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FICHE LECTURE : Passionnément, à la folie, à la folie

FICHE LECTURE : Passionnément, à la folie, à la folie
• AUTRICE : Florence Médina.
• ANNÉE : 2021 (FRANCE).
• GENRE(S) : Young Adult, fiction contemporaine.
• THÈMES : Adolescence - Premier amour - Première fois - Addiction - Dépendance affective et sexuelle - Besoin viscéral d'être aimé - Famille - Fêlures - Drame - Chagrin - Désespoir - Entraide - Retrouvailles - Humour - Sororité - Nostalgie - Tendresse - Reconstruction - Confiance en soi - Espoir...
• PAGES : 224.

Mara, 17 ans, est un c½ur d'artichaut. Elle vit de fantasmes, d'idylles et de coups de foudre à répétition jusqu'au jour où elle rencontre Jérémy. Jérémy, c'est LE bon. La preuve, dès qu'elle le voit, elle a des papillons dans le ventre. Alors quand Mara découvre que Jérémy lui ment, l'amour tourne à l'obsession dévorante. Elle perd pied au point de se faire peur à elle-même. Est-elle une love addict comme sa mère qui vit recluse et sous médicaments chez ses parents ? Mara devra trouver son propre chemin pour se libérer et guérir, aux côtés d'alliées plutôt inattendues...

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du titre Passionnément, à la folie, à la folie de Florence Médina. Je remercie infiniment les éditions Slalom pour cet envoi.

Je ne vais pas y aller par quatre chemins : ce roman a su me toucher et m'embarquer d'emblée. J'ai instantanément ressenti énormément d'empathie pour Mara. J'ai ressenti sa souffrance, ce sentiment de manque qui la submerge et manque de totalement l'étouffer. Ca a été terrifiant mais aussi extrêmement réconfortant, étant donné que je traverse actuellement une passe difficile où je peine sérieusement à garder la tête hors-de-l 'eau.

En dévorant cette histoire aussi belle et douloureuse que touchante, en me laissant complètement emporter par son tourbillon d'émotions à fleur de peau juste déconcertant, je me suis sentie moins seule dans mon brouillard insondable, j'ai enfin vu une lumière s'allumer au bout de ce tunnel de noirceur et de chagrin que je traverse présentement, que nous traversons en réalité tous à un moment donné. J'ai senti que Mara, que tous ces personnages profondément humains de ce récit, qui pourraient véritablement être de notre famille, être des connaissances du quotidien, me prenaient la main et m'emmenaient vers un endroit, un instant où l'espoir était permis, où les rires se mélangent aux larmes avec une facilité désarmante et nous redonnent une raison de sourire et d'aller de l'avant le c½ur plus léger.

Vous l'aurez compris, je vous recommande chaudement ce roman transpirant la sincérité et l'authenticité, dans l'air du temps, qui a su me parler comme une de mes amies les plus proches et les plus chères aurait pu avoir avec moi une conversation à c½ur ouvert. Pour ma part, j'en ressors l'esprit un peu plus apaisé et les oreilles bourdonnante d'excellentes chansons plébiscitées par ma radio favorite of all time, Nostalgie - un gage de qualité parmi tant d'autres, un ! ★★★★(★)

Nanette ♥

« J'y suis pas encore, mais je voudrais quand même te présenter mes excuses pour toutes les fois où je n'étais qu'à moitié là pour toi alors que tu es la plus belle chose qui me soit arrivée, que tu vaux plus que trois mille coups de foudre et dix mille princes charmants homologués. »
Tags : Fiche lecture, Passionnément à la folie à la folie, service de presse, éditions Slalom, Florence Médina, 2021, Littérature française, Young Adult, Fiction contemporaine, Adolescence, premier amour, première fois, addiction, dépendance affective et sexuelle, besoin viscéral d'être aimé, Famille ♥, fêlures, drame, chagrin, désespoir, entraide, retrouvailles, humour, sororité, nostalgie, tendresse, reconstruction, confiance en soi, espoir, Très bonne lecture
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#Posté le vendredi 19 mars 2021 05:50

Modifié le samedi 20 mars 2021 04:18

FICHE LECTURE : Demain est un autre jour

FICHE LECTURE : Demain est un autre jour
• TITRE V.O. : The Life List.
• AUTRICE : Lori Nelson Spielman.
• ANNÉE : 2013 (ETATS-UNIS ; FRANCE).
• GENRE(S) : Romance, contemporain.
• THÈMES : Amour - Amitié - Famille - Deuil - Recommencement - Relation mère/fille - Changer sa vie - Nouveau départ - Suspens - Retrouvailles - Secrets - Héritage - Rêves - Espoir - Humour...
• PAGES : 441.

Qu'avez-vous fait de vos rêves de jeunesse ?

Brett Bohlinger, elle, a un an pour le découvrir. Pensant hériter de l'empire cosmétique familial à la mort de sa mère, elle apprend que cette dernière, qui avait pour elle de tout autres projets, ne lui a légué qu'un vieux bout de papier: la liste de tout ce que Brett voulait vivre quand elle avait 14 ans. Si elle veut toucher sa part, la jeune femme doit réaliser chaque objectif de cette life list.

Enseigner ? Aucune envie. Un bébé ? Andrew, son petit ami, n'en veut pas. Tomber amoureuse ? C'est déjà fait, grâce à Andrew. A moins que...

ஜ MON AVIS :

Coucou les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique d'un roman qui attendait depuis belle lurette que je le lise dans ma PAL gargantuesque, j'ai nommé Demain est un autre jour par Lori Nelson Spielman.

Très sincèrement, je ne saurais pas vous dire quand j'ai acheté ce livre. Peut-être début 2016. Autrement dit, il a dû sagement patienter pendant plus de quatre ans pour qu'in fine... Je le dévore en moins de deux jours. Je regrette tellement de l'avoir laissé prendre la poussière ainsi alors qu'il vaut en réalité bien plus que ça. J'appréhendais le moment où il faudrait que je le commence car il avait fait l'événement au moment de sa parution et généralement, je déteste laisser sa chance à tout ce qui fait le buzz ; ça me donne la sensation d'être un vulgaire mouton de Panurge (pardon pour les moutons de Panurge) qui suit bêtement le mouvement. Eh bien parfois, faire comme tout le monde, ça a du bon !

... Même si la mère de notre personnage principal, elle, dirait probablement le contraire. En parlant d'elle, Elizabeth est une figure maternelle solaire (à l'image de ma maman d'amour qui porte le même prénom qu'elle, un signe, certainement) qui, malgré le fait qu'elle soit malheureusement passée dans l'au-delà, ne cesse jamais de darder de ses rayons. Pourtant, je n'étais pas tout à fait d'accord avec sa façon de penser au début du récit. Je me demandais de quel droit osait-elle chambouler l'existence de son unique fille en lui imposant un ultimatum des plus ridicules ? Le concept de la life list qu'elle défend, passe encore ; j'approuve même totalement. Il faut prendre le taureau par les cornes et faire de ses rêves une réalité tout au long de notre existence, en y allant pas à pas, à notre rythme. Mais réaliser des objectifs tels qu'avoir un bébé ou tomber amoureux en un an, comme s'il suffisait de claquer des doigts pour que cela nous tombe tout cuit dans le bec pile au bon moment, et qui plus est simplement sous peine de ne pas pouvoir obtenir notre héritage, cela me semblait tout ce qu'il y a de plus improbable, pour ne pas dire impossible. Ce n'était purement et simplement pas crédible à mes yeux et j'avais également peur que l'intrigue tombe dans tous les clichés possibles de la romance feel good où tout se termine bien à la façon conte de fées moderne.

Vous l'aurez sans doute compris, avant même de découvrir cette histoire par moi-même, je m'étais déjà permise de la juger et de la prendre pour tout ce qu'elle n'était pas, à savoir une intrigue décousue, sans âme, sans une once de cohérence comme on voit des centaines. En réalité, tout s'imbrique parfaitement dans ce récit. À partir du moment où Brett va vouloir suivre les dernières volontés de sa mère, tout ou presque va s'enchainer tel un effet boule de neige, de la façon la plus naturelle et évidente qui soit, sans qu'elle ni le lecteur ne s'en rende véritablement compte. Son quotidien changeant va la porter et c'est bien là au fond que la vie fonctionne, à la façon d'un cours d'eau qui ne cesse jamais de s'écouler. Là où nous avons notre mot à dire dans cette affaire, c'est concernant la rapidité et la manière dont nous souhaitons descendre ce cours d'eau, avec quoi et qui. Toute cette métaphore sur l'or bleu qui coule inlassablement pour vous dire qu'au fur et à mesure que j'avançais dans ma quête de la clé du bonheur au côté de Brett, je comprenais enfin le magnifique et vibrant message, la pléthore de messages fondamentaux qu'Elizabeth, la maman fictive qui incarne l'amour de toutes les mamounes du monde, et Lori, l'autrice qui écrit avec son coeur et sa tête pleine de rêves, tentaient de me faire passer. Il n'est jamais trop tard, rien n'est écrit à l'avance, rien n'est immuable et la vie a toujours un atout dans sa manche, elle n'aura de cesse de nous surprendre, même lorsque nous sommes intimement convaincus du contraire. Le coeur a ses raisons que la raison ignore, sûrement l'un des proverbes les plus connus mais les moins bien compris et appliqués alors qu'avec Demain est un autre jour, cela m'a semblé clair comme de l'eau de roche. Certaines personnes et activités ne sont pas faites pour nous alors qu'elles auraient en apparence tout pour nous satisfaire. Ne jamais se contenter de ce que l'on croit être bon pour nous mais suivre les battements ardents de notre coeur qui ne se trompe jamais. Mais la moralité qui m'a le plus marquée dans cette histoire, c'est la suivante : on ne peut pas résoudre tous les mystères de notre existence. On peut être capables de réparer certains de nos actes manqués mais l'on ne peut avoir une emprise sur tout et sur tout le monde. Certaines choses peuvent échapper à notre contrôle et l'on aura beau redoubler d'efforts pour régler la situation, nous ne serons jamais à l'abri d'échecs parfois inévitables. Certaines histoires ne se terminent pas bien mais l'on peut les conclure avec la saveur douce-amère d'un citron mal pressé que l'on aura pas totalement réussi à transformer en limonade si l'on s'en donne les moyens. Mieux vaut cela à la sensation écrasante du regret et de l'abandon.

Pour conclure, je ne peux que chaleureusement vous recommander la lecture de cet ouvrage qui, malgré quelques menus défauts que j'ai choisi de ne pas expliciter ici et qui m'ont empêché d'avoir un authentique coup de c½ur, s'est révélé être une découverte diantrement surprenante et irradiant de bonnes ondes. J'aime à dire que Demain est un autre jour a fini par m'apprivoiser à la façon du Petit Prince avec son renard bien-aimé. D'indubitablement sceptique, je suis parvenue petit à petit à abaisser mes barrières et à me laisser séduire par une histoire et des protagonistes qui ont résolument de quoi nous faire fondre ! En clair, il s'agit là d'un roman empreint d'humanité et de sagesse que je suis fière de posséder ! ★★★★★

Nanette ♥

« Tu es le cadeau qu'on ne se lasse pas de recevoir. »
Tags : Fiche lecture, éditions Pocket, Demain est un autre jour, Lori Nelson Spielman, 2013, Littérature américaine, romance, Contemporain, Amour ♥., amitié, Famille ♥, Deuil, Recommencement ♥, relation mère/fille, changer sa vie, nouveau départ, suspens, retrouvailles, secrets, héritage, rêves, espoir, humour, Excellente lecture !
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#Posté le mardi 21 juillet 2020 08:07

Modifié le lundi 27 juillet 2020 10:04

FICHE LECTURE : Les Travaux d'Apollon - T4 : Le tombeau du tyran

FICHE LECTURE : Les Travaux d'Apollon - T4 : Le tombeau du tyran
• TITRE V.O. : The Trials of Apollo, book 4: The Tyrant's Tomb.
• AUTEUR : Rick Riordan.
• ANNÉE : 2019 (ETATS-UNIS, FRANCE).
• GENRE (S) : Jeunesse.
• THÈMES : Dieux grecs et romains, divinités, mythologie grecque, empereurs, histoire, ennemis, dangers, menace, prophétie, quête, héroïsme, courage, bravoure, aventure, déchéance, faiblesse, fantasy, humour, action, amitié, servitude, grandir, apprentissage, humanité, maturité, solidarité, entraide, combats, souffrance, soumission, peur, angoisse, repentance, famille, retrouvailles, créatures fantastiques, surnaturel, poésie, nature, fanatisme, autorité, psychopathes, musique, deuil, guerre...
• PAGES : 512.

Ma chronique du tome 3 : ici.

Zeus est vraiment excessif dans ses châtiments, non ? Faire de moi, Apollon, un simple mortel, passe encore. M'imposer deux trois petites épreuves avant de regagner l'Olympe, pourquoi pas ? M'envoyer protéger le Camp Jupiter d'une armée de morts-vivants et affronter une deuxième fois le redoutable Python, je dis stop, je ne joue plus.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du quatrième tome de la saga Les Travaux d'Apollon signée Rick Riordan. Ou quand le maître de la fantasy mythologique (je ne sais pas si cela existe mais si c'était le cas, Rick Riordan en serait assurément le maître) nous pond encore un chef d'oeuvre d'humour et d'émotion !

Comme vous le savez sûrement, j'éprouve une tendresse toute particulière pour le personnage divin d'Apollon tel qu'il est traité par Rick Riordan. Ce dernier a en effet su insuffler au Dieu du soleil, de la musique, de la poésie et de la médecine entre tant d'autres choses une humanité à fleur de peau qui ne cesse jamais de m'émouvoir. Néanmoins, et en dépit de tout l'amour qui je ressens à son encontre, ce tome encore plus que les autres m'a rappelé qu'en tant que divinité, Apollon, comme l'essentiel des autres dieux du panthéon gréco-romain, a accompli dans le passé bien des actes condamnables et qu'il s'agissait donc là d'un personnage nettement plus nuancé qu'il n'y paraissait, avec en outre une zone d'ombre résolument conséquente pour un Dieu du soleil. Pour ma part, cela m'a fortement embêtée que l'on me rappelle ainsi de la même manière qu'on me foutrait une belle poire en pleine figure que le monstre vert qu'est la jalousie, bien pire que n'importe quelle créature mythologique un tant soit peu affamée qu'Apollon a pu et peut encore et toujours rencontrer au cours de ses folles péripéties, a souvent eu raison de mon génie du tir à l'arc et que les actions abominables dont le soleil de mes jours livresques (oui, en amour, il n'y a assurément pas de limites, surtout en matière de petits surnoms affectueux tout ce qu'il y a de plus ridicules et pompeux) a été à l'origine, même si elles ont été perpétrées il y a de cela plus de 4000 ans, restent irréversibles. Cela a considérablement noirci mon tableau concernant cette lecture et surtout mon rapport très spécial à la divinité des prophéties (il a tellement d'attributs mon Apollon, c'est juste fou - c'est le meilleur en même temps) dans un premier temps. Cependant, j'ai très vite réalisé que Rick Riordan n'y pouvait rien de rien : en effet, il ne peut pas réécrire les mythes en en modifiant la substantifique moelle, cela est impossible et même sacrilège, en particulier pour un professeur d'histoire comme lui. En revanche, il peut s'approprier des personnages mythologiques tels qu'Apollon (mais pas que lui, loin s'en faut) et en tirer les bons enseignements. Malgré ses crimes (à ce stade là, ce ne sont plus de simples erreurs, ce serait un euphémisme éhonté), Apollon va nous prouver qu'il est digne de son statut de dieu, de héros central de sa propre saga épique, notamment en se remettant constamment en question et en avançant pas à pas sur le chemin de sa rédemption. Même si cela était déjà le propre des écrits de Rick Riordan dans leur ensemble, Le tombeau du tyran met particulièrement l'accent sur des valeurs et des qualités telles que le courage, la sagesse, l'entraide, l'estime de soi et l'abnégation et nous apprend avant toute chose qu'il est possible de changer, que cela, contrairement à tout le reste, est tout sauf un mythe et qu'un être ne naît pas foncièrement mauvais. Il ne tient qu'à nous de faire les bons choix en choisissant entre autres de ne jamais emprunter la voie la plus facile. Il y aura certes bien des embûches en apparence insupportables tout au long du chemin mais le voyage comme la destination en vaudront largement la peine comme ce quatrième tome me l'a habilement prouvé.

Autre point que je souhaitais rapidement aborder : comme dans les tomes précédents, la rocambolesque quête d'Apollon nous permet de renouer avec des protagonistes issus des Héros de l'Olympe, pour mon plus grand bonheur. Ces derniers m'avaient tellement manqué, tout autant qu'ils sont, et cela m'a procuré une immense fierté de découvrir ce qu'ils sont devenus, à savoir des guerriers redoutables qui ne baissent jamais les bras quelque soit le combat à affronter et qui nous donnent ainsi de formidables leçons de vie qui de mon côté resteront gravées, en plus de constater qu'ils vont tous à peu près bien - enfin, façon de parler dans les romans de Rick Riordan. Par ailleurs, je ne vous remercie pas de m'avoir flanqué la plus grosse trouille de ma vie de lectrice, monsieur ! Je risque d'avoir diantrement du mal à vous pardonner, vous savez... Plus sérieusement, Rick Riordan a le don de vous faire à chaque fois vivre de véritables ascenseurs émotionnels sans en éprouver le moindre remords. C'est tout lui, ça, et cela finira bien par causer un jour ma perte...

Pour conclure, je ne vous recommanderai jamais assez la saga des Travaux d'Apollon. De l'action, de l'aventure, un humour ravageur qui vous fera rire aux éclats (ou à tout le moins vous donnera le sourire jusqu'aux oreilles) à presque chaque ligne, un suspens souvent à la limite de l'insoutenable... Tout y est pour vous faire passer un moment de lecture absolument mémorable ! Désormais, il me tarde de dévorer le tome cinq car oui, la saga ne sera pas une tétralogie comme cela avait été auparavant annoncé, oh joie ! En même temps, Rick Riordan n'aurait pas pu nous laisser sur une telle fin, c'était tout bonnement impensable de clore la série de cette effroyable façon... Je vais donc maintenant ronger mon frein en attendant la parution française de ce cinquième et normalement ultime tome qui à n'en pas douter sera encore meilleur que le précédent, comme toujours avec un auteur d'exception tel que Rick Riordan. COUP DE FOUDRE ϟ

Nanette ♥

« Comment reconnaître un cauchemar d'un simple rêve ? Si on y brûle des livres, c'est sans doute un cauchemar. »
Tags : Fiche lecture, Les travaux d'Apollon, Le Livre de Poche Jeunesse, Tome 4 ♥, Littérature américaine, Rick Riordan, 2019, Jeunesse, Dieux grecs et romains, divinités, mythologie grecque, empereurs, histoire, ennemis, dangers, menace, prophétie, quête, héroïsme, courage, bravoure, aventure, déchéance, faiblesse, fantasy, humour, action, amitié, servitude, grandir, apprentissage, humanité, maturité, solidarité, entraide, combats, souffrance, soumission, peur, angoisse, repentance, famille, retrouvailles, créatures fantastiques, surnaturel, poésie, nature, fanatisme, autorité, psychopathes, musique, deuil, guerre, Coup de foudre ♥
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#Posté le lundi 25 mai 2020 08:07

Modifié le mercredi 03 juin 2020 06:31

FICHE LECTURE : The Bane Chronicles

FICHE LECTURE : The Bane Chronicles
• AUTRICES : Cassandra Clare, Sarah Rees Brennan, Maureen Johnson.
• ANNÉE : 2014 (ETATS-UNIS).
• GENRE(S) : Fantastique, Young Adult.
• THÈMES : Aventure, histoire, sorcellerie, créatures surnaturelles, néphilims, paranormal, guerre, meurtres, deuil, passé douloureux, retrouvailles, traumatisme, noirceur, souffrance, famille, amitié, fidélité, confiance, mystères, suspens, folie, autorité, politique, préjugés, petit peuple, dilemme, amour, action, urban fantasy, magie, secrets, combativité, courage, effronterie, briser les règles, passion, espoir, entraide, générosité, blessures, humour...
• PAGES : 507.

Ma chronique du tome 1 de The Mortal Instruments - Renaissance : ici.

It's not easy being Magnus Bane. As a warlock, he's often called upon to fix the problems of others. His life as been long, and his loves have been many. And Magnus as a way of making sure he's at the right plae at the right - or perhaps wrong - time. The French Revolution, Prohibition, the great blackout of NYC, the first great battle between Valentine and the New York Institute... Magnus was there, and usually in the middle of it. But smuggling Marie Antoinette out of France is nothing compared to loving a vampire like Camille Belcourt - Or having a first date with Alec Lightwood.
Though Magnus's tale is far from over, these stories shed a little light on his often inscrutable character. What happens when an immortal warlock goes mad ? Are all Herondales as problematic as Will ? ( Answer : yes ) What exactly happend at the Hotel Dumort ? How did Raphael Santiago become a vampire ? What do you buy for your shadowhunter boyfriend when you're not really dating ? And why was Magnus banned from Peru ?
Magnus will never be able to tell all of his tales. No one would believe him. But here are 11 stories that fill in some of the blanks- stories he probably wishes had never gotten out.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du recueil de nouvelles The Bane Chronicles que l'on doit aux plumes conjointes de Cassandra Clare, Maureen Johnson et Sarah Rees Brennan. Étant une grande fan (doux euphémisme) de la saga The Mortal Instruments et plus particulièrement du personnage de Magnus Bane, je me devais de découvrir ce titre... et qu'est-ce que j'ai bien fait de lui laisser sa chance !

En effet, je me suis tout simplement délectée de ma lecture de ce superbe ouvrage mettant sous le feu des projecteurs le plus extravagant et extraordinaires des sorciers, mon chouchou entre tous, j'ai nommé Magnus Bane, le Grand Sorcier de Brooklyn (eh oui, rien que ça !) Mais avant de véritablement entrer dans le vif du sujet, je tenais à préciser que les Chroniques de Magnus Bane existent bel et bien en français sous ce titre par ailleurs mais uniquement en format numérique et à l'unité. C'est-à-dire que, si vous désirez vous pourlécher les babines comme moi des rocambolesques aventures de Mr. Bane en version française, il faudra pour cela vous les acheter une par une. Sachant qu'il y en a onze en tout, ce n'est pas ce qu'il y a de plus pratique comme option d'acquisition. Pour ceux que cette merveilleuse, que dis-je, cette somptueuse, cette éblouissante version hard back intéresseraient, sachez que l'anglais employé par Cassandra Clare, Maureen Johnson et Sarah Rees Brennan est relativement facile à comprendre. Bon, je ne vous cache pas que la première nouvelle a été plutôt difficile d'accès pour moi mais il s'agissait là plus d'un manque de motivation (je n'ai bizarrement pas l'habitude de lire en V.O. et j'ai donc dû me forcer un peu au départ) que d'une réelle complexité au niveau du vocabulaire ou de la grammaire. Certains termes m'ont paru obscures, je le reconnais, mais c'est surtout le degré de décadence et de folie de cette nouvelle d'introduction qui m'a particulièrement décontenancée, je l'avoue sans honte aucune. En même temps, je ne pouvais pas en attendre moins des récits de voyage de l'illustre Magnus Bane ! Fort heureusement, une fois passée cette expérience au Pérou fort déroutante, j'ai pu me plonger sans problème dans la suite des abracadabrantes péripéties qui ont ponctué l'existence immortelle de mon Magnus adoré et je dois bien reconnaitre que je me suis régalée à ce que les trois autrices nous dévoilent ainsi l'un des nombreux pans de la palpitante vie de ce dernier parcelle par parcelle, en faisant habilement durer le plaisir.

C'est notamment l'un des aspects de The Bane Chronicles qui m'a le plus séduite : l'indéniable respect apporté à la personnalité de ce personnage absolument incomparable à aucun autre. Cassandra Clare a décidément bien choisi ses deux formidables acolytes d'écriture pour prendre soin de son remarquable bébé d'encre et de papier scintillant comme une entière constellation d'étoiles au mieux. Par moments, j'avais presque envie d'en pleurer tant Magnus était... Magnus, fidèle au poste, ce mélange inénarrable de fantaisie, de sarcasme et de tendresse qui me fait fondre comme neige au soleil. L'ensemble des nouvelles dégageaient cette aura de bienveillance et de soleil à son zénith et cela m'a juste mis le sourire jusqu'aux oreilles. Je ne vous mentirai pas en disant que cela a été tout rose tout du long, bien au contraire. L'immortalité de Magnus lui a procuré bien des rencontres humaines et aussi bien des souffrances, entre autres celle d'être le témoin privilégié du désarroi d'autrui... mais pas seulement. Magnus en a vu des vertes et des pas mûres et l'on vit un véritable ascenseur émotionnel à ses côtés au fur et à mesure qu'on l'accompagne au fil des siècles. Personnellement, je ne regrette pas d'avoir remonté le temps avec lui au gré de ses souvenirs même si j'en ai sacrément pris pour mon grade. Mais pour un personnage aussi exceptionnel que Magnus, je suis prête à porter tout le poids du monde sur mes épaules (Miss Mélodrame le retour !).

Concernant ma nouvelle préférée, je n'en ai pas spécialement une. Je dirais que chacune des onze nouvelles de ce recueil, à l'exception de la première (bien qu'elle fut fort divertissante à découvrir) a su toucher quelque chose au plus profond de moi, m'ébranler, me donner le besoin irrépressible de rire aux larmes ou au contraire de pleurer comme une madeleine. Malgré tout, je reste particulièrement séduite par les trois dernières nouvelles du recueil qui sont consacrées au couple Magnus et Alec. C'est simple, dès qu'il s'agit de Malec, j'en ai le c½ur qui bat instantanément plus fort. C'est selon moi l'un des meilleurs One True Pairings qui soit. Ils me mettent des étoiles plein les yeux à chaque fois et leur potentiel comique à eux deux est juste... divin. Je suis tombée amoureuse de leur histoire d'amour, un point c'est tout.

Pour conclure, je recommanderais la lecture de The Bane Chronicles à tout fan de The Mortal Instruments qui se respecte. Après, si vous n'êtes pas des fans numéro 1 de notre irremplaçable sorcier comme cela est mon cas, cela ne vous enchantera pas forcément de lire un ouvrage de plus de 500 pages dédié à son vécu. Dans ce cas là, je vous recommande fortement la lecture des trois dernières nouvelles du recueil dont je viens à l'instant de parler, les 9, 10 et 11, où vous verrez resurgir des noms extrêmement familiers et des personnages bien connus de la saga mère que j'ai pour ma part pris un immense plaisir à retrouver. Une certaine Isabelle Lightwood m'avait particulièrement manquée et je dois bien admettre qu'elle n'a certainement pas perdu de sa superbe ; à mes yeux, elle est toujours aussi incroyable, quelle femme ! Au fond, chacune de ces nouvelles vous fera renouer des liens avec des protagonistes déjà croisés dans The Mortal Instruments et The Mortal Instruments : les Origines probablement pour votre plus grand bonheur (le mien en tout cas a été assuré !). In fine, il ne s'agit pas tant de l'histoire de la vie de Magnus en soi mais plutôt de comment ce dernier a eu un impact conséquent et généralement bénéfique sur l'existence de bien des êtres. On ne pourrait s'en passer d'un sorcier comme ça, je vous le dis moi ! Et cet époustouflant recueil me l'a assurément confirmé ! ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, The Bane Chronicles, Cassandra Clare, Sarah Rees Brennan, Maureen Johnson, Lecture V.O., Littérature américaine, 2014, Fantastique, Young Adult, Aventure, histoire, sorcellerie, créatures surnaturelles, néphilims, paranormal, guerre, meurtres, deuil, passé douloureux, retrouvailles, traumatisme, noirceur, souffrance, famille, amitié, fidélité, confiance, mystères, suspens, folie, autorité, politique, préjugés, petit peuple, dilemme, amour, action, urban fantasy, magie, secrets, combativité, courage, effronterie, briser les règles, passion, espoir, entraide, générosité, blessures, humour, Excellente lecture !
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#Posté le vendredi 29 mai 2020 15:43

Modifié le mercredi 03 juin 2020 05:45

FICHE LECTURE : Un si petit oiseau

FICHE LECTURE : Un si petit oiseau
• AUTRICE : Marie Pavlenko.
• ANNÉE : 2019 (FRANCE).
• GENRE(S) : Young Adult, contemporain.
• THÈMES : Famille - Accident - Traumatisme - Amputation - Handicap - Retrouvailles - Humour - Espoir - Amitié - Amour - Nature - Animaux - Confiance en soi...
• PAGES : 400.

Après un accident de voiture qui l'a laissée meurtrie, Abigail rentre chez elle. Elle ne voit plus personne. Son corps mutilé bouleverse son quotidien, sa vie d'avant lui est insupportable. Comment se définir quand on a perdu ses repères, qu'on ne sait plus qui on est, que la douleur est toujours embusquée, prête à exploser ? Grâce à l'amour des siens. Grâce aux livres. Grâce à la nature, au rire, aux oiseaux. Avec beaucoup de patience, peu à peu, Abi va réapprendre à vivre.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique d'Un si petit oiseau par Marie Pavlenko. Spoiler alert : j'ai juste A-DO-RE ce roman, il s'agit là d'une pure pépite !

Très sincèrement, je ne pensais pas aimer autant ce roman que son illustre prédécesseur, j'ai nommé Je suis ton soleil, et pourtant, il semblerait qu'il ait dépassé ce dernier dans mon coeur. En réalité, dès les toutes premières pages d'Un si petit oiseau, je savais que la partie était finie. Game over. Comment pouvais-je résister à une histoire d'une telle justesse, empreinte de tendresse et d'un humour absolument ravageur ? L'art de traiter les multiples blessures de l'existence par un rire tonitruant entremêlé de larmes en cascade, c'est toute la puissance de la plume remarquable de Marie Pavlenko à mon sens. Pour ma part, je suis tout bonnement tombée amoureuse de la façon dont elle a choisi de traiter le deuil d'une partie, au sens littéral, de son être. Cela se sent qu'elle a dû faire face à un tel traumatisme au sein de son propre quotidien car rien ne sonne faux dans cette intrigue et surtout dans les dialogues, comportements et émotions éprouvées par les personnages. C'est même tout le contraire : ce récit rayonne d'une vérité juste désarmante, qui vous foudroie sur place et vous laisse le coeur en berne.

Je suis également tombée sous le charme des personnages : Abi et les autres membres de sa joyeuse troupe de famille sont purement et simplement des êtres d'exception. Je me suis véritablement sentie comme faisant partie de leur petite tribu, leur foyer était le mien le temps d'une lecture aussi rapide que bouleversante. Oui, attendez vous à bouffer ce livre tel un affamé qui n'aurait rien avaler depuis des jours et des jours, à l'instar d'Abi qui apprend progressivement à croquer de nouveau la vie à pleines dents. Le chemin sera certes long et douloureux mais il en faut largement la peine. In fine, ce titre et ses fabuleux protagonistes pétris de défauts mais qu'on ne peut s'empêcher d'aimer de toutes nos forces, envers et contre tout, vous feront sentir comme à la maison. Mention spéciale à Aurèle qui est incontestablement le jeune homme le plus extraordinaire et attendrissant qui soit. Je veux le même sous mon sapin au prochain Noël, vous croyez que cela pourrait être possible ? Je suis sûre qu'il adorerait les forêts vosgiennes pour aller faire des randonnées et observer la multitude d'oiseaux que dénombre ma belle et formidable région en chemin. S'il vous plaît forces cosmiques de l'amour, envoyez moi un Aurèle dans ma vie !

Sur ce, je n'irai pas plus avant dans cette chronique au sujet de ce livre car vous devez vous le procurer d'urgence, par tous les moyens. Histoire de vous convaincre d'autant mieux de lui laisser sa chance, sachez simplement que Marie Pavlenko a l'art et la manière de créer des personnages profondément humains, touchants, proches de nous et de notre quotidien et de traiter de thématiques fortes, importantes, avec sensibilité et un panache que notre Cyrano national ne renierait certainement pas. Dans ce roman en particulier, elle nous rappelle que les choses les plus essentielles ne s'achètent pas et que la vie sera toujours là à attendre les bras grands ouverts que nous venions à sa rencontre, et ce quelque soit l'état dans lequel nous nous trouvons. Actuellement, nous sommes tous en quelque sorte assignés à résidence sans l'avoir voulu. De lire Un si petit oiseau en cette période si particulière de confinement m'a fait prendre conscience de toutes ces libertés fondamentales dont nous sommes privés à cause de cette effroyable crise sanitaire et de la valeur sans commune mesure de cette dernière. Il ne tient qu'à nous de méditer sur les beautés de l'existence en attendant de pouvoir de nouveau jouir de celle qu'est la liberté de mouvement et de voyager où bon nous semble. Faisons nous la promesse de plus passer à côté de nos vies une fois notre liberté chérie retrouvée, de poursuivre nos rêves, petits ou grands, sans se mettre de barrières, vous voulez bien ? COUP DE FOUDRE ϟ

Nanette ♥

P.S. : mon rêve ultime à l'heure actuelle serait un crossover entre Je suis ton soleil et Un si petit oiseau, ce serait tellement bien (ceux qui auront lu les deux ½uvres comprendront de quoi je parle, je pense) !!!
Tags : Fiche lecture, Un si petit oiseau, Marie Pavlenko, Littérature française, 2019, Young Adult, Contemporain, Famille, accident, traumatisme, amputation, handicap, retrouvailles, humour, espoir, amitié, amour, nature, animaux, confiance en soi, Flammarion Jeunesse, Coup de foudre ♥
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#Posté le samedi 28 mars 2020 17:38

Modifié le samedi 28 mars 2020 18:14

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