Skyrock.com
  • ACCUEIL
  • BLOGS
  • PROFILS
  • CHAT
  • Apps
  • Musique
  • Sources
  • Vidéos
  • Cadeaux
  • Connecte-toi
  • Crée ton blog

Lunartic

Photo de Lunartic
  • Suivre
  • Envoyer un messageMessage
  • Plus d'actions ▼
  • Offrir un cadeau
  • Bloquer
  • S'abonner à mon blog

Statistiques

  • 46 953 Visites
  • 5 045 Kiffs
  • 23 445 Coms

500 tags

  • 2018
  • 2019
  • amitié
  • amour
  • aventure
  • coup de coeur ♥
  • Coup de foudre ♥
  • courage
  • drame
  • entraide
  • espoir
  • famille
  • Fiche Lecture
  • Fiche lecture
  • humour
  • Jeunesse
  • Littérature française
  • mystère
  • noirceur
  • service de presse

430 archives

  • FICHE LECTURE : Je t'aime jusqu'au bout du monde
  • FICHE LECTURE : Les AutresMondes de Tara Duncan - T1 : La Danse de la Licorne
  • FICHE LECTURE : 100% Bio - T5 : Cléopâtre vue par une ado
  • FICHE LECTURE : Gardiens des Cités Perdues - T1
  • FICHE LECTURE : Miguel, dauphin rebelle

649 fans

  • Akueriasu
  • lolo-cine-2020-21
  • funnygal
  • repryse
  • dailyhollandobrien

382 sources

  • ChloeMoretz
  • Comer-Jodie
  • Mila-Kunis
  • ianninasource
  • Hudgens-Vanessa

Son morceau préféré

In Your Eyes

Jouer The Weeknd In Your Eyes

Skyrock music Ajouter

25 honneurs

  • Saint-Valentin
  • Spotlight
  • Anniv' 2 ans
  • Post 100
  • Écolo

Partage

  • Tweet
  • Amis 0

Retour au blog de Lunartic

3 articles taggés Légende

Rechercher tous les articles taggés Légende

FICHE FILM : Le Conte de la Princesse Kaguya

FICHE FILM : Le Conte de la Princesse Kaguya
FILM D'ANIMATION | 2013 | RÉALISÉ PAR ISAO TAKAHATA | 2 H 17 | LEGENDE, CONTE, JAPON, NATURE, MIRACLE, RICHESSE INTERIEURE, DRAME, FANTASTIQUE, ARISTOCRATIE, ARGENT, ETIQUETTE, BIENSEANCE, PRETENDANTS, CHAGRIN, NATURE, ESPIEGLERIE, ENFANCE, AMOUR, FAMILLE, SENTIMENTS, HUMANITE | AVEC LES VOIX ORIGINALES DE AKI ASAKURA, KENGO KORA, TAKEO CHII, NOBUKO MIYAMOTO...

➜ Un vieux coupeur de bambou trouve une mystérieuse et reluisante plante de bambou.
En la coupant, il tombe nez à nez sur un bébé minuscule, une petite fille de la taille d'un pouce. Il l'emmène chez lui et l'élève avec sa femme. La petite est surnommée Pousse de bambou par les autres jeunes villageois. Depuis ce jour, le vieux coupeur de bambou trouve des pépites d'or et de somptueuses etoffes chaque fois qu'il coupe un bambou, et devient ainsi très riche. Celle qui fut appelée Kaguya-hime suite à sa cérémonie de passage à l'âge adulte est devenue une belle jeune femme, si bien que les rumeurs sur sa beauté sont difficiles à étouffer et se répandent.
Cinq jeunes princes viennent la voir pour la demander en mariage, mais celle-ci leur réserve des tâches ardues...

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique d'un film d'animation que je souhaitais voir depuis fort longtemps déjà, j'ai nommé l'oeuvre-testament du grand réalisateur japonais Isao Takahata, Le Conte de la Princesse Kaguya.

Je ne vous cacherai pas que, si j'ai entre autres autant tardé à voir ce film, c'est en raison de sa technique animation pour le moins... particulière qui m'avait pas mal brusquée en visionnant la bande-annonce il y a de cela bien des années déjà. Et pourtant, dès les premières minutes du long-métrage, c'est que ce qui m'a séduite d'emblée. Je sais, je suis un être étrange... Personnellement, je suis tombée amoureuse de la façon dont les images prenaient vie telles des peintures ancestrales qui se réveilleraient de leur long sommeil pour nous raconter une poignante histoire d'autrefois. Car en effet, la légende de Kaguya est considérée comme la plus ancienne au Japon. Ce serait même elle qui justifierait l'existence du Mont Fûji, ou la montagne la plus sacrée de ce pays ! Une chose est sûre, j'ai été fascinée par la façon qu'Isao Takahata a choisi pour donner corps à ce conte aussi somptueux et envoûtant que triste et désarmant. Au niveau de l'animation, de la musique traditionnelle sélectionnée, de la technique employée pour exprimer au mieux la nature profonde des personnages, leurs sentiments, et captiver l'audience, rien à redire : ce film est un pur chef d'oeuvre.

Pour ce qui est de l'intrigue et des protagonistes en soi, je me suis instantanément attachée à la figure phare de Kaguya, cette princesse de c½ur éprise de liberté, de simplicité, dont l'unique désir est de ne faire qu'un avec le monde qui l'entoure et qui possède l'immense sagesse de percevoir et d'apprécier pleinement la beauté de toute chose. Ce film nous fait indéniablement passé un magnifique et vibrant message sur la valeur immesurable de ce qui justement ne s'achète pas, à savoir l'amour incommensurable d'un père et d'une mère, la chaleur d'un sourire, d'une amitié, la tendresse et le réconfort d'un premier amour et surtout l'importance fondamentale de notre libre-arbitre. Tout au long du film, Kaguya va aller à l'encontre de ses souhaits les plus ardents par souci de rendre heureux son père adoptif qui a absolument voulu l'élever au rang presque de déesse sur Terre et toutes ces effroyables concessions vont finir par la briser, ainsi que notre c½ur au passage. Je préfère vous prévenir, ce conte n'est pas une fable à la Disney où tout se termine pour le mieux - et après tout, j'ai envie de vous dire que ce n'est justement pas cela que l'on attend d'un film Ghibli ou d'animation japonaise en général, cet happy ending à l'américaine qui finit par résolument nous bercer d'illusion à la longue. Le dénouement de Le Conte de la Princesse Kaguya vous laissera au contraire une saveur particulièrement douce-amère dans la bouche et vous vous retrouverez avec le besoin irrépressible de crier tout votre soûl sur votre écran de télévision (ou d'ordinateur/portable/tablette, vous choisissez le média que vous voulez pour pouvoir visionné ce film, tant que vous le regardez) comme si cela pouvait arranger quelque chose. Néanmoins, ce que je retiendrai de ce film, c'est la magistrale leçon de vie qu'il nous donne : soyez en harmonie avec la Nature, montrez lui à quel point le bonheur qu'elle vous procure vous importe et elle vous rendra votre amour au centuple, prenez conscience d'à quel point l'innocence immaculée de votre enfance et les liens qui vous unissent à vos proches sont précieux, ne trahissez jamais votre être intérieur. Cela semble assurément plus simple à dire qu'à faire, je vous l'accorde, mais il est cependant vital de respecter ces principes à mon sens.

Pour conclure, je dirais qu'Isao Takahata a ici clôt sa carrière sur une superbe note de douceur et de majestuosité juste inouïe. 14 ans après son dernier film en date à l'époque, à savoir Mes voisins les Yamada (que je n'ai toujours pas vu par ailleurs, je sais, je devrais avoir honte, mais Netflix va m'aider à remédier à cela, encore une fois), et au bout de 40 années de réflexion et 8 de production pour mettre en oeuvre ce projet somme toute pharaonique, je peux pour ma part affirmer que Le Conte de la Princesse Kaguya valait définitivement la peine d'abattre tout ce dur labeur. Ce long-métrage est un petit bijou d'humanité que je ne suis pas prête d'oublier de sitôt. Merci du fond du coeur M. Takahata pour l'héritage inestimable que vous laissez derrière vous. ★★★★★

Nanette ♥

« Qu'est-ce que j'ai fait de bien sur cette terre ? »
FICHE FILM : Le Conte de la Princesse Kaguya
Tags : Fiche film, Le Conte de la Princesse Kaguya, film d'animation, 2013, Japon, Isao Takahata, Légende, conte, nature, miracle, richesse intérieure, drame, fantastique, aristocratie, argent, étiquette, bienséance, prétendants, chagrin, espiéglerie, enfance, Amour ♥., Famille ♥, sentiments, humanité, Aki Asakura, Kengo Kora, Takeo Chii, Nobuko Miyamoto, Excellent film !
​ 12 | 55 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.237.97.64) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le samedi 14 mars 2020 06:16

Modifié le dimanche 15 mars 2020 06:44

FICHE LECTURE : L'Estrange Malaventure de Mirella

FICHE LECTURE : L'Estrange Malaventure de Mirella

• AUTRICE : Flore Vesco.
• ANNÉE : 2019 (FRANCE).
• GENRE (S) : Jeunesse.
• THÈMES/MOTS-CLÉS : Histoire - Moyen Age - Statut de la femme - Ancien français - Humour - Conditions sociales/hiérarchie - Conte détourné - Légende - Mythe - Saint-Empire romain-germanique - Superstitions...
• NOMBRE DE PAGES : 240.

Moyen-Âge. Les rats ont envahi la paisible bourgade d'Hamelin. Vous croyez connaître cette histoire ? Vous savez qu'un joueur de flûte va arriver, noyer les rats en musique, puis les enfants d'Hamelin ? Oubliez ces sornettes. La véritable histoire est bien pire, et c'est grâce à Mirella, une jeune fille de quinze ans, qu'on l'a enfin compris. Cette crève la-faim a un don ignoré de tous : elle voit ce que personne d'autre ne voit. Par exemple, elle a repéré cet homme en noir qui murmure à l'oreille de ceux qui vont mourir de la peste... Et ça lui donne une sacrée longueur d'avance. Y compris sur le plus célèbre dératiseur de tous les temps.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un livre au titre ravissant et à la couverture tout simplement somptueuse, j'ai nommé L'Estrange Malaventure de Mirella. Édité à l'École des Loisirs, dont le travail éditorial de grande qualité m'éblouit depuis mon plus jeune âge (est-ce que certains se rappellent des abonnements qu'on nous proposait en primaire ? Cela a marqué ma vie de lectrice à tout jamais), l'objet-livre reflète cette minutie, ce soin et cet importance des détails propre à cette maison d'éditions et il semblerait aussi, à la plume fabuleuse de l'autrice de cette grande aventure, ou plutôt devrais-je dire « malaventure ». Outre ma superficialité effarante à tomber amoureuse de chaque magnifique couverture qui rencontre mon regard, j'avais avant tout une folle envie de me plonger dans ce roman car j'ai une passion et un respect tout particulier pour les réécritures de contes. J'admire en effet le dur labeur et la prouesse des auteurs de nous délivrer ces histoires anthologiques à leur façon, d'y faire passer leurs propres messages et d'y trouver une résonance avec notre époque actuelle entre autres.On a toujours quelque chose à apprendre des récits de l'ancien temps. C'est avec les vieux pots qu'on fait les meilleures soupes, dirait l'adage. En tout cas, ce n'est pas moi qui vais affirmer le contraire, vu à quel point L'Estrange Malaventure de Mirella m'a conquise !

J'étais d'autant plus curieuse de découvrir ce que Flore Vesco avait à apporter à cette légende qu'on ne présente plus car j'ai une relation toute singulière d'amour/haine avec cette dernière. En effet, étant petite, le conte originel me fascinait tout autant qu'il m'épouvantait, et je ne pense pas avoir été la seule dans ce cas. Mais, malgré les états de terreur dans lesquels n'importe quelle variante me mettait (comme toujours avec les contes d'autrefois, il en existe notamment des bien morbides), Le joueur de flûte de Hamelin parvenait à s'emparer de mon attention toute entière à chaque fois et ce jusqu'au bout, jusqu'au moment fatidique où tout partait à vau l'eau (promis, je ne l'ai pas fait exprès). Et ça n'a pas loupé avec L'Estrange Malaventure de Mirella : une fois embarquée à Hamelin, impossible de m'en faire repartir avant d'avoir le fin mot de l'histoire. Et ce malgré la puanteur caractéristique du Moyen Age et le comportement exécrable de la plupart des habitants ingrats de ce recoin sombre et morose d'Allemagne. Cela aurait dû faire fuir n'importe qui d'un tant soit peu sensé, mais c'est justement grâce à la création remarquable de cette atmosphère médiévale tout ce qu'il y a de plus unique que Flore Vesco est parvenue à me garder entre les pages de son merveilleux livre.

Et ce qui aide grandement à nous faire remonter dans le temps de façon aussi ébouriffante, c'est l'idée de génie que l'autrice a eu de rédiger son intrigue intégralement en ancien français, ou plutôt en employant un certain vocabulaire s'en approchant et les tournures de phrases de cette époque-là. J'ai pris compte de cette information avant de me lancer dans cette lecture et j'ai alors bien sûr eu un petit temps d'appréhension mais il s'est très vite dissipé car c'est in fine cette singularité qui donne tout son charme à l'ouvrage à mon sens. C'est ce qui fait son authenticité, ce qui le démarque des autres romans du même style et même en tant que livre tout court. Je ressens une réelle admiration pour l'autrice d'avoir suivi sa brillante idée jusqu'au bout sans faiblir à la tâche car cela doit être compliqué de penser constamment en ancien français approximatif au cours de la rédaction d'un ouvrage ! Ce qui est sûr, c'est que j'ai été par la suite contaminée par cette façon très alambiquée de parler. Que voulez-vous, cela a un potentiel de séduction absolument délicieux et efficace ! Comme je l'évoquais précédemment, on a véritablement l'impression de se retrouver projetés au quinzième siècle. Cette manière d'écrire comme si l'on y était vraiment apporte un certain réalisme et crée une ambiance incomparable à aucune autre qui nous emporte totalement. On y prend véritablement goût et cela n'entrave en rien la fluidité du récit, pour ceux que la lecture en ancien français rebuterait. Au contraire, cela a même un véritable pouvoir visuel, ce qui nous donne la sensation de se retrouver au c½ur d'un vrai film d'époque. Dans tous les cas, cela mériterait clairement d'être adapté sur grand ou petit écran tant cette intrigue est intense et prenante !

Cependant, l'effet indescriptible que ce roman a eu sur moi ne repose pas que sur le talent indéniable de troubadour de Flore Vesco. L'héroïne tout droit sortie de son imagination, Mirella, n'est pas en reste non plus. Au milieu de la crasse et de la populace mécréante d'Hamelin, elle fait figure de véritable bijou dans un écrin de poussière et de misère. Et de puanteur aussi, l'aura olfactive de ce roman étant très violente également, mais je me répète (j'ai un nez très délicat, c'est comme ça). Je me suis immédiatement attachée à cette jeune fille malmenée par l'existence parce qu'elle est forte, généreuse, profondément inspirante et parce qu'elle marque indubitablement les esprits. En tant que femme au Moyen Age - qui n'est définitivement pas réputé pour être la meilleure période pour les personnes du dit "sexe faible" entre gros guillemets, une absurdité que je ne comprendrai probablement jamais (demandez à Mirella son avis sur la question et je peux vous assurer que vous ne serez pas déçus de la réponse !), notre jeune fille prend ses propres décisions, choisit elle-même de sa destinée, fait toujours ce qui lui semble juste et n'a de comptes à rendre à personne. Flore Vesco lui fait connaître une incroyable évolution, c'est le cas de le dire, et ce sont toutes les épreuves que Mirella a dû traverser, ou plutôt la façon dont elle a procédé pour s'en sortir, qui la rendent époustouflante selon moi. Je dois bien admettre qu'au départ, je ne voyais absolument pas le rôle qu'elle allait jouer dans l'histoire rebattue du Joueur de flûte d'Hamelin. Mais petit à petit, la lumière se fait jour sur nos nombreuses interrogations et on comprend ce qu'elle vient faire là, tout simplement. Et alors, la magie opère véritablement et fait de cette personnalité, de ce destin, quelque chose de purement inoubliable.

Pour conclure, je ne peux que vous encourager à découvrir L'Estrange Malaventure de Mirella. Que vous aimiez ou non le conte originel, l'intrigue proposée par Flore Vesco est juste ahurissante et il y a de quoi en rester résolument envoûté et bouche bée. Pour ma part, ce livre a dépassé le conte originel dans mon c½ur, et de loin, je n'ai pas honte de le proclamer haut et fort. Quant à l'autrice en elle-même, je vais désormais la suivre de très, très près car ce roman-ci m'a juste donné l'irrépressible envie de dévorer tous les autres écrits par la main de ce qui me semble être l'un des petits prodiges de la littérature française jeunesse actuelle. Il ne faut donc pas passer à côté de cette petite pépite ! GROS COUP DE C¼UR ♥
Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, L'Estrange Malaventure de Mirella, L'école des Loisirs (Médium), Flore Vesco, 2019, Littérature française, Jeunesse, Histoire, Moyen Age, Statut de la femme, Ancien français, Humour, Conditions sociales, Hiérarchie, Conte détourné, Légende, Mythe, Saint-Empire romain-germanique, Superstitions, coup de coeur ♥
​ 6 | 12 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.237.97.64) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le samedi 25 mai 2019 16:02

Modifié le mardi 25 juin 2019 15:43

FICHE FILM : Bohemian Rhapsody

FICHE FILM : Bohemian Rhapsody

BIOPIC | 2018 | BRYAN SINGER, DEXTER FLETCHER | MUSIQUE, ROCK, DESTIN EXTRAORDINAIRE, GROUPE, LÉGENDE | AVEC RAMI MALEK, LUCY BOYNTON, BEN HARDY, JOSEPH MAZZELLO, GWILYM LEE, ALLEN LEECH...

➜ Bohemian Rhapsody retrace le destin extraordinaire du groupe Queen et de leur chanteur emblématique Freddie Mercury, qui a défié les stéréotypes, brisé les conventions et révolutionné la musique. Du succès fulgurant de Freddie Mercury à ses excès, risquant la quasi-implosion du groupe, jusqu'à son retour triomphal sur scène lors du concert Live Aid, alors qu'il était frappé par la maladie, découvrez la vie exceptionnelle d'un homme qui continue d'inspirer les outsiders, les rêveurs et tous ceux qui aiment la musique.

ஜ MON AVIS : /!\ Attention, chronique avec un petit spoiler, désolée ! /!\

Bonjour les amis ! Aujourd'hui, je vais vous parler d'un film que j'attendais avec une grande impatience depuis qu'il avait été annoncé en projet : Bohemian Rhapsody. En effet, lorsqu'il y a un peu près deux ans, il avait été déclaré qu'un biopic sur Freddie Mercury était officiellement en préparation, la nouvelle avait fait l'effet d'une véritable bombe, pour moi y compris. Pourtant, je ne peux pas affirmer que je suis une fan inconditionnelle de cette figure controversée et légendaire de la musique, ni du groupe dont elle a été la figure de proue, à savoir les tout aussi mythiques Queen. Cependant, je n'en reste pas moins très admirative de ce que ces quatre amoureux de la musique ont accompli, et c'est pour cela qu'il me tenait très à c½ur de voir ce film que l'on n'espérait même pas, même plus. Rendez-vous compte : un film sur Freddie fucking Mercury (comme ce dernier le dit si bien lui-même dans ce même film), c'est comme si on avait annoncé un film sur la vie de Michael Jackson (je prends en exemple MON idole absolue à moi pour bien appuyer mon propos) ou une autre immense icone musicale de ce même acabit. Cela promettait quelque chose d'absolument énorme, d'inoubliable, à l'image de l'ovni humain qu'était Freddie Mercury. Bref, de quoi faire pétiller nos yeux de toutes les étoiles de la galaxie. Un rêve concrétisé pour de très nombreux fans, ou même simplement pour les amateurs de musique et/ou ceux qui avaient la curiosité d'en savoir plus sur le phénomène Mercury (je fais partie des deux dernières catégories). De quoi nous couper littéralement le souffle. Et puis, après cette annonce foudroyante dont j'ai eu du mal à me remettre, tant ça me semblait inouï (s'ils annoncent ça pour Michael un jour, je vous jure que j'en fais une syncope de bonheur infini), le temps a passé at the speed of light, out of control... jusqu'à ce jour glorieux d'Halloween où le film est enfin sorti. Alors, verdict ? Avant de me lancer dans le fort du sujet, je tiens à rappeler encore une fois que je ne suis pas une fan invétérée de Queen (même si ce film pourrait franchement donner envie de se convertir à la religion "mercurienne") et que je vais donc essentiellement juger ce film pour ce qu'il est en tant que produit fini et avec mes yeux de grande fan des biopics en tout genre.

Autant bien commencer en reprenant la phrase d'accroche de Bohemian Rhapsody, que vous pouvez aussi appeler affectueusement "Bo Rhap" (ce que je trouve grave stylé pour les intimes) : La seule chose plus extraordinaire que sa musique, c'est son histoire. Je ne sais pas vous, mais pour ma part, cela promet un programme alléchant : quand je lis une phrase comme celle-ci, je m'attends à ce que le film m'en apprenne beaucoup plus sur Freddie Mercury que je n'en sais déjà, c'est-à-dire fort peu en somme. Tout le monde peut se dresser son portrait sommaire de ce chanteur, show-man et être humain hors-normes, à moins d'habiter dans une grotte. Mais qui se cache derrière cette légende immortelle ? Ce que j'attendais de ce biopic, ce qui pour moi aurait véritablement fait la différence, et ce peu importe le biopic concerné, c'est qu'à la fin du visionnage, on se sente plus proche de Freddie Mercury que jamais. A mes yeux, derrière chaque grande personnalité, derrière chaque événement digne d'être connu de tous, se cache un mystère à résoudre. Alors, je ne m'attendais pas à ce que le film m'en donne toutes les clés, loin de là. Cependant, ce qu'il nous livre au niveau contenu est fort insuffisant à mon goût, et c'est là son principal bémol. Comme je vous l'ai dit, je suis une grande amatrice des biopics, et pas forcément que de ceux qui concernent directement mes artistes/personnalités/sujets préférés. D'ailleurs, les biopics que je préfère sont souvent basés sur des êtres/des thèmes qui m'étaient quasiment inconnus de prime abord et sur lesquels je ne me serais jamais penchée en temps normal. J'espérais que cela serait le cas de Bohemian Rhapsody également, et ça me fait encore plus de peine car il s'en est fallu de peu pour que cette production cinématographique rejoigne mon panthéon sacré des biopics adorés. Il lui a manqué la petite étincelle qui change tout : des biopics, j'en ai vu à la pelle, sur une pléiade de sujets, je ne les compte même plus. Et j'ai remarqué qu'ils sont tout toujours très bien faits, fidèles à leur sujet, prenants, on en ressort enrichis. Mais ce qui fait la force d'un véritable biopic, c'est de doser convenablement entre émotion brute et "effet Wikipédia", c'est-à-dire qu'il doit nous informer suffisamment sur ce qu'il traite sans pour autant être un débit d'informations digne de... M. Wikipédia quoi. Le souci avec Bohemian Rhapsody, c'est que tout est dans le ressenti, dans l'émotionnel. Le film est tout ce qu'il y a de plus vivant à nos yeux, on a l'impression de faire partie de la vie de ce groupe de légende qui nous était alors inaccessible, on se rapproche d'eux, on se prend de sympathie et on s'attache à chacun des personnages de l'histoire comme s'ils nous étaient proches. Au fond, ils le sont, car Queen est un groupe qui a pris sa place dans le c½ur de beaucoup de gens, même inconsciemment. A ce niveau-là, celui du dynamisme, de la vivacité, de l'émotion qui vous traverse des pieds à la tête, de la crédibilité et de la présence, le film répond à l'appel. A 200%. Mais, à trop vouloir éviter d'être vu comme un Wikipédia ambulant (le risque de tout bon biopic qui se respecte), ce qu'il n'est ABSOLUMENT pas, je vous le garantis, Bohemian Rhapsody néglige un élément crucial : où est l'histoire de Freddie Mercury promise par la phrase d'accroche ? J'avais presque envie de dire : QUELLE histoire ? J'en suis ressortie profondément frustrée car, in fine, on a bien peu de choses à se mettre sous la dent. Loin de répondre à d'éventuels questions qu'on pouvait se poser sur THE Freddie Mercury, le film nous en fait nous en poser encore plus.

Avant même d'aller voir le film, quelque chose m'avait dérangée : le fait que le film prenne pour limites chronologiques 1970, année où Freddie Mercury, encore Farrokh Bulsara, rencontre Brian May et Roger Taylor, ce qui annonce ainsi la naissance de Queen, et 1985, année où le groupe remonte sur scène pour la première fois depuis ce qui semble être des lustres à l'occasion du Live Aid, un immense concert caritatif organisé afin de combattre la famine en Afrique et retransmis dans le monde entier, et livre une performance qui est restée à tout jamais gravée dans les mémoires. A partir de là, le film choisit de nous montrer Freddie Mercury, de nous parler de sa vie, uniquement à travers le prisme du groupe selon moi. Certes, et le film nous le fait bien comprendre de façon claire et très touchante, Freddie n'était rien sans ses comparses et eux non plus. Ils formaient un carré d'or non négociable et non divisible, même si un être particulièrement peu scrupuleux et somme toutes méprisable a essayé de les briser. Vous découvrirez le dit personnage par vous-même. Paul, je ne t'aime pas, la messe est dite, et je ne vais pas perdre plus de temps avec toi. Bref, pour en revenir à mon propos initial, ce qui m'a in fine embêtée, c'est qu'à vouloir éviter de faire "trop scolaire" avec une chronologie hyper linéaire qui partirait d'un point A, c'est-à-dire la naissance de Freddie, pour aller à un point B, vous l'aurez compris, sa mort, Bohemian Rhapsody nous livre une vision réduite de celui qui était véritablement Freddie Mercury. Tiens, parlons-en de ce pseudonyme, d'ailleurs. Pourquoi Freddie ? Pourquoi Mercury ? On n'est pas tous censés savoir d'où vient ce nom de scène qui nous semble désormais à tous évident. Pourquoi un tel acharnement à renier ses origines et son existence première de Farrokh Bulsara ? Parce que oui, le film nous précise que Freddie a adopté son appellation de scène carrément à l'état civil. Et cet exemple-là illustre globalement ce que je reproche essentiellement au film, à savoir nous donner des pistes, des semi-réponses, voire pas de réponses du tout. Quand un film, en particulier un biopic, nous invite à creuser pour en savoir plus, nous donne cette envie irrépressible de le faire, c'est super, je ne dis pas le contraire. C'est même la preuve à mes yeux que c'est un bon film. Mais on ne peut pas sans cesse faire des allusions sans apporter un minimum d'explications. Trop d'informations tue l'information comme on dit, ainsi que la connivence avec le public, ça, je suis bien d'accord. Mais ne pas en donner assez tue l'allusion subtile qui permet de justement créer un lien plus raffiné avec le spectateur. Et le film, à mon goût, a trop souvent d'allusions "vides". On reste sur notre faim car on nous donne la sensation que certaines choses sont importantes, notamment aux yeux de Freddie, que ce soit dans les paroles de ses chansons ou dans sa façon de se penser lui-même, sans qu'on nous dise EN QUOI elles sont importantes. Une fois que l'allusion est jetée, on a envie de savoir, J'AI envie de savoir, mais... non. Juste non. Nada, niente. Quel dommage. Pour vous donner un exemple aussi d'une allusion bien faite dans le film, et qui est même l'un de mes moments préférés, lorsque Freddie apprend que le sida est incurable et voit à la télévision un reportage avec des hommes au visage émacié, maigres comme des clous, dans un état lamentable, atteints du même virus que lui, la musique de Who wants to live forever (mon morceau favori du groupe au passage) se met à jouer. Un simple piano-voix qui ne dure que quelques instants à peine, les paroles de la chanson traduites qui s'accordent parfaitement aux images que l'on voit à ce moment-là. Un instant de grâce maîtrisé à merveille, et l'on comprend tout, simplement. Pas besoin de grandes effusions d'explications, juste de la musique. L'allusion est tellement réussie que j'en ai totalement oublié le petit anachronisme qui s'est produit à ce moment-là (au moment où on en est de l'intrigue, nous sommes en 1985 alors que la chanson n'est écrite qu'en 86). Bon, mea culpa, l'enregistrement de la chanson s'est fait en 85-86. On le pardonne donc très facilement, ce tout petit anachronisme. Moins en revanche le faux raccord qui nous tape dans l'½il lors de la transition Japon 1980 où l'on voit Freddie de dos se tourner deux fois vers Roger Taylor et le public, un grand sourire aux lèvres sous sa moustache toute neuve et arborant les cheveux courts. Que voulez-vous, j'ai mon côté perfectionniste moi aussi, tout comme Freddie.

Plus j'avance dans cette chronique, plus j'ai l'impression de mettre à mal le film alors que ce n'était pas mon intention, vraiment. Je souhaitais juste mettre le doigt sur le fait que Bohemian Rhapsody avait un énorme potentiel qui nous crève les yeux tout du long et qui a été gâché. Je veux dire, la réalisation est impeccable (excepté le faux accord gros comme une maison, je n'en démords pas là-dessus), et ce malgré le changement de réalisateur en fin de parcours. Malgré cet épisode houleux et perturbant, ils s'en sont très bien tirés et je les en applaudis à deux mains. Comme je le disais, la réalisation est vraiment belle, l'esthétique du film est extrêmement réussie, à l'image de Freddie Mercury : lumineuse, colorée, déjantée, avec aussi des teintes plus sombres et plus minimalistes lors des moments de doute et d'abattement. J'en aurais voulu plus aussi, de cette noirceur qu'il y avait dans le c½ur et les pensées de Freddie Mercury, car on ressent sa solitude et sa souffrance, que de nombreux autres grands noms du show business ont grandement éprouvées aussi (Michael, on en revient toujours à toi... d'ailleurs, j'aurais adoré qu'ils nous montrent la rencontre mémorable entre Michael et Freddie dans le film, qu'on ait plus d'interactions avec des stars de l'époque, autre que l'apparition éclair du personnage de Bob Geldof, mais je suis bien consciente que cela n'aurait pas été aisé à faire...). Cependant, on nous montre son désarroi et ses déboires (drogue, VIH, fêtes interminables, hédonisme...)... mais pas trop. J'aurais voulu qu'on nous montre Freddie dans son intégralité, son bonheur, son plaisir, comme ses peines, qu'on nous dévoile aussi l'ensemble de son histoire, de ses années d'enfance et d'adolescence à Zanzibar, qu'il avait définitivement reléguées dans le coin le plus perdu de sa mémoire, jusqu'au moment de sa déchéance avec cette pneumonie foudroyante qui l'a finalement emporté. Je ressentais et je ressens toujours le besoin de le connaître plus intimement, de savoir ce qu'il avait traversé, comment il s'était construit en tant que Freddie Mercury, en tant qu'artiste, en tant qu'amant, en tant qu'être humain. Après, j'ai appris que Freddie Mercury refusait de s'épancher sur sa vie de son vivant. Quand j'y repense, on le voit d'ailleurs clairement dans le film, que ce soit avec les membres de son groupe, avec sa famille et en conférence de presse, il ne voulait absolument pas s'attarder sur ce qui n'était pas important pour lui. A mes yeux, ces choses-là étaient importantes, presque fondamentales. Je regrette qu'on ne voit sa famille qu'au début et à la fin du film, qu'il les aime sincèrement et qu'il les rejette à la fois, je ne l'ai pas compris. Refus de la famille d'en dire plus et qu'on exploite leurs relations entre eux plus que ça, ou respect de ce que Freddie n'aurait jamais fait de son vivant, à savoir de parler plus en profondeur de tout ce qui ne concernait pas Queen et donc la musique, je ne sais à vrai dire pas du tout laquelle de ces deux raisons a triomphé et qui expliquerait que le film survole autant les faits. En tout cas, ma "colère" et ma frustration se sont apaisées et je respecte cette décision, même si je continuerai à penser que cela est vraiment dommage. Avec des acteurs aussi excellents, qui campent à la perfection leur personnage, Rami Malek en tête, bluffant d'authenticité, de charisme et d'émotion (même si je trouve sa prothèse de dents légèrement exagérée), indescriptible tant son talent crève l'écran, mais il n'y a pas que lui qui mérite les honneurs : Ben Hardy, Joseph Mazzello et Gwilym Lee sont troublants de ressemblance avec les vrais Roger Taylor, John Deacon et Brian May et ils leur donnent comme une seconde jeunesse, Tom Hollander, l'inoubliable M. Collins de l'Orgueil et Préjugés de Joe Wright, qui incarne ici le truculent et délicieux Jim "Miami" Beach, un personnage qui a, selon moi, un sacré charme, hyper attachant et indispensable, et je n'oublie pas bien sûr la magnifique Lucy Boynton, qui joue le rôle sublime et surtout inattendu - pour moi - de Mary Austin, anciennement femme de Freddie et véritable amour de sa vie (Love of my life en détrônerait presque Who wants to live forever dans mon c½ur, allez écouter cette petite perle musicale et émotionnelle sur le champ, ainsi que le reste de la B.O. du film qui, fait guère surprenant, déchire tout), leur relation, les sentiments qu'ils ne cessent jamais d'entretenir l'un pour l'autre, m'ont bouleversée à un point que je n'aurais pas cru possible ; avec de tels acteurs, il y aurait eu matière à rendre le contenu du film bien plus dense, surtout qu'en 2 h 15, c'était largement jouable. Un rajout de quinze minutes à la rigueur n'aurait pas été de trop, 2 h 30 de film qui auraient passé à la vitesse de l'éclair, comme c'était déjà le cas, mais avec un fond qui égale la forme cette fois. Les acteurs, les images, la musique démentielle qui délecte nos oreilles inlassablement, apportent déjà beaucoup d'humanité et de superbe. Mais cela aurait pu, cela aurait dû, être encore plus superbe. Grandiose. Je ne cesserai jamais de le répéter : Bohemian Rhapsody était à ça du chef d'oeuvre, du petit bijou. J'aurais préféré penser différemment et être totalement convaincue, mais ça n'a pas été le cas. Quand je pense que le film appuie bien sur le fait que Queen était un groupe novateur, toujours à la recherche de créativité et en avance sur son temps, je me dis que c'est un comble que ce biopic soit in fine bien classique, qu'ils n'aient pas pris vraiment de risques. Ça, ce serait de la faute de la 20th Century Fox, donc je ne m'avancerai pas plus loin sans savoir. Ne pas juger sans connaître, juste donner son humble opinion, telle est ma devise.

Je vais conclure cette chronique déjà bien longue en vous rappelant ceci : il est bon de se faire son propre avis car la beauté de la chose est que ce dernier peut évoluer avec le temps, avec de la maturité, avec de la réflexion. Et ce qui fait que ce film est un grand, bon film aussi, qui mérite d'être vu au moins une fois dans sa vie, c'est qu'il en apporte, des sources de réflexion. Regardez, j'ai eu matière à dire et à réfléchir sur cette oeuvre cinématographique, vous êtes encore là pour en témoigner (et je vous en remercie). Il suffit d'un autre ou de moult revisionnages, ou simplement en prenant la peine d'y repenser à un autre instant de notre vie, notre vision des choses peut changer du tout au tout. Si ça se trouve, j'aurai retourné ma veste d'ici quelques années ou même mois. En général, je suis plutôt butée, mais ce que je peux vous assurer, c'est que je prendrai un grand plaisir à regarder Bohemian Rhapsody une seconde fois et à lui laisser sérieusement le bénéfice du doute. Au fond, je crois que je souhaite tellement, désespérément me laisser convaincre que ce film est une pure pépite que c'est déjà quasiment fait. J'ai su voir ce qu'il manquait, mais aussi ce qui fait de ce film une oeuvre de qualité : ce que j'en retiendrai avant tout, c'est l'amour de la musique, l'amour de la famille, celle du c½ur comme celle à laquelle on s'attend le moins, l'amour de soi, même si c'est loin d'être simple, l'amour des autres, du partage. Ce film, avant d'inscrire Freddie en tant qu'âme immortelle, ce que nous sommes tous en réalité, est une ode à l'amour, sans bornes et sans commune mesure, un amour spontané, inconditionnel et qui ne vous lâchera jamais. C'est ce qui fait à mes yeux que ce film mérite d'être vu avant tout, entre tant d'autres choses. A toute l'équipe colossale qui a travaillé sur ce projet pendant des années, pour ceci, pour tout, je leur dis du fond du c½ur : merci. Pour les nombreux rires, pour les larmes, pour les coups au c½ur, pour le chamboulement que le film provoque en nous, pour nous avoir accueilli dans la famille de Her Majesty Queen, c'est trop d'honneur, vraiment, pour la scène finale absolument jouissive de la prestation innommable de Queen au Live Aid, comme si on y était, merci pour ce cadeau. Merci encore une fois pour TOUT. Ça valait bien les applaudissements des spectateurs à la fin de la séance. Je le dis honnêtement : ils étaient mérités.

Nanette ♥

FICHE FILM : Bohemian Rhapsody
Source du gif : winterswake (tumblr).

COUP DE FOUDRE ϟ
We will rock you ! C'est tout pour moi ♥

UPDATE : J'ai finalement décidé de réviser mon jugement en changeant ma notation sur ce film. Trois semaines après l'avoir vu, je réalise qu'il me reste toujours autant en tête. Sur le moment, il ne m'a peut-être pas fait réagir autant que je l'espérais, ou de la manière que j'escomptais, mais Bohemian Rhapsody m'a définitivement marquée au plus profond de moi. Je passe mon temps à y penser ; dans ma tête, je suis parasitée par les chansons de Queen, par la performance des acteurs, par tout ce que cela a fait naître en moi en matière de réflexion sur moi-même, sur la vie, sur tout. Je respire ce film, je crève d'envie de le revoir encore et encore, quand je ferme les yeux parfois, c'est comme si je le revoyais à nouveau. Bref, il m'a juste contaminée, et je n'ai pas envie de guérir de ça, pas du tout. Sur tous les films que j'ai pu voir en 2018 jusqu'à présent, seul celui-ci a réussi à avoir un tel effet sur moi. Ça m'a totalement prise de court et ça ne me quitte pas, de jour comme de nuit. Donc je me dis que ça ne peut mériter que d'être appelé un coup de foudre des plus absolus ! Je vous l'avais dit, les avis sont faits pour évoluer, et non rester statiques... C'est toute la magie de la chose...
Tags : Fiche film, Bohémian Rhapsody, Biopic, Bryan Singer, Freddie Mercury ♥, Queen, 2018, Musique ♫, Rock, Destin extraordinaire, Groupe, Légende, Rami Malek, lucy boynton, Ben Hardy, Joseph Mazzello, Gwilym Lee, Allen Leech, Dexter Fletcher, Coup de foudre ♥
​ 16 | 102 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (3.237.97.64) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le mercredi 31 octobre 2018 04:39

Modifié le mercredi 19 décembre 2018 15:35

Design by Lunartic

Signaler un abus

Abonne-toi à mon blog ! (2 abonnés)

RSS

Skyrock.com
Découvrir
  • Skyrock

    • Publicité
    • Jobs
    • Contact
    • Sources
    • Poster sur mon blog
    • Développeurs
    • Signaler un abus
  • Infos

    • Ici T Libre
    • Sécurité
    • Conditions
    • Politique de confidentialité
    • Gestion de la publicité
    • Aide
    • En chiffres
  • Apps

    • Skyrock.com
    • Skyrock FM
    • Smax
  • Autres sites

    • Skyrock.fm
    • Tasanté
    • Zipalo
  • Blogs

    • L'équipe Skyrock
    • Music
    • Ciné
    • Sport
  • Versions

    • International (english)
    • France
    • Site mobile