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FICHE LECTURE : Je t'aime jusqu'au bout du monde

FICHE LECTURE : Je t'aime jusqu'au bout du monde
• AUTRICE : Erine Savannah.
• ILLUSTRATRICE : Soufie Regani.
• ANNÉE : 2020 (FRANCE).
• GENRE(S) : Album jeunesse.
• THÈMES : Noël - Hiver - Enfance - Famille - Vie à 100 à l'heure - Laponie - Quête - Solitude - Relations intergénérationnelles - Temps - Attention - Amour - Innocence - Espoir - Tendresse - Douceur...
• PAGES : 36.

L'amour est comme un fil qui jamais ne se brise. Notre coeur reste attaché aux personnes que l'on aime, qu'elles soient près ou loin. L'amour se moque bien des distances, le lien est toujours là...

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique de l'album illustré Je t'aime jusqu'au bout du monde signé Erine Savannah et Soufie Regani. Je remercie infiniment les éditions Langue au chat pour ce très bel envoi qui m'a permis de me plonger d'emblée dans l'ambiance absolument magique et réconfortante qui est celle des fêtes de fin d'année.

Avec un titre aussi charmant et faisant chavirer le coeur, je savais que cet adorable petit album allait m'embarquer pour une aventure onirique à la saveur de neige et de chocolat chaud à la guimauve et c'est effectivement ce qu'il s'est passé. On suit ici notre attachant et intrépide jeune héros dans son périlleux voyage vers le Pôle Nord, dans l'objectif de donner en mains propres sa lettre à l'irremplaçable Père Noël. Mais qu'est-ce qui importe le plus au fond : les cadeaux que l'on reçoit sous le sapin ou le temps passé avec ceux que l'on aime et qui, lui, n'a pas de prix ? Je t'aime jusqu'au bout du monde, par le biais de ces illustrations lumineuses et à la rondeur rassurante, de ce captivant fil rouge pailleté qui nous fait office de fil rouge du début jusqu'à la fin ainsi que par la sincérité désarmante de son texte, nous rappelle avec beaucoup de justesse l'importance de célébrer Noël non pas pour le côté matérialiste que cette fête revêt aujourd'hui mais pour le plaisir simple de se retrouver et de se rappeler que nos proches sont là pour nous, et ce tout au long de l'année.

Vous l'aurez compris, j'ai énormément apprécié ma lecture certes extrêmement rapide mais essentielle de cet ouvrage qui s'adresse à toute la famille et qui nous invite à ralentir la cadence afin de profiter au mieux des petites choses qui font que la vie mérite d'être vécue et de savourer au maximum la présence des êtres qui nous sont chers à nos côtés. ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, service de presse, Je t'aime jusqu'au bout du monde, éditions Langue au Chat, Erine Savannah, Soufie Regani, 2020, Littérature française, Album jeunesse, Noël, Hiver, Enfance, Famille, Vie à 100 à l'heure, Laponie, Quête, Solitude, Relations intergénérationnelles, Temps, Attention, Amour ♥., innocence, espoir, tendresse, douceur, Très belle lecture
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#Posté le mercredi 18 novembre 2020 03:58

Modifié le mercredi 18 novembre 2020 04:42

FICHE LECTURE : Des souris et des hommes

FICHE LECTURE : Des souris et des hommes
• TITRE V.O. : Of Mice and Men.
• AUTEUR : John Steinbeck.
• ANNÉE : 1937 (USA) ; 1939 (FRANCE).
• GENRE (S) : Roman.
• THÈMES : Amitié - Maladie mentale - Ferme - Campagne - Paysans - Travailleurs - Californie - Vallée de la Salinas - Misère - Déracinement - Errance - Marginalisation - Tendresse - Douceur - Violence - Drame...
• PAGES : 174.

L'histoire se passe dans les années 30, dans la campagne californienne. George et Lenny sont ouvriers agricoles. Ils vont de ferme en ferme à la recherche de menus travaux.

Lenny n'a pas beaucoup d'esprit mais il est fort et courageux au travail. George, plus petit et trapu mais plus malin, veille sur lui.
Ensemble, ils n'ont qu'un rêve des plus simples : économiser suffisamment d'argent pour se payer une petite ferme, un carré de terre pour faire pousser de la luzerne, quelques poulets et des lapins.

Au début du livre, avant même leur arrivée dans une nouvelle ferme, on comprend que Lenny, qui déborde d'amour, ne mesure pas sa force. Et au fil de l'histoire, on devine que cette particularité le mènera, malgré lui, à sa perte.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du roman Des souris et des hommes signé John Steinbeck.

Le chef-d'oeuvre A l'Est d'Eden étant mon livre préféré de tous les temps, j'ai décidé depuis quelques temps déjà de découvrir L'ENSEMBLE de l'oeuvre de Steinbeck au fur et à mesure. Des souris et des hommes a été l'un des premiers titres de cet immense auteur sur lequel je me suis jetée et je puis vous assurer que cette lecture a été assurément mémorable !

Ce livre, c'est tout simplement un récit résolument court mais intense qui décrit avec une virtuosité rare la condition médiocre de bien des hommes en quête d'idéal, leur lutte désespérée, mélancolique et désarmante pour un rêve beau, pur, qui se substitue à leur effroyable réalité. C'est aussi une histoire d'amitié singulière et authentique qui se dessine sous nos yeux, la balade lancinante de deux pauvres hères sans attaches, ni racines, de deux personnalités indubitablement distinctes mais qui se complètent à merveille, indispensables l'une à l'autre, qui partagent le même espoir fou qui donne envie de survivre face à l'injustice bête et méchante du monde.

Je ne vous en dirai pas plus si ce n'est que Des souris et des hommes est un véritable petit bijou. L'intrigue ne paye peut-être pas de mine de prime abord, cependant, attendez-vous à quelque chose de saisissant. La plume finement ciselée et de peu de mots de John Steinbeck ne manquera en outre pas de vous subjuguer, de même que la tension à couper au couteau mise en place qui monte en effet crescendo et qui nous mène à un dénouement absolument renversant et qui a sérieusement de quoi vous laisser le coeur en miettes. Vous voilà prévenus... COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥

« - Les types comme nous, ils n'ont pas de famille. Ils s' font un peu d'argent, et puis ils le dépensent tout. Y a personne dans le monde pour se faire de la bile à leur sujet...
- Mais pas nous, s'écria Lennie tout heureux. Raconte comment c'est pour nous.
Georges resta un instant tranquille :
- Mais pas nous, dit-il.
- Parce que...
- Parce que moi, j' t'ai et...
- Et moi, j' t'ai. On est là tous les deux à se faire de la bile l'un pour l'autre, voilà ! s'écria Lennie, triomphant. »
Tags : Fiche lecture, Gallimard, Folio, Des souris et des hommes, Littérature américaine, John Steinbeck, 1937, 1939, roman, amitié, maladie mentale, ferme, campagne, paysans, travailleurs, Californie, Vallée de la Salinas, misère, déracinement, tendresse, errance, marginalisation, douceur, violence, drame, coup de coeur ♥
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#Posté le mercredi 01 avril 2020 06:13

Modifié le vendredi 19 juin 2020 10:02

FICHE LECTURE : Le Club de l'Ours polaire - T1 : Stella et les mondes gelés

FICHE LECTURE : Le Club de l'Ours polaire - T1 : Stella et les mondes gelés
• TITRE V.O. : The Polar Bear explorer's Club, book 1.
• AUTRICE : Alex Bell.
• ANNÉE : 2017 (GRANDE-BRETAGNE) ; 2018, 2019 (FRANCE).
• GENRE (S) : Jeunesse.
• THÈMES : Fantastique, magie, créatures hors du commun, merveilleux, conte, hiver, voyage, aventure, expédition, courage, entraide, amitié, persévérance, détermination, survie, audace, ingéniosité, famille, tendresse, complicité, passé, secrets, mystères, révélation, hardiesse, humour, ours polaires, pirates, Grand Nord, froid, neige, glace, douceur, sucreries, dinosaures, fées, licornes, enfance...
• PAGES : 329.

Dans un monde où il reste tant à découvrir, le rêve de Stella se réalise le jour de ses douze ans : partir en expédition avec le Club de l'Ours Polaire ! Avec son ami Dragigus, elle fait la connaissance du sympathique Shay, chuchoteur de loup, et d'Ethan, magicien snob qui ne se laisse pas apprivoiser. Il le faut pourtant, car les jeunes explorateurs se retrouvent bientôt séparés du reste de l'équipage ! Le courage de Stella et les liens qui naissent entre les garçons suffiront-ils à braver les dangereuses étendues polaires ?

ஜ MON AVIS :

Comment vous dire que j'ai tout bonnement ADORE ce bouquin ? Voilà, emballé, c'est pesé, fin de la discussion. Plus sérieusement, je pourrais vous parler de ce premier tome du Club de l'Ours polaire pendant des heures mais au fond, je n'en vois franchement pas l'intérêt car cela vous gâcherait totalement la merveilleuse, que dis-je, l'extraordinaire et onctueuse surprise que ce livre nous réserve et force est d'avouer que cela serait fortement dommage, n'est-ce pas ?

Pour faire simple, Stella et les mondes gelés rassemble tout ce qui était susceptible de me plaire : des créatures fantasmagoriques en tout genre, une intrigue extrêmement intense et rythmée qui, concrètement, ne s'essouffle jamais et ne manque pas de diablement nous surprendre à chaque page qui se tourne, une écriture truculente, pétillante et enchanteresse doublée d'un art pour savoir raconter les histoires digne des plus grands conteurs que la littérature jeunesse ait jamais connus (la comparaison avec Philip Pullman et C.S. Lewis est tout à fait pertinente et justifiée sur ce coup-là), un humour absolument exquis qui fait mouche à chaque fois et des personnages juste exceptionnels et diantrement attachants.

Mention spéciale à Félix ou l'élu de mon c½ur, la perfection faite homme ! Drôle, attentionné, défenseur des animaux, la gentillesse et la compassion incarnées, entretenant une magnifique et poignante relation de communication, d'écoute, de complicité indéniablement attendrissante et de confiance mutuelle avec sa fille adoptive (mais ce ne sont pas les liens biologiques qui comptent, ce roman nous l'apprend bien) qui n'est pas définitivement en reste non plus, au vu de son immense courage, de sa remarquable et louable résistance face à une société patriarcale aussi risible que démodée, de son goût immodéré et contagieux pour les voyages périlleux et les découvertes qui font que la vie vaut la peine d'être vécue, que demande le peuple ? Je suis également tombée en amour (qu'elle est belle cette expression, vous ne trouvez pas ?) pour Dragigus, ou le personnage qui nous démontre qu'être différent n'est pas une tare mais au contraire un super-pouvoir. Ce semi-elfe m'a immensément émue, fait rire et a aussi fait fondre mon petit c½ur comme neige au soleil. J'avais juste constamment envie d'entrer dans le roman afin de le câliner tel le nounours humain qu'il est. Je suis purement et simplement gaga de mon Dragigus chéri, en voilà encore un qui s'ajoute à la liste des jeunes héros de fiction extraordinaires que j'ai décidé d'adopter. Oui, en plus d'avoir un harem pour mes nombreux amoureux, harem que Félix rejoint direct sans discuter au passage (et ce malgré le fait qu'il ait sûrement le double de mon âge, je ne me laisse pas décourager pour si peu, voyons !), je possède également une grande maison dans mon imaginaire qui abrite tous mes fistons et fifilles adoptifs que je chéris de tout mon être. I'M A PROUD MAMA FOREVER AND ALWAYS ♥

En y réfléchissant, je me demande si je vais pas adopter l'ensemble du quatuor doré dont on suit les trépidantes aventures au cours de l'avancée de ce tome un : en effet, je les adore tous autant qu'ils sont - Shay pour sa bravoure exemplaire, sa répartie imparable et délicieuse et son charme ravageur ; Ethan parce que tout compte fait, je suis résolument fan de son côté drama queen qui lui va si bien au teint et qui a toujours le chic pour me faire mourir de rire (et puis, sous ses airs d'arrogant microbe se cache une vraie crème pleine de ressources - il suffit juste de creuser un peu, beaucoup et ses qualités se révèlent au grand jour) ; Stella parce que cette gamine est juste géniale, formidable, l'authentique fille de son père (ça y est, je vais me remettre à pleurer) et qu'elle va probablement inspirer à plein de petites filles lectrices l'idée de se rebeller contre ce monde indubitablement injuste, psychorigide et morose afin qu'elles puissent vivre leur destin comme elles l'entendent et non de se contenter de ce qu'on leur aura inculqué et choisi pour elles en pensant que c'est là l'unique solution ; et puis enfin mon petit Dragigus, pour son innocence, sa candeur désarmante, sa franchise et sa douceur qui serait capable de fendre toutes les armures.

En clair, j'aime TOUT dans Le Club de l'Ours polaire : ses jeunes protagonistes qui n'ont assurément pas froid aux yeux et qui deviennent de véritables compagnons de route au fur et à mesure que l'intrigue avance et que l'on vit à leur côté les pires dangers, son univers irrésistible, positivement magique, qui fleure bon l'hiver alors qu'il fait encore vingt-six degrés dehors (L'été indien chanté par Joe Dassin semble avoir encore de beaux jours devant lui à cette période-ci de l'année) mais la saison importe peu au fond car on n'a nullement besoin de cela pour se laisser embarquer par l'incroyable et pénétrante atmosphère de ce monde qui obéit à ses propres lois et qui n'a de cesse de nous épater et de parvenir à nous laisser sans voix et une plume entraînante qui nous promet encore de bien fabuleuses péripéties à venir. Sur ce, je m'en vas de ce pas dévorer le tome deux, on ne dit jamais non à une expédition unique en son genre qui se lit comme on boirait goulûment le meilleur des chocolats chauds.

Je pense que vous l'aurez compris, je suis en tout point séduite par le début de cette somptueuse trilogie qui s'annonce tout bonnement épique et je remercie un milliard de fois les éditions Gallimard Jeunesse pour ce ravissant envoi ! Sincèrement, merci du fond du c½ur ! COUP DE FOUDRE ϟ

Nanette ♥
Tags : Fiche Lecture, service de presse, Gallimard Jeunesse, Alex Bell, Le Club de l'Ours polaire, 2017, 2018, 2019, Jeunesse, Fantastique, magie, créatures hors du commun, merveilleux, conte, hiver, voyage, aventure, expédition, courage, entraide, amitié, persévérance, détermination, survie, audace, ingéniosité, famille, tendresse, complicité, passé, secrets, mystères, révélation, hardiesse, humour, ours polaires, pirates, Grand Nord, froid, neige, glace, douceur, sucreries, dinosaures, fées, licornes, enfance, Coup de foudre ♥, Littérature britannique
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#Posté le dimanche 22 septembre 2019 15:05

Modifié le lundi 23 septembre 2019 14:35

FICHE MANGA : Chocola & Vanilla - T1

FICHE MANGA : Chocola & Vanilla - T1

Série en 8 tomes.

• TITRE V.O. : Sugar Sugar Rune, book 1.
• MANGAKA : Moyoco Anno.
• ANNÉE : 2004 (JAPON) ; 2007 (FRANCE).
• GENRE (S) : Shojo.
• THÈMES : Magical girl, magie, amitié, sorcellerie, sorcières, compétition, royauté, rivalité, conquête, séduction, garçons, school life, fantastique, aventure, humour, découverte de la mortalité, monde parallèle, pouvoirs, apprentissage, courage, effronterie, culot, difficultés, charme, timidité, douceur, compagnons, créatures fantastiques, tutorat, excentricité, exubérance, paillettes, glamour, extravagance, couleurs, bizarreries, folie, événements extraordinaires, amour impossible, mystère, noirceur, menace...
• PAGES : 216.

Chocola et Vanilla, deux charmantes sorcières, débarquent dans le monde des humains ! Toutes deux prétendantes au trône du royaume magique, elles vont s'affronter dans un combat romantique pour les c½urs des humains.
Laquelle sera la plus populaire ?

ஜ MON AVIS :

Coucou les amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du premier tome d'un manga dont l'adaptation animée fait partie de celles qui ont le plus marquées mes souvenirs d'enfant, j'ai nommé Chocola & Vanilla. C'est en effet l'un des dessins animés pour lequel je ressens à l'heure actuelle le plus de douce et enivrante nostalgie alors que, pour être tout à fait honnête avec vous, je n'étais pas si assidue que ça au niveau de sa diffusion à l'époque sur Canal J, ou l'une des chaînes qui a littéralement bercé ma petite enfance (avec Tiji, la base !). Je me rappelle qu'effectivement, je le suivais plutôt en filigrane, sans véritablement me soucier des épisodes que j'avais vus ou non et donc de l'ordre dans lequel ils se succédaient, et je n'en ai même jamais vu la fin, c'est dire. Pourtant, l'envie ne m'en a jamais manqué, je puis vous l'assurer. Mais en attendant de revisionner ce programme chère au c½ur de la petite fille que j'étais alors dans son intégralité, place à mon avis sur le manga d'origine que j'ai découvert à l'adolescence et qui m'a fait retrouver ma prime jeunesse !

Première chose que je tiens tout d'abord à souligner, ce sont la beauté et la singularité des dessins de Moyoco Anno. Ils peuvent paraître très kawaii et assez enfantins à première vue mais personnellement, je trouve qu'il s'en dégage un certain magnétisme, une vivacité qui surprend et qui attire immédiatement le regard. C'est comme si les personnages prenaient vie sous nos yeux à partir du moment où on les regarde. J'ai aussi trouvé que le style de la mangaka était très psychédélique et prometteur, pour ainsi dire ensorcelant (ha, ha !) ; il est à mon sens bien plus poussé et épatant, stupéfiant que ce que l'on pourrait s'attendre du graphisme habituellement jugé "simple" d'un manga adressé aux enfants, et plus particulièrement aux "fillettes". Pour ma part, j'ai été agréablement surprise et séduite par le grain de folie qui se faisait ressentir des différentes planches, mais aussi de l'attitude globale des personnages. Quand mignonnerie et extravagance se rencontrent d'une telle façon, moi, j'achète !

Et ce trait de crayon absolument unique en son genre s'accompagne de l'élaboration très intelligente de protagonistes à la personnalité clairement bien définie, surtout celle de Chocola ou l'une de mes héroïnes de mangas/animes favorites depuis que mon monde est monde en somme. Plus sérieusement, qu'est-ce que je l'aime cette jeune sorcière irrévérencieuse à souhait, à la langue résolument bien pendue, au caractère bien trempé, qui ne se laisse ainsi nullement marcher sur les pieds, et ce même si les autres personnages considèrent qu'elle est généralement en tort. De mon côté, je les trouve tous (excepté ses deux complices dans le crime que je trouve juste géniaux ! Je les adore, ce sont les meilleurs, comme Chocola Meilleure, huhu ♥) la plupart du temps bien trop injuste avec elle et je ne cesserai jamais de la défendre, peu importe ses incessantes et ingénieuses magouilles, ses divers caprices et nombreux défauts. I've said what I've said. Vous l'aurez compris, si dans ce premier tome, Chocola a assurément bien des soucis pour se démarquer dans la course à la royauté du pays des sorciers et sorcières (ou plutôt des sorcières et sorciers, au vu de la société assurément matriarcale de ce peuple formidable et haut en couleurs), elle peut au moins se targuer d'être depuis sa naissance probablement la reine incontestable des bêtises et autres coups fourrés ! En clair, il s'agit d'une forte tête que l'on oublie pas facilement, ça, je peux vous le garantir. Une chose est sûre, je trouve ma brunette chérie et tempétueuse bien plus fascinante et attachante que sa prétendue meilleure amie Vanilla. Je trouve en effet le charme soi-disant ravageur et irrésistible de cette dernière, beaucoup trop lisse et mièvre, indubitablement surestimé à mon goût, sorry, not sorry pour ses plus fervents partisans et défenseurs. Et puis, tout le monde le sait : le chocolat est une bien meilleure (OK, j'arrête) saveur que la vanille. End of the discussion. Pour ce qui est du reste des personnages, je les ai globalement tous trouvés très attendrissants et intéressants à suivre. Au niveau des personnages secondaires, j'ai trouvé le culot et la nonchalance pétillante de Lovin' et l'hilarante indignation constante de Duke tout bonnement délicieux. C'est juste un véritable régal que de vivre presque au jour le jour les petits (grands) délires et autres folles aventures de ces personnages décidément pas comme les autres.

Quant au pitch de base, à savoir une histoire de rivalité plus ou moins forcée entre deux BFFs à la sauce fantastique, il peut sembler de prime abord assez rudimentaire et classique pour un shojo manga mais malgré son apparente simplicité, il se révèle en réalité être indéniablement accrocheur une fois que l'on se plonge pour de bon dans la lecture. Ce qui m'a énormément plu en particulier, c'est le fait que le trône du royaume des sorcières doit s'obtenir en fonction du mérite, des réelles aptitudes de la candidate victorieuse et non de l'hérédité. Si l'on prend l'exemple de nos deux très jeunes compétitrices, Vanilla a beau être la fille de la souveraine en fonction au début de l'intrigue, souveraine qui est par ailleurs bien plus intrigante et admirable que sa progéniture (promis, j'arrête de casser du sucre sur le dos de cette pauvre Vanilla dès maintenant, pour le coup, j'exagère franchement), cela ne change rien au fait qu'elle doit faire ses preuves et montrer qu'elle est ainsi digne de succéder à sa mère, le sang royal coulant dans ses veines important fort peu. Je ne pouvais qu'approuver ce principe de totale égalité entre nos deux amies devenues rivales le temps d'une cruciale lutte pour le pouvoir. Et puis, force est de reconnaître que l'on se prend vite au jeu de l'acquisition du plus de cordis possibles afin d'acheter des artéfacts magiques et absolument somptueux dignes des meilleurs magical girl qui ont fait briller mes yeux ébahis telle une gamine face à ses cadeaux de Noël. Très honnêtement, j'ai trouvé que la compétition était dès le départ très intense et palpitante, on se sent instantanément dans le feu de l'action dès que l'on ouvre le manga et qu'on commence à lire, c'est juste fulgurant. Je vous laisse deviner dans quel camp je suis (mon Dieu que c'est dur...) !

Pour conclure, je dirais que ce premier tome était juste palpitant à découvrir, avec entre autres choses une trépidante quête pour la couronne du monde des sorcières (on en oublie les sorciers à ce stade-là, pauvres hères...) donnant déjà lieu à des situations tout ce qu'il y a de plus rocambolesques et amusantes et qui suscite aussi directement de nombreuses interrogations. En bref, il s'agit du début d'une saga de mangas fantastique aux personnages et au design uniques en leur genre et à l'humour décapant qui s'annonce extrêmement prometteuse et que je ne peux que vous recommander à 100% ! Pour ma part, je n'ai absolument pas été déçue par ce tome introducteur ! COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥
Tags : Fiche manga, 8 tomes, Tome 1 ♥, éditions Kurokawa, Sugar Sugar Rune. ♥, Book 1, Moyoco Anno, 2004, 2007, Shojo ♥, Magical girl, School life, magie, amitié, sorcellerie, sorcières, compétition, royauté, rivalité, conquête, séduction, garçons, fantastique, aventure, humour, découverte de la mortalité, monde parallèle, pouvoirs, apprentissage, courage, effronterie, culot, difficultés, charme, timidité, douceur, compagnons, créatures fantastiques, tutorat, excentricité, exubérance, paillettes, glamour, extravagance, couleurs, bizarreries, folie, événements extraordinaires, amour impossible, mystère, noirceur, menace, coup de coeur ♥
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#Posté le mercredi 28 août 2019 05:19

Modifié le mercredi 31 mars 2021 04:58

FICHE LECTURE : Les Chevaliers des Gringoles - Livre 3 : Le Secret du Ki

FICHE LECTURE : Les Chevaliers des Gringoles - Livre 3 : Le Secret du Ki

• AUTEUR : Erwan Ji.
• ANNÉE : 2019 (FRANCE).
• GENRE (S) : Jeunesse.
• THÈMES : Créatures fantastiques, surnaturelles, univers merveilleux, mondes parallèles, zombies, cohabitation, yétis, amitié, tendresse, surprise, nouveaux liens, magie, humour, aventure, courage, solidarité, sacrifice, émotion, suspense, menace, danger, île abandonnée, crainte, absurde, gentillesse, entraide, enfance, collège, ingéniosité, intelligence, maturité, douceur, couleurs, extraordinaire, ahurissement, adrénaline, révélation, robots, protection, tendresse, folie, mystère...
• PAGES : 237.

Ma chronique du tome 1 : ici.
Ma chronique du tome 2 : ici.

Un chevalier des Gringoles est maître de son ki
(même quand quelqu'un raconte un truc vraiment marrant)


Après la découverte du monde de Léo, la naissance de Willow et la transformation de Gus, je pensais que plus rien ne pourrait m'impressionner. C'était avant de savoir ce qu'on trouverait dans les Monts Zinzolins. Ce jour-là, Léo m'a dit qu'on ne serait plus jamais les mêmes. Ça tombe bien, parce qu'une nouvelle mission se profile à l'horizon, et d'après Pigeon, on n'a que 2,7% de chances d'en sortir vivants. On aura bien besoin d'être différents si on veut changer le cours de l'histoire.

L'AUTEUR : Erwan Ji est né en 1986 à Quimper. Après un bac scientifique, il a passé une licence d'anglais en France et au Pays de Galles, puis un master de littérature aux États-Unis. Il a ensuite enseigné le français pendant trois ans près de Philadelphie, dans un lycée préparatoire atypique qui lui a inspiré son premier roman, J'ai avalé un arc-en-ciel, qui a obtenu le prix 15-17 de la Foire au Livre de Brive. Après un bref retour en France, il est allé chercher l'inspiration au Japon, où il est resté près d'un an pour enseigner le français et préparer son livre J'ai égaré la lune.

L'ILLUSTRATRICE : Papaya est née en 1987 en Russie. Après cinq ans dans l'industrie du jeu vidéo, elle s'est orientée vers la réalisation d'illustrations à son propre compte.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du troisième tome d'une saga qui, jusqu'à présent, s'est toujours montrée à la hauteur de mes espérances, j'ai nommé Les Chevaliers des Gringoles. Vous le savez sûrement mais cela fait maintenant un an que je suis les péripéties hautes en couleur et littéralement fantastiques de nos trois petits héros pas comme les autres, Wesley, Léonora et Gus. Un an que je dévore leurs aventures avec toujours le même enthousiasme et la même bonne humeur. Un an que j'attends à chaque fois avec une immense impatience la parution du prochain tome. Douze mois qui me semblent déjà loin et qui me font déjà éprouver une nostalgie bienheureuse. En effet, ce troisième tome qu'est Le Secret du Ki est l'avant-dernier et je l'ai donc lu avec la saveur douce-amère des adieux à venir en pensée. Je me plains souvent que les sagas sont embêtantes à lire car, plus elles sont grandes, plus elles perdurent dans le temps et cela est donc chronophage pour la lectrice que je suis mais en réalité, j'aime infiniment cette idée d'être accompagnée par une série, livresque ou télévisuelle, pendant des années et des années. Bien sûr, cela n'en est que plus dur quand vient l'heure de se dire au revoir mais selon moi, cela montre que ce que l'on vient de vivre sur la durée et qui s'achève à présent avait de l'importance à nos yeux et aura désormais une place dans notre c½ur, et ce pour toujours. Dans le cas des Chevaliers des Gringoles, je suis fière de pouvoir affirmer que cette saga correspond à l'un des chapitres de ma vie. Mais cessons le mélodrame car au fond, ce chapitre n'est pas encore fini ! Place donc à ma chronique du Secret du Ki !

Ce qui m'a d'abord particulièrement excitée avant même de commencer à lire ce livre, c'est l'idée d'explorer un nouveau recoin de l'île aux côtés de mon équipe de choc. En effet, la superbe couverture de ce tome, comme d'habitude avec Papaya et son coup de crayon j'ai envie de dire, et sa quatrième nous font clairement comprendre que nous, personnages comme lecteurs, allons découvrir une partie de Cayou qui nous était jusque là inconnue. Cet endroit, ce sont les Monts Zinzolin. Une fois n'est pas coutume, Erwan Ji a choisi de faire preuve d'ingéniosité avec le nom très original, pour ne pas dire insolite, de ces montagnes. C'est notamment ce que j'apprécie tant avec sa plume : elle suit le gré de son imagination. On sent que l'auteur a pris un véritable plaisir à mettre sur le papier les journées infernales, souvent dans le bon sens du terme, de ses attachants protagonistes collégiens la semaine et espions/aventuriers/chevaliers dotés de super pouvoirs le week-end ainsi qu'à créer l'incroyable univers dans lesquels ils évoluent. Erwan Ji a entre autre un talent inouï pour inventer de nouveaux mots et pour les amener dans son récit de façon à ce que cela nous semble tout naturel. Il a réussi à imprimer sa propre patte reconnaissable entre mille sur son intrigue, sur ce monde issu des folles divagations de sa caboche d'écrivain. C'est son ½uvre, sa création, cela lui appartient, et on le ressent un peu plus à chaque nouvelle parution d'un tome des Chevaliers des Gringoles. Il peut être fier de ce qu'il accomplit au fil du temps avec ce récit extrêmement riche et palpitant autant pour les petits que pour les grands. Bien sûr, je n'oublie pas la pierre à l'édifice apportée par l'illustratrice allemande Papaya mentionnée un peu plus haut. Elle a permis à cette fabuleuse île qu'est Cayou-des-Gringoles ainsi qu'à ses singuliers habitants de prendre vie sous nos yeux grâce à son trait adorable et minutieux à la fois et aux couleurs chatoyantes et incomparables à aucunes autres. Les mots me manquent pour décrire son formidable travail. Je dirais que l'écriture d'Erwan constitue le c½ur de cette saga des Chevaliers des Gringoles et le don pour le dessin de Papaya son âme. Cela résume joliment les choses, à mon sens.

Et pour en revenir le temps d'un paragraphe à l'endroit principal dans lequel se déroule cette intrigue, je n'ai pas été déçue, même si in fine, ce ne sont pas les monts Zinzolin qui se retrouvent véritablement au c½ur de l'intrigue mais l'île ayant un lien avec le fameux mot « Goofus » que Willow prononce à tout va. Je ne peux pas vous en dire plus... Cependant, je n'ai pas pris ombrage de ce changement de location car, comme les Menhirs Maudits et l'île du capitaine Barborhum dans les deux tomes précédents, le lieu de naissance de ma petite Willow d'amour s'est révélé être plein de surprises et a fait briller mes yeux de petite fille qui rêvait d'aventures à la fois exaltantes et dangereuses. Cela ne vous étonnera plus je pense vu que je ne cesse de vous marteler dans la tête depuis maintenant trois critiques littéraires que cette saga a le don de me faire retomber en enfance à chaque fois et de me donner également l'envie de prendre des risques, de voir la vie sous un autre angle, de façon plus insouciante et enjouée.

Un autre élément qui m'avait mis en joie en voyant la couverture de ce tome, c'est la présence de Drake. Celui-ci est, il me semble, présent sur toutes les couvertures mais auparavant, il y figurait en position de retrait, à l'écart de mon trio d'or adoré. Eh bien, je peux vous annoncer que cette fine équipe est désormais un carré magique ! Je suis tellement contente que des liens de plus en plus forts se tissent entre mes trois loulous que je ne présente même plus et le petit inventeur de génie qu'est Drake et qui est parvenu à se faire une place dans mon c½ur petit à petit au fil des tomes. Dès le début, il n'était déjà pas un antagoniste comme les autres car on pouvait sentir qu'il n'était pas si méchant que ça. Néanmoins, il a quand même réussi à me faire avoir des frayeurs, ce qui prouve qu'il faisait alors un ennemi crédible ! Mais on nous fait rapidement comprendre que Drake est bien plus que ça et dans ce tome, cela se ressent encore un peu plus fortement. Si au départ, j'étais gênée par l'absence d'émotivité chez Drake, ce sont in fine sa retenue et sa réserve qui m'ont le plus séduite chez lui. Et bien sûr, il a un autre grand atout dans sa manche : son fidèle Pigeon, qui s'est encore une fois révélé indispensable ! Il est probablement mon compagnon préféré, même s'il est difficile d'arriver à la cheville de Willow tant elle est mignonne. D'ailleurs, mon instinct ne m'avait pas trompée car on en apprend beaucoup plus sur elle dans ce troisième tome, pour mon plus grand bonheur ! Cela peut paraître excessif à dire mais j'en ai été toute tourneboulée de retourner ainsi sur les traces de ses origines. J'ai tout simplement fondu ! Cela me confirme aussi que je veux plus que jamais un girafon comme animal de compagnie. J'en ai absolument besoin d'un dans ma vie, c'est comme ça ! Pour ce qui est du troisième animal insolite, qui est introduit ici, je regrette de ne pas m'être attachée plus que ça à ce fameux Cyrille, le ptérodactyle miniature (rien que l'appellation en bouche un coin). Ne vous détrompez pas : il est absolument adorable et serviable mais je ne cache pas lui préférer les deux autres, qui ont des personnalités plus marquées. J'attends d'en savoir plus sur toi, mon Cyrillounet ! Ce n'est pas en lui donnant un pareil surnom que j'arriverai à m'en faire un ami, ça, c'est certain...

Avant de conclure, je ne pouvais pas ne pas parler du fameux Ki mentionné dans le titre ! Comme vous pouvez vous en doutez, la signification de ce terme mystérieux a une grande importance dans l'intrigue de ce tome. Je n'aimerais donc pas trop vous en dévoiler mais disons que le Ki désigne quelque chose de giga badass, si vous me pardonnez mon langage plutôt familier ! Il suffit de regarder les halos colorés qui entourent nos quatre vaillants collégiens sur la couverture, cela annonce déjà la couleur, sans vouloir faire de mauvais jeu de mots. Disons que le Ki est une jolie métaphore et expression de notre force intérieur. Je pense qu'en voyant nos courageux chevaliers prendre progressivement conscience de leurs propres qualités et de la véritable valeur d'autrui, cela aidera les enfants comme les plus grands à prendre confiance en eux et à réaliser qu'ils sont les héros de leur destin.

Dernière parenthèse absolument essentielle à faire que j'ai pourtant failli oublier : j'ai aussi énormément apprécié le message amené concernant la cause animale, plus particulièrement la façon dont on traite les animaux, notamment dans les laboratoires. Cela a été à mon sens fait en toute subtilité pour ne pas trop brusquer les âmes les plus innocentes ; néanmoins, on ne minimise pas la souffrance que les bêtes peuvent éprouver en de tels lieux d'horreur et le message est ainsi parfaitement clair et percutant. Autant vous dire qu'Erwan Ji sait prendre votre c½ur dans ses mains pour vous le briser en mille morceaux dans le cas présent, ou bien pour vous le regonfler à bloc. Pour ma part, cette démonstration d'empathie envers les êtres vivants et cet engagement pris constituent un vrai plus à cette saga enfantine qui avait déjà beaucoup de qualités. Cela ne m'en a fait que l'aimer encore plus.

Pour conclure, ce troisième tome des Chevaliers des Gringoles s'est révélé être à la hauteur de mes attentes et des deux précédents volumes ! C'est toujours aussi attendrissant, divertissant et drôle (mention spéciale à Gus d'amour, ou le roi comique incontesté de cette série littéraire) et cela me permet de m'enfermer dans une bulle réconfortante à chaque fois. Je n'en ai pas parlé plus avant dans ma chronique afin d'éviter tout spoil mais j'ai adoré la façon dont l'auteur gère le rythme de son récit, et notamment concernant les révélations qu'il y délivre, la fréquence à laquelle il les distille. Ce tome étant l'avant-dernier, il ne m'a donc pas déçue à ce niveau-là, étant plus fourni que les deux autres en matière de belles et foudroyantes surprises. J'ajouterais qu'Erwan Ji parvient à maintenir le suspens jusqu'au bout et, personnellement, je n'avais pas vu grand chose venir ! Chapeau, l'artiste ! Néanmoins, il reste encore deux grandes inconnues à l'équation que représente Les Chevaliers des Gringoles et je me demande comment l'auteur va gérer cela dans le tome final. Je trépigne d'impatience tout comme j'appréhende ce grand moment. Réponse au prochain épisode ! COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, Les Chevaliers des Gringoles, service de presse, éditions Nathan, Erwan Ji, 2019, Littérature française, Littérature enfantine, jeunesse, Créatures fantastiques, surnaturelles, univers merveilleux, mondes parallèles, zombies, cohabitation, yétis, amitié, tendresse, surprise, nouveaux liens, magie, humour, aventure, courage, solidarité, sacrifice, émotion, suspense, menace, danger, île abandonnée, crainte, absurde, gentillesse, entraide, enfance, collège, ingéniosité, intelligence, maturité, douceur, couleurs, extraordinaire, ahurissement, adrénaline, révélation, robots, protection, folie, mystère, Trilogie, Le Secret du Ki, Tome 3 ♥
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#Posté le samedi 18 mai 2019 07:07

Modifié le dimanche 23 juin 2019 16:27

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