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FICHE LECTURE : BTS - We are not seven with you

FICHE LECTURE : BTS - We are not seven with you
• AUTEURS : Collectif.
• ANNÉE : 2021 (FRANCE).
• GENRE(S) : Biographie non officielle, documentaire.
• THÈMES : BTS - Musique - Corée du Sud - K-pop - Chant - Danse - Passion - Evolution - Fandom - Soutien - Persévérance - Solidarité - Générosité - Philanthropie - Espoir - Inspiration - Créativité - Succès...
• PAGES : 192.

BTS, le groupe de musique le plus soutenu de la planète !

Impossible de passer à côté du phénomène BTS, le groupe sud-coréen aux millions de fans qui fait trembler toute l'industrie du disque. Ces sept jeunes hommes passionnés, partis de rien, règnent aujourd'hui sur le monde de la musique. Découvrez comment BTS est arrivé au sommet, et réussit à démocratiser la culture de son pays dans le monde entier !

- Le showbiz international (Billboard, Grammys... ) réclame BTS à chaque grande cérémonie

- BTS, c'est 2 Stade de France en 2019 sold out (107 000 tickets vendus)

- Ce sont des dizaines de millions de vues pour chacun de leurs clips avec des records historiques

- Selon un institut coréen, environ 800 000 touristes ont choisi la Corée du Sud comme destination l'an dernier grâce à BTS, soit plus de 7% du nombre total de visiteurs

- Et c'est surtout des millions de fans sur toute la planète: les ARMYs !

ஜ MON AVIS :

Coucou les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique de l'ouvrage BTS - We are not seven with you. Je remercie infiniment les éditions K! World pour ce très bel envoi.

J'ai sérieusement commencé à m'intéresser à la musique de BTS en fin d'année 2020. J'avais déjà entendu parler d'eux quelques fois, notamment lors de leur venue en France pour leurs concerts au Stade de France, mais cela n'avait pas attisé ma curiosité plus que ça. Comme pour beaucoup de personnes, c'est la sortie de leur premier titre intégralement en anglais, Dynamite, qui m'a véritablement permis de les découvrir. De fil en aiguille, je suis devenue en quelque sorte une baby army et je pense que c'est loin d'être dû au hasard. Ces deux dernières années ont été particulièrement difficiles à vivre pour moi mentalement, et BTS a été comme une lumière dans l'obscurité qui m'envahissait de plus en plus. Aujourd'hui, je suis fière de pouvoir écrire que cette période sombre est désormais derrière moi et que je l'ai traversée en partie grâce à eux et à leur détermination et soutien sans failles envers leur public. Il était donc important pour moi de posséder au moins un livre dans ma bibliothèque qui leur soit dédié et je suis très contente que ce soit celui-là.

BTS - We are not seven with you est en effet le parfait livre introductif à l'univers BTS mais je pense qu'il peut aussi tout à fait séduire des fans plus aguerris car il s'agit à mon sens avant tout d'une déclaration d'amour tout ce qu'il y a de plus sincère et touchante au groupe. Au-delà des nombreuses informations et autres anecdotes qui nous sont délivrées au sujet du groupe et de leur impressionnante carrière de façon très fluide et concise, c'est tout l'enthousiasme et la volonté de défendre leur sujet des auteurs qui m'a le plus marquée au cours de ma lecture. On sent que tout ce travail de recherche et de vulgarisation est motivé par une véritable passion pour BTS et la culture K-pop en général et ça, c'est vraiment beau.

En conclusion, je dirais que BTS - We are not seven with you est un titre qui m'a appris de nouvelles choses sur ces sept garçons que j'affectionne de plus en plus mais qui m'a surtout rappelé pourquoi je les admirais et les trouvais si inspirants. On peut ou non ne pas aimer leur style ou leur musique, ça, c'est le droit de tout un chacun. Mais ce qui est sûr, c'est que l'influence positive qu'ils ont sur des millions de personnes est tout bonnement indéniable et que leur courage, humilité et engagement à tous les niveaux en font des modèles à suivre. Je remercie encore K! World de m'avoir fait parvenir cet ouvrage que je suis fière d'exhiber et dans lequel je ne manquerai pas de me replonger à loisir ! ★★★★(★)

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, BTS - We are not seven with you, service de presse, K! World, collectif, 2021, France, biographie non officielle, documentaire, BTS, Musique ♫, Corée du Sud❤, k-pop, chant, danse, passion, évolution, fandom, soutien, persévérance, solidarité, générosité, philanthropie, espoir, inspiration, créativité, succès, Très bonne lecture
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#Posté le dimanche 04 septembre 2022 09:19

Modifié le lundi 05 septembre 2022 16:46

FICHE LECTURE : Le cerf-volant

FICHE LECTURE : Le cerf-volant
• AUTRICE : Lætitia Colombani.
• ANNÉE : 2021 (FRANCE).
• GENRE (S) : Contemporain.
• THÈMES : Inde - France - Destin de femme - Reconstruction - Redécouverte de soi - Drame - Deuil - Résilience - Amour - Amitié - Courage - Education - Volonté - Rêves - Espoir - Famille - Enfance - Innocence - Traditions - Mariages arrangés - Précarité - Solidarité - Générosité - Bienveillance - Combativité - Renaissance...
• PAGES : 224.

Ma chronique de La Tresse : ici.
Ma chronique des Victorieuses : ici.

Brisée par un drame personnel, Léna abandonne la France et son poste d'enseignante pour partir en Inde, au bord du golfe du Bengale. Un matin, alors qu'elle nage dans l'océan, elle manque de se noyer. Une petite fille qui jouait au cerf-volant court chercher de l'aide.
Comment la remercier ? Agée de dix ans, la petite travaille dans un restaurant et ne sait ni lire, ni écrire. Entourée d'un groupe de filles du village et de leur cheffe, la tumultueuse Preeti, Léna se lance dans un incroyable projet : fonder une école pour tous les enfants du quartier qui en sont privés.
Au c½ur d'une Inde tourmentée commence une aventure où se mêlent l'espoir et les désillusions, la volonté face aux traditions, et le rêve de changer la vie par l'éducation.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du Cerf-Volant, la dernière petite pépite contemporaine signée par Laëtitia Colombani. Je remercie infiniment les éditions Grasset pour ce merveilleux envoi !

Dès que j'ai appris qu'un nouvel ouvrage de Laëtitia Colombani allait paraître, je n'ai pas hésité une seconde : il me le fallait absolument entre les mains, j'en avais pour ainsi dire un besoin presque vital. Ayant déjà dévoré et été complètement chamboulée par les deux précédents titres de l'autrice, je savais d'ores et déjà que Le cerf-volant n'allait lui non plus pas me laisser de marbre, qu'il allait au contraire provoquer en moi un véritable raz-de-marée - tsunami, ouragan, appelez cela comme vous le souhaitez, et ça n'a effectivement pas loupé.

Laëtitia Colombani a en effet à chaque fois l'art et la manière de déclencher en mon fort intérieur un maelström d'émotions extrêmement intenses qui me laissent en fin de lecture toujours lessivée mais aussi pleinement rassasiée.

Rassasiée de quoi, me direz-vous ? Rassasiée d'humanité, d'amour inconditionnel pour mes semblables, rassasiée de détermination, revigorée de cette énergie miraculeuse dont seule l'autrice sait invariablement me recharger pour mieux arpenter mon chemin et allumer mon propre feu de Bengale. Une fois n'est pas coutume, je me suis profondément retrouvée dans ce récit empreint de souffrance mais aussi de joie et d'abnégation qui défend avec toujours autant de justesse et de sincérité brute mais aussi d'une douce et touchante pudeur des valeurs qui me sont chères et qui devraient nous être à tous fondamentales : la solidarité, l'entraide, le partage des ressources matérielles et spirituelles, l'accès à l'éducation à tous et toutes quelque soit notre sexe, notre couleur de peau ou notre extraction sociale ; pour que chacun puisse mener sa barque comme il l'entend et changer le monde à sa façon, le rendre plus beau grâce à sa propre existence et ce qu'il a décidé d'en faire.

Enfin, ce roman m'a bouleversée outre mesure de par la magnifique connexion qui se tresse, c'est le cas de le dire, entre lui et La tresse, premier écrit de l'autrice juste magistrale et à la popularité largement méritée. Cela peut vous sembler idiot mais je n'avais pas forcément fait le rapprochement entre les deux titres au départ. Je m'étais jetée les yeux fermés dans la lecture du Cerf-volant en faisant l'impasse sur ce détail pourtant essentiel. Laissez-moi vous dire qu'une fois que je me suis rendue compte du lien entre les deux ½uvres, cela a été pour moi un authentique enchantement autant qu'une douloureuse blessure qui se réouvre. Je ne vous dirai pas en quoi Le cerf-volant et La tresse se rejoignent, ce sera à vous de le découvrir par vous-même.

Vous l'aurez compris sans doute, ce voyage inoubliable au large du golfe du Bengale valait amplement le détour à mes yeux, même s'il aura réouvert d'anciennes blessures issues de mes précédentes rencontres avec la plume de l'autrice, toujours aussi remarquable de sagesse et de tendresse, et brisé une énième fois mon petit c½ur sensible et indigné face à autant d'injustice, de cruauté et d'ignorance. Cependant, la plus belle des leçons que l'autrice nous donne, c'est ce que ces fléaux peuvent être battus ; il nous faudra certainement encore bien de la patience mais nous ne devons sous aucun prétexte abandonner le combat. Une chose est sûre : avec des livres aussi beaux et importants que ceux de Laetitia Colombani, je ne risque pas de déserter. C'est dans ces moments-là en particulier que je me dis que je suis fière d'être une lectrice car les livres sont des puits de savoir et de connaissance qui nous rappellent à quel point les êtres humains et le monde en général valent la peine que l'on se batte pour eux, encore et toujours. Sur cette déclaration d'amour à la lecture et ces paroles fleurant bon la philosophie (je lance ce sujet, vous avez quatre heures), je rends l'antenne. J'espère que ma chronique aura su vous convaincre, chers visiteurs, de laisser sa chance à ce roman et surtout, un grand merci à Laetitia Colombani. Votre plume me redonne sincèrement foi en l'humanité. Merci pour tout. COUP DE FOUDRE ϟ

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, service de presse, Éditions Grasset, Le cerf-volant, Laetitia Colombani, 2021, Littérature française, Contemporain, Inde, France, destin de femme, reconstruction, redécouverte de soi, drame, deuil, résilience, amour, Amitié ♥, courage, éducation, volonté, rêves, espoir, Famille ♥, Enfance, innocence, traditions, mariages arrangés, précarité, solidarité, générosité, bienveillance, combativité, renaissance, Coup de foudre ♥
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#Posté le lundi 07 juin 2021 03:26

Modifié le vendredi 11 juin 2021 04:12

FICHE LECTURE : La lumière dans les combles

FICHE LECTURE : La lumière dans les combles
• TITRE V.O. : The Light in Hidden Places.
• AUTRICE : Sharon Cameron.
• ANNÉE : 2020 (USA), 2021 (FRANCE).
• GENRE (S) : Historique, jeunesse.
• THÈMES : Seconde Guerre mondiale - Histoire vraie - Drame - Pologne - Enfance - Adolescence - Juifs - Persécution - Noirceur - Haine - Violence - Meurtres - Traumatisme - Génocide - Shoah - Arrestations - Déportation - Souffrance - Deuil - Conflit - Occupation allemande - Etouffement - Soldats - Gestapo - Collaboration - Ennemis - Solidarité - Entraide - Héroïsme - Maturité - Courage - Période sombre - Justes parmi les Nations - Cachette - Amitié - Famille - Générosité - Amour - Espoir - Sagesse - Combat - Lutte - Survie - Valeurs - Idéaux - Liberté - Pureté - Innocence - Paix...
• PAGES : 512.

« J'espère bien que vous allez m'emmener à la Gestapo. Alors je pourrai leur dire ce que je vais vous dire à vous. Que vous êtes des lâches. Et des idiots. Bien sûr que je veux cacher des juifs! Je le reconnais. C'est la vérité. Je veux les cacher et les aider jusqu'à ce que quelqu'un décide d'en finir avec cette guerre. »

Stefania a choisi son camp. Quitte à en payer le prix fort...

L'histoire vraie de Stefania Podgórska : une aventure inoubliable qui place l'héroïsme au c½ur d'une des pages les plus noires du XXe siècle.

« A la fois haletant et puissant. »
Ruta Sepetys

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique de La Lumière dans les combles signé Sharon Cameron.

Que vous dire sur ce roman ? Les mots me manquent pour le décrire. Déjà, il est extrêmement difficile d'émettre un avis subjectif dessus étant donné qu'il se base essentiellement sur des faits réels remaniés afin de correspondre à un certain schéma narratif qui permet de les condenser et de les rendre plus compréhensibles. Une chose est sûre, c'est que l'autrice a réalisé cette tâche complexe et épineuse avec beaucoup de pudeur, de justesse et de respect à l'égard des personnes de chair et d'os qui ont véritablement vécu cette histoire qui nous semble plus folle et impossible que n'importe quel récit de fiction, et pourtant...

Ce livre nous met une énorme claque, nous transperce jusqu'aux os à chaque page qui se tourne. Aucun paragraphe, aucune phrase, aucun mot n'est là pour nous épargner mais au contraire pour nous frapper de plein fouet. J'ai eu les poils qui se hérissaient et des sueurs froides tout au long de ce roman percutant, éprouvant à lire aussi mais à mettre assurément entre toutes les mains. L'histoire de Stefania et de sa petite s½ur, de ces 13 juifs cachés dans leur grenier, qui mériterait sans aucun doute à être plus connue, nous démontre que tout ce que l'on prend pour acquis est en réalité une bénédiction. Ce livre nous met sous les yeux sans fard et sans prétention aucune la précarité et la souffrance la plus totale et comment ces êtres humains en apparence ordinaires ont pu y faire face avec ce que je nommerais être une patience à toute épreuve, une résilience sans commune mesure et un courage qui force l'admiration.

Vous l'aurez compris sans doute, ce livre m'a littéralement subjuguée du début jusqu'à la fin. On sent le travail de recherche qui a été fait derrière et toute la dévotion que ressent l'autrice à l'égard de la famille Podgórska-Diamant et je ne la remercierai jamais assez de nous avoir partagé tout cela. A vrai dire, je considère même La lumière dans les combles comme étant d'utilité publique, sans exagération de ma part. Ce serait tellement merveilleux si ce roman était étudié au collège et/ou au lycée en parallèle des cours d'histoire sur la Seconde Guerre mondiale car il a tant à nous apprendre sur notre passé, notre présent et même notre avenir, quelque soit notre âge... COUP DE FOUDRE ϟ

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, Gallimard Jeunesse, La lumière dans les combles, Sharon Cameron, Littérature américaine, 2021, Roman historique, Jeunesse, Seconde Guerre Mondiale, Histoire vraie, Drame, Pologne, Enfance, Adolescence, Juifs, Persécution, Noirceur, Haine, Violence, Meurtres, traumatisme, génocide, shoah, arrestations, déportation, souffrance, deuil, conflit, occupation allemande, etouffement, soldats, gestapo, collaboration, ennemis, solidarité, entraide, héroïsme, maturité, courage, période sombre, Justes parmi les Nations, Cachette, amitié, famille, générosité, amour, espoir, sagesse, combat, lutte, survie, valeurs, idéaux, liberté, pureté, innocence, paix, Coup de foudre ♥
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#Posté le vendredi 26 mars 2021 14:50

Modifié le dimanche 28 mars 2021 04:19

FICHE MANGA : Love so life - T1

FICHE MANGA : Love so life - T1
• MANGAKA : Kaede Kouchi.
• ANNÉE : 2009 (JAPON) ; 2012 (FRANCE).
• GENRE (S) : Shojo.
• THÈMES : Baby-sitter - Enfants - Adolescence - Puériculture - Rêves - Espoir - Tendresse - Amour - Famille - Joie de vivre - Tranche de vie - Confiance - Générosité - Patience - Entraide - Passif difficile...
• PAGES : 180.

Ma chronique du tome 2 : ici.
Ma chronique du tome 3 : ici.

Shiharu Nakamura est une orpheline de seize ans qui désire devenir puéricultrice ! Pour réaliser son rêve, elle travaille à mi-temps dans une garderie en plus de ses cours au lycée, jusqu'au jour où Seiji Matsunaga, un client de la crèche, lui propose de devenir la baby-sitter des jumeaux dont il a la garde. Shiharu accepte, ignorant alors que Seiji Matsunaga est une star de la télé...

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un shojo manga dont je n'avais jamais entendu parler avant de tomber dessus par hasard en médiathèque, j'ai nommé Love so life de la mangaka Kaede Kouchi. Malgré le fait que je ne connaissais ce titre ni d'Eve ni d'Adam et que je n'avais ainsi pas d'avis/arguments concrets sur lesquels me baser pour me décider à lui laisser ou non sa chance, j'ai été d'emblée convaincue que ce premier tome de la série devait repartir avec moi sans plus de discussion. La raison à cela est on-ne-peut-plus simple : dès que j'ai vu la couverture de ce premier volume, j'ai littéralement fondu. Vous voyez la Méchante Sorcière de l'Ouest qui se liquéfie à la fin du Magicien d'Oz ? Bah, c'était moi à ce moment-là. Et après avoir contemplé et bavé face à cette magnifique illustration pendant 1 poignée de secondes (je vous l'ai dit, ça a été du rapide), je me suis in fine décidée à emprunter ce tome 1 et à le ramener illico presto chez moi. Et pour une fois, je suis bien contente d'avoir cédé à mon penchant pour le kawaii à outrance (non mais vous avez vu ces deux bouilles d'amour qu'ont les jumeaux ?! Je suis désolée, moi, je vois ça, je craque !) car Love so life m'a assurément séduite !

Vous l'aurez compris, ce qui m'a tout d'abord conquise avec ce titre, c'est son graphisme. Certes criant de simplicité, il ne paye pas forcément de mine mais personnellement, j'ai trouvé que cela servait l'intrigue de la meilleure des manières. En effet, cette dernière nous parle essentiellement de la vie quotidienne, de personnages qui souhaitent tous simplement aller de l'avant, surmonter leur chagrin et être heureux, donc il n'y avait pas besoin à mon sens de fioritures dans les planches ou d'un trait de crayon particulièrement singulier. Au contraire, j'ai grandement apprécié le fait que l'on reste au plus proche du réel, de sa banalité qui est à mon sens d'une immense et lumineuse beauté. Par ailleurs, les protagonistes, de même que la façon dont ils sont dessinés reflètent à merveille cela : ils sont comme tout le monde, ils ont leurs rêves, leurs faiblesses, leurs défauts et leurs moments de découragement et cela ne les rend que plus rayonnants. Enfants comme adultes doivent pourtant souvent porter des masques pour mieux dissimuler leurs espoirs déçus et leur douleur incommensurable, béante, et ce "costume", ce sont justement ces cases de bande dessinée en noir et blanc que l'on pourrait aisément imaginer parées de couleurs pastels des plus "fifilles" et naïves. En réalité, ces illustrations sont tout ce qu'il y a de plus trompeuses car elles cachent une profondeur et une intelligence insoupçonnées au premier abord.

Cependant, si l'on y regarde d'un peu plus près, celles-ci se révèlent rapidement à leur maximum d'éclat. Pour vous donner un exemple de cette double-lecture que l'on peut faire du graphisme vichy du manga, je peux citer tout naturellement les jumeaux, tellement mignons que cela en est à proprement parler étourdissant comme le dirait si bien notre héroïne principale. Paraissant limite "trop beau pour être vrai" et répondre à une superficialité artistique et avant tout marketing ayant pour volonté de faire couiner dans les chaumières, le chara design de nos petits bouts de choux a tout simplement pour visée de nous rappeler la beauté et l'innocence tout bonnement indescriptibles des enfants. C'est à tout le moins comme cela que j'ai perçu et interprété les choses en lisant ce manga qui nous rappelle avec une franchise et un naturel désarmants de ne pas prendre la magnificence des choses élémentaires (la sincérité du c½ur d'un pitchoune, la douceur d'une étreinte maternelle/féminine...) pour acquise.

L'ingéniosité et la puissante humanité et sagesse du manga sont également représentées par le caractère de nos protagonistes, doués d'indéniables qualités et d'un charme purement et simplement ravageur. C'est tout spécialement par leur façon d'agir entre eux et de percevoir le monde qui a un savant goût de miracle que ces formidables personnages m'ont le plus touchée et marquée. En écrivant ces lignes, je pense notamment à Shiharu, notre héroïne, cette admirable jeune fille tout ce qu'il y a de plus mature et réfléchie à son âge ingrat (ne m'en voulez pas les teenagers, on est tous passés par là - et puis, qui aime bien châtie bien après tout) dont la relation avec les jumeaux Aoi et Akane est purement et simplement exceptionnelle et émouvante, magnifique. Notre baby-sitter au grand c½ur cache comme tout un chacun sa part de noirceur, elle qui a vécu des choses extrêmement difficiles mais elle continue envers et contre tout à se battre pour mériter chaque petit instant de bonheur qu'elle expérimente au quotidien. C'est cette leçon de vie que je retiens de ce manga : celle de rester digne et fidèle à vous-même malgré toutes les épreuves que la vie peut vous envoyer.

Vous l'aurez sans doute compris, la dernière chose à faire est de juger ce manga d'après ses apparences extrêmement girly et mièvres... et son appellation aussi. Le titre a effectivement l'air peu recherché et même incorrect grammaticalement parlant (à moins que ce ne soit I love so life mais là encore, ça sonne faux) mais qu'importe, c'est le contenu qui compte et autant vous dire que ce dernier est tout bonnement incroyable. En même temps, Love so life rassemble tous les bons ingrédients pour séduire : la paire de jumeaux (je n'ai pas pu résister à ce pléonasme) la plus adorable et attachante du monde + une héroïne qui est, sans mentir, la gentillesse incarnée et qui a définitivement le c½ur sur la main + un séduisant et très touchant protagoniste masculin loin du stéréotype du beau gosse du shojo manga classique (contrairement à ce que l'on pourrait une fois encore penser) qui fait clairement de son mieux (pauvre chou) + une ribambelle d'autres personnages profondément humains et émouvants + une intrigue qui nous rappelle la préciosité de chaque petit instant = que demande le peuple ? J'ose même affirmer que ce manga pétillant et chaleureux m'a beaucoup rappelé mon manga favori de tous les temps, Fruits Basket, avec son humour décapant et sa sensibilité à fleur de peau, dans un style très différent cependant. En bref, je ne pouvais qu'adorer de toutes mes forces Love so life et c'est avec un plaisir non dissimulé que je vais me jeter sur la suite ! COUP DE FOUDRE ϟ

Nanette ♥
Tags : Fiche manga, Love so Life ♥, Tome 1 ♥, Kaede Kouchi, éditions Delcourt, 2009, 2012, Shojo ♥, Baby-sitter, Enfants ♥., Adolescence, Puériculture, Rêves, Espoir, tendresse, Amour ♥., Famille ♥, Joie de vivre ♥, tranche de vie, confiance, générosité, patience. ♥, entraide, passif difficile, Coup de foudre ♥
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#Posté le mardi 01 septembre 2020 11:19

Modifié le jeudi 10 juin 2021 05:16

FICHE LECTURE : L'Anti-Magicien - T5 : Les Traîtres de la cour

FICHE LECTURE : L'Anti-Magicien - T5 : Les Traîtres de la cour
• TITRE V.O. : Spellslinger, book 5: Queenslayer.
• AUTEUR : Sébastien de Castell.
• ANNÉE : 2019 (CANADA, USA) ; 2020 (FRANCE).
• GENRE (S) : Fantasy.
• THÈMES : Magie, aventure, action, mystère, humour, cruauté, ignorance, légendes, mensonges, hypocrisie, secret, pouvoir, politique, puissance, sorts, malédiction, mépris, souffrance, guerre, féminisme, courage, intelligence, amitié, alliance, famille, fraternité, adolescence, maturité, grandir, s'endurcir, noirceur, magie noire, amour, créatures fantastiques, dignité, conscience, humanité, habileté, devenir soi-même, combat, espoir, générosité, bienveillance, combativité, pacifisme, savoir, connaissance, philosophie, destinée, volonté, détermination, révélation, affrontement, enseignement, cheminement...
• PAGES : 512.

Ma chronique du tome 1 : ici.
Ma chronique du tome 2 : ici.
Ma chronique du tome 3 : ici.
Ma chronique du tome 4 : ici.

Kelen, le mage sans pouvoir, a commis un acte impardonnable. Il sera pendu haut et court... à moins qu'il parvienne à obtenir la grâce de la Reine de Darome. Mais le palais est un guépier où les alliés d'hier sont les ennemis de demain : pour sauver leur peau, Kelen et le féroce Chacureuil Rakis n'auront pas droit à l'erreur.

Complots machiavéliques, pouvoirs explosifs et dangereuses rencontres: un héros qui détonne au c½ur d'une grande fresque pleine d'humour et d'action.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique de la suite de saga que j'attendais sans doute le plus impatiemment cette année, j'ai nommé le tome cinq de L'Anti-Magicien, Les Traîtres de la cour, par Sebastien de Castell. Je remercie du fond du c½ur les éditions Gallimard Jeunesse de m'avoir fait parvenir ce cinquième opus en service de presse tout comme ses prédécesseurs. Depuis le tout début, cette série livresque a été une véritable révélation pour moi et je me surprends à chaque parution d'un nouveau tome à aimer ce dernier presque plus que le précédent, Les Traîtres de la cour ne faisant assurément pas exception à la règle.

Comme toujours avec un tome de L'Anti-Magicien, l'on a droit à une intrigue avec une entrée en matière tout bonnement tonitruante et une conclusion du même acabit. Entre les deux : une série de rebondissements chocs et de vérités éclatant au grand jour qui ont de quoi vous laisser sonnés. Une fois n'est pas coutume, Sebastian de Castell est parvenu à m'emporter dans son univers qui ne ressemble à aucun autre et à me faire vivre comme si j'y étais un récit des plus palpitants et sombres, le tout sans se dépareiller de son humour si caractéristique qui ne manque jamais de faire mouche (avec moi en tout cas).

En clair, j'ai retrouvé avec ce volume cinq tant espéré tous les ingrédients qui font de cette saga littéraire un authentique petit bijou à mes yeux. Pour autant, la partie n'était pas forcément gagnée d'avance : en effet, pendant un bon tiers, pour ne pas dire la moitié du récit, un sentiment désagréable me troublait sans que j'en puisse expliquer la raison. Puis j'ai réalisé "ce qui n'allait pas" (je mets cela entre guillemets car ce n'est pas un tort en réalité) : l'intrigue avait considérablement gagné en noirceur, en cynique avec ce cinquième opus ; cela se ressentait même jusque dans l'écriture et surtout dans les dialogues, beaucoup plus "clash". Le monde de l'Anti-Magicien n'était déjà pas un royaume de Bisounours à la base mais jusqu'à présent, il s'en dégageait toujours une certaine légèreté qui permettait de relâcher la pression ambiante. Là, malgré l'humour toujours omniprésent, la tension continuait à monter crescendo, sans nous accorder véritablement de répit, jusqu'à l'explosion finale qui m'a purement et simplement soufflée. Jusqu'alors, je parvenais toujours à m'émerveiller des aventures et exploits de Kelen, aussi dangereux soit-il, à trouver une certaine part de magie et de pureté dans cet univers essentiellement corrompu et au bord de l'implosion. Dans Les Traîtres de la cour, l'on sent que la fin d'une grande épopée est proche, que l'heure des révélations va bientôt sonner et que celles-ci ne vont probablement pas nous plaire. S'ajoute à cela que la Darome, contrée inspectée à la loupe dans ce récit, est sans conteste le royaume le plus hypocrite et froid de tout cet univers à mes yeux, et vous comprendrez aisément le sentiment de malaise et de suffocation que j'ai éprouvé pendant une bonne partie du récit. Sebastien de Castell nous prouve avec cet avant-dernier tome qui a déjà un déchirant goût d'adieu qu'il n'est pas là pour plaisanter et nous en mettre plein les mirettes mais au contraire pour aller jusqu'au bout de son histoire ayant pour coeur battant à 100/h une certaine ombre au noir dont la soi-disant propension à la cruauté et au mal n'a certainement rien à envier à la nature démoniaque et effarante de bien des actions perpétrées par les protagonistes principaux comme secondaires de cette remarquable fresque de fantasy.

Enfin, je ne pouvais pas conclure cette chronique sans vous parler du plus grand bouleversement que m'a procuré ce cinquième tome, à savoir l'évolution que connaît mon petit chouchou Kelen, au passage plus si petit que ça. Le tout jeune Jan'Tep de 15 ans avide d'amour et de reconnaissance de la part de sa famille comme de son peuple que je rencontrais dans le premier tome a effectivement laissé sa place à un jeune adulte de 18 ans beaucoup moins naïf et innocent, qui possède désormais un état d'âme d'homme, une maturité d'homme et qui nourrit aussi des désirs d'homme mûr (suivez mon regard, humhum). Cette constatation a été dure à encaisser car je voyais auparavant Kelen comme un petit frère, un petit garçon qu'il était de mon devoir de protéger de toutes mes forces. Il m'est maintenant impossible de porter un regard aussi candide, quasi maternel et attendri sur ce bout d'homme qui s'est sacrément endurci sans pour autant perdre ce qui fait qu'il est lui, cet anti-magicien à l'intelligence folle et au sarcasme ravageur dont je suis tombée éperdument amoureuse dans ce cinquième tome. Au fond, j'avais toujours considéré Kelen comme un fictional crush potentiel malgré le fait que je ressentais à chaque fois le besoin irrépressible de le serrer dans mes bras comme je l'aurais fait d'un de mes petits-cousins ou d'un enfant apeuré et en cruel manque d'affection et de soutien dès qu'il se retrouvait déçu/en danger de mort/enragé/désespéré, autrement dit à presque chaque page qui se tournait. Aujourd'hui, je peux affirmer haut et fort que Kelen fait partie de ce box tout ce qu'il y a de plus V.I.P. de mon petit c½ur et je l'assume pleinement, même si je sens que je vais regretter cette décision avec le tome six qui s'annonce des plus mouvementés et déchirants...

Pour conclure, je ne peux que vous conseiller de vous lancer dans la lecture de L'Anti-Magicien si ce n'est pas déjà fait. Au programme : de l'action, des combats à couper le souffle, un suspens insoutenable, des personnages complexes et captivants à suivre, une relation désarmante d'amour/haine à la magie, un humour aux petits oignons et des morceaux indénombrables de votre c½ur qui s'éparpilleront le long du chemin jusqu'à ce qu'il n'en reste rien, foi de Nanette. Alors, vous vous sentez d'attaque ? COUP DE FOUDRE ϟ

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, service de presse, Gallimard Jeunesse, L'Anti-Magicien, Tome 5, Les Traîtres de la couronne, hexalogie, Sébastien de Castell, Littérature américaine, Fantasy, Magie, aventure, action, mystère, humour, cruauté, ignorance, légendes, mensonges, hypocrisie, secret, pouvoir, politique, puissance, sorts, malédiction, mépris, souffrance, guerre, féminisme, courage, intelligence, amitié, alliance, famille, fraternité, adolescence, maturité, grandir, s'endurcir, noirceur, magie noire, amour, créatures fantastiques, dignité, conscience, humanité, habileté, devenir soi-même, combat, espoir, générosité, bienveillance, combativité, pacifisme, savoir, connaissance, philosophie, destinée, volonté, détermination, révélation, affrontement, enseignement, cheminement, Coup de foudre ♥, Les Traîtres de la cour
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#Posté le jeudi 06 août 2020 12:51

Modifié le jeudi 10 juin 2021 05:19

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