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FICHE LECTURE : Découvrir Tokyo en manga

FICHE LECTURE : Découvrir Tokyo en manga
• AUTEURS : Collectif.
• ANNÉE : 2021 (FRANCE).
• GENRE(S) : Manga, docu-BD.
• THÈMES : Japon - Tokyo - Culture - Voyages - Tourisme - Urbanisme - Gastronomie - Musique - Cinéma - Sport - Shopping - Art - Nature - Histoire...
• PAGES : 192.

Pour la première fois en langue française, un ouvrage conjugue récits dessinés et pages documentaires pour vous offrir les clés de la capitale japonaise. Seize mangaka – huit femmes et huit hommes, toutes et tous Japonais – ont mis leur talent de raconteurs d'histoires au service de ce projet inédit, pour redécouvrir quartier par quartier, en 30 chapitres et autant de récits originaux, l'essentiel de la ville la plus fascinante de l'archipel nippon. En écho à leurs petites et grandes histoires de Tokyo, d'hier et d'aujourd'hui, découvrez conseils pratiques, cartes, adresses, astuces : à chaque quartier sa sélection d'incontournables à ne surtout pas rater.

Bon voyage !

UNE FABRICATION DANS LA TRADITION DU MANGA : SOUPLE ET SENS DE LECTURE INVERSÉ
UNE ÉQUIPE DE MANGAKA JAPONAIS RECONNUS !


ஜ MON AVIS :

Je remercie infiniment les éditions Petit à petit pour cet envoi.

Un excellent ouvrage très bien pensé et qui donne assurément envie de voyager. J'ai appris énormément de choses sur la ville de Tokyo au travers de ses pages colorées qui se tournent toutes seules. Chaque quartier de Tokyo est présenté par le biais d'un manga de trois-quatre pages et par une double page avec un plan et tout ce qu'il y a à y faire, que ce soit en matière de shopping, spectacles, sport ou bien encore gastronomie. L'histoire n'est pas en reste avec des anecdotes plus ou moins connues donnant à découvrir le Japon d'antan et la façon dont les Japonais vivent aujourd'hui. C'est extrêmement complet sans être lourd et on termine l'ouvrage en ayant presque envie de le relire tant on a envie d'en retenir chaque ligne pour une future aventure. De mon côté, le Japon et plus particulièrement sa capitale est un endroit que je rêve absolument de visiter et chaque section de cette ½uvre m'a semblée importante à mémoriser pour que ce life goal se réalise enfin de façon concrète. Rien ne m'a paru superflu ou inutile, bien au contraire : c'est très enrichissant tout en condensant au mieux l'information et les graphismes ne rendent la lecture que plus attrayante. Le livre a notamment une mascotte (le shiba inu que l'on retrouve sur la couverture) présente à chaque chapitre, ce qui nous donne l'agréable impression de parcourir les seize quartiers à ses côtés (j'ignorais d'ailleurs qu'ils étaient si nombreux !). J'ai relevé de nombreuses autres qualités à Découvrir Tokyo en manga qu'il serait ardu de toutes énumérer mais je vais essayer. Premier point : ce sont des mangakas japonais qui nous racontent Tokyo à leur manière, qui ont souvent même des liens avec le quartier qu'ils traitent car celui-ci fait partie de leur vie et/ou sert de toile de fond à certaines de leurs ½uvres. Second point : la parité est respectée (huit mangakas hommes et huit femmes, on se bat tellement pour cela qu'il est essentiel de le souligner) et à la fin, chacun.e est individuellement mis.e en valeur avec un encart sur son ½uvre personnelle qui lui est dédié. J'ai trouvé cela top de promouvoir ainsi le travail de mangakas pour la plupart inconnus en France. Personnellement, je ne les connaissais pas et je suis très contente de pouvoir corriger ce tort. Des mangas d'autres artistes parus en France sont également listés en fin d'ouvrage. Leur point commun : leur intrigue a comme arrière-plan l'un des quartiers de Tokyo, ce qui permet de prolonger la découverte. Troisième point : les autres collaborateurs de l'ouvrage sont également mentionnés et remerciés et cette marque de politesse m'a vraiment fait apprécier le livre à un autre niveau encore. Quatrième point et pas des moindres : pour chaque quartier, les rames de métro sont indiquées avec leur logo/légende. Ca peut paraître pas grand chose, surtout au vu du précédent point que j'ai soulevé, mais le métro de Tokyo étant considéré comme un véritable enfer (en particulier pour les étrangers), cette petite attention m'a touchée. Je sens que je vais embarquer cet ouvrage avec moi lorsque je débarquerai dans la mégalopole nippone, ce sera ma mini Bible à moi ! Une chose est sûre, ce livre m'a mis des étoiles plein les yeux et m'a fait espérer de l'allégresse et de l'évasion en ces temps très incertains, et ça, c'est déjà grandiose ! COUP DE COEUR ♥

Nanette ♥

P.S. : Mon top 3 des lieux de Tokyo qui me font le plus envie après cette lecture (même si, au fond, j'ai envie de tout visiter) :

- Le parc de Yoyogi, 54 hectares de poumon vert chargé d'histoire
- La librairie Tsutaya Books ou probablement le paradis sur Terre
- Le quartier Jimbôchô dans son ensemble ou le royaume de tout book worm qui se respecte

Effectivement, pour une ville qui ne dort jamais et qui a tant à offrir, je ne suis pas bien exigeante : un peu d'eau fraîche, de verdure et de livres me suffisent ! Tiens, si vous êtes déjà allés ou si vous souhaitez comme moi vous rendre à Tokyo, quelles sont les spots que vous avez le plus aimé ou qui vous font le plus saliver ? Je serais bien curieuse de le savoir !
Tags : Fiche lecture, service de presse, Editions petit à petit, Découvrir Tokyo en manga, Collectif, 2021, manga, docu-BD, Japon, Tokyo, Culture, Voyages, Tourisme, Urbanisme, gastronomie, musique, cinéma, sport, shopping, art, nature, histoire, coup de coeur ♥
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#Posté le dimanche 10 avril 2022 15:12

Modifié le mercredi 13 avril 2022 16:26

FICHE LECTURE : 20, allée de la danse - T7 : La tournée au Japon

FICHE LECTURE : 20, allée de la danse - T7 : La tournée au Japon
• AUTRICE : Elizabeth Barféty.
• ANNÉE : 2017 (FRANCE).
• GENRE(S) : Jeunesse.
• THÈMES : Danse - Roman d'apprentissage - Maturité - Amitié - Grandir - Timidité - Correspondance - Diversité - Doutes - Rencontres marquantes - Japon - Tournée - Gala - Nouvelles expériences - Enthousiasme - Exaltation - Confiance - Entraide...
• PAGES : 154.

Les petits rats de l'École de danse de l'Opéra vont partir en tournée au Japon ! Ils se donneront en spectacle dans plusieurs grandes villes. Depuis qu'elle le sait, Maïna ne pense qu'à une chose : elle va enfin pouvoir rencontrer Daisuke, un garçon japonais de son âge, avec qui elle a commencé à échanger sur un forum en ligne consacré aux petits chats porte-bonheur dont elle raffole. Daisuke par-ci, Daisuke par-là... Sa bande de copains finirait presque par être jalouse !

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, on se retrouve pour ma chronique du tome 7 de 20, allée de la Danse, j'ai nommé La tournée au Japon.

J'étais surexcitée à l'idée de lire cet opus de ma série jeunesse chouchou pour deux raisons. La première, c'est qu'il a pour personnage principal ma petite chérie au sein de notre bande de petits rats au c½ur d'or, à savoir Maïna. La seconde, c'est bien entendu parce qu'il se déroule au Japon, pays que je rêve de visiter un jour !

Autant vous dire que je n'ai pas été déçue par ce récit qui m'a juste donné envie de voyager et de faire tout plein d'expériences qui me sont encore inédites ! J'ai été contaminée par l'enthousiasme qui émanait de ce livre, impossible de ne pas avoir un grand sourire peint sur nos lèvres en le lisant ainsi que des étoiles plein les yeux. Je dois cependant reconnaître que j'ai été décontenancée par les pensées et l'attitude de Maïna pendant une bonne partie de l'intrigue. Je m'attendais en effet à beaucoup plus de positivisme de sa part mais je peux aussi comprendre les inquiétudes qui lui passent par l'esprit au début du roman. En fin de compte, la conclusion de ce volume m'aura permis de retrouver la Maïna que j'adore, pétillante et qui voit toujours la vie du bon côté !

Concernant Daisuke, le pen pal japonais de notre adorable Martiniquaise, je l'ai tout bonnement adoré. Il est juste si gentil et prévenant, il a toujours plein de choses intéressantes à raconter et je trouve que Maïna et lui vont super bien ensemble, ils sont si mignons ! Oui, je ship des pré-ados de 11-12 ans qui ont toute la vie devant eux, tout va bien dans le meilleur des mondes, haha. Plus sérieusement, vous l'aurez compris je pense, Daisuke aura su faire instantanément fondre mon c½ur. Si seulement il avait dix ans de plus, ça m'arrangerait...

Pour conclure, j'ai passé un merveilleux moment nippon entre les pages de ce fantastique roman jeunesse qui m'a remis du baume au c½ur et l'espoir de pouvoir réaliser de beaux projets et rêves dans un avenir plus ou moins proche. Rien que pour ça, je pardonne sans problèmes à cet ouvrage ces menus défauts ! ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, 20 allée de la Danse, Tome 7, La tournée au Japon, éditions Nathan, Elizabeth Barféty, Littérature française, 2017, Jeunesse, Danse, roman d'apprentissage, maturité, amitié, grandir, timidité, correspondance, diversité, doutes, rencontres marquantes, Japon, tournée, gala, nouvelles expériences, enthousiasme, exaltation, confiance, entraide, Très bonne lecture
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#Posté le mercredi 10 mars 2021 14:11

Modifié le jeudi 11 mars 2021 03:23

FICHE FILM : Le Conte de la Princesse Kaguya

FICHE FILM : Le Conte de la Princesse Kaguya
FILM D'ANIMATION | 2013 | RÉALISÉ PAR ISAO TAKAHATA | 2 H 17 | LEGENDE, CONTE, JAPON, NATURE, MIRACLE, RICHESSE INTERIEURE, DRAME, FANTASTIQUE, ARISTOCRATIE, ARGENT, ETIQUETTE, BIENSEANCE, PRETENDANTS, CHAGRIN, NATURE, ESPIEGLERIE, ENFANCE, AMOUR, FAMILLE, SENTIMENTS, HUMANITE | AVEC LES VOIX ORIGINALES DE AKI ASAKURA, KENGO KORA, TAKEO CHII, NOBUKO MIYAMOTO...

➜ Un vieux coupeur de bambou trouve une mystérieuse et reluisante plante de bambou.
En la coupant, il tombe nez à nez sur un bébé minuscule, une petite fille de la taille d'un pouce. Il l'emmène chez lui et l'élève avec sa femme. La petite est surnommée Pousse de bambou par les autres jeunes villageois. Depuis ce jour, le vieux coupeur de bambou trouve des pépites d'or et de somptueuses etoffes chaque fois qu'il coupe un bambou, et devient ainsi très riche. Celle qui fut appelée Kaguya-hime suite à sa cérémonie de passage à l'âge adulte est devenue une belle jeune femme, si bien que les rumeurs sur sa beauté sont difficiles à étouffer et se répandent.
Cinq jeunes princes viennent la voir pour la demander en mariage, mais celle-ci leur réserve des tâches ardues...

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique d'un film d'animation que je souhaitais voir depuis fort longtemps déjà, j'ai nommé l'oeuvre-testament du grand réalisateur japonais Isao Takahata, Le Conte de la Princesse Kaguya.

Je ne vous cacherai pas que, si j'ai entre autres autant tardé à voir ce film, c'est en raison de sa technique animation pour le moins... particulière qui m'avait pas mal brusquée en visionnant la bande-annonce il y a de cela bien des années déjà. Et pourtant, dès les premières minutes du long-métrage, c'est que ce qui m'a séduite d'emblée. Je sais, je suis un être étrange... Personnellement, je suis tombée amoureuse de la façon dont les images prenaient vie telles des peintures ancestrales qui se réveilleraient de leur long sommeil pour nous raconter une poignante histoire d'autrefois. Car en effet, la légende de Kaguya est considérée comme la plus ancienne au Japon. Ce serait même elle qui justifierait l'existence du Mont Fûji, ou la montagne la plus sacrée de ce pays ! Une chose est sûre, j'ai été fascinée par la façon qu'Isao Takahata a choisi pour donner corps à ce conte aussi somptueux et envoûtant que triste et désarmant. Au niveau de l'animation, de la musique traditionnelle sélectionnée, de la technique employée pour exprimer au mieux la nature profonde des personnages, leurs sentiments, et captiver l'audience, rien à redire : ce film est un pur chef d'oeuvre.

Pour ce qui est de l'intrigue et des protagonistes en soi, je me suis instantanément attachée à la figure phare de Kaguya, cette princesse de c½ur éprise de liberté, de simplicité, dont l'unique désir est de ne faire qu'un avec le monde qui l'entoure et qui possède l'immense sagesse de percevoir et d'apprécier pleinement la beauté de toute chose. Ce film nous fait indéniablement passé un magnifique et vibrant message sur la valeur immesurable de ce qui justement ne s'achète pas, à savoir l'amour incommensurable d'un père et d'une mère, la chaleur d'un sourire, d'une amitié, la tendresse et le réconfort d'un premier amour et surtout l'importance fondamentale de notre libre-arbitre. Tout au long du film, Kaguya va aller à l'encontre de ses souhaits les plus ardents par souci de rendre heureux son père adoptif qui a absolument voulu l'élever au rang presque de déesse sur Terre et toutes ces effroyables concessions vont finir par la briser, ainsi que notre c½ur au passage. Je préfère vous prévenir, ce conte n'est pas une fable à la Disney où tout se termine pour le mieux - et après tout, j'ai envie de vous dire que ce n'est justement pas cela que l'on attend d'un film Ghibli ou d'animation japonaise en général, cet happy ending à l'américaine qui finit par résolument nous bercer d'illusion à la longue. Le dénouement de Le Conte de la Princesse Kaguya vous laissera au contraire une saveur particulièrement douce-amère dans la bouche et vous vous retrouverez avec le besoin irrépressible de crier tout votre soûl sur votre écran de télévision (ou d'ordinateur/portable/tablette, vous choisissez le média que vous voulez pour pouvoir visionné ce film, tant que vous le regardez) comme si cela pouvait arranger quelque chose. Néanmoins, ce que je retiendrai de ce film, c'est la magistrale leçon de vie qu'il nous donne : soyez en harmonie avec la Nature, montrez lui à quel point le bonheur qu'elle vous procure vous importe et elle vous rendra votre amour au centuple, prenez conscience d'à quel point l'innocence immaculée de votre enfance et les liens qui vous unissent à vos proches sont précieux, ne trahissez jamais votre être intérieur. Cela semble assurément plus simple à dire qu'à faire, je vous l'accorde, mais il est cependant vital de respecter ces principes à mon sens.

Pour conclure, je dirais qu'Isao Takahata a ici clôt sa carrière sur une superbe note de douceur et de majestuosité juste inouïe. 14 ans après son dernier film en date à l'époque, à savoir Mes voisins les Yamada (que je n'ai toujours pas vu par ailleurs, je sais, je devrais avoir honte, mais Netflix va m'aider à remédier à cela, encore une fois), et au bout de 40 années de réflexion et 8 de production pour mettre en oeuvre ce projet somme toute pharaonique, je peux pour ma part affirmer que Le Conte de la Princesse Kaguya valait définitivement la peine d'abattre tout ce dur labeur. Ce long-métrage est un petit bijou d'humanité que je ne suis pas prête d'oublier de sitôt. Merci du fond du coeur M. Takahata pour l'héritage inestimable que vous laissez derrière vous. ★★★★★

Nanette ♥

« Qu'est-ce que j'ai fait de bien sur cette terre ? »
FICHE FILM : Le Conte de la Princesse Kaguya
Tags : Fiche film, Le Conte de la Princesse Kaguya, film d'animation, 2013, Japon, Isao Takahata, Légende, conte, nature, miracle, richesse intérieure, drame, fantastique, aristocratie, argent, étiquette, bienséance, prétendants, chagrin, espiéglerie, enfance, Amour ♥., Famille ♥, sentiments, humanité, Aki Asakura, Kengo Kora, Takeo Chii, Nobuko Miyamoto, Excellent film !
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#Posté le samedi 14 mars 2020 06:16

Modifié le dimanche 15 mars 2020 06:44

FICHE MANGA : Un pont entre les étoiles - T4

FICHE MANGA : Un pont entre les étoiles - T4
Série en 4 tomes.

• TITRE V.O. : Seikan Bridge, book 4.
• MANGAKA : Kyukkyupon.
• ANNÉE : 2016 (JAPON) ; 2019 (FRANCE).
• GENRE (S) : Seinen.
• THÈMES : Adolescence, manga historique, pacifisme, haine, deuil, amitié, tensions, noirceur, Seconde Guerre mondiale, xénophobie, patriotisme, nationalisme, honneur, dévotion, Asie, Japon, Chine, Shanghai, années trente, Japon, loyauté, mélancolie, rébellion, courage, chagrin, oppression, nouveauté, changement, jugement, discrimination, préjugés, barrières, séparation, innocence, pureté, humour, bouleversement, tournant, solidarité, âmes s½ur, ébullition, traditions, retrouvailles, ouverture d'esprit, ténacité, traumatisme, émotions, espoir...
• PAGES : 208.

Ma chronique du tome 1 : ici.
Ma chronique du tome 2 : ici.
Ma chronique du tome 3 : ici.

Xing, toujours en proie à la tristesse, s'est enrôlé dans la résistance anti-japonaise. Haru, de son côté, subit de plus en plus violemment la pression du nationalisme et de l'embrigadement. Et tandis que l'heure est à la guerre et au terrorisme, les retrouvailles entre ces deux-là semblent s'annoncer sous une bien sombre étoile... Leur amitié pourra-t-elle survivre à la haine ?

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique consacrée au quatrième et dernier tome d'Un pont entre les étoiles que je me suis empressée de dévorer à la suite du troisième comme je l'avais annoncé (pour une fois-!). Et je ne vous cache pas que cet ultime opus me laisse un goût légèrement amer en bouche...

Concernant le contenu tant scénaristique que graphique de ce tome en soi, je n'épiloguerai pas plus avant car c'est tout à fait à la hauteur de ce que Kyukkyupon nous a proposé auparavant avec les trois précédents tomes : les illustrations sont comme toujours de toute beauté et je me suis diantrement amusée à scruter la moindre petite case constituant cette parution à la loupe tant Kyukkyupon possède l'art et la manière de remplir le plus petit recoin de chacune de ses planches de détails absolument somptueux et plus éclairants et percutants encore que la plus grandiloquente des explications.

Quant à l'histoire en elle-même, elle m'a fait vivre un véritable ascenseur émotionnel, me faisant passer de la joie la plus immense, de l'excitation la plus euphorisante à une tristesse sans nom au fur et à mesure que je progressais dans ma lecture des divers chapitres qui composent ce manga. Le moins que l'on puisse dire, c'est que ce tome quatre m'aura retournée dans tous les sens et donné bien des fois l'envie de m'arracher les cheveux et de pleurer toutes les larmes de mon corps tant le désarroi et le chagrin profond exprimé par les personnages me mettait moi-même dans tous mes états.

Ce qui m'a d'autant plus accablée, c'est le fait que la mangaka se focalise ici tout particulièrement sur la question du nationalisme et notamment ce que l'on est prêt à faire pour défendre l'honneur de sa patrie. Nous narrant l'histoire du point de vue d'une Japonaise depuis le début, Kyukkyupon nous dresse ici à la fois un portrait très concis et complet du peuple nippon en temps de guerre, et plus particulièrement de Seconde Guerre mondiale. Comme je l'avais appris au cours d'autres lectures ou visionnages, les civils japonais considéraient la possibilité d'une défaite de leur Empire face aux Alliés (dont la Chine - Shanghai incluse - faisait indirectement partie en tant que pays pro-communiste et surtout anti-japonais) comme un échec pur et simple, presque comme une trahison envers la mère-patrie pour ne pas s'être suffisamment investi dans l'effort de guerre, que ce soit en partant directement au front ou en prenant soin de son foyer et en donnant naissance à de robustes futurs citoyens nippons pour les femmes par exemple.

Pourquoi cet aspect pédagogique de l'intrigue m'a-t-il tout spécialement affligée ? Tout simplement parce qu'il m'a permis de prendre une fois de plus conscience, comme si cela n'était pas déjà assez évident comme cela, que la guerre et surtout ses conséquences catastrophiques est un authentique fléau qui nous empêche de voir clairement et de suivre la voix de notre coeur et de notre conscience. Haru comme Xing vont chèrement l'apprendre au fil du récit. Soucieux tous les deux de rester fidèles aux êtres qui leur sont chers, la guerre et ses ravages multiples va en outre leur enseigner que l'Amour, le seul, l'unique, n'a pas de frontière et de nationnalité. Il est, un point c'est tout. Peu importe les différences socio-professionnelles, ethniques, religieuses, absolument rien ne l'arrête si on le laisse nous guider. Mais à la guerre, c'est la haine la maîtresse du jeu et à bien des moments, j'ai cru que mes protagonistes chéris avaient enfin cédé à son appel de sirène et que la lumière de l'espoir s'était définitivement éteinte pour eux.

Fort heureusement, Kyukkyupon m'a détrompée de la plus magnifique, spectaculaire des manières. Alors, qu'est-ce qui m'a in fine gênée au point que ce tome final, qui aurait dû être synonyme de l'Apothéose la plus magistrale à mes yeux, m'ait pour ainsi dire séduit moins que les autres ? Cela se résume en deux tout petits mots : sa fin. Disons simplement que la posture dans laquelle se tiennent les jeunes adultes Haru et Xing sur la couverture m'avait laissé suggérer un dénouement bien plus théâtral, romanesque, larmoyant que ce qu'il m'a été donné de lire au bout du compte. Les quatre toutes dernières pages auront été celle à l'origine de mon incompréhension et de ma frustration la plus totale. En y réfléchissant à deux fois, j'ai réalisé que la conclusion que Kyukkyupon a donné à sa saga est en réalité extrêmement ouverte, laissant l'opportunité à tout un champ des possibles de se concrétiser. Tout ou presque est imaginable avec une fin pareille ! Et c'est bien là ce qui m'a chafouinée. Avec Un pont entre les étoiles, j'escomptais une fin beaucoup plus arrêtée, nette et précise, un final ébourrifant avec feux d'artifices et papillons dans le ventre qui m'aurait pour le coup pleinement satisfaite et rassurée quant au destin de mon couple favori ensemble. Ici, pas de grandes déclarations enflammées, mais un silence et une parcimonie d'or et un soupçon éternel de mystère dans le coeur des Hommes, encore et toujours. Kyukkyupon est résolument restée fidèle à son mode opératoire jusqu'au bout et cela l'honore. De plus, la toute dernière page représentant le bonus de l'ouvrage m'a rappelé que la figure d'Haru s'inspirait de la véritable grand-mère de Kyukkyupon. Oui, je l'avais oublié tant j'avais été emportée par cette intrigue purement et simplement transcendante et à la saveur d'un rêve et d'un cauchemar mêlés. Or, il s'agit de l'existence tumultueuse d'une véritable personne de chair et d'os et non d'une époustouflante mais simple fantaisie qui doit assouvrir les désirs de son lecteur. Ce que j'entends par là, c'est que peut-être Kyukkyupon avait d'autres souhaits pour Haru et Xing tout comme moi mais ces personnages ne sont que les avatars d'êtres humains tout ce qu'il y a de plus réels qui ne lui appartiennent pas. Autrement dit, tant que l'histoire a été contée dans un souci de véracité absolue et ce jusqu'au bout du bout, c'est tout ce qui m'importe, même si, encore une fois, ce n'était pas tout à fait ce que j'attendais... Il me faut cependant m'incliner face à la vénérable grand-mère de la mangaka qui a accepté de nous parler de son bouleversant vécu. Arigato gozaimasu, obaasan.

Pour conclure, je dirais que ce tome quatre d'Un pont entre les étoiles aura su moins me convaincre que ses prédécesseurs mais la saga dans son ensemble n'en reste pas moins une lecture nécessaire, extrêmement instructive sur les relations entre Japonais et Chinois et sur bien des choses de la vie en général en outre, à faire ! Pour ma part, je la garderai dans mon coeur pour toujours et à jamais. COUP DE COEUR ♥

Nanette ♥
Tags : Fiche manga, Editions Akata, Un pont entre les étoiles, Tome 4 ♥, Tétralogie, Kyukkyupon, 2016, 2019, Seinen, Adolescence, manga historique, pacifisme, haine, deuil, amitié, tensions, noirceur, Seconde Guerre mondiale, xénophobie, patriotisme, nationalisme, honneur, dévotion, Asie, Japon, Chine, Shanghai, années trente, loyauté, mélancolie, rébellion, courage, chagrin, oppression, nouveauté, changement, jugement, discrimination, préjugés, barrières, séparation, innocence, pureté, humour, bouleversement, tournant, solidarité, âmes s½ur, ébullition, traditions, retrouvailles, ouverture d'esprit, ténacité, traumatisme, émotions, espoir, coup de coeur ♥
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#Posté le vendredi 21 février 2020 16:35

Modifié le dimanche 23 février 2020 16:37

FICHE MANGA : Un pont entre les étoiles - T3

FICHE MANGA : Un pont entre les étoiles - T3
Série en 4 tomes.

• TITRE V.O. : Seikan Bridge, book 3.
• MANGAKA : Kyukkyupon.
• ANNÉE : 2016 (JAPON) ; 2019 (FRANCE).
• GENRE (S) : Seinen.
• THÈMES : Enfance, adolescence, manga historique, pacifisme, amitié, tensions, noirceur, guerre, xénophobie, patriotisme, Asie, Chine, Shanghai, années trente, Japon, loyauté, mélancolie, rébellion, courage, chagrin, oppression, harcèlement, hiérarchie sociétale, classes sociales, déménagement, nouveauté, changement, jugement, discrimination, préjugés, barrières, séparation, innocence, pureté, humour, bouleversement, tournant, solidarité, âmes s½ur, ébullition, traditions, retrouvailles, ouverture d'esprit, ténacité, traumatisme, émotions...
• PAGES : 208.

Ma chronique du tome 1 : ici.
Ma chronique du tome 2 : ici.
Ma chronique du tome 4 : ici.

Plusieurs mois ont passé depuis que Haru a déménagé à Shanghai. Elle s'y sent désormais chez elle, malgré les différences culturelles, malgré la haine qu'elle sent de part et d'autre des peuples. Son amitié envers Xing semble plus forte que jamais, et sa mère, aimante, la soutien au quotidien. Mais ce temps de félicité ne peut durer, et bientôt l'Histoire doit reprendre son cours...

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du troisième tome de ce qui est sans aucun doute permis ma série de mangas chouchoute de ces dernières années, j'ai nommé Un pont entre étoiles que l'on doit à la remarquable Kyukkyupon laquelle, soit dit en passant, devrait avoir honte d'encore douter de son formidable talent pour raconter des histoires d'un réalisme et d'une authenticité juste saisissantes (il faudra lire le manga pour comprendre de quoi je parle - voyez comment je vous incite à l'achat/l'emprunt bibliothèque sans plus attendre !).

Sérieusement, comment cette jeune mangaka ose-t-elle ne serait-ce qu'une seconde s'interroger sur son éventuel avenir au sein du monde merveilleux (humour, je me doute que le chemin à parcourir est loin d'être aisé) du manga alors que son illustre carrière est toute tracée ? A mon sens, elle a en effet su signer dès sa première parution en relié un chef d'oeuvre d'exception avec Un pont entre étoiles, manga qui restera assurément dans les annales, à tout le moins dans les miennes ; ça, c'est sûr et certain.

Les deux premiers tomes avaient déjà réussi le redoutable pari de me bluffer mais alors ce troisième volume... On peut sans conteste affirmer que Kyukkyupon est clairement passée au niveau supérieur tant pour ce qui est du graphisme, de l'aspect proprement visuel de l'intrigue en soi que de la force dramatique du récit.

Concernant l'esthétisme du manga, Kyukkyupon m'avait dès les premières pages du tome un habituée à son extrême minutie, l'importance capitale qu'elle accorde à chaque détail et qui rend à mes yeux son extraordinaire fresque historique criante de vérité, incroyablement immersive et indubitablement poignante. Dans ce troisième opus, la mangaka s'est accordée plus de libertés, notamment celle de déborder sur plusieurs cases afin de nous donner à contempler des illustrations purement et simplement colossales qui s'étendent parfois sur toute une double page, comme pour nous faire prendre véritablement conscience de la monumentalité ébouriffante de Shanghai mais aussi de l'immensité vorace et dévastatrice de la guerre. Pour ma part, je suis restée sans voix à de nombreuses reprises face un tel génie artistique tant les dessins pétris d'humanité de Kyukkyupon étaient dans ces moments-clés du récit bien plus parlants et pertinents que n'importe quel ensemble de mots ne l'aurait été. Ces douloureux instants de silence où un regard, une expression du visage ou une vaine ébauche de mouvement suffisait à résumer les états d'âme des personnages m'ont en outre permis de me sentir en totale communion avec eux, de porter à ma façon une part de leur incommensurable chagrin sur les épaules.

Justement, en parlant des protagonistes et de leurs tourments... Je ne vais pas vous le cacher, j'ai vécu ma lecture de ce tome trois comme une insoutenable déchirure. Si sa première partie m'a fait l'impression d'une bouffée d'air frais franchement bienvenue, si elle m'a donné la sensation d'un relatif et salvateur calme avant la tempête effarante qui s'annonçait depuis le début, d'une brève mais magnifique, mémorable bulle de douceur, de tendresse et d'harmonie avant le déchaînement du plus monstrueux des chaos, la seconde en revanche m'a coupé les bras et littéralement brisé le coeur en deux morceaux nets. Pas de temps pour les milliers, les millions de morceaux, l'ouragan de noirceur et de violence fut aussi destructeur qu'efficace. Sans pli ni bavure, il est parvenu à tout emporter sur son passage, y compris mon incurable joie de vivre. J'en ai terriblement voulu à Kyukkyupon de faire subir l'horreur absolue à mes protagonistes adorés, mon adorable Xing et ma pétillante Haru, ainsi qu'à tous les autres fabuleux acteurs de cette sombre traversée du conflit sino-japonais : l'épatante petite Xinlin, la diantrement touchante Ama qui a parfaitement compris que le silence était d'or massif et qu'il portait nos sentiments mieux que personne, les agréablement surprenants parents de mon écolière nippone à l'optimisme et à l'énergie tout simplement contagieux, l'indéniablement bouleversant papa de Xing... et bien sûr, je n'oublie pas notre nouveau compagnon à quatre pattes de ce tome, j'ai nommé le mignon tout plein petit chiot qui deviendra grand Bis et dont les pensées retranscrites par la mangaka m'ont dessiné un large sourire sur le visage tout du long malgré la souffrance qui avait alors emprise sur mon mon petit coeur sensible tel un étau. Cependant, j'ai rapidement réalisé que ce troisième tome ne pouvait se finir autrement au vu des révélations fracassantes qui avaient été faites au fil des pages qui se tournaient de mon côté à une vitesse diablement folle sur le passif de deux personnages en particulier et de la façon à laquelle ces derniers avaient réagi après avoir surmonté de telles épreuves aussi traumatisantes que celles-ci. In fine, le dénouement était hautement prévisible et tout à fait cohérent par rapport à la manière dont les choses évoluaient mais je n'ai néanmoins rien vu venir, absolument rien. Nada. Niente. Je vous laisse deviner l'état de stupéfaction dans lequel j'étais lorsque je me suis rendue compte que j'en étais arrivée à la fin de ce tome trois. Fort heureusement, j'ai le quatre sous la main que je vais pouvoir dévorer dans la foulée. Soulagement intense (même si je sens que le calvaire émotionnel est encore loin d'être terminé...).

Pour conclure, je n'ai rien d'autre à vous dire si ce n'est : lisez Un pont entre les étoiles DE TOUTE URGENCE ! Non seulement vous en apprendrez beaucoup sur la guerre sino-japonaise de 1937 (à tout le moins, cela vous donnera l'irrépressible envie de vous renseigner à ce sujet comme c'est le cas pour moi présentement), mais en plus, vous vous attacherez comme jamais à des personnages profondément humains qui vous feront rire aux éclats, pleurer à chaudes larmes, saigner à blanc votre petit coeur fragile... Et en prime, vous en prendrez plein les mirettes et vous aurez après toute cette myriade d'émotions le désir impérieux de vous rendre à Shanghai séance tenante ! En clair, c'est une expérience à ne résolument pas manquer ! COUP DE FOUDRE ϟ

Nanette ♥
Tags : Fiche manga, Editions Akata, Un pont entre les étoiles, Tome 3 ♥, Tétralogie, Kyukkyupon, 2016, 2019, Seinen, Enfance, manga historique, pacifisme, amitié, tensions, noirceur, guerre, xénophobie, patriotisme, Asie, Chine, Shanghai, années trente, Japon, loyauté, mélancolie, rébellion, courage, chagrin, oppression, harcèlement, hiérarchie sociétale, classes sociales, déménagement, nouveauté, changement, jugement, discrimination, préjugés, barrières, séparation, innocence, pureté, humour, bouleversement, tournant, solidarité, âmes s½ur, ébullition, traditions, retrouvailles, ouverture d'esprit, ténacité, traumatisme, émotions, adolescence, Coup de foudre ♥
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#Posté le jeudi 20 février 2020 15:35

Modifié le lundi 24 février 2020 05:59

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