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FICHE LECTURE : The Bane Chronicles

FICHE LECTURE : The Bane Chronicles
• AUTRICES : Cassandra Clare, Sarah Rees Brennan, Maureen Johnson.
• ANNÉE : 2014 (ETATS-UNIS).
• GENRE(S) : Fantastique, Young Adult.
• THÈMES : Aventure, histoire, sorcellerie, créatures surnaturelles, néphilims, paranormal, guerre, meurtres, deuil, passé douloureux, retrouvailles, traumatisme, noirceur, souffrance, famille, amitié, fidélité, confiance, mystères, suspens, folie, autorité, politique, préjugés, petit peuple, dilemme, amour, action, urban fantasy, magie, secrets, combativité, courage, effronterie, briser les règles, passion, espoir, entraide, générosité, blessures, humour...
• PAGES : 507.

Ma chronique du tome 1 de The Mortal Instruments - Renaissance : ici.

It's not easy being Magnus Bane. As a warlock, he's often called upon to fix the problems of others. His life as been long, and his loves have been many. And Magnus as a way of making sure he's at the right plae at the right - or perhaps wrong - time. The French Revolution, Prohibition, the great blackout of NYC, the first great battle between Valentine and the New York Institute... Magnus was there, and usually in the middle of it. But smuggling Marie Antoinette out of France is nothing compared to loving a vampire like Camille Belcourt - Or having a first date with Alec Lightwood.
Though Magnus's tale is far from over, these stories shed a little light on his often inscrutable character. What happens when an immortal warlock goes mad ? Are all Herondales as problematic as Will ? ( Answer : yes ) What exactly happend at the Hotel Dumort ? How did Raphael Santiago become a vampire ? What do you buy for your shadowhunter boyfriend when you're not really dating ? And why was Magnus banned from Peru ?
Magnus will never be able to tell all of his tales. No one would believe him. But here are 11 stories that fill in some of the blanks- stories he probably wishes had never gotten out.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du recueil de nouvelles The Bane Chronicles que l'on doit aux plumes conjointes de Cassandra Clare, Maureen Johnson et Sarah Rees Brennan. Étant une grande fan (doux euphémisme) de la saga The Mortal Instruments et plus particulièrement du personnage de Magnus Bane, je me devais de découvrir ce titre... et qu'est-ce que j'ai bien fait de lui laisser sa chance !

En effet, je me suis tout simplement délectée de ma lecture de ce superbe ouvrage mettant sous le feu des projecteurs le plus extravagant et extraordinaires des sorciers, mon chouchou entre tous, j'ai nommé Magnus Bane, le Grand Sorcier de Brooklyn (eh oui, rien que ça !) Mais avant de véritablement entrer dans le vif du sujet, je tenais à préciser que les Chroniques de Magnus Bane existent bel et bien en français sous ce titre par ailleurs mais uniquement en format numérique et à l'unité. C'est-à-dire que, si vous désirez vous pourlécher les babines comme moi des rocambolesques aventures de Mr. Bane en version française, il faudra pour cela vous les acheter une par une. Sachant qu'il y en a onze en tout, ce n'est pas ce qu'il y a de plus pratique comme option d'acquisition. Pour ceux que cette merveilleuse, que dis-je, cette somptueuse, cette éblouissante version hard back intéresseraient, sachez que l'anglais employé par Cassandra Clare, Maureen Johnson et Sarah Rees Brennan est relativement facile à comprendre. Bon, je ne vous cache pas que la première nouvelle a été plutôt difficile d'accès pour moi mais il s'agissait là plus d'un manque de motivation (je n'ai bizarrement pas l'habitude de lire en V.O. et j'ai donc dû me forcer un peu au départ) que d'une réelle complexité au niveau du vocabulaire ou de la grammaire. Certains termes m'ont paru obscures, je le reconnais, mais c'est surtout le degré de décadence et de folie de cette nouvelle d'introduction qui m'a particulièrement décontenancée, je l'avoue sans honte aucune. En même temps, je ne pouvais pas en attendre moins des récits de voyage de l'illustre Magnus Bane ! Fort heureusement, une fois passée cette expérience au Pérou fort déroutante, j'ai pu me plonger sans problème dans la suite des abracadabrantes péripéties qui ont ponctué l'existence immortelle de mon Magnus adoré et je dois bien reconnaitre que je me suis régalée à ce que les trois autrices nous dévoilent ainsi l'un des nombreux pans de la palpitante vie de ce dernier parcelle par parcelle, en faisant habilement durer le plaisir.

C'est notamment l'un des aspects de The Bane Chronicles qui m'a le plus séduite : l'indéniable respect apporté à la personnalité de ce personnage absolument incomparable à aucun autre. Cassandra Clare a décidément bien choisi ses deux formidables acolytes d'écriture pour prendre soin de son remarquable bébé d'encre et de papier scintillant comme une entière constellation d'étoiles au mieux. Par moments, j'avais presque envie d'en pleurer tant Magnus était... Magnus, fidèle au poste, ce mélange inénarrable de fantaisie, de sarcasme et de tendresse qui me fait fondre comme neige au soleil. L'ensemble des nouvelles dégageaient cette aura de bienveillance et de soleil à son zénith et cela m'a juste mis le sourire jusqu'aux oreilles. Je ne vous mentirai pas en disant que cela a été tout rose tout du long, bien au contraire. L'immortalité de Magnus lui a procuré bien des rencontres humaines et aussi bien des souffrances, entre autres celle d'être le témoin privilégié du désarroi d'autrui... mais pas seulement. Magnus en a vu des vertes et des pas mûres et l'on vit un véritable ascenseur émotionnel à ses côtés au fur et à mesure qu'on l'accompagne au fil des siècles. Personnellement, je ne regrette pas d'avoir remonté le temps avec lui au gré de ses souvenirs même si j'en ai sacrément pris pour mon grade. Mais pour un personnage aussi exceptionnel que Magnus, je suis prête à porter tout le poids du monde sur mes épaules (Miss Mélodrame le retour !).

Concernant ma nouvelle préférée, je n'en ai pas spécialement une. Je dirais que chacune des onze nouvelles de ce recueil, à l'exception de la première (bien qu'elle fut fort divertissante à découvrir) a su toucher quelque chose au plus profond de moi, m'ébranler, me donner le besoin irrépressible de rire aux larmes ou au contraire de pleurer comme une madeleine. Malgré tout, je reste particulièrement séduite par les trois dernières nouvelles du recueil qui sont consacrées au couple Magnus et Alec. C'est simple, dès qu'il s'agit de Malec, j'en ai le c½ur qui bat instantanément plus fort. C'est selon moi l'un des meilleurs One True Pairings qui soit. Ils me mettent des étoiles plein les yeux à chaque fois et leur potentiel comique à eux deux est juste... divin. Je suis tombée amoureuse de leur histoire d'amour, un point c'est tout.

Pour conclure, je recommanderais la lecture de The Bane Chronicles à tout fan de The Mortal Instruments qui se respecte. Après, si vous n'êtes pas des fans numéro 1 de notre irremplaçable sorcier comme cela est mon cas, cela ne vous enchantera pas forcément de lire un ouvrage de plus de 500 pages dédié à son vécu. Dans ce cas là, je vous recommande fortement la lecture des trois dernières nouvelles du recueil dont je viens à l'instant de parler, les 9, 10 et 11, où vous verrez resurgir des noms extrêmement familiers et des personnages bien connus de la saga mère que j'ai pour ma part pris un immense plaisir à retrouver. Une certaine Isabelle Lightwood m'avait particulièrement manquée et je dois bien admettre qu'elle n'a certainement pas perdu de sa superbe ; à mes yeux, elle est toujours aussi incroyable, quelle femme ! Au fond, chacune de ces nouvelles vous fera renouer des liens avec des protagonistes déjà croisés dans The Mortal Instruments et The Mortal Instruments : les Origines probablement pour votre plus grand bonheur (le mien en tout cas a été assuré !). In fine, il ne s'agit pas tant de l'histoire de la vie de Magnus en soi mais plutôt de comment ce dernier a eu un impact conséquent et généralement bénéfique sur l'existence de bien des êtres. On ne pourrait s'en passer d'un sorcier comme ça, je vous le dis moi ! Et cet époustouflant recueil me l'a assurément confirmé ! ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, The Bane Chronicles, Cassandra Clare, Sarah Rees Brennan, Maureen Johnson, Lecture V.O., Littérature américaine, 2014, Fantastique, Young Adult, Aventure, histoire, sorcellerie, créatures surnaturelles, néphilims, paranormal, guerre, meurtres, deuil, passé douloureux, retrouvailles, traumatisme, noirceur, souffrance, famille, amitié, fidélité, confiance, mystères, suspens, folie, autorité, politique, préjugés, petit peuple, dilemme, amour, action, urban fantasy, magie, secrets, combativité, courage, effronterie, briser les règles, passion, espoir, entraide, générosité, blessures, humour, Excellente lecture !
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#Posté le vendredi 29 mai 2020 15:43

Modifié le mercredi 03 juin 2020 05:45

FICHE LECTURE : Un goût de cannelle et d'espoir

FICHE LECTURE : Un goût de cannelle et d'espoir
• TITRE V.O. : The baker's daughter.
• AUTRE TITRE V.F. : La bonne étoile d'Elsie (éditions France Loisirs).
• AUTRICE : Sarah McCoy.
• ANNÉE : 2012 (ETATS-UNIS), 2013, 2015, 2017 (FRANCE).
• GENRE(S) : Roman historique.
• THÈMES : Seconde Guerre mondiale - Nazisme - Troisième Reich - Boulangerie - Famille - Séparation - Secrets - Mystère - Passé douloureux - Drame - Amour - Dilemme - Désarroi - Pardon - Souffrance - Réconciliation - Aller de l'avant - Détermination - Lebensborn - Génocide - Solidarité - Immigration - Souvenirs - Amitié - Rencontres décisives...
• PAGES : 512.

Allemagne, 1944. Malgré les restrictions, les pâtisseries fument à la boulangerie Schmidt. Entre ses parents patriotes, sa s½ur volontaire au Lebensborn et son prétendant haut placé dans l'armée nazie, la jeune Elsie, 16 ans, vit de cannelle et d'insouciance. Jusqu'à cette nuit de Noël, ou vient toquer à sa porte un petit garçon juif, échappé des camps...

Soixante ans plus tard, au Texas, la journaliste Reba Adams passe devant la vitrine d'une pâtisserie allemande, celle d'Elsie... Et le reportage qu'elle prépare n'est rien en comparaison de la leçon de vie qu'elle s'apprête à recevoir.

ஜ MON AVIS :

Coucou les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique d'Un goût de cannelle et d'espoir de Sarah McCoy.

Je ne vous cacherai pas que j'attendais plus de ce roman. Cela est sûrement dû au fait que j'avais purement et simplement adoré ma lecture de mon premier Sarah McCoy, à savoir Le souffle des feuilles et des promesses. Un goût de cannelle et d'espoir étant son ½uvre la plus renommée et appréciée, je me disais donc que c'était dans la poche et que ce titre allait parvenir à me séduire comme il avait du le faire pour un bon nombre de lecteurs.

Certes, je ne le nie pas, il s'agit là d'une excellente première parution que Sarah McCoy nous offre à lire. En réalité, je n'ai franchement rien à redire : l'écriture est fluide, empreinte de sensibilité, de volupté et de tendresse telle la plus succulente des douceurs (et il en faut pour me faire avouer cela étant donné que les pâtisseries, ce n'est franchement pas mon dada !), l'histoire est tout ce qu'il y a de plus poignante, le mélange de romanisation et véracité historique (les fragments épistolaires traitant de la question épineuse et maintenue soigneusement dans l'ombre des Lebensborn m'a particulièrement intéressée) est savamment dosé... Quant au parti pris de faire un parallèle pour ainsi dire constant au cours du récit entre la situation des Juifs durant la Seconde Guerre mondiale et celle des Mexicains repoussés à la frontière américaine de nos jours était tout ce qu'il y a de plus sensé et pertinent. Sans pour autant mettre sur le même niveau la volonté morbide et tout bonnement effroyable d'éradication massive de l'ensemble d'une minorité religieuse et culturelle avec la Shoah et la répression brutale et injuste de l'immigration de populations hispaniques ou autres, Sarah McCoy se sert intelligemment des erreurs du passé pour éclairer celles de notre présent. L'endroit et le type de discrimination ne sont pas forcément les mêmes, ne se traduisent assurément pas de la même façon mais au bout du compte, la haine et la peur de l'autre qui les animent sont en tout point identiques à mes yeux.

En clair, ce roman avait toutes les qualités tant sur le fond que sur la forme pour me faire succomber. Mais alors, qu'est-ce qui a pêché ? Je dirais avant tout que ce sont les protagonistes de cette intrigue qui ont manqué de me convaincre. Je ne saurais vous expliquer pourquoi, j'avais beau être touchée par leur vécu et leur évolution somme toute flagrante au fil de l'intrigue, cela n'a pas suffi pour que je me soucie véritablement de leur sort. De toute manière, je savais comment cela allait se finir pour la plupart d'entre eux et, même quand cela n'était pas le cas, la révélation choc soulevant enfin le voile du mystère ne parvenait pas à m'atteindre et à m'ébranler comme je l'avais escompté. Je ne pourrais mettre le doigt sur ce qui m'a manqué avec ce livre mais il m'a résolument manqué ce petit quelque chose insaisissable et indescriptible qui transforme votre lecture en coup de c½ur ou coup de foudre au lieu de la laisser au stade de simple lecture de passage.

Et puis, cela va vous sembler affreux ce que je vais vous énoncer là mais je suis de plus en plus persuadée qu'à force d'avoir englouti à ce point d'oeuvres de fiction livresques et cinématographiques sur la thématique de la Seconde Guerre mondiale dans le cas présent, notamment au cours de ma prime adolescence, je n'arrive plus à trouver ce contenu fictionnel agrémenté d'une dose plus ou moins importante de réalisme attrayant d'un point de vue purement créatif. Ce que j'entends par là, c'est que j'ai constaté avec une immense amertume et un certain fatalisme que je ne lisais plus de romans historiques en général pour leur intensité émotionnelle, pour la singularité de leur prose ou pour leur plus ou moins grand potentiel d'inventivité, de réinterprétation et réadaptation du réel, mais pour l'enrichissement personnel qu'ils m'apportent en terme de connaissances concernant une pléthore d'événements historiques et des enseignements principalement moraux, philosophiques qui découlent de ces derniers. Je ne vibre plus autant pour les personnages assez caricaturaux, à tout le moins à la construction psychologique et aux caractéristiques dans leur ensemble somme toute similaires, mon coeur ne bat plus à l'unisson avec les leurs, à quelques exceptions près (Hallie Erminie et Post, mes bébés pour ne citer qu'eux parmi mes dernières lectures de romans historiques concluantes)... Les choses ont tout simplement changé, je les vois désormais différemment avec l'½il d'une lectrice sûre de ces goûts et plus avisée après des années et des années de lecture d'un même genre littéraire, qui comme tous les autres a sa machine bien huilée et ses rouages qui lui sont propres. Dans certains cas, ce schéma narratif reproduit quasiment à l'identique ne me gêne nullement mais dans les romans historiques, qui est pourtant l'un de mes genres de prédilection, cela me chagrine et a même tendance à m'ennuyer. Il faudrait sûrement que je fasse une pause avec ce type de parutions comme je suis en train de la faire depuis quelques temps avec le genre dystopique pour par la suite mieux les retrouver et les apprécier à leur juste valeur. À l'heure actuelle, je suis de la team fantastique d'un côté et Young Adult de l'autre, avec le manga qui vient subrepticement se glisser entre les deux de plus en plus fréquemment, ce sont les appétits littéraires du moment et je n'y peux rien ! Ma phase fiction historique est passée et il faut que je l'accepte si je ne veux pas gâcher encore de magnifiques rencontres de livre a lecteur qui chamboulent toute une vie comme Un goût de cannelle et d'espoir aurait pu l'être avec moi. Vous penserez sans doute que j'exagère dans le mélodrame au vu de la splendide note que je vais mettre à ce titre mais je suis intimement convaincue qu'il aurait pu représenter bien plus à mes yeux si je l'avais lu au bon moment, si j'avais suivi mon instinct et les véritables désirs de mon c½ur plutôt que la raison. Comme lors de la cuisson du meilleur des gâteaux, on se doit d'être patient en guise d'envies de lecture car un livre ouvert, quel qu'il soit, ne doit pas être pris à la légère. C'est la leçon que j'ai tirée de mon expérience en demi-teinte au vu de mon amour enraciné du genre en question avec Un goût de cannelle et d'espoir dans tous les cas.

Pour conclure, il semblerait que j'attendais des monts et des merveilles de la part d'Un goût de cannelle et d'espoir qui se sera in fine avéré être un excellent roman qui cochait toutes les cases, qui rassemblait tous les ingrédients susceptibles de me plaire, mais à côté duquel je suis d'une certaine façon passée en tant que fan invétérée de ce type de livres en temps normal. Néanmoins, ce n'est pas pour autant que je vais me lamenter sur mon sort : Le bruissement du papier et des désirs avait été un ardent coup de c½ur, Le souffle des feuilles et des promesses un tonitruant coup de foudre et il me reste encore Une promesse d'encre et de liberté à découvrir ! Tout n'est pas perdu, loin de là ! De votre côté, je vous conseille vivement de vous faire votre propre avis sur les délices d'Elsie avec ce récit. Pour ma part, je ne regrette au fond rien ; en y réfléchissant à deux fois, j'ai décidé de ne pas me mortifier pour si peu. De plus, l'autrice nous réserve une onctueuse surprise à la fin de son ouvrage. Ce n'est pas grand chose en apparence mais cela a suffi à réchauffer mon c½ur désolé. Alors, désireux de savoir de quoi il en retourne ? Suivez l'odeur savoureuse du bon pain chaud de la Bäckerai et vous aurez la réponse ! ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, éditions Pocket, Un Goût de cannelle et d'espoir, one-shot, Sarah McCoy, 2012, Roman historique, Seconde Guerre Mondiale, nazisme, troisième reich, boulangerie, famille, séparation, secrets, mystère, passé douloureux, drame, amour, dilemme, désarroi, pardon, souffrance, reconciliation, aller de l'avant, détermination, Lebensborn, génocide, solidarité, immigration, souvenirs, amitié, rencontres décisives, Très bonne lecture
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#Posté le lundi 24 février 2020 06:01

Modifié le mercredi 15 avril 2020 14:16

FICHE LECTURE : The Mortal Instruments - Renaissance ~ T1 : La Princesse de la Nuit

FICHE LECTURE : The Mortal Instruments - Renaissance ~ T1 : La Princesse de la Nuit
• TITRE V.O. : The Dark Artifices, book 1: Lady Midnight.
• AUTRICE : Cassandra Clare.
• ANNÉE : 2016 (USA), 2017 (FRANCE).
• GENRE (S) : Fantastique.
• THÈMES : Young Adult, aventure, enquête, créatures surnaturelles, néphilims, paranormal, vengeance, justice, meurtres, deuil, passé douloureux, retrouvailles, traumatisme, noirceur, souffrance, famille, amitié, fidélité, confiance, mystères, suspens, folie, autorité, politique, petit peuple, dilemme, amour, action, urban fantasy, magie, secrets, combativité, courage, effronterie, briser les règles, passion, espoir, entraide, blessures, humour...
• PAGES : 814.

Ma chronique de The Bane Chronicles : ici.

Los Angeles, 2012. Cela fait cinq ans que les événements qui ont failli plonger le monde des chasseurs d'ombres dans l'oubli se sont produits, cinq ans qu'Emma Carstairs, jeune chasseuse d'ombres, a perdu ses parents. Après tout le sang versé et la violence dont elle a été témoin durant son enfance, Emma a consacré sa vie à l'éradication des démons et à être la meilleure, la plus rapide et la plus redoutable chasseuse d'ombres depuis Jace Lightwood.
Élevée à l'institut de Los Angeles, Emma est liée comme parabataï à son meilleur ami Julian.
Alors qu'elle pourchasse les meurtriers de ses parents, la piste qu'elle poursuit la conduit tout droit vers des personnes envers qui elle avait toute confiance, comme on le lui avait toujours appris.
Au même moment, Emma tombe amoureuse de Julian, son plus proche ami, et parce qu'il est son parabatai, il est la seule personne au monde qui lui soit absolument interdit d'aimer à cause de la loi des chasseurs d'ombres.
Au c½ur du rutilant Los Angeles actuel, Emma doit apprendre à faire confiance à son c½ur et à son esprit pendant qu'elle doit déjouer un complot démoniaque mené par de sombres sorciers gérants de night-club, de Sunset Strip à la mer enchantée, qui s'étend sur toutes les plages de Santa Monica.
FICHE LECTURE : The Mortal Instruments - Renaissance ~ T1 : La Princesse de la Nuit
ஜ MON AVIS :

Bonjour les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un livre que j'ai lu il y a déjà presque deux ans, un roman que j'attendais à l'époque avec une immense impatience, une impatience telle que je me l'étais procuré dès sa sortie en France et que je l'avais dévoré en même pas deux jours dans la foulée ! Cela a beau être un beau bébé de plus de huit cent pages dans sa version française, cela se boit comme du petit lait ! C'est tout simplement irrésistible : une fois qu'on l'a commencé, impossible de s'arrêter tant on est véritablement happé par cette histoire complètement imprégnée de magie à l'état pure et de noirceur. Ce livre, c'est bien évidemment le premier tome de la dernière trilogie de Cassandra Clare dans son univers des Mortal Instruments, La Princesse de la Nuit, issu du cycle Renaissance. En effet, l'intrigue de cette nouvelle trilogie se déroule quelques années après la fin du tome 6 des TMI originels, soit après la fin de la guerre qui a laissé les Chasseurs d'Ombres et les créatures du Downworld totalement meurtris et qui a vu le bannissement du petit peuple, qui s'était rallié à la cause de Valentine, puis du redoutable Jonathan Morgenstern. Autant dire que le Shadow world a sérieusement besoin de renaître de ses cendres ! Personnellement, cette fin de saga m'avait totalement secouée et se suffisant complètement à elle même, elle aurait pu me contenter, mais... L'univers de Cassandra Clare étant juste tellement bien construit et si riche, si l'on m'offre une telle occasion en or d'y replonger la tête la première, et celle de Renaissance en était une sacrément belle, je le fais sans hésiter ! Cependant, je dois reconnaître que, dans un premier temps, je n'étais pas si enthousiaste que ça. Dans les derniers tomes de la saga The Mortal Instruments première du nom, et notamment dans le dernier, on nous fait clairement comprendre que le Scooby gang façon Institut de New York ne sera plus au centre des prochaines aventures qui auront lieu dans le Shadow world. Rien que d'y penser, j'en avais un pincement au c½ur extrêmement douloureux. Il était hors de question que je dise adieu à mes chouchous chéris que sont Clary, Jace, Alec, Magnus, Isabelle et Simon et tous les autres, c'était mission impossible pour moi ! In fine, l'adieu s'est transformé en au revoir, du moins pour certains personnages principaux des deux premières sagas (TMI et TMI - Origines), ce qui a rendu la pilule plus facile à avaler. Néanmoins, je n'étais toujours pas convaincue : Emma et Julian, qui nous étaient introduits dans le tome 6, La cité du feu sacré, comme le prochain duo phare de l'univers des néphilims et comme les symboles de la future génération de chasseurs d'ombres qui doit apprendre des erreurs passées de ses prédécesseurs et marcher dans les pas de shadowhunters d'ores et déjà illustres comme Jace et Clary qui ont su montrer la voie, ne m'étaient pas spécialement sympathiques. J'ai eu en effet beaucoup de mal à m'attacher à eux, je trouvais également leur amitié assez faiblarde comparée à celles magnifiques de Jace et Alec ou encore de Will et Jem. Etant donné qu'ils étaient à l'époque encore des enfants/pré-adolescents, cela peut probablement expliquer mon manque d'identification et d'intérêt à leur égard. La fin du tome six avait cependant changé la donne car tous les deux subissent des pertes atroces au niveau de leurs familles respectives et se retrouvent avec d'immenses responsabilités à porter sur leurs épaules, qu'aucun enfant de leur âge ne devrait avoir à assumer. Et déjà que l'enfance d'un chasseur d'ombres est généralement dépourvue d'innocence au vu de leur dur entraînement, autant vous dire que les jeunes jours d'Emma et Julian ont été marqués de façon indélébile par la noirceur et le deuil. Il faudrait être un c½ur de pierre pour ne pas ressentir une profonde et sincère compassion à leur égard. Qui plus est, j'ai été impressionnée par l'immense courage qu'ils ont réussi à puiser tout au fond d'eux pour faire face à de tels bouleversements. Il fallait que je vienne aux nouvelles pour voir s'ils allaient bien-!

Comment dire... On ne peut pas dire que le moral soit au beau fixe. En tout cas, dans les beaux yeux bleus d'Emma, l'orage gronde toujours. Je me suis considérablement plus identifiée à la jeune femme dans ce tome que dans la précédente saga. Lorsqu'elle était enfant, Emma me faisait presque peur car elle avait déjà à cet âge-là une âme ancestrale, celle d'une guerrière déjà bien rodée face à ce que l'existence peut lui réserver de pire et qui croit avoir déjà tout vu. En tout cas, c'est l'impression qu'elle me donnait de par son immense maturité qui effraye et qui renvoyait d'elle l'image d'une enfant insensible dont l'éclat de vie et d'espoir s'était éteint dans ses yeux avant même de briller un peu plus fort et de transpercer les ténèbres de son existence. En réalité, j'étais loin du compte car même Emma ne pouvait être préparée à ce qui l'attendait en ce temps-là... Dans ce tome, on la voit extrêmement badass, dangereuse pour quiconque se mettrait en travers de son chemin ; c'est une combattante aguerrie qui ne manque pas d'humour, sarcastique à souhait et absolument divin, et de charme, mais qui cache aussi une réelle vulnérabilité en elle. Elle sait duper son petit monde mais pour le lecteur, cela crève les yeux qu'Emma se noie dans son chagrin depuis des années et qu'elle le porte presque comme on brandirait un étendard. Elle a fait parfaitement corps avec et s'y raccroche de toutes ses forces, à tel point que cela en devient carrément malsain. J'ai beaucoup aimé le fait que sa personnalité soit beaucoup plus complexe que ce qu'il n'y paraît, c'est-à-dire que, d'un côté, on comprend tout à fait qu'Emma ait soif de justice et ait besoin de savoir ce qui est véritablement arrivé à ses parents et qui semble se perpétrer aujourd'hui. C'est tout à fait compréhensible qu'Emma recherche inlassablement des réponses à ses questions et tend à éradiquer la cruauté, à faire le bien autour d'elle, surtout quand on sait qu'au sein de l'Enclave, ce sont de vrais mous du genou qui ne sont bons qu'à voter des lois rétrogrades et absolument aberrantes. La loi est dure, mais c'est la loi. Mon ½il, oui ! En clair, on a envie d'accompagner Emma dans son enquête périlleuse et de l'épauler, mais d'un autre côté, j'ai été loin de cautionner tout ce qu'elle dit et fait, et beaucoup de ses décisions, en particulier en fin de tome, m'ont juste fait enrager et m'ont semblé être complètement insensées. De mon point de vue du moins car, concernant Emma, il est clair que sa façon d'agir est en parfaite adéquation avec son raisonnement, ce qui se passe dans sa petite caboche très intelligente mais aussi pas très futée à certains moments. Les chasseurs d'ombres sont les adeptes de leur propre torture psychologique et de leur souffrance, que voulez-vous ! En bref, j'ai trouvé que le personnage d'Emma était beaucoup mieux construit et développé dans ce premier tome de Renaissance, on a juste envie de la protéger et de lui dire qu'il serait temps qu'elle cesse de se sentir coupables de la mort de ses parents, qu'elle n'aurait rien pu y faire, et de ne pas se focaliser uniquement sur ce qu'elle a perdu et ne retrouvera pas (du moins, pas avant de perdre la vie à son tour), mais plus sur les personnes qui l'entourent et qui sont là pour elle. C'est un personnage pour lequel j'ai beaucoup d'affection et que j'aimerais voir enfin heureux. Dernier petit point que j'ai trouvé juste adorable et qui m'a juste fait chaud au c½ur : dans La cité du feu sacré, Emma adulait les Shadowhunters de la précédente génération (ceux de TMI), en particulier Jace. Dans ce tome-ci, alors que l'on retrouve notamment ce dernier avec un plaisir non-dissimulé (et encore, le mot est faible), on se rend compte que, même si Emma a grandi et le considère plus désormais comme un ami au vu de tout ce qu'ils ont vécu ensemble avec le reste de la clique pendant et même après la guerre de Jonathan, elle continue de poser sur lui un regard admiratif, celui d'un enfant qui a des étoiles plein les yeux face à son mentor, cette personne exceptionnelle qui la pousse à se dépasser et à devenir la meilleure version d'elle-même. Il est vrai que j'ai reconnu en Emma des traits de caractère propres à Jace, notamment son humour piquant et qui fait mouche à chaque fois, sans jamais louper sa cible, et cette satanée manie de briser les règles avec une nonchalance et un panache carrément culottés, mais qui forcent le respect. On ajoute à ce savant mélange le sacré caractère borné de ma petite Clary, et ça nous donne Emma ! Cette capacité d'émerveillement que celle-ci a m'a juste soulagée et fait naître un immense sourire sur mon visage. In fine, je me dis que la flamme irradiante et primordiale de l'enfance et de l'optimisme n'est pas morte en elle et qu'il restait en fin de compte suffisamment d'espoir pour la raviver.

Parlons maintenant d'un personnage qui m'a complètement subjuguée dans ce tome-ci alors que, pourtant, c'était loin d'être gagné : Julian. Julian, Julian, Julian... Tout comme Emma, je trouvais que c'était un enfant très sombre, renfermé, cela en allait presque jusqu'à me repousser. Rien à voir avec mon sorcier chéri Magnus qui est un vrai petit rayon de soleil dont les paillettes brillent de mille feux et dont les paroles sont aussi pétillantes que des bulles de champagne ! Oui, j'avais envie de caser Magnus ici afin de créer un contraste et puis, de l'avoir retrouvé dans ce tome-ci, de savoir que son couple et sa vie de famille avec Alec vont bien, que tout marche comme sur des roulettes, cela m'a fait juste fondre le c½ur de ravissement. Bref, pour en revenir à Jules, c'est sûrement le personnage pour lequel j'ai ressenti le plus d'empathie dans ce tome. Depuis l'âge de ses douze ans, c'est lui qui porte sa famille à bout de bras et qui essaye du mieux possible de maintenir ce qu'il en reste uni. Les Blackthorn ont connus un véritable déchirement à la fin de la guerre, lorsque certaines espèces ont été jugées plus coupables que d'autres et ont été bannies sans aucun autre fondement que le sang qui coule dans leurs veines. Les participants à la guerre n'ont pas été jugés par rapport à leurs actes, à leur héroïsme, mais par rapport à leur appartenance à un groupe ethnique, ce qui est absolument abjecte, vous en conviendrez. Julian et ses petits frères et s½urs ont directement subi les conséquences de ce traitement injuste des vaincus. Pas étonnant donc que Julian, à l'image de son nom de famille, soit une vraie épine noire qui ne cherche qu'à protéger à ses risques et périls les êtres qui lui sont chers et les sentiments les plus profonds de son c½ur, afin de ne pas blesser quiconque, quitte à ériger un véritable mur qui l'empêche de s'exprimer pleinement et de s'épancher sur sa peine, sur ce qui importe pour lui. Julian peut vous apparaître plein de mystères et franchement tordu ; pour ma part, j'avais juste envie de panser sa blessure béante et de le réconforter, de lui faire sentir qu'il n'était pas seul et que je le soutenais à 200%. Son amour pour Emma est tellement beau et sincère que mon c½ur n'en a cessé d'avoir des palpitations frénétiques. La façon de penser de l'Enclave est totalement incompréhensible pour moi : comment l'amour entre deux Parabatai pourrait-il leur être nuisible ? Étant donné que ces deux chasseurs d'ombres sont tout l'un pour l'autre, cela renforce leur lien et leur donne la volonté d'aller de l'avant. Cette théorie selon laquelle l'amour n'est que faiblesse et aveuglement commence sérieusement à me taper sur les nerfs. Julian, sache que je crois en toi, en la force de tes sentiments, et que tu as bien raison de te battre pour eux et de t'insurger, de faire valoir ton droit à aimer librement et intensément ! À bien des égards, j'ai reconnu beaucoup de mon Jem adoré chez Julian, même si ce dernier a encore beaucoup à apprendre de la sagesse de mon frère silencieux favori, qui d'ailleurs nous a lui aussi fait un petit coucou qui m'a mise en émoi ! Surtout que ce retour furtif des anciens personnages a un véritable intérêt dans l'avancement de l'intrigue et dans la prise de conscience nécessaire de certains personnages sur de nombreux points. Bref, Julian, je t'aime de tout mon c½ur et ne baisse jamais les bras face à ce système pourri jusqu'à la moelle !

J'espère que, dans les prochains tomes, les autres membres de la fratrie Blackthorn seront plus développés, qu'on en apprendra plus sur eux. Ils occupent déjà une place importante dans Renaissance étant donné qu'ils sont la prunelle des yeux autant d'Emma que de Julian mais j'en veux plus encore. Ces enfants incroyablement ingénieux et admirables m'intéressent énormément. Qui plus est, ils apportent une véritable bouffée d'air frais à une intrigue saturée par la tension et la noirceur. Non pas que cela me déplaise car je me demande vraiment jusqu'où cela va nous mener et cela nous fait tourner les pages sans pouvoir s'arrêter, mais je suis bien contente que les petits Blackthorn nous procurent un comic relief franchement bienvenu. J'ai vraiment été émue par le fait qu'ils soient tous soudés, qu'ils forment une vraie famille, malgré le fait que cette dernière ait été brisée à de nombreuses reprises. Ils arrivent toujours d'une certaine manière à recoller les morceaux et à faire fi de leurs cicatrices à peine refermées. Avec tout ce que ces chérubins (enfin, ils sont tout plein de défauts mais on les aime infiniment quand même) ont vécu depuis leur naissance ou du moins leurs premiers balbutiements, je les applaudis à deux mains de se montrer aussi forts et solidaires au quotidien ! J'ai trouvé cette famille vraiment inspirante et bouleversante, c'est comme si je m'y étais fait ma petite place. Un véritable sentiment d'appartenance est né et j'ai juste hâte de les retrouver pour la suite de leurs mésaventures. Je suis aussi très heureuse que le nouveau personnage de Cristina ait intégré cette joyeuse troupe ! Participante à un programme d'échange de chasseurs d'ombres du monde entier, Cristina va devenir une vraie confidente pour Emma, celle dont cette dernière avait grandement besoin pour lui faire part de ses nombreuses craintes, que ce soit au niveau de sa vengeance ou d'autres choses lui pesant sur le C¼UR (clin d'½il absolument pas subtil). J'ai énormément aimé découvrir l'amitié qui lie ces deux jeunes femmes, qui sont de vraies battantes et qui sont parfaitement complémentaires : en effet, Cristina incarne dans le duo la figure de la pacificatrice, celle qui va réussir à tempérer le caractère tout feu-tout flammes de son amie grâce à ses très bons conseils. J'ai également été très émue par le passif très lourd de notre belle Mexicaine. Elle aussi en a bavé et est ressortie grandie et endurcie de ces événements traumatisants qui ont marqués sa jeune vie. Elle m'a rappelée notre louve-garou écorchée vive Maia à certains égards. Toutes les deux ont cette fragilité désarmante en elles qu'elles ont réussi à transformer en atout, en ce qui les motive à garder la tête haute et le c½ur vaillant malgré les épreuves. C½ur sur toi Cristina, j'espère également en apprendre plus à ton propos dans le tome deux ! Parce que se focaliser sur le revenant Mark, cela va cinq minutes... J'aime ce personnage, j'ai compatis à sa souffrance et ce qu'il a enduré l'a changé à tout jamais, au détriment de son attachement à sa famille malheureusement, et je suis curieuse de savoir comment il va évoluer mais il m'a aussi profondément agacée dans ce tome, sans que je puisse m'expliquer pourquoi. J'espère sincèrement que mon opinion sur lui sera beaucoup moins mitigée dans le tome deux !

Nous en voilà arrivés à la conclusion, alléluia ! J'ai l'impression d'avoir couru un véritable marathon en vous rédigeant cette chronique ; il faut admettre que, tenir un blog, c'est un travail de titan tout de même. Ou plutôt de chasseur d'ombres, devrais-je dire ! On ne leur laisse aucun répit et à nous lecteurs non plus d'ailleurs-! Cassandra Clare sait comment bien malmener ses personnages et on s'en délecte autant que l'on en souffre ! L'un ne va pas sans l'autre et cela en devient carrément addictif au bout d'un certain temps. Ce qui est sûr, c'est que l'autrice ne cessera jamais de m'impressionner grâce à son univers qu'elle maîtrise d'une main de maître : que ce soit au niveau de l'évolution des personnages et de leurs relations entre eux, du rythme du récit, de la succession des événements et des révélations grandioses, de la dose d'humour juste ce qu'il faut pour nous laisser un tant soit peu souffler, de la présence d'un nombre exponentiel de créatures fantastiques plus fascinantes les unes que les autres, ou encore de son imagination délirante et tout bonnement sensationnelle qui nous entraîne où elle veut bien nous amener, Cassandra Clare est une vraie reine de la littérature Fantasy/YA qui n'a plus rien à prouver depuis belle lurette ! Son univers de chasseurs d'ombres reste l'un de mes préférés tous confondus tant il nous coupe le souffle et nous fait écarquiller grands les yeux de stupeur et d'enchantement à tous les coups. Je ne me lasse au grand jamais d'y retourner, ma soif de connaissances concernant le Shadow world est insatiable. Vous l'aurez compris, Renaissance, au même titre que les autres sagas TMI et TMI - Origines, est un must-have pour votre bibliothèque ! Vous ne pouvez pas passer à côté, je ne le permettrai pas ! Emma et les Blackthorn ont grandement besoin de vous et je ne vous laisserai pas leur faire faux-bond ! En tout cas, si vous êtes toujours là, cela prouve que vous êtes dignes d'un vrai parabatai au niveau de la fidélité et de l'engagement, je suis fière de vous ! Alors, je compte sur vous pour activer votre double vue et partir à la chasse aux démons avec nous. Et n'oubliez jamais ceci : La loi est dure, mais c'est la loi. Mais une loi injuste n'est pas une loi. Lex mala, lex nulla. C'est devenu ma devise préférée !

Nanette ♥

FICHE LECTURE : The Mortal Instruments - Renaissance ~ T1 : La Princesse de la Nuit
Un beau COUP DE FOUDRE ϟ qui a laissé mon c½ur totalement dévasté...

« - Tu as une lourde responsabilité maintenant, dit Jace à Julian. Tu dois t'assurer qu'Emma finira avec un mec qui la mérite.
Julian était étonnamment pâle. Peut-être ressentait-il encore les effets de la cérémonie, pensa Emma. C'était de la magie puissante ; elle sentait encore un pétillement dans son sang comme des bulles de champagne. Mais Jules avait plutôt l'air de quelqu'un qui venait d'être giflé.
- Et moi alors? reprit Emma. Ne dois-je pas aussi m'assurer que Jules termine avec quelqu'un qui le mérite?
- Absolument. Je l'ai fait avec Alec et Alec l'a fait pour moi également... Bien que, en fait, il détestait Clary au début, mais il s'y est fait.
- Je parie que tu n'aimais pas Magnus non plus, reprit Julian, toujours avec cet étrange air sévère sur le visage.
- Peut-être pas, dit Jace. Mais je ne lui aurais jamais dit.
- Parce que cela aurait blessé Alec? demanda Emma.
- Non, répondit Jace, parce que Magnus m'aurait transformé en porte-manteau. »
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#Posté le lundi 14 janvier 2019 15:54

Modifié le mercredi 03 juin 2020 05:48

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