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FICHE LECTURE : L'étrange garçon qui vivait sous les toits

FICHE LECTURE : L'étrange garçon qui vivait sous les toits
• AUTEURS : Charlotte Bousquet, Christine Féret-Fleury, Fabien Fernandez.
• ANNÉE : 2021 (FRANCE).
• GENRE (S) : Jeunesse, historique, fantastique.
• THÈMES : France - Confinement - COVID - Adolescence - Relations intergénérationnelles - Années 1940 - Seconde Guerre mondiale - Occupation - Régime de Vichy - Antisémitisme - Déportation - A la croisée des époques - Passé - Souffrance - Deuil - Pardon - Justice - Vérité - Quête - Espoir - Secrets - Homosexualité - Entraide - Confiance - Famille - Amour...
• PAGES : 144.

Lorsque son père médecin l'envoie chez Arlette, une ancienne infirmière de 93 ans à l'internet vacillant, Nina est persuadée qu'elle va vivre le pire des confinements. Mais bientôt, alors qu'elle fouille dans la cave pour tromper son ennui, la jeune fille découvre dans une malle la photo jaunie d'un garçon... qu'elle a déjà croisé dans l'escalier.
Ce portrait replonge Arlette dans un douloureux passé, celui de la guerre, d'un amour interdit et d'une blessure jamais refermée. Nina a-t-elle vraiment pu rencontrer Natan, cet adolescent juif qui a vécu caché dans l'immeuble pendant la Seconde Guerre mondiale ? Sauront-ils tous les deux dénouer les fils des sombres événements qui se sont déroulés 78 ans plus tôt ?

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique de L'étrange garçon qui vivait sous les toits que l'on doit à trois grands auteurs de la littérature jeunesse contemporaine : Charlotte Bousquet, Christine Féret-Fleury et Fabien Fernandez. Je remercie infiniment les éditions Slalom pour ce très touchant envoi !

Dès que j'ai découvert l'existence de ce livre, je savais qu'il ne pourrait qu'immensément me plaire. Un parallèle entre notre premier confinement COVID de mars 2020 et le "confinement" subi par les Juifs durant la Seconde Guerre mondiale ? Il n'en fallait pas plus pour m'attirer et ainsi me plonger dans la lecture de l'incroyable histoire, aussi cruelle que profondément émouvante, de Nina, Natan et Arlette, nos trois protagonistes et narrateurs formant un ch½ur des plus harmonieux nous contant ce que l'humanité a de plus beau comme de plus terrible et tragique.

Dans un premier temps, j'ai immédiatement adoré la dimension intertemporelle et -générationnelle de ce récit. Près de quatre vingt années ont beau séparer Nina et Natan, nos deux jeunes adolescents d'époques différentes vont parvenir à se trouver et à s'aider mutuellement à avancer. Avec leur brillante idée d'intrigue, notre trio d'auteurs purement et simplement magiques et ingénieux nous permet de prendre conscience que, même dans les pires moments de désespoir, d'angoisse et d'inertie, les êtres humains, s'ils le veulent vraiment, sont capables de faire ressortir le meilleur d'eux-mêmes et de faire preuve d'une gentillesse, d'une générosité, d'une compassion et d'une détermination qui savent surmonter les plus périlleux obstacles.

C'est du moins la magnifique leçon que m'aura donné la quête de vérité de nos trois héros qui s'est par ailleurs achevée de façon assez abrupte. Après, il n'y avait plus grand chose à ajouter et je sais pertinemment que je fais là la fine bouche. Simplement, j'avais envie de rester plus longtemps auprès de ces personnages auxquels je me suis si rapidement attachée et que j'ai dû quitter à contrec½ur tout aussi vite. L'appartement au rez-de-chaussée d'Arlette, cette vieille dame si brave, indépendante et ouverte d'esprit, me semblait en effet tel un havre de paix malgré les horreurs de son passé qui resurgissent ; je n'avais absolument pas envie de partir et de dire au revoir à Nina, cette adolescente un peu bougonne mais bien intentionnée dont la blessure de son c½ur d'enfant est encore béante et les rêves de cinéma tout ce qu'il y a de plus louables et inspirants ; à Natan, cette ombre du passé qui constitue la véritable lumière de ce récit et surtout à Line et à Arlette, ces deux femmes fortes, incomprises et bafouées par une société étriquée et bouillonnante de haine, aveuglée par l'ignorance pure, qui n'a au fond pas tant changée que cela, à notre grand malheur.

Cependant, hors de question de clore cette critique sur cette note maussade et déprimante, non mais ! Plus sérieusement, ce fabuleux livre jeunesse est une véritable ode à la vie, au pardon, à l'amour sous toutes ses formes et à la solidarité. Je ne peux que vous conseiller de le dévorer ; cela ne vous prendra pas beaucoup de temps mais ce qu'il vous apportera en échange sera digne d'une malle au trésor que vous conserverez dans le grenier de votre âme pour le restant de votre existence. Pour ma part, je sais que je prendrai grand soin de tout ce que ce roman m'aura appris et je tâcherai d'appliquer cela au quotidien, c'est une promesse solennelle. Merci du fond du c½ur aux trois auteurs ainsi qu'à la maison d'édition pour ce petit livre aux grands enseignements que je n'oublierai assurément pas de sitôt. ★★★★(★)

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, service de presse, éditions Slalom, L'étrange garçon qui vivait sous les toits, Charlotte Bousquet, Christine Féret-Fleury, Fabien Fernandez, Littérature française, 2021, Jeunesse, Roman historique, Fantastique, France, Confinement, COVID, Adolescence, Relations intergénérationnelles, Années 1940, Seconde Guerre Mondiale, Occupation, Régime de Vichy, antisémitisme, Déportation, à la croisée des époques, passé, souffrance, deuil, pardon, justice, vérité, quête, espoir, secrets, Homosexualité, entraide, confiance, Famille ♥, Amour ♥., Très belle lecture
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#Posté le mardi 15 juin 2021 10:53

Modifié le jeudi 17 juin 2021 06:17

FICHE FILM : Rocketman

FICHE FILM : Rocketman
BIOPIC | 2019 | DEXTER FLETCHER | DRAME, MUSICAL, ELTON JOHN, ANNÉES 70, ROCK, POP, SHOW-MAN, ADDICTIONS, CRISE IDENTITAIRE, ACCEPTATION DE SOI, AMITIÉ, HOMOSEXUALITÉ, EXUBÉRANCE, DÉCADENCE, EXCENTRICITÉ, COMPOSITION, RELATION TOXIQUE, LÉGENDE DE LA CHANSON, RELATIONS FAMILIALES COMPLIQUÉES, DÉPRESSION, RENAISSANCE | 2H01 | AVEC TARON EGERTON, JAMIE BELL, RICHARD MADDEN, BRYCE DALLAS HOWARD...

➜ Rocketman nous raconte la vie hors du commun d'Elton John, depuis ses premiers succès jusqu'à sa consécration internationale.
Le film retrace la métamorphose de Reginald Dwight, un jeune pianiste prodige timide, en une superstar mondiale. Il est aujourd'hui connu sous le nom d'Elton John.
Son histoire inspirante – sur fond des plus belles chansons de la star – nous fait vivre l'incroyable succès d'un enfant d'une petite ville de province devenu icône de la pop culture mondiale.

ஜ MON AVIS :

Bonjour les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un film que j'étais juste impatiente de voir à sa sortie, Rocketman. En tant que grande fan de biopics, j'étais extrêmement curieuse de découvrir ce long-métrage consacrée à une véritable légende vivante de la musique, j'ai nommé Sir Elton John, et si ce dernier serait à la hauteur du monstre sacré qu'est devenu ce grand compositeur-interprète au fil des décennies. Force est de constater après visionnage que je suis loin de forcément partager l'engouement général qu'a suscité cette adaptation haute en couleurs de la vie de ce monument musical anglais.

Mais commençons d'abord par l'un des qualités indéniables du film et ce qui m'a frappée d'emblée de jeu, à savoir la qualité de la réalisation. Je n'ai franchement à redire là-dessus : l'image est extrêmement nette et propre, la luminosité, la photographie et la colorimétrie de l'ensemble du film sont impeccables et je n'ai pas à déplorer de faux-raccords ou autres erreurs de montage gros comme une maison tels que ceux que j'avais pu remarquer dans Bohemian Rhapsody (je risque de comparer les deux ½uvres cinématographiques assez souvent dans cette critique, vous êtes prévenus) du même réalisateur. J'applaudis également à deux mains les costumiers, artistes-coiffeurs et maquilleurs car les divers looks qu'Elton arbore au cours de son immense carrière sont plus flamboyants et plus vrais que nature les uns que les autres. J'avais parfois l'impression d'avoir le véritable Elton sous mes yeux, à tel point que c'en était véritablement troublant. Toute cette équipe très investie et appliquée a grandement contribué à l'impressionnante métamorphose de Taron Egerton en Elton John ainsi qu'à la création de cette atmosphère si particulière qui se dégage du film et qui nous donne la sensation juste saisissante et fabuleuse d'avoir voyagé dans le temps et dans l'espace pendant environ deux heures, et je l'en remercie infiniment. L'immersion est totale ; ça, je ne peux pas dire le contraire.

Le détail crucial qui permet à la magie pétillante et euphorique de Rocketman d'opérer, c'est bien entendu la musique de Sir Elton qui, que nous soyons d'authentiques fans ou non de celui-ci, fait indéniablement partie de la bande soundtrack de nos existences à tous. Le film regorge ainsi de morceaux de l'artiste qui correspondent à merveille à chaque moment-clé de sa vie. Préparez-vous à chanter à tue-tête pendant l'intégralité du film si jamais vous le regardez un jour ! Le seul petit regret que je puisse avoir à ce niveau-là, c'est le manque cruel d'importance accordé à Candle in the wind ou probablement la chanson la plus connue, à tout le moins la plus vendue, ça, c'est certain, du chanteur. De voir ce titre réduit à un simple thème musical durant une poignée de secondes m'a fait mal au c½ur, je ne vous le cacherai pas. Mais au vu du choix central scénaristique qui a été fait de ne traiter essentiellement que la première partie du parcours tumultueux de cette vedette anglo-saxonne, il aurait fallu au moins une bonne heure de plus de film pour qu'il soit in fine question de l'ampleur que cette chanson bien précise a prise à un moment particulièrement douloureux de la vie de Sir Elton et même de tout le peuple britannique. En clair, je comprends cette non mise en valeur de ce morceau car il était techniquement impossible d'évoquer la signification profonde qui lui a été donnée plus de vingt ans après sa production originelle, et notamment à cause de circonstances tout ce qu'il y a de plus tragiques, avec le peu de temps dont disposait l'équipe du film, mais cela m'amène à vous parler de ce qui m'a le plus "gênée" avec Rocketman en réalité.

Comme je vous le disais un peu plus tôt, j'ai trouvé que chaque chanson d'Elton John entendue dans ce film s'accordait parfaitement avec la scène qui lui avait été attribuée. Cependant, j'ai eu la sensation assez désagréable que le film ne se reposait que sur ça pour donner des explications aux différentes images que l'on voit défiler au cours du long-métrage, qu'il se contentait purement et simplement de s'appuyer sur ses acquis. Certes, les somptueuses paroles signées Bernie Taupin suffisent à comprendre les divers états d'âme qu'a traversé son fidèle ami et compagnon d'écriture toute sa vie durant, mais j'aurais tout de même voulu que le propos du film soit beaucoup plus creusé et élaboré. Il y a là un clair manque de consistance à mon sens. Et là où l'on reprochait à Bohemian Rhapsody son effet trop "juxebox" avec cette succession incessante de tubes en puissance du célèbre groupe de rock britannique servant de véritable colonne vertébrale au film, au risque que l'on en retienne uniquement que cela, ces pistes d'anthologie que l'on peut écouter partout ailleurs, c'est justement plus avec Rocketman que j'ai eu ce ressenti-là de trop-plein de musique pour masquer les éventuels instants de flottement.

Un autre point vis-à-vis duquel j'ai un sentiment mi-figue mi-raisin, c'est l'option narrative qui a été privilégiée par Dexter Fletcher et Lee Hall, le scénariste derrière les films d'exception que sont Billy Elliot et Cheval de guerre, magnifique adaptation du livre du même nom (voir ma chronique ici). Rocketman se base sur un savant mélange entre confession à fleur de peau du personnage principal et ambiance digne d'une réelle comédie musicale. La comparaison faite entre la vie de l'artiste et un authentique musical est selon moi très intelligente et percutante, tout comme la sincère ambition du film d'être la hauteur de l'énergumène Elton John à tous les niveaux mais, si cela est joliment réussi pour ce qui est de la forme, le fond, quant à lui, ne suit pas. On en revient toujours à ce sérieux problème de travail d'approfondissement qui n'a pas été réalisé comme il l'aurait fallu, auquel s'ajoute une chronologie tout à fait bancale des événements survenus dans la vie de la star qui prête à confusion, surtout quand on prend la peine d'aller chercher plus loin à ce sujet. Cependant, Rocketman n'a certainement rien à envier à Bohemian Rhapsody en la matière, bien au contraire, ce dernier étant champion des omissions et de déformation de la réalité.

Afin de terminer cette chronique sur une note résolument positive, venons-en à LA révélation de ce film à mes yeux, que dis-je, son astre, sa pierre angulaire, j'ai nommé Taron Egerton. Cet acteur me convainc de plus en plus à chacune de ses nouvelles performances, et son ascension spectaculaire dans l'univers du cinéma n'est pas prête de s'arrêter, j'en suis persuadée. Ici, il crève littéralement l'écran en faisant corps avec son personnage avec une simplicité juste déconcertante ; il rayonne et on ne voit que lui, tout le reste autour nous semble superflu face à son magnétisme, son charisme singulier et imparable. J'ai été épatée par son talent naturel à jouer ce rôle si complexe et exigeant qui semble pourtant avoir été taillé sur mesure exprès pour lui. Cela peut sembler cliché, mais il était fait pour ça, il n'y a aucune doute là-dessus de mon côté. J'ai également été extrêmement satisfaite de son interprétation des chansons du film. Comme l'a si bien dit le maestro Elton avec ses propres mots, le comédien n'a pas cherché à l'imiter mais est parvenu à capturer une partie de lui-même. Il a su s'emparer de son feu sacré, de cette étincelle de folie et d'émotion à l'état brute qui constitue Elton, qui le rend unique en son genre et proprement indescriptible. Comme j'aime souvent à le dire, voilà deux âmes s½urs, deux c½urs accrochés qui se sont bien trouvés. Tout comme Elton et Bernie l'avaient fait par le passé. Jamie Bell fait ici parfaitement le job en incarnant un meilleur ami sur qui l'on peut compter très touchant et honnête dans chacun de ses actes et de ses paroles, un homme extraordinaire de l'ombre qui méritait clairement d'être sous les feux des projecteurs lui aussi. C'est ici chose faite avec une peinture très juste et toute en subtilité de cette amitié au goût d'éternité qui se passe de mots pour qu'on en ressente la solidité au plus profond de notre être.

Pour conclure, Rocketman est un biopic très propre sur lui à la réalisation tout à fait maîtrisée, malgré une narration pas assez claire et une frontière entre l'imagination et la réalité assez floue à certains moments qui nous laisse perplexe. Taron Egerton est celui qui rend le film véritablement digne d'intérêt en livrant une prestation sans faute mais, au vu de l'énorme potentiel du long-métrage, je m'attendais à un matériau beaucoup plus consistant et travaillé que cela en matière de contenu. Je me monte sûrement très sévère au vu du fait que j'ai eu le COUP DE FOUDRE ϟ pour Bohemian Rhapsody, alors que celui-ci équivaut plus à une réécriture de faits réels, une fiction inspirée d'une histoire vraie, contrairement à Rocketman qui se veut résolument plus crédible, mais je déplore justement que BoRhap soit à mon sens beaucoup plus étoffé, dynamique et poignant que Rocketman, me faisant ainsi accepter sa multitude de défauts alors qu'il est pourtant construit sur des piliers branlants, truffé comme il l'est d'informations essentiellement fausses. En fait, Rocketman n'a pas réussi à me faire vibrer comme je l'escomptais. Certes, j'ai été embarquée et captivée pendant les deux heures que dure le film mais, quand il a fallu redescendre de la fusée, je me suis retrouvée avec un goût désagréable d'inachevé et de gâchis dans la bouche. C'était un très beau film qui aurait pu avoir l'étoffe d'un chef d'½uvre mais il n'est pas allé jusqu'au bout pour en devenir un. Si j'avais accepté le fait que BoRhap ne soit pas un authentique biopic mais un semi-mensonge que j'ai avalé consciemment en le visionnant, je n'ai pas toléré cette seconde duperie de la part de Dexter Fletcher, à savoir : un film avec des éclats de génie, qui véhicule notamment un très fort message d'amour de soi dont je me souviendrai à tout jamais et que je conserverai ainsi précieusement, mais qui est loin de tenir toutes ses promesses à mon sens. Du moins, ce n'est là que mon humble opinion et je vous invite donc chaleureusement à vous faire votre propre avis sur la question ! ★★★(★)★

Nanette ♥

FICHE FILM : Rocketman
Source gif : stevnrcgrs (tumblr).
Tags : Fiche film, Rocketman, 2019, Dexter Fletcher, Biopic, Drame, musical, Elton John, années 70, rock, pop, show-man, addictions, crise identitaire, acceptation de soi, amitié, Homosexualité, exubérance, décadence, excentricité, composition, relation toxique, légende de la chanson, relations familiales compliquées, dépression, renaissance, Taron Egerton ♥, Jamie Bell, Richard Madden, Bryce Dallas Howard, Très bon film
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#Posté le lundi 08 juillet 2019 05:44

Modifié le vendredi 12 juillet 2019 16:17

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