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32 articles taggés Fiche film

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FICHE FILM : Les aventures de Bernard et Bianca

FICHE FILM : Les aventures de Bernard et Bianca
FILM D'ANIMATION | 1977 | RÉALISÉ PAR WOLFGANG REITHERMAN | DISNEY, ADAPTATION DE ROMAN, AVENTURE, ANTHROPOMORPHISME, ENLÈVEMENT, ORPHELINE, ENFANCE, TENDRESSE, SOLITUDE, CHAGRIN, TRÉSOR, CUPIDITÉ, ENTRAIDE, ESPOIR, HUMOUR | 1 H 33 | AVEC LES VOIX FRANÇAISES DE ROGER CAREL, PERRETTE PRADIER, BÉATRICE DELFE, PHILIPPE DUMAT...

➜ La jeune orpheline Penny, qui a été kidnappée par l'horrible Mme Médusa, jette à la mer une bouteille contenant un message de détresse. Quelque temps plus tard dans les caves du bâtiment des Nations unies, le président de la SOS Société, sorte d'ONU rassemblant toutes les souris du monde, convoque une assemblée afin d'organiser une expédition de secours. Miss Bianca, une charmante souris blanche déléguée de Hongrie, se porte volontaire. Après un temps d'hésitation, le Président de la SOS Société suggère de lui adjoindre un coéquipier. Ne sachant qui choisir, Miss Bianca jette finalement son dévolu sur Bernard, le concierge. C'est alors que commence pour eux une longue suite de péripéties.

ஜ MON AVIS :

Coucou les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour vous parler très rapidement d'un Disney cher à mon c½ur que j'ai visionné pour la énième fois avec un plaisir non dissimulé tout récemment, j'ai nommé le premier volet des aventures de Bernard et Bianca.

Que vous dire sur ce grand classique du cinéma d'animation si ce n'est qu'il s'agit là d'un véritable bonbon à consommer sans modération qui n'a absolument pas pris une ride (à mes yeux à tout le moins) ? Pour ma part, j'ai passé un pur moment de douceur en le regardant de nouveau. C'est tendre, c'est drôle, c'est palpitant, cela fait passer un beau message d'espoir, de gentillesse et de solidarité, c'est bien écrit, bien doublé avec des voix tout bonnement cultes du doublage français, et l'intrigue à la fois palpitante et émouvante est servie par de sublimes, merveilleuses chansons qui vous restent assurément en tête. On ajoute à cela des protagonistes et antagonistes absolument incontournables et on obtient ce premier opus de Bernard et Bianca, ou une jolie réussite cinématographique à tous les niveaux'!

Pour conclure, si jamais vous n'avez pas encore vu ce Disney, qu'est-ce que vous attendez ? Il serait fortement dommage de passer à côté de cette bulle de fraîcheur au style graphique délicieusement old school qui vous fera vivre la plus incroyable et captivante des aventures auprès du plus formidable duo de souris sauveteurs qui soit. Soyez assurés que vos enfants ou ceux de votre entourage seront eux aussi purement et simplement ravis de cette découverte ! Alors, prêts à embarquer pour le bayou à la recherche de l'½il du Diable ? ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche film, Film d'animation, 1977, Les aventures de Bernard et Bianca ♥, Wolfgang Reitherman, Disney ♥, adaptation de roman, aventure, anthropomorphisme, enlèvement, orpheline, enfance, tendresse, solitude, chagrin, trésor, cupidité, entraide, espoir, humour, Roger Carel, Perrette Pradier, Béatrice Delfe, Philippe Dumat, Excellent film !
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#Posté le mercredi 10 juin 2020 14:08

Modifié le vendredi 12 juin 2020 16:25

FICHE FILM : Dark Crystal

FICHE FILM : Dark Crystal
FANTASY | 1982 | RÉALISÉ PAR FRANK OZ, JIM HENSON | OPPRESSION, LUTTE DU BIEN CONTRE LE MAL, QUETE, APPRENTISSAGE, SAGESSE, RENCONTRE DECISIVE, ENTRAIDE, AVENTURE, RESTAURER L'HARMONIE DU MONDE | 1 H 33 | AVEC LES VOIX ORIGINALES DE STEPHEN GARLICK, LISA MAXWELL, BILLIE WHITELAW, JERRY NELSON, BARRY DENNEN...

➜ Un autre monde, un autre temps, à l'âge des miracles... Jen et Kira, seuls survivants de la race des Gelfings, partent à la recherche d'un éclat de cristal gigantesque, abîmé dans une commotion planétaire, qui donne force et puissance aux Mystiques, un peuple sage et pacifique. Ils doivent affronter les terribles et cruels Skekses qui tiennent ces derniers en esclavage.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique d'un film culte de la fantasy, j'ai nommé Dark Crystal de Jim Henson et Frank Oz.

Personnellement, j'ai beaucoup apprécié ce long-métrage où absolument tout crie années quatre-vingt, à commencer par la conception des personnages avec ces marionnettes caractéristiques de l'½uvre de Jim Henson. Après avoir entre autres créé les mythiques Muppets, c'est tout un univers sombre et enchanteur que ce dernier a réussi à élaborer avec l'étroite collaboration de Frank Oz, interprète du légendaire Maître Yoda. Certes, les effets spéciaux de ce film ne sont clairement plus tout jeunes, c'est kitsch à souhait, mais c'est ce qui fait son charme selon moi. Cela contribue effectivement à mon sens grandement à l'ambiance du film ainsi qu'à son identité et esthétique reconnaissables entre mille. La bande soundtrack accompagne elle aussi à merveille l'intrigue et apporte ainsi sa pierre à l'édifice. Le tout donné un monde inventé de A à Z (même s'il reprend les codes classiques de la fantasy/conte de fée : un héros, une quête, des méchants à vaincre - quoique...) aussi hostile et dangereux que fascinant et ensorcelant. Je peux tout à fait comprendre pourquoi aujourd'hui on en parle encore !

Pourtant, l'on pourrait penser que d'employer des marionnettes comme essentielles, voire carrément comme seules et uniques protagonistes de l'histoire, disons le franchement, aurait pu rendre l'ensemble fort peu crédible, or, ce fut tout l'inverse de mon côté : j'ai en effet trouvé ces pantins articulés tout ce qu'il y a de plus vivants et attachants, j'ai ressenti les mêmes émotions qu'eux au fil de leurs tumultueuses péripéties et j'ai également craint sérieusement pour leur existence - du moins, pour ce qui est de nos deux personnages principaux Jen et Kira, du mignon tout plein petit peuple des Podlings, de la prophétesse qui n'a pas la langue dans sa poche Aughra et de l'adorable boule de poils de compagnie Fizzgig. Les Skesis et leurs serviteurs/mercenaires Garthim quant à eux m'ont fichée une sacrée frousse ! Très sincèrement, je pense que si j'avais vu ce film enfant, j'en aurais été traumatisée tant ils sont aussi répugnants à l'intérieur qu'à l'extérieur, ça, c'est certain ! Quant bien même j'ai adoré la façon dont ils sont tournés en ridicule et souligne leur vanité, cela a permis d'alléger considérablement l'atmosphère de mon côté...

Vous l'aurez compris, j'ai été tout simplement embarquée dans le monde ténébreux et si envoûtant de Dark Crystal. Ce fut là une bien jolie aventure que j'ai vécue au côté des Gelflings et des Skesis ! Il me tarde désormais de visionner la série Netflix Dark Crystal : L'âge de la Résistance qui m'a tout l'air d'être une préquelle assurément digne de son illustre film d'origine ! ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche film, Dark Crystal, fantasy, 1982, Franz Oz, Jim Henson, oppression, lutte bien/mal, quête, apprentissage, sagesse, rencontre décisive, entraide, aventure, restaurer l'harmonie du monde, Stephen Garlick, Lisa Maxwell, Billie Whitelaw, Jerry Nelson, Barry Dennen, Excellent film !
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#Posté le dimanche 26 avril 2020 17:00

Modifié le vendredi 22 mai 2020 15:51

FICHE FILM : The Hate U Give - La haine qu'on donne

FICHE FILM : The Hate U Give - La haine qu'on donne
FILM DRAMATIQUE | 2018 | RÉALISÉ PAR GEORGE TILLMAN JR. | 2 H 04 | SÉGRÉGATION RACIALE, INJUSTICES POLICIÈRES, GANGS, CONFLIT, ÉLEVER SA VOIX, ACTIVISME, FAMILLE, ADOLESCENCE | AVEC AMANDLA STENBERG, REGINA HALL, RUSSELL HORNSBY, ANTHONY MACKIE...

➜ Une adolescente, qui a grandi dans un quartier pauvre, suit les cours d'une école préparatoire de banlieue. Un jour, devant ses yeux, l'un de ses amis, non armé, est abattu par un policier...

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un film qu'il me tardait véritablement de découvrir au vu de l'amour incommensurable que j'éprouve pour son roman d'origine dont il a par ailleurs conservé le titre, à savoir The Hate U Give.

Si vous avez une excellente (mais alors excellente mémoire !), vous savez surement qu'il y a deux ans de cela maintenant, j'ai eu un coup de foudre absolument incroyable pour le roman d'Angie Thomas du même nom et j'étais donc surexcitée à l'idée d'en découvrir son adaptation cinématographie sortie au tout début de l'année 2019. Malheureusement, le film n'était pas resté bien longtemps à l'affiche dans ma ville et je l'avais donc, la mort dans l'âme, loupé.

Je remercie donc infiniment Canal + (comment ça, on n'a pas le droit de citer de marques ou de chaînes TV ?) de m'avoir donné la splendide opportunité d'enfin le visionner car ce film est à mon sens un petit bijou, une authentique réussite, un vibrant et poignant hommage a l'½uvre littéraire duquel il prend ses racines.

Pour être tout à fait honnête avec vous, je ne vois pas très bien ce que je pourrais vous en dire car j'ai tout simplement tout adoré dans ce long-métrage. Les décors et l'esthétique des différents protagonistes sont notamment superbement travaillés : c'est tout à fait comme cela que je m'imaginais la maison et le quartier de Starr, les divers lieux du récit, l'apparence des personnages, leur habillement, etc. Les morceaux musicaux choisis sont également au top et correspondent parfaitement à l'univers de notre lumineuse héroïne. Les compositions instrumentales propres au film sont tout aussi bien amenées et accompagnent ainsi à merveille les nombreux instants forts de l'intrigue.

Puisque je vous parlais du rendu visuel de nos personnages initialement d'encre et de papier un peu plus haut, parlons justement du casting. Amandla Steinberg fait une magnifique tête d'affiche dans le rôle de Starr : elle est belle, rayonnante, elle a su s'approprier la pléthore d'émotions que son personnage d'adolescente entre deux mondes est amené à éprouver au cours de l'intrigue et les a fait siennes, nous permettant ainsi de ressentir intensément la colère, le désarroi, l'immense chagrin de cette dernière et de créer un solide lien de connivence avec elle au fur et à mesure que le fil de l'action se déroule. Pour ma part, j'ai trouvé son interprétation criante de vérité, d'un réalisme saisissant et cela vaut également pour tous les autres acteurs de ce film. Ils ont réussi l'exploit de faire véritablement corps avec leur personnage, du début jusqu'à la fin, au point que, dès le départ, je ne regardais pas des comédiens jouant un rôle bien précis mais des personnes réelles qui avaient une histoire à nos raconter - LEUR histoire, pétrie de souffrance, d'injustice, de rage, de haine mais aussi de bonheur, de joie et d'amour. Pour en revenir au casting juste impeccable qui a été fait pour ce film, je tenais à rapidement faire deux petites mentions spéciales. La première va à K.J. Apa, que vous connaissez probablement plus pour son rôle d'Archie Andrews dans la série Riverdale. J'étais extrêmement curieuse de voir cet acteur que j'apprécie beaucoup jouer dans autre chose. Non pas que je n'affectionne pas Riverdale ni le personnage d'Archie, simplement... Cela commence un peu à me sortir par les yeux, je l'avoue. Néanmoins, cela ne m'a pas empêché de constater le talent de K.J. que je voulais voir s'exprimer ailleurs, et je n'ai pas été déçue. Je suis très heureuse qu'il ait été sélectionné pour le rôle de Chris car ce personnage lui va à mon sens comme un gant : un peu gaffeur et même exaspérant à certains moments mais tout ce qu'il y a de plus sincère dans ses attentions et profondément attentionné et juste. Il a réussi à rendre à l'écran chaque petit aspect de Chris qui font que j'ai aimé du plus profond de mon petit c½ur ce personnage la première fois sur le papier et la flamme s'est ravivée ici. Comme quoi, oublier le galimatias que représente la vie beaucoup trop tourmentée pour que cela en soit crédible à mon goût d'Archie Andrews et K.J. en devient un acteur très intéressant et touchant qui s'en sort comme un chef. Ma seconde mention spéciale va quant à elle à Anthony Mackie, qui a su me démontrer qu'il faisait un King assurément plus vrai que nature. En effet, et contrairement à ce que j'avais pu vous affirmer ci-dessus, Anthony Mackie était le seul à l'affiche qui ne correspondait pas à l'image que je me faisais de King dans ma tête, et pour cause : là où Angie Thomas dans son livre nous décrivait une caricature sacrément comique, poussée à l'extrême mais qui n'en reste pas moins convaincante et effrayante de Don Vito Corleone à la sauce afro pour l'apparence physique (et la mentalité aussi) de King, le redoutable chef de gang du quartier de Starr qui va lui mener la vie dure, Anthony Mackie en incarne l'exact opposé. En réalité, je ne pouvais pas plus me tromper car, même si Anthony Mackie représente l'inverse total de King physiquement, il a su en conserver l'aura lourde et imposante, malfaisante et vicieuse et je me suis surprise à avoir les poils qui se hérissaient et le c½ur étreint d'une peur panique dès qu'il apparaissait à l'écran. Chapeau bas, l'artiste. En vrai, chapeau bas à l'ensemble du casting de ce film car ils méritent tous amplement des éloges pour leur formidable interprétation de leur personnage respectif.

Last but certainly bit least - dernier point que je souhaitais aborder dans cette chronique résolument dithyrambique (et je l'assume à 200%), c'est le remarquable travail réalisé par la scénariste du film, Audrey Wells. Elle a réussi à mon sens à respecter l'essence intrinsèque du livre en en conservant toutes ses composantes fondamentales de façon admirable. Bien sûr, certains aspects plus apparents et étoffes dans le livre n'ont pas pu être traités autant en profondeur dans le film faute de temps mais cela n'amoindrit en rien la puissance de son propos, l'impact durable qu'il peut avoir sur le spectateur et c'est au fond tout ce qui compte.

Pour conclure, ce que je retiendrai essentiellement de ce film, comme du livre, c'est la magistrale leçon d'humanité qu'il nous donne en héritage et dont nous nous devons de faire fleurir les graines dans nos c½urs. Quelles que soient nos origines ethniques, sociales, il est capital que nous soyons capables de VOIR l'autre, dans son entièreté, sans se laisser aveuglés par un voile de haine par notre peur de la différence. C'est ce que ce film m'a appris et bien d'autres choses encore et pour ça, je ne peux que chaudement vous le recommander ! COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥
Tags : Fiche film, The Hate U Give – La Haine qu’on donne, Cinema américain, Film dramatique, 2018, George Tillman Jr., Ségrégation raciale, injustices policières, gangs, conflit, élever sa voix, activisme, famille, adolescence, Amandla Stenberg ♥, Regina Hall, Russell Hornsby, Anthony Mackie, coup de coeur ♥
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#Posté le samedi 21 mars 2020 15:08

Modifié le dimanche 29 mars 2020 12:00

FICHE FILM : Dunkerque

FICHE FILM : Dunkerque
FILM DE GUERRE | 2017 | RÉALISÉ PAR CHRISTOPHER NOLAN | 2 H 04 | SECONDE GUERRE MONDIALE, ARMEE ANGLAISE, ALLIES, DRAME, SAUVETAGE, COMBATS AERIENS, EVENEMENT DECISIF | AVEC FIONN WHITEHEAD, TOM GLYNN-CARNEY, MARK RYLANCE, TOM HARDY, CILLIAN MURPHY, HARRY STYLES, KENNETH BRANAGH...

➜ Au début de la Seconde Guerre mondiale, en mai 1940, environ 400 000 soldats britanniques et français se retrouvent encerclés par les troupes allemandes dans la poche de Dunkerque. L'Opération Dynamo est mise en place pour évacuer le Corps expéditionnaire britannique (CEB) vers l'Angleterre.

L'histoire s'intéresse aux destins croisés des soldats, pilotes, marins et civils anglais durant l'Opération Dynamo. Alors que le CEB est évacué par le port et les plages de Dunkerque, trois soldats britanniques, avec un peu d'ingéniosité et de chance, arrivent à embarquer sous les bombardements. Un périple bien plus grand les attend : la traversée du détroit.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique de Dunkerque signé par le grand Christopher Nolan, dont j'avais notamment juste adoré les précédents chefs-d'½uvre Inception et Interstellar. Il me tardait donc de voir ce qu'il allait nous proposer avec cette adaptation sur grand écran de ce moment indéniablement décisif de notre Histoire... et bon sang, quelle déception !

Très sincèrement, je m'attendais à ce que ce film soit un coup de foudre, une révélation, et il n'en fut rien. Je dirais même qu'à l'inverse, en le regardant, j'avais la sensation extrêmement désagréable et dérangeante d'être complètement en dehors du film tout du long. Pour être tout à fait franche avec vous, je me demande comment j'ai fait pour tenir les 1 h 47 que dure très exactement ce film car ce fut long mes amis, ce fut interminablement long, avant que toute cette folle exfiltration n'en arrive enfin à son dénouement qui fut de mon côté tout aussi décevant et fade que le reste.

Au fond, l'image qui correspondrait le mieux à mon ressenti vis-à-vis de ce long-métrage, c'est un soufflé fort appétissant et savoureux en apparence qui retombe instantanément une fois que l'on s'en est approché d'un peu trop près afin d'en découvrir toutes les qualités pour les yeux et les papilles, qui s'apparenteraient plutôt ici à de jolis artifices qui ne convainquent guère sur la durée tant ils ne parviennent pas à nous dissimuler le vide intersidéral de notre soufflé bien enrobé. Car oui, Dunkerque est une authentique réussite en matière d'esthétisme, de visuels grandioses et d'effets spéciaux spectaculaires. En même temps, avec Nolan, on s'attend toujours à du WAW, donc cela n'a rien d'étonnant. Pas de mauvaise surprise de ce côté-là donc, au contraire. Cependant, un film ne se résume pas qu'à son aspect technique, aussi travaillé et soigné soit-il. Ce serait beaucoup trop simple, sinon. Dans le cas présent, Dunkerque m'a éblouie par ses décors, son incroyable colorimétrie essentiellement dans les tons de bleu et de gris absolument magnifique, sa photographie impeccable. Mais niveau émotions, comment vous dire... Cela ne l'a clairement pas fait. En toute honnêteté, je comprends tout à fait la démarche qu'a entreprise Nolan, les choix scénaristiques qu'il a opérés, avec entre autres cette volonté de conserver l'anonymat des nombreux protagonistes de ce récit car au fond, ces soldats héros de l'ombre nous restent aujourd'hui encore totalement inconnus, ce qui ne signifie pas pour autant que nous ne devons pas nous montrer reconnaissants pour ce qu'ils ont fait, le véritable exploit qu'ils ont accompli et qui nous permet d'être qui nous sommes aujourd'hui, des Français libérés de la domination allemande. Néanmoins, cette profusion impressionnante de figurants et cet anonymat assumé m'ont pour ma part totalement déroutée et cette absence d'informations sur le passif des personnages, sur leur vie, leurs sentiments m'a empêché de m'attacher à eux et même de ressentir quoique ce soit à leur encontre. Résultat, je me suis sentie extrêmement coupable et mal à l'aise de ne pas parvenir à me soucier suffisamment de leur sort pour véritablement accrocher avec le propos du film. Un autre point qui m'a profondément dérangé, c'est le cruel manque de dialogues. Encore une fois, je comprends l'intérêt de laisser les images, juste somptueuses au demeurant, parler à la place des personnages à certains moments-clés mais pas durant l'intégralité du film ou presque. Ici, cela a fait clairement ressortir l'absence d'un réel fil rouge conducteur et m'a d'autant plus donné envie d'éteindre ma télévision à de nombreuses prises tant je me sentais confuse et ennuyée (dans les deux sens du terme) face à ce que je regardais. In fine, Dunkerque n'aura su capter mon attention à aucun moment donné. La musique de Hans Zimmer est parfois parvenue à me sortir de ma torpeur mais là encore, j'ai été désappointée de constater à quel point cette bande soundtrack, que l'on doit pourtant à l'un des compositeurs de musiques de films les plus prodigieux de notre époque, était peu mémorable. Certes, elle accompagne à merveille le propos du film lors de certaines scènes clés qui font résolument montrer le suspens d'un cran mais ça s'en arrête là.

D'ailleurs, ma critique assurément négative touche à sa fin elle aussi. Vous l'aurez certainement compris je pense, mais Dunkerque aura été de mon côté un flop total. Malgré son casting cinq étoiles, qui au passage est très mal mis en avant, et ses aspects techniques de toute beauté qui méritaient sans aucun doute leurs Oscars, ce film reste à mes yeux tout ce qu'il y a de plus plat, fade et sans intérêt. Autrement dit, la chute a fait mal, très mal. Croyez-m'en bien qu'il m'en coûte de terminer mon article dédié à ce film sur cette note. ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche film, Dunkerque, film de guerre, 2017, Christopher Nolan, Seconde Guerre Mondiale, armée anglaise, alliés, drame, sauvetage, combats aériens, événement décisif, Fionn Whitehead, Tom Glynn-Carney, Mark Rylance, Tom Hardy, Cillian Murphy, Harry Styles, Kenneth Branagh, Je n'ai pas aimé
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#Posté le samedi 21 mars 2020 15:10

Modifié le samedi 28 mars 2020 17:13

FICHE FILM : La Grande Vadrouille

FICHE FILM : La Grande Vadrouille
COMEDIE | 1966 | RÉALISÉ PAR GERARD OURY | 2 H 04 | SECONDE GUERRE MONDIALE, RESISTANCE, FUITE, ENTRAIDE, ANGLAIS, OCCUPATION ALLEMANDE | AVEC BOURVIL, LOUIS DE FUNES, TERRY-THOMAS, CLAUDIO BROOK...

➜ En 1942, un avion anglais est abattu par les Allemands au-dessus de Paris. Les trois pilotes sautent en parachute et atterrissent dans différents endroits de la capitale. Ils sont aidés par deux civils français, un chef d'orchestre et un peintre en bâtiment qui acceptent de les mener en zone libre; ils deviennent ainsi, malgré eux, acteurs de la Résistance.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique d'un authentique monument du cinéma français, j'ai nommé La grande vadrouille signé Gérard Oury... que je n'avais encore jamais vu avant que nous entrions dans cette période de confinement. Oui, il aura fallu que nous nous retrouvions dans cette situation tout bonnement exceptionnelle qui est actuellement la nôtre pour que je regarde ENFIN ce film ! Et je puis vous garantir que je n'ai sans conteste pas regretté ce visionnage !

Très sincèrement, j'ai passé un moment juste délicieux devant ce long-métrage. Pour commencer, sa remasterisation est à mon sens purement et simplement époustouflante ; on pourrait presque croire que cela a été tourné à notre époque. Cependant, la qualité de cette oeuvre cinématographique ne réside pas qu'en son aspect esthétique et technique extrêmement soigné, bien au contraire : c'est selon moi la simplicité et l'ingéniosité tout à la fois de son scénario qui fait assurément sa force. Faire se rencontrer deux invidus à l'extrême opposé l'un de l'autre qui vont malgré eux devenir les protecteurs et alliés de trois pilotes anglais résolument hauts en couleur, c'était là une idée de génie dont l'efficacité est restée intacte aujourd'hui. En effet, La Grande Vadrouille n'a indéniablement pas pris une ride et je peux comprendre pourquoi ce film a bercé des générations de Français et continuera sans aucun doute à le faire !

L'autre atout évident de ce film, c'est bien évidemment son casting ! Personnellement, j'ai trouvé que chaque acteur et actrice présent dans ce film était parvenu à interpréter son rôle à merveille. En effet, dans l'ensemble, tous les comédiens jouent à ce point leur personnage à la perfection qu'on ne fait guère de différence entre ces derniers et la véritable personne qui se cache derrière. Sinon, ai-je besoin de vous préciser que Bourvil et Louis de Funès forment un duo indubitablement exceptionnel et irrésistible ? Je ne crois pas, non. Ces deux-là réunis font d'uniques étincelles, que dis-je, un pétaradant feu d'artifices (oui, j'assume totalement ce pléonasme que je trouve nécessaire ici) dont l'éclat ne s'affaiblira jamais. Pour ma part, je me suis délectée avec un plaisir non dissimulable de leur humour respectif reconnaissable entre mille et définitivement indémodable. Qu'on ne s'en lasse jamais, je veux bien le croire, assurément.

Pour conclure, je ne peux que chaudement vous recommander ce film au charme franglais manifestement imparable si, comme moi, vous viviez jusqu'à présent dans une grotte diantrement sombre vous empêchant de découvrir ce chef d'oeuvre du cinéma français comme il se doit. De mon côté, je me suis laissée embarquée sans résistance aucune dans ce périple résolument mouvementé vers la France libre (avec au passage un petit crochet tout ce qu'il y a de plus appréciable, magnifiquement divin, par les Hospices de Beaune, qu'il vous faut à tout prix aller visiter si cela n'est point déjà fait) et je repartirai résolument bien pour un tour de planeur et autres moyens de transports somme toute insolites au côté de notre improbable couple de formidables zigotos et leur joyeuse petite troupe ! ★★★★★

Nanette ♥

« - You come with me to pick up Peter.
- Nan, you, you come with me to pick Mac Hintosh.
- No, you.
- I beg your pardon but I don't understand.
- And if you don't come, I... I... Oh merde alors comment on dit !
- Mais comment ça « merde alors » ! But alors, you are French!
- You are not English? »
Tags : Fiche film, La grande vadrouille, film français, comédie, 1966, Gérard Oury, Seconde Guerre Mondiale, résistance, fuite, entraide, Anglais, occupation allemande, Bourvil, Louis de Funès, Terry-Thomas, Claudio Brook, Excellent film !
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#Posté le lundi 23 mars 2020 08:13

Modifié le lundi 23 mars 2020 17:46

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