
• AUTEUR : Jérôme Attal.
• ANNÉE : 2007, 2020 (FRANCE).
• GENRE (S) : Recueil.
• THÈMES : Récit de vie - Fragments - Anthologie - Beatles - Musique - Idoles - Enfance - Adolescence - Nostalgie - Amitié - Amour - Nouvelles - Poésie - Tendresse - Humour - Souvenirs - Gratitude...
• PAGES : 160.
Cinquante, c'est le nombre d'années écoulées depuis la séparation des Beatles et la naissance de Jérôme Attal. Le temps est donc à l'écriture, pour mettre dans cette double peine, beaucoup de joie. Son désir s'exprime ainsi : partager en de courts récits tout ce que la musique peut changer en nous, montrer avec quelle grâce et quelle puissance elle sait nous accompagner mais également nous altérer en profondeur. Pour lui, aucun groupe n'a autant compté que les Beatles. Ils ont assuré cette transition périlleuse entre l'enfance et l'adolescence, lorsque l'imagination, au service de la fiction, ne suffit plus à masquer la réalité qui s'impose avec l'âge. Émergent de cette envie, des nouvelles, des pensées et un ensemble de souvenirs touchants, justes, drôles, qu'il n'appartient qu'aux lecteurs de rattacher à leur propre expérience.
ஜ MON AVIS :
Coucou les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique de l'ouvrage J'aurais voulu être un Beatles signé Jérôme Attal. Je remercie infiniment les éditions Le mot et le reste pour ce sublime envoi qui était assurément fait pour moi !
En effet, étant une grande fan des Quatre Garçons dans le Vent, je ne pouvais qu'être attirée par un titre aussi alléchant. Et je puis vous garantir que je me suis délectée de ma lecture de cette anthologie résolument pas comme les autres.
Personnellement, je me suis énormément retrouvée dans chaque petit fragment de sa vie d'enfant, d'ado ou bien encore d'adulte que nous présente Jérôme Attal dans ce récit tout simplement parce que, comme cela est le cas pour lui, les Beatles, leur musique intemporelle, tout ce qui fait ce qu'ils sont imprègne mon quotidien sans même que j'en ai forcément conscience. Chaque jour qui passe de mon existence est en effet involontairement marqué par l'une des inoubliables et formidables paroles d'une de leurs tout aussi inoubliables et formidables chansons, par les couleurs de leur musique et de leur personnalité respective. Pas besoin d'être né la même année que leur séparation (aussi stylé et tragique cela soit) pour comprendre le lien solide, pour ne pas dire indestructible, qui unit l'auteur aux quatre Anglais les plus incontournables et extraordinaires de la planète et l'éprouver nous aussi. En lisant ce livre, j'ai eu véritablement l'impression de rencontrer l'une de mes nombreuses âmes s½urs en ce bas monde, une kindred spirit comme dirait Lucy Maud Montgomery dans Anne of Green Gables.
Je préfère ne pas trop vous en dévoiler sur ce trésor de fan que je conserverai désormais précieusement car il est déjà si court... Ce serait alors risquer de vous gâcher les merveilleuses surprises qu'il vous réserve (les trente dernières pages du recueil sont particulièrement savoureuses, vous verrez). Sachez juste que mon coeur de jeune fan des Beatles s'est senti infiniment reconnaissant d'avoir cet ouvrage entre ses mains car ce fut comme si l'on m'offrait un nid douillet où me lover, un Strawberry Fields à moi en quelque sorte où je pourrais inlassablement retourner, sans restriction, pour ressasser ma doucereuse nostalgie et laisser ma passion débordante pour ce groupe au-dessus de tous à mes yeux de façon outrageusement subjective exploser hors de mon coeur et de mon âme.
Pour conclure, je ne peux vous encourager à découvrir J'aurais voulu être un Beatles, que vous soyez fans de ces derniers ou non. Certes, si cela n'est point le cas, vous ne serez probablement pas aussi transportés que j'ai pu l'être par la lecture de ce petit livre qui en a sacrément sous le capot malgré les apparences mais peut-être que cela vous fera justement changer d'avis sur la question, que cela réveillera en vous un amour de nos quatre scarabées chantants jusque là profondément enfoui. Une chose est certaine, cela vous permettra de faire la connaissance de la plume remarquablement belle et émouvante en peu de mots, un talent rare et fortement appréciable, de Jérôme Attal et rien que pour ça, je dis que ça en vaut la peine ! Alors, prêts pour une rétrospective de votre vie à la sauce Beatles ? L'écoute d'In my Life et des autres pistes musicales mentionnées dans l'ouvrage est chaudement recommandée pour une meilleure immersion et appréciation du récit de Jérôme Attal qui est aussi le nôtre. Au fond, nous sommes effectivement tous le fameux cinquième Beatle au plus profond de nous et ça, c'est la plus belle joie qui soit au monde ! ★★★★★
• ANNÉE : 2007, 2020 (FRANCE).
• GENRE (S) : Recueil.
• THÈMES : Récit de vie - Fragments - Anthologie - Beatles - Musique - Idoles - Enfance - Adolescence - Nostalgie - Amitié - Amour - Nouvelles - Poésie - Tendresse - Humour - Souvenirs - Gratitude...
• PAGES : 160.
Cinquante, c'est le nombre d'années écoulées depuis la séparation des Beatles et la naissance de Jérôme Attal. Le temps est donc à l'écriture, pour mettre dans cette double peine, beaucoup de joie. Son désir s'exprime ainsi : partager en de courts récits tout ce que la musique peut changer en nous, montrer avec quelle grâce et quelle puissance elle sait nous accompagner mais également nous altérer en profondeur. Pour lui, aucun groupe n'a autant compté que les Beatles. Ils ont assuré cette transition périlleuse entre l'enfance et l'adolescence, lorsque l'imagination, au service de la fiction, ne suffit plus à masquer la réalité qui s'impose avec l'âge. Émergent de cette envie, des nouvelles, des pensées et un ensemble de souvenirs touchants, justes, drôles, qu'il n'appartient qu'aux lecteurs de rattacher à leur propre expérience.
ஜ MON AVIS :
Coucou les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique de l'ouvrage J'aurais voulu être un Beatles signé Jérôme Attal. Je remercie infiniment les éditions Le mot et le reste pour ce sublime envoi qui était assurément fait pour moi !
En effet, étant une grande fan des Quatre Garçons dans le Vent, je ne pouvais qu'être attirée par un titre aussi alléchant. Et je puis vous garantir que je me suis délectée de ma lecture de cette anthologie résolument pas comme les autres.
Personnellement, je me suis énormément retrouvée dans chaque petit fragment de sa vie d'enfant, d'ado ou bien encore d'adulte que nous présente Jérôme Attal dans ce récit tout simplement parce que, comme cela est le cas pour lui, les Beatles, leur musique intemporelle, tout ce qui fait ce qu'ils sont imprègne mon quotidien sans même que j'en ai forcément conscience. Chaque jour qui passe de mon existence est en effet involontairement marqué par l'une des inoubliables et formidables paroles d'une de leurs tout aussi inoubliables et formidables chansons, par les couleurs de leur musique et de leur personnalité respective. Pas besoin d'être né la même année que leur séparation (aussi stylé et tragique cela soit) pour comprendre le lien solide, pour ne pas dire indestructible, qui unit l'auteur aux quatre Anglais les plus incontournables et extraordinaires de la planète et l'éprouver nous aussi. En lisant ce livre, j'ai eu véritablement l'impression de rencontrer l'une de mes nombreuses âmes s½urs en ce bas monde, une kindred spirit comme dirait Lucy Maud Montgomery dans Anne of Green Gables.
Je préfère ne pas trop vous en dévoiler sur ce trésor de fan que je conserverai désormais précieusement car il est déjà si court... Ce serait alors risquer de vous gâcher les merveilleuses surprises qu'il vous réserve (les trente dernières pages du recueil sont particulièrement savoureuses, vous verrez). Sachez juste que mon coeur de jeune fan des Beatles s'est senti infiniment reconnaissant d'avoir cet ouvrage entre ses mains car ce fut comme si l'on m'offrait un nid douillet où me lover, un Strawberry Fields à moi en quelque sorte où je pourrais inlassablement retourner, sans restriction, pour ressasser ma doucereuse nostalgie et laisser ma passion débordante pour ce groupe au-dessus de tous à mes yeux de façon outrageusement subjective exploser hors de mon coeur et de mon âme.
Pour conclure, je ne peux vous encourager à découvrir J'aurais voulu être un Beatles, que vous soyez fans de ces derniers ou non. Certes, si cela n'est point le cas, vous ne serez probablement pas aussi transportés que j'ai pu l'être par la lecture de ce petit livre qui en a sacrément sous le capot malgré les apparences mais peut-être que cela vous fera justement changer d'avis sur la question, que cela réveillera en vous un amour de nos quatre scarabées chantants jusque là profondément enfoui. Une chose est certaine, cela vous permettra de faire la connaissance de la plume remarquablement belle et émouvante en peu de mots, un talent rare et fortement appréciable, de Jérôme Attal et rien que pour ça, je dis que ça en vaut la peine ! Alors, prêts pour une rétrospective de votre vie à la sauce Beatles ? L'écoute d'In my Life et des autres pistes musicales mentionnées dans l'ouvrage est chaudement recommandée pour une meilleure immersion et appréciation du récit de Jérôme Attal qui est aussi le nôtre. Au fond, nous sommes effectivement tous le fameux cinquième Beatle au plus profond de nous et ça, c'est la plus belle joie qui soit au monde ! ★★★★★
Nanette ♥
P.S. : Je me suis prêtée au jeu proposé par l'auteur de constituer son propre Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band. Cela ne fut guère chose aisée mais voici le mien, mon Club Band idéal :
Walt Disney, Hayao Miyazaki et Isao Takahata, mon trio d'or de l'animation
Anne Wood et Andrew Davenport, créateurs de Tinky-Winky, Dipsy, Laa-Laa et Po, mes meilleurs amis d'enfance qui continuent de l'être vingt ans après (et cette histoire d'amour inconditionnel et inébranlable durera toujours)
A. A. Milne, le papa bien heureux de Winnie l'Ourson et de tous les formidables habitants de la Forêt des Rêves Bleus (aussi inclus dans le Lonely Heart Club Band, bien entendu)
John Steinbeck et Francis Scott Fitzgerald, mes kindred spirits d'écriture
Paddington et Casimir le monstre gentil (l'ensemble de l'île aux enfants est également invité à joindre le Club, plus on est de fous, plus on rit)
Julien Neel, le créateur de la fabuleuse petite (enfin, plus si petite désormais) Lou avec laquelle j'ai grandi
Les cinq apprenties-sorcières de la planète Terre pleines de rêves et de caractère, j'ai nommé les Magical Dorémi !
Fleetwood Mac et Il Volo, qui forment avec les Beatles mon trio d'or des groupes de musique (assez éclectique et inattendu, il faut le reconnaître)
Eva Green, cette femme-caméléon qui ne cessera jamais de m'impressionner par son immense beauté et son incommensurable talent à se fondre dans n'importe quel univers possible et imaginable
Michael Jackson et Whitney Houston, mes deux étoiles les plus scintillantes du firmament musical
Jane Austen et Colin Firth, guère besoin d'explications
Roald Dahl et Quentin Blake, ce tandem magique de mes tout premiers pas en tant que lectrice insatiable
Marissa Meyer et mon personnage favori de tous issu de ses univers galactiques, super-héroïques et féeriques, j'ai nommé Cress des Chroniques Lunaires
Adrien Brody dans Le Pianiste et Tom Hulce dans Amadeus, mes deux performances d'acteurs de légende
Rick Riordan, Cathy Cassidy et Cassandra Clare, figures éminentes de mon panthéon littéraire - je leur dois les plus grandes aventures que j'ai pu vivre au cours de mon existence et ce n'est là que le début
Jennifer Niven et Emma Stone, mes rayons de soleil au féminin
Big Time Rush, le boys bande de ma pré-adolescence que j'écoute toujours avec un plaisir non dissimulé
Lorie, Priscilla et Ilona Mitrecey, mes super-héroïnes pétillantes et ambassadrices de la positive attitude à moi
Omar et Fred, les fous rires partagés avec mon papa qui ne s'estompent pas - Mioum-mioum et Patafoin forever
Mika, Amir et Loïc Nottet, mes stars francophones actuelles que j'aime d'amour et que je suis prête à suivre dans tous leurs délires et voyages musicaux (ou autres)
Hannah Montana et Alex Russo, les deux personnages phares de la jeunesse sous le signe Disney Channel (là encore, l'histoire d'amour perdure)
Joe Hisaishi et Danny Elfman, les compositeurs de la bande-soundtrack de mon propre film
Tim Burton et Steven Spielberg, mes artisans du rêve
Les jumeaux Weasley, mon duo favori de tous les temps, et Tohru Honda et Kyo Soma, mon couple préféré de tous les temps
Sharon Tate dans Le bal des vampires et Audrey Hepburn dans Vacances Romaines
Et les Beatles bien évidemment ! (mais ça, avais-je vraiment besoin de le rappeler ? Je ne crois pas, non)
Walt Disney, Hayao Miyazaki et Isao Takahata, mon trio d'or de l'animation
Anne Wood et Andrew Davenport, créateurs de Tinky-Winky, Dipsy, Laa-Laa et Po, mes meilleurs amis d'enfance qui continuent de l'être vingt ans après (et cette histoire d'amour inconditionnel et inébranlable durera toujours)
A. A. Milne, le papa bien heureux de Winnie l'Ourson et de tous les formidables habitants de la Forêt des Rêves Bleus (aussi inclus dans le Lonely Heart Club Band, bien entendu)
John Steinbeck et Francis Scott Fitzgerald, mes kindred spirits d'écriture
Paddington et Casimir le monstre gentil (l'ensemble de l'île aux enfants est également invité à joindre le Club, plus on est de fous, plus on rit)
Julien Neel, le créateur de la fabuleuse petite (enfin, plus si petite désormais) Lou avec laquelle j'ai grandi
Les cinq apprenties-sorcières de la planète Terre pleines de rêves et de caractère, j'ai nommé les Magical Dorémi !
Fleetwood Mac et Il Volo, qui forment avec les Beatles mon trio d'or des groupes de musique (assez éclectique et inattendu, il faut le reconnaître)
Eva Green, cette femme-caméléon qui ne cessera jamais de m'impressionner par son immense beauté et son incommensurable talent à se fondre dans n'importe quel univers possible et imaginable
Michael Jackson et Whitney Houston, mes deux étoiles les plus scintillantes du firmament musical
Jane Austen et Colin Firth, guère besoin d'explications
Roald Dahl et Quentin Blake, ce tandem magique de mes tout premiers pas en tant que lectrice insatiable
Marissa Meyer et mon personnage favori de tous issu de ses univers galactiques, super-héroïques et féeriques, j'ai nommé Cress des Chroniques Lunaires
Adrien Brody dans Le Pianiste et Tom Hulce dans Amadeus, mes deux performances d'acteurs de légende
Rick Riordan, Cathy Cassidy et Cassandra Clare, figures éminentes de mon panthéon littéraire - je leur dois les plus grandes aventures que j'ai pu vivre au cours de mon existence et ce n'est là que le début
Jennifer Niven et Emma Stone, mes rayons de soleil au féminin
Big Time Rush, le boys bande de ma pré-adolescence que j'écoute toujours avec un plaisir non dissimulé
Lorie, Priscilla et Ilona Mitrecey, mes super-héroïnes pétillantes et ambassadrices de la positive attitude à moi
Omar et Fred, les fous rires partagés avec mon papa qui ne s'estompent pas - Mioum-mioum et Patafoin forever
Mika, Amir et Loïc Nottet, mes stars francophones actuelles que j'aime d'amour et que je suis prête à suivre dans tous leurs délires et voyages musicaux (ou autres)
Hannah Montana et Alex Russo, les deux personnages phares de la jeunesse sous le signe Disney Channel (là encore, l'histoire d'amour perdure)
Joe Hisaishi et Danny Elfman, les compositeurs de la bande-soundtrack de mon propre film
Tim Burton et Steven Spielberg, mes artisans du rêve
Les jumeaux Weasley, mon duo favori de tous les temps, et Tohru Honda et Kyo Soma, mon couple préféré de tous les temps
Sharon Tate dans Le bal des vampires et Audrey Hepburn dans Vacances Romaines
Et les Beatles bien évidemment ! (mais ça, avais-je vraiment besoin de le rappeler ? Je ne crois pas, non)
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