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FICHE LECTURE : Hôtel Castellana

FICHE LECTURE : Hôtel Castellana
• TITRE V.O. : The Fountains of Silence.
• AUTRICE : Ruta Sepetys.
• ANNÉE : 2019 (ETATS-UNIS) ; 2020 (FRANCE).
• GENRE(S) : Roman historique.
• THÈMES : Espagne - Années 50 - Politique - Dictature - Guerre civile - Omerta - Peur - Menace - Mystère - Secrets - Suspens - Famille - Richesse - Adolescence - Passage à l'âge adulte - Maturité - Origines - Deuil - Souffrance - Chagrin - Passé - Injustice - Solitude - Rencontres décisives - Amitié - Soutien - Entraide - Photographie - Héritage - Élever sa voix - Liens indestructibles - Gentillesse - Générosité - Humanité - Espoir - Amour...
• PAGES : 592.

Madrid, été 1957. Passionné de photographie, Daniel Matheson, 18 ans, découvre l'Espagne à travers l'objectif de son appareil. Il loge au quartier général de la haute société américaine : l'hôtel Castellana, où travaille la mystérieuse Ana Torres Moreno. À mesure qu'ils se rapprochent, Ana lui révèle un pays où la dictature fait régner la peur et l'oppression, hanté par de terribles secrets...

Romance poignante et trajectoires tourmentées au c½ur du régime franquiste, par l'autrice du best-seller Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre.

ஜ MON AVIS :

Coucou les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'Hôtel Castellana signé Ruta Sepetys. Cette autrice faisant assurément partie de mes valeurs sûres, il me tardait de retrouver sa somptueuse plume avec ce roman paru une fois de plus aux éditions Gallimard Jeunesse. Et ces retrouvailles tant espérées furent des plus émouvantes, je puis vous le garantir...

Ce livre, c'est tout d'abord l'authentique chaleur de l'Espagne, qui se décline d'ores et déjà dans les séduisants tons jaunes et bruns de sa splendide couverture. C'est aussi l'indéniable beauté de sa langue, de sa culture, de son architecture. Bien que je ne sois jamais allée à l'Hôtel Castellana et que je ne pourrai malheureusement jamais m'y rendre "pour de vrai", Ruta Sepetys a rendu ce fastueux vestige du passé tout ce qu'il y a de plus vivant à mes yeux. En lisant cet ouvrage, je voyais en effet devant moi toute la magnificence de cet établissement de luxe des années cinquante mêlant habilement dans ses fondations folklore madrilène et volupté américaine. Je me sentais irrésistiblement attirée par cet endroit autant que j'en étais profondément dégoûtée. L'Hôtel Castellana, aussi beau et grandiose soit-il, était avant tout le symbole d'une politique américaine fermant les yeux face à la cruauté d'un régime totalitaire injuste et injustifié qu'elle a aidé à sa manière à perpétrer par le biais d'un soutien économique considérable qui se traduisait notamment en une mise en tourisme toute particulière de l'Espagne par les grands magnats de l'hôtellerie américaine - l'Hôtel Castellana ne se prénommait pas le Castellana Hilton pour rien. L'American Dream a donné naissance au Spanish Dream, à l'envie impérieuse de "s'acheter un château en Espagne" comme le dit l'expression bien connue. Un rêve qui s'est bâti sur les os enfouis et le sang d'un peuple oppressé et dont la souffrance a été passée pendant des décennies sous silence, jusqu'à la mort du bourreau, du plus redouté et ignoble de tous les matadors.

Hôtel Castellana, ce sont aussi des personnages inoubliables. Daniel, Ana. Rafa, Fuga. Ben, Nick. Carlitos, Miguel. Julia, Antonio, Puri. Leur petite histoire extrêmement sombre et éprouvante rejoint la grande, d'autant plus sanglante, violente et ténébreuse, avec un brio tel que j'ai senti ma présence de ces formidables protagonistes à mes côtés au fil des pages comme s'ils étaient littéralement extirpés de leurs chapitres d'encre et de papier pour prendre véritablement chaire. Pour ma part, j'ai été particulièrement émue par la relation qui se tisse petit à petit entre Daniel et Ana, deux êtres exceptionnels qui ne sont résolument pas à leur place et dont les âmes et les c½urs se répondent d'instinct. J'ai été immensément touchée par la sensibilité de Daniel, sa gentillesse, sa vision du monde indéniablement singulière et mature. En tant que photographe amateur et passionné de grand talent, il parvient à transcender les apparences, à percevoir la véritable nature des choses et des êtres, à laisser transparaître leur identité, leur essence intrinsèque sur papier glacé. Il m'a purement et simplement fascinée, je suis tombée folle amoureuse de son ouverture d'esprit, de son sincère respect envers la vie et les opinions des autres, de son sens de la justice, de sa générosité, de sa sagesse. Quant à Ana, cette toute jeune femme m'a tout bonnement éblouie. Elle fait preuve tout au long de l'intrigue d'un courage et d'une résilience à toute épreuve. Lumineuse, audacieuse, d'une intelligence éblouissante, sa fraîcheur et sa franchise m'ont indubitablement transportée. Ces deux-là sont sans conteste les deux soleils du récit, les astres autour desquels les personnages et les événements évoluent. Pour être tout à fait honnête, chaque personnage de ce livre aura su me subjuguer et me marquer de façon indélébile - mention spéciale à Rafael, mon petit rayon de soleil personnel (il est à moi, PAS TOUCHE, haha), ainsi qu'à Fuga dont le destin et les motivations m'ont ébranlée plus que mesure.

Enfin, Hôtel Castellana, c'est avant toute chose un arrière-plan historique soigneusement élaboré qui ne manquera pas de faire bouillir le sang dans vos veines. Personnellement, je ne connaissais de la guerre civile espagnole et de la dictature de Franco que ce que le déchirant tableau Guernica de Picasso a bien voulu nous en dévoiler, et ce que cette peinture nous apprend était déjà bien assez lourd à encaisser. Avec Hôtel Castellana, j'ai pu considérablement m'enrichir à ce sujet fort douloureux et toutes les informations que j'ai pu assimiler m'ont tout bonnement assommée. S'il y a bien un sentiment que vous ressentirez au cours de votre lecture de cet ouvrage, et qui ne cessera de croître au fur et à mesure que les pages se tournent, ce sera de l'indignation, une colère sourde qui prendra de plus en plus d'ampleur à la façon des exclamations tonitruantes que l'on peut entendre à la fin d'une corrida. Je ne vous cache pas que cela me démangeait parfois de balancer le bouquin à l'autre bout de la pièce tant ce que j'y apprenais m'horrifiait. La position de la femme dans l'Espagne de Franco, la façon dont l'on honore les morts au combat des deux camps au cours de la guerre civile, l'enlèvement et le trafic d'enfants de républicains, tout cela me donnait la nausée et me mettait hors de moi. Comment a-t-on l'idée de faire souffrir son peuple à ce point, d'ainsi le torturer physiquement et psychologiquement, par seul souci de détenir le pouvoir ? Et de cautionner cela pour ce qui est des pays collaborateurs... ? Franchement, cela dépasse tout simplement mon entendement. Vous l'aurez compris, si jamais vous prenez une chambre à l'Hôtel Castellana à l'instar de la famille Matheson, préparez vous à en repartir le c½ur serré et l'estomac sur les talons.

Pour conclure, je ne peux que chaudement vous recommander Hôtel Castellana. Encore une fois, Ruta Sepetys a frappé fort avec un roman poignant, désarmant, qui nous dresse un portrait tout ce qu'il y a de plus complet et passionnant de l'Espagne sous la dictature de Franco par le biais de photographies, de déclarations diplomatiques et d'une intrigue rondement bien menée et tout bonnement captivante qui ne manquera pas de vous soulever le c½ur et de vous transpercer l'âme. Le seul petit bémol que j'ai pu relever, c'est la conclusion du roman, assez abrupte à mon goût. Après, cela équivaut carrément à du pinaillage dans le sens où j'aurais simplement voulu rester plus longtemps avec mes chouchous Daniel et Ana et recroiser sur ma route d'autres personnages bien aimés. En réalité, je comprends tout à fait pourquoi l'autrice a décidé de s'en arrêter là et surtout sur ces mots profondément marquants, d'une justesse infinie. Au fond, le roman ne pouvait pas finir autrement, je le reconnais. En clair, un livre intense qui témoigne bien de tout l'amour que l'autrice porte pour l'Espagne et l'importance que cette dernière accorde à la véracité historique, à ce colossal héritage du passé qui se transmet de génération en génération et qui ne doit certainement pas être ignoré et encore moins oublié. Moi en tout cas, je ne suis assurément pas prête d'oublier ce roman et je continuerai à suivre les parutions de Ruta Sepetys de très près, n'en doutez point. COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥

« Nous sommes plus belles avec la bouche fermée. »
Tags : Fiche lecture, Hôtel Castellana, Editions Gallimard Jeunesse, Ruta Sepetys, 2019, 2020, Littérature américaine, Roman historique, Espagne, Années 50, Politique, Dictature, Guerre civile, omerta, peur, menace, mystère, secrets, suspens, famille, richesse, adolescence, passage à l'âge adulte, maturité, origines, deuil, souffrance, chagrin, passé, injustice, solitude, rencontres décisives, amitié, soutien, entraide, photographie, héritage, élever sa voix, liens indestructibles, gentillesse, générosité, humanité, espoir, amour, coup de coeur ♥
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#Posté le dimanche 31 mai 2020 15:15

Modifié le dimanche 31 mai 2020 15:52

FICHE LECTURE : La saga des anges déchus - T1 : Hush, hush

FICHE LECTURE : La saga des anges déchus - T1 : Hush, hush
• AUTRICE : Becca Fitzpatrick.
• ANNÉE : 2009 (USA), 2010 (FRANCE).
• GENRE(S) : Fantastique.
• THÈMES : Anges - Amour - Passion - Anges déchus - Néphilims - Suspense - Mystère - Danger - Sacrifice - Amitié ...
• PAGES : 378.

Premier tome d'une tétralogie.

Son nom affole toutes les filles du lycée. Patch est beau, ténébreux, sulfureux. Mais lui ne voit que Nora... qui s'en passerait bien. Patch semble en savoir long, trop long sur son compte : la mort brutale de son père, son manque d'assurance, la moindre de ses pensées ... L'attention qu'il lui porte la fascine, l'inquiète.
Qui est vraiment ce garçon ? Est-il lié aux incidents bizarres qui se multiplient autour d'elle ? Portland se fait bientôt le théâtre d'un combat vieux comme le monde. En suivant cette gueule d'ange jusqu'aux portes de la mort, la lycéenne risque bien de se brûler les ailes ...

ஜ MON AVIS : /!\ ATTENTION, CHRONIQUE TRUFFÉE DE SPOILERS /!\ J'ai lu ce livre il y a plus de six ans maintenant. Eh oui, ça date ! J'avais décidé de le lire pour deux de mes challenges de l'époque (que je n'ai jamais finis, mais bon ça, on passera ...), à savoir le challenge Mystery World, catégorie Anges (of course) ; et le challenge A B C pour la lettre F (F comme Fitzpatrick). De plus, il a fait aussi l'objet de ma lecture commune avec une de mes partenaires de l'époque, Les-Lectures-de-Roxy. (blog inactif mais vous pouvez toujours aller voir). C'est donc parti pour ma chronique de Hush, Hush !

On suit l'histoire de Nora Grey, une jeune fille vivant à Portland avec mère et leur femme de ménage allemande, Dorothea, et dont le père a été brutalement assassinée. Elle suit ses cours au lycée de Portland, un enseignement assez bizarre d'ailleurs : leur coach de sport est à la fois professeur de sport et de biologie et considère Barbie et Ken comme l'illustration de la reproduction (ne rigolez pas, je vous jure que c'est ce qui est écrit dans le livre, je n'invente rien. ...). Soit... Mais, en changeant Nora et sa meilleure amie Vee de place (ainsi que tout le reste de la classe en fait), il va faire que Nora rencontre Patch (tin-tin-tiiiiin !).

Patch est un garçon beau et ténébreux dont je suis vite tombée amoureuse. Ce n'est pas de ma faute si les garçons d'encre et de papier sont nettement plus séduisants que ceux de la réalité ! Je vais finir vieille fille à force d'être si exigeante... Pauvre de moi... Jamais un jeune homme aussi charmant et éperdu d'amour et de désir que Patch ne sera votre voisin de table au lycée ! Dure réalité à accepter. Sérieusement, ce rythme-là, je ne me marierai jamais qu'avec mes livres ! Voilà, c'était la complainte de la pauvre petite Nanette ... Oui, pleurez sur mon sort !

Il faut dire que Patch nous donne sincèrement envie d'être à la place de Nora. Certes, il peut sembler bizarre à la suivre partout (à la bibliothèque, à la fête foraine, etc...) et à tout savoir sur elle sans même lui poser une seule question, mais au fond, cela ne m'était pas si dérangeant (oui, parfaitement, j'aime les stalkers creepy, tout va bien). Je m'explique : je sentais que son amour pour Nora était réel, sincère et profond. Quant à celle-ci, je comprends tout à fait sa méfiance au départ : comme dit précédemment, un garçon qui se trouve partout où nous sommes et qui sait tout sur nous alors que ce n'est dans un premier temps à tout le moins pas réciproque, c'est étrange... presque effrayant.

Cependant, malgré mon amour éperdu pour Patch, je n'étais pas du tout jalouse de Nora ! Je ne souhaitais que le meilleur possible pour leur magnifique couple, que j'apprécie énormément. Il y a en effet une véritable alchimie entre eux dont on rêverait toutes (et tous, je ne vous oublie pas, les garçons !). De plus, on s'attache très vite à Nora : une jeune fille peu sûre d'elle et de son physique (cheveux bouclés noirs et yeux gris, c'est tellement beau pourtant ! Enfin, je me l'imagine et pour ma part, j'adore cette combinaison !) comparée à sa meilleure amie, ayant redoublée, devant prendre sans cesse un traitement pour le fer et voir un psychologue à cause de l'assassinat de son père, etc... Cela ne doit pas être facile tous les jours, la pauvre, et l'arrivée d'un jeune homme tel que Patch pour la choyer et lui rappeler sa beauté et son intelligence était l'une des meilleures choses qui puissent lui arriver. Concernant Nora et Vee, j'ai tout bonnement adoré leur relation : elles semblent presque être des s½urs jumelles, sachant tout l'une sur l'autre, partageant la même passion pour le webzine du lycée et n'hésitant pas à s'épauler entre elles. Vee risquera même sa vie en se déguisant en Nora.

En effet, un autre inconnu que Patch la poursuit sans cesse, portant un masque de ski sur le visage et en voulant à sa vie. J'en étais effarée ! Pauvre Nora ! Qui lui en veut à ce point ? Je me suis dis que cela ne pouvait pas être son ennemie du lycée, Marcie Millar, bien qu'elle soit très exécrable. Ce genre de fille peinturlurée ne s'adonne certainement pas à ce genre de besogne... surtout pas en portant un masque de ski (quel manque de glamour, vous imaginez) ! Et puis, elle ne la hait pas à ce point tout de même (enfin, ça, ça se discute...) ! J'étais sur des charbons ardents à ces moments du livre, ça me rendait dingue ! N'importe qui pouvait être le mystérieux inconnu et je mourrais d'envie de savoir qui ! Je n'arrivais décidément plus à lâcher le livre ! Serait-ce Eliott, ce nouveau garçon qui a des vues sur Nora et qui aurait pendue son ancienne petite amie de son précédent lycée (C'est encore plus flippant là...) ? Tout à fait plausible ! (Si on en croit la rumeur à son encontre en plus, il aurait la figure de l'emploi !) De plus, je ne l'aime pas trop vu qu'il essaye de séduire Nora ... Je tiens beaucoup à mon couple Nora et Patch, ils sont juste parfaits ensemble !

J'ai un très court moment pensé à Patch, mais je ne voulais absolument pas y croire ! Quel cauchemar cela aurait été ! Mais je n'ai jamais douté de lui au fond. Il aime trop Nora. Impossible. A un moment donné, mon énigme semblait résolue : la pseudo-psychologue de Nora, Mlle Greene, de son vrai nom Dabria, s'introduit chez elle et tente de la tuer car elle est en réalité une ex de Patch et un ange de la mort de surcroît (rien que ça).

J'ai été très surprise d'apprendre que la psychologue était un ange, moi qui pensait que ce serait un personnage tout à fait mineur dans l'histoire ! Elle a résolument plus d'importance que je ne le pensais ! Cela m'étonne moins qu'elle soit jalouse de Nora au point de la tuer : on avait découvert ultérieurement que les deux anges avaient une relation. Oui, j'ai bien dit les deux anges ! Je savais dès le début que Patch était un ange déchu, cela me semblait une évidence (je ne vous apprends là rien) ! Surtout que, plus tard dans le livre, Nora voit sa cicatrice en forme de V retourné. Rien d'étonnant sur la nature de Patch donc (et puis la saga se nomme La saga des anges déchus, ce n'est donc pas sorcier que Patch en soit un). J'ai été très touché qu'il souhaite se repentir et redevenir humain. Cela se comprend, et je le souhaitais sincèrement pour lui, pour qu'il puisse être sur Terre avec Nora. Le problème, c'est qu'il doit tuer Nora pour cela ! Elle est descendante du néphilim Chauncey (un ange mi-humain mi-ange déchu - je sais c'est compliqué - dont on fait la connaissance au tout début de l'histoire), qui est le vassal, et c'est la condition requise.

Quel choc ! Patch a voulu tuer Nora ! Il a failli le faire (Nora est tombée d'une attraction prénommée l'Archange - ha, ha ! - mais Patch a finalement décidé de ne pas la tuer - il avait intérêt ! + c'était tout à fait prévisible) mais, aimant Nora plus que tout, il a abandonné (awwww! ♥). De plus, pour que cela marche, il faut que Nora se sacrifie (eh ouais, c'est pas si facile que ça). J'avoue avoir été un peu déçue par Patch à ce moment-là, je ne m'attendais pas à cela de lui (qu'il soit tenté même un instant de tuer Nora). Il n'empêche que je n'étais pas au bout de mes surprises : le mystérieux inconnu n'était pas Mlle Greene, comme je le pensais (j'en étais convaincu même) mais Chauncey alias Jules ! Ben dis donc, moi qui croyait que ce personnage était complètement passif dans le roman, quelle révélation choc !

Le final m'a beaucoup émue : Nora n'hésite pas à se sacrifier pour Patch, afin qu'il puisse réaliser son souhait le plus cher. Quel beau sacrifice ! J'étais profondément touché par l'acte de Nora. Il résulte du sacrifice la disparition de Chauncey. La fin, contrairement au reste, ne m'a pas trop surprise. En effet, Patch refuse le sacrifice de Nora et préfère devenir son ange gardien. Je me doutais bien qu'il ne laisserait pas l'amour de sa vie se tuer comme ça. Néanmoins, j'étais fin heureuse pour eux deux et pour Patch, il n'est plus déchu désormais ! Nos deux amoureux vont pouvoir vivre pleinement leur passion ! Cependant, vu que trois tomes vont suivre celui-ci, d'autres péripéties risquent de leur arriver...

Dernier petit point : J'avais réellement peur que Patch soit le véritable prénom de mon ange adoré (je suis fan de lui maintenant vous l'aurez compris !). Ce n'est pas très reluisant comme prénom. Mais on découvre qu'il ne s'agit que d'un surnom. Allons-nous savoir son vrai prénom dans les prochains tomes ? Mystère et boules de gomme !

Les éloges de la quatrième de couverture correspondent bien à ce que je pense ! Pour moi, ce roman est addictif. Une fois commencé, on ne le lâche plus ! Les anges et l'histoire d'amour de Nora et Patch m'ont totalement conquises ! Je compte bien lire la tétralogie entière, soyez-en surs ! ★★★★★

« - Et en plus, tu sens bon, reprit Patch.
- Ça s'appelle "prendre une douche", répliquai-je sans tourner la tête.
Comme il ne répondait pas , je lui jetai un regard en coin.
- Tu sais : savon, shampooing, eau chaude..
-Toute nue. Oui, je connais le principe. »
Tags : Fiche lecture, La saga des anges déchus, Hush hush, Becca Fitzpatrick, Littérature américaine, 2009, 2010, Fantastique, anges, PASSION ♥, Amour ♥., néphilims, suspens, mystère, danger, sacrifice, amitié, coup de coeur ♥
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#Posté le jeudi 22 août 2019 05:34

Modifié le samedi 25 avril 2020 15:56

FICHE LECTURE : Journal d'un Vampire - T1 : Le Réveil

FICHE LECTURE : Journal d'un Vampire - T1 : Le Réveil
• TITRE V.O. : The Vampire Diaries, book 01: The awakening.
• AUTRICE : L.J. Smith.
• ANNÉE : 1991, 2007 (ETATS-UNIS) ; 2009 (FRANCE).
• GENRE(S) : Bit-lit, urban fantasy.
• THÈMES : Amour - Vampires - Créatures surnaturelles - Lourd passif - Ranc½ur - Trahison - Triangle amoureux - Vengeance - Deuil - Amitié - Adolescence - Superficialité - Famille - Drame - Suspens - Mystère - Secrets - Noirceur - Danger - Sorcellerie - Magie - Passion - Immortalité...
• PAGES : 453.

Dès l'arrivée de Stefan Salvatore à Fell's Church, Elena, la reine du lycée, se jure de le séduire. D'abord distant, le garçon aux allures d'ange rebelle finit par céder à sa passion dévorante... et à lui révéler son terrible secret. Quelques siècles plus tôt, la femme qu'il aimait l'a transformé en vampire, avant de le trahir avec son frère ennemi, Damon. Des événements tragiques se succèdent bientôt dans la région. Tout accuse Stefan mais Elena est convaincue de son innocence. Et si Damon, vampire cruel et assoiffé de sang, était derrière tout cela ? L'histoire est-elle amenée à se répéter ?

ஜ MON AVIS : Chronique rédigée en 2013 - attention, spoilers !

Ça y est ! J'ai commencé mon challenge Découvre tes univers ! Le but ? Lire douze livres de bit-lit avant le 13 novembre 2013 ! Et j'ai décidé durant ce challenge de lire les huit premiers tomes de la saga Journal d'un vampire (ne vous en faites pas, je lirai les deux derniers en date également !). C'est parti donc pour ma chronique du premier tome : Le réveil !

Comme je le fais toujours, allons côté personnages : notre héroïne, Elena, m'a paru souvent agaçante, et j'ai trouvé cela très dommage. En effet, en général, il me tient très à c½ur de m'attacher à l'héroïne centrale de l'histoire, à m'identifier à elle, voire même à l'admirer si je trouve son comportement suffisamment exemplaire pour que cela puisse être remarquable. Avec Elena, je ne sais franchement pas sur quel pied danser. A certains moments, elle m'a paru insupportable à manipuler tout le monde pour avoir Stefan rien qu'à elle, et à d'autres, il m'a semblé qu'elle se rendait compte de ses actes et s'en repentait. Durant certains passages, elle m'a semblé pitoyable de par son comportement (l'exemple le plus flagrant est celui où elle pleure car Stefan la rejette. Et on sent qu'elle pleure juste parce que sa popularité en prend un coup. J'ai trouvé cela RI-DI-CULE) et à d'autres on a sincèrement pitié pour elle, on éprouve de la compassion envers elle. Par exemple, quant Damon la menace de s'en prendre à Margaret, sa petite s½ur, si elle ne l'invite pas dans sa chambre (ce passage était tout bonnement affreux, rien que d'y repenser, j'en frissonne encore !). Ou quand elle est à la recherche de Stefan, jeté dans un puits par son frère (qui, aussi "irrésistible" soit-il est fort peu sympathique au demeurant quand on prend la peine d'y réfléchir à deux fois). En parlant du couple Elena/Stefan, je les aime beaucoup ensemble (PAS TAPER, PAS TAPER !). Certes, au départ, j'étais tout à fait contre leur couple, car Elena ne semblait vouloir conquérir Stefan que parce qu'il était beau à tomber (ce qui était vrai à ce moment-là de l'intrigue). Mais par la suite, on se rend compte que son amour est sincère et du coup, je les ai trouvés très beaux ensemble. Pour ce qui est des amis d'Elena, je les ai adorés ! Meredith, très sérieuse, brillante et mature, est toujours prête à aider ses amis et à les protéger. Math, malgré sa rupture avec Elena, n'hésite pas à l'aider, ainsi que Stefan, en leur prêtant sans cesse sa voiture (il va même avec Stefan carrément chercher de la verveine, c'est dire son niveau de dévouement !). Quant à Bonnie, je l'ai trouvée purement et simplement adorable ! Sincèrement, elle est très touchante et attachante. Et j'ai hâte de voir comment ses pouvoirs de druidesse/médium vont évoluer. Concernant Katherine, je l'ai trouvée complètement stupide (excusez l'adjectif). Franchement, se suicider afin que les frères Salvatore se rapprochent ?! Quel raisonnement parfaitement idiot ! C'est dommage qu'elle ait agi comme cela parce qu'au départ, elle était très gentille, attachante, douce et amoureuse des deux frères. Certes, elle n'a pas su choisir entre les deux, mais elle les aimait tellement que je suis passée outre. Mais après, ce suicide... Ne vous y méprenez pas : j'ai été très attristée de sa mort et j'imagine l'accablante tristesse qu'elle a dû ressentir vis-à-vis de la rivalité des deux frères. Néanmoins, le motif qu'elle donne à son tragique passage à l'acte n'est absolument pas valable à mes yeux. Le seul résultat que cela a eu, c'est que les deux frères ont fini par s'entretuer ! D'ailleurs, je vais finir mon point sur les personnages avec eux : je les aime beaucoup tous les deux. Stefan m'a beaucoup attendrie, il tient à vivre normalement, comme un être humain normal en somme, il ne veut pas leur faire de mal, et il est encore profondément blessé par la mort de Katherine. Surtout, on sent qu'il aime immensément Elena. J'ai été choquée par le passage du puits, je ne voulais pas qu'il meurt, et j'ai bien cru qu'il allait y passer (enfin, s'il avait été vraiment mort, l'histoire aurait été fort ennuyeuse après !). Pour ce qui est de Damon, j'en suis éperdument amoureuse. En même temps, je suis déjà folle de lui dans la série ! Mystérieux, ténébreux, incroyablement beau et charmeur... C'est simple, le "Damon version papier" ne m'a pas déçue une seule seconde ! Je veux bien être sa reine des ténèbres s'il veut ! Je lui reprocherais juste deux choses : d'avoir voulu tuer Stefan et s'en prendre à la petite Margaret. Mais bon, sinon, il est parfait !!!! [UPDATE : c'est la Nanette de 14-15 ans complètement gaga de vampires ténébreux préférant écouter ses hormones plutôt que son cerveau qui a écrit cela il y a sept ans déjà, vous verrez en réalité que mon avis concernant le fameux ainé Salvatore est bien plus nuancé que cela un peu plus bas si vous continuez la lecture de cette chronique]

Côté histoire, elle ne manque pas de rebondissements : qui a assassiné Mr. Tanner ? Qui a tué le chien de Bonnie ? Qui s'en est pris à Vicky ? Celle-ci accuse sans cesse Elena. Je pense que Katherine y est pour quelque chose à ce niveau-là, malgré son suicide il y a des siècles de cela... On en découvrira certainement plus dans les autres tomes. Pour ce qui est de Mr. Tanner et du chien de Bonnie, c'est sûrement Damon qui a fait le coup, même si Stefan me fiche sacrément le doute avec sa foutue culpabilité. J'ai réellement cru que son secret, sa condition de vampire, allait être révélée par Caroline en lisant le journal intime d'Elena devant tout Fell's Church. Heureusement que Damon a rattrapé le coup ! Il sert quand il veut celui-là ! Je sais, je suis méchante mais son côté bad boy m'attire immensément autant qu'il me casse sérieusement les pieds par moments... Enfin, la fin m'a totalement surprise : je n'aurai jamais cru qu'Elena mourrait aussi tôt d'un accident de voiture ! Ou plutôt, qu'elle deviendrait aussi vite un vampire ! Je vais de suite lire le second tome pour découvrir la suite de toute cette histoire !

Conclusion : Un premier tome envoûteur, accrocheur, qui promet une belle saga et une fabuleuse histoire de vampires ! ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, Journal d'un Vampire, Tome 1 ♥, Le réveil, Littérature américaine, L.J. Smith, 1991, 2007, 2009, Bit-lit, Urban fantasy, Amour ♥., vampires, Créatures surnaturelles, lourd passif, rancoeur, trahison, triangle amoureux, vengeance, deuil, amitié, adolescence, superficialité, famille, drame, suspens, mystère, secrets, noirceur, danger, sorcellerie, magie, passion, immortalité, Très bonne lecture
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#Posté le jeudi 22 août 2019 05:20

Modifié le mercredi 15 avril 2020 14:19

FICHE LECTURE : Kayla Marchal - T1 : L'exil

FICHE LECTURE : Kayla Marchal - T1 : L'exil
• AUTRICE : Estelle Vagner.
• ANNÉE : 2016 (FRANCE).
• GENRE(S) : Urban fantasy, Young Adult.
• THÈMES : Morphes - Loups - Meutes - Métamorphes - Souffrance - Chagrin - Violence - Vengeance - Passé qui ne passe pas - Guerre - Discrimination - Intolérance - Enfance à la dure - Premiers émois - Attirance - Amour - Quatuor amoureux - Amitié - Préjugés - Apparences - Méfiance - Secrets - Mystère - Haine - Combat - Apprentissage - Rêves - Paranormal - Suspens - Famille - Humour...
• PAGES : 340.

Ironique destin que d'être née morphe... sans forme animale. Source de honte pour sa famille, Kayla Marchal, petite fille de l'alpha, est également considérée comme le maillon faible de la meute de la Vallée Noire. Aussi en est-elle chassée, elle qui n'a jamais mis un pied hors du territoire.

Alors qu'elle commence à goûter à la liberté et à s'intégrer au sein d'un autre clan, les vrais problèmes commencent. Mais déjà trahie une fois par sa meute d'origine, à qui pourrait-elle se fier ? À Ian, le loup aussi beau qu'insupportable ? À Max, le renard au passé mystérieux ? Ou à Jeremiah, l'irrésistible humain ?

Et ce fichu karma qui la prive de forme animale continue à se moquer d'elle, car tout le monde autour d'elle semble, porter un masque... Inaptitude du passé et problèmes du présent vont venir, main dans la main, perturber la jeune morphe, avec des liens qu'elle était loin de pouvoir soupçonner.

ஜ MON AVIS :

Coucou les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du premier tome de la trilogie Kayla Marchal signée Estelle Vagner ou l'un de mes derniers achats livresques faits plus précisément au salon du livre de Colmar. L'autrice avait su me vendre du rêve avec son intrigue résolument fantastique, savoureuse, rocambolesque, captivante et ayant pour personnage central... une vosgienne ! Cocorico départemental, avouez que cela fait du bien lorsque l'on croise des gens de chez nous dans nos lectures. S'ajoute à cela que cette dernière adore le lard, comme toute bonne montagnarde qui se respecte. Il n'en fallait pas plus pour me séduire et ainsi me convaincre d'acheter ce roman. Et force est d'avouer que je l'ai goulument dévoré !

Pour faire simple, je dirais que la plus grande force de ce premier tome, c'est celle de se lire comme un rien. En effet, les pages se tournent toutes seules, sans que l'on ait à faire le moindre effort ; dès les premiers chapitres, on est directement happés et il nous devient alors impossible de lâcher le bouquin avant de l'avoir fini. Il n'y a rien à redire là-dessus : l'écriture d'Estelle Vagner est hyper efficace, addictive au possible et tous les rebondissements complètement délirants de l'intrigue s'enchaînent sans anicroche. Le seul petit bémol que je pointerais du doigt, ce sont les nombreuses répétitions qui ponctuent le récit, du style "Accroche toi Kayla" ou alors le nombre incalculable de fois où l'on nous rabâche que face à un beau mâle sculpté dans le marbre, notre héroïne se retrouve telle un poisson hors de l'eau incapable de prononcer la moindre parole cohérente. Mais en dehors de ce petit point noir au tableau, j'ai vraiment trouvé le récit rondement bien mené, avec un rythme soutenu, intense, effréné même sur la fin : très sincèrement, on ne s'ennuie pas une seconde.

Pour ce qui est des personnages, j'attends de voir quelle sera leur évolution dans les deux prochains tomes (car oui, je compte résolument les lire, c'est une certitude !) avant de véritablement vous parler de ces derniers plus en détail. Sachez juste que ce sont ici les filles/femmes qui portent la culotte ! En effet, même si Kayla a sacrément du mal (c'est là un doux euphémisme) à ne pas se laisser submerger par ses hormones face à des mâles eux aussi en rut, je l'ai trouvée extrêmement attachante et j'ai énormément apprécié sa redoutable force de caractère. Une chose est sûre, c'est qu'elle ne se laisse pas marcher sur les pieds ! Cependant, ma préférence niveau protagonistes pour ce premier tome va sans hésitation à Jade. Cette fille est juste... WAW ! Jade, je t'aime, voilà. Quant aux trois garçons qui constituent notre quatuor amoureux assurément peu commun... J'attends qu'ils fassent leurs preuves. Pour le moment, ils ont effectivement sérieusement peiné à me convaincre. Ils vont devoir redoubler d'efforts pour me séduire dans les tomes suivants, je les attends de pied ferme ! En particulier un certain Jérémiah qui n'a ABSOLUMENT pas réussi à me convaincre dans ce premier tome. J'escompte beaucoup mieux d'un représentant de la race humaine. Voyons, Jérémiah, démontre moi que j'ai eu tort de ne pas tout de suite tomber en pamoison à tes pieds, je crois en toi, allez !

Pour conclure, je ne peux que chaudement vous recommander de vous lancer dans la lecture de la trilogie Kayla Marchal. C'est frais et chaud bouillant à la fois (n'allez pas vous imaginer des trucs hardcore, je vous vois, bande de coquinous), c'est haletant au possible et la fin tonitruante de ce premier tome m'a assurément donné envie de croquer dans la suite à pleines dents façon louve affamée ! Il me tarde désormais d'avoir les tomes deux et trois sous les griffes ! ★★★★(★)

Nanette ♥
Tags : fiche lecture, Editions du Chat noir, Kayla Marchal, Tome 1 ♥, Trilogie, L'exil, Estelle Vagner, 2016, Littérature française, Urban fantasy, young adult, morphes, loups, meutes, métamorphes, souffrance, chagrin, violence, vengeance, passé qui ne passe pas, guerre, discrimination, intolérance, enfance à la dure, premiers émois, attirance, amour, quatuor amoureux, amitié, préjugés, apparences, méfiance, secrets, mystère, haine, combat, apprentissage, rêves, paranormal, suspens, famille, humour, Excellente lecture !
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#Posté le samedi 30 novembre 2019 09:14

Modifié le mercredi 15 avril 2020 14:00

FICHE LECTURE : Les arcanes du temps

FICHE LECTURE : Les arcanes du temps
• AUTEUR : Lionel Behra.
• ANNÉE : 2013 (FRANCE).
• GENRE (S) : Uchronie, science-fiction, thriller.
• THÈMES : Voyage dans le temps, réécriture de l'Histoire, technologie, Moyen-Age, Jeanne d'Arc, Vosges, Lorraine, adolescence, équipe, amitié, entraide, solidarité, famile, soutien, complicité, confiance, courage, contre contre la montre, romance, aventure, action, suspens, danger, machination...
• PAGES : 426.

Et si les voix que Jeanne d'Arc prétendait entendre n'étaient pas d'origine divine et que la réalité se révélait plus stupéfiante encore ? Et si une technologie de voyage intertemporel permettait d'agir sur le passé pour modifier le présent? Après de multiples aventures, Khéléan va découvrir que notre Histoire n'est que le fruit d'une incroyable machination...

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique des Arcanes du temps signé Lionel Behra aux éditions Rebelle !

Cela fait maintenant un peu plus deux ans (eh oui, déjà...) que j'ai découvert ce roman qui avait sur la papier tout pour me plaire (un savant mélange de littérature fantastique et historique pour les ados, je ne pouvais qu'adhérer !) et dont je garde effectivement un excellent souvenir ! Si je serais bien incapable de me remémorer l'histoire et ses protagonistes dans le détail, je peux en revanche vous garantir sans trop me tromper que ce one-shot m'a fait vivre un (des, même !) voyages dans le temps comme j'en ai rarement vécus au détour de mes escapades livresques. Rien que ça !

En toute honnêteté, il me tenait avant toute chose à c½ur de lire ce titre d'une part pour soutenir un auteur de ma région et d'autre part pour mettre en avant une intrigue se déroulant dans mon propre département, mes Vosges bien aimées ! Résultat, j'ai été comblée tant par la plume dynamique, inventive et tout ce qu'il y a de plus entraînante de Lionel Behra que par le bel hommage que ce dernier rend à notre incontournable figure locale Jeanne d'Arc en la dépeignant comme un petit bout de femme extrêmement courageux, indépendant d'esprit et qui force assurément l'admiration ! Les autres personnages de l'½uvre ne sont pas en reste également ; je les ai pour ma part trouvés irrésistiblement attachants et je me sentais comme faisant partie de leur joyeuse troupe indéniablement aventureuse !

Pour conclure, si vous cherchez une uchronie intelligente, rondement bien menée, truffée d'haletantes péripéties auprès d'adolescents qui ne manquent certainement pas de témérité et d'ardeur, alors Les arcanes du temps est fait pour vous ! De mon côté, j'ai été conquise par cette formidable épopée entre présent et passé que l'auteur nous propose de vivre ici et rien que d'en reparler, cela me donne envie de réitérer l'expérience ! Mais avant cela, il serait grand temps que je laisse sa chance au reste de la bibliographie de cet auteur de grand talent (en voilà une bonne résolution post-confinement !) ★★★★(★)

Nanette ♥

« En effet, il y a dix mois environ, Norbert touchait une prime substantielle de cinq millions de livres sterling et Blackrow débouchait un jéroboam de Dom Pérignon rosé de 1976. En portant la coupe à ses lèvres de "mégalomane cinglé", il se dit que la prochaine fois qu'il boirait du champagne, cette boisson de luxe serait un produit anglais.

Son projet saugrenu de rayer la France de la carte du monde allait bientôt devenir réalité grâce au génie de Norbert. Le scientifique était enfin parvenu à développer un modèle de bracelet permettant non seulement l'aller dans le passé, mais aussi le retour vers le futur. »
Tags : Fiche lecture, éditions Rebelle, Les arcanes du temps, Lionel Behra, Littérature française, 2013, Uchronie, science-fiction, thriller, Voyage dans le temps, réécriture de l'Histoire, technologie, Moyen-Age, Jeanne d'Arc, Vosges, Lorraine, adolescence, équipe, amitié, entraide, solidarité, famile, soutien, complicité, confiance, courage, contre contre la montre, romance, aventure, action, suspens, machination, danger, Excellente lecture !
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#Posté le dimanche 12 avril 2020 05:42

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