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FICHE LECTURE : Je t'aime jusqu'au bout du monde

FICHE LECTURE : Je t'aime jusqu'au bout du monde
• AUTRICE : Erine Savannah.
• ILLUSTRATRICE : Soufie Regani.
• ANNÉE : 2020 (FRANCE).
• GENRE(S) : Album jeunesse.
• THÈMES : Noël - Hiver - Enfance - Famille - Vie à 100 à l'heure - Laponie - Quête - Solitude - Relations intergénérationnelles - Temps - Attention - Amour - Innocence - Espoir - Tendresse - Douceur...
• PAGES : 36.

L'amour est comme un fil qui jamais ne se brise. Notre coeur reste attaché aux personnes que l'on aime, qu'elles soient près ou loin. L'amour se moque bien des distances, le lien est toujours là...

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique de l'album illustré Je t'aime jusqu'au bout du monde signé Erine Savannah et Soufie Regani. Je remercie infiniment les éditions Langue au chat pour ce très bel envoi qui m'a permis de me plonger d'emblée dans l'ambiance absolument magique et réconfortante qui est celle des fêtes de fin d'année.

Avec un titre aussi charmant et faisant chavirer le coeur, je savais que cet adorable petit album allait m'embarquer pour une aventure onirique à la saveur de neige et de chocolat chaud à la guimauve et c'est effectivement ce qu'il s'est passé. On suit ici notre attachant et intrépide jeune héros dans son périlleux voyage vers le Pôle Nord, dans l'objectif de donner en mains propres sa lettre à l'irremplaçable Père Noël. Mais qu'est-ce qui importe le plus au fond : les cadeaux que l'on reçoit sous le sapin ou le temps passé avec ceux que l'on aime et qui, lui, n'a pas de prix ? Je t'aime jusqu'au bout du monde, par le biais de ces illustrations lumineuses et à la rondeur rassurante, de ce captivant fil rouge pailleté qui nous fait office de fil rouge du début jusqu'à la fin ainsi que par la sincérité désarmante de son texte, nous rappelle avec beaucoup de justesse l'importance de célébrer Noël non pas pour le côté matérialiste que cette fête revêt aujourd'hui mais pour le plaisir simple de se retrouver et de se rappeler que nos proches sont là pour nous, et ce tout au long de l'année.

Vous l'aurez compris, j'ai énormément apprécié ma lecture certes extrêmement rapide mais essentielle de cet ouvrage qui s'adresse à toute la famille et qui nous invite à ralentir la cadence afin de profiter au mieux des petites choses qui font que la vie mérite d'être vécue et de savourer au maximum la présence des êtres qui nous sont chers à nos côtés. ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, service de presse, Je t'aime jusqu'au bout du monde, éditions Langue au Chat, Erine Savannah, Soufie Regani, 2020, Littérature française, Album jeunesse, Noël, Hiver, Enfance, Famille, Vie à 100 à l'heure, Laponie, Quête, Solitude, Relations intergénérationnelles, Temps, Attention, Amour ♥., innocence, espoir, tendresse, douceur, Très belle lecture
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#Posté le mercredi 18 novembre 2020 03:58

Modifié le mercredi 18 novembre 2020 04:42

FICHE MANGA : Love so life - T1

FICHE MANGA : Love so life - T1
• MANGAKA : Kaede Kouchi.
• ANNÉE : 2009 (JAPON) ; 2012 (FRANCE).
• GENRE (S) : Shojo.
• THÈMES : Baby-sitter - Enfants - Adolescence - Puériculture - Rêves - Espoir - Tendresse - Amour - Famille - Joie de vivre - Tranche de vie - Confiance - Générosité - Patience - Entraide - Passif difficile...
• PAGES : 180.

Ma chronique du tome 2 : ici.
Ma chronique du tome 3 : ici.

Shiharu Nakamura est une orpheline de seize ans qui désire devenir puéricultrice ! Pour réaliser son rêve, elle travaille à mi-temps dans une garderie en plus de ses cours au lycée, jusqu'au jour où Seiji Matsunaga, un client de la crèche, lui propose de devenir la baby-sitter des jumeaux dont il a la garde. Shiharu accepte, ignorant alors que Seiji Matsunaga est une star de la télé...

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un shojo manga dont je n'avais jamais entendu parler avant de tomber dessus par hasard en médiathèque, j'ai nommé Love so life de la mangaka Kaede Kouchi. Malgré le fait que je ne connaissais ce titre ni d'Eve ni d'Adam et que je n'avais ainsi pas d'avis/arguments concrets sur lesquels me baser pour me décider à lui laisser ou non sa chance, j'ai été d'emblée convaincue que ce premier tome de la série devait repartir avec moi sans plus de discussion. La raison à cela est on-ne-peut-plus simple : dès que j'ai vu la couverture de ce premier volume, j'ai littéralement fondu. Vous voyez la Méchante Sorcière de l'Ouest qui se liquéfie à la fin du Magicien d'Oz ? Bah, c'était moi à ce moment-là. Et après avoir contemplé et bavé face à cette magnifique illustration pendant 1 poignée de secondes (je vous l'ai dit, ça a été du rapide), je me suis in fine décidée à emprunter ce tome 1 et à le ramener illico presto chez moi. Et pour une fois, je suis bien contente d'avoir cédé à mon penchant pour le kawaii à outrance (non mais vous avez vu ces deux bouilles d'amour qu'ont les jumeaux ?! Je suis désolée, moi, je vois ça, je craque !) car Love so life m'a assurément séduite !

Vous l'aurez compris, ce qui m'a tout d'abord conquise avec ce titre, c'est son graphisme. Certes criant de simplicité, il ne paye pas forcément de mine mais personnellement, j'ai trouvé que cela servait l'intrigue de la meilleure des manières. En effet, cette dernière nous parle essentiellement de la vie quotidienne, de personnages qui souhaitent tous simplement aller de l'avant, surmonter leur chagrin et être heureux, donc il n'y avait pas besoin à mon sens de fioritures dans les planches ou d'un trait de crayon particulièrement singulier. Au contraire, j'ai grandement apprécié le fait que l'on reste au plus proche du réel, de sa banalité qui est à mon sens d'une immense et lumineuse beauté. Par ailleurs, les protagonistes, de même que la façon dont ils sont dessinés reflètent à merveille cela : ils sont comme tout le monde, ils ont leurs rêves, leurs faiblesses, leurs défauts et leurs moments de découragement et cela ne les rend que plus rayonnants. Enfants comme adultes doivent pourtant souvent porter des masques pour mieux dissimuler leurs espoirs déçus et leur douleur incommensurable, béante, et ce "costume", ce sont justement ces cases de bande dessinée en noir et blanc que l'on pourrait aisément imaginer parées de couleurs pastels des plus "fifilles" et naïves. En réalité, ces illustrations sont tout ce qu'il y a de plus trompeuses car elles cachent une profondeur et une intelligence insoupçonnées au premier abord.

Cependant, si l'on y regarde d'un peu plus près, celles-ci se révèlent rapidement à leur maximum d'éclat. Pour vous donner un exemple de cette double-lecture que l'on peut faire du graphisme vichy du manga, je peux citer tout naturellement les jumeaux, tellement mignons que cela en est à proprement parler étourdissant comme le dirait si bien notre héroïne principale. Paraissant limite "trop beau pour être vrai" et répondre à une superficialité artistique et avant tout marketing ayant pour volonté de faire couiner dans les chaumières, le chara design de nos petits bouts de choux a tout simplement pour visée de nous rappeller la beauté et l'innocence tout bonnement indescriptibles des enfants. C'est à tout le moins comme cela que j'ai perçu et interprété les choses en lisant ce manga qui nous rappelle avec une franchise et un naturel désarmants de ne pas prendre la magnificence des choses élémentaires (la sincérité du coeur d'un pitchoune, la douceur d'une étreinte maternelle/féminine...) pour acquise.

L'ingéniosité et la puissante humanité et sagesse du manga sont également représentées par le caractère de nos protagonistes, doués d'indéniables qualités et d'un charme purement et simplement ravageur. C'est tout spécialement par leur façon d'agir entre eux et de percevoir le monde qui a un savant goût de miracle que ces formidables personnages m'ont le plus touchée et marquée. En écrivant ces lignes, je pense notamment à Shiharu, notre héroïne, cette admirable jeune fille tout ce qu'il y a de plus mature et réfléchie à son âge ingrat (ne m'en voulez pas les teenagers, on est tous passés par là - et puis, qui aime bien châtie bien après tout) dont la relation avec les jumeaux Aoi et Akane est purement et simplement exceptionnelle et émouvante, magnifique. Notre babysitter au grand coeur cache comme tout un chacun sa part de noirceur, elle qui a vécu des choses extrêmement difficiles mais elle continue envers et contre tout à se battre pour mériter chaque petit instant de bonheur qu'elle expérimente au quotidien. C'est cette leçon de vie que je retiens de ce manga : celle de rester digne et fidèle à vous-même malgré toutes les épreuves que la vie peut vous envoyer.

Vous l'aurez sans doute compris, la dernière chose à faire est de juger ce manga d'après ses apparences extrêmement girly et mièvres... et son appelation aussi. Le titre a effectivement l'air peu recherché et même incorrect grammaticalement parlant (à moins que ce ne soit I love so life mais là encore, ça sonne faux) mais qu'importe, c'est le contenu qui compte et autant vous dire que ce dernier est tout bonnement incroyable. En même temps, Love so life rassemble tous les bons ingrédients pour séduire : la paire de jumeaux (je n'ai pas pu résister à ce pléonasme) la plus adorable et attachante du monde + une héroïne qui est, sans mentir, la gentilesse incarnée et qui a définitivement le coeur sur la main + un séduisant et très touchant protagoniste masculin loin du stéréotype du beau gosse du shojo manga classique (contrairement à ce que l'on pourrait une fois encore penser) qui fait clairement de son mieux (pauvre chou) + une ribambelle d'autres personnages profondément humains et émouvants + une intrigue qui nous rappelle la préciosité de chaque petit instant = que demande le peuple ? J'ose même affirmer que ce manga pétillant et chaleureux m'a beaucoup rappelé mon manga favori de tous les temps, Fruits Basket, avec son humour décapant et sa sensibilité à fleur de peau, dans un style très différent cependant. En bref, je ne pouvais qu'adorer de toutes mes forces Love so life et c'est avec un plaisir non dissimulé que je vais me jeter sur la suite ! COUP DE FOUDRE ϟ

Nanette ♥
Tags : Fiche manga, Love so Life ♥, Tome 1 ♥, Kaede Kouchi, éditions Delcourt, 2009, 2012, Shojo ♥, Baby-sitter, Enfants ♥., Adolescence, Puériculture, Rêves, Espoir, tendresse, Amour ♥., Famille ♥, Joie de vivre ♥, tranche de vie, confiance, générosité, patience. ♥, entraide, passif difficile, Coup de foudre ♥
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#Posté le mardi 01 septembre 2020 11:19

Modifié le mercredi 02 septembre 2020 05:56

FICHE LECTURE : Demain est un autre jour

FICHE LECTURE : Demain est un autre jour
• TITRE V.O. : The Life List.
• AUTRICE : Lori Nelson Spielman.
• ANNÉE : 2013 (ETATS-UNIS ; FRANCE).
• GENRE(S) : Romance, contemporain.
• THÈMES : Amour - Amitié - Famille - Deuil - Recommencement - Relation mère/fille - Changer sa vie - Nouveau départ - Suspens - Retrouvailles - Secrets - Héritage - Rêves - Espoir - Humour...
• PAGES : 441.

Qu'avez-vous fait de vos rêves de jeunesse ?

Brett Bohlinger, elle, a un an pour le découvrir. Pensant hériter de l'empire cosmétique familial à la mort de sa mère, elle apprend que cette dernière, qui avait pour elle de tout autres projets, ne lui a légué qu'un vieux bout de papier: la liste de tout ce que Brett voulait vivre quand elle avait 14 ans. Si elle veut toucher sa part, la jeune femme doit réaliser chaque objectif de cette life list.

Enseigner ? Aucune envie. Un bébé ? Andrew, son petit ami, n'en veut pas. Tomber amoureuse ? C'est déjà fait, grâce à Andrew. A moins que...

ஜ MON AVIS :

Coucou les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique d'un roman qui attendait depuis belle lurette que je le lise dans ma PAL gargantuesque, j'ai nommé Demain est un autre jour par Lori Nelson Spielman.

Très sincèrement, je ne saurais pas vous dire quand j'ai acheté ce livre. Peut-être début 2016. Autrement dit, il a dû sagement patienter pendant plus de quatre ans pour qu'in fine... Je le dévore en moins de deux jours. Je regrette tellement de l'avoir laissé prendre la poussière ainsi alors qu'il vaut en réalité bien plus que ça. J'appréhendais le moment où il faudrait que je le commence car il avait fait l'événement au moment de sa parution et généralement, je déteste laisser sa chance à tout ce qui fait le buzz ; ça me donne la sensation d'être un vulgaire mouton de Panurge (pardon pour les moutons de Panurge) qui suit bêtement le mouvement. Eh bien parfois, faire comme tout le monde, ça a du bon !

... Même si la mère de notre personnage principal, elle, dirait probablement le contraire. En parlant d'elle, Elizabeth est une figure maternelle solaire (à l'image de ma maman d'amour qui porte le même prénom qu'elle, un signe, certainement) qui, malgré le fait qu'elle soit malheureusement passée dans l'au-delà, ne cesse jamais de darder de ses rayons. Pourtant, je n'étais pas tout à fait d'accord avec sa façon de penser au début du récit. Je me demandais de quel droit osait-elle chambouler l'existence de son unique fille en lui imposant un ultimatum des plus ridicules ? Le concept de la life list qu'elle défend, passe encore ; j'approuve même totalement. Il faut prendre le taureau par les cornes et faire de ses rêves une réalité tout au long de notre existence, en y allant pas à pas, à notre rythme. Mais réaliser des objectifs tels qu'avoir un bébé ou tomber amoureux en un an, comme s'il suffisait de claquer des doigts pour que cela nous tombe tout cuit dans le bec pile au bon moment, et qui plus est simplement sous peine de ne pas pouvoir obtenir notre héritage, cela me semblait tout ce qu'il y a de plus improbable, pour ne pas dire impossible. Ce n'était purement et simplement pas crédible à mes yeux et j'avais également peur que l'intrigue tombe dans tous les clichés possibles de la romance feel good où tout se termine bien à la façon conte de fées moderne.

Vous l'aurez sans doute compris, avant même de découvrir cette histoire par moi-même, je m'étais déjà permise de la juger et de la prendre pour tout ce qu'elle n'était pas, à savoir une intrigue décousue, sans âme, sans une once de cohérence comme on voit des centaines. En réalité, tout s'imbrique parfaitement dans ce récit. À partir du moment où Brett va vouloir suivre les dernières volontés de sa mère, tout ou presque va s'enchainer tel un effet boule de neige, de la façon la plus naturelle et évidente qui soit, sans qu'elle ni le lecteur ne s'en rende véritablement compte. Son quotidien changeant va la porter et c'est bien là au fond que la vie fonctionne, à la façon d'un cours d'eau qui ne cesse jamais de s'écouler. Là où nous avons notre mot à dire dans cette affaire, c'est concernant la rapidité et la manière dont nous souhaitons descendre ce cours d'eau, avec quoi et qui. Toute cette métaphore sur l'or bleu qui coule inlassablement pour vous dire qu'au fur et à mesure que j'avançais dans ma quête de la clé du bonheur au côté de Brett, je comprenais enfin le magnifique et vibrant message, la pléthore de messages fondamentaux qu'Elizabeth, la maman fictive qui incarne l'amour de toutes les mamounes du monde, et Lori, l'autrice qui écrit avec son coeur et sa tête pleine de rêves, tentaient de me faire passer. Il n'est jamais trop tard, rien n'est écrit à l'avance, rien n'est immuable et la vie a toujours un atout dans sa manche, elle n'aura de cesse de nous surprendre, même lorsque nous sommes intimement convaincus du contraire. Le coeur a ses raisons que la raison ignore, sûrement l'un des proverbes les plus connus mais les moins bien compris et appliqués alors qu'avec Demain est un autre jour, cela m'a semblé clair comme de l'eau de roche. Certaines personnes et activités ne sont pas faites pour nous alors qu'elles auraient en apparence tout pour nous satisfaire. Ne jamais se contenter de ce que l'on croit être bon pour nous mais suivre les battements ardents de notre coeur qui ne se trompe jamais. Mais la moralité qui m'a le plus marquée dans cette histoire, c'est la suivante : on ne peut pas résoudre tous les mystères de notre existence. On peut être capables de réparer certains de nos actes manqués mais l'on ne peut avoir une emprise sur tout et sur tout le monde. Certaines choses peuvent échapper à notre contrôle et l'on aura beau redoubler d'efforts pour régler la situation, nous ne serons jamais à l'abri d'échecs parfois inévitables. Certaines histoires ne se terminent pas bien mais l'on peut les conclure avec la saveur douce-amère d'un citron mal pressé que l'on aura pas totalement réussi à transformer en limonade si l'on s'en donne les moyens. Mieux vaut cela à la sensation écrasante du regret et de l'abandon.

Pour conclure, je ne peux que chaleureusement vous recommander la lecture de cet ouvrage qui, malgré quelques menus défauts que j'ai choisi de ne pas expliciter ici et qui m'ont empêché d'avoir un authentique coup de c½ur, s'est révélé être une découverte diantrement surprenante et irradiant de bonnes ondes. J'aime à dire que Demain est un autre jour a fini par m'apprivoiser à la façon du Petit Prince avec son renard bien-aimé. D'indubitablement sceptique, je suis parvenue petit à petit à abaisser mes barrières et à me laisser séduire par une histoire et des protagonistes qui ont résolument de quoi nous faire fondre ! En clair, il s'agit là d'un roman empreint d'humanité et de sagesse que je suis fière de posséder ! ★★★★★

Nanette ♥

« Tu es le cadeau qu'on ne se lasse pas de recevoir. »
Tags : Fiche lecture, éditions Pocket, Demain est un autre jour, Lori Nelson Spielman, 2013, Littérature américaine, romance, Contemporain, Amour ♥., amitié, Famille ♥, Deuil, Recommencement ♥, relation mère/fille, changer sa vie, nouveau départ, suspens, retrouvailles, secrets, héritage, rêves, espoir, humour, Excellente lecture !
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#Posté le mardi 21 juillet 2020 08:07

Modifié le lundi 27 juillet 2020 10:04

FICHE LECTURE : Zazie dans le métro

FICHE LECTURE : Zazie dans le métro
• AUTEUR : Raymond Quenaud.
• ANNÉE : 1959 (FRANCE).
• GENRE(S) : Contemporain.
• THÈMES : Paris - Enfance - Découvertes - Famille - Argot - Absurde - Grandir - Apprentissage - Culot - Panache - Amitié - Amour - Mystère - Humour - Trente Glorieuses - Tourisme...
• PAGES : 192.

Zazie débarque à Paris pour la première fois chez Tonton Gabriel. Le Panthéon, Les Invalides et le tombeau du véritable Napoléon, elle n'en à que faire ! Mais kess-qui l'intéresse alors, Zazie ? Le métro ! Et quand elle apprend que les employés sont en grève, elle leur envoie une volée d'injures. Ne contrariez pas Zazie !

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique d'un véritable ovni de la littérature française, j'ai nommé Zazie dans le métro signé par le célèbre romancier, poète et dramaturge Raymond Quenaud. Roman phare des années 50-60, ce titre m'attirait particulièrement parce qu'il est tout ce qu'il y a de plus représentatif des méthodes d'écriture employées par l'OuLiPo, soit l'Ouvroir de Littérature Potentielle. Les écrivains membres de ce groupe dont Quenaud était par ailleurs le cofondateur défendaient mordicus l'idée qu'il fallait déjouer les habitudes pour atteindre à la nouveauté, ce que je ne peux qu'approuver. Et avec Zazie dans le métro, je puis vous assurer qu'il en a amené, Raymond Quenaud, un vent de fraîcheur et de nouveauté pour démarrer les Swinging Sixties sur les chapeaux de roues !

Très sincèrement, ce type d'histoires, ou ça passe ou ça casse. En effet, soit l'on adhère totalement au délire et dans ce cas, on prend un pied juste d'enfer à déambuler dans les rues de Paris réinventées par Zazie et sa drôle de troupe... soit ça casse car l'on ne comprend absolument rien à ce qui se passe, ça n'a ni-queue ni-tête à nos yeux et l'on peut carrément finir par abandonner le roman alors qu'il n'est déjà bien épais à cause de cela. Personnellement, je fais assurément partie du groupe de ceux qui adhèrent alors que pourtant, c'était loin d'être couru avance. Je ne m'attendais effectivement pas du tout à ce que ce titre me plaise autant, c'est dire. Sa tête ne me revenait franchement pas, voilà tout. Et puis surtout, je me disais avant même de le commencer que cela allait être un gloubi-boulga informe qui se pense intelligent sans l'être. Comme quoi, il ne faut pas juger un livre d'après son apparence et les racontars, ma leçon est désormais bien apprise !

La première chose qui détonne avec cet ouvrage en tout point pas comme les autres, c'est son écriture et en particulier la langue employée tout au long du récit. Zazie dans le métro se voulait entièrement rédigé en néofrançais. Construite à coup de franglais/américanismes en veux-tu en voilà, de fautes d'orthographe volontaires ou bien encore de phrases monosyllabiques, cette revisite de notre chère langue de Molière à la musicalité et au charme fort singuliers avait tout pour me débecter d'entrée de jeu. En réalité, c'est à mon sens l'un des aspects du récit qui lui donne le plus son aura indescriptible et son identité purement et simplement indéfinissable. À vrai dire, je me suis même surprise à la fin de ma lecture à reprendre malgré moi des expressions employées par Zazie et ses comparses ! Qui l'eût cru ?

Plus sérieusement, je n'ose imaginer tous les efforts qu'il a fallu déployer à Raymond Queneau, membre à l'époque de l'Académie française, pour laisser telles qu'elles toutes les fautes et autres contractions réalisées dans son manuscrit originel dans le but de rendre au mieux possible le parler du Français moyen des Trente Glorieuses. À sa façon résolument fantasque, Zazie dans le métro se veut indéniablement un témoin de son temps, de cette période d'après-guerre prospère où l'on fantasmait tout spécialement sur le rêve américain, où la moindre breloque vendue par les Amerloques valait tout l'or du monde et où la simple mention du "titi métro parisien" pour une jeune fille de Province lui mettait les sens en émoi. En émoi, mon cul ! que me répondrait sans doute Zazie - mais moi, j'ai su voir clair dans son petit jeu...

En parlant justement de métro, on n'en voit in fine guère la couleur dans cette intrigue qui en recèle pourtant tout un arc-en-ciel. On s'en va grimper tout en haut de la Tour Eiffel, on s'en va admirer la Sainte-Chapelle sans que l'on sache s'il s'agit véritablement de la Sainte-Chapelle mais alors que Zazie, elle, tout ce qu'elle voulait, c'était emprunter le métro, ben non, que nenni ! Si pendant une bonne partie du récit, je n'ai pas compris pourquoi le roman se nommait ainsi alors qu'on avait voulu voir l'métro mais qu'on n'avait pas vu l'métro, j'ai au dernier chapitre eu une révélation des plus étonnantes.

De mon côté, j'aime à voir ici le métro comme une métaphore de tout ce que Zazie a vécu au cours de sa brève mais intense journée à la découverte de Paris. Notre héroïne pré-adolescente, bien loin de se contenter de réaliser une simple virée touristique, va se retrouver sans vraiment le vouloir embarquée par le tourbillon fou de la vie au côté de personnages à la fois complètement déjantés et indubitablement touchants qui ont tous un vécu qui leur est propre suite à la guerre et à l'état déplorable dans lequel elle a laissé notre pauvre France. Même 15 ans après, il faut encore tout reconstruire et certains protagonistes opèrent leur renouveau de façon pour le moins... tordue. Raymond Queneau nous dépeint un Paris en fête malgré la souffrance, un Paris qui a su garder de sa superbe malgré l'Occupation passée, une Ville de l'Amour et Ville-Lumière assurément décadente et attrayante. Moi qui suis la première à dénigrer notre fameuse capitale, j'éprouve désormais l'irrésistible envie de m'y rendre pour arpenter les mêmes rues que notre jeune demoiselle à la répartie cinglante et sulfureuse et pour contempler dans ces endroits pour la plupart d'un gris morne toutes les nuances de son voyage initiatique.

Pour conclure, si vous souhaitez embarquer pour une histoire des plus rocambolesques, hilarantes et irrévérencieuses au côté d'une extraterrestre à la langue bien pendue qui ne perd rien pour attendre et que l'on désire pourtant à de multiples reprises applaudir à deux mains tant l'on se demande où elle va chercher tout ça, alors Zazie dans le métro est le roman qu'il vous faut ! Savoureux et burlesque jusqu'au bout, je n'escomptais néanmoins pas cette conclusion à la mélancolie et à la maturité désarmantes. S'il y a un roman qui répond à l'adage « La vie est une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi l'on va tomber », c'est bien celui-là ! ★★★★(★)

Nanette ♥

« Tu causes, tu causes, c'est tout ce que tu sais faire. »
Tags : Fiche lecture, Editions Livre de Poche, Zazie dans le métro, Raymond Queneau, 1959, Littérature française, Contemporain, Paris, Enfance, Découvertes, Famille ♥, Argot, Absurde, Grandir, Apprentissage, Culot, Panache, Amour ♥., Amitié ♥, Mystère, Humour, Trente Glorieuses, Tourisme, Très bonne/excellente lecture
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#Posté le vendredi 24 juillet 2020 05:41

Modifié le samedi 25 juillet 2020 10:25

FICHE LECTURE : La saga des anges déchus - T1 : Hush, hush

FICHE LECTURE : La saga des anges déchus - T1 : Hush, hush
• AUTRICE : Becca Fitzpatrick.
• ANNÉE : 2009 (USA), 2010 (FRANCE).
• GENRE(S) : Fantastique.
• THÈMES : Anges - Amour - Passion - Anges déchus - Néphilims - Suspense - Mystère - Danger - Sacrifice - Amitié ...
• PAGES : 378.

Premier tome d'une tétralogie.

Son nom affole toutes les filles du lycée. Patch est beau, ténébreux, sulfureux. Mais lui ne voit que Nora... qui s'en passerait bien. Patch semble en savoir long, trop long sur son compte : la mort brutale de son père, son manque d'assurance, la moindre de ses pensées ... L'attention qu'il lui porte la fascine, l'inquiète.
Qui est vraiment ce garçon ? Est-il lié aux incidents bizarres qui se multiplient autour d'elle ? Portland se fait bientôt le théâtre d'un combat vieux comme le monde. En suivant cette gueule d'ange jusqu'aux portes de la mort, la lycéenne risque bien de se brûler les ailes ...

ஜ MON AVIS : /!\ ATTENTION, CHRONIQUE TRUFFÉE DE SPOILERS /!\ J'ai lu ce livre il y a plus de six ans maintenant. Eh oui, ça date ! J'avais décidé de le lire pour deux de mes challenges de l'époque (que je n'ai jamais finis, mais bon ça, on passera ...), à savoir le challenge Mystery World, catégorie Anges (of course) ; et le challenge A B C pour la lettre F (F comme Fitzpatrick). De plus, il a fait aussi l'objet de ma lecture commune avec une de mes partenaires de l'époque, Les-Lectures-de-Roxy. (blog inactif mais vous pouvez toujours aller voir). C'est donc parti pour ma chronique de Hush, Hush !

On suit l'histoire de Nora Grey, une jeune fille vivant à Portland avec mère et leur femme de ménage allemande, Dorothea, et dont le père a été brutalement assassinée. Elle suit ses cours au lycée de Portland, un enseignement assez bizarre d'ailleurs : leur coach de sport est à la fois professeur de sport et de biologie et considère Barbie et Ken comme l'illustration de la reproduction (ne rigolez pas, je vous jure que c'est ce qui est écrit dans le livre, je n'invente rien. ...). Soit... Mais, en changeant Nora et sa meilleure amie Vee de place (ainsi que tout le reste de la classe en fait), il va faire que Nora rencontre Patch (tin-tin-tiiiiin !).

Patch est un garçon beau et ténébreux dont je suis vite tombée amoureuse. Ce n'est pas de ma faute si les garçons d'encre et de papier sont nettement plus séduisants que ceux de la réalité ! Je vais finir vieille fille à force d'être si exigeante... Pauvre de moi... Jamais un jeune homme aussi charmant et éperdu d'amour et de désir que Patch ne sera votre voisin de table au lycée ! Dure réalité à accepter. Sérieusement, ce rythme-là, je ne me marierai jamais qu'avec mes livres ! Voilà, c'était la complainte de la pauvre petite Nanette ... Oui, pleurez sur mon sort !

Il faut dire que Patch nous donne sincèrement envie d'être à la place de Nora. Certes, il peut sembler bizarre à la suivre partout (à la bibliothèque, à la fête foraine, etc...) et à tout savoir sur elle sans même lui poser une seule question, mais au fond, cela ne m'était pas si dérangeant (oui, parfaitement, j'aime les stalkers creepy, tout va bien). Je m'explique : je sentais que son amour pour Nora était réel, sincère et profond. Quant à celle-ci, je comprends tout à fait sa méfiance au départ : comme dit précédemment, un garçon qui se trouve partout où nous sommes et qui sait tout sur nous alors que ce n'est dans un premier temps à tout le moins pas réciproque, c'est étrange... presque effrayant.

Cependant, malgré mon amour éperdu pour Patch, je n'étais pas du tout jalouse de Nora ! Je ne souhaitais que le meilleur possible pour leur magnifique couple, que j'apprécie énormément. Il y a en effet une véritable alchimie entre eux dont on rêverait toutes (et tous, je ne vous oublie pas, les garçons !). De plus, on s'attache très vite à Nora : une jeune fille peu sûre d'elle et de son physique (cheveux bouclés noirs et yeux gris, c'est tellement beau pourtant ! Enfin, je me l'imagine et pour ma part, j'adore cette combinaison !) comparée à sa meilleure amie, ayant redoublée, devant prendre sans cesse un traitement pour le fer et voir un psychologue à cause de l'assassinat de son père, etc... Cela ne doit pas être facile tous les jours, la pauvre, et l'arrivée d'un jeune homme tel que Patch pour la choyer et lui rappeler sa beauté et son intelligence était l'une des meilleures choses qui puissent lui arriver. Concernant Nora et Vee, j'ai tout bonnement adoré leur relation : elles semblent presque être des s½urs jumelles, sachant tout l'une sur l'autre, partageant la même passion pour le webzine du lycée et n'hésitant pas à s'épauler entre elles. Vee risquera même sa vie en se déguisant en Nora.

En effet, un autre inconnu que Patch la poursuit sans cesse, portant un masque de ski sur le visage et en voulant à sa vie. J'en étais effarée ! Pauvre Nora ! Qui lui en veut à ce point ? Je me suis dis que cela ne pouvait pas être son ennemie du lycée, Marcie Millar, bien qu'elle soit très exécrable. Ce genre de fille peinturlurée ne s'adonne certainement pas à ce genre de besogne... surtout pas en portant un masque de ski (quel manque de glamour, vous imaginez) ! Et puis, elle ne la hait pas à ce point tout de même (enfin, ça, ça se discute...) ! J'étais sur des charbons ardents à ces moments du livre, ça me rendait dingue ! N'importe qui pouvait être le mystérieux inconnu et je mourrais d'envie de savoir qui ! Je n'arrivais décidément plus à lâcher le livre ! Serait-ce Eliott, ce nouveau garçon qui a des vues sur Nora et qui aurait pendue son ancienne petite amie de son précédent lycée (C'est encore plus flippant là...) ? Tout à fait plausible ! (Si on en croit la rumeur à son encontre en plus, il aurait la figure de l'emploi !) De plus, je ne l'aime pas trop vu qu'il essaye de séduire Nora ... Je tiens beaucoup à mon couple Nora et Patch, ils sont juste parfaits ensemble !

J'ai un très court moment pensé à Patch, mais je ne voulais absolument pas y croire ! Quel cauchemar cela aurait été ! Mais je n'ai jamais douté de lui au fond. Il aime trop Nora. Impossible. A un moment donné, mon énigme semblait résolue : la pseudo-psychologue de Nora, Mlle Greene, de son vrai nom Dabria, s'introduit chez elle et tente de la tuer car elle est en réalité une ex de Patch et un ange de la mort de surcroît (rien que ça).

J'ai été très surprise d'apprendre que la psychologue était un ange, moi qui pensait que ce serait un personnage tout à fait mineur dans l'histoire ! Elle a résolument plus d'importance que je ne le pensais ! Cela m'étonne moins qu'elle soit jalouse de Nora au point de la tuer : on avait découvert ultérieurement que les deux anges avaient une relation. Oui, j'ai bien dit les deux anges ! Je savais dès le début que Patch était un ange déchu, cela me semblait une évidence (je ne vous apprends là rien) ! Surtout que, plus tard dans le livre, Nora voit sa cicatrice en forme de V retourné. Rien d'étonnant sur la nature de Patch donc (et puis la saga se nomme La saga des anges déchus, ce n'est donc pas sorcier que Patch en soit un). J'ai été très touché qu'il souhaite se repentir et redevenir humain. Cela se comprend, et je le souhaitais sincèrement pour lui, pour qu'il puisse être sur Terre avec Nora. Le problème, c'est qu'il doit tuer Nora pour cela ! Elle est descendante du néphilim Chauncey (un ange mi-humain mi-ange déchu - je sais c'est compliqué - dont on fait la connaissance au tout début de l'histoire), qui est le vassal, et c'est la condition requise.

Quel choc ! Patch a voulu tuer Nora ! Il a failli le faire (Nora est tombée d'une attraction prénommée l'Archange - ha, ha ! - mais Patch a finalement décidé de ne pas la tuer - il avait intérêt ! + c'était tout à fait prévisible) mais, aimant Nora plus que tout, il a abandonné (awwww! ♥). De plus, pour que cela marche, il faut que Nora se sacrifie (eh ouais, c'est pas si facile que ça). J'avoue avoir été un peu déçue par Patch à ce moment-là, je ne m'attendais pas à cela de lui (qu'il soit tenté même un instant de tuer Nora). Il n'empêche que je n'étais pas au bout de mes surprises : le mystérieux inconnu n'était pas Mlle Greene, comme je le pensais (j'en étais convaincu même) mais Chauncey alias Jules ! Ben dis donc, moi qui croyait que ce personnage était complètement passif dans le roman, quelle révélation choc !

Le final m'a beaucoup émue : Nora n'hésite pas à se sacrifier pour Patch, afin qu'il puisse réaliser son souhait le plus cher. Quel beau sacrifice ! J'étais profondément touché par l'acte de Nora. Il résulte du sacrifice la disparition de Chauncey. La fin, contrairement au reste, ne m'a pas trop surprise. En effet, Patch refuse le sacrifice de Nora et préfère devenir son ange gardien. Je me doutais bien qu'il ne laisserait pas l'amour de sa vie se tuer comme ça. Néanmoins, j'étais fin heureuse pour eux deux et pour Patch, il n'est plus déchu désormais ! Nos deux amoureux vont pouvoir vivre pleinement leur passion ! Cependant, vu que trois tomes vont suivre celui-ci, d'autres péripéties risquent de leur arriver...

Dernier petit point : J'avais réellement peur que Patch soit le véritable prénom de mon ange adoré (je suis fan de lui maintenant vous l'aurez compris !). Ce n'est pas très reluisant comme prénom. Mais on découvre qu'il ne s'agit que d'un surnom. Allons-nous savoir son vrai prénom dans les prochains tomes ? Mystère et boules de gomme !

Les éloges de la quatrième de couverture correspondent bien à ce que je pense ! Pour moi, ce roman est addictif. Une fois commencé, on ne le lâche plus ! Les anges et l'histoire d'amour de Nora et Patch m'ont totalement conquises ! Je compte bien lire la tétralogie entière, soyez-en surs ! ★★★★★

« - Et en plus, tu sens bon, reprit Patch.
- Ça s'appelle "prendre une douche", répliquai-je sans tourner la tête.
Comme il ne répondait pas , je lui jetai un regard en coin.
- Tu sais : savon, shampooing, eau chaude..
-Toute nue. Oui, je connais le principe. »
Tags : Fiche lecture, La saga des anges déchus, Hush hush, Becca Fitzpatrick, Littérature américaine, 2009, 2010, Fantastique, anges, PASSION ♥, Amour ♥., néphilims, suspens, mystère, danger, sacrifice, amitié, coup de coeur ♥
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#Posté le jeudi 22 août 2019 05:34

Modifié le samedi 25 avril 2020 15:56

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