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FICHE ANIME : Demon Slayer - Saison 1

FICHE ANIME : Demon Slayer - Saison 1
SHONEN, NEKKETSU, FANTASTIQUE | 2019 | RÉALISÉ PAR HARUO SOTOZAKI D'APRÈS L'¼UVRE ORIGINALE DE KOYOHARU GOTOGE | AVENTURE, LUTTE DU BIEN CONTRE LE MAL, QUÊTE, APPRENTISSAGE, SAGESSE, RENCONTRE DÉCISIVE, ENTRAIDE, ARTS MARTIAUX, COMBATS, VIOLENCE, CRUAUTÉ, DRAME, SURNATUREL, DÉMONS, AMITIÉ, FAMILLE, HUMOUR | 1 SAISON DE 26 ÉPISODES (ANIME EN COURS) | AVEC LES VOIX ORIGINALES DE NATSUKI HANAE, AKARI KITO, HIRO SHIMONO, YOSHITSUGU MATSUOKA...

➜ Depuis les temps anciens, il existe des rumeurs concernant des démons mangeurs d'hommes qui se cachent dans les bois. Pour cette raison, les citadins locaux ne s'y aventurent jamais la nuit. La légende raconte aussi qu'un tueur de démons déambule la nuit, chassant ces démons assoiffés de sang. Pour le jeune Tanjiro, ces rumeurs vont bientôt devenir sa dure réalité ...

ஜ MON AVIS :

Coucou les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique de la première saison d'un des derniers animes événements en matière de shonen, j'ai nommé Demon Slayer (Kimetsu no yaiba en V.O.) adapté du manga éponyme signé Koyoharu Gotōge (que je n'ai pas lu mais je compte bien remédier à cela).

Comme son titre anglais l'indique, cet anime va suivre l'apprentissage de plusieurs apprentis-pourfendeurs dont trois centraux qui vont, par un étrange concours de circonstances, se retrouver à former un drôle de trio survolté souhaitant atteindre un même objectif commun, à savoir : tuer le maître de tous les démons, l'ignoble Muzan Kibutsuji. Je dois bien vous avouer, et si vous consultez ce blog depuis quelques temps déjà, cela ne va pas vous étonner, que ce type d'épopée héroïque qui sentent la testostérone et l'hémoglobine à plein nez n'est guère ma tasse de thé. En matière de mangas notamment, je suis beaucoup plus partisane de gentilles petites tranches de vie lycéennes, vous voyez. Les animes kawaii et débordant de bonne humeur, ça, c'est ma vraie came. Mais malgré cet état de fait indéniable, force est de constater que Demon Slayer m'a totalement prise de court en m'entraînant sans résistance aucune dans une quête des plus sombres et rocambolesques.

Et pourtant, croyez-moi quand je vous dis que c'était franchement mal parti. En effet, dès que l'épisode pilot, on nous broie le coeur en mille morceaux avec des scènes d'une violence graphique et émotionnelle inouïe. Qui plus est, la formation et mentalité empreintes du plus pur des stoïcismes de l'Armée des pourfendeurs n'a pas manqué dans un premier temps de fortement m'agacer, pour ne pas dire de purement et simplement me dégoûter. Fort heureusement, notre jeune et vaillant protagoniste, Tanjiro, va réussir l'exploit de respecter de telles règles de vie et de combat tout ce qu'il y a de plus strictes et rebutantes tout en restant fidèle à sa nature profondément altruiste et bienveillante. Pour ma part, je suis tombée amoureuse de ce héros au coeur d'or et à la gentillesse et persévérance infinie. Les autres personnages ne sont également pas en reste : j'ai éprouvé pour chacun d'entre eux, protagonistes et antagonistes, une certaine fascination. Tous ont une personnalité bien marquée, une aura reconnaissable entre mille. Mais au fond, ce que j'ai le plus, mais alors le plus, aimé chez eux, c'est qu'ils me fassent rire comme personne. Je préfère vous prévenir, Demon Slayer oscille entre l'horrifique et l'humour burlesque poussé à l'extrême de façon continue et extrêmement déconcertante. Cela fait indubitablement mouche au bout d'un moment mais il n'empêche que ce revirement a de quoi surprendre au début, préparez vous à en avoir les nerfs rudement mis à l'épreuve !

Pour conclure, je pourrais passer des heures à vous parler de cette première saison assurément palpitante et réussie de Demon Slayer mais retenez simplement ceci : le graphisme est au top (mais alors, top de chez top, j'ai été éblouie à chaque épisode), la musique est au top (j'ai encore l'opening en tête, il ne cessera jamais de me hanter, je pense), le postulat de base est accrocheur et le scénario se révèle au fur et mesure tout bonnement mouvementé et prometteur. Quant aux personnages, vous aurez sûrement compris qu'ils sont parvenus à gagner toute ma sympathie. Je suis particulièrement impatiente d'accompagner mon trio de choc dans sa prochaine aventure qui se fera... sur grand écran ! Eh oui, quelle ne fût pas mon agréable surprise de découvrir cela ! Après, Demon Slayer a tout le potentiel pour s'exporter le temps d'un arc narratif au cinéma et j'espère sincèrement que le succès sera au rendez-vous, ce serait amplement mérité ! COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥

FICHE ANIME : Demon Slayer - Saison 1
Source images : we♥it.
Tags : Fiche anime, Demon slayer ♥, Adaptation de manga, Koyoharu Gotoge, Shonen, Nekketsu, Fantastique, 2019, 1 saison, 26 épisodes, anime en cours, Haruo Sotozaki, Aventure, lutte du bien contre le mal, quête, apprentissage, sagesse, Rencontre décisive, entraide, arts martiaux, combats, violence, cruauté, drame, surnaturel, démons, amitié, famille, humour, Natsuki Hanae, Akari Kito, Hiro Shimono, Yoshitsugu Matsuoka, coup de coeur ♥
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#Posté le vendredi 17 juillet 2020 08:23

Modifié le lundi 20 juillet 2020 10:04

FICHE LECTURE : Journal d'un Vampire - T1 : Le Réveil

FICHE LECTURE : Journal d'un Vampire - T1 : Le Réveil
• TITRE V.O. : The Vampire Diaries, book 01: The awakening.
• AUTRICE : L.J. Smith.
• ANNÉE : 1991, 2007 (ETATS-UNIS) ; 2009 (FRANCE).
• GENRE(S) : Bit-lit, urban fantasy.
• THÈMES : Amour - Vampires - Créatures surnaturelles - Lourd passif - Ranc½ur - Trahison - Triangle amoureux - Vengeance - Deuil - Amitié - Adolescence - Superficialité - Famille - Drame - Suspens - Mystère - Secrets - Noirceur - Danger - Sorcellerie - Magie - Passion - Immortalité...
• PAGES : 453.

Dès l'arrivée de Stefan Salvatore à Fell's Church, Elena, la reine du lycée, se jure de le séduire. D'abord distant, le garçon aux allures d'ange rebelle finit par céder à sa passion dévorante... et à lui révéler son terrible secret. Quelques siècles plus tôt, la femme qu'il aimait l'a transformé en vampire, avant de le trahir avec son frère ennemi, Damon. Des événements tragiques se succèdent bientôt dans la région. Tout accuse Stefan mais Elena est convaincue de son innocence. Et si Damon, vampire cruel et assoiffé de sang, était derrière tout cela ? L'histoire est-elle amenée à se répéter ?

ஜ MON AVIS : Chronique rédigée en 2013 - attention, spoilers !

Ça y est ! J'ai commencé mon challenge Découvre tes univers ! Le but ? Lire douze livres de bit-lit avant le 13 novembre 2013 ! Et j'ai décidé durant ce challenge de lire les huit premiers tomes de la saga Journal d'un vampire (ne vous en faites pas, je lirai les deux derniers en date également !). C'est parti donc pour ma chronique du premier tome : Le réveil !

Comme je le fais toujours, allons côté personnages : notre héroïne, Elena, m'a paru souvent agaçante, et j'ai trouvé cela très dommage. En effet, en général, il me tient très à c½ur de m'attacher à l'héroïne centrale de l'histoire, à m'identifier à elle, voire même à l'admirer si je trouve son comportement suffisamment exemplaire pour que cela puisse être remarquable. Avec Elena, je ne sais franchement pas sur quel pied danser. A certains moments, elle m'a paru insupportable à manipuler tout le monde pour avoir Stefan rien qu'à elle, et à d'autres, il m'a semblé qu'elle se rendait compte de ses actes et s'en repentait. Durant certains passages, elle m'a semblé pitoyable de par son comportement (l'exemple le plus flagrant est celui où elle pleure car Stefan la rejette. Et on sent qu'elle pleure juste parce que sa popularité en prend un coup. J'ai trouvé cela RI-DI-CULE) et à d'autres on a sincèrement pitié pour elle, on éprouve de la compassion envers elle. Par exemple, quant Damon la menace de s'en prendre à Margaret, sa petite s½ur, si elle ne l'invite pas dans sa chambre (ce passage était tout bonnement affreux, rien que d'y repenser, j'en frissonne encore !). Ou quand elle est à la recherche de Stefan, jeté dans un puits par son frère (qui, aussi "irrésistible" soit-il est fort peu sympathique au demeurant quand on prend la peine d'y réfléchir à deux fois). En parlant du couple Elena/Stefan, je les aime beaucoup ensemble (PAS TAPER, PAS TAPER !). Certes, au départ, j'étais tout à fait contre leur couple, car Elena ne semblait vouloir conquérir Stefan que parce qu'il était beau à tomber (ce qui était vrai à ce moment-là de l'intrigue). Mais par la suite, on se rend compte que son amour est sincère et du coup, je les ai trouvés très beaux ensemble. Pour ce qui est des amis d'Elena, je les ai adorés ! Meredith, très sérieuse, brillante et mature, est toujours prête à aider ses amis et à les protéger. Math, malgré sa rupture avec Elena, n'hésite pas à l'aider, ainsi que Stefan, en leur prêtant sans cesse sa voiture (il va même avec Stefan carrément chercher de la verveine, c'est dire son niveau de dévouement !). Quant à Bonnie, je l'ai trouvée purement et simplement adorable ! Sincèrement, elle est très touchante et attachante. Et j'ai hâte de voir comment ses pouvoirs de druidesse/médium vont évoluer. Concernant Katherine, je l'ai trouvée complètement stupide (excusez l'adjectif). Franchement, se suicider afin que les frères Salvatore se rapprochent ?! Quel raisonnement parfaitement idiot ! C'est dommage qu'elle ait agi comme cela parce qu'au départ, elle était très gentille, attachante, douce et amoureuse des deux frères. Certes, elle n'a pas su choisir entre les deux, mais elle les aimait tellement que je suis passée outre. Mais après, ce suicide... Ne vous y méprenez pas : j'ai été très attristée de sa mort et j'imagine l'accablante tristesse qu'elle a dû ressentir vis-à-vis de la rivalité des deux frères. Néanmoins, le motif qu'elle donne à son tragique passage à l'acte n'est absolument pas valable à mes yeux. Le seul résultat que cela a eu, c'est que les deux frères ont fini par s'entretuer ! D'ailleurs, je vais finir mon point sur les personnages avec eux : je les aime beaucoup tous les deux. Stefan m'a beaucoup attendrie, il tient à vivre normalement, comme un être humain normal en somme, il ne veut pas leur faire de mal, et il est encore profondément blessé par la mort de Katherine. Surtout, on sent qu'il aime immensément Elena. J'ai été choquée par le passage du puits, je ne voulais pas qu'il meurt, et j'ai bien cru qu'il allait y passer (enfin, s'il avait été vraiment mort, l'histoire aurait été fort ennuyeuse après !). Pour ce qui est de Damon, j'en suis éperdument amoureuse. En même temps, je suis déjà folle de lui dans la série ! Mystérieux, ténébreux, incroyablement beau et charmeur... C'est simple, le "Damon version papier" ne m'a pas déçue une seule seconde ! Je veux bien être sa reine des ténèbres s'il veut ! Je lui reprocherais juste deux choses : d'avoir voulu tuer Stefan et s'en prendre à la petite Margaret. Mais bon, sinon, il est parfait !!!! [UPDATE : c'est la Nanette de 14-15 ans complètement gaga de vampires ténébreux préférant écouter ses hormones plutôt que son cerveau qui a écrit cela il y a sept ans déjà, vous verrez en réalité que mon avis concernant le fameux ainé Salvatore est bien plus nuancé que cela un peu plus bas si vous continuez la lecture de cette chronique]

Côté histoire, elle ne manque pas de rebondissements : qui a assassiné Mr. Tanner ? Qui a tué le chien de Bonnie ? Qui s'en est pris à Vicky ? Celle-ci accuse sans cesse Elena. Je pense que Katherine y est pour quelque chose à ce niveau-là, malgré son suicide il y a des siècles de cela... On en découvrira certainement plus dans les autres tomes. Pour ce qui est de Mr. Tanner et du chien de Bonnie, c'est sûrement Damon qui a fait le coup, même si Stefan me fiche sacrément le doute avec sa foutue culpabilité. J'ai réellement cru que son secret, sa condition de vampire, allait être révélée par Caroline en lisant le journal intime d'Elena devant tout Fell's Church. Heureusement que Damon a rattrapé le coup ! Il sert quand il veut celui-là ! Je sais, je suis méchante mais son côté bad boy m'attire immensément autant qu'il me casse sérieusement les pieds par moments... Enfin, la fin m'a totalement surprise : je n'aurai jamais cru qu'Elena mourrait aussi tôt d'un accident de voiture ! Ou plutôt, qu'elle deviendrait aussi vite un vampire ! Je vais de suite lire le second tome pour découvrir la suite de toute cette histoire !

Conclusion : Un premier tome envoûteur, accrocheur, qui promet une belle saga et une fabuleuse histoire de vampires ! ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, Journal d'un Vampire, Tome 1 ♥, Le réveil, Littérature américaine, L.J. Smith, 1991, 2007, 2009, Bit-lit, Urban fantasy, Amour ♥., vampires, Créatures surnaturelles, lourd passif, rancoeur, trahison, triangle amoureux, vengeance, deuil, amitié, adolescence, superficialité, famille, drame, suspens, mystère, secrets, noirceur, danger, sorcellerie, magie, passion, immortalité, Très bonne lecture
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#Posté le jeudi 22 août 2019 05:20

Modifié le mercredi 15 avril 2020 14:19

FICHE LECTURE : Un goût de cannelle et d'espoir

FICHE LECTURE : Un goût de cannelle et d'espoir
• TITRE V.O. : The baker's daughter.
• AUTRE TITRE V.F. : La bonne étoile d'Elsie (éditions France Loisirs).
• AUTRICE : Sarah McCoy.
• ANNÉE : 2012 (ETATS-UNIS), 2013, 2015, 2017 (FRANCE).
• GENRE(S) : Roman historique.
• THÈMES : Seconde Guerre mondiale - Nazisme - Troisième Reich - Boulangerie - Famille - Séparation - Secrets - Mystère - Passé douloureux - Drame - Amour - Dilemme - Désarroi - Pardon - Souffrance - Réconciliation - Aller de l'avant - Détermination - Lebensborn - Génocide - Solidarité - Immigration - Souvenirs - Amitié - Rencontres décisives...
• PAGES : 512.

Allemagne, 1944. Malgré les restrictions, les pâtisseries fument à la boulangerie Schmidt. Entre ses parents patriotes, sa s½ur volontaire au Lebensborn et son prétendant haut placé dans l'armée nazie, la jeune Elsie, 16 ans, vit de cannelle et d'insouciance. Jusqu'à cette nuit de Noël, ou vient toquer à sa porte un petit garçon juif, échappé des camps...

Soixante ans plus tard, au Texas, la journaliste Reba Adams passe devant la vitrine d'une pâtisserie allemande, celle d'Elsie... Et le reportage qu'elle prépare n'est rien en comparaison de la leçon de vie qu'elle s'apprête à recevoir.

ஜ MON AVIS :

Coucou les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique d'Un goût de cannelle et d'espoir de Sarah McCoy.

Je ne vous cacherai pas que j'attendais plus de ce roman. Cela est sûrement dû au fait que j'avais purement et simplement adoré ma lecture de mon premier Sarah McCoy, à savoir Le souffle des feuilles et des promesses. Un goût de cannelle et d'espoir étant son ½uvre la plus renommée et appréciée, je me disais donc que c'était dans la poche et que ce titre allait parvenir à me séduire comme il avait du le faire pour un bon nombre de lecteurs.

Certes, je ne le nie pas, il s'agit là d'une excellente première parution que Sarah McCoy nous offre à lire. En réalité, je n'ai franchement rien à redire : l'écriture est fluide, empreinte de sensibilité, de volupté et de tendresse telle la plus succulente des douceurs (et il en faut pour me faire avouer cela étant donné que les pâtisseries, ce n'est franchement pas mon dada !), l'histoire est tout ce qu'il y a de plus poignante, le mélange de romanisation et véracité historique (les fragments épistolaires traitant de la question épineuse et maintenue soigneusement dans l'ombre des Lebensborn m'a particulièrement intéressée) est savamment dosé... Quant au parti pris de faire un parallèle pour ainsi dire constant au cours du récit entre la situation des Juifs durant la Seconde Guerre mondiale et celle des Mexicains repoussés à la frontière américaine de nos jours était tout ce qu'il y a de plus sensé et pertinent. Sans pour autant mettre sur le même niveau la volonté morbide et tout bonnement effroyable d'éradication massive de l'ensemble d'une minorité religieuse et culturelle avec la Shoah et la répression brutale et injuste de l'immigration de populations hispaniques ou autres, Sarah McCoy se sert intelligemment des erreurs du passé pour éclairer celles de notre présent. L'endroit et le type de discrimination ne sont pas forcément les mêmes, ne se traduisent assurément pas de la même façon mais au bout du compte, la haine et la peur de l'autre qui les animent sont en tout point identiques à mes yeux.

En clair, ce roman avait toutes les qualités tant sur le fond que sur la forme pour me faire succomber. Mais alors, qu'est-ce qui a pêché ? Je dirais avant tout que ce sont les protagonistes de cette intrigue qui ont manqué de me convaincre. Je ne saurais vous expliquer pourquoi, j'avais beau être touchée par leur vécu et leur évolution somme toute flagrante au fil de l'intrigue, cela n'a pas suffi pour que je me soucie véritablement de leur sort. De toute manière, je savais comment cela allait se finir pour la plupart d'entre eux et, même quand cela n'était pas le cas, la révélation choc soulevant enfin le voile du mystère ne parvenait pas à m'atteindre et à m'ébranler comme je l'avais escompté. Je ne pourrais mettre le doigt sur ce qui m'a manqué avec ce livre mais il m'a résolument manqué ce petit quelque chose insaisissable et indescriptible qui transforme votre lecture en coup de c½ur ou coup de foudre au lieu de la laisser au stade de simple lecture de passage.

Et puis, cela va vous sembler affreux ce que je vais vous énoncer là mais je suis de plus en plus persuadée qu'à force d'avoir englouti à ce point d'oeuvres de fiction livresques et cinématographiques sur la thématique de la Seconde Guerre mondiale dans le cas présent, notamment au cours de ma prime adolescence, je n'arrive plus à trouver ce contenu fictionnel agrémenté d'une dose plus ou moins importante de réalisme attrayant d'un point de vue purement créatif. Ce que j'entends par là, c'est que j'ai constaté avec une immense amertume et un certain fatalisme que je ne lisais plus de romans historiques en général pour leur intensité émotionnelle, pour la singularité de leur prose ou pour leur plus ou moins grand potentiel d'inventivité, de réinterprétation et réadaptation du réel, mais pour l'enrichissement personnel qu'ils m'apportent en terme de connaissances concernant une pléthore d'événements historiques et des enseignements principalement moraux, philosophiques qui découlent de ces derniers. Je ne vibre plus autant pour les personnages assez caricaturaux, à tout le moins à la construction psychologique et aux caractéristiques dans leur ensemble somme toute similaires, mon coeur ne bat plus à l'unisson avec les leurs, à quelques exceptions près (Hallie Erminie et Post, mes bébés pour ne citer qu'eux parmi mes dernières lectures de romans historiques concluantes)... Les choses ont tout simplement changé, je les vois désormais différemment avec l'½il d'une lectrice sûre de ces goûts et plus avisée après des années et des années de lecture d'un même genre littéraire, qui comme tous les autres a sa machine bien huilée et ses rouages qui lui sont propres. Dans certains cas, ce schéma narratif reproduit quasiment à l'identique ne me gêne nullement mais dans les romans historiques, qui est pourtant l'un de mes genres de prédilection, cela me chagrine et a même tendance à m'ennuyer. Il faudrait sûrement que je fasse une pause avec ce type de parutions comme je suis en train de la faire depuis quelques temps avec le genre dystopique pour par la suite mieux les retrouver et les apprécier à leur juste valeur. À l'heure actuelle, je suis de la team fantastique d'un côté et Young Adult de l'autre, avec le manga qui vient subrepticement se glisser entre les deux de plus en plus fréquemment, ce sont les appétits littéraires du moment et je n'y peux rien ! Ma phase fiction historique est passée et il faut que je l'accepte si je ne veux pas gâcher encore de magnifiques rencontres de livre a lecteur qui chamboulent toute une vie comme Un goût de cannelle et d'espoir aurait pu l'être avec moi. Vous penserez sans doute que j'exagère dans le mélodrame au vu de la splendide note que je vais mettre à ce titre mais je suis intimement convaincue qu'il aurait pu représenter bien plus à mes yeux si je l'avais lu au bon moment, si j'avais suivi mon instinct et les véritables désirs de mon c½ur plutôt que la raison. Comme lors de la cuisson du meilleur des gâteaux, on se doit d'être patient en guise d'envies de lecture car un livre ouvert, quel qu'il soit, ne doit pas être pris à la légère. C'est la leçon que j'ai tirée de mon expérience en demi-teinte au vu de mon amour enraciné du genre en question avec Un goût de cannelle et d'espoir dans tous les cas.

Pour conclure, il semblerait que j'attendais des monts et des merveilles de la part d'Un goût de cannelle et d'espoir qui se sera in fine avéré être un excellent roman qui cochait toutes les cases, qui rassemblait tous les ingrédients susceptibles de me plaire, mais à côté duquel je suis d'une certaine façon passée en tant que fan invétérée de ce type de livres en temps normal. Néanmoins, ce n'est pas pour autant que je vais me lamenter sur mon sort : Le bruissement du papier et des désirs avait été un ardent coup de c½ur, Le souffle des feuilles et des promesses un tonitruant coup de foudre et il me reste encore Une promesse d'encre et de liberté à découvrir ! Tout n'est pas perdu, loin de là ! De votre côté, je vous conseille vivement de vous faire votre propre avis sur les délices d'Elsie avec ce récit. Pour ma part, je ne regrette au fond rien ; en y réfléchissant à deux fois, j'ai décidé de ne pas me mortifier pour si peu. De plus, l'autrice nous réserve une onctueuse surprise à la fin de son ouvrage. Ce n'est pas grand chose en apparence mais cela a suffi à réchauffer mon c½ur désolé. Alors, désireux de savoir de quoi il en retourne ? Suivez l'odeur savoureuse du bon pain chaud de la Bäckerai et vous aurez la réponse ! ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, éditions Pocket, Un Goût de cannelle et d'espoir, one-shot, Sarah McCoy, 2012, Roman historique, Seconde Guerre Mondiale, nazisme, troisième reich, boulangerie, famille, séparation, secrets, mystère, passé douloureux, drame, amour, dilemme, désarroi, pardon, souffrance, reconciliation, aller de l'avant, détermination, Lebensborn, génocide, solidarité, immigration, souvenirs, amitié, rencontres décisives, Très bonne lecture
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#Posté le lundi 24 février 2020 06:01

Modifié le mercredi 15 avril 2020 14:16

FICHE LECTURE : Des souris et des hommes

FICHE LECTURE : Des souris et des hommes
• TITRE V.O. : Of Mice and Men.
• AUTEUR : John Steinbeck.
• ANNÉE : 1937 (USA) ; 1939 (FRANCE).
• GENRE (S) : Roman.
• THÈMES : Amitié - Maladie mentale - Ferme - Campagne - Paysans - Travailleurs - Californie - Vallée de la Salinas - Misère - Déracinement - Errance - Marginalisation - Tendresse - Douceur - Violence - Drame...
• PAGES : 174.

L'histoire se passe dans les années 30, dans la campagne californienne. George et Lenny sont ouvriers agricoles. Ils vont de ferme en ferme à la recherche de menus travaux.

Lenny n'a pas beaucoup d'esprit mais il est fort et courageux au travail. George, plus petit et trapu mais plus malin, veille sur lui.
Ensemble, ils n'ont qu'un rêve des plus simples : économiser suffisamment d'argent pour se payer une petite ferme, un carré de terre pour faire pousser de la luzerne, quelques poulets et des lapins.

Au début du livre, avant même leur arrivée dans une nouvelle ferme, on comprend que Lenny, qui déborde d'amour, ne mesure pas sa force. Et au fil de l'histoire, on devine que cette particularité le mènera, malgré lui, à sa perte.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique du roman Des souris et des hommes signé John Steinbeck.

Le chef-d'oeuvre A l'Est d'Eden étant mon livre préféré de tous les temps, j'ai décidé depuis quelques temps déjà de découvrir L'ENSEMBLE de l'oeuvre de Steinbeck au fur et à mesure. Des souris et des hommes a été l'un des premiers titres de cet immense auteur sur lequel je me suis jetée et je puis vous assurer que cette lecture a été assurément mémorable !

Ce livre, c'est tout simplement un récit résolument court mais intense qui décrit avec une virtuosité rare la condition médiocre de bien des hommes en quête d'idéal, leur lutte désespérée, mélancolique et désarmante pour un rêve beau, pur, qui se substitue à leur effroyable réalité. C'est aussi une histoire d'amitié singulière et authentique qui se dessine sous nos yeux, la balade lancinante de deux pauvres hères sans attaches, ni racines, de deux personnalités indubitablement distinctes mais qui se complètent à merveille, indispensables l'une à l'autre, qui partagent le même espoir fou qui donne envie de survivre face à l'injustice bête et méchante du monde.

Je ne vous en dirai pas plus si ce n'est que Des souris et des hommes est un véritable petit bijou. L'intrigue ne paye peut-être pas de mine de prime abord, cependant, attendez-vous à quelque chose de saisissant. La plume finement ciselée et de peu de mots de John Steinbeck ne manquera en outre pas de vous subjuguer, de même que la tension à couper au couteau mise en place qui monte en effet crescendo et qui nous mène à un dénouement absolument renversant et qui a sérieusement de quoi vous laisser le coeur en miettes. Vous voilà prévenus... COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥

« - Les types comme nous, ils n'ont pas de famille. Ils s' font un peu d'argent, et puis ils le dépensent tout. Y a personne dans le monde pour se faire de la bile à leur sujet...
- Mais pas nous, s'écria Lennie tout heureux. Raconte comment c'est pour nous.
Georges resta un instant tranquille :
- Mais pas nous, dit-il.
- Parce que...
- Parce que moi, j' t'ai et...
- Et moi, j' t'ai. On est là tous les deux à se faire de la bile l'un pour l'autre, voilà ! s'écria Lennie, triomphant. »
Tags : Fiche lecture, Gallimard, Folio, Des souris et des hommes, Littérature américaine, John Steinbeck, 1937, 1939, roman, amitié, maladie mentale, ferme, campagne, paysans, travailleurs, Californie, Vallée de la Salinas, misère, déracinement, tendresse, errance, marginalisation, douceur, violence, drame, coup de coeur ♥
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#Posté le mercredi 01 avril 2020 06:13

Modifié le vendredi 19 juin 2020 10:02

FICHE FILM : Dunkerque

FICHE FILM : Dunkerque
FILM DE GUERRE | 2017 | RÉALISÉ PAR CHRISTOPHER NOLAN | 2 H 04 | SECONDE GUERRE MONDIALE, ARMEE ANGLAISE, ALLIES, DRAME, SAUVETAGE, COMBATS AERIENS, EVENEMENT DECISIF | AVEC FIONN WHITEHEAD, TOM GLYNN-CARNEY, MARK RYLANCE, TOM HARDY, CILLIAN MURPHY, HARRY STYLES, KENNETH BRANAGH...

➜ Au début de la Seconde Guerre mondiale, en mai 1940, environ 400 000 soldats britanniques et français se retrouvent encerclés par les troupes allemandes dans la poche de Dunkerque. L'Opération Dynamo est mise en place pour évacuer le Corps expéditionnaire britannique (CEB) vers l'Angleterre.

L'histoire s'intéresse aux destins croisés des soldats, pilotes, marins et civils anglais durant l'Opération Dynamo. Alors que le CEB est évacué par le port et les plages de Dunkerque, trois soldats britanniques, avec un peu d'ingéniosité et de chance, arrivent à embarquer sous les bombardements. Un périple bien plus grand les attend : la traversée du détroit.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique de Dunkerque signé par le grand Christopher Nolan, dont j'avais notamment juste adoré les précédents chefs-d'½uvre Inception et Interstellar. Il me tardait donc de voir ce qu'il allait nous proposer avec cette adaptation sur grand écran de ce moment indéniablement décisif de notre Histoire... et bon sang, quelle déception !

Très sincèrement, je m'attendais à ce que ce film soit un coup de foudre, une révélation, et il n'en fut rien. Je dirais même qu'à l'inverse, en le regardant, j'avais la sensation extrêmement désagréable et dérangeante d'être complètement en dehors du film tout du long. Pour être tout à fait franche avec vous, je me demande comment j'ai fait pour tenir les 1 h 47 que dure très exactement ce film car ce fut long mes amis, ce fut interminablement long, avant que toute cette folle exfiltration n'en arrive enfin à son dénouement qui fut de mon côté tout aussi décevant et fade que le reste.

Au fond, l'image qui correspondrait le mieux à mon ressenti vis-à-vis de ce long-métrage, c'est un soufflé fort appétissant et savoureux en apparence qui retombe instantanément une fois que l'on s'en est approché d'un peu trop près afin d'en découvrir toutes les qualités pour les yeux et les papilles, qui s'apparenteraient plutôt ici à de jolis artifices qui ne convainquent guère sur la durée tant ils ne parviennent pas à nous dissimuler le vide intersidéral de notre soufflé bien enrobé. Car oui, Dunkerque est une authentique réussite en matière d'esthétisme, de visuels grandioses et d'effets spéciaux spectaculaires. En même temps, avec Nolan, on s'attend toujours à du WAW, donc cela n'a rien d'étonnant. Pas de mauvaise surprise de ce côté-là donc, au contraire. Cependant, un film ne se résume pas qu'à son aspect technique, aussi travaillé et soigné soit-il. Ce serait beaucoup trop simple, sinon. Dans le cas présent, Dunkerque m'a éblouie par ses décors, son incroyable colorimétrie essentiellement dans les tons de bleu et de gris absolument magnifique, sa photographie impeccable. Mais niveau émotions, comment vous dire... Cela ne l'a clairement pas fait. En toute honnêteté, je comprends tout à fait la démarche qu'a entreprise Nolan, les choix scénaristiques qu'il a opérés, avec entre autres cette volonté de conserver l'anonymat des nombreux protagonistes de ce récit car au fond, ces soldats héros de l'ombre nous restent aujourd'hui encore totalement inconnus, ce qui ne signifie pas pour autant que nous ne devons pas nous montrer reconnaissants pour ce qu'ils ont fait, le véritable exploit qu'ils ont accompli et qui nous permet d'être qui nous sommes aujourd'hui, des Français libérés de la domination allemande. Néanmoins, cette profusion impressionnante de figurants et cet anonymat assumé m'ont pour ma part totalement déroutée et cette absence d'informations sur le passif des personnages, sur leur vie, leurs sentiments m'a empêché de m'attacher à eux et même de ressentir quoique ce soit à leur encontre. Résultat, je me suis sentie extrêmement coupable et mal à l'aise de ne pas parvenir à me soucier suffisamment de leur sort pour véritablement accrocher avec le propos du film. Un autre point qui m'a profondément dérangé, c'est le cruel manque de dialogues. Encore une fois, je comprends l'intérêt de laisser les images, juste somptueuses au demeurant, parler à la place des personnages à certains moments-clés mais pas durant l'intégralité du film ou presque. Ici, cela a fait clairement ressortir l'absence d'un réel fil rouge conducteur et m'a d'autant plus donné envie d'éteindre ma télévision à de nombreuses prises tant je me sentais confuse et ennuyée (dans les deux sens du terme) face à ce que je regardais. In fine, Dunkerque n'aura su capter mon attention à aucun moment donné. La musique de Hans Zimmer est parfois parvenue à me sortir de ma torpeur mais là encore, j'ai été désappointée de constater à quel point cette bande soundtrack, que l'on doit pourtant à l'un des compositeurs de musiques de films les plus prodigieux de notre époque, était peu mémorable. Certes, elle accompagne à merveille le propos du film lors de certaines scènes clés qui font résolument montrer le suspens d'un cran mais ça s'en arrête là.

D'ailleurs, ma critique assurément négative touche à sa fin elle aussi. Vous l'aurez certainement compris je pense, mais Dunkerque aura été de mon côté un flop total. Malgré son casting cinq étoiles, qui au passage est très mal mis en avant, et ses aspects techniques de toute beauté qui méritaient sans aucun doute leurs Oscars, ce film reste à mes yeux tout ce qu'il y a de plus plat, fade et sans intérêt. Autrement dit, la chute a fait mal, très mal. Croyez-m'en bien qu'il m'en coûte de terminer mon article dédié à ce film sur cette note. ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche film, Dunkerque, film de guerre, 2017, Christopher Nolan, Seconde Guerre Mondiale, armée anglaise, alliés, drame, sauvetage, combats aériens, événement décisif, Fionn Whitehead, Tom Glynn-Carney, Mark Rylance, Tom Hardy, Cillian Murphy, Harry Styles, Kenneth Branagh, Je n'ai pas aimé
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#Posté le samedi 21 mars 2020 15:10

Modifié le samedi 28 mars 2020 17:13

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