
Source image : gvrejubi (tumblr).
SEINEN, HISTORIQUE, SLICE OF LIFE | 2020 | RÉALISÉ PAR HAMANA TAKAYUKI D'APRÈS L'¼UVRE ORIGINALE DE KEI OHKUBO | AVENTURE, APPRENTISSAGE, ITALIE, ART, RENAISSANCE, XVIe SIÈCLE, RENCONTRES DÉCISIVES, ENTRAIDE, AMITIÉ, FAMILLE, MISOGYNIE, LIBERTÉ, INDÉPENDANCE, COURAGE, HUMOUR | 1 SAISON DE 12 ÉPISODES (PRODUCTION EN PAUSE) | AVEC LES VOIX ORIGINALES DE MIKAKO KOMATSU, KATSUYUKI KONISHI, JUNYA ENOKI, SAYAKA OHARA...
➜ Florence, début du XVIe siècle.
Dans ce berceau de la Renaissance qui vit l'art s'épanouir dans toute sa splendeur, une jeune aristocrate prénommée Arte rêve de devenir artiste peintre et aspire à entrer en apprentissage dans un des nombreux ateliers de la ville...
Hélas ! Cette époque de foisonnement culturel était aussi celle de la misogynie, et il n'était pas concevable qu'une jeune femme ambitionne de vivre de son art et de son travail. Les nombreux obstacles qui se dresseront sur le chemin d'Arte auront-ils raison de la folle énergie de cette jeune femme déterminée ?
Dans ce berceau de la Renaissance qui vit l'art s'épanouir dans toute sa splendeur, une jeune aristocrate prénommée Arte rêve de devenir artiste peintre et aspire à entrer en apprentissage dans un des nombreux ateliers de la ville...
Hélas ! Cette époque de foisonnement culturel était aussi celle de la misogynie, et il n'était pas concevable qu'une jeune femme ambitionne de vivre de son art et de son travail. Les nombreux obstacles qui se dresseront sur le chemin d'Arte auront-ils raison de la folle énergie de cette jeune femme déterminée ?
ஜ MON AVIS :
Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un anime que je mourais d'envie de voir dès l'annonce de sa diffusion sur Wakanim, j'ai nommé Arte.
Bien que je sois loin d'avoir avancé dans ma lecture du manga originel (en réalité, je n'en suis qu'au tome un, j'ai honte), il m'était impossible de ne pas visionner séance tenante cette adaptation dont la simple mention de l'existence me fait tout bonnement chavirer le coeur - je n'exagère même pas, c'est promis juré !
En effet, j'aime tellement l'univers d'Arte qu'il me fallait vite, vite y retourner ! Et cette somptueuse, renversante première saison était bien le meilleur moyen d'accéder à ce splendide monde dédié à l'art et à la beauté de chaque chose et de chaque être en attendant que je puisse aller emprunter les autres tomes du manga à ma médiathèque. Ce qui m'a frappée d'emblée dans cette retranscription tout ce qu'il y a de plus réussie de l'atmosphère du manga, c'est la magnificence de son esthétisme et de sa colorimétrie. Les studios SEVEN·ARCS ont réalisé là de véritables prouesses avec cette palette de couleurs extrêmement lumineuse et ce foisonnement de détails dans le plus profond respect du style du mangaka, Kei Ohkubo. L'on a ainsi droit à des paysages et décors plus merveilleux les uns que les autres ainsi qu'à un chara design des plus élaborés. C'est comme si les planches en noir et blanc du manga prenaient vie sous nos yeux ! De quoi en avoir les mirettes ébahies du début jusqu'à la fin.
Dans un second temps, quelle joie cela fut pour moi de retrouver ma petite Arte et de pouvoir l'accompagner dans la suite de ses enthousiasmantes aventures ! En visionnant cet anime, j'ai pris au passage conscience que ce dernier, et donc le manga originel également, cela va de soi, s'inspirait (très) librement de la vie d'Artemisia Gentileschi (Artemisia, Arte... Comment n'ai-je pas pu faire le lien plus tôt ? Je me fatigue, sérieusement...), ou l'une des premières femmes-peintres de son temps et sans doute la plus renommée. Si la vie de notre Arte de fiction est loin d'être aussi sombre et tourmentée (pour le moment...) que celle de la véritable Artemisia, son incroyable et émouvant parcours met en exergue la difficulté tout ce qu'il y a de plus réelle pour une femme d'être reconnue pour son talent artistique à l'époque et même encore aujourd'hui, où le domaine notamment de la peinture demeure essentiellement masculin. Je ne sais malheureusement pas grand chose sur l'existence de cette femme exceptionnelle et en avance sur son temps qu'était Artemisia Gentileschi mais je reste néanmoins persuadée que ce manga-anime rend le plus vibrant des hommages à son combat pour la liberté et la reconnaissance qu'elle méritait de la part de ses pairs.
Je pourrais vous parler encore des heures de cet anime, de ses protagonistes qui m'ont fait couiner et chouiner comme pas possible (cette phrase commence bizarrement, je sais), de l'importance des messages qu'il véhicule, de la palette (c'est le cas de le dire) de sentiments par laquelle il nous fait passer tout au long de ses 12 épisodes mais je pense que je serai plus éloquente dans mes critiques des tomes du manga. Cela m'encouragera d'autant plus à les dévorer, comme ça ! Une dernier élément que je pourrais souligner au sujet de cette saison 1 d'Arte, c'est qu'elle se conclut de façon suffisamment arrêtée et nette pour nous satisfaire. Pour l'instant, la production de l'anime ne peut qu'être en stand-by, tout simplement parce que cette première saison couvre tous les tomes parus à ce jour. Autrement dit, il faudra attendre que la suite paraisse en manga pour espérer avoir une saison 2 un jour ! Et même si j'apprécie sincèrement qu'ils aient offert une fin relativement fermée à cette saison 1 afin que l'on ne se retrouve pas cruellement dans l'expectative d'une suite, je devrais me résigner la mort dans l'âme et le coeur en berne si jamais les producteurs décidaient d'in fine ne pas adapté la suite et la fin de ce manga qui mérite assurément d'être adapté dans son intégralité tant il est puissant, solaire et captivant. Pour l'heure, prions donc le dieu (ou la déesse, qui sait) des animes pour mes espoirs soient exaucés comme il se doit... COUP DE C¼UR ♥
Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un anime que je mourais d'envie de voir dès l'annonce de sa diffusion sur Wakanim, j'ai nommé Arte.
Bien que je sois loin d'avoir avancé dans ma lecture du manga originel (en réalité, je n'en suis qu'au tome un, j'ai honte), il m'était impossible de ne pas visionner séance tenante cette adaptation dont la simple mention de l'existence me fait tout bonnement chavirer le coeur - je n'exagère même pas, c'est promis juré !
En effet, j'aime tellement l'univers d'Arte qu'il me fallait vite, vite y retourner ! Et cette somptueuse, renversante première saison était bien le meilleur moyen d'accéder à ce splendide monde dédié à l'art et à la beauté de chaque chose et de chaque être en attendant que je puisse aller emprunter les autres tomes du manga à ma médiathèque. Ce qui m'a frappée d'emblée dans cette retranscription tout ce qu'il y a de plus réussie de l'atmosphère du manga, c'est la magnificence de son esthétisme et de sa colorimétrie. Les studios SEVEN·ARCS ont réalisé là de véritables prouesses avec cette palette de couleurs extrêmement lumineuse et ce foisonnement de détails dans le plus profond respect du style du mangaka, Kei Ohkubo. L'on a ainsi droit à des paysages et décors plus merveilleux les uns que les autres ainsi qu'à un chara design des plus élaborés. C'est comme si les planches en noir et blanc du manga prenaient vie sous nos yeux ! De quoi en avoir les mirettes ébahies du début jusqu'à la fin.
Dans un second temps, quelle joie cela fut pour moi de retrouver ma petite Arte et de pouvoir l'accompagner dans la suite de ses enthousiasmantes aventures ! En visionnant cet anime, j'ai pris au passage conscience que ce dernier, et donc le manga originel également, cela va de soi, s'inspirait (très) librement de la vie d'Artemisia Gentileschi (Artemisia, Arte... Comment n'ai-je pas pu faire le lien plus tôt ? Je me fatigue, sérieusement...), ou l'une des premières femmes-peintres de son temps et sans doute la plus renommée. Si la vie de notre Arte de fiction est loin d'être aussi sombre et tourmentée (pour le moment...) que celle de la véritable Artemisia, son incroyable et émouvant parcours met en exergue la difficulté tout ce qu'il y a de plus réelle pour une femme d'être reconnue pour son talent artistique à l'époque et même encore aujourd'hui, où le domaine notamment de la peinture demeure essentiellement masculin. Je ne sais malheureusement pas grand chose sur l'existence de cette femme exceptionnelle et en avance sur son temps qu'était Artemisia Gentileschi mais je reste néanmoins persuadée que ce manga-anime rend le plus vibrant des hommages à son combat pour la liberté et la reconnaissance qu'elle méritait de la part de ses pairs.
Je pourrais vous parler encore des heures de cet anime, de ses protagonistes qui m'ont fait couiner et chouiner comme pas possible (cette phrase commence bizarrement, je sais), de l'importance des messages qu'il véhicule, de la palette (c'est le cas de le dire) de sentiments par laquelle il nous fait passer tout au long de ses 12 épisodes mais je pense que je serai plus éloquente dans mes critiques des tomes du manga. Cela m'encouragera d'autant plus à les dévorer, comme ça ! Une dernier élément que je pourrais souligner au sujet de cette saison 1 d'Arte, c'est qu'elle se conclut de façon suffisamment arrêtée et nette pour nous satisfaire. Pour l'instant, la production de l'anime ne peut qu'être en stand-by, tout simplement parce que cette première saison couvre tous les tomes parus à ce jour. Autrement dit, il faudra attendre que la suite paraisse en manga pour espérer avoir une saison 2 un jour ! Et même si j'apprécie sincèrement qu'ils aient offert une fin relativement fermée à cette saison 1 afin que l'on ne se retrouve pas cruellement dans l'expectative d'une suite, je devrais me résigner la mort dans l'âme et le coeur en berne si jamais les producteurs décidaient d'in fine ne pas adapté la suite et la fin de ce manga qui mérite assurément d'être adapté dans son intégralité tant il est puissant, solaire et captivant. Pour l'heure, prions donc le dieu (ou la déesse, qui sait) des animes pour mes espoirs soient exaucés comme il se doit... COUP DE C¼UR ♥
Nanette ♥

Source gif : rouge d portgas (tumblr).
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