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FICHE MINI-SÉRIE : Hollywood

FICHE MINI-SÉRIE : Hollywood
DRAME HISTORIQUE | 2020 | CRÉÉE PAR RYAN MURPHY ET IAN BRENNAN | UCHRONIE, AGE D'OR HOLLYWOODIEN, CINÉMA, INDUSTRIE DU RÊVE, AMBITION, TALENT, APPRENTISSAGE, TRAVAIL D'ÉQUIPE, DISCRIMINATION, RACISME, HOMOPHOBIE, SEXISME, VULNÉRABILITÉ, ABUS DE POUVOIR, ESPOIR | 7 ÉPISODES DE 44 A 55 MINUTES | AVEC DAVID CORENSWET, DARREN CRISS, LAURA HARRIER, PATTI LUPONE...

➜ Dans le Hollywood de l'après-Seconde Guerre mondiale, un groupe de jeunes acteurs et cinéastes pleins d'ambition ne recule devant rien pour percer dans le showbiz.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique de la dernière série signée Ryan Murphy et Ian Brennan et diffusée actuellement sur Netflix, j'ai nommé Hollywood. Étant en outre fascinée par l'industrie du cinéma et par l'Amérique des années 40-50, il me tardait de découvrir ce que cette série avait dans le ventre, persuadée que j'étais que cette dernière était juste faite pour moi, il ne pouvait en être autrement. Je me suis donc pour ainsi dire jetée dessus dès sa sortie tout début avril et je dois désormais bien reconnaître que si beaucoup d'aspects de la série m'ont énormément plu, d'autres ont sérieusement peiné à me convaincre. Explications.

Commençons par le positif. Dès le départ, la série nous séduit par le biais d'une atmosphère chaleureuse et exaltante, délicieusement rétro au vu de la période historique figurant en arrière-plan de l'intrigue, et d'une description tout ce qu'il y a de plus appropriée et sincère de l'American Dream qui faisait à ce moment-là fantasmer la planète toute entière et qui aujourd'hui encore continue à nous en mettre plein les mirettes. Dès le premier épisode, on est happés par cet univers de strass, de paillettes et de glamour où la place que l'on peut se faire au soleil coûte extrêmement chère.

À l'instar des personnages, jeunes, ambitieux et des étoiles plein les yeux, on se laisse totalement entraîné par le rythme effréné de la vie au sein d'un studio de production. À ce niveau là, j'ai trouvé le découpage de la série très bien pensé dans le sens où, avec ses sept épisodes d'un peu près d'une heure, elle nous laisse guère le temps de souffler : on est en effet embarqué par un tourbillon de folie créatrice du début à la fin, convaincus que nous sommes du bien fondé du projet porté par nos protagonistes vis-à-vis duquel l'on ne souhaite qu'une chose : le voir aboutir tant il est merveilleux et porteur d'espoir. Tiens d'ailleurs, en parlant de protagonistes, j'ai pour ma part été complètement séduite par le casting de la série au sein duquel j'ai pu dénicher de sacrées pépites tant parmi les "jeunes" que les plus âgés dont je ne manquerait pas d'aller découvrir l'ensemble de la filmographie.

Vous l'aurez compris, Hollywood semblait avoir in fine tout pour me séduire comme je le présageais avant même de véritablement la visionner : une réalisation impeccable, des personnages bourrés de talent et tout ce qu'il y a de plus attachants et humains, un casting cinq étoiles, un rythme soutenu, maîtrisé, un scénario captivant, un charme inénarrable propre à l'époque de l'âge d'or du cinéma... Bref, tout y était pour faire de cette série l'un de mes coups de c½ur. Mais il y a toujours un mais et malheureusement, celui-ci est de taille dans le cas présent et il s'agit du suivant : si j'ai trouvé le message de tolérance et d'ouverture d'esprit véhiculé par la série absolument magnifique, nécessaire et transcendant, la façon dont cela a été fait en revanche, surtout dans les deux derniers épisodes, ne m'a franchement pas emballée. Pour faire simple, disons qu'à vouloir dénoncer une industrie hypocrite qui n'est que poudre aux yeux et qui nous vend du rêve mièvre alors que la réalité est toute autre, Hollywood finit par en faire de même avec notamment des personnages pour certains pervers narcissiques, cupides et tyranniques qui finissent subitement par ouvrir les yeux et changer de façon radicale et fort peu réaliste. Au vu de la teneur des premiers épisodes, je m'attendais à un dénouement plus crédible et poignant que cela. Au lieu de quoi, j'ai l'impression qu'on nous fait passer de "le monde, il est cruel, le monde, il est méchant" à "le monde, il est tout beau, le monde, il est gentil" en un claquement de doigts et j'exagère à peine ! Je comprends l'intérêt de reproduire les schémas typiquement hollywoodiens dans le but de les dénoncer mais je m'attendais cependant à quelque chose de plus brute de pomme avec cette série, surtout venant de la part de Ryan Murphy qui, avec ses collaborateurs, ne nous a pas habitués à faire dans la dentelle, vous me le concéderez. Bien sûr, ils nous dépeignent Hollywood et même la société en général telle qu'elle devrait l'être, telle qu'elle aurait toujours dû l'être, et c'est peut-être toute la noirceur de ce bas monde qui obscurcit le jugement que j'émets présentement, chose qui est d'une tristesse affligeante, mais j'aurais néanmoins aimé qu'ils nous délivrent leur point de vue visionnaire sur le monde de manière plus authentique, moins facile et évidente. J'ai également trouvé que, en voulant défendre toutes les causes (ethniques, homosexuelles, féministes, religieuses, sociales) en même temps, la série s'emmêlait parfois un peu les pinceaux et que cela pouvait donner un gloubi boulga assez informe que l'on nous fait qui plus est engloutir en quatrième vitesse dans le cas présent.

Pour conclure, je dirais que Hollywood est une uchronie (fait de réécrire le passé et de suggérer les conséquences que tel ou tel événement aurait pu avoir si cela s'était déroulé autrement) porteuse de magnifiques et de fondamentales valeurs qu'il est capital de continuer à défendre bec et ongles dans un monde rongé par l'injustice tel que le nôtre, servie par un merveilleux casting et une réalisation lumineuse somme toute au poil mais qui reste trop gentillette et confuse à mon goût. À vouloir attaquer tous les problèmes sociétaux sur le même front et mélanger le réel et le fictif ainsi de façon quasi inextricable, le propos de la série en perd de sa puissance et de sa pertinence à mon sens. Après, il ne s'agit là que de mon humble avis. Si vous souhaitez vous aussi vous faire votre propre opinion, sachez que la série se dévore comme une bouchée de pain. Vous ne risquez pas de perdre votre temps en regardant ses quelques malheureux sept épisodes, je puis vous l'assurer ! Plus sérieusement, malgré les défauts que j'ai pu lui trouver, Hollywood reste une série importante à regarder. Elle nous montre qu'un monde régi par la bienveillance et le respect d'autrui est possible. Il suffit de se battre pour cela mais la route sera longue... Une chose est sûre, cette série m'a conforté dans ma foi en l'humanité et en ce qu'elle est capable de meilleur et c'est bien là tout ce qui compte ! ★★★★★

Nanette ♥
FICHE MINI-SÉRIE : Hollywood
Tags : Fiche mini-série, Hollywood, Netflix, Drame historique, 2020, Ryan Murphy, Ian Brennan, Uchronie, âge d'or hollywoodien, Cinéma, industrie du rêve, ambition, talent, apprentissage, travail d'équipe, discrimination, racisme, homophobie, sexisme, vulnérabilité, abus de pouvoir, espoir, David Corenswet, Darren Criss, Laura Harrier, Patti Lupone, très bonne/excellente série
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#Posté le mardi 16 juin 2020 08:13

Modifié le mardi 16 juin 2020 10:13

FICHE LECTURE : Kayla Marchal - T1 : L'exil

FICHE LECTURE : Kayla Marchal - T1 : L'exil
• AUTRICE : Estelle Vagner.
• ANNÉE : 2016 (FRANCE).
• GENRE(S) : Urban fantasy, Young Adult.
• THÈMES : Morphes - Loups - Meutes - Métamorphes - Souffrance - Chagrin - Violence - Vengeance - Passé qui ne passe pas - Guerre - Discrimination - Intolérance - Enfance à la dure - Premiers émois - Attirance - Amour - Quatuor amoureux - Amitié - Préjugés - Apparences - Méfiance - Secrets - Mystère - Haine - Combat - Apprentissage - Rêves - Paranormal - Suspens - Famille - Humour...
• PAGES : 340.

Ironique destin que d'être née morphe... sans forme animale. Source de honte pour sa famille, Kayla Marchal, petite fille de l'alpha, est également considérée comme le maillon faible de la meute de la Vallée Noire. Aussi en est-elle chassée, elle qui n'a jamais mis un pied hors du territoire.

Alors qu'elle commence à goûter à la liberté et à s'intégrer au sein d'un autre clan, les vrais problèmes commencent. Mais déjà trahie une fois par sa meute d'origine, à qui pourrait-elle se fier ? À Ian, le loup aussi beau qu'insupportable ? À Max, le renard au passé mystérieux ? Ou à Jeremiah, l'irrésistible humain ?

Et ce fichu karma qui la prive de forme animale continue à se moquer d'elle, car tout le monde autour d'elle semble, porter un masque... Inaptitude du passé et problèmes du présent vont venir, main dans la main, perturber la jeune morphe, avec des liens qu'elle était loin de pouvoir soupçonner.

ஜ MON AVIS :

Coucou les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du premier tome de la trilogie Kayla Marchal signée Estelle Vagner ou l'un de mes derniers achats livresques faits plus précisément au salon du livre de Colmar. L'autrice avait su me vendre du rêve avec son intrigue résolument fantastique, savoureuse, rocambolesque, captivante et ayant pour personnage central... une vosgienne ! Cocorico départemental, avouez que cela fait du bien lorsque l'on croise des gens de chez nous dans nos lectures. S'ajoute à cela que cette dernière adore le lard, comme toute bonne montagnarde qui se respecte. Il n'en fallait pas plus pour me séduire et ainsi me convaincre d'acheter ce roman. Et force est d'avouer que je l'ai goulument dévoré !

Pour faire simple, je dirais que la plus grande force de ce premier tome, c'est celle de se lire comme un rien. En effet, les pages se tournent toutes seules, sans que l'on ait à faire le moindre effort ; dès les premiers chapitres, on est directement happés et il nous devient alors impossible de lâcher le bouquin avant de l'avoir fini. Il n'y a rien à redire là-dessus : l'écriture d'Estelle Vagner est hyper efficace, addictive au possible et tous les rebondissements complètement délirants de l'intrigue s'enchaînent sans anicroche. Le seul petit bémol que je pointerais du doigt, ce sont les nombreuses répétitions qui ponctuent le récit, du style "Accroche toi Kayla" ou alors le nombre incalculable de fois où l'on nous rabâche que face à un beau mâle sculpté dans le marbre, notre héroïne se retrouve telle un poisson hors de l'eau incapable de prononcer la moindre parole cohérente. Mais en dehors de ce petit point noir au tableau, j'ai vraiment trouvé le récit rondement bien mené, avec un rythme soutenu, intense, effréné même sur la fin : très sincèrement, on ne s'ennuie pas une seconde.

Pour ce qui est des personnages, j'attends de voir quelle sera leur évolution dans les deux prochains tomes (car oui, je compte résolument les lire, c'est une certitude !) avant de véritablement vous parler de ces derniers plus en détail. Sachez juste que ce sont ici les filles/femmes qui portent la culotte ! En effet, même si Kayla a sacrément du mal (c'est là un doux euphémisme) à ne pas se laisser submerger par ses hormones face à des mâles eux aussi en rut, je l'ai trouvée extrêmement attachante et j'ai énormément apprécié sa redoutable force de caractère. Une chose est sûre, c'est qu'elle ne se laisse pas marcher sur les pieds ! Cependant, ma préférence niveau protagonistes pour ce premier tome va sans hésitation à Jade. Cette fille est juste... WAW ! Jade, je t'aime, voilà. Quant aux trois garçons qui constituent notre quatuor amoureux assurément peu commun... J'attends qu'ils fassent leurs preuves. Pour le moment, ils ont effectivement sérieusement peiné à me convaincre. Ils vont devoir redoubler d'efforts pour me séduire dans les tomes suivants, je les attends de pied ferme ! En particulier un certain Jérémiah qui n'a ABSOLUMENT pas réussi à me convaincre dans ce premier tome. J'escompte beaucoup mieux d'un représentant de la race humaine. Voyons, Jérémiah, démontre moi que j'ai eu tort de ne pas tout de suite tomber en pamoison à tes pieds, je crois en toi, allez !

Pour conclure, je ne peux que chaudement vous recommander de vous lancer dans la lecture de la trilogie Kayla Marchal. C'est frais et chaud bouillant à la fois (n'allez pas vous imaginer des trucs hardcore, je vous vois, bande de coquinous), c'est haletant au possible et la fin tonitruante de ce premier tome m'a assurément donné envie de croquer dans la suite à pleines dents façon louve affamée ! Il me tarde désormais d'avoir les tomes deux et trois sous les griffes ! ★★★★(★)

Nanette ♥
Tags : fiche lecture, Editions du Chat noir, Kayla Marchal, Tome 1 ♥, Trilogie, L'exil, Estelle Vagner, 2016, Littérature française, Urban fantasy, young adult, morphes, loups, meutes, métamorphes, souffrance, chagrin, violence, vengeance, passé qui ne passe pas, guerre, discrimination, intolérance, enfance à la dure, premiers émois, attirance, amour, quatuor amoureux, amitié, préjugés, apparences, méfiance, secrets, mystère, haine, combat, apprentissage, rêves, paranormal, suspens, famille, humour, Excellente lecture !
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#Posté le samedi 30 novembre 2019 09:14

Modifié le mercredi 15 avril 2020 14:00

FICHE LECTURE : Le roman d'Ernest et Célestine

FICHE LECTURE : Le roman d'Ernest et Célestine
• AUTEUR : Daniel Pennac (d'après les albums de Gabrielle Vincent).
• ANNÉE : 2012 (FRANCE).
• GENRE (S) : Jeunesse.
• THÈMES : Amitié - Soutien - Entraide - Tendresse - Préjugés - Discrimination - Ours - Souris - Monde animal - Tolérance - Rêves - Espoir - Humour...
• PAGES : 222.

Dans le monde conventionnel des ours, il est mal vu de se lier d'amitié avec une souris. Et pourtant, Ernest, gros ours marginal, clown et musicien, va accueillir chez lui la petite Célestine, une orpheline qui a fui le monde souterrain des rongeurs. Ces deux solitaires vont se soutenir et se réconforter, et bousculer ainsi l'ordre établi...

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du Roman d'Ernest et Célestine par Daniel Pennac.

Il faut tout d'abord savoir une chose, c'est qu'avant la sortie du film d'animation Ernest et Célestine en 2012 (long-métrage que je n'ai toujours pas vu par ailleurs, honte à moi), je ne connaissais absolument pas la série d'albums pour enfants Ernest et Célestine de Monique Martin aka Gabrielle Vincent dont s'inspire fortement ce livre. Je n'ai en effet pas eu la chance de grandir auprès de cette adorable petite souris et de ce gros ours attendrissant auxquels l'autrice-illustratrice est parvenue à donner vie de façon si admirable par quelques merveilleuses, savantes touches d'aquarelle - je suis particulèrement friande de ce mode opératoire en peinture, je trouve ça si joli ! En découvrant l'existence de cet ouvrage bien précis, je me suis donc dis que c'était l'occasion pour moi de réparer un tant soit peu mes torts et quelle décision n'avais-je pas pris là : cette lecture du Roman d'Ernest et Célestine a été pour moi un véritable enchantement, une charmante bulle de douceur en ces temps indéniablement compliqués et complexes à gérer.

Pour ma part, je ne regrette résolument pas de m'être totalement laissée emportée par les pages de ce petit livre qui m'a fait vivre un authentique instant de magie à la saveur d'enfance, d'innocence et de bienveillance tout bonnement exquise.

De façon assez surprenante pour la novice en Ernest et Célestine que je suis, cette courte mais tout ce qu'il y a de intense et palpitante intrigue recèle aussi d'une bonne part de noirceur toutefois contrebalancée par la lumière rayonnate et salvatrice émanant de la plume extraordinaire de conteur hors-pair de Daniel Pennac et surtout de la bouleversante et sincère amitié qui unit nos deux formidables protagonistes.

Vous l'aurez compris je pense, j'ai été extrêmement émue et transportée par ma lecture de ce remarquable ouvrage qui fait en outre assurément bien ressortir toute l'injustice et la cruauté de l'être humain à hauteur de microcosme animal diantrement haut en couleurs et qui nous délivre un magnifique message d'amour, d'humanité et d'espoir qui redonne sans conteste le sourire et remplit le coeur et la tête de belles valeurs et pensées. Saupoudrez le tout d'un humour qui croque sous la dent et qui fait indubitablement mouche et vous obtiendrez un féerique et délicieux roman jeunesse qui ne manquera pas de ravir petits et grands et de réconforter les esprits agités ! De quoi définitivement me convaincre de découvrir par moi-même le film d'animation et la fameuse série d'ouvrages pour la jeunesse dont il est tiré avant de prendre connaissance du conte musical qui sera justement adapté de ce Roman d'Ernest et Célestine et qui est normalement prévu pour juin 2020 (croisons les doigts pour que sa diffusion radio ne soit pas repoussée) ! Il me tarde ! ★★★★(★)

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, Le roman d'Ernest et Célestine, Daniel Pennac, novélisation de série, Gabrielle Vincent, Monique Martin, 2012, Littérature française, Jeunesse, Amitié ♥, soutien, entraide, tendresse, préjugés, discrimination, ours, souris, monde animal, tolérance, rêves, espoir, humour, Excellente lecture !
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#Posté le vendredi 03 avril 2020 05:29

Modifié le samedi 04 avril 2020 05:53

FICHE LECTURE : Iskari - T2 : Le combat des âmes s½urs

FICHE LECTURE : Iskari - T2 : Le combat des âmes s½urs
• TITRE V.O. : Iskari, book 2: The Caged Queen.
• AUTRICE : Kristen Ciccarelli.
• ANNÉE : 2018 (ETATS-UNIS), 2020 (FRANCE).
• GENRE (S) : Ado/YA.
• THÈMES : Héroïc fantasy, créatures fantastiques, surnaturelles, univers merveilleux, histoires des Mille et Une Nuits, us et coutumes, folklore, traditions, temps anciens, dynastie, royauté, secrets, passé qui ne passe pas, tragédie, remords, deuil, discrimination, intrigues politiques, sacrifice, royauté, esprits, fantôme, renoncement, deuil, revanche, complots, humanité, remise en question, réflexion, menace, danger, violence, cruauté, trahison, mystère, brutalité, bonté, générosité, espoir, amitié, famille, amour, dragons, légendes, courage, loyauté, dilemme, culpabilité, croyances, divinités, foi, espérance, tiraillement, liberté, révélation, tolérance, combats, fardeau, oppression, famille, s½urs, féminisme...
• PAGES : 432.

Ma chronique du tome 1 : ici.

Roa, héritière de la Maison des Chants et reine de Firgaard, a juré de défendre le peuple de la Terre des Brousses. Elle a levé une armée pour le jeune roi Dax en échange de son soutien. Mais son époux manque à sa parole. Roa se sent trahie et isolée alors que le lien magique qui l'unit à sa s½ur faiblit. Seul le couteau de la Tisseuse de Ciel, une légende ancienne, pourrait l'aider à sauver a la fois sa s½ur et son peuple...

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du tome deux de la saga Iskari par Kristen Ciccarelli, j'ai nommé Le combat des âmes s½urs. Je remercie du fond du c½ur les éditions Gallimard Jeunesse pour ce magnifique envoi.

Je tenais également à les remercier d'avoir pris en considération les commentaires des lecteurs concernant les couvertures de cette trilogie. En effet, je trouvais que l'illustration de couverture originelle qui avait été proposée pour le premier tome était diantrement belle mais qu'elle ne correspondait pas suffisamment au type de lectorat visé. Il semblerait que Gallimard nous (dans le sens global du terme, s'entend) ait écouté à ce niveau là ; une chose est certaine, ils ont assurément rectifié le tir et cela est toujours grandement appréciable de constater qu'une maison d'édition est à l'écoute de ses lecteurs.

Pour ce qui est du contenu de ce tome deux en soi, je ne vous cache pas que j'étais autant enthousiasmée qu'appréhensive à l'idée de découvrir de quoi il en retournait véritablement, tout simplement parce que je m'étais tant attachée aux destinées d'Asha et Torwin dans le premier tome, Asha, tueuse de dragons, que je savais pertinemment que ces deux-là allaient diablement me manquer.

In fine, j'ai certes regretté leur absence une bonne partie du récit mais pas tant que cela tout compte fait. Déjà parce que nous n'avons pas l'impression qu'ils soient tout à fait partis au cours de la lecture ; ils restent effectivement toujours dans un coin de notre pensée grâce à l'autrice qui nous les rappelle sans cesse à notre mémoire (pour mon plus grand bonheur). Mais surtout, je dirais que leur mise en retrait voulue et assumée de la part de Kristen Ciccarelli était nécessaire car elle m'a permis de redécouvrir deux protagonistes sur le compte desquels je m'étais indubitablement trompée lors de ma lecture du premier tome. Je me suis tout particulièrement méprise sur la nature profonde de Roa, qui ne m'inspirait que méfiance et dédain jusqu'alors. En réalité, je n'ai probablement jamais rencontré une héroïne au c½ur aussi vaillant, déterminé et insubmersible (ou presque, vous vous en rendrez vite compte en lisant ce livre) jusqu'alors, ou fort s'en peu. C'est ce que j'aime tant entre autres choses dans les romans de Kristen Ciccarelli : ces personnages féminins, principaux ou secondaires, forts, combatifs, ingénieux, bouleversants, parfois vulnérables mais qui apprennent de leurs erreurs pour mieux s'en relever et qui ne sont certainement pas là pour faire de la figuration. Je suis pour ma part extrêmement heureuse d'avoir eu l'opportunité de voir les choses sous un autre angle grâce au point de vue exprimé de Roa ici : cela m'a en outre permis de prendre conscience d'à quel point celle-ci est tenace et exceptionnelle. Bien sûr, je n'ai pas toujours été d'accord avec ses décisions mais si cela avait été le cas, il n'y aurait pas eu de suspens et surtout, cela n'aurait pas eu grand intérêt, vous vous en doutez !

Concernant l'autre personnage avec lequel je suis repartie de zéro, je vais éviter de trop vous en parler afin de ne pas gâcher la remarquable surprise que ce dernier vous réserve. Sachez juste que, pour ma part, je me suis faite avoir comme une bleue et rien n'aurait pu me faire plus plaisir. En effet, j'adore quand un écrivain me mène en bateau, ou plutôt quand il me prend par la main pour mieux m'entraîner là où il le souhaite pour ensuite complètement me prendre de court par le biais de révélations totalement fracassantes que j'aurais largement pu anticiper si je n'avais pas aveuglément suivi le fil narratif sans me soucier de la pléthore d'indices qui étaient disséminés au sein même du récit. C'est ce qui m'est arrivé avec ce fameux personnage que je garde volontairement anonyme et à mon sens, cela relève du pur coup de génie !

Sur ce, je pense que je vais m'en arrêter là avec cette chronique. Je ne voudrais pas laisser trop exploser ma passion débordante pour ce deuxième tome au risque de vous empêcher à votre tour de le dévorer goulûment en vous en dévoilant trop à son sujet. Je terminerai simplement en disant que je me suis délectée de cet ouvrage encore plus que du premier tome si cela est possible. J'ai passé un aussi délicieux qu'éprouvant moment avec ce livre. Je me suis imposée à de nombreuses reprises des pauses histoire que cette somptueuse intrigue pétrie de maints rebondissements et instants de grâce n'en finisse jamais. Bref, j'ai aimé ce livre du plus profond de mon être et j'espère sincèrement que cela sera le cas pour vous aussi ! Pour ma part, il me tarde d'ores et déjà de me plonger dans le tome 3 - même si logiquement, il s'agira du dernier, ce qui m'attriste à un point que vous n'imaginez même pas... COUP DE FOUDRE ϟ


Nanette ♥

PS : Pour ceux aussi qui trouvaient que cela manquait de sable, d'aridité et de tons brun/ocre à leur goût pour de la fantasy orientale, m'est avis qu'ils vont être servis avec ce tome-ci !
Tags : Fiche lecture, service de presse, Iskari, Tome 2 ♥, Trilogie, Le combat des âmes soeurs, Kristen Ciccarelli, 2018, 2020, Littérature américaine, Ado, Young Adult, Héroïc fantasy, créatures fantastiques, surnaturelles, univers merveilleux, histoires des Mille et Une Nuits, us et coutumes, folklore, traditions, temps anciens, dynastie, royauté, secrets, passé qui ne passe pas, tragédie, remords, deuil, discrimination, intrigues politiques, sacrifice, esprits, fantôme, renoncement, revanche, complots, humanité, remise en question, réflexion, menace, danger, violence, cruauté, trahison, mystère, brutalité, bonté, générosité, espoir, amitié, famille, amour, dragons, légendes, courage, loyauté, dilemme, culpabilité, croyances, divinités, foi, espérance, tiraillement, liberté, révélation, tolérance, combats, fardeau, oppression, s½urs, féminisme, Coup de foudre ♥
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#Posté le jeudi 12 mars 2020 06:32

Modifié le jeudi 12 mars 2020 08:36

FICHE MANGA : Un pont entre les étoiles - T4

FICHE MANGA : Un pont entre les étoiles - T4
Série en 4 tomes.

• TITRE V.O. : Seikan Bridge, book 4.
• MANGAKA : Kyukkyupon.
• ANNÉE : 2016 (JAPON) ; 2019 (FRANCE).
• GENRE (S) : Seinen.
• THÈMES : Adolescence, manga historique, pacifisme, haine, deuil, amitié, tensions, noirceur, Seconde Guerre mondiale, xénophobie, patriotisme, nationalisme, honneur, dévotion, Asie, Japon, Chine, Shanghai, années trente, Japon, loyauté, mélancolie, rébellion, courage, chagrin, oppression, nouveauté, changement, jugement, discrimination, préjugés, barrières, séparation, innocence, pureté, humour, bouleversement, tournant, solidarité, âmes s½ur, ébullition, traditions, retrouvailles, ouverture d'esprit, ténacité, traumatisme, émotions, espoir...
• PAGES : 208.

Ma chronique du tome 1 : ici.
Ma chronique du tome 2 : ici.
Ma chronique du tome 3 : ici.

Xing, toujours en proie à la tristesse, s'est enrôlé dans la résistance anti-japonaise. Haru, de son côté, subit de plus en plus violemment la pression du nationalisme et de l'embrigadement. Et tandis que l'heure est à la guerre et au terrorisme, les retrouvailles entre ces deux-là semblent s'annoncer sous une bien sombre étoile... Leur amitié pourra-t-elle survivre à la haine ?

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique consacrée au quatrième et dernier tome d'Un pont entre les étoiles que je me suis empressée de dévorer à la suite du troisième comme je l'avais annoncé (pour une fois-!). Et je ne vous cache pas que cet ultime opus me laisse un goût légèrement amer en bouche...

Concernant le contenu tant scénaristique que graphique de ce tome en soi, je n'épiloguerai pas plus avant car c'est tout à fait à la hauteur de ce que Kyukkyupon nous a proposé auparavant avec les trois précédents tomes : les illustrations sont comme toujours de toute beauté et je me suis diantrement amusée à scruter la moindre petite case constituant cette parution à la loupe tant Kyukkyupon possède l'art et la manière de remplir le plus petit recoin de chacune de ses planches de détails absolument somptueux et plus éclairants et percutants encore que la plus grandiloquente des explications.

Quant à l'histoire en elle-même, elle m'a fait vivre un véritable ascenseur émotionnel, me faisant passer de la joie la plus immense, de l'excitation la plus euphorisante à une tristesse sans nom au fur et à mesure que je progressais dans ma lecture des divers chapitres qui composent ce manga. Le moins que l'on puisse dire, c'est que ce tome quatre m'aura retournée dans tous les sens et donné bien des fois l'envie de m'arracher les cheveux et de pleurer toutes les larmes de mon corps tant le désarroi et le chagrin profond exprimé par les personnages me mettait moi-même dans tous mes états.

Ce qui m'a d'autant plus accablée, c'est le fait que la mangaka se focalise ici tout particulièrement sur la question du nationalisme et notamment ce que l'on est prêt à faire pour défendre l'honneur de sa patrie. Nous narrant l'histoire du point de vue d'une Japonaise depuis le début, Kyukkyupon nous dresse ici à la fois un portrait très concis et complet du peuple nippon en temps de guerre, et plus particulièrement de Seconde Guerre mondiale. Comme je l'avais appris au cours d'autres lectures ou visionnages, les civils japonais considéraient la possibilité d'une défaite de leur Empire face aux Alliés (dont la Chine - Shanghai incluse - faisait indirectement partie en tant que pays pro-communiste et surtout anti-japonais) comme un échec pur et simple, presque comme une trahison envers la mère-patrie pour ne pas s'être suffisamment investi dans l'effort de guerre, que ce soit en partant directement au front ou en prenant soin de son foyer et en donnant naissance à de robustes futurs citoyens nippons pour les femmes par exemple.

Pourquoi cet aspect pédagogique de l'intrigue m'a-t-il tout spécialement affligée ? Tout simplement parce qu'il m'a permis de prendre une fois de plus conscience, comme si cela n'était pas déjà assez évident comme cela, que la guerre et surtout ses conséquences catastrophiques est un authentique fléau qui nous empêche de voir clairement et de suivre la voix de notre coeur et de notre conscience. Haru comme Xing vont chèrement l'apprendre au fil du récit. Soucieux tous les deux de rester fidèles aux êtres qui leur sont chers, la guerre et ses ravages multiples va en outre leur enseigner que l'Amour, le seul, l'unique, n'a pas de frontière et de nationnalité. Il est, un point c'est tout. Peu importe les différences socio-professionnelles, ethniques, religieuses, absolument rien ne l'arrête si on le laisse nous guider. Mais à la guerre, c'est la haine la maîtresse du jeu et à bien des moments, j'ai cru que mes protagonistes chéris avaient enfin cédé à son appel de sirène et que la lumière de l'espoir s'était définitivement éteinte pour eux.

Fort heureusement, Kyukkyupon m'a détrompée de la plus magnifique, spectaculaire des manières. Alors, qu'est-ce qui m'a in fine gênée au point que ce tome final, qui aurait dû être synonyme de l'Apothéose la plus magistrale à mes yeux, m'ait pour ainsi dire séduit moins que les autres ? Cela se résume en deux tout petits mots : sa fin. Disons simplement que la posture dans laquelle se tiennent les jeunes adultes Haru et Xing sur la couverture m'avait laissé suggérer un dénouement bien plus théâtral, romanesque, larmoyant que ce qu'il m'a été donné de lire au bout du compte. Les quatre toutes dernières pages auront été celle à l'origine de mon incompréhension et de ma frustration la plus totale. En y réfléchissant à deux fois, j'ai réalisé que la conclusion que Kyukkyupon a donné à sa saga est en réalité extrêmement ouverte, laissant l'opportunité à tout un champ des possibles de se concrétiser. Tout ou presque est imaginable avec une fin pareille ! Et c'est bien là ce qui m'a chafouinée. Avec Un pont entre les étoiles, j'escomptais une fin beaucoup plus arrêtée, nette et précise, un final ébourrifant avec feux d'artifices et papillons dans le ventre qui m'aurait pour le coup pleinement satisfaite et rassurée quant au destin de mon couple favori ensemble. Ici, pas de grandes déclarations enflammées, mais un silence et une parcimonie d'or et un soupçon éternel de mystère dans le coeur des Hommes, encore et toujours. Kyukkyupon est résolument restée fidèle à son mode opératoire jusqu'au bout et cela l'honore. De plus, la toute dernière page représentant le bonus de l'ouvrage m'a rappelé que la figure d'Haru s'inspirait de la véritable grand-mère de Kyukkyupon. Oui, je l'avais oublié tant j'avais été emportée par cette intrigue purement et simplement transcendante et à la saveur d'un rêve et d'un cauchemar mêlés. Or, il s'agit de l'existence tumultueuse d'une véritable personne de chair et d'os et non d'une époustouflante mais simple fantaisie qui doit assouvrir les désirs de son lecteur. Ce que j'entends par là, c'est que peut-être Kyukkyupon avait d'autres souhaits pour Haru et Xing tout comme moi mais ces personnages ne sont que les avatars d'êtres humains tout ce qu'il y a de plus réels qui ne lui appartiennent pas. Autrement dit, tant que l'histoire a été contée dans un souci de véracité absolue et ce jusqu'au bout du bout, c'est tout ce qui m'importe, même si, encore une fois, ce n'était pas tout à fait ce que j'attendais... Il me faut cependant m'incliner face à la vénérable grand-mère de la mangaka qui a accepté de nous parler de son bouleversant vécu. Arigato gozaimasu, obaasan.

Pour conclure, je dirais que ce tome quatre d'Un pont entre les étoiles aura su moins me convaincre que ses prédécesseurs mais la saga dans son ensemble n'en reste pas moins une lecture nécessaire, extrêmement instructive sur les relations entre Japonais et Chinois et sur bien des choses de la vie en général en outre, à faire ! Pour ma part, je la garderai dans mon coeur pour toujours et à jamais. COUP DE COEUR ♥

Nanette ♥
Tags : Fiche manga, Editions Akata, Un pont entre les étoiles, Tome 4 ♥, Tétralogie, Kyukkyupon, 2016, 2019, Seinen, Adolescence, manga historique, pacifisme, haine, deuil, amitié, tensions, noirceur, Seconde Guerre mondiale, xénophobie, patriotisme, nationalisme, honneur, dévotion, Asie, Japon, Chine, Shanghai, années trente, loyauté, mélancolie, rébellion, courage, chagrin, oppression, nouveauté, changement, jugement, discrimination, préjugés, barrières, séparation, innocence, pureté, humour, bouleversement, tournant, solidarité, âmes s½ur, ébullition, traditions, retrouvailles, ouverture d'esprit, ténacité, traumatisme, émotions, espoir, coup de coeur ♥
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#Posté le vendredi 21 février 2020 16:35

Modifié le dimanche 23 février 2020 16:37

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