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7 articles taggés méchanceté

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FICHE LECTURE : Le secret d'Ella

FICHE LECTURE : Le secret d'Ella
• TITRE V.O. : Ella on the outside.
• AUTRICE : Cath Howe.
• ANNÉE : 2018 (ANGLETERRE) ; 2020 (FRANCE).
• GENRE (S) : Jeunesse, contemporain.
• THÈMES : Adolescence - Collège - Intelligence - Déménagement - Prison - Chagrin - Incompréhension - Maladie - Harcèlement - Méchanceté - Cruauté - Secrets - Famille - Amitié - Acceptation de soi - Confiance - Entraide - Bienveillance - Humour...
• PAGES : 256.

« — Chacune va raconter un secret.
Il en faut un que personne ne connaît.
L'angoisse me saisit.
Un secret...
Je n'arrive à penser qu'à celui de notre famille. Maman m'a demandé de ne le raconter à personne. »


Ella est nouvelle dans l'école et n'a pas encore d'amis. Très vite, Lydia, la fille la plus populaire de la classe, la prend sous son aile. Ella est folle de joie ! Mais cette amitié a un prix et elle devra faire un choix difficile. L'amitié au prix d'un secret.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du Secret d'Ella par Cath Howe. Je remercie infiniment les éditions Flammarion jeunesse pour ce très bel envoi.

Sans trop entrer dans les détails car le roman est somme toutes assez court, j'ai immensément aimé cette tranche-de-vie adolescente dont la très jeune héroïne, Ella, m'a d'emblée été extrêmement attachante. Ella est en effet une collégienne qui se retrouve à cette période charnière entre l'enfance et l'adolescence où, bien que conservant toujours son innocence de petite fille, elle voit déjà du haut de ses douze ans le monde avec des yeux plus adultes, faisant ainsi preuve d'une certaine maturité qui tranche avec sa candeur et sa bonne volonté enfantine, et c'est ce qui en fait pour moi une protagoniste réaliste, proche de nous et donc profondément touchante.

J'ai également beaucoup apprécié le fait que, pour un récit jeunesse/middle grade, Le secret d'Ella aborde des thématiques très fortes et indéniablement sombres telles que l'incarcération d'un parent, la maladie mentale, le deuil ou bien encore les amitiés toxiques. L'autrice traite à mon sens de ces sujets percutants et épineux avec beaucoup de tact, de sincérité mais aussi d'humour. En outre, elle nous démontre bien que personne n'est ni tout blanc, ni tout noir dans la vie, qu'il est normal de ressentir un besoin viscéral d'être aimé au point de totalement renier la maxime « Mieux vaut être seul que mal accompagné » et que le plus important, c'est d'apprendre de ses erreurs et de faire ce qui est juste, quel qu'en soient les conséquences. On gagne toujours à être bienveillant et à défendre l'opprimé, toujours.

Pour conclure, je ne peux que vous encourager à vous plonger entre les pages vibrantes de lumière et d'humanité du Secret d'Ella, vous ne le regretterez assurément pas ! ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, service de presse, Le secret d'Ella, Cath Howe, Flammarion jeunesse, Littérature anglaise, 2018, 2020, Jeunesse, Contemporain, adolescence, collège, intelligence, déménagement, prison, chagrin, incompréhension, harcèlement, méchanceté, cruauté, secrets, famille, amitié, acceptation, confiance, entraide, bienveillance, humour, Excellente lecture !
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#Posté le mardi 13 avril 2021 15:30

Modifié le vendredi 16 avril 2021 07:51

FICHE LECTURE : Comment tu m'as fait mourir ?

FICHE LECTURE : Comment tu m'as fait mourir ?
• AUTEUR : Gilles Abier.
• ANNÉE : 2020 (FRANCE).
• GENRE (S) : Thriller fantastique, roman ado.
• THÈMES : Lycée - Adolescence - Tocs - Harcèlement - Méchanceté - Cruauté - Ressentiment - Haine - Vengeance - Voyage scolaire - Londres - Humour - Suspens - Amitié...
• PAGES : 240.

Et si vous pouviez vous débarrasser de vos ennemis... en imaginant leur mort sur le papier ? Humour et cruauté sont au rendez-vous dans ce roman glaçant, totalement addictif !

La veille d'un séjour scolaire à Londres, Félix décide d'écrire un texte dans lequel il sacrifie les élèves qui lui font vivre un enfer au lycée. Chacun a droit à un traitement spécial, en rapport avec le harcèlement subi... Un bon exutoire ! Sauf que la journée du lendemain commence exactement comme dans son histoire.
Et si le hasard décidait de tuer ses camarades les uns après les autres comme Félix l'avait écrit ?

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique de Comment tu m'as fait mourir ? signé Gilles Abier. Je remercie infiniment les éditions Slalom pour ce très bel envoi !

J'étais très excitée à l'idée de commencer ce livre car je connaissais déjà bien la plume de l'auteur par le biais de ses romans plus axés jeunesse, notamment la saga Le trésor de l'île sans nom que je vous recommande chaudement. Et effectivement, on reconnaît ici bien sa plume dynamique, pleine d'humour et de sarcasme, percutante et extrêmement vivace qui nous embarque dès les premières lignes. Cela m'a procuré un plaisir immense de retrouver cette écriture si singulière et captivante, que j'affectionne tout particulièrement, dans un registre plus sombre et plus adulte. Ce roman ado m'a donc bel et bien confirmé que le style de Gilles Abier, quelque soit le lectorat visé, marche du tonnerre avec moi !

L'autre point qui m'avait fait assurément de l'½il avec ce titre, c'est l'atmosphère résolument Death Note qui s'en dégage. Et de ce côté-là, l'auteur a également réussi son pari : le suspens est à son comble jusqu'au bout, on se demande sincèrement qui sera le prochain à y passer et dans un même temps, on s'attache fortement à certains personnages, à commencer par Félix, le héros de ce récit glaçant et haletant malmené par ses tocs et surtout par bon nombre de ses camarades et même professeur dont le pois chiche à la place du cerveau et la capacité émotionnelle d'une petite cuillère nous donne du fil à retorde pour ce qui est de ressentir de l'empathie à leur égard.

En somme, ce roman était de mon côté une franche réussite... jusqu'au final. Je ne m'attendais tout simplement pas à ça, à une fin aussi abrupte et frustrante, me laissant résolument sur ma faim pour le coup. J'escomptais notamment plus d'explications, d'approfondissement sur le harcèlement scolaire et les solutions que l'on peut y trouver. Cette fin plutôt ouverte, qui nous laisse imaginer ce que l'on veut vis-à-vis de la suite de cette aventure londonienne, ne m'a clairement pas convaincue. Néanmoins, je reste très heureuse d'avoir découvert ce roman qui a éveillé en moi des sources de réflexions et qui surtout m'aura fait passer un moment de lecture très intense et agréable à la fois.

Pour conclure, même si la conclusion de ce roman ne m'aura pas acquise à sa cause, je vous encourage malgré tout à le découvrir. Personnellement, j'ai adoré son ambiance grinçante et très voyage scolaire qui m'a rappelé beaucoup de bons souvenirs du collège/lycée. Qu'elle me manque, cette époque ! Au moins, grâce à Comment tu m'as fait mourir ?, j'ai pu la revivre le temps d'un périple en bus puis en ferry résolument pas comme les autres... ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, Comment tu m'as fait mourir ?, Gilles Abier, service de presse, éditions Slalom, 2020, Littérature française, Thriller fantastique, Roman ado, lycée, adolescence, tocs, harcèlement, méchanceté, cruauté, ressentiment, haine, vengeance, voyage scolaire, Londres, humour, suspens, amitié, Très bonne lecture
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#Posté le dimanche 11 avril 2021 04:40

Modifié le lundi 12 avril 2021 06:38

FICHE LECTURE : Jemima Small

FICHE LECTURE : Jemima Small
• TITRE V.O. : Jemima Small versus The Universe.
• AUTRICE : Tamsin Winter.
• ANNÉE : 2019 (ANGLETERRE) ; 2021 (FRANCE).
• GENRE (S) : Jeunesse, contemporain.
• THÈMES : Adolescence - Collège - Intelligence - Grossophobie - Harcèlement - Méchanceté - Cruauté - Complexes - Famille - Amitié - Acceptation de soi - Confiance - Entraide - Bienveillance - Humour...
• PAGES : 335.

Une collégienne face à la grossophobie dans une ode à l'acceptation de soi touchante et drôle.

Jemima a 13 ans, elle est brillante et pleine d'humour mais elle se sent insignifiante, sans cesse rabaissée par les remarques blessantes sur son poids. Comment s'accepter quand le regard des autres devient insupportable ? Comment s'intégrer quand on est forcé de participer au « Club des gros » à la pause déjeuner ? Alors qu'elle connaît la pire année de sa vie, Jemima va peu à peu se libérer du carcan dans lequel elle s'est enfermée pour enfin se révéler à elle-même... et aux autres.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du roman Jemima Small écrit par Tamsin Winter. Je remercie infiniment les éditions Slalom pour l'envoi de ce livre beaucoup trop mignon pour être vrai qui est sorti tout récemment en librairie (le 1er avril - et ceci n'est pas un Poisson, c'est promis) et que je vous incite vivement à vous procurer séance tenante !

Ce roman, c'est typiquement le genre de lecture qu'il m'aurait fallu quand j'étais pré-adolescente et que je souffrais de surpoids important. Je ne sais pas précisément quel poids fait Jemima dans le récit mais une chose est sûre, c'est qu'à son âge, moi aussi ma petite croix rouge était bien au-dessus de la courbe normale. Comme notre très attachante héroïne, moi aussi j'ai dû faire face aux moqueries du style « Attention tout le monde, Anaïs va nous provoquer un tremblement de terre rien qu'en marchant » ou « Tu ne devrais pas manger un pain au chocolat et/ou de la pizza, pas étonnant que tu sois aussi grosse en te voyant manger ça ».

A ce moment-là, j'aurais adoré avoir un roman aussi lumineux et bienveillant que Jemima Small pour me rappeler de m'aimer pour ce que je suis, de m'apprécier réellement à ma juste valeur et de ne pas me soucier de ce que les autres pensent de moi. J'aurais alors fait les choses bien différemment, à commencer par maigrir pour mon propre bien-être personnel, parce que je l'aurais décidé, MOI, et non pour pouvoir enfin effacer les regards emplis de mépris qui se posaient sur mon corps déformé par la graisse. Je me suis infligée énormément de blessures et de punitions pour des personnes qui n'en valaient absolument pas la peine et je ne pourrai malheureusement jamais revenir en arrière. Mais je suis infiniment contente que les jeunes lecteurs d'aujourd'hui puissent lire un roman comme celui-ci qui saura leur apprendre à se regarder avec un ½il résolument plus indulgent et appréciateur car nous avons tous un dieu/une déesse intérieure qui n'attend qu'une chose : briller de mille feux et s'envoler aussi haut qu'un cerf-volant vers la stratosphère (vous comprendrez cette référence en lisant ce merveilleux livre).

Pour conclure, je vous recommande fortement Jemima Small car ce roman nous apprend à nous voir tels que nous sommes, à savoir des êtres exceptionnels, tous uniques en notre genre, qui ne méritons que de l'amour et de la reconnaissance à foison. Pour ma part, je ressors de ce livre le sourire aux lèvres et le c½ur apaisé. Cela aura peut-être pris des années mais j'aime désormais mon corps tel qu'il est, avec ses qualités et ses imperfections, et je suis enfin prête à aller de l'avant à tous les niveaux, ce roman solaire et intelligent me l'aura bien prouvé. COUP DE COEUR ♥

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, service de presse, éditions Slalom, Jemima Small, Tamsin Winter, Littérature anglaise, 2019, 2021, Jeunesse, contemporain, Adolescence, collège, intelligence, grossophobie, harcèlement, méchanceté, cruauté, complexes, famille, amitié, acceptation de soi, confiance, entraide, bienveillance, humour, coup de coeur ♥
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#Posté le vendredi 02 avril 2021 07:59

Modifié le mercredi 07 avril 2021 04:33

FICHE LECTURE : Le Renard de Morlange

FICHE LECTURE : Le Renard de Morlange
• AUTEUR : Alain Surget.
• ANNÉE : 1995, 2018 (FRANCE).
• GENRE (S) : Jeunesse.
• THÈMES : Renard, malédiction, magie, sorcellerie, Lorraine, aristocratie, noblesse, hiérarchie sociale, cruauté, violence, rédemption, forêt, dangers, métamorphoses, pleine lune, réincarnation, Moyen Age, conte, fable, légende, seigneurie, comté, serviteurs, rivalité, jalousie, haine, méchanceté, oppression, extorsion, interdiction, liberté, vengeance, ruse, malice, revanche, désarroi, désespoir, pardon, apprentissage, maturité, enseignement, religion, chrétienté, orgueil, péché...
• PAGES : 224.

Violences, humiliations : rien n'arrête le cruel comte de Morlange. Rien ? Jusqu'au jour où un vieil ermite lui prédit que, s'il ne change pas sa conduite, il sera transformé en jeune renard les nuits de pleine lune... tout en conservant son esprit humain, et ainsi jusqu'à ce qu'il ait fait pénitence ! Si Renaud de Morlange est un fin chasseur, Renard a, lui, bien des choses à apprendre pour affronter les dangers de la forêt...

ஜ MON AVIS :

Bonjour mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du Renard de Morlange d'Alain Surget, ou un récit que je ne connaissais ni d'Eve ni d'Adam avant que les éditions Nathan ne me l'envoie inopinément. Je les en remercie par ailleurs chaleureusement car j'ai passé un joli petit moment de lecture avec ce très court roman qui s'apparente plus à un long conte à dire vrai.

La réédition de ce livre jeunesse m'a permis de découvrir une collection de chez Nathan, j'ai nommé Dyscool, dont je salue grandement l'initiative, à savoir faciliter la lecture aux jeunes et moins jeunes dyslexiques ainsi qu'aux malvoyants à l'aide d'une grande taille de police agréable à lire, avec une forme des caractère ronde et claire qui ne fatigue résolument pas les yeux, et d'une pagination extrêmement aérée qui simplifie la tâche à notre vue parfois vacillante. Personnellement, pour moi qui doit porter des lunettes depuis que je suis enfant et qui adore lire, ça m'a fait énormément plaisir de pouvoir reposer mes mirettes constamment ou à tout le moins la plupart du temps plissées afin de se concentrer et avancer dans des lectures généralement conséquentes avec un ravissant petit ouvrage qui a tout pour donner envie, et ce même aux récalcitrants qui ont l'impression que la lecture n'est pas une activité faite pour eux, que ce soient pour des raisons de santé ou d'origine sociale. Vous l'aurez compris, cela fait déjà un bon point pour cette nouvelle (ou plutôt devrais-je dire "dernière" au vu de la date de parution) édition du Renard de Morlange.

L'autre caractéristique de cette histoire d'antan qui m'intéressait immensément, c'est son cadre : la folle quête initiatique vers un retour, pour ne pas dire une découverte et appréhension totale, à l'humanité de Renaud de Morlange se déroule en Lorraine, ma région adorée. Ça peut sembler n'être pas grand chose dit comme ça mais pour moi, le simple fait que le récit se passe dans mon petit coin de Grand Est (enfin, je ne suis pas mosellane, encore moins messine, mais vosgienne - quelle importance, on fait tous partie de la même famille après tout !), cela compte énormément et change pour ainsi dire carrément tout ! J'exagère sans doute un tantinet mais, histoire de parler un peu plus sérieusement, j'adore en apprendre plus sur les anciens ducs et seigneurs de Lorraine, sur le mode de vie et la hiérarchie sociale d'autrefois, sur le passé entre autres glorieux de ma contrée au fil de mes lectures, surtout lorsque cela se produit de manière aussi impromptue ! La surprise n'en est que plus agréable et délectable à mon sens. Et puis, quand on connaît déjà le territoire qu'une intrigue nous fait explorer, on se repère immédiatement, on parvient de suite à se représenter mentalement le paysage visuel - quoique, le jour où j'ai dévoré telle une louve affamée ce récit, j'ai fait une splendide balade en forêt déodatienne donc autant vous dire que j'avais un sacré bon équivalent de la forêt de Renaud-renard juste sous mes yeux ébahis et qui ne lassent jamais de cette superbe vue... Bref, c'est comme si l'on était à la maison ! Ce qui était doublement mon cas à ce moment-là, comme j'aime encore une fois à m'en vanter (promis, j'arrête dès à présent de radoter comme une vieille grand-mère). En ce qui concerne la légende du Renard de Morlange, même si celle-ci a été inventée de A à Z par l'auteur et ne se base donc probablement pas sur des faits réels, ou fort s'en peut, je remercie infiniment cette dernière d'avoir rendu un si belle hommage à notre terre sacrée des mirabelles (cette appellation provient à 100% de mon imagination farfelue, merci de ne pas en tenir compte) avec ce que je considère être digne d'une authentique fable venue tout droit des temps anciens pour nous enchanter et nous emporter dans une bulle temporelle absolument magique.

Néanmoins, ce à quoi je ne m'attendais véritablement pas et qui m'a tout bonnement conquise, envoutée, exaltée, fait vibrer (bref, vous visualisez le tableau) et que je ne peux que vigoureusement approuver, c'est la dimension profondément humaine de cette histoire de châtiment divin et de cheminement vers une bien meilleure version de soi-même, respectueuse d'autrui et de ses droits. S'ajoute à cela un rapprochement très intelligent qu'Alain Surget réalise entre nous, pauvres fous et mortels, êtres à quatre pattes, et les merveilleuses créatures que sont les animaux et qui permet à icelui de véhiculer par le biais de son ½uvre un fabuleux et nécessaire message, une ingénieuse et somptueuse morale axée sur la déférence, l'ouverture d'esprit et la bonté dont nous devons faire preuve les uns envers les autres, que ce soient envers nos semblables hommes et ou femmes ou vis-à-vis des êtres vivants, tous autant qu'ils sont. Avec Le Renard de Morlange, le romancier nous inculque en effet une leçon mémorable de savoir-vivre et de décence. Il nous rappelle qu'il faut être apte un jour à se mettre à la place du plus petit et du plus humble et que nous sommes tous, SANS EXCEPTION, dignes de l'estime d'autrui, que tout un chacun a sa place sur cette Terre et qu'il faut savoir l'apprécier à sa juste valeur, qui qu'il soit. Cela peut paraître évident mais, pour une multitude de personnes, essentiellement des hommes soit dit en passant (je n'ai pas peur de clasher, moi, madame !), ce n'est pas encore le cas - et pour ce qui est de certains spécimens particulièrement affolants (je ne cite personne tant cela me semble gros comme une maison - et encore, ces figures de proue de la stupidité crasse et de l'ignominie sont loin d'être les seules, il y en a une pléthore de phénomènes comme ceux-là éparpillés sur la nature), cela ne leur rentrera sans aucun doute jamais dans le crâne. C'est fort malheureux, n'est-ce pas ? Et encore, le mot est faible... Pour en revenir à mon propos, je confirme qu'une petite piqûre de rappel de ce genre en ce qui concerne notre nature intrinsèquement humaine, cela fait toujours le plus grand bien !

Au fond, les seuls petits "bémols" que j'ai relevés avec ce livre, les "regrets" que j'éprouve personnellement de mon côté, concernent dans un premier temps la cruelle atténuation (je préfère utiliser ce mot-ci plutôt que celui de "manque" qui serait totalement injuste dans le cas présent) de l'identité et de la personnalité des protagonistes de cette histoire. Ou plutôt, ce qui m'a en réalité extrêmement frustrée car je ne tiens certainement pas à être mauvaise langue, c'est le fait que l'auteur n'ait fait le travail qu'à moitié au niveau de l'élaboration de leur caractère à chacun. Je m'explique : si, d'un côté, leur comportement est digne des parfaites figures stéréotypes des histoires moyenâgeuses (le seigneur sans pitié, la damoiselle en détresse, le fringuant amant et rival, le monarque magnanime mais souvent bourru), de l'autre, leur façon de penser et de se percevoir soi-même et les uns les autres est à proprement parler visionnaire, bien en avance sur leur époque. J'ai immensément goûté cette facette-là de nos personnages-types mais je regrette amèrement qu'Alain Surget ne soit pas allé plus loin, notamment en étoffant le passif de chacun et en leur donnant ainsi une réelle consistance et singularité. Très honnêtement, je trouve cela tout ce qu'il y a de plus dommage parce que Le Renard de Morlange avait in fine le potentiel pour devenir un roman-fleuve historique unique en son genre avec une histoire bien plus approfondie, épique et bouleversante. Le fait que ce véritable petit trésor en soit réduit in the end à une simple comptine pour enfants me navre sincèrement. Peut-être que je vois trop grand pour un mignon petit récit qui recèle déjà bien des qualités et qui fait parfaitement le job auprès de sa cible éditoriale principale mais au vu des connaissances de l'auteur en ce qui concerne la géographie, l'Histoire de sa région mais aussi le langage que l'on tenait en ce temps-là, il y avait moyen de faire beaucoup fort et marquant. Ce n'est là que mon humble opinion, je ne cesserai jamais de vous le rappeler. D'autre part, je déplore la quasi (je me montre extrêmement gentille en employant ce mot-là car en réalité, pour parler franchement, il n'y a qu'une maigre illustration en fin d'ouvrage pour contenter nos pupilles) absence d'illustrations pour agrémenter le récit qui auraient justement permis d'égayer ce dernier et de le rendre d'autant plus vivace, dynamique, prenant et attrayant que le trait de crayon de Philippe Mignon est absolument charmant. Il suffit de voir l'adorable, exquise couverture de cet ouvrage pour le comprendre. En clair, cette inexistence flagrante d'ambition dans le cas du Renard de Morlange m'a sans conteste déçue, je ne vous le cache pas. L'ancien Renaud de Morlange n'aurait sûrement pas approuvé cela et, pour une fois, j'aurais été bien d'accord avec lui...

Pour conclure, je dirais que Renard de Morlange est une très jolie petite histoire que je suis bien heureuse d'avoir découverte, même si, en tant que lectrice adulte, mes exigences sont clairement insatisfaites. Mais afin de tempérer mon propos car je n'apprécie pas du tout le ton précieux que je suis en train de prendre à l'heure où j'écris ces lignes, je suis persuadée que la petite fille que j'étais aurait adoré vivre une aventure aussi palpitante et périlleuse qu'est celle d'un goupil au fin fond des bois. Et ce qui est encore plus certain, c'est que j'aurais largement préféré étudier Le Renard de Morlange en cinquième plutôt que l'abrutissant et tout ce qu'il y a de plus ennuyeux Yvain ou le chevalier au lion de Chrétien de Troyes, ou l'un des titres que je peux me targuer d'avoir tout bonnement détesté en matière de lecture scolaire ! J'achèverais donc cette chronique en assertant sans trop pouvoir me tromper que la plume d'Alain Surget constitue une excellente porte d'entrée vers l'univers indéniablement extraordinaire de la lecture et ce peu importe notre âge et les horizons desquels nous provenons ! ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, service de presse, éditions Nathan, Le Renard de Morlange, Alain Surget, 2018, Littérature française, Jeunesse, 1995, Renard, malédiction, magie, sorcellerie, Lorraine, aristocratie, noblesse, hiérarchie sociale, cruauté, violence, rédemption, forêt, dangers, métamorphoses, pleine lune, réincarnation, Moyen Age, conte, fable, légende, seigneurie, comté, serviteurs, rivalité, jalousie, haine, méchanceté, oppression, extorsion, interdiction, liberté, vengeance, ruse, malice, revanche, désarroi, désespoir, pardon, apprentissage, maturité, enseignement, religion, chrétienté, orgueil, péché, Bonne lecture
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#Posté le jeudi 12 septembre 2019 07:29

Modifié le jeudi 12 septembre 2019 10:28

FICHE LECTURE : Magic Charly - T1 : L'Apprenti

FICHE LECTURE : Magic Charly - T1 : L'Apprenti

• AUTRICE : Audrey Alwett.
• ANNÉE : 2019 (FRANCE).
• GENRE (S) : Jeunesse.
• THÈMES : Fantasy - École - Humour - Magie - Mystère - Sorcellerie - Runes - Initiation - Apprentissage - Objets animés - Cuisine - Recettes farfelues - Secret - Famille - Retrouvailles - Enquête - Suspens - Danger - Méchanceté - Injustice - Ingéniosité - Courage - Amitié - Entraide...
• PAGES : 416.

On peut avoir un chat doué de capacités hors du commun et tout ignorer de l'existence des magiciers. C'est le cas de Charly Vernier, jusqu'à ce qu'il découvre que sa grand-mère pourrait être un membre éminent de cette société. Mais elle court un grave danger. S'il veut la sauver - et se sauver lui-même - Charly n'a pas le choix, il lui faut devenir apprenti magicier.

Beignets de prédiction, grimoires volants, serpillière enchantée et pilleur d'âmes... Bienvenue dans le monde ensorcelant de Magic Charly !

Audrey Alwett nous plonge dans une aventure de grande fantaisie, à la croisée des univers de Terry Pratchett, J.K. Rowling et Miyazaki.


ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un premier tome de saga qu'il me fallait AB-SO-LU-MENT, j'ai nommé Magic Charly : L'Apprenti. En effet, j'étais tout bonnement surexcitée à l'idée de dévorer ce livre ; et encore, je pèse mes mots. En même temps, ce titre tout ce qu'il y a de plus aguicheur pour la fana de fantastique, fantasy et sorcellerie en tout genre que je suis et cette couverture juste EXTRAORDINAIRE (un immense bravo à Stan Manoukian ; ça, c'est ce que j'appelle du travail d'orfèvre) me promettaient tout ce que j'aime : de l'aventure, du grand frisson et de la magie à l'état pur, tout simplement. Qui plus est, la plume et l'imaginaire d'Audrey Alwett m'avaient tout bonnement séduite lorsque je les avais découverts avec ses précédentes ½uvres, à savoir la somptueuse série de BDs Princesse Sara et le truculent Poisons de Katharz (voir ma chronique ici). En clair, j'étais toute prédisposée à me laisser embarquer dans le nouvel univers extraordinaire proposé par l'autrice, dont l'indéniable pouvoir magique d'inventer des mondes et des personnalités hors normes s'est vérifié ici aussi.

Premier point positif de L'Apprenti et ce qui nous happe immédiatement dès les toutes premières lignes de ce tome introducteur : l'imagination débordante de l'autrice. Ça nous éclabousse, ça déborde de couleurs et d'ingéniosité de partout, et ce à chaque page qui se tourne, à chaque minuscule recoin de ce monde grandiose, si vaste et dont il nous reste tant à explorer. Je vous le dis très sincèrement : impossible de ne pas être complètement subjugués face à un esprit créatif regorgeant d'autant de ressources comme celui d'Audrey Alwett. Je vais rester très évasive à ce sujet et m'en arrêter là car ce serait franchement dommage de vous gâcher toutes les fabuleuses et splendides surprises que cette écrivaine bourrée de talent vous réserve. Ce serait pour ainsi dire véritablement criminel, croyez m'en sur parole. Je vous dirais juste que, pour ce qui est de l'atmosphère singulière qui se dégage dans ce premier tome de Magic Charly et des nombreux lieux que nous parcourons au cours de cette lecture mouvementée et diablement envoûtante, l'émerveillement est total. On s'en prend plein les yeux sans aucun temps mort accordé pour se remémorer un seul petit instant notre morne quotidien de quiéton et c'est un réel et salvateur retour en enfance que j'ai vécu grâce à l'espièglerie et la générosité de la remarquable écriture de l'autrice. Cette dernière possède un véritable don de conteuse, elle nous prend par la main et mène nos émotions et notre perspicacité à la baguette avec une dextérité déconcertante. Et puis, elle n'a pas son pareil pour ce qui est de donner vie et esprit aux objets les plus abracadabrants et indispensables pour mener toute vie réussie qui se respecte - j'ai le besoin irrépressible d'acquérir une Pépouze pour me sentir pleinement heureuse, ceux qui auront lu ce livre comprendront certainement ce désir ardent mais à mon grand dam insatiable !

Autre grand point fort de ce récit résolument enchanteur : ses protagonistes. Ces derniers ne sont effectivement pas en reste et ils deviennent rapidement d'authentiques compagnons de route sur lesquels l'on peut constamment compter. En outre, le héros de cette folle et pétillante aventure, Charly, est extrêmement attachant et à mon sens, on ne peut que compatir au vu des épreuves qu'il a déjà subies et de celles qu'il doit encore traverser pour protéger ceux qu'il aime. Pour ma part, j'ai ressenti une profonde empathie à son égard, et je me suis également énormément à lui. En effet, je me suis beaucoup retrouvée dans le caractère à la fois calme et gai de ce personnage. D'un naturel gentil et généreux, souhaitant à tout prix éviter les conflits et quelconque forme de violence, Charly offre ses sourires lumineux à l'effet aussi efficace qu'un rayon de soleil perçant l'obscurité de notre humeur et sentiments souvent moroses comme un rien. Bon, ne vous y trompez pas, c'est aussi un fieffé coquin mais, pour bénéficier de la lumière éblouissante de ses dents parfaites et éblouissantes, je suis prête à tout lui pardonner ! Vous l'aurez compris, je suis littéralement tombée sous le charme de ce jeune garçon intrépide et indubitablement attendrissant, et je ne m'en cache même pas. Sa bonté désarmante et son exceptionnelle intelligence m'ont faite irrémédiablement fondre, que voulez-vous... Néanmoins, les figures emblématiques féminines de cette histoire n'ont rien à lui envier. Elles sont extrêmement intéressantes et fascinantes, même si elles m'ont parfois agacées plus que de mesure. Cependant, il suffit d'apprendre à les connaître, à les apprivoiser en quelque sorte, pour qu'elles se révèlent à nous telles qu'elles sont véritablement : deux jeunes filles fortes, astucieuses, inoubliables, profondément émouvante et tout simplement formidable pour l'une, carrément culottée, déjantée et au sens de l'humour décapant et très, très particulier pour l'autre. Être au contact de Sapotille et de June le temps de 416 pages précisément, c'est les adopter. Je les aime d'amour autant l'une que l'autre, même si je me suis évidemment plus retrouvée dans le sérieux à toute épreuve de Sapotille plutôt que dans la nonchalance légendaire de June. Je me rends compte en rédigeant cette critique que je pourrais vous parler de ces deux forts tempéraments radicalement différents, ainsi que de la vanité hilarante de Maître Lin, du comportement arrogant et de l'humour pince-sans-rire d'Alastair, pendant des heures mais une fois de plus, je vous invite à découvrir et à vous délecter de tout cela par vous-même. Si vous souhaitez connaître tous les ingrédients de cette recette magique maîtrisée à la perfection par Audrey Alwett qu'est L'Apprenti, il vous faudra vous procurer celle-ci par vos propres moyens ! (ou comment faire passer une incitation à l'achat subtilement, comme une lettre à la Poste, by Nanette)

Pour ce qui est de l'humour caractéristique de la plume résolument pétillante de l'autrice, ce dernier est omniprésent au sein de l'intrigue, même si ce trait-là du récit est moins marqué que dans Les Poisons de Katharz. Et j'ai franchement envie de dire « Encore heureux ! » parce qu'en voilà des diatribes salées et des réparties fleuries que les bambins ne doivent pas entendre à leur si jeune et innocent âge ! Cependant, Audrey Alwett est tout de même parvenue à apposer sa marque, son petit grain de folie à cette succulente expérience de cuisine littéraire qu'est Magic Charly pour tout lecteur impressionnable de sept à soixante-dix sept ans qui se respecte en mettant dans la bouche de l'ensemble de ses personnages des répliques mordantes et irrévérencieuses à souhait. Et je peux vous assurer que cela fait un bien fou au moral, une telle liberté de parole et d'expressions multiples ! On se laisserait presque, que dis-je, carrément, emporter par ce vent de fraîcheur qui souffle sur nous et dont l'autrice nous fait si malicieusement profiter au fur et à mesure que les chapitres défilent inlassablement et pour notre plus grand plaisir et joie.

Pour conclure, je dirais que ce premier tome fut à la hauteur de mes grandes espérances, même s'il manque encore un soupçon de je-ne-sais-quoi pour que cette série livresque réussisse à véritablement me conquérir. Mais je ne m'inquiète pas trop pour cela car il ne s'agissait là que du début des incroyables péripéties de Charly en tant que patouilleur et je suis sûre que la suite de ses mésaventures saura se révéler être aussi explosives que les papillotes de sa formidable grand-mère, dame Mélisse, à n'en pas douter ! Comme dirait son bien-aimé et fin gourmet petit-fils, il faut absolument plus de sucrétincelle pour que cela soit encore meilleur ! Ceci n'est pas un secret : la gourmandise est un vilain défaut mais à l'instar de notre adorable et facétieux héros, je l'assume fièrement ! Cependant, malgré le fait qu'Audrey Alwett n'ait pas voulu trop abuser des bonnes choses, et cela est parfaitement compréhensible (L'Apprenti ne constitue après tout que l'entrée du bel hors-d'½uvre qui s'annonce - vous vous en doutez, Audrey Alwett nous réserve encore bien des surprises et qui plus est, elle maîtrise l'art du suspens jusqu'au bout... Je ne me répéterai jamais assez mais ses talents sont multiples et flagrants, que les choses soient dites !), ce tome un a été pour moi l'équivalent d'un appétissant croissoleil qui vous réchauffe le c½ur, doublé d'une savoureuse madeleine de réconfort qui redonne instantanément du courage et qui, dans mon cas, est parvenue à réveiller l'âme de vaillante et émerillonnée (un mot synonyme d'espiègle, je découvre chaque jour de nouveaux mots ravissants grâce à ce blog !) petite sorcière qui sommeillait jusqu'alors en moi. En bref, un pur délice à déguster sans modération aucune ! ★★★★(★)

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, Gallimard Jeunesse, Magic Charly, Tome 1 ♥, L'Apprenti, Audrey Alwett, 2019, Littérature française, Jeunesse, Fantasy, école, humour, magie, mystère, sorcellerie, runes, initiation, apprentissage, objets animés, cuisine, recettes farfelues, secret, famille, retrouvailles, enquête, suspens, danger, méchanceté, injustice, ingéniosité, courage, Amitié ♥, entraide, Excellente lecture !
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#Posté le jeudi 18 juillet 2019 10:16

Modifié le samedi 20 juillet 2019 10:26

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