous laisse ici. S'agira-t-il alors d'une trilogie ou même d'une tétralogie ? Une fois encore, je ne sais. Une chose est certaine, c'est que je vais clairement ronger mon frein dans l'attente de ce troisième tome qui promet d'être juste épique ! COUP DE FOUDRE ϟ

Nanette ♥

« Et une fois en possession de tous les pouvoirs, qu'est-ce qui nous empêchera de devenir à notre tour des super-vilains ? »
Tags : Fiche lecture, le gang des prodiges, Tome 2 ♥, pocket jeunesse, Littérature américaine, Marissa Meyer, 2018, 2019, Science-fiction, dystopie, Young Adult, Super-héros, pouvoirs surnaturels, univers futuriste, aventure, action, danger, mystères, angoisse, sang, violence, méchants, complots, honorabilité, menaces, rivalité, confrontation, justice, valeurs, apprentissage, maturité, amitié, ambition, pièges, stratégie, secrets, s'endurcir, vengeance, duels, oppression, remise en question, amour, suspense, meurtres, guerre, Coup de foudre ♥
​ 7 | 22 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.208.73.179) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le mardi 31 mars 2020 15:11

Modifié le mercredi 01 avril 2020 05:37

FICHE LECTURE : Esprits maléfiques - T2 : Les Dévoreurs d'âme

FICHE LECTURE : Esprits maléfiques - T2 : Les Dévoreurs d'âme
• TITRE V.O. : Spirit Hunters, book two : The Island of Monsters.
• AUTRICE : Ellen Oh.
• ANNÉE : 2018 (USA) ; 2019 (FRANCE).
• GENRE (S) : Horreur.
• THÈMES : Jeunesse, noirceur, forêt hantée, fantôme, hôtel, ami imaginaire, folie, possession, violence, mal, peur, angoisse, frissons, suspense, amitié, famille, entraide, menaces, déménagement, nouvelle vie, esprits, surnaturel, monde de l'au-delà, nuit, frayeur, épouvante, tension, dépasser ses peurs, courage, relation frère/s½ur, enfance, adolescence, sauver un être aimé, quête, espoir, Caraïbes, origines asiatiques, diversité, tolérance, menace, danger, mystère, deuil, délivrance, pardon...
• PAGES : 256.

Ma chronique du tome 1 : ici.

Harper, sa famille et sa meilleure amie Dayo partent pour Halloween sur une île des Caraïbes. L'apprentie chasseuse d'esprit sent dès son arrivée que l'île est hantée par des créatures très différentes de ce qu'elle a pu rencontrer jusqu'à ce jour. Avec ses pouvoirs de plus en plus puissants, elle tente de comprendre de quoi les fantômes du coin ont peur... et d'où viennent les traces de morsure sur le cou des enfants. Grâce à sa grand-mère, Harper réalise que des dévoreurs d'âmes sont prisonniers de l'île. Ces créatures se nourrissent des âmes des fantômes mais aussi de celles des vivants... Pour se libérer, ils vont procéder, le soir d'Halloween, à de nombreux sacrifices humains. Á charge d'Harper et de ses amis de les arrêter !

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du tome deux d'Esprits maléfiques, Les Dévoreurs d'âme, que j'étais très excitée à l'idée de lire au vu des sueurs froides et aussi du ravissement que m'avait procurés le tome un. En effet, j'avais été très agréablement surprise par ce mélange extrêmement efficace d'horreur et de représentation culturelle asiatique que nous proposait alors Ellen Oh avec les origines sud-coréennes de notre fascinante et courageuse héroïne Harper. Je remercie infiniment les éditions Nathan pour l'envoi de ce second opus à la couverture moins impressionnante que celle du premier tome mais qui fait néanmoins son petit effet, force est de le reconnaître.

Je ne vais pas vous mentir, je m'attendais à plus et surtout à autre chose avec ce second volet des aventures franchement mouvementées et éprouvantes de notre chasseuse d'esprits en herbe. Avant même de commencer ce livre, je trouvais que son titre, Les Dévoreurs d'âme, possédait un certain cachet et avait de quoi me fiche les chocottes alors qu'in fine, je n'ai pas été si effrayée que ça en découvrant le contenu du roman. Pourtant, le principe même de ce type de créatures qui avalent sans scrupule les pauvres âmes en perdition est tout bonnement effarant sur le papier mais je ne sais pas... Je dirais qu'il m'a manqué un petit quelque chose pour je sois véritablement saisie et scotchée à mon fauteuil d'effroi. Pour être tout à fait honnête, j'aurais aimé que l'autrice creuse beaucoup plus la background story autour de l'île et des dits dévoreurs, qu'elle prenne le temps d'instaurer un réel suspens au lieu de se précipiter comme elle l'a fait avec l'intrigue de ce tome-ci. Si je compare avec La Maison des possédés, Les Dévoreurs d'âme comporte à peu près le même nombre de pages (en revérifiant afin de rédiger cette chronique, je me suis rendue compte qu'il y avait un peu moins de pages dans le tome deux que dans le un et cela se ressent assez fortement à mon sens - trente pages d'écart, ce n'est peut-être pas grand chose mais cela change tout pour moi) ; cependant, on sentait que le tome un allait crescendo au niveau de la terreur engendrée par sa situation de base franchement pas des plus ragoûtantes, que l'autrice prenait la peine d'accroître notre angoisse à juste titre dévorante au fur et à mesure des pages qui se tournent telle une marmite bouillonnante que l'on surveillait constamment sur le feu et qui finirait malgré tout par nous exploser à la figure. Ici, tous les éléments à proprement parler épouvantables nous sont livrés d'un seul coup sur un plateau et cela gâche tout le mystère à mes yeux. J'ai eu la très dérangeante et décevante l'impression en lisant ce roman que l'effet de surprise était passé, totalement inefficace une fois que les révélations ahurissantes, à vous faire bondir de votre siège, du tome un avaient été faites. Je trouve effectivement cela franchement dommage car Ellen Oh avait encore du potentiel et les moyens de nous offrir un successeur digne de ce nom à La Maison des possédés, tout aussi accrocheur et démentiel que ce dernier avait pu l'être de mon côté en tout cas, j'en suis persuadée. Ou alors, c'est moi qui deviendrais trop exigeante en cessant petit à petit (presque un an sépare ma lecture du tome un et du tome deux de cette duologie), et ce sans même m'en rendre compte, d'être une sacrée pouille mouillée qui arrive à cauchemarder à propos de TOUT (c'est véridique). Si cela est le cas présentement, je dis alléluia, MIRACULUM ! Mais très sincèrement, j'en doute...

Mon autre regret avec ce livre, c'est le fait que les traditions asiatiques, ou plutôt essentiellement sud-coréennes, introduites à la fin du premier tome (et qui avaient manqué de déclencher mon coup de c½ur pour ce dernier) soient totalement relayées au second plan, voire quasi inexistantes, ici. Cela m'a immensément désappointée car j'escomptais justement en apprendre beaucoup plus à ce propos en me plongeant dans la lecture des Dévoreurs d'âme. Puis, j'ai essayé de refréner ma frustration en me disant que cette décision prise par l'autrice avait certainement un lien avec le nouveau cadre de cette histoire, à savoir les Caraïbes. Personnellement, j'aurais adoré que l'autrice explore en long, en large et en travers le folklore de ces îles dites de rêve dans l'imaginaire d'une multitude d'individus (petite remarque au passage : j'ai justement énormément apprécié le fait qu'Ellen Oh n'idéalise pas entièrement cet endroit source de bien des fantasmes de voyage mais lui rende au contraire toute sa simplicité et son authenticité - un très bon point pour elle), surtout quand on voit le captivant voyage temporel dans lequel elle a choisi de nous embarquer (bien qu'encore une fois, elle n'aille pas au bout de sa remarquable idée - c'est du moins mon humble opinion) mais malheureusement, ce n'est décidément pas ce qu'elle a in fine décidé de faire, à mon grand désarroi.

Cependant, ne vous y trompez pas, j'ai beaucoup aimé ce livre ! Je réalise seulement que, depuis le début, je ne fais que de vous parler de ce qui m'a contrariée avec ce roman, alors que j'ai en réalité passé un moment tout ce qu'il y a de plus agréable en le lisant. Par ailleurs, je tiens à souligner que cette duologie dans son ensemble a un gros, pour ne pas dire un énorme, plus qui m'en aurait (notez l'utilisation du conditionnel - j'aurais vraiment voulu qu'il en soit autrement) presque fait oublier tout le reste, fait passer outre mes profondes frustrations entre autres, à savoir ses protagonistes. J'ai pris un immense plaisir non dissimulé à retrouver ici ma petite Harper chérie, toujours aussi vaillante, déterminée à accomplir sa dure (oh, doux euphémisme !) mission à bien, à la langue bien pendue qui n'est effectivement certainement pas de bois, sa meilleure amie de choc Dayo, qui mériterait bien une médaille tant sa gentillesse et sa générosité (surtout lorsqu'il s'agit de ses cookies faits maison, miam !) sont exemplaires à mon sens, notre douce et intrépide, bouleversante également Rose, le petit garçon le plus adorable et drôle du monde, celui qui est presque devenu un petit frère pour moi, j'ai nommé Michael "Mikey" Raine, Kelly, la grande s½ur pas si superficielle que ça et qui sait jouer son rôle d'aînée à la perfection quand cet instant se présente, mais aussi des petits nouveaux tels que Léo, en apparence le cousin le plus énervant et lourd du monde mais qui s'est révélé in fine être franchement amusant (j'en ai encore mal au ventre) et bienveillant quand il le veut, et la pétillante et extrêmement touchante Olivia, dont j'ai adoré faire la connaissance dans ce tome-ci. D'autres personnages qui m'étaient auparavant assez antipathiques m'ont aussi réservé de sacrément belles surprises. Vous l'aurez compris, je me suis profondément attachée à ces êtres d'encre et de papier tellement humains et formidables et je peux vous assurer que je n'étais absolument pas prête pour les quitter, n'en doutez pas !

Pour conclure, je dirais que Les Dévoreurs d'âme ne fut malheureusement pas à la hauteur de son prédécesseur de mon côté. Celui-ci avait en effet été pour moi, âme sensible qui goûte bien peu aux histoires horrifiques en temps général, une bien belle révélation qui m'avait filé une sacrée frousse et fait passer une nuit fort tourmentée que je n'oublierai pas de sitôt. Néanmoins, malgré mes attentes qui n'ont pas été remplies, mon bonheur insoutenable à l'idée de vivre une autre grande épopée spirituelle et mystique au côté de personnages, jeunes et moins jeunes, que j'adore est quant à lui resté intacte. Il s'est même amplifié au cours de ma lecture de ce second tome, c'est dire ! Et puis, pour ce qui est de la cible éditoriale principale de cette série livresque, à savoir les enfants, je trouve qu'Esprits maléfiques est une excellente entrée en matière pour eux pour tout ce qui tourne autour du paranormal, de l'au-delà, des fantômes et autres bizarreries pas si complexes et saugrenues que ça quand on y réfléchit bien, de l'acceptation du moment de deuil aussi. En bref, cette saga littéraire fait parfaitement le job auprès du lectorat concerné et sait également séduire les plus grands ! Pour ma part, je ne regrette pas de lui avoir laissé sa chance et je ne peux que vous encourager à découvrir cette duologie par vous-même. Une chose est sûre : vous n'allez pas en revenir ! ★★★★(★)

Nanette ♥

P.S. : Si jamais l'autrice passe par-là, ou que ce message puisse lui être retransmis, mon souhait le plus cher serait un troisième tome centré sur la Jamaïque, pays d'origine de ma Dayo d'amour, et sur les esprits qui peuplent ce pays, sur ses traditions ancestrales et autres coutumes (notamment culinaires, même si nous avons déjà eu un aperçu fort alléchant de cela dans le tome un - j'en salive encore ! Je sais, je suis incorrigible...). Ce serait juste DINGUE, c'est le mot, si ce potentiel tome trois soit publié un jour ! J'ai bien le droit de rêver... Dans tous les cas, je serais extrêmement curieuse et contente à l'idée de dévorer les prochains romans de l'autrice et de suivre ses différents projets futurs. De mon côté, je n'y manquerai pas, foi de Nanette !
Tags : Fiche lecture, service de presse, éditions Nathan, Esprits maléfiques, Tome 2 ♥, Duologie, Les Dévoreurs d'âme, Ellen Oh, 2018, 2019, Littérature américaine, Corée du Sud❤, Horreur, Jeunesse, noirceur, forêt hantée, fantôme, hôtel, ami imaginaire, folie, possession, violence, mal, peur, angoisse, frissons, suspense, amitié, famille, entraide, menaces, déménagement, nouvelle vie, esprits, surnaturel, monde de l'au-delà, nuit, frayeur, épouvante, tension, dépasser ses peurs, courage, relation frère/s½ur, enfance, adolescence, sauver un être aimé, quête, espoir, Caraïbes, origines asiatiques, diversité, tolérance, menace, danger, mystère, deuil, délivrance, pardon, Très bonne lecture
​ 8 | 20 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.208.73.179) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le lundi 09 septembre 2019 05:01

Modifié le lundi 09 septembre 2019 11:47

FICHE LECTURE : Le Trône des étoiles - T2 : Rebelles

FICHE LECTURE : Le Trône des étoiles - T2 : Rebelles

• TITRE VO : Blood of a thousand stars.
• AUTRICE : Rhoda Belleza.
• ANNÉE : 2018 (USA) ; 2019 (FRANCE).
• GENRE (S) : Science-fiction, YA.
• THÈMES : Bataille spatiale, space opera, pouvoir, organisation rebelle, alliance, course contre la montre, aventure, vengeance, galaxies, empire galactique, impératrice, dynastie, survie, espace, guerre, responsabilités, culpabilité, famille, amitié, entraide, méfiance, suspense, combat, ambition, politique, action, grandir, révélations, quête, technologie, robotique, manipulation, science avancée, intelligence artificielle, contrôle, médias, propagande, bourrage de crâne, deuil, drame, mort, sacrifice, souffrance, amour, reconnaître ses erreurs, faiblesse, héritage, force, honneur, courage, injustice, hypocrisie, faux semblants...
• PAGES : 384.

Dès 14 ans | 17,95¤.

Ma chronique du tome 1 : ici.

/!\ Le résumé du tome 2 spoile le tome 1 ! Ne pas lire ce qui va suivre si vous souhaitez vous procurer ce dernier. /!\

Un seul choix : se rebeller ou se soumettre.

Un page-turner très accessible et captivant

Une trépidante série en deux tomes, avec les ingrédients d'un très bon space-opéra :
luttes de pouvoir entre empires galactiques, complots, trahisons, course-poursuite...

LA GUERRE GRONDE DANS LA GALAXIE.
Rhiannon, devenue impératrice, est confrontée à un dilemme : s'allier avec son ennemi Nero, l'assassin de ses parents, pour assurer la paix ; ou le dénoncer et risquer de perdre le trône. Elle ignore que ces décisions menacent de mettre en danger Alyosha et sa s½ur disparue, Kara, pris dans la révolte.

L'AUTEURE : Rhoda Belleza a passé son enfance à Los Angeles, où elle a grandi en imaginant des fanfictions sur la série X-Files. Elle est éditrice dans une maison d'édition jeunesse et écrit dans un appartement ensoleillé de Brooklyn, rempli de vélos et de chaussures. Quand elle ne travaille pas sur ses livres, Rhoda regarde des tutoriels sur le nail art, visionne des films de kung-fu et s'amuse à coudre des vêtements.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du second tome d'une saga qui n'a définitivement pas fait l'unanimité, j'ai nommé Le Trône des étoiles. En effet, j'ai vu passer beaucoup d'avis extrêmement mitigés et surtout négatifs sur la blogosphère à propos de cette duologie. Pour ma part, je remercie infiniment les éditions Nathan pour la traduction et la parution de ces deux tomes en France ainsi que pour me les avoir si gentiment envoyés car j'ai en toute honnêteté adoré cette aventure intergalactique jusqu'au bout. Cependant, et je vais m'épancher plus en détails à ce sujet au cours de ma chronique, je comprends tout à fait que beaucoup de personnes n'aient pas été convaincues par cette courte saga qui a fait office d'étoile filante dans ma vie de lectrice. Une comète particulièrement brillante de mon côté mais dont l'éclat s'est parfois retrouvé terni. Explications.

Avant de véritablement commencer ma chronique littéraire, je souhaitais juste émettre un commentaire sur la couverture de ce second tome. Contrairement à celle du premier, elle m'a beaucoup moins plu, tout simplement parce que je ne m'imaginais pas du tout les personnages qui y sont représentés, Kara et Alyosha, comme cela, en particulier Alyosha. Je pense que cela est dû au fait que j'ai eu le temps d'un premier tome entier pour me faire une idée suffisamment précise d'à quoi ces deux-là devaient ressembler selon moi. Malheureusement, l'illustration de ce livre-ci ne correspond pas vraiment au travail qui avait été réalisé par ma propre imagination. Autant la façon dont Rhiannon et Dahlen avaient été dessinés ne m'avait absolument pas gênée, étant même très proche de ma perception de ces deux protagonistes-ci, autant je n'ai pas adhéré au graphisme proposé pour notre autre duo phare. Rien de bien méchant cependant car mon imaginaire n'est pas du genre à se laisser entraver par la première image qu'il voit dans le cas présent. C'est là une question d'appréciation toute personnelle ; je ne vais donc pas m'appesantir plus avant là-dessus (en réalité, je l'ai déjà fait bien assez).

Comme je l'ai mentionné précédemment dans l'introduction, pas mal de choses qu'on pourrait qualifier de défauts m'ont semblé flagrantes dans ce second tome alors que ce n'était pas le cas avec son prédécesseur. Tout d'abord, j'ai trouvé l'intrigue de ce titre-ci, Rebelles, beaucoup trop saccadée et précipitée à mon goût. On a à peine le temps de prendre conscience que tel événement se déroulait qu'on passe déjà au suivant et à un autre point de vue. L'alternance entre différentes narrations ne m'a jamais dérangée, trouvant au contraire cette façon de procéder et de raconter l'histoire très enrichissante, et je ne dirais pas que c'est cela qui m'a le plus embêtée avec ce récit, loin de là. Non, ce qui m'a véritablement dérangée, c'est la vitesse à laquelle avançait l'intrigue, le fait qu'on ne prenne pas la peine de souffler un peu avant de se jeter de nouveau dans la gueule du loup. Cependant, il en aurait fallu bien plus pour totalement me perdre et me faire décrocher et je pense même que, de façon totalement contradictoire, c'est cette accélération des événements qui a fait que j'ai in fine autant accroché, incapable que j'étais de refermer le livre tant je ne l'avais pas terminé. Une chose est sûre, on ne pourra pas reprocher à Rhoda Belleza que son intrigue traîne en longueurs. C'est même tout l'inverse car tout s'enchaîne de façon plutôt fluide et cohérente. Il n'y a tout simplement aucun temps mort. Mais justement, j'aurais aimé que l'autrice laisse plus de place à la contemplation et ait la patience de faire un arrêt sur image à certains grands moments forts de son récit, histoire de nous faire réellement ressentir leur importance et en ajouter en teneur émotionnelle. M'est avis que cela aurait permis d'affirmer le côté épique de l'intrigue et ainsi de mieux happer le lectorat. Personnellement, j'ai été conquise avec cette intrigue intergalactique dès le départ car je m'y connaissais déjà assez bien en matière de SF et parce que j'ai été séduite par le côté pêchu, très dynamique de la plume de l'autrice. Il y avait ce petit quelque chose qui a fait que je me suis sentie impliquée, que je me sentais concernée par les enjeux rencontrés au cours de l'intrigue, par les nombreuses épreuves que les personnages avaient à surmonter. Par ailleurs, Rhoda Belleza ne les épargne nullement dans ce tome deux, bien au contraire, ce qui a fait autant mon bonheur que mon malheur. Bonheur car l'intensité dramatique était à son comble et que, dans le contexte présent, cela suivait malheureusement l'implacable logique du récit, en solidifiant par ce fait sa crédibilité. Malheur parce que bien évidement, mon petit c½ur a fini en mille morceaux éparpillés dans l'infinité de l'univers et a saigné d'un rouge aussi chatoyant que celui de la « Rose de la galaxie ».

En parlant de cette dernière, avant d'ensuite aborder la question des autres personnages de cette grande aventure, je reste certainement sa plus fidèle partisane. Pourtant, en voyant le résumé de ce tome-ci, j'avais fortement peur que ma petite Rhi ne me déçoive et que j'en finisse dépitée. Force est de constater que j'ai bien fait de placer ma confiance en elle. Encore une fois, je peux tout à fait imaginer le fait que de nombreux lecteurs ne se soient pas attachés à elle, qui est pourtant l'une des héroïnes centrales de histoire, pour ne pas dire celle qui se retrouve au c½ur de tout. Tout au cours de cette duologie, Rhi a fait des erreurs monumentales qu'on pourrait qualifier d'impardonnables. Mais elle s'est toujours relevée et elle a fait du mieux qu'elle a pu. J'ai beaucoup aimé le fait que cette duologie dans son ensemble souligne autant les imperfections de notre humanité, ainsi que l'importance de savoir se mettre à la place d'autrui. Rhoda Belleza a aussi su donner la part belle aux femmes, en particulier dans ce second tome, et cela fait franchement du bien. On nous dépeint des femmes fortes, têtes brûlées parfois, mais surtout courageuses, qui ne se laissent pas abattre et qui sont pleines de ressources. Pour le coup, les deux figures principales masculines que sont Aly et Dahlen s'en sont retrouvées totalement éclipsées de mon point de vue et c'est assez dommage car je les aime énormément ces deux-là. Mais in fine, j'ai accepté que Rhi et Kara, qui m'a paru résolument plus sympathique dans ce tome-ci, soient celles qui se retrouvent dans la lumière car elles le méritent, et ce pour un nombre incalculable de raisons que vous découvrirez si vous vous lancez dans cette courte saga - et j'espère sincèrement que vous le ferez.

Dernier petit point que je souhaitais mettre en avant : la place que Rhoda Belleza accorde aux thèmes inextricablement liés ici de la manipulation des masses et de l'intelligence artificielle/nouvelles technologies. Si j'ai trouvé que l'intrigue allait un peu trop vite à mon goût, notamment au niveau des moments d'émotion que j'aurais voulu plus étirés dans le temps, plus marqués, tout ce qui entoure le principe du « réécriveur », instrument tout droit sorti de l'imagination de l'autrice, était en revanche parfaitement clair et bien expliqué à mon sens. Je ne vous dirai pas à quoi sert cette machine au nom tout à fait intriguant et adéquat au vu de sa fonction, mais cela fait véritablement peur et c'est aussi tout ce qu'il y a de plus crédible. De quoi ajouter à mon angoisse au cours de ma lecture donc. On sent aussi que Rhoda Belleza a tiré les bonnes leçons de notre Histoire avec la figure d'antagoniste qu'est Nero. Ce dernier n'a rien à envier à l'empereur romain qui lui a inspiré son nom et je l'ai trouvé tour à tour méprisable, effarant et également absolument captivant. Il est l'incarnation même du brainwashing et de l'ambition. Cependant, malgré le fait qu'il soit la cruauté et le sadisme faits homme, il possède une certaine part de lumière en lui, j'en suis persuadée. Rhoda Belleza l'a pour ainsi dire "élaboré" de façon à ce que l'on ressente un lien de connivence avec lui et à ce qu'il soit un méchant crédible et mémorable à nos yeux. À tout le moins, il le restera aux miens. En revanche, j'ai été plutôt déçue de sa background story. J'en attendais beaucoup plus et je regretterai toujours que ce potentiel gâché n'ait pas été exploité comme il méritait de l'être.

Pour conclure, je ne peux que vous conseiller de vous plonger dans la lecture de cette duologie et de vous faire ainsi votre propre avis par vous-même. Je me rends compte qu'au cours de cette chronique, j'ai essayé de trouver de gros bémols à cette série livresque afin de rejoindre l'opinion générale alors qu'au fond, j'aurais juste aimé que l'autrice étoffe plus son intrigue, en particulier les instants tragiques et de fortes tensions, et développe le passif de ses personnages. Ce sont là les seuls petits points noir que je lui trouve. À ce niveau-là, je suis un peu restée sur ma fin mais je crois que cela prouve à quel point ces protagonistes me passionnent et me fascinent, d'où le fait que je veuille en savoir plus sur eux, et ça, c'est une bonne chose. Vous voyez, j'arrive même à extraire du positif de la seule chose qui a réussi à me frustrer et donc à me faire ressentir un sentiment mitigé. C'est dire à quel point j'aime cette saga et la défend ardemment ! Pour ma part, ma grande expédition dans les étoiles prend tristement fin mais il n'est pas trop tard pour vous pour embarquer dans le vaisseau de la plus torturée mais aussi de la plus courageuse des impératrices qui soit. De mon côté, si la mélancolie nostalgique commence déjà à me gagner à peine un peu plus d'une semaine après que j'eus fini ma lecture de cette folle histoire, elle a aussi un savant goût d'espoir. Merci Rhoda Belleza de nous avoir offert cette belle aventure aux confins de votre espace-temps ! J'ai vécu un fabuleux voyage, aussi épatant que chamboulant ! COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥
Tags : Fiche Lecture, Rhoda Belleza, service de presse, éditions Nathan, Littérature américaine, 2018, 2019, Science-fiction, YA, Young Adult, Bataille spatiale, space opera, pouvoir, organisation rebelle, alliance, course contre la montre, aventure, vengeance, galaxies, empire galactique, impératrice, dynastie, survie, espace, guerre, responsabilités, culpabilité, famille, amitié, entraide, méfiance, suspense, combat, ambition, politique, action, grandir, révélations, quête, technologie, robotique, manipulation, science avancée, intelligence artificielle, contrôle, médias, propagande, bourrage de crâne, deuil, drame, mort, sacrifice, souffrance, amour, reconnaître ses erreurs, faiblesse, héritage, force, honneur, courage, injustice, hypocrisie, faux semblants, coup de coeur ♥
​ 3 | 6 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.208.73.179) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le mercredi 29 mai 2019 07:10

Modifié le mercredi 29 mai 2019 12:56

FICHE LECTURE : Les Chevaliers des Gringoles - Livre 3 : Le Secret du Ki

FICHE LECTURE : Les Chevaliers des Gringoles - Livre 3 : Le Secret du Ki

• AUTEUR : Erwan Ji.
• ANNÉE : 2019 (FRANCE).
• GENRE (S) : Jeunesse.
• THÈMES : Créatures fantastiques, surnaturelles, univers merveilleux, mondes parallèles, zombies, cohabitation, yétis, amitié, tendresse, surprise, nouveaux liens, magie, humour, aventure, courage, solidarité, sacrifice, émotion, suspense, menace, danger, île abandonnée, crainte, absurde, gentillesse, entraide, enfance, collège, ingéniosité, intelligence, maturité, douceur, couleurs, extraordinaire, ahurissement, adrénaline, révélation, robots, protection, tendresse, folie, mystère...
• PAGES : 237.

Ma chronique du tome 1 : ici.
Ma chronique du tome 2 : ici.

Un chevalier des Gringoles est maître de son ki
(même quand quelqu'un raconte un truc vraiment marrant)


Après la découverte du monde de Léo, la naissance de Willow et la transformation de Gus, je pensais que plus rien ne pourrait m'impressionner. C'était avant de savoir ce qu'on trouverait dans les Monts Zinzolins. Ce jour-là, Léo m'a dit qu'on ne serait plus jamais les mêmes. Ça tombe bien, parce qu'une nouvelle mission se profile à l'horizon, et d'après Pigeon, on n'a que 2,7% de chances d'en sortir vivants. On aura bien besoin d'être différents si on veut changer le cours de l'histoire.

L'AUTEUR : Erwan Ji est né en 1986 à Quimper. Après un bac scientifique, il a passé une licence d'anglais en France et au Pays de Galles, puis un master de littérature aux États-Unis. Il a ensuite enseigné le français pendant trois ans près de Philadelphie, dans un lycée préparatoire atypique qui lui a inspiré son premier roman, J'ai avalé un arc-en-ciel, qui a obtenu le prix 15-17 de la Foire au Livre de Brive. Après un bref retour en France, il est allé chercher l'inspiration au Japon, où il est resté près d'un an pour enseigner le français et préparer son livre J'ai égaré la lune.

L'ILLUSTRATRICE : Papaya est née en 1987 en Russie. Après cinq ans dans l'industrie du jeu vidéo, elle s'est orientée vers la réalisation d'illustrations à son propre compte.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du troisième tome d'une saga qui, jusqu'à présent, s'est toujours montrée à la hauteur de mes espérances, j'ai nommé Les Chevaliers des Gringoles. Vous le savez sûrement mais cela fait maintenant un an que je suis les péripéties hautes en couleur et littéralement fantastiques de nos trois petits héros pas comme les autres, Wesley, Léonora et Gus. Un an que je dévore leurs aventures avec toujours le même enthousiasme et la même bonne humeur. Un an que j'attends à chaque fois avec une immense impatience la parution du prochain tome. Douze mois qui me semblent déjà loin et qui me font déjà éprouver une nostalgie bienheureuse. En effet, ce troisième tome qu'est Le Secret du Ki est l'avant-dernier et je l'ai donc lu avec la saveur douce-amère des adieux à venir en pensée. Je me plains souvent que les sagas sont embêtantes à lire car, plus elles sont grandes, plus elles perdurent dans le temps et cela est donc chronophage pour la lectrice que je suis mais en réalité, j'aime infiniment cette idée d'être accompagnée par une série, livresque ou télévisuelle, pendant des années et des années. Bien sûr, cela n'en est que plus dur quand vient l'heure de se dire au revoir mais selon moi, cela montre que ce que l'on vient de vivre sur la durée et qui s'achève à présent avait de l'importance à nos yeux et aura désormais une place dans notre c½ur, et ce pour toujours. Dans le cas des Chevaliers des Gringoles, je suis fière de pouvoir affirmer que cette saga correspond à l'un des chapitres de ma vie. Mais cessons le mélodrame car au fond, ce chapitre n'est pas encore fini ! Place donc à ma chronique du Secret du Ki !

Ce qui m'a d'abord particulièrement excitée avant même de commencer à lire ce livre, c'est l'idée d'explorer un nouveau recoin de l'île aux côtés de mon équipe de choc. En effet, la superbe couverture de ce tome, comme d'habitude avec Papaya et son coup de crayon j'ai envie de dire, et sa quatrième nous font clairement comprendre que nous, personnages comme lecteurs, allons découvrir une partie de Cayou qui nous était jusque là inconnue. Cet endroit, ce sont les Monts Zinzolin. Une fois n'est pas coutume, Erwan Ji a choisi de faire preuve d'ingéniosité avec le nom très original, pour ne pas dire insolite, de ces montagnes. C'est notamment ce que j'apprécie tant avec sa plume : elle suit le gré de son imagination. On sent que l'auteur a pris un véritable plaisir à mettre sur le papier les journées infernales, souvent dans le bon sens du terme, de ses attachants protagonistes collégiens la semaine et espions/aventuriers/chevaliers dotés de super pouvoirs le week-end ainsi qu'à créer l'incroyable univers dans lesquels ils évoluent. Erwan Ji a entre autre un talent inouï pour inventer de nouveaux mots et pour les amener dans son récit de façon à ce que cela nous semble tout naturel. Il a réussi à imprimer sa propre patte reconnaissable entre mille sur son intrigue, sur ce monde issu des folles divagations de sa caboche d'écrivain. C'est son ½uvre, sa création, cela lui appartient, et on le ressent un peu plus à chaque nouvelle parution d'un tome des Chevaliers des Gringoles. Il peut être fier de ce qu'il accomplit au fil du temps avec ce récit extrêmement riche et palpitant autant pour les petits que pour les grands. Bien sûr, je n'oublie pas la pierre à l'édifice apportée par l'illustratrice allemande Papaya mentionnée un peu plus haut. Elle a permis à cette fabuleuse île qu'est Cayou-des-Gringoles ainsi qu'à ses singuliers habitants de prendre vie sous nos yeux grâce à son trait adorable et minutieux à la fois et aux couleurs chatoyantes et incomparables à aucunes autres. Les mots me manquent pour décrire son formidable travail. Je dirais que l'écriture d'Erwan constitue le c½ur de cette saga des Chevaliers des Gringoles et le don pour le dessin de Papaya son âme. Cela résume joliment les choses, à mon sens.

Et pour en revenir le temps d'un paragraphe à l'endroit principal dans lequel se déroule cette intrigue, je n'ai pas été déçue, même si in fine, ce ne sont pas les monts Zinzolin qui se retrouvent véritablement au c½ur de l'intrigue mais l'île ayant un lien avec le fameux mot « Goofus » que Willow prononce à tout va. Je ne peux pas vous en dire plus... Cependant, je n'ai pas pris ombrage de ce changement de location car, comme les Menhirs Maudits et l'île du capitaine Barborhum dans les deux tomes précédents, le lieu de naissance de ma petite Willow d'amour s'est révélé être plein de surprises et a fait briller mes yeux de petite fille qui rêvait d'aventures à la fois exaltantes et dangereuses. Cela ne vous étonnera plus je pense vu que je ne cesse de vous marteler dans la tête depuis maintenant trois critiques littéraires que cette saga a le don de me faire retomber en enfance à chaque fois et de me donner également l'envie de prendre des risques, de voir la vie sous un autre angle, de façon plus insouciante et enjouée.

Un autre élément qui m'avait mis en joie en voyant la couverture de ce tome, c'est la présence de Drake. Celui-ci est, il me semble, présent sur toutes les couvertures mais auparavant, il y figurait en position de retrait, à l'écart de mon trio d'or adoré. Eh bien, je peux vous annoncer que cette fine équipe est désormais un carré magique ! Je suis tellement contente que des liens de plus en plus forts se tissent entre mes trois loulous que je ne présente même plus et le petit inventeur de génie qu'est Drake et qui est parvenu à se faire une place dans mon c½ur petit à petit au fil des tomes. Dès le début, il n'était déjà pas un antagoniste comme les autres car on pouvait sentir qu'il n'était pas si méchant que ça. Néanmoins, il a quand même réussi à me faire avoir des frayeurs, ce qui prouve qu'il faisait alors un ennemi crédible ! Mais on nous fait rapidement comprendre que Drake est bien plus que ça et dans ce tome, cela se ressent encore un peu plus fortement. Si au départ, j'étais gênée par l'absence d'émotivité chez Drake, ce sont in fine sa retenue et sa réserve qui m'ont le plus séduite chez lui. Et bien sûr, il a un autre grand atout dans sa manche : son fidèle Pigeon, qui s'est encore une fois révélé indispensable ! Il est probablement mon compagnon préféré, même s'il est difficile d'arriver à la cheville de Willow tant elle est mignonne. D'ailleurs, mon instinct ne m'avait pas trompée car on en apprend beaucoup plus sur elle dans ce troisième tome, pour mon plus grand bonheur ! Cela peut paraître excessif à dire mais j'en ai été toute tourneboulée de retourner ainsi sur les traces de ses origines. J'ai tout simplement fondu ! Cela me confirme aussi que je veux plus que jamais un girafon comme animal de compagnie. J'en ai absolument besoin d'un dans ma vie, c'est comme ça ! Pour ce qui est du troisième animal insolite, qui est introduit ici, je regrette de ne pas m'être attachée plus que ça à ce fameux Cyrille, le ptérodactyle miniature (rien que l'appellation en bouche un coin). Ne vous détrompez pas : il est absolument adorable et serviable mais je ne cache pas lui préférer les deux autres, qui ont des personnalités plus marquées. J'attends d'en savoir plus sur toi, mon Cyrillounet ! Ce n'est pas en lui donnant un pareil surnom que j'arriverai à m'en faire un ami, ça, c'est certain...

Avant de conclure, je ne pouvais pas ne pas parler du fameux Ki mentionné dans le titre ! Comme vous pouvez vous en doutez, la signification de ce terme mystérieux a une grande importance dans l'intrigue de ce tome. Je n'aimerais donc pas trop vous en dévoiler mais disons que le Ki désigne quelque chose de giga badass, si vous me pardonnez mon langage plutôt familier ! Il suffit de regarder les halos colorés qui entourent nos quatre vaillants collégiens sur la couverture, cela annonce déjà la couleur, sans vouloir faire de mauvais jeu de mots. Disons que le Ki est une jolie métaphore et expression de notre force intérieur. Je pense qu'en voyant nos courageux chevaliers prendre progressivement conscience de leurs propres qualités et de la véritable valeur d'autrui, cela aidera les enfants comme les plus grands à prendre confiance en eux et à réaliser qu'ils sont les héros de leur destin.

Dernière parenthèse absolument essentielle à faire que j'ai pourtant failli oublier : j'ai aussi énormément apprécié le message amené concernant la cause animale, plus particulièrement la façon dont on traite les animaux, notamment dans les laboratoires. Cela a été à mon sens fait en toute subtilité pour ne pas trop brusquer les âmes les plus innocentes ; néanmoins, on ne minimise pas la souffrance que les bêtes peuvent éprouver en de tels lieux d'horreur et le message est ainsi parfaitement clair et percutant. Autant vous dire qu'Erwan Ji sait prendre votre c½ur dans ses mains pour vous le briser en mille morceaux dans le cas présent, ou bien pour vous le regonfler à bloc. Pour ma part, cette démonstration d'empathie envers les êtres vivants et cet engagement pris constituent un vrai plus à cette saga enfantine qui avait déjà beaucoup de qualités. Cela ne m'en a fait que l'aimer encore plus.

Pour conclure, ce troisième tome des Chevaliers des Gringoles s'est révélé être à la hauteur de mes attentes et des deux précédents volumes ! C'est toujours aussi attendrissant, divertissant et drôle (mention spéciale à Gus d'amour, ou le roi comique incontesté de cette série littéraire) et cela me permet de m'enfermer dans une bulle réconfortante à chaque fois. Je n'en ai pas parlé plus avant dans ma chronique afin d'éviter tout spoil mais j'ai adoré la façon dont l'auteur gère le rythme de son récit, et notamment concernant les révélations qu'il y délivre, la fréquence à laquelle il les distille. Ce tome étant l'avant-dernier, il ne m'a donc pas déçue à ce niveau-là, étant plus fourni que les deux autres en matière de belles et foudroyantes surprises. J'ajouterais qu'Erwan Ji parvient à maintenir le suspens jusqu'au bout et, personnellement, je n'avais pas vu grand chose venir ! Chapeau, l'artiste ! Néanmoins, il reste encore deux grandes inconnues à l'équation que représente Les Chevaliers des Gringoles et je me demande comment l'auteur va gérer cela dans le tome final. Je trépigne d'impatience tout comme j'appréhende ce grand moment. Réponse au prochain épisode ! COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, Les Chevaliers des Gringoles, service de presse, éditions Nathan, Erwan Ji, 2019, Littérature française, Littérature enfantine, jeunesse, Créatures fantastiques, surnaturelles, univers merveilleux, mondes parallèles, zombies, cohabitation, yétis, amitié, tendresse, surprise, nouveaux liens, magie, humour, aventure, courage, solidarité, sacrifice, émotion, suspense, menace, danger, île abandonnée, crainte, absurde, gentillesse, entraide, enfance, collège, ingéniosité, intelligence, maturité, douceur, couleurs, extraordinaire, ahurissement, adrénaline, révélation, robots, protection, folie, mystère, Trilogie, Le Secret du Ki, Tome 3 ♥
​ 6 | 8 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.208.73.179) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le samedi 18 mai 2019 07:07

Modifié le dimanche 23 juin 2019 16:27

FICHE LECTURE : Les Orphelins de métal

FICHE LECTURE : Les Orphelins de métal

• TITRE V.O. : Tin.
• AUTEUR : Padraig Kenny.
• ANNÉE : 2018 (IRLANDE) ; 2019 (FRANCE).
• GENRE (S) : Jeunesse.
• THÈMES : Robots, automates, âme, steampunk, amitié, courage, aventure, c½ur, solitude, chagrin, questions, crise d'identité, souvenirs, mémoire défaillante, secrets, mystères, passé, douleur, entraide, solidarité, équipe, magie, famille recomposée, métal, enlèvement, marginaux, réécriture, quête, suspense, bienveillance, intelligence, ingéniosité, hardiesse, vaillance, enfance, science-fiction, règles, lois, rigidité, sévérité, tendresse, humour, innocence, naïveté, pureté, cupidité, appât du gain, mensonges, escroquerie, noirceur, froideur...
• PAGES : 344.

Christopher a beau être orphelin, il fait l'envie de tous ses amis... des amis bien particuliers, puisque ce sont des robots ! C'est que, contrairement à eux, il est ce qu'on appelle un Authentique : un être humain doté d'une âme, une vraie. Apprenti auprès d'un inventeur malhonnête, Absalom, le garçon observe avec consternation les manigances de son mentor, et passe ses soirées à enchanter ses camarades de métal avec les rares souvenirs qui lui restent d'avant – avant l'incendie qui lui a enlevé ses parents. Malheureusement, l'escroc se double d'un menteur... Absalom dissimule depuis des années un étonnant secret !

Quand la vérité éclate par une froide journée enneigée, le destin de Christopher est bouleversé à jamais. Enlevé par de parfaits inconnus, il part – enfin – à la découverte de lui-même. Mais c'est sans compter sur ses compagnons, qui ne l'entendent pas de cette oreille. Parmi eux, Lapoigne, un géant mécanique muet, Manda, petite fille perdue dans un monde qu'elle ne comprend pas, ou encore Rob, qu'Absalom n'a jamais vraiment terminé. Bien décidée à rattraper Christopher, la joyeuse bande se lance à sa poursuite sur les routes à bord d'une camionnette dérobée à leur créateur...

Embarquez dans l'aventure en compagnie d'êtres de chair et de métal qui, s'il leur manque littéralement quelques boulons, n'en sont pas moins terriblement attachants. Cette petite troupe de personnages hauts en couleur, excentriques et loyaux jusqu'à la mort mène tambour battant un bel hommage au Magicien d'Oz doublé d'un conte émouvant sur la nature humaine...

ஜ MON AVIS :

Coucou les amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'une des toutes nouvelles parutions de chez Lumen, Les Orphelins de métal. Ce roman me tentait énormément de par sa magnifique couverture qui rappelle clairement l'univers du Magicien d'Oz, un monde fantastique auquel je suis profondément attachée. Le titre anglophone, Tin, faisant sans aucun doute référence à l'homme en fer blanc, un personnage que j'affectionne beaucoup, et la citation en bas de cet article également - elle figurait originellement en tête du résumé -, il n'en fallait pas plus pour m'emballer.

In fine, mon excitation est un peu retombée comme un soufflé. Non pas que ce livre soit mauvais, loin de là : une fois embarqué dans cette folle aventure, difficile d'en décrocher. La plume est tout ce qu'il y a de plus agréable à lire et j'ai ainsi fini cette ouvrage en moins de temps qu'il n'en faut à Dorothy pour dire « Kansas ». Je trouve juste que l'énorme potentiel des Orphelins de métal a été cruellement sous-exploité.

Pour commencer, on pourrait résumer l'intrigue en un mouchoir de poche : Christopher se fait kidnapper et ses amis vont le récupérer. Fin de l'histoire. Je le reconnais, j'exagère un tantinet. Mais honnêtement, avec un livre qui fait presque 350 pages, je m'attendais à beaucoup plus de rebondissements et surtout de révélations. Pourtant, je n'ai pas la sensation d'avoir fait l'expérience de passages à vide avec ce récit. J'ai plutôt eu l'impression que l'auteur avait su habilement me berner en réussissant à me faire passer outre les éventuelles longueurs de son matériau. In fine, je me sens dupée car j'en attendais beaucoup plus ; il y avait effectivement matière à faire.

Par exemple, j'aurais aimé avoir beaucoup plus d'explications concernant les automates, qui sont tout de même au c½ur de l'intrigue. Pourquoi interdit-on la fabrication de robots authentiques, c'est-à-dire capables de sentiments humains ? Pourquoi cette Angleterre différente de celle que nous connaissons est-elle régentée ainsi ? L'auteur nous apporte effectivement des informations mais je les ai trouvées très mal agencées et distillées. Lorsque l'on tourne la dernière page, on se retrouve in fine avec beaucoup plus de questions qu'au départ. Je suis ressortie de ce livre extrêmement frustrée car son univers très steampunk m'avait séduite et fortement intéressée mais en matière de contenu et de développement, je suis résolument restée sur ma faim.

Je dirais que le point fort de ce roman haut en couleurs reste indubitablement ses protagonistes. J'ai tout simplement adoré Christopher, ce jeune garçon admirable qui va découvrir beaucoup de choses sur lui-même au fil du récit et qui va tout encaisser avec beaucoup d'humilité et de courage. Je me suis également profondément attachée à la joyeuse bande qui va tout faire pour le ramener à la maison : que ce soit Lapoigne, le gigantesque robot muet à la force de titan et au c½ur d'or ; Manda, l'adorable petite fille qui pense toujours au bien être de ses amis avant le sien et qui est extrêmement sensible ; Jack, le vaillant robot protecteur et qui n'hésite pas à toujours se dépasser pour aider ceux qu'il aime ; Eliza, la mécanicienne intrépide et au fort tempérament et Rob, mon petit chouchou qui n'est qu'une boule d'amour qui mérite tout ce qu'il désire du plus profond de son immense c½ur d'acier, ils ont tous su me faire fondre. Cependant, j'aurais voulu que l'ensemble des personnages soit mieux exploité, que ces derniers soient plus étoffés, et en apprendre plus sur l'histoire de chacun. Je pense notamment à l'étrange figure paternelle qu'est Absalom, l'inventeur peu scrupuleux qui survient au début du récit pour mieux en disparaître, ce que j'ai trouvé extrêmement dommage. Cormier aussi méritait d'être plus mis en avant. Il a une place essentielle dans l'histoire et pourtant, je l'ai trouvé très distant, détaché. Je ne saurais décrire mon ressenti : j'ai éprouvé de l'empathie pour ce personnage d'inventeur prodigieux mais j'ai trouvé qu'il lui manquait une certaine humanité, comme si son créateur, Padraig Kenny, ne lui avait pas accordé toute l'attention qu'il mérite. Même à ce niveau-là, je ne suis pas convaincue, alors que les personnages sont ce qu'il y a de plus abouti dans cette intrigue à mon sens.

Il m'a définitivement manqué un petit quelque chose de façon générale. Je terminerai sur ce dernier point : je ne comprends pas l'utilisation en en-tête de la superbe citation de l'homme en fer blanc sur la quatrième de couverture. Ni le rattachement fait au Magicien d'Oz par le biais du titre V.O. et de la présentation du livre par les maisons d'édition. Oui, l'ouvrage possède une splendide couverture vert émeraude qui en ferait pâlir d'envie la Méchante sorcière de l'Ouest - la jalousie, elle en connaît un rayon. Oui, la plupart des personnages sont des robots, des créatures fabriquées sous l'effet d'un coup de génie qui désirent acquérir des caractéristiques propres aux humains : la capacité d'aimer, de penser par soi-même, etc. Divers éléments sont là pour nous rappeler le monde de la route aux briques jaunes mais j'ai trouvé cela tout de même trop léger. Je ne dirais pas que le rapprochement avec le chef d'oeuvre d'L. Frank Baum a été fait par pur souci de marketing, ce serait là faire preuve d'une sacrée mauvaise foi. Néanmoins, je pense que cette réécriture aurait pu être beaucoup mieux réussie. Après tout, ce ne sont pas les éléments qui manquent dans l'oeuvre originelle pour s'en inspirer, les exploiter convenablement et creuser plus avant la merveilleuse histoire d'Oz.

Vous l'aurez compris, je reste résolument sur un sentiment d'inachevé avec Les Orphelins de métal. Je pardonnerais cette très désagréable sensation s'il s'agissait d'un tome un mais la fin nous fait comprendre de façon assez claire qu'il n'y aura pas de suite et c'est profondément dommage. Tout était réuni pour produire au Magicien d'Oz un très digne successeur mais je n'en vois ici que l'ombre. Je reconnais que les mots que j'emploie sont très durs car in fine, j'ai passé un très agréable moment en compagnie de ce livre et de ses fabuleux personnages, qui méritaient mieux cependant. J'attendais quelque chose de fantastiquement épique et je ressors de ce roman le c½ur pétri de chaleureuse douceur. C'est déjà pas mal, non-? ★★★(★)★

Nanette ♥

« Je sais à présent que j'ai un c½ur, parce qu'il est brisé... »
Tags : Fiche Lecture, Lumen Editions, Les Orphelins de métal, 2018, 2019, Irlande ♥, Padraig Kenny, Jeunesse, Robots, automates, âme, steampunk, amitié, courage, aventure, c½ur, solitude, chagrin, questions, crise d'identité, souvenirs, mémoire défaillante, secrets, mystères, passé, douleur, entraide, solidarité, équipe, magie, famille recomposée, métal, enlèvement, marginaux, réécriture, quête, suspense, bienveillance, intelligence, ingéniosité, hardiesse, vaillance, enfance, science-fiction, règles, lois, rigidité, sévérité, tendresse, humour, innocence, naïveté, pureté, cupidité, appât du gain, mensonges, escroquerie, noirceur, froideur
​ 7 | 9 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.208.73.179) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le dimanche 07 avril 2019 09:56

Modifié le jeudi 18 avril 2019 12:11

  • 1
  • 2
  • 3
  • Suivant

Design by Lunartic

Signaler un abus

Abonne-toi à mon blog ! (2 abonnés)

RSS

Skyrock.com
Découvrir
  • Skyrock

    • Publicité
    • Jobs
    • Contact
    • Sources
    • Poster sur mon blog
    • Développeurs
    • Signaler un abus
  • Infos

    • Ici T Libre
    • Sécurité
    • Conditions
    • Politique de confidentialité
    • Gestion de la publicité
    • Aide
    • En chiffres
  • Apps

    • Skyrock.com
    • Skyrock FM
    • Smax
  • Autres sites

    • Skyrock.fm
    • Tasanté
    • Zipalo
  • Blogs

    • L'équipe Skyrock
    • Music
    • Ciné
    • Sport
  • Versions

    • International (english)
    • France
    • Site mobile