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FICHE LECTURE : Mauvaise graine

FICHE LECTURE : Mauvaise graine
• AUTEUR : Nicolas Jaillet.
• ANNÉE : 2020 (FRANCE).
• GENRE(S) : Contemporain.
• THÈMES : Grossesse - Super-pouvoirs - Enquête - Maternité - Action - Violence - Complot - Humour...
• PAGES : 288.

Jeune institutrice, Julie mène une vie tranquille de célibataire sans histoire. La première surprise, c'est ce bébé dans son ventre, arrivé là mystérieusement et pourtant, elle sait bien qu'un enfant, ça ne se fait pas tout seul. La deuxième surprise, plus grande encore, c'est que cette grossesse développe chez elle d'étranges pouvoirs. Ne lui reste plus qu'à mener l'enquête pour comprendre ce qui lui arrive et régler ses comptes...

À mi-chemin entre Kill Bill et Bridget Jones, Mauvaise graine est un roman fantasque et trépidant à savourer sans reprendre son souffle.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du roman Mauvaise Graine signé Nicolas Jaillet. Je remercie infiniment La Manufacture de livres (quel joli nom pour une maison d'édition, vous ne trouvez pas ?) pour ce très bel envoi.

Je ne vais pas vous mentir, ce roman fut pour moi une lecture un tant soit peu en demi-teinte. Le postulat de départ avait pourtant de quoi me promettre monts et merveilles : une jeune instructrice qui se retrouve en cloque sans quoi ni ouf, sans le moindre mode d'emploi et surtout... sans comprendre pourquoi. Ben oui, la Julie, ça fait bien longtemps qu'elle n'a pas été chatouillée à un certain endroit si vous voyez ce que je veux dire. J'étais extrêmement curieuse de découvrir de quoi il allait retourner avec ce livre, d'autant plus que l'on nous vend dans le résumé un récit loufoque et trépidant à la sauce Kill Bill mixé à du Bridget Jones en puissance, s'il vous plaît, rien que ça. Et effectivement, j'ai bien retrouvé l'influence de ces deux ½uvres cinématographiques aussi éloignées l'une de l'autre que possible que Nicolas Jaillet est parvenu à rassembler avec beaucoup de brio, bien que la violence et l'adrénaline de Kill Bill finit par rapidement prendre le pas sur les "menus" tracas d'une célibataire terrassée par sa propre existence comme cela peut être le cas pour la so british Bridget Jones. Autrement dit, on n'est pas là pour se déguiser en lapin de playboy histoire de se rendre à un bal de printemps, même si je suis sûre que Julie aurait adoré ça, mais plutôt pour casser des culs, comme le disent les Américains, à la mode hardcore.

Si je me suis délectée de cet aspect tout ce qu'il y a de plus trash et irrévérencieux de ce récit, j'ai en revanche eu du mal à accepter la tournure que prenaient les événements au fur et à mesure que l'on progressait dans l'intrigue. Déjà, j'aurais aimé que l'on me prévienne que Jane the Virgin entrait également dans la composition du combo de choc ayant inspiré la rédaction de ce bouquin complètement déjanté et explosif. L'association tout ce qu'il y a de plus improbable entre le sanguinolent Kill Bill et la rocambolesque aventure amoureuse vécue par l'inénarrable Bridget Jones, c'était à mon sens bien suffisant pour produire un cocktail molotov qui détonne. Maintenant, ajoutez à cela une pincée de Jane the Virgin (au moins pour l'idée de base, la petite, "mauvaise" graine qui fera germer tout le reste) et vous avez... un ovni. Ne vous y détrompez pas, en temps normal, j'aime les ovnis, je m'en fais la plus fervente partisane ; je les plébiscite avec une force et une conviction telle que cela en devient parfois sérieusement indécent. Indécent, ce récit l'est, assurément, et il est tant d'autres choses. Des choses que je n'escomptais au fond absolument pas, et c'est bien là le problème.

En parcourant la quatrième de couverture, je m'étais bizarrement imaginée un scénario beaucoup plus terre-à-terre et centré sur l'amour filial pouvant naître entre une femme et son enfant au moment de la grossesse. Je reste par ailleurs intimement convaincue que les super pouvoirs de Julie et tout le côté "complot/secret défense" qui accompagne ce phénomène clairement surnaturel dans le romans ne constituent in fine qu'une vaste métaphore sur le monde qui nous entoure, sur cette société patriarcale qui viole constamment le corps et l'âme des femmes, qui leur dictent quand et comment elles doivent être ou ne pas être mères, qui les maintiennent à un étage inférieur dans la hiérarchie sociale pour que le mâle dominant soit toujours valorisé. Simplement, j'aurais aimé que tout ceci soit énoncé de façon résolument plus limpide, sans tout le décorum et le sensationnel autour : les effusions de sang, les laboratoires glauques à souhait... D'ailleurs, je ne parviens toujours pas à comprendre le pourquoi du comment, l'origine du n½ud même de l'intrigue, et cela me perturbe profondément. Je pense que je ne suis pas allée à la rencontre de ce roman au bon moment. Je désirais intensément le lire mais je n'étais pas prête à en recevoir le contenu, qui m'a fait l'effet d'un uppercut en pleine figure pendant près de 350 pages. L'intrigue est menée avec intelligence, clairvoyance et beaucoup d'humour onctueusement corsé et décapant, mais je n'ai malheureusement pas su véritablement m'y plonger et en ressortir tout ce qu'il y avait de meilleur. Cependant, je ne m'avoue pas vaincue : je relirai certainement ce livre un jour pour cette fois l'apprécier à sa juste valeur et je ne manquerai pas de découvrir les prochaines parutions de Nicolas Jaillet qui sont autant de promesses de futures expériences livresques pour le moins singulières, je le sais pertinemment.

Pour conclure, je ne peux que vous encourager à découvrir par vous-même ce roman survitaminé mettant en scène une héroïne comme on en rencontre peu et qui a assurément l'art et la manière de rendre coup sur coup. Vous n'aurez sans aucun doute pas envie de vous la mettre à dos au cours de votre lecture, je puis vous le garantir ! Pour ma part, malgré la légère (humhum...) confusion que j'ai pu éprouver à ses côtés au cours des 9 mois de grossesse les plus intenses jamais envisagés, j'ai vécu son brutal éveil à la maternité et sa rage de lionne envers l'univers tout entier comme une authentique catharsis sans les dommages et intérêts. Quoique... Réflexion faite, la vendetta de Julie aura eu de sacrées répercussions sur mon état émotionnel et mental actuel. Vous voilà avertis... ★★★(★)★

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, service de presse, Mauvaise graine, Nicolas Jaillet, La Manufacture de livres, Littérature française, 2020, Contemporain, Grossesse, super-pouvoirs, enquête, maternité, action, violence, complot, humour, Bonne lecture
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#Posté le vendredi 17 juillet 2020 16:02

Modifié le samedi 25 juillet 2020 05:24

FICHE LECTURE : La forêt des araignées tristes

FICHE LECTURE : La forêt des araignées tristes
• AUTEUR : Colin Heine.
• ANNÉE : 2019 (FRANCE).
• GENRE (S) : Steampunk, fantastique, policier.
• THÈMES : Enquête - Aventure - Mystère - XIXe siècle - Suspens - Effroi - Gothique - Mort - Menace - Dangers - Ingéniosité - Déductions - Politique - Guerre - Complot - Espionnage...
• PAGES : 488.

Bastien est paléontologue : sa spécialité ? Étudier les créatures étranges qui naissent de la vape, ce mystérieux brouillard aux propriétés énergétiques extraordinaires qui a recouvert le monde et menace de l'engloutir un peu plus chaque jour. Tour à tour victime d'un dramatique accident en apparence banal duquel il réchappe de justesse et témoin d'un attentat, où sa survie ne tient à nouveau qu'à un fil, il voit son destin basculer. Le voilà pris dans l'engrenage d'une affaire d'espionnage d'envergure internationale, sous les feux croisés d'une société secrète d'assassins, de brutes armées et d'une agence de détectives aux méthodes douteuses. Sans compter qu'une créature cauchemardesque, tout droit venue des Vaineterres, ces zones perdues dans un océan de vape, semble bien décidée à lui faire la peau...

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique de La forêt des araignées tristes par Colin Heine. Il s'agissait d'une de mes dernières acquisitions livresques des Imaginales (de l'an passé donc...) que je n'avais pas encore lue et que mes deux amies Justine et Camille m'avait offerte. Je les remercie encore infiniment pour ce beau cadeau.

In fine, qu'ai-je pensé de ce livre ? Eh bien, c'est à vrai dire tout ce qu'il y a de plus confus. Si j'ai juste adoré la plume de l'auteur et la force colossale de son imaginaire, j'ai en revanche eu énormément de mal à voir où tout cela voulait en venir. J'ai en effet eu l'impression qu'à vouloir mélanger un nombre infini de genres, entre autres le steampunk, le fantastique/horrifique et le thriller, l'auteur se perdait dans les messages qu'il souhaitait nous transmettre. Je trouve cela fort dommage car le roman est en outre ponctué de passages dénonçant des injustices sociétales malheureusement encore en vigueur aujourd'hui que j'ai trouvé fondamentaux qui se noient dans le reste de l'intrigue. En clair, il y a de la suite dans les idées mais ces éclairs de génie se retrouvent très rapidement éclipsés par la noirceur et la singularité détonante du récit, dont la bizarrerie va à mon sens beaucoup trop loin, même pour moi qui suis amatrice de créativité débridée.

De la même façon, je n'ai pas réussi à véritablement m'attacher aux personnages que j'ai trouvé trop peu développés. J'aurais voulu en savoir beaucoup plus sur eux, sur leur passé, leurs proches et leurs motivations mais là où je m'attendais à une grande porte ouverte sur leur vécu, je n'ai eu qu'un tout petit hublot, soit fort peu à me mettre sous la dent. Surtout, vu que tout dans le récit allait beaucoup trop vite, j'ai eu la sensation d'à peine avais-je fait la connaissance des protagonistes de cette histoire que tout s'était déjà résolu... ou pas, justement.

Cela m'amène à aborder ce qui est selon moi le plus gros et dérangeant bémol de ce roman, à savoir son dénouement, que j'ai pour ma part trouvé bien trop abrupte et insoluble. Techniquement, j'ai bien assimilé tout ce que ses derniers paragraphes avaient à me révéler, pas de problèmes de ce côté. Ce que je déplore, c'est que je n'ai tout bonnement pas su interpréter les informations qui m'ont été transmises dans cet épilogue pour le moins déroutant et incompréhensible à mon humble opinion.

Pour conclure, malgré une intrigue à mes yeux beaucoup trop précipitée et brouillonne, je ne regrette pas d'avoir laissé sa chance à La forêt des araignées tristes (si d'ailleurs quelqu'un pouvait m'expliquer le choix de ce titre fort attirant et poétique au demeurant, je l'en remercierais chaleureusement) pour la richesse et la fluidité de la plume. Je ne désespère pas, je suis persuadée que l'auteur saura pleinement me convaincre à l'avenir avec un autre de ses romans. En attendant, si vous cherchez un récit d'une originalité folle (c'est le cas de le dire) au suspens savamment maîtrisé et à l'atmosphère diantrement sombre et particulière, vous savez ce qu'il vous reste à faire ! ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, éditions ActuSF, Colin Heine, 2019, Littérature française, Steampunk, fantastique, policier, enquête, aventure, mystère, XIXe siècle, suspens, effroi, gothique, mort, menace, dangers, ingéniosité, déductions, politique, guerre, complot, espionnage, Bonne lecture
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#Posté le lundi 22 juin 2020 09:33

Modifié le mardi 23 juin 2020 10:15

FICHE LECTURE : Le chien des Baskerville

FICHE LECTURE : Le chien des Baskerville
• TITRE V.O. : The Hound of the Baskervilles.
• AUTEUR : Sir Arthur Conan Doyle.
• ANNÉE : 1902 (GRANDE-BRETAGNE) ; 1905 (FRANCE).
• GENRE (S) : Policier.
• THÈMES : Enquête - Aventure - Mystère - Suspens - Effroi - Gothique - Fantastique - Légende - Malédiction - Dynastie - Fortune - Mort - Menace - Dangers - Ingéniosité - Déductions - Humour...
• PAGES : 255.

Des cris lugubres résonnent sur la lande...
Et voici que la légende prend corps. Un chien énorme, créature fantomatique et infernale, serait à l'origine de la mort de sir Charles Baskerville. Maudit soit Hugo, l'ancêtre impie et athée, qui provoqua, en son temps, les forces du mal !
Mais Sherlock Holmes ne peut croire à de telles sornettes. Aussi, lorsqu'il dépêche le fidèle Watson auprès de sir Henry, l'héritier nouvellement débarqué d'Amérique, il ne doute pas de mettre rapidement fin à ces spéculations. Pourtant, la mort a frappé plusieurs fois sur la lande. Et le manoir est le théâtre de phénomènes bien étranges... Se peut-il que la malédiction des Baskerville pèse encore ?

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un titre phare de la littérature policière anglaise, j'ai nommé Le chien des Baskerville par Arthur Conan Doyle.

J'étais extrêmement curieuse de découvrir ce qui est probablement le volet le plus connu des aventures de notre illustre Sherlock Holmes... et je ne vous cache pas que j'ai été un tantinet déçue par cette lecture dont j'attendais résolument plus. En effet, le résumé de ce livre m'avait vendu du rêve avec cette histoire de soi-disant chien démoniaque qui hanterait toute une famille sur plusieurs générations. Cela me promettait de l'aventure, une enquête tumultueuse, du frisson et c'est effectivement ce que j'ai obtenu, mais...

Pour commencer, j'ai trouvé l'atmosphère de ce roman absolument exquise. L'aura qui se dégage de ce livre est à la fois très raffinée, so british, et délicieusement mystique, sombre et gothique à partir du moment où Watson est invité à mener l'enquête chez les Baskerville... sans Sherlock ! À tout le moins, notre détective incomparable à aucun autre est absent pendant une bonne partie de l'intrigue pour des raisons que je l'expliciterai pas ici... Bref, dès l'instant où Watson devient l'hôte du nouvel héritier des Baskerville et où l'on est amené à explorer la lande environnante du fameux manoir hanté, j'étais séduite ! J'adore les descriptions d'une nature sauvage, imprévisible, où tous les dangers (style un chien venu tout droit des enfers) peuvent s'y tapir et avec Le chien des Baskerville, j'ai été servie !

Cependant, mon excitation est retombée très rapidement comme un soufflé. En effet, le livre est court et si l'écriture d'Arthur Conan Doyle se boit comme du petit lait (ou plutôt comme un bon thé bien chaud), son charme et sa fluidité ne m'en ont pas fait oublier la facilité avec laquelle se résout l'intrigue. En fait, ce n'est pas tant que l'intrigue se résout trop aisément à mon goût ; c'est plutôt le fait que je n'ai pas compris quelles étaient les réelles intentions du coupable qui m'embête. Ce dernier nous fournit certes un certain nombre de raisons l'ayant poussé à de telles agissements mais cela n'éclaircit absolument rien de mon côté. En comparaison, j'avais trouvé l'histoire en arrière-plan de la première aventure de Sherlock Holmes, Une étude en rouge, bien plus développée, originale et crédible. Après, je dois reconnaître que je n'ai rien vu venir ou presque avec Le chien des Baskerville pendant une bonne partie du récit mais, une fois le dénouement survenu, je n'ai pas pu m'empêcher de me sentir trahie, bafouée. Je me suis à ce moment-là « Tout ça pour ça ? » et ce n'était certainement pas ainsi que je souhaitais clore l'une des mémorables enquêtes de Sherlock, vous pouvez me croire.

Pour conclure, j'étais impatiente à l'idée d'enfin me plonger dans la lecture de l'incontournable Chien des Baskerville et, si j'ai pris un immense plaisir à retrouver le duo mythique que forment les irremplaçables Sherlock et Watson et trouvé l'atmosphère lugubre et teintée d'horreur du récit au poil (Vous comprenez ? Chien des Baskerville, poil... OK, je sors...), je n'ai en revanche pas été satisfaite de la fin que j'escomptais plus surprenante ainsi que de la psychologie des personnages que j'aurais voulu voir plus poussée encore. Malgré cela, je ne regrette pas d'avoir laissé sa chance à ce livre qui reste un très agréable moment de lecture que je garderai un certain temps en mémoire ! ★★★(★)★

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, Livre de Poche, Le chien des Baskerville, Littérature britannique, Arthur Conan Doyle, 1902, 1905, Roman policier, enquête, aventure, mystère, suspens, effroi, gothique, fantastique, légende, malédiction, dynastie, fortune, mort, menace, dangers, ingéniosité, déductions, humour, Bonne/très bonne lecture
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#Posté le vendredi 19 juin 2020 09:16

Modifié le mardi 23 juin 2020 04:12

FICHE LECTURE : Warcross - T1

FICHE LECTURE : Warcross - T1
• TITRE V.O. : Warcross, book 1.
• AUTRICE : Marie Lu.
• ANNÉE : 2017 (ETATS-UNIS) ; 2018 (FRANCE).
• GENRE(S) : Young Adult, science-fiction, action.
• THÈMES : Aventure - Monde futuriste - Jeux vidéos - Chasseurs de primes - Solitude - Passé - Famille - Souffrance - Dark web - Mystère - Enquête - Énigme - Suspens - Compétition - Frontière entre virtuel et réalité - Informatique - Nouvelles technologies - Complicité - Entraide - Travail d'équipe - Solidarité - Secrets - Amour - Révélations chocs...
• PAGES : 416.

La vie est dure pour Emika, 18 ans, criblée de dettes, et qui survit comme chasseuse de primes dans les entrailles de Manhattan. Aussi, bien décidée à fuir cette réalité, la jeune femme chausse ses lunettes connectées et plonge dans l'univers fantastique du jeu en réseau le plus incroyable jamais inventé : Warcross. Mais quand elle pirate la finale du grand tournoi de l'année, elle est repérée par l'intrigant créateur du jeu : Hideo Tanaka, un jeune et beau génie dont les fans se comptent par millions. Emika sent pourtant que les intentions d'Hideo dépassent le cadre de Warcross et pourraient bien faire vaciller la frontière fragile entre réel et virtuel...

ஜ MON AVIS :

Coucou les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du premier tome d'une duologie qui me faisait énormément de l'½il, j'ai nommé Warcross. Il me tardait en effet d'enfin découvrir l'imaginaire et la plume de cette autrice Young Adult réputée qu'est Marie Lu et je n'ai résolument pas été déçue !

Ce qui m'attirait tout d'abord avec cette série en particulier, c'est son univers exponentiel élaboré d'une main de maître par la créativité sans failles de Marie Lu. J'ai beau ne pas être forcément fan de jeux vidéos d'habitude, force est de constater que je me suis totalement laissée embarquer dans ce monde futuriste tout bonnement époustouflant dans lequel la frontière entre rêve virtuel et réalité est indéniablement mince. Une chose est sûre : que l'on soit plongés dans une parfaite illusion ou non, on en prend plein les yeux et on n'a assurément pas envie de se réveiller !

Pour autant, cela ne signifie pas que cet univers presque trop utopiste et enchanteur pour être vrai ne nous réserve pas quelques surprises savamment concoctées à notre encontre, bonnes comme mauvaises. Ça, ce n'est certainement pas à Emika que vous l'apprendrez. Je me suis pour ma part instantanément attachée à cette héroïne pas comme les autres qui ne manque indubitablement pas de ressources ni de tempérament. Ce personnage féminin fort et fragile à la fois m'a profondément émue et la relation aussi incongrue qu'évidente qui se tisse entre elle et le protagoniste masculin de cette incroyable histoire, Hideo, m'a juste fait fondre comme neige au soleil. Vous l'aurez deviné, le charme magnétique de ce petit génie de l'informatique et véritable prince charmant japonais des temps modernes a immédiatement sur ma petite personne, même si... Je ne vous en dis pas plus, ce sera à vous de le découvrir par vous même !

En clair, je ne peux que vous recommander ce premier tome de Warcross qui m'aura fait vivre une expérience de lecture tout bonnement sensationnelle et renversante de laquelle j'ai eu sincèrement du mal à revenir auprès d'un tandem de protagonistes aussi explosifs que séducteurs. Il me tarde désormais de retrouver ces personnages et ce monde virtuel si chers à mon c½ur pour un final qui s'annonce vraisemblablement démentiel ! COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, Warcross, pocket jeunesse, Tome 1 ♥, Duologie, Marie Lu, Littérature américaine, Young Adult, science-fiction, action, aventure, monde futuriste, jeux vidéos, chasseurs de primes, solitude, passé, famille, souffrance, dark web, mystère, enquête, énigme, suspens, compétition, frontière entre virtuel et réalité, informatique, nouvelles technologies, complicité, entraide, travail d'équipe, solidarité, secrets, amour, révélations chocs, coup de coeur ♥
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#Posté le vendredi 31 janvier 2020 16:10

Modifié le mardi 04 février 2020 07:40

FICHE FILM : Nicky Larson et le parfum de Cupidon

FICHE FILM : Nicky Larson et le parfum de Cupidon
ADAPTATION LIVE-ACTION | 2019 | RÉALISÉ PAR PHILIPPE LACHEAU | MANGA, ANIME, JAPON, CITY HUNTER, ANNÉES 90, ACTION, HUMOUR, DÉTECTIVE PRIVE, ENQUÊTE, MISSION, SUSPENS, OBSÉDÉ SEXUEL, ATTIRANCE, NOSTALGIE, CLUB DOROTHÉE | 1 H 35 | AVEC PHILIPPE LACHEAU, ELODIE FONTAN, TAREK BOUDALI, JULIEN ARRUTI...

➜ Nicky Larson est le meilleur des gardes du corps, un détective privé hors-pair. Il est appelé pour une mission à hauts risques : récupérer le parfum de Cupidon, un parfum qui rendrait irrésistible quiconque l'utilise...

ஜ MON AVIS :

Bonjour mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un film qui m'intriguait grandement, à savoir Nicky Larson et le parfum de Cupidon. En effet, je n'ai peut-être pas grandi avec le fameux Club Dorothée (je suis née en 1998, je ne vous dis pas ma poisse - l'émission s'est arrêtée en 1997) mais ça ne m'a empêché de voir une poignée d'épisodes de Nicky Larson durant mon enfance sur MCM, de me fendre la poire et de me créer ainsi de très jolis (et salaces) souvenirs. J'étais donc très curieuse de découvrir cette adaptation live-action française de ce manga/anime que j'apprécie beaucoup, qui plus est par un acteur-réalisateur que j'affectionne particulièrement, à savoir Philippe Lacheau, et force est de constater que le résultat a été résolument à la hauteur de mes attentes !

Cependant, je ne vais pas vous mentir : lorsque le projet a été annoncé, j'étais, comme la plupart des fans et autres amateurs du matériau d'origine, fortement dubitative. On le sait désormais, le cinéma occidental et les mangas, ça ne fait généralement pas bon ménage. Et donc forcément, à force de déceptions, on en finit par se blinder face à d'éventuels projets novateurs qui se présentent et presque par en devenir mauvaise langue à l'avance. Personnellement, j'avais in fine décidé de ne pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué et de voir par la suite ce que ça allait donner. Puis la première bande-annonce est tombée et j'ai alors commencé à grincer des dents. Je ne saurais vous dire pourquoi mais cette dernière ne m'inspirait absolument pas. J'étais prête à ce moment-là à faire le dos rond au film à sa sortie, je vous l'avoue honteusement. Et puis, les premières critiques sont parues, pour la plupart étonnamment positives, et c'est ainsi que je me suis retrouvée devant Canal + pas plus tard qu'hier soir pour laisser une fois pour toutes sa chance à Nicky Larson et le parfum de Cupidon. Voilà pour la petite background story. Ce que je retiens de tout ça, c'est que j'aurais dû faire confiance à la bande à Fifi car elle ne m'avait jamais déçue auparavant et il semblerait que cela n'est pas prêt de se produire !

Pour commencer, ce qui m'a tout d'abord frappée avec cette adaptation, c'est l'immense respect qu'elle voue au manga/anime d'origine. Tous les ingrédients qui ont fait de Nicky Larson à l'époque un véritable succès et une ½uvre mémorable, autrement dit des personnages complètement barrés et hauts en couleur, une atmosphère démente, déjantée, mais aussi teintée de noirceur qui oscille constamment entre le fou rire et les larmes, à tout le moins, l'émotion profonde, une musique cultissime et un humour lourdingue porté sur la fascination quasi malsaine pour l'anatomie féminine du héros irremplaçable de l'histoire, sont rassemblés ici et mélangés à la sauce Lacheau, ce qui nous donne un long-métrage explosif qui enchaîne les scènes plus folles et délirantes les unes que les autres à un rythme endiablé et qui nous embarque ici dans une aventure inédite complètement dingue au côté entre autres d'un duo Lacheau-Fontan toujours aussi complice qui crève l'écran en tant que Nicky et Laura.

Parlons-en justement du casting ! Comme je vous le disais à l'instant, Philippe Lacheau et Elodie Fontan m'ont indéniablement convaincue dans leur interprétation respective de Nicky Larson et Laura Marconi. J'ai été particulièrement émue par la prestation d'Elodie Fontan qui a su rendre à merveille autant le caractère bien trempé que la vulnérabilité et sensibilité bien cachée de Laura ainsi que le charisme singulier et saisissant de ce personnage. Quant à Philippe Lacheau, on sent qu'il s'éclate tel un grand enfant dans le rôle de Nicky Larson. Il prend véritablement son pied tout en prenant en compte les subtilités et la complexité de son personnage et le rendu est franchement satisfaisant de mon côté. J'avais adoré leur alchimie clairement palpable dans Alibi.com et je l'ai d'autant plus goûtée ici avec Nicky Larson et le parfum de Cupidon. Il semblerait que ce tandem de choc à l'écran (comme dans la vraie vie) ne cessera jamais de me faire rêver et j'en redemande encore de cette alchimie exceptionnelle qui émane d'eux deux dès qu'ils se retrouvent ensemble !

De façon globale, je dirais que chaque acteur de ce film, principal comme secondaire voire "simple" caméo (je n'aime pas l'emploi de cet adjectif car chaque caméo dans ce film s'est retrouvé être un véritable délice à découvrir pour ma part) semble s'être donné les moyens de lâcher totalement prise et d'incarner leur personnage jusqu'au bout du bout afin de prendre véritablement part à la pure folie ambiante qu'a dû être le tournage de ce film. Ça se voit qu'ils prennent des risques, qu'ils osent et qu'ils le font à fond pour être le plus proche possible de l'essence incomparable à aucune autre du manga originel. Dans ma tête, je m'imagine le plateau de tournage de Nicky Larson et le parfum de Cupidon comme ayant été un authentique terrain de jeu qui se prenait tout de même un tant soit peu au sérieux afin d'offrir le meilleur cadeau possible aux fans de la première heure ainsi qu'au public dans son ensemble, qui laissait la part belle à l'imagination et à une créativité sans limites et où la bonne humeur devait régner en maîtresse incontestée. En tout cas, c'est l'effet qu'a produit sur moi ce film : celui d'une franche rigolade d'1 h 35 continue qui m'a redonné le sourire jusqu'aux oreilles et qui n'a pas manqué de me surprendre et de me captiver à chaque seconde qui passait !

Dernier point qu'il me semblait capital à aborder : la double-lecture que l'on peut avoir de ce long-métrage. En effet, en dehors de l'aspect comédie et film à rebondissements sacrément réussis, Nicky Larson et le parfum de Cupidon est truffé de références à la célèbre émission télévisée qui a permis à l'anime d'origine d'être diffusé en France. J'avais justement peur de cette caractéristique-là du film car, si j'essaye de m'intéresser un maximum à ces années bénies qu'ont été celles du Club Dorothée et que je n'ai malheureusement pas connues, je suis en revanche loin d'être au parfum (ha, ha !) vis-à-vis de tous les dessins animés nippons qui ont pu passer à l'antenne à cette époque-là. Pour autant, je ne dirais pas que tous ces clins d'½il savamment intégrés au film empêchent tous ceux qui n'ont pas vécu leur plus tendre enfance avec la véritable marraine bonne fée qu'était et restera Dorothée de pleinement savourer ce dernier à sa juste valeur. Bien au contraire, cela nous permet de nous pencher plus avant sur cette période bienheureuse de la télévision française et de voir naître en nous ce désir impérieux de se renseigner plus à son sujet en regardant notamment ces fameux dessins animés d'antan et en souhaitant par la suite revisionner Nicky Larson et le parfum de Cupidon pour constater si l'on parviendrait à saisir plus de clins d'½il que la première fois.

Pour conclure, je vous recommande chaudement, du plus profond de mon c½ur, de voir au moins une fois Nicky Larson et le parfum de Cupidon. C'est complètement barré mais cela reste totalement cohérent et intelligent dans son grain de folie. Ce film est effectivement extrêmement complet et je pense pouvoir dire sans trop me tromper qu'il n'a rien à envier à ses homologues américains en matière d'adaptations occidentales de manga. Avec les moyens à son bord et sa propre identité humoristique et cinématographique, Philippe Lacheau nous propose ce que j'ai perçu comme un véritable giga épisode inédit made in cocorico de Nicky Larson au plus proche de l'essence de la série originelle et de son ambiance à la fois tout ce qu'il y a de plus bon enfant et sérieuse tout en rendant hommage à la télévision pour enfants française de la plus ingénieuse des façons. Chapeau l'artiste ! ★★★★(★)

Nanette ♥
Tags : Fiche film, Nicky Larson et le parfum de Cupidon, Adaptation live-action, 2019, Philippe Lacheau, Manga, anime, Japon, City Hunter ♥, années 90, action, humour, détective privé, enquête, mission, suspens, obsédé sexuel, attirance, nostalgie, Club Dorothée, Elodie Fontan, Tarek Boudali, Julien Arruti, Excellent film
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#Posté le samedi 16 novembre 2019 08:54

Modifié le mercredi 20 novembre 2019 17:06

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