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FICHE LECTURE : Les AutresMondes de Tara Duncan - T1 : La Danse de la Licorne

FICHE LECTURE : Les AutresMondes de Tara Duncan - T1 : La Danse de la Licorne
• AUTEUR : Thomas Mariani.
• ANNÉE : 2013 (FRANCE).
• GENRE(S) : Fantasy jeunesse.
• THÈMES : Créatures fantastiques - Monde parallèle - Mission - Dangers - Mystère - Humour - Rencontres incongrues - Politique - Menace - Action - Aventure - Danse - Paris - Années 1970...
• PAGES : 413.

Des décennies avant les aventures de Tara Duncan, Autremonde, la planète des sortceliers, est en proie à bien des tourments... Entre une magie capricieuse, des invasions démoniaques et les milliers de complots politiques qui s'y tissent, les Autremondiens ont fort à faire. Autremonde est en émoi ! La Danse de la Licorne, une chorégraphie légendaire capable de rappeler du néant un terrible objet démoniaque, a été retrouvée. Et sur Terre, en plus. Pire encore, un chorégraphe s'est mis en tête de donner une représentation de cette danse maléfique ! Xoholt, le fidèle garde de l'impératrice d'Omois, est chargé de s'infiltrer parmi les humains pour dérober le parchemin qui retranscrit cette variation. Sa mission : tout faire pour éviter que ce sombre sortilège ne tombe entre de mauvaises mains...

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du premier tome des AutresMondes de Tara Duncan, préquel de la saga Tara Duncan que l'on doit à la seule et unique Sophie Audouin-Mamikonian (SAM pour les intimes). Je dois bien vous l'avouer, ce livre était à ce jour l'un des plus anciens de ma PAL, quatre ans qu'il se languissait dans ma bibliothèque dans l'attente que je le lise et je ne regrette in fine pas de l'y avoir fait patienter.

Je m'explique : à l'époque où je me suis procurée ce roman suite à une opération Deux livres achetés = un livre offert (oui, c'est précis, et vous aviez absolument besoin de cette anecdote, dis donc !), je n'avais lu que le premier tome de la conséquente série littéraire qu'est Tara Duncan et, bien que sachant que l'intrigue de ce premier tome des AutresMondes se déroulait bien avant le début des aventures de la plus célèbre des sortcelières, je me disais que j'y perdrais au change à le lire avant les deux-trois premiers tomes de la saga d'origine et je ne m'y suis pas trompée ! En effet, l'un des aspects les plus plaisants de La Danse de la Licorne étant ses nombreuses et truculentes références à la saga originelle, dont une directe à un élément fort hilarant (de mon point de vue) de son tome deux qui m'a procuré un bonheur tout bonnement incommensurable, il aurait été fort dommage que je passe à côté de ce formidable sentiment de connivence du lecteur qui a déjà poussé la porte de cet univers en découvrant d'abord ce tome introductif aux AutresMondes. Qui plus est, une connaissance somme toute minime de l'univers foisonnant et extrêmement dense crée par SAM est à mon sens essentielle pour débuter sa lecture de La Danse de la Licorne sans se sentir complètement largué. Certes, Thomas Mariani nous réexplique bien tous les aspects de cet incroyable univers mais je trouve tout de même cela mieux de savoir d'emblée qui est qui, quel peuple correspond à quelle définition, quelle contrée, les us et coutumes de tout un chacun grâce à une lecture au moins partielle de la saga originelle. Je rajouterais que l'attachement que j'éprouvais déjà pour la saga-mère (dont je ne peux malheureusement pas continuer ma découverte au vu de cette situation COVID qui m'empêche d'aller en emprunter les tomes suivants à la bibliothèque) m'a permis de m'immerger d'autant plus vite dans cette intrigue assurément palpitante et mouvementée.

Cela mis à part, j'applaudis sincèrement le travail de Thomas Mariani qui est parvenu à respecter l'essence de cet univers, l'imagination débordante de Sophie-Audouin Mamikonian et tout ce que cette dernière a mis en place dans les Tara Duncan, tout en y ajoutant sa propre touche. La Danse de la Licorne s'imbrique parfaitement dans la fresque autremondienne débutée par SAM sans que cela ne soit un vulgaire copié-collé d'une péripétie typique de notre Tara gang ou une bête fanfiction avec toutes les incohérentes, manque d'originalité et autres défauts que ce type d'écrits amateurs peut généralement comporter*. Ici, Thomas Mariani a produit un authentique roman, le début d'un nouveau cycle au sein de l'univers de Tara Duncan qui se tient, avec toute l'inventivité et la dévotion que cette tâche ardue demande. Pour ma part, j'ai véritablement ressenti toute la passion que Thomas Mariani éprouve pour la saga originelle et son sincère désir de prolonger cette expérience unique en son genre qu'est Tara Duncan en apportant sa propre pierre à ce somptueux édifice (spoiler alert : c'est réussi à mes yeux).

Vous l'aurez compris, ce premier volume des AutresMondes de Tara Duncan m'a sans conteste convaincue. Sans être révolutionnaire ou un coup de c½ur absolu, ce roman sera néanmoins parvenu à m'embarquer dans un Paris réinventé par un auteur dont la plume ne manque certainement pas de malice, d'humour et de magie. J'espère sincèrement que le tome deux sera publié un de ces quatre car je ressors tout de même de ma lecture de La Danse de la Licorne avec un certain sentiment de frustration. Le cliffhanger sur lequel l'auteur nous laisse ici est en effet purement et simplement insoutenable et je prie donc pour que la question de la suite et fin des aventures de Nina, Xoholt et tous les autres personnages hauts-en-couleur de ce récit soit un jour de nouveau d'actualité. J'en doute cependant fort étant donné que ce premier tome est paru en 2013 et que depuis, nous n'avons pas eu plus d'infos quant à l'éventuelle parution d'un tome deux (et surtout, aucune date de prévue pour la sortie de ce dernier). Cette chronique sera donc pour moi le moyen de militer à ma façon pour l'écriture et parution de la suite de cette saga. Si je suis parvenue à vous donner envie de découvrir par vous-même ce titre, vous m'en verrez fort heureuse ! ★★★(★)★

Nanette ♥

*Attention, je ne critique en rien l'exercice d'écriture qu'est celui de la fanfiction. Certaines sont par ailleurs très bien écrites et par la suite "officiellement" publiées en format roman. Simplement, je tenais là à préciser que, bien qu'ayant dû inscrire son histoire inédite dans un univers bien défini et déjà existant, Thomas Mariani n'a pas fait l'erreur de débutant de tout remanier à sa sauce sans prendre en compte l'usage spécifique qui est fait de la magie à AutreMonde, les différents peuples et leur façon d'agir, etc. Il a su faire preuve d'inventivité, étoffer cet univers déjà sacrément dense tout en respectant ce qui y était déjà établi.
Tags : Fiche lecture, Les AutresMondes de Tara Duncan, Tome 1 ♥, La Danse de la Licorne, Michel Lafon Poche, Thomas Mariani, 2013, Littérature française, Fantasy jeunesse, créatures fantastiques, monde parallèle, mission, dangers, mystère, humour, rencontres incongrues, politique, menace, action, aventure, danse, Paris, années 1970, préquel, Sophie Audouin-Mamikonian, Très bonne lecture
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#Posté le mardi 17 novembre 2020 07:32

Modifié le mardi 17 novembre 2020 15:03

FICHE LECTURE : Alana et l'enfant vampire

FICHE LECTURE : Alana et l'enfant vampire
Sortie en librairie le 18 juin 2020.

• AUTRICE : Cordélia.
• ANNÉE : 2020 (FRANCE).
• GENRE (S) : Roman d'apprentissage, fantastique.
• THÈMES : Adolescence - Collège - Vampires - Médiateurs - Diplomatie - Grandir - Maladies chroniques - Souffrance - Courage - Famille - Amitié - Entraide - Mission - Mystère - Danger - Noirceur - Rivalités de clans...
• PAGES : 224.

Alana en a marre.

Ses parents et sa s½ur sont encore partis gérer des conflits vampiriques sans elle !

Heureusement, sa meilleure copine Oli est là pour lui changer les idées : elle est persuadée que Joâo, le nouvel élève de leur classe, est un vampire !

Se pourrait-il qu'elle ait raison ? Et s'il leur révélait quelque chose d'encore plus terrible ?

Pour Alana, c'est l'occasion de prouver à sa famille qu'elle est capable de mener à bien une mission, malgré ses douleurs musculaires...

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du premier roman de la formidable booktubeuse Cordélia, Alana et l'enfant vampire, que j'ai reçu en avant-première si je puis dire (à la base, le livre devait paraître en avril si je ne dis pas de bêtises) dans le cadre de la masse critique jeunesse/young adult réalisée par Babelio. Je les remercie infiniment, ainsi que les éditions Scrinéo, pour ce superbe envoi.

J'étais juste impatiente de découvrir ce titre qui me promettait une aventure rocambolesque et délicieusement vampirique dans les rues de Paris aux côtés de jeunes héros qui n'ont assurément pas froid aux yeux et sachez que je n'ai absolument pas été déçue de ma lecture qui s'est révélée être effectivement truculente à souhait mais aussi singulièrement touchante et transcendante.

J'ai trouvé ce roman jeunesse tout bonnement génial et addictif pour plusieurs raisons. Pour commencer, son atmosphère envoûtante m'a rappelée celle unique en son genre d'un des dessins animés phares de mon enfance, Mona le vampire. Les deux intrigues ont certes fort peu de choses en commun vu qu'il n'est pas véritablement question de vampires dans Mona le vampire contrairement à Alana ; néanmoins, j'ai retrouvé dans les deux ½uvres la même ambiance mystérieuse, un peu mystique, pour ne pas dire totalement magique, ainsi que cette franche camaraderie qui relie les trois personnages principaux et qui se transforme très rapidement en une solide et sincère amitié qui ne manque certainement pas de nous émouvoir et de nous donner envie d'intégrer cette petite bande juste formidable. Une chose est sûre : en lisant Alana et l'enfant-vampire, je voyais l'intrigue se dérouler sous mes yeux comme si je visionnais un dessin animé sur Canal J ou Tiji à l'époque où j'étais encore une toute petite fille qui ne demandait qu'à ce qu'on lui mette des étoiles plein les yeux. En bref, cette lecture m'a tout simplement replongée en enfance et cela m'a fait un bien juste fou ! Mais surtout, ce que j'ai préféré avec ce premier roman tout ce qu'il y a de plus réussi à mon sens, c'est que l'autrice est parvenue à y intégrer de façon toute naturelle des thématiques importantes, qui résonnent avec notre société actuelle, telles que les maladies chroniques et leur manque de reconnaissance encore aujourd'hui, l'homosexualité, la question des personnes non-binaires, l'écriture inclusive et j'en passe. Rien d'étonnant quand on connaît la chaîne YouTube de Cordélia et la teneur du contenu qu'elle y propose mais je tenais tout de même à souligner cela car je trouve ça purement et simplement remarquable la façon dont l'intrigue de son premier roman s'accorde parfaitement avec les idéaux et les valeurs qu'elle défend. Alana et l'enfant vampire est un bébé d'encre et de papier qui lui ressemble et dont elle peut être très fière.

Pour conclure, je ne peux que vous recommander la lecture de ce roman jeunesse qui se boit comme un excellent chocolat chaud et dans lequel les jeunes lecteurs d'aujourd'hui se retrouveront, cela ne fait pas l'ombre d'un doute. En clair, voilà une petite pépite à côté de laquelle il serait dommage pour eux, ainsi que pour nous, adultes déjà tout flétris (humour, toujours), de passer ! ★★★★(★)

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, éditions Scrinéo, Alana et l'enfant-vampire, Cordélia, Littérature française, 2020, roman d'apprentissage, fantastique, Adolescence, collège, vampires, médiateurs, diplomatie, grandir, maladies chroniques, souffrance, courage, famille, amitié, entraide, mission, mystère, danger, noirceur, rivalités de clans, Excellente lecture !
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#Posté le mardi 09 juin 2020 11:46

Modifié le jeudi 11 juin 2020 08:48

FICHE LECTURE : Aurora Squad - Épisode 1

FICHE LECTURE : Aurora Squad - Épisode 1
• TITRE V.O. : Aurora Cycle, book 1: Aurora Rising.
• AUTEURS : Amie Kaufman, Jay Kristoff.
• ANNÉE : 2019 (USA), 2020 (FRANCE).
• GENRE(S) : Science-fiction, space opera, young adult.
• THÈMES : Aventure - Espace - Equipe - Entraide - Amitié - Famille - Courage - Abnégation - Amour - Deuil - Destinée extraordinaire - Combats - Menace - Sauver la galaxie - Mission - Ingéniosité - Action - Humour...
• PAGES : 522.

Vous vouliez des héros ? Désolé, on n'a trouvé qu'eux !

2380, quelque part dans la galaxie. Tyler, jeune pilote prometteur, est impatient de former l'escadron de ses rêves. Alors qu'il sort faire un tour dans l'espace pour se calmer les nerfs avant l'Affectation, il tombe nez à nez sur un vaisseau disparu depuis des années. À bord, Aurora, une jeune fille cryogénisée depuis 200 ans...

Commence pour Tyler une odyssée dangereuse où il devra protéger Aurora de ceux qui la traquent pour une raison inconnue. Et diriger une bande d'anti-héros fantasques et courageux, insolents et sarcastiques...

Et si le sort de l'humanité dépendait de sept têtes brûlées à l'humour ravageur ?

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du premier épisode (pas "tome", "épisode" - cela change un peu !) d'Aurora Squad, saga signée à quatre mains par les auteurs américains Amie Kaufmann et Jay Kristoff.

Alors déjà pour commencer, il faut savoir que je n'ai pas lu l'autre série littéraire de ce duo de choc, à savoir le space opera Illuminae. Une chose est sûre, je ne manquerai pas de me procurer cette trilogie renommée une fois que nous serons enfin déconfinés, tout simplement parce que ce tandem d'écrivains parfaitement assortis semble receler d'un certain talent pour nous proposer des intrigues intergalactiques tout ce qu'il y a de plus rocambolesques chargées en adrénaline et autres émotions fortes ! En effet, après avoir entendu tant de bien d'Illuminae et d'Aurora Squad, je m'attendais avec ce dernier à quelque chose qui déménage, qui retourne assurément le cerveau et les tripes, pardonnez la manière dont je m'exprime, et c'est effectivement ce que j'ai eu. En ouvrant Aurora Squad, attendez vous à tomber sur le plus merveilleux des trous noirs interstellaires livresques qui soit. Celui-ci ne manquera qui plus est pas de vous engloutir tout entier et ne vous régurgitera qu'une fois le roman terminé. Autrement dit, vous serez purement et simplement incapable de relâcher ce bouquin avant de l'avoir achevé (et qu'il vous ait achevé en retour au passage), foi de Nanette. Franchement, j'aurais pu vous éviter ma métaphore du trou noir fort peu ragoûtante mais je n'ai pas trouvé mieux, que voulez vous...

D'une part, j'escomptais d'Aurora Squad un univers extrêmement bien construit et riche en diversité et imagination doublé d'une intrigue forte en chocolat, qui déchire radicalement sa maman et à ce niveau-là, je n'ai absolument pas été déçue. D'autre part, l'on m'avait aussi promis un récit à la sauce Gardiens de la Galaxie, avec en outre cet humour caractéristique, reconnaissable entre mille, que j'aime tant dans les deux films des Gardiens ainsi que des personnages marginaux, bras cassés qui vont produire un véritable ramdam du tonnerre réunis ensemble et former une authentique famille recomposée diantrement touchante et unique - le tout s'adressant à un public beaucoup plus ado/young adult que celui définitivement grand public des Gardiens. Là encore, j'ai obtenu ce que je recherchais avec l'escadron 312 ou six membres d'équipage de dix à quinze ans que moins que celui du Milano dans Les Gardiens de la Galaxie qui ont tous leur personnalité bien affirmée ainsi que leur vulnérabilité sous-jacente qu'ils vont chacun petit à petit laisser transparaître. Personnellement, je serais incapable de vous désigner mon favori parmi les sept. Entre la maternelle et extrêmement séduisante Scarlett, le leader né Tyler, le syldrathi (une espèce d'elfe de l'espace - on adore !) en conflit permanent avec lui même Kaliis, la navigatrice au tempérament explosif Cat, la réfléchie et émouvante Aurora ou bien encore l'asociale et exceptionnellement brillante Zila, vous concéderez que le choix est difficile ! Mais comme vous l'aurez sûrement remarqué, j'ai oublié de mentionner l'un des sept, à savoir Finian (Finn pour les intimes), et il s'agit très probablement de mon petit chouchou pour le moment. Pour ma part, je suis tombée sous le charme du côté bout en train et du caractère solaire de ce protagoniste, un peu à la Star Lord ou mon gardien de la galaxie préféré justement !

Pour conclure, je ne peux que vous recommander la lecture d'Aurora Squad : c'est palpitant, drôle, fascinant, surprenant, déchirant... Bref, ce titre réunit tous les ingrédients nécessaires pour faire passer à ses lecteurs un très agréable moment dont ils se souviendront pendant encore très longtemps. De mon côté, j'ai été indubitablement conquise et il me tarde désormais de mettre la main sur le tome deux ! ★★★★★

Nanette ♥

« Je préfère les gens qui sont légèrement hors normes ; au moins, ça les rend exceptionnels, non ? »⁣
Tags : Fiche lecture, Aurora Squad, épisode 1, éditions Casterman, Amie Kaufman, Jay Kristoff, Littérature américaine, 2019, 2020, science-fiction, space opera, young adult, aventure, espace, équipe, entraide, Amitié ♥, Famille ♥, courage, abnégation, amour, deuil, destinée extraordinaire, combats, menace, sauver la galaxie, mission, ingéniosité, action, humour, Excellente lecture !
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#Posté le lundi 04 mai 2020 08:26

FICHE FILM : 1917

FICHE FILM : 1917
FILM HISTORIQUE | 2019 | RÉALISÉ PAR SAM MENDES | 1 H 59 | DRAME, GRANDE GUERRE, VINGTIEME SIECLE, MISSION, AMITIE, COURAGE, SURVIE, HORREUR, SUSPENS, TRANCHEES, DESTRUCTION, COURSE CONTRE LA MONTRE | AVEC GEORGE MACKAY, DEAN-CHARLES CHAPMAN, MARK STRONG, RICHARD MADDEN...

➜ Pris dans la tourmente de la Première Guerre Mondiale, Schofield et Blake, deux jeunes soldats britanniques, se voient assigner une mission à proprement parler impossible. Porteurs d'un message qui pourrait empêcher une attaque dévastatrice et la mort de centaines de soldats, dont le frère de Blake, ils se lancent dans une véritable course contre la montre, derrière les lignes ennemies.

ஜ MON AVIS :

Bonjour les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du dernier film que je suis allée voir au cinéma (oui, j'enchaîne les séances en ce moment), j'ai nommé 1917. Pour la petite histoire, je n'avais absolument pas connaissance de l'existence de ce long-métrage avant la tenue de la cérémonie des Golden Globes le 5 janvier soit il y a un peu près deux semaines. Je me souviens que, lorsque les la liste des lauréats est sortie, j'avais été outrée (bon, n'exagérons rien mais vous saisissez l'idée) de constater que Joker et Todd Phillips ne l'avaient pas emporté dans les catégories Meilleur film dramatique et Meilleur réalisateur : ce sont en effet 1917 et Sam Mendes qui se sont vus décerner cet honneur.

Sauf que cette fois-ci, au lieu de me lamenter sur le fait que mes favoris ne soient pas repartis victorieux, j'ai décidé de laisser sa chance à la concurrence parce qu'après tout, on ne peut pas juger avant d'avoir goûté ou, dans le cas présent, d'avoir vu ! Autant vous dire que j'ai sacrément bien fait de suivre l'une de mes nouvelles bonnes résolutions (si on peut appeler cela ainsi) car 1917 est résolument un film à découvrir !

En même temps, comment pouvais-je passer à côté ? C'est un film de guerre et ce sujet, plus particulièrement lorsqu'il est traité à travers le prisme de la Première et de la Seconde Guerre mondiale, me fascine depuis toujours ou presque. Alors certes, je ne vous cacherai pas que 1917 n'apporte rien de véritablement nouveau sur le plan scénaristique à la thématique qu'il aborde. Il faut dire que la guerre se passe facilement du filtre merveilleux de l'imagination tant la réalité dépasse en tout point la plus extraordinaire et incroyable des fictions en de telles périodes de grands tourments. Néanmoins, on ne peut lui nier son extraordinaire qualité narrative et visuelle, qui transforme la caméra en troisième homme qui va accompagner nos deux protagonistes dont on ne sait en réalité pas grand chose mais auxquels on va instantanément s'attacher et nous entraîner dans leur sillage pour une course contre la montre absolument captivante et qui nous réservera son lot de surprises, de frayeurs et de bouleversements qui resteront assurément gravés dans ma mémoire.

Très sincèrement, ce film m'a sciée : sa photographie est impeccable, cette cohabitation qu'il nous propose à contempler entre nature sauvage, ravissante, pour ainsi dire immaculée et paysages ravagés dignes de nos pires cauchemars relève à la fois du sublime et du plus pur réalisme. Bien sûr, 1917 comporte aussi des incohérences chronologiques, géographiques et d'ordre technique mais ce n'est pas cela qui importe durant le visionnage. Non, ce que le film parvient à nous faire remarquer, c'est l'époustouflant et poignant contraste entre la violence inouïe de cette Grande Guerre qui n'épargne rien ni personne et la sobriété des sentiments éprouvés par les divers acteurs de cette folie, et ce quels que soient leurs origines, leur âge ou leur sexe. Il se dégage en effet de chaque personnage une certaine retenue qui m'a pour la part profondément émue et ébranlée. En tant que spectateurs du vingt-et-unième siècle, on se retrouve face à des hommes et des femmes démunis, dépassés par quelque chose de bien plus grand qu'eux qui, sans en prendre pleinement conscience, tentent de conserver leur humanité aussi intacte que possible. Car que sommes-nous sans cette étincelle de vie et de compassion qui sommeille en nous ? Des bêtes, des poupées de chiffon, de la charogne, de la vermine. Tout cela, Sam Mendes nous le montre également, sans faire dans la pudibonderie. Ce film est en effet pétri de boue, de sang, de chair fétide, de feu, de noirceur mais aussi de verdure, de beauté et de lumière.

Au fond, je dirais simplement que 1917 a su tirer son jeu d'une part grâce ses remarquables attributs techniques (réalisation, photographie, musique - tout est au poil et fout juste les frissons) qui nous immergent au c½ur de la guerre comme si l'on y était et d'autre part grâce au magnifique message qu'il fait passer sur la résilience et la magnificence méconnue de l'être humain notamment par le biais de la remarquable performance que nous livre son casting cinq étoiles. Sur ce, je conclurai sur ces paroles : en choisissant de faire se dérouler l'intrigue sur une courte durée d'un jour et d'une nuit, Sam Mendes nous fait réaliser plus que jamais à quel point la vie peut tenir à un fil, surtout en temps de conflit, et rend un sublime hommage, probablement le plus authentique et touchant qui soit, sans grandes pompes ou grandiloquence mais avec un minimalisme et une ingéniosité qui l'honore, à ces héros qui n'étaient in fine que des personnes comme vous et moi. Honnêtement, si je ne vous ai pas donné envie de voir 1917 avec tout ça, je ne sais pas ce qu'il vous faut de plus ! COUP DE FOUDRE ϟ

Nanette ♥
Tags : Fiche film, 1917, film historique, 2019, Sam Mendes, Drame, Grande guerre, vingtième siècle, mission, amitié, courage, survie, horreur, suspens, tranchées, destruction, course contre la montre, George MacKay, Dean-Charles Chapman, Mark Strong, Richard Madden, Coup de foudre ♥
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#Posté le dimanche 19 janvier 2020 12:11

Modifié le lundi 23 mars 2020 09:24

FICHE FILM : Nicky Larson et le parfum de Cupidon

FICHE FILM : Nicky Larson et le parfum de Cupidon
ADAPTATION LIVE-ACTION | 2019 | RÉALISÉ PAR PHILIPPE LACHEAU | MANGA, ANIME, JAPON, CITY HUNTER, ANNÉES 90, ACTION, HUMOUR, DÉTECTIVE PRIVE, ENQUÊTE, MISSION, SUSPENS, OBSÉDÉ SEXUEL, ATTIRANCE, NOSTALGIE, CLUB DOROTHÉE | 1 H 35 | AVEC PHILIPPE LACHEAU, ELODIE FONTAN, TAREK BOUDALI, JULIEN ARRUTI...

➜ Nicky Larson est le meilleur des gardes du corps, un détective privé hors-pair. Il est appelé pour une mission à hauts risques : récupérer le parfum de Cupidon, un parfum qui rendrait irrésistible quiconque l'utilise...

ஜ MON AVIS :

Bonjour mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un film qui m'intriguait grandement, à savoir Nicky Larson et le parfum de Cupidon. En effet, je n'ai peut-être pas grandi avec le fameux Club Dorothée (je suis née en 1998, je ne vous dis pas ma poisse - l'émission s'est arrêtée en 1997) mais ça ne m'a empêché de voir une poignée d'épisodes de Nicky Larson durant mon enfance sur MCM, de me fendre la poire et de me créer ainsi de très jolis (et salaces) souvenirs. J'étais donc très curieuse de découvrir cette adaptation live-action française de ce manga/anime que j'apprécie beaucoup, qui plus est par un acteur-réalisateur que j'affectionne particulièrement, à savoir Philippe Lacheau, et force est de constater que le résultat a été résolument à la hauteur de mes attentes !

Cependant, je ne vais pas vous mentir : lorsque le projet a été annoncé, j'étais, comme la plupart des fans et autres amateurs du matériau d'origine, fortement dubitative. On le sait désormais, le cinéma occidental et les mangas, ça ne fait généralement pas bon ménage. Et donc forcément, à force de déceptions, on en finit par se blinder face à d'éventuels projets novateurs qui se présentent et presque par en devenir mauvaise langue à l'avance. Personnellement, j'avais in fine décidé de ne pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué et de voir par la suite ce que ça allait donner. Puis la première bande-annonce est tombée et j'ai alors commencé à grincer des dents. Je ne saurais vous dire pourquoi mais cette dernière ne m'inspirait absolument pas. J'étais prête à ce moment-là à faire le dos rond au film à sa sortie, je vous l'avoue honteusement. Et puis, les premières critiques sont parues, pour la plupart étonnamment positives, et c'est ainsi que je me suis retrouvée devant Canal + pas plus tard qu'hier soir pour laisser une fois pour toutes sa chance à Nicky Larson et le parfum de Cupidon. Voilà pour la petite background story. Ce que je retiens de tout ça, c'est que j'aurais dû faire confiance à la bande à Fifi car elle ne m'avait jamais déçue auparavant et il semblerait que cela n'est pas prêt de se produire !

Pour commencer, ce qui m'a tout d'abord frappée avec cette adaptation, c'est l'immense respect qu'elle voue au manga/anime d'origine. Tous les ingrédients qui ont fait de Nicky Larson à l'époque un véritable succès et une ½uvre mémorable, autrement dit des personnages complètement barrés et hauts en couleur, une atmosphère démente, déjantée, mais aussi teintée de noirceur qui oscille constamment entre le fou rire et les larmes, à tout le moins, l'émotion profonde, une musique cultissime et un humour lourdingue porté sur la fascination quasi malsaine pour l'anatomie féminine du héros irremplaçable de l'histoire, sont rassemblés ici et mélangés à la sauce Lacheau, ce qui nous donne un long-métrage explosif qui enchaîne les scènes plus folles et délirantes les unes que les autres à un rythme endiablé et qui nous embarque ici dans une aventure inédite complètement dingue au côté entre autres d'un duo Lacheau-Fontan toujours aussi complice qui crève l'écran en tant que Nicky et Laura.

Parlons-en justement du casting ! Comme je vous le disais à l'instant, Philippe Lacheau et Elodie Fontan m'ont indéniablement convaincue dans leur interprétation respective de Nicky Larson et Laura Marconi. J'ai été particulièrement émue par la prestation d'Elodie Fontan qui a su rendre à merveille autant le caractère bien trempé que la vulnérabilité et sensibilité bien cachée de Laura ainsi que le charisme singulier et saisissant de ce personnage. Quant à Philippe Lacheau, on sent qu'il s'éclate tel un grand enfant dans le rôle de Nicky Larson. Il prend véritablement son pied tout en prenant en compte les subtilités et la complexité de son personnage et le rendu est franchement satisfaisant de mon côté. J'avais adoré leur alchimie clairement palpable dans Alibi.com et je l'ai d'autant plus goûtée ici avec Nicky Larson et le parfum de Cupidon. Il semblerait que ce tandem de choc à l'écran (comme dans la vraie vie) ne cessera jamais de me faire rêver et j'en redemande encore de cette alchimie exceptionnelle qui émane d'eux deux dès qu'ils se retrouvent ensemble !

De façon globale, je dirais que chaque acteur de ce film, principal comme secondaire voire "simple" caméo (je n'aime pas l'emploi de cet adjectif car chaque caméo dans ce film s'est retrouvé être un véritable délice à découvrir pour ma part) semble s'être donné les moyens de lâcher totalement prise et d'incarner leur personnage jusqu'au bout du bout afin de prendre véritablement part à la pure folie ambiante qu'a dû être le tournage de ce film. Ça se voit qu'ils prennent des risques, qu'ils osent et qu'ils le font à fond pour être le plus proche possible de l'essence incomparable à aucune autre du manga originel. Dans ma tête, je m'imagine le plateau de tournage de Nicky Larson et le parfum de Cupidon comme ayant été un authentique terrain de jeu qui se prenait tout de même un tant soit peu au sérieux afin d'offrir le meilleur cadeau possible aux fans de la première heure ainsi qu'au public dans son ensemble, qui laissait la part belle à l'imagination et à une créativité sans limites et où la bonne humeur devait régner en maîtresse incontestée. En tout cas, c'est l'effet qu'a produit sur moi ce film : celui d'une franche rigolade d'1 h 35 continue qui m'a redonné le sourire jusqu'aux oreilles et qui n'a pas manqué de me surprendre et de me captiver à chaque seconde qui passait !

Dernier point qu'il me semblait capital à aborder : la double-lecture que l'on peut avoir de ce long-métrage. En effet, en dehors de l'aspect comédie et film à rebondissements sacrément réussis, Nicky Larson et le parfum de Cupidon est truffé de références à la célèbre émission télévisée qui a permis à l'anime d'origine d'être diffusé en France. J'avais justement peur de cette caractéristique-là du film car, si j'essaye de m'intéresser un maximum à ces années bénies qu'ont été celles du Club Dorothée et que je n'ai malheureusement pas connues, je suis en revanche loin d'être au parfum (ha, ha !) vis-à-vis de tous les dessins animés nippons qui ont pu passer à l'antenne à cette époque-là. Pour autant, je ne dirais pas que tous ces clins d'½il savamment intégrés au film empêchent tous ceux qui n'ont pas vécu leur plus tendre enfance avec la véritable marraine bonne fée qu'était et restera Dorothée de pleinement savourer ce dernier à sa juste valeur. Bien au contraire, cela nous permet de nous pencher plus avant sur cette période bienheureuse de la télévision française et de voir naître en nous ce désir impérieux de se renseigner plus à son sujet en regardant notamment ces fameux dessins animés d'antan et en souhaitant par la suite revisionner Nicky Larson et le parfum de Cupidon pour constater si l'on parviendrait à saisir plus de clins d'½il que la première fois.

Pour conclure, je vous recommande chaudement, du plus profond de mon c½ur, de voir au moins une fois Nicky Larson et le parfum de Cupidon. C'est complètement barré mais cela reste totalement cohérent et intelligent dans son grain de folie. Ce film est effectivement extrêmement complet et je pense pouvoir dire sans trop me tromper qu'il n'a rien à envier à ses homologues américains en matière d'adaptations occidentales de manga. Avec les moyens à son bord et sa propre identité humoristique et cinématographique, Philippe Lacheau nous propose ce que j'ai perçu comme un véritable giga épisode inédit made in cocorico de Nicky Larson au plus proche de l'essence de la série originelle et de son ambiance à la fois tout ce qu'il y a de plus bon enfant et sérieuse tout en rendant hommage à la télévision pour enfants française de la plus ingénieuse des façons. Chapeau l'artiste ! ★★★★(★)

Nanette ♥
Tags : Fiche film, Nicky Larson et le parfum de Cupidon, Adaptation live-action, 2019, Philippe Lacheau, Manga, anime, Japon, City Hunter ♥, années 90, action, humour, détective privé, enquête, mission, suspens, obsédé sexuel, attirance, nostalgie, Club Dorothée, Elodie Fontan, Tarek Boudali, Julien Arruti, Excellent film
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#Posté le samedi 16 novembre 2019 08:54

Modifié le mercredi 20 novembre 2019 17:06

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