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FICHE LECTURE : La forêt des araignées tristes

FICHE LECTURE : La forêt des araignées tristes
• AUTEUR : Colin Heine.
• ANNÉE : 2019 (FRANCE).
• GENRE (S) : Steampunk, fantastique, policier.
• THÈMES : Enquête - Aventure - Mystère - XIXe siècle - Suspens - Effroi - Gothique - Mort - Menace - Dangers - Ingéniosité - Déductions - Politique - Guerre - Complot - Espionnage...
• PAGES : 488.

Bastien est paléontologue : sa spécialité ? Étudier les créatures étranges qui naissent de la vape, ce mystérieux brouillard aux propriétés énergétiques extraordinaires qui a recouvert le monde et menace de l'engloutir un peu plus chaque jour. Tour à tour victime d'un dramatique accident en apparence banal duquel il réchappe de justesse et témoin d'un attentat, où sa survie ne tient à nouveau qu'à un fil, il voit son destin basculer. Le voilà pris dans l'engrenage d'une affaire d'espionnage d'envergure internationale, sous les feux croisés d'une société secrète d'assassins, de brutes armées et d'une agence de détectives aux méthodes douteuses. Sans compter qu'une créature cauchemardesque, tout droit venue des Vaineterres, ces zones perdues dans un océan de vape, semble bien décidée à lui faire la peau...

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique de La forêt des araignées tristes par Colin Heine. Il s'agissait d'une de mes dernières acquisitions livresques des Imaginales (de l'an passé donc...) que je n'avais pas encore lue et que mes deux amies Justine et Camille m'avait offerte. Je les remercie encore infiniment pour ce beau cadeau.

In fine, qu'ai-je pensé de ce livre ? Eh bien, c'est à vrai dire tout ce qu'il y a de plus confus. Si j'ai juste adoré la plume de l'auteur et la force colossale de son imaginaire, j'ai en revanche eu énormément de mal à voir où tout cela voulait en venir. J'ai en effet eu l'impression qu'à vouloir mélanger un nombre infini de genres, entre autres le steampunk, le fantastique/horrifique et le thriller, l'auteur se perdait dans les messages qu'il souhaitait nous transmettre. Je trouve cela fort dommage car le roman est en outre ponctué de passages dénonçant des injustices sociétales malheureusement encore en vigueur aujourd'hui que j'ai trouvé fondamentaux qui se noient dans le reste de l'intrigue. En clair, il y a de la suite dans les idées mais ces éclairs de génie se retrouvent très rapidement éclipsés par la noirceur et la singularité détonante du récit, dont la bizarrerie va à mon sens beaucoup trop loin, même pour moi qui suis amatrice de créativité débridée.

De la même façon, je n'ai pas réussi à véritablement m'attacher aux personnages que j'ai trouvé trop peu développés. J'aurais voulu en savoir beaucoup plus sur eux, sur leur passé, leurs proches et leurs motivations mais là où je m'attendais à une grande porte ouverte sur leur vécu, je n'ai eu qu'un tout petit hublot, soit fort peu à me mettre sous la dent. Surtout, vu que tout dans le récit allait beaucoup trop vite, j'ai eu la sensation d'à peine avais-je fait la connaissance des protagonistes de cette histoire que tout s'était déjà résolu... ou pas, justement.

Cela m'amène à aborder ce qui est selon moi le plus gros et dérangeant bémol de ce roman, à savoir son dénouement, que j'ai pour ma part trouvé bien trop abrupte et insoluble. Techniquement, j'ai bien assimilé tout ce que ses derniers paragraphes avaient à me révéler, pas de problèmes de ce côté. Ce que je déplore, c'est que je n'ai tout bonnement pas su interpréter les informations qui m'ont été transmises dans cet épilogue pour le moins déroutant et incompréhensible à mon humble opinion.

Pour conclure, malgré une intrigue à mes yeux beaucoup trop précipitée et brouillonne, je ne regrette pas d'avoir laissé sa chance à La forêt des araignées tristes (si d'ailleurs quelqu'un pouvait m'expliquer le choix de ce titre fort attirant et poétique au demeurant, je l'en remercierais chaleureusement) pour la richesse et la fluidité de la plume. Je ne désespère pas, je suis persuadée que l'auteur saura pleinement me convaincre à l'avenir avec un autre de ses romans. En attendant, si vous cherchez un récit d'une originalité folle (c'est le cas de le dire) au suspens savamment maîtrisé et à l'atmosphère diantrement sombre et particulière, vous savez ce qu'il vous reste à faire ! ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, éditions ActuSF, Colin Heine, 2019, Littérature française, Steampunk, fantastique, policier, enquête, aventure, mystère, XIXe siècle, suspens, effroi, gothique, mort, menace, dangers, ingéniosité, déductions, politique, guerre, complot, espionnage, Bonne lecture
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#Posté le lundi 22 juin 2020 09:33

Modifié le mardi 23 juin 2020 10:15

FICHE LECTURE : Le chien des Baskerville

FICHE LECTURE : Le chien des Baskerville
• TITRE V.O. : The Hound of the Baskervilles.
• AUTEUR : Sir Arthur Conan Doyle.
• ANNÉE : 1902 (GRANDE-BRETAGNE) ; 1905 (FRANCE).
• GENRE (S) : Policier.
• THÈMES : Enquête - Aventure - Mystère - Suspens - Effroi - Gothique - Fantastique - Légende - Malédiction - Dynastie - Fortune - Mort - Menace - Dangers - Ingéniosité - Déductions - Humour...
• PAGES : 255.

Des cris lugubres résonnent sur la lande...
Et voici que la légende prend corps. Un chien énorme, créature fantomatique et infernale, serait à l'origine de la mort de sir Charles Baskerville. Maudit soit Hugo, l'ancêtre impie et athée, qui provoqua, en son temps, les forces du mal !
Mais Sherlock Holmes ne peut croire à de telles sornettes. Aussi, lorsqu'il dépêche le fidèle Watson auprès de sir Henry, l'héritier nouvellement débarqué d'Amérique, il ne doute pas de mettre rapidement fin à ces spéculations. Pourtant, la mort a frappé plusieurs fois sur la lande. Et le manoir est le théâtre de phénomènes bien étranges... Se peut-il que la malédiction des Baskerville pèse encore ?

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un titre phare de la littérature policière anglaise, j'ai nommé Le chien des Baskerville par Arthur Conan Doyle.

J'étais extrêmement curieuse de découvrir ce qui est probablement le volet le plus connu des aventures de notre illustre Sherlock Holmes... et je ne vous cache pas que j'ai été un tantinet déçue par cette lecture dont j'attendais résolument plus. En effet, le résumé de ce livre m'avait vendu du rêve avec cette histoire de soi-disant chien démoniaque qui hanterait toute une famille sur plusieurs générations. Cela me promettait de l'aventure, une enquête tumultueuse, du frisson et c'est effectivement ce que j'ai obtenu, mais...

Pour commencer, j'ai trouvé l'atmosphère de ce roman absolument exquise. L'aura qui se dégage de ce livre est à la fois très raffinée, so british, et délicieusement mystique, sombre et gothique à partir du moment où Watson est invité à mener l'enquête chez les Baskerville... sans Sherlock ! À tout le moins, notre détective incomparable à aucun autre est absent pendant une bonne partie de l'intrigue pour des raisons que je l'expliciterai pas ici... Bref, dès l'instant où Watson devient l'hôte du nouvel héritier des Baskerville et où l'on est amené à explorer la lande environnante du fameux manoir hanté, j'étais séduite ! J'adore les descriptions d'une nature sauvage, imprévisible, où tous les dangers (style un chien venu tout droit des enfers) peuvent s'y tapir et avec Le chien des Baskerville, j'ai été servie !

Cependant, mon excitation est retombée très rapidement comme un soufflé. En effet, le livre est court et si l'écriture d'Arthur Conan Doyle se boit comme du petit lait (ou plutôt comme un bon thé bien chaud), son charme et sa fluidité ne m'en ont pas fait oublier la facilité avec laquelle se résout l'intrigue. En fait, ce n'est pas tant que l'intrigue se résout trop aisément à mon goût ; c'est plutôt le fait que je n'ai pas compris quelles étaient les réelles intentions du coupable qui m'embête. Ce dernier nous fournit certes un certain nombre de raisons l'ayant poussé à de telles agissements mais cela n'éclaircit absolument rien de mon côté. En comparaison, j'avais trouvé l'histoire en arrière-plan de la première aventure de Sherlock Holmes, Une étude en rouge, bien plus développée, originale et crédible. Après, je dois reconnaître que je n'ai rien vu venir ou presque avec Le chien des Baskerville pendant une bonne partie du récit mais, une fois le dénouement survenu, je n'ai pas pu m'empêcher de me sentir trahie, bafouée. Je me suis à ce moment-là « Tout ça pour ça ? » et ce n'était certainement pas ainsi que je souhaitais clore l'une des mémorables enquêtes de Sherlock, vous pouvez me croire.

Pour conclure, j'étais impatiente à l'idée d'enfin me plonger dans la lecture de l'incontournable Chien des Baskerville et, si j'ai pris un immense plaisir à retrouver le duo mythique que forment les irremplaçables Sherlock et Watson et trouvé l'atmosphère lugubre et teintée d'horreur du récit au poil (Vous comprenez ? Chien des Baskerville, poil... OK, je sors...), je n'ai en revanche pas été satisfaite de la fin que j'escomptais plus surprenante ainsi que de la psychologie des personnages que j'aurais voulu voir plus poussée encore. Malgré cela, je ne regrette pas d'avoir laissé sa chance à ce livre qui reste un très agréable moment de lecture que je garderai un certain temps en mémoire ! ★★★(★)★

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, Livre de Poche, Le chien des Baskerville, Littérature britannique, Arthur Conan Doyle, 1902, 1905, Roman policier, enquête, aventure, mystère, suspens, effroi, gothique, fantastique, légende, malédiction, dynastie, fortune, mort, menace, dangers, ingéniosité, déductions, humour, Bonne/très bonne lecture
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#Posté le vendredi 19 juin 2020 09:16

Modifié le mardi 23 juin 2020 04:12

FICHE LECTURE : L'école des Rêves - T1 : La promotion Neptune

FICHE LECTURE : L'école des Rêves - T1 : La promotion Neptune
• AUTEUR : Paul Ivoire.
• ANNÉE : 2020 (FRANCE).
• GENRE (S) : Fantastique, jeunesse.
• THÈMES : Monde des rêves - École - Apprentissage - Peur de l'échec - Aptitudes exceptionnelles - Créatures fantastiques - Animaux parlants - Entraide - Amitié - Courage - Mystère - Suspens - Humour...
• PAGES : 195.

Bienvenue dans la fabrique des rêves !

Loin au-dessus de nos têtes, par delà les nuages, se trouve le monde d'Evêria, où sont fabriqués les songes des humains.

À dix ans, le jeune Kimlan fait son entrée dans la prestigieuse école des rêves. Il y découvre les combats d'Imagination, les voyages à travers les tableaux, et fait la rencontre de drôles de créatures. Son but : obtenir sa première comète afin de rejoindre l'incroyable Atelier des Mille et un Songes.

Les leçons du maître des Cauchemars le mettent cependant en difficulté. Est-ce à cause de ce curieux pouvoir dont parlent les Anciens ? Et quelles sont ces mystérieuses chauves-souris qui envahissent les couloirs de l'école ?

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du premier tome d'une saga jeunesse qui s'annonce extrêmement prometteuse, j'ai nommé L'école des rêves signée Paul Ivoire. Je remercie infiniment les éditions Poulpe Fiction pour cet envoi juste merveilleux.

Avant même de commencer ce livre, je savais que j'allais embarquer pour une aventure tout bonnement extraordinaire et pour le moins... onirique. Il faut dire qu'Antoine Brivet a réalisé un remarquable travail avec cette illustration de couverture, véritable invitation au voyage, et que le reste de ses dessins proposés à nos mirettes ébahies au cours de la lecture ont achevé de m'immerger au sein de ce monde céleste et lumineux purement et simplement magique.

Après, rien de tout cela n'aurait été possible sans l'exponentielle force d'Imagination (oui, avec un grand I, vous comprendrez si vous lisez ce livre) de Paul Ivoire dont je découvrais ici pour la première fois la plume enchanteresse et la créativité sans limites. Alors certes, le postulat de départ, à savoir des enfants semblables aux humains se rendant dans une école extraordinaire pour y suivre une formation résolument pas comme les autres, n'est pas ce qu'il y a de plus novateur en matière de littérature jeunesse, mais c'est tout ce que Paul Ivoire est parvenu à nous proposer à partir de cette "simple" base qui m'a laissée sans voix. Pour résumer simplement, chaque paragraphe de ce récit, chaque ligne, chaque mot même est empreint d'une féerie presque irréelle ; chaque élément de cet univers somme toutes abracadabrantesque a été pensé de façon à nous faire nous évader, à nous donner envie de faire partie intégrante du fabuleux monde d'Evêria. Pour ma part, je ne désirais qu'une chose en progressant dans ma lecture : suivre les cours enseignés au Château de Chambord au côté de nos formidables jeunes héros et côtoyer notamment les Mililims, ces exceptionnels animaux à l'origine de nos rêves comme de nos cauchemars les plus fous. Pour être tout à fait honnête avec vous, j'ai vécu ma lecture de ce premier tome comme un authentique rêve éveillé, comme si je faisais moi aussi partie de la promotion Neptune et que j'avais la chance de pouvoir obtenir ma première Comète en étudiant entre autres la conception des rêves qui sont envoyés au subconscient des humains (oui nous, commun des mortels) et en essayant de comprendre comment des erreurs peuvent être produites au sein de ce fascinant Atelier des Mille et un Songes qui sera probablement au centre de l'intrigue dans le tome deux. Il me tarde d'en apprendre plus sur cette époustouflante fabrique ainsi que sur nos surprenants protagonistes ! En réalité, tant d'autres mystères restent à être élucidés au sein de cet esbroufant château, je trouve cela absolument exaltant !

Pour conclure, quelque soit votre âge, je ne peux que vous encourager à vous procurer séance tenante ce premier tome des spectaculaires péripéties de l'adorable Kimlan au sein de son collège incomparable a aucun autre. Cela tombe bien, il sort justement aujourd'hui, je ne pouvais pas rêver meilleur timing ! Plus sérieusement, je puis vous assurer que vous ne serez pas déçus en découvrant la promotion Neptune. Lire ce roman, c'est comme être sur un petit nuage de douceur, c'est retrouver son innocence et ses yeux émerveillés de petit enfant. Vous l'aurez compris, j'ai de mon côté été assurément séduite par ce début de saga qui a selon moi tout bon ! Vous embarquerez bien vous aussi au-delà des nuages avec moi, non ? COUP DE FOUDRE ϟ

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, L'école des rêves, La promotion Neptune, Tome 1 ♥, service de presse, Poulpe Fictions, Fantastique, Jeunesse, Paul Ivoire, Littérature française, 2020, Monde des rêves, écolé, apprentissage, peur de l'échec, aptitudes exceptionnelles, créatures fantastiques, Animaux parlants, Entraide, amitié, courage, mystère, suspens, humour, Coup de foudre ♥
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#Posté le jeudi 18 juin 2020 03:24

Modifié le jeudi 18 juin 2020 05:27

FICHE LECTURE : Vampire Academy, book 1 : Blood Sisters

FICHE LECTURE : Vampire Academy, book 1 : Blood Sisters
Saga traduite en français

• AUTRICE : Richelle Mead.
• ANNÉE : 2007 (ETATS-UNIS) ; 2010 (FRANCE).
• GENRE (S) : Urban fantasy, roman ado.
• THÈMES : Adolescence - High School life - Vampires - Protection - Magie - Amitié - Amour impossible - Famille - Deuil - Noirceur - Mystère - Suspens - Pouvoir - Secret - Passion - Jalousie - Rivalité - Romance - Apprentissage - Humour...
• PAGES : 332.

Rose Hathaway is a dhampir, half-vampire and half-human, who is training to be a guardian at St. Vladimir's Academy along with many others like her. There are good and bad vampires in their world: Moroi, who co-exist peacefully among the humans and only take blood from donors, and also possess the ability to control one of the four elements - water, earth, fire or air; and Strigoi, blood-sucking, evil vampires who drink to kill. Rose and other dhampir guardians are trained to protect Moroi and kill Strigoi throughout their education. Along with her best friend, Princess Vasilisa Dragomir (Lissa), a Moroi and the last of her line, with whom she has a nigh unbreakable bond. Rose is able to feel Lissa's emotions through her bond and can sometimes enter her body without Lissa knowing when her emotions are too strong. Rose and Lissa ran away from their school, the Vampire Academy, two years ago and survive through the use of compulsion and by feeding off of each other. They had been moving from places to places, but this time, they got caught by the school guardians and returned to their school.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du premier tome de la célèbre saga d'urban fantasy pour ados Vampire Academy par Richelle Mead. Je ne vous cacherai pas qu'avant même que je n'entame ce roman, j'avais peur que ce dernier ne me plaise pas. En effet, il est loin le temps où la littérature vampirique pour adolescents était mon genre de prédilection. Je dirais même que c'est une lubie qui m'est très rapidement passée. Et pourtant, je me suis surprise à apprécier le premier tome de cette saga pétrie de sang qui coule et de mystère bien plus que je ne l'aurais imaginé de prime abord !

Pour commencer, j'ai énormément aimé la plume de Richelle Mead, simple mais rondement efficace. Je l'ai trouvée pour ma part rafraîchissante, pétillante, et elle ne manque assurément pas de mordant, c'est le cas de le dire. Elle vous embarque dès la première ligne et ne vous relâche plus avant que le livre ne soit terminée. Une chose est sûre, si vous avez un niveau intermédiaire ou même débutant (avec quelques solides bases tout de même) en anglais et que vous souhaitez commencer à avoir des lectures plaisir dans cette langue, il n'y a pas mieux que Vampire Academy comme galon d'essai ! De mon côté, j'ai un très bon niveau d'anglais en général mais je n'ai pas du tout l'habitude de réaliser mes lectures quotidiennes en V.O. et c'est Vampire Academy m'a permis de sérieusement me mettre dans le bain, qui m'a donné le coup de pouce dont j'avais bien besoin pour me faire entrer une bonne fois pour toutes dans le merveilleux univers des lectures en V.O. Vous l'aurez compris, si vous cherchez une écriture originale travaillée et truculente à souhait mais suffisamment simple d'accès, Vampire Academy saura sans aucun doute vous procurer votre bonheur !

Un autre point du roman qui m'a définitivement séduite, c'est la façon dont l'autrice a choisi de réorganiser la société vampirique avec d'un côté les Moroi et de l'autre les Strigoi. Richelle Mead a tout bonnement réinventé le mythe du vampire en inventant la caste des Moroi, ces vampires qui vieillissent comme le commun des mortels et ont une connexion toute particulière à la nature, ce qui est normalement un comble pour nos enfants de la nuit qui sont généralement des morts vivants et donc par essence contre-nature. Ici, les Moroi sont non seulement profondément attachés à cette dernière mais en plus, ils pratiquent une magie reliée aux cinq éléments (façon Witch, vous voyez). J'ai justement hâte d'en apprendre plus sur cette sorte de Wicca que l'on enseigne aux étudiants Moroi et sur les spécialisations qui peuvent se révéler à eux. Last but not least, on inculque aux Moroi à être particulièrement pieux ; leur attache à la religion est aussi forte que celle à la nature et cela m'a autant fait hurler de rire que sincèrement touchée au vu du fait que je suis croyante/pratiquante moi-même d'une religion. Dans l'ensemble, j'ai adoré la façon dont la Vampire Academy fonctionnait, les cours qui y sont enseignés tant aux Moroi qu'à leurs futurs protecteurs mi-humains mi-vampires que sont les novices Dhampirs et il me tarde désormais de passer plus de temps au sein de cette vénérable institution et notamment de découvrir d'où émane véritablement la rivalité/haine entre les Moroi et les Strigoi qui quant à eux correspondent bien plus à la figure du vampire sanguinaire et ayant pleinement embrassé la tentation du mal et du pouvoir absolu des ténèbres telle qu'on se l'imagine usuellement.

Passons maintenant à ce qui fâche (il fallait bien que cela explose à un moment donné). Pour être tout à fait franc avec vous, j'ai bien failli abandonner ma lecture de ce premier tome ou à tout le moins faire une pause abrupte dans ma progression car, même si ce dernier se lit super bien et que j'étais la plupart du temps totalement prise dans le feu de l'action, j'ai trouvé la narratrice de l'histoire tout bonnement insupportable. Rosemarie, Rose pour les intimes, est à mon sens l'archétype même de la nana qui se veut rebelle pour le simple plaisir d'être rebelle et donc de faire chier son petit monde (et non par réel souci de défendre ce qui lui semble être juste) ; qui parce qu'elle possède d'indéniables compétences naturelles dans sa formation de Dhampir se permet de prendre ses camarades de classe et même le corps enseignant de l'académie de haut alors qu'elle a encore énormément de choses à apprendre, à commencer par savoir faire preuve d'une sacrée dose d'humilité. Arrogante, inconsciente, Rose croit tout savoir mieux que tout le monde dans un premier temps et cela ne nous la rend pas forcément sympathique au demeurant, vous me le concéderez. Cependant, je suis malgré tout parvenue à m'attacher à elle car elle n'a en réalité pas un mauvais fond. Mais surtout, ce qui m'a le plus émue chez elle, c'est l'amour inconditionnel qu'elle voue à sa meilleure amie Lissa et qui est tout ce qu'il y a de plus réciproque. La sincérité et la puissance de leur amitié n'ont pas manqué de m'ébranler et de me faire in fine aimer ces deux filles qui sont l'incarnation même du néologisme "attachiante" qui peut au passage aussi s'appliquer à pratiquement tous les protagonistes de ce récit. Je regrette malgré tout que leur comportement irresponsable à toutes deux soit justifié à la fin de l'intrigue de façon un peu trop facile à mon goût. Certes, l'autrice a eu le mérite de chercher une explication tangible à leurs actions irrationnelles et l'on se ferait presque avoir mais cela n'a pas pris avec moi. Malgré tout, je suis passée outre au vu de l'évolution que connaît notamment le personnage central de Rose au fil du récit. La petite fille impertinente va laisser la place à un petit bout de femme qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et qui est désormais prêt à tout pour donner le meilleur de soi-même, quitte à constamment en passer par un labeur des plus ardus (la vie des gardiens n'est pas de tout repos après tout, bien au contraire), et cela a fait sincèrement chaud au c½ur à constater.

Là où je ne pardonne pas à Richelle Mead en revanche, c'est concernant l'emploi (si je puis appeler cela ainsi) fait des origines ethniques de Rose. Je m'explique : avant de lire ce roman, j'ai d'abord visionné son adaptation cinématographique sortie il y a de cela quelques années maintenant et que j'avais trouvée fort divertissante au demeurant mais ce n'est pas le sujet aujourd'hui. Le fait est qu'en débutant ce roman, j'avais gardé en tête l'interprétation de Zoey Deutsch en tant que Rosemarie. Sauf que voilà, aussi talentueuse Zoey Deutsch soit-elle, et croyez bien que j'apprécie beaucoup cette actrice en temps normal, elle reste... tout ce qu'il ce qu'il y a de plus caucasienne. Quelle ne fut donc pas ma surprise de découvrir que, dans la saga livresque originelle, le personnage de Rose avait des origines à la fois écossaises et turcs, qu'elle était de ce fait métisse et qu'elle avait tout particulièrement héritée du physique oriental de son père, avec entre autres un teint basané et des cheveux noirs de jais. Rien à voir avec Zoey Deutsch, donc. Déjà que ne pas représenter l'ethnie d'un personnage à l'écran par souci probablement de choisir une actrice à la fois blanche et plus connue que ne l'aurait été une jeune actrice orientale, c'est franchement moyen... Mais le pire du pire à mes yeux, c'est que j'ai eu la très désagréable impression que Richelle Mead n'avait pas choisi de faire de Rose une jeune fille au teint mat originaire du Proche/Moyen-Orient pour que les lectrices venant de cette région du monde puissent se sentir représentées, mais plutôt pour justifier l'attrait que la plupart des étudiants de la gente masculine Dhampirs et Moroi éprouvent à l'égard de notre fougueuse héroïne. Vous comprenez, une Moroi, même mortelle, reste une vampire, ce qui signifie que son taux de mélatonine est et restera drastiquement bas toute sa vie durant donc pas de beau teint hâlé pour faire saliver les crocs de ses messieurs. Et puis, les filles Moroi ne se nourrissant pas comme le commun des mortels, sont d'authentiques planches à pain qui ne peuvent de ce fait que difficilement attirer ces jeunes mâles en rut. Rose, elle, c'est autre chose ! Rose a pile les bonnes formes là où il faut, Rose est appétissante, exotique... Pas besoin de vous faire un dessin à ce stade : le seul intérêt des origines orientales de Rose et des attributs physiquement visibles qu'elle en a hérité, c'est de faire d'elle une bombasse à laquelle il est impossible de résister, ni plus, ni moins. Le superbe message de superficialité que cela fait passer, je vous jure ! Cela m'a mise hors de moi, je puis vous l'assurer... C'est tellement dommage car la plume et l'imaginaire de Richelle Mead valent assurément le détour mais ça, ça, c'est franchement moche, quoiqu'on en dise. Je ne vais pas m'appesantir plus avant là-dessus, vous avez compris le message, mais très sincèrement, cela me fait de la peine et, même si je compte lire les autres tomes de la saga, je n'oublierai certainement pas cet affront envers les personnes, en particulier les filles/femmes, d'origine turque/arabe qui ont dû se sentir extrêmement mal à l'idée d'en être réduites ainsi à de simples objets sexuels...

Pour conclure, malgré la pléthore de clichés propres à la littérature ado que ce premier tome de Vampire Academy peut comporter (je pense entre autres à l'ambiance purement et simplement toxique qui règnerait dans les high schools typiquement américaines où tous les coups bas sont permis pour gagner en popularité), j'ai su tout de même y trouver mon compte et une certaine profondeur à laquelle je ne m'attendais pas, je le reconnais. Après, cela reste avant toute chose une lecture sans prise de tête et c'est pile ce dont j'avais besoin en ce moment donc, quoiqu'il arrive, j'aurai été satisfaite de mes soins. Et puis au fond, ces jeunes adultes malmenés par leurs hormones auront réussi à un tant soit peu me faire fondre, je ne peux pas le nier. Il faut dire que selon moi, la fin de ce premier tome sauve sérieusement les apparences : je l'ai en effet trouvée plus mature/mûrie que le reste du roman, avec un rythme et des réflexions un peu plus posées et des personnages qui ont enfin décidé de garder la tête froide et de suivre leur bonne intuition. Sans mentir, je serais très heureuse de tous les retrouver dans la suite de la saga ! Cela promet d'être sensuel et sanglant tout ça ; la bataille entre Moroi et Strigoi ne fait que commencer et je suis prête à m'y retrouver au beau milieu à mes risques et périls ! ★★★(★)★

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, Lecture V.O., Vampire Academy, Blood Sisters, Tome 1 ♥, Richelle Mead, 2007, 2010, Littérature américaine, Urban fantasy, Roman ado, Adolescence, high school life, vampires, protection, magie, amitié, amour impossible, famille, deuil, noirceur, mystère, suspens, pouvoir, secret, passion, jalousie, rivalité, romance, apprentissage, humour, bonne/très bonne lecture
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#Posté le mercredi 17 juin 2020 09:51

Modifié le mardi 23 juin 2020 10:16

FICHE LECTURE : The Bane Chronicles

FICHE LECTURE : The Bane Chronicles
• AUTRICES : Cassandra Clare, Sarah Rees Brennan, Maureen Johnson.
• ANNÉE : 2014 (ETATS-UNIS).
• GENRE(S) : Fantastique, Young Adult.
• THÈMES : Aventure, histoire, sorcellerie, créatures surnaturelles, néphilims, paranormal, guerre, meurtres, deuil, passé douloureux, retrouvailles, traumatisme, noirceur, souffrance, famille, amitié, fidélité, confiance, mystères, suspens, folie, autorité, politique, préjugés, petit peuple, dilemme, amour, action, urban fantasy, magie, secrets, combativité, courage, effronterie, briser les règles, passion, espoir, entraide, générosité, blessures, humour...
• PAGES : 507.

Ma chronique du tome 1 de The Mortal Instruments - Renaissance : ici.

It's not easy being Magnus Bane. As a warlock, he's often called upon to fix the problems of others. His life as been long, and his loves have been many. And Magnus as a way of making sure he's at the right plae at the right - or perhaps wrong - time. The French Revolution, Prohibition, the great blackout of NYC, the first great battle between Valentine and the New York Institute... Magnus was there, and usually in the middle of it. But smuggling Marie Antoinette out of France is nothing compared to loving a vampire like Camille Belcourt - Or having a first date with Alec Lightwood.
Though Magnus's tale is far from over, these stories shed a little light on his often inscrutable character. What happens when an immortal warlock goes mad ? Are all Herondales as problematic as Will ? ( Answer : yes ) What exactly happend at the Hotel Dumort ? How did Raphael Santiago become a vampire ? What do you buy for your shadowhunter boyfriend when you're not really dating ? And why was Magnus banned from Peru ?
Magnus will never be able to tell all of his tales. No one would believe him. But here are 11 stories that fill in some of the blanks- stories he probably wishes had never gotten out.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du recueil de nouvelles The Bane Chronicles que l'on doit aux plumes conjointes de Cassandra Clare, Maureen Johnson et Sarah Rees Brennan. Étant une grande fan (doux euphémisme) de la saga The Mortal Instruments et plus particulièrement du personnage de Magnus Bane, je me devais de découvrir ce titre... et qu'est-ce que j'ai bien fait de lui laisser sa chance !

En effet, je me suis tout simplement délectée de ma lecture de ce superbe ouvrage mettant sous le feu des projecteurs le plus extravagant et extraordinaires des sorciers, mon chouchou entre tous, j'ai nommé Magnus Bane, le Grand Sorcier de Brooklyn (eh oui, rien que ça !) Mais avant de véritablement entrer dans le vif du sujet, je tenais à préciser que les Chroniques de Magnus Bane existent bel et bien en français sous ce titre par ailleurs mais uniquement en format numérique et à l'unité. C'est-à-dire que, si vous désirez vous pourlécher les babines comme moi des rocambolesques aventures de Mr. Bane en version française, il faudra pour cela vous les acheter une par une. Sachant qu'il y en a onze en tout, ce n'est pas ce qu'il y a de plus pratique comme option d'acquisition. Pour ceux que cette merveilleuse, que dis-je, cette somptueuse, cette éblouissante version hard back intéresseraient, sachez que l'anglais employé par Cassandra Clare, Maureen Johnson et Sarah Rees Brennan est relativement facile à comprendre. Bon, je ne vous cache pas que la première nouvelle a été plutôt difficile d'accès pour moi mais il s'agissait là plus d'un manque de motivation (je n'ai bizarrement pas l'habitude de lire en V.O. et j'ai donc dû me forcer un peu au départ) que d'une réelle complexité au niveau du vocabulaire ou de la grammaire. Certains termes m'ont paru obscures, je le reconnais, mais c'est surtout le degré de décadence et de folie de cette nouvelle d'introduction qui m'a particulièrement décontenancée, je l'avoue sans honte aucune. En même temps, je ne pouvais pas en attendre moins des récits de voyage de l'illustre Magnus Bane ! Fort heureusement, une fois passée cette expérience au Pérou fort déroutante, j'ai pu me plonger sans problème dans la suite des abracadabrantes péripéties qui ont ponctué l'existence immortelle de mon Magnus adoré et je dois bien reconnaitre que je me suis régalée à ce que les trois autrices nous dévoilent ainsi l'un des nombreux pans de la palpitante vie de ce dernier parcelle par parcelle, en faisant habilement durer le plaisir.

C'est notamment l'un des aspects de The Bane Chronicles qui m'a le plus séduite : l'indéniable respect apporté à la personnalité de ce personnage absolument incomparable à aucun autre. Cassandra Clare a décidément bien choisi ses deux formidables acolytes d'écriture pour prendre soin de son remarquable bébé d'encre et de papier scintillant comme une entière constellation d'étoiles au mieux. Par moments, j'avais presque envie d'en pleurer tant Magnus était... Magnus, fidèle au poste, ce mélange inénarrable de fantaisie, de sarcasme et de tendresse qui me fait fondre comme neige au soleil. L'ensemble des nouvelles dégageaient cette aura de bienveillance et de soleil à son zénith et cela m'a juste mis le sourire jusqu'aux oreilles. Je ne vous mentirai pas en disant que cela a été tout rose tout du long, bien au contraire. L'immortalité de Magnus lui a procuré bien des rencontres humaines et aussi bien des souffrances, entre autres celle d'être le témoin privilégié du désarroi d'autrui... mais pas seulement. Magnus en a vu des vertes et des pas mûres et l'on vit un véritable ascenseur émotionnel à ses côtés au fur et à mesure qu'on l'accompagne au fil des siècles. Personnellement, je ne regrette pas d'avoir remonté le temps avec lui au gré de ses souvenirs même si j'en ai sacrément pris pour mon grade. Mais pour un personnage aussi exceptionnel que Magnus, je suis prête à porter tout le poids du monde sur mes épaules (Miss Mélodrame le retour !).

Concernant ma nouvelle préférée, je n'en ai pas spécialement une. Je dirais que chacune des onze nouvelles de ce recueil, à l'exception de la première (bien qu'elle fut fort divertissante à découvrir) a su toucher quelque chose au plus profond de moi, m'ébranler, me donner le besoin irrépressible de rire aux larmes ou au contraire de pleurer comme une madeleine. Malgré tout, je reste particulièrement séduite par les trois dernières nouvelles du recueil qui sont consacrées au couple Magnus et Alec. C'est simple, dès qu'il s'agit de Malec, j'en ai le c½ur qui bat instantanément plus fort. C'est selon moi l'un des meilleurs One True Pairings qui soit. Ils me mettent des étoiles plein les yeux à chaque fois et leur potentiel comique à eux deux est juste... divin. Je suis tombée amoureuse de leur histoire d'amour, un point c'est tout.

Pour conclure, je recommanderais la lecture de The Bane Chronicles à tout fan de The Mortal Instruments qui se respecte. Après, si vous n'êtes pas des fans numéro 1 de notre irremplaçable sorcier comme cela est mon cas, cela ne vous enchantera pas forcément de lire un ouvrage de plus de 500 pages dédié à son vécu. Dans ce cas là, je vous recommande fortement la lecture des trois dernières nouvelles du recueil dont je viens à l'instant de parler, les 9, 10 et 11, où vous verrez resurgir des noms extrêmement familiers et des personnages bien connus de la saga mère que j'ai pour ma part pris un immense plaisir à retrouver. Une certaine Isabelle Lightwood m'avait particulièrement manquée et je dois bien admettre qu'elle n'a certainement pas perdu de sa superbe ; à mes yeux, elle est toujours aussi incroyable, quelle femme ! Au fond, chacune de ces nouvelles vous fera renouer des liens avec des protagonistes déjà croisés dans The Mortal Instruments et The Mortal Instruments : les Origines probablement pour votre plus grand bonheur (le mien en tout cas a été assuré !). In fine, il ne s'agit pas tant de l'histoire de la vie de Magnus en soi mais plutôt de comment ce dernier a eu un impact conséquent et généralement bénéfique sur l'existence de bien des êtres. On ne pourrait s'en passer d'un sorcier comme ça, je vous le dis moi ! Et cet époustouflant recueil me l'a assurément confirmé ! ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, The Bane Chronicles, Cassandra Clare, Sarah Rees Brennan, Maureen Johnson, Lecture V.O., Littérature américaine, 2014, Fantastique, Young Adult, Aventure, histoire, sorcellerie, créatures surnaturelles, néphilims, paranormal, guerre, meurtres, deuil, passé douloureux, retrouvailles, traumatisme, noirceur, souffrance, famille, amitié, fidélité, confiance, mystères, suspens, folie, autorité, politique, préjugés, petit peuple, dilemme, amour, action, urban fantasy, magie, secrets, combativité, courage, effronterie, briser les règles, passion, espoir, entraide, générosité, blessures, humour, Excellente lecture !
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#Posté le vendredi 29 mai 2020 15:43

Modifié le mercredi 03 juin 2020 05:45

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