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FICHE LECTURE : Sauveur & fils - Saison 1

FICHE LECTURE : Sauveur & fils - Saison 1
• AUTRICE : Marie-Aude Murail.
• ANNÉE : 2016 (FRANCE).
• GENRE(S) : Jeunesse.
• THÈMES : Psychologie - Tranche de vie - Relation filiale - Famille - Entraide - Ecoute - Désarroi - Asociabilité - Manque de confiance en soi - Passé - Secrets - Douleur - Souffrance - Chagrin - Danger - Mystère - Menace - Humour - Gentillesse - Générosité - Amitié - Espoir - Lumière - Amour...
• PAGES : 300.

Quand on s'appelle Sauveur, comment ne pas se sentir prédisposé à sauver le monde entier ? Sauveur Saint-Yves, 1,90 mètre pour 80 kg de muscles, voudrait tirer d'affaire Margaux Carré, 14 ans, qui se taillade les bras, Ella Kuypens, 12 ans, qui s'évanouit de frayeur devant sa prof de latin, Cyrille Courtois, 9 ans, qui fait encore pipi au lit, Gabin Poupard, 16 ans, qui joue toute la nuit à World of Warcraft et ne va plus en cours le matin, les trois s½urs Augagneur, 5, 14 et 16 ans, dont la mère vient de se remettre en ménage avec une jeune femme...
Sauveur Saint-Yves est psychologue clinicien.
Mais à toujours s'occuper des problèmes des autres, Sauveur oublie le sien. Pourquoi ne peut-il pas parler à son fils Lazare, 8 ans, de sa maman morte dans un accident ? Pourquoi ne lui a-t-il jamais montré la photo de son mariage ? Et pourquoi y a-t-il un hamster sur la couverture ?

ஜ MON AVIS :

Bonjour les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique sur le premier tome de la saga Sauveur & fils signé par la magicienne de l'âme et des sentiments humains, j'ai nommé Marie-Aude Murail.

Très sincèrement, cette lecture m'a tout bonnement emballée. Grâce à elle, j'ai notamment pu découvrir une plume experte pour ce qui est de raconter les plus beaux contes du quotidien ; tout en finesse, en subtilité et dont la justesse m'a littéralement bluffée. En effet, Marie-Aude Murail sait nous parler des drôles d'énergumènes que nous sommes et de notre manière de fonctionner, de ressentir les choses de la vie avec un brio qui force l'admiration et cette première "saison" de Sauveur & fils nous le prouve habilement.

Pour ce qui est de l'histoire, je ne vous cache pas que je m'attendais à un récit jeunesse beaucoup plus axé sur la relation très particulière qui existe entre l'Homme et l'Animal au vu de la couverture mais j'étais au fond loin du compte. En réalité, Sauveur & fils, c'est encore mieux que ça : il s'agit d'un véritable kaléidoscope de toutes les interactions possibles et imaginables entre les êtres vivants et l'extraordinaire alchimie et histoire qui peut en résulter.

Pour conclure, je ne préfère pas vous en dire plus : la surprise n'en sera que plus délectable si jamais vous laissez un jour sa chance à ce remarquable feuilleton littéraire qu'est ce premier livre de Sauveur & fils ; et j'espère bien que vous le ferez ! COUP DE FOUDRE ϟ

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, L'école des Loisirs (Médium), Sauveur & fils, Saison 1 ♥, Marie-Aude Murail, Littérature française, Jeunesse, psychologie, tranche de vie, relation filiale, Famille ♥, entraide, écoute, désarroi, asociabilité, Manque de confiance en soi, passé, secrets, douleur, souffrance, chagrin, danger, mystère, menace, humour, gentillesse, générosité, amitié, espoir, lumière, Amour ♥., Coup de foudre ♥
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#Posté le dimanche 08 décembre 2019 08:32

Modifié le dimanche 08 décembre 2019 09:10

FICHE FILM : Maléfique : Le Pouvoir du mal

FICHE FILM : Maléfique : Le Pouvoir du mal
REMAKE LIVE-ACTION | 2019 | RÉALISÉ PAR JOACHIM RONNING | DISNEY, FANTASTIQUE, CONTE DE FÉES, RELATION FILIALE, FAMILLE, HAINE, SOUFFRANCE, GUERRE, DRAME, AMOUR | AVEC ANGELINA JOLIE, ELLE FANNING, MICHELLE PFEIFFER, SAM RILEY, HARRIS DICKINSON...

➜ Plusieurs années après avoir découvert pourquoi la plus célèbre méchante Disney avait un c½ur si dur et ce qui l'avait conduit à jeter un terrible sort à la princesse Aurore, Maléfique : Le Pouvoir du mal continue d'explorer les relations complexes entre la sorcière et l'ancienne "Belle au bois dormant" alors qu'elles nouent d'autres alliances et affrontent de nouveaux adversaires dans leur combat pour protéger leurs terres et les créatures magiques qui les peuplent.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un film Disney qu'il me tardait véritablement de voir depuis plus de cinq ans, soit depuis que j'étais sortie tout bonnement enchantée de mon cinéma après avoir vu le premier Maléfique réalisé par Robert Stromberg, à savoir Maléfique : Le Pouvoir du mal. Cette suite avait été annoncée très rapidement après la sortie du premier volet, fin 2014 il me semble, et il n'y avait donc plus qu'à prendre notre mal en patience et escompter que Disney produise une suite à la hauteur à ce qui avait été pour moi un authentique coup de foudre cinématographique. N'en déplaise aux nombreux spectateurs qui ont moyennement aimé le premier opus, pour ma part, j'avais été totalement conquise par Maléfique premier du nom et cinq ans après, mon opinion n'a pas changé d'un iota ! Cependant, malgré mon amour inconditionnel pour ce film, mon envie folle de voir son successeur s'est assez rapidement mué en appréhension dévorante doublé d'un scepticisme à la peau dure. En effet, Maléfique m'avait tellement plu que j'en ai commencé à sérieusement me demander quel intérêt pouvait avoir la production d'une suite, à part engranger de l'argent, toujours de l'argent, sur le dos de ce qui avait déjà fort bien marché. En cinq ans, on a effectivement largement le temps de se poser une telle question existentielle ! L'autre point qui me tracassait, c'est le fait que, dès la sortie de Maléfique 2, beaucoup de spectateurs qui étaient restés définitivement mitigés face au premier film ont exprimé leur profonde satisfaction vis-à-vis de ce second opus. A ce moment-là, j'ai eu peur que ce dernier ne me séduise pas autant qu'eux, étant donné que j'étais et resterais une fan invétérée du premier volet. Mais, après tant d'eau ayant coulé sous les ponts, il était grand temps que j'aille visionner Maléfique : Le Pouvoir du mal et que je me fasse mon propre avis comme de coutume. Alors, qu'en est-il de ma réaction face à cette suite autant espérée que redoutée... ?

Eh bien, je peux vous assurer qu'elle fut extrêmement positive ! La première chose qu'il me tient à c½ur de souligner, c'est que je regrette sincèrement d'avoir pensé ne serait-ce qu'une seule seconde que cette suite n'aurait aucune utilité, si ce n'est commerciale, pour la société aux grandes oreilles. Grossière erreur de jugement que j'ai commise là car le scénario de ce second volet tient sérieusement la route et je dirais même, comme beaucoup avant moi, que l'intrigue de ce second film est nécessaire pour mieux comprendre celle du premier et plus particulièrement la décision qui avait été prise de nous présenter Maléfique comme une figure bienveillante, maternelle envers Aurore. A l'époque, cela m'avait sacrément surprise que la méchante la plus intimidante et déterminée dans ses mauvais plans de Disney nous soit présentée comme une marraine la bonne fée pouvant faire preuve de bons sentiments et d'une extrême gentillesse et compassion. Ici, Disney défend son point de vue, l'étoffe, le justifie comme il faut avec une introduction aussi claire que concise et persuasive et cela marche à la perfection !

Vous l'aurez compris, l'histoire s'axe donc ainsi autour de la très complexe et magnifique relation que partage Maléfique et celle qui est devenue au cours du premier film sa filleule, sa précieuse petite protégée, Aurore. J'ai justement adoré le fait que celle-ci ait un rôle bien plus pré-pondérant au sein de sa propre histoire au lieu de simplement la subir comme on a pu le lui reprocher dans le Disney d'origine La Belle au bois dormant et même dans le premier Maléfique. Dans ce second volet, Elle Fanning campe toujours Aurore aussi magnifiquement et ce personnage que j'aime tant et ce depuis toujours cesse d'être l'adorable demoiselle en détresse atrocement ingénue pour devenir la reine attentionnée, à l'écoute, forte et combative que la Lande mérite. Au passage, j'ai fortement apprécié le fait que les habitants de la Lande soient d'autant plus présents et actifs dans ce film-ci. Dans le premier, la Lande fait beaucoup plus office que simple (mais absolument superbe) paysage d'arrière-plan au sein duquel se déroulait l'action sans forcément que les nombreuses espèces qu'elle abrite soient forcément mises en avant. Avec Maléfique : Le Pouvoir du mal, Disney rectifie le tir en nous offrant notamment à voir en action des petites créatures juste trop craquantes qui m'ont juste fait littéralement fondre à chacune de leurs apparitions et qui m'ont autant émue que si elles avaient été faites de chair et d'os.

Cette transition toute trouvée me permet d'aborder deux aspects essentiels de cette suite qui m'ont conquise à 100% : d'une part, si la performance magistrale d'Angelina Jolie en tant que Maléfique continue de porter le film et si notre méchante de choc est, c'est un fait, toujours au centre du récit et de son bon déroulement, chaque personnage, principal, secondaire ou même mineur, a sa part à jouer dans l'avancée de l'intrigue. Comme je vous le disais précédemment, Aurore a enfin voix au chapitre et je dirais qu'au fond, c'est résolument la prestation d'Elle Fanning qui m'a le plus touchée et transportée. Philippe également ne fait désormais plus office de plante verte mais de véritable prince au c½ur noble qui sait affirmer ses convictions et se battre pour ce qui lui semble juste. Les deux ensemble forment un ravissant jeune couple fidèle à l'image idyllique, purement et simplement onirique et somptueuse que je garde du duo Aurore-Philippe originel qui a marqué toute mon enfance et qui me mettait à chaque fois que je visionnais La Belle au bois dormant des étoiles et des c½urs plein les yeux. La petite princesse qui sommeille encore et toujours en moi a été comblée par l'alchimie évidente qui unissait Elle Fanning et l'inconnu au bataillon mais indubitablement charmant Harris Dickinson à l'écran. Concernant la grande Michelle Pfeiffer, celle-ci incarne à merveille la redoutable, glaciale et terrifiante reine Ingrith. Je n'ai pas grand chose à redire là-dessus, sa proposition avec ce rôle d'antagoniste au poil était purement et simplement impeccable. D'autre part, encore une transition franchement bien trouvée (j'ai le droit de me jeter des fleurs de temps à autre), l'histoire de Maléfique : Le Pouvoir du mal était non seulement bien ficelée à mes yeux mais aussi tout ce qu'il y a de plus intense et poignante. Le film regorge d'une noirceur telle que je pense que, si je l'avais vu étant petite fille, j'en aurais pleuré toutes les larmes de mon corps. Le propos de cette suite est en effet si cruel et percutant, parlant vis-à-vis de notre époque actuelle et de ses dérives, en particulier lors d'une de ses scènes-clés que j'ai bien cru que j'allais en étouffer. Et la petite larme a coulé bien entendu. J'en ai eu les yeux qui piquaient sacrément fort, vous pouvez me croire ! Mais clôturons ce paragraphe déjà bien trop long avec des pensées plus positives et un personnage que j'avais tout bonnement oublié de mentionner alors que c'est pourtant mon petit chouchou depuis le début, j'ai nommé mon Diaval adoré. Que dire de plus, à part que je suis retombée amoureuse de lui avec ce second film et que je ne cesserai jamais de l'aimer inconditionnellement ? Je crois que je ne pouvais pas mieux conclure cette chronique qu'avec ces mots débordant de sincérité et d'amour à profusion. Vive l'amour ! (promis, je n'ai pas écrit cette chronique sous l'emprise de substances illicites)

Pour conclure, je pense que le message est clair : Maléfique : Le Pouvoir du mal est un bien beau et grand défi que les studios Disney se sont lancés et à mon sens, ils ont su relever celui-ci avec brio, et ce à tous les niveaux. J'entends par là que les costumes sont tous plus splendides les uns que les autres, les effets spéciaux sont toujours au rendez-vous, toujours aussi dingues, époustouflants et extraordinaires, le casting, c'est du solide, l'atmosphère du film est immersive et captivante au possible, et son propos est certes assez traditionnel mais véhiculé de façon diablement efficace et extrêmement intense. Seule la bande soundtrack, et notamment la chanson-thème du film, m'aura un tantinet déçue même si elle reste très belle et envoûtante. Bizarrement, je vais à contre-courant de l'opinion générale en clamant haut et fort que le premier Maléfique demeure à ce jour celui qui conserve la place de number one des deux films de la franchise dans mon c½ur, ma grande tendresse envers ce dernier n'est en effet décidément pas prête de s'amenuiser, mais cela n'empêche pas ce Maléfique 2 de lui arriver tout à fait à la cheville, cinématographiquement parlant du moins de mon côté, et d'être ainsi une fort jolie (c'est le cas de le dire) réussite. ★★★★★ (♥)

Nanette ♥

FICHE FILM : Maléfique : Le Pouvoir du mal
Tags : Fiche film, Maléfique 2, Le pouvoir du mal, 2019, Disney ♥, Remake live-action, Joachim Rønning, Fantastique, Conte de Fées ♥, relation filiale, famille, haine, souffrance, guerre, drame, Amour ♥., Angelina Jolie ♥, Elle Fanning ♥, Michelle Pfeiffer, Sam Riley ♥, Harris Dickinson, Mini coup de coeur
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#Posté le vendredi 01 novembre 2019 14:04

Modifié le samedi 02 novembre 2019 18:54

FICHE LECTURE : La redoutable veuve Mozart

FICHE LECTURE : La redoutable veuve Mozart
• AUTRICE : Isabelle Duquesnoy.
• ANNÉE : 2019 (FRANCE).
• GENRE (S) : Roman.
• THÈMES : Mozart - Musique - Veuvage - Testament - Récit de vie - Courage - Détermination - Héritage - Postérité - Injustice - Amour - Relation filiale - Exigence - Désarroi - Combativité - Portrait de femme...
• PAGES : 348.

1791, Wolfgang Mozart meurt. Accablée de tristesse mais surtout de dettes, Constanze Mozart ne se laisse pas abattre et décide de travailler à la prospérité de l'oeuvre de l'artiste. Elle se révèle alors une femme de poigne et, dans cette quête de reconnaissance et d'argent, rien ne semble l'arrêter.
Pour rembourser les créanciers, elle commence par vendre, à la hâte, les compositions de Mozart. Elle réquisitionne un de ses anciens élèves pour terminer le Requiem inachevé. Elle rebaptise son plus jeune fils Wolfgang Mozart II et le force à monter sur scène. L'enfant n'est pas doué en musique, mais qu'importe ! Il se ridiculise, vit mal l'entêtement de sa mère...
Enfin, pour s'assurer une situation, elle se remarie avec un diplomate danois qui ne partage jamais son lit et risque la peine de mort pour ses m½urs sexuelles.
Elle vécut ainsi 51 ans après la mort du compositeur, pendant lesquels elle inventa le système de propriété intellectuelle, créa un festival dédié à Mozart, érigea des monuments et remit la musique de son défunt mari au goût du jour. Un portrait de femme romanesque, d'une grande modernité.

ஜ MON AVIS :

Coucou les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique de La redoutable veuve Mozart d'Isabelle Duquesnoy, livre qui m'a gracieusement été envoyé à l'occasion de la dernière Masse critique organisée par l'équipe du site littéraire Babelio que je remercie infiniment pour leur gentillesse, leur confiance et leur générosité. Pour être tout à fait franche, La redoutable veuve Mozart faisait partie d'une sélection de quatre/cinq titres pour lesquels je désirais fortement tenter ma chance (ce que j'ai fait, vous vous en doutez -je n'écrirais pas cet article sinon), incapable que j'étais de choisir spécifiquement l'un d'entre entre eux tant ils m'attiraient tous de façon équitable mais in fine, je suis bien contente que d'avoir été retenue pour recevoir celui-là en particulier ! Explications !

Pour commencer, il était important, pour ne pas dire capital, pour moi de lire ce roman dont j'ai découvert l'existence grâce à Babelio soit dit en passant (encore merci du fond du c½ur pour tout !), tout simplement parce qu'il traite de la figure historique injustement méconnue qu'est Constanze Mozart, Stanzi pour les intimes et surtout pour son Wolfie bien aimé. En effet, quand on pense à ce dernier, on pense à sa musique majestueuse, prodigieuse, tout bonnement inouïe ; à ses frasques, ses dettes et à sa personnalité hors normes aussi, ou encore à ses premiers émois ardents pour la s½ur aînée de Constanze, la belle et insaisissable Aloysia, mais jamais à Stanzi, femme de l'ombre pourtant essentielle à la vie de Mozart et encore plus à sa postérité. Moi même en prenant connaissance de l'existence de ce titre, je me suis rendue compte que je ne savais pratiquement rien sur Constanze et que jusqu'à présent, cela m'importait fort peu. Quelle erreur cela a été ! J'ai in fine bien fait d'écouter mon instinct en me disant lors des inscriptions à cette Masse critique qu'il était grand temps que je laisse Constanze me raconter son histoire, ces 51 années vécues sans Mozart à ses côtés et la laisser me dévoiler qui elle était réellement. Et je ne regrette absolument pas ma décision.

Je suis effectivement indéniablement tombée amoureuse de Constanze. Elle peut paraître extrêmement rude et sévère de prime abord, mais quelle passion, quelle ardeur, quelle détermination, quel courage inarrêtable ! Elle est bien loin de l'image du second choix qui se terre dans le silence et qui vit toute son existence durant dans l'ombre d'un mari volage et tout ce qu'il y a de plus dépensier. Certes, Isabelle Duquesnoy ne nie pas la réalité désastreuse et les complications malencontreuses qu'a pu connaître notre jeune et flamboyant couple mais elle n'en extrait que l'essentiel, à savoir l'amour véritable qui unissait le maestro et celle qui a fini par devenir son authentique muse et s½ur d'âme, pour d'autant mieux le sublimer.

En donnant de sa plume et de son savoir intarissable et méticuleux sur le sujet qu'elle traite afin de permettre à Constanze de véritablement s'exprimer entre les lignes de son récit, indubitable testament d'une mère aimante, dévouée et féroce, redoutable pour reprendre le parfait adjectif du titre, Isabelle Duquesnoy rend un splendide et mémorable hommage à celle grâce à qui l'on peut aujourd'hui encore se délecter des mélodies immortelles, incomparables à aucune autre, de celui qui fut probablement le plus grand compositeur de son temps, voire de toute l'Histoire de la musique. Une chose est sûre, l'on doit à la figure historique bafouée et pourtant remarquable qu'est Constanze le cadeau inestimable qui fut fait à l'ensemble de l'Humanité des partitions jouées et célébrées depuis désormais des générations et des générations signées Mozart. En clair, je ne peux que chaudement vous recommander ce roman, écrit d'une main de maître par une autrice dont la délicatesse, l'intelligence et la bouleversante et transcendante vivacité me laissent à l'heure où je rédige cet article encore sans voix. COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, La redoutable veuve Mozart, Isabelle Duquesnoy, 2019, Littérature française, Roman, Mozart, Musique ♫, Veuvage, Testament, Récit de vie, Courage, détermination, héritage, postérité, injustice, amour, relation filiale, exigence, désarroi, combativité, portrait de femme, coup de coeur ♥
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#Posté le vendredi 11 octobre 2019 16:21

Modifié le mardi 15 octobre 2019 03:59

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