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BB en Livre : La guerre dans la littérature jeunesse

BB en Livre : La guerre dans la littérature jeunesse

• TITRE VO : War Horse.
• AUTEUR : Michael Morpurgo.
• ANNÉE : 1982 (ROYAUME-UNI, FRANCE).
• GENRE (S) : Jeunesse.
• THÈMES : Guerre, première guerre mondiale, campagne, Angleterre, France, amitié, relation maître/animal, chevaux, réquisition, armée, camps, boucherie, drame, séparation, traumatisme, deuil, mort, tuerie, camps, espoir, ténacité, fidélité, bienveillance, affection, tendresse, amour éperdu, combats, no man's land, sang, folie meurtrière, incompréhension, humanité, foi, espérance, solidarité, bonté, attachement, courage, survivre, cruauté...
• PAGES : 207.

Joey, le cheval de ferme, devient cheval de guerre en 1914. Il va alors vivre l'horreur des combats auprès des Britanniques, des Français, ou du côté des Allemands. Pour lui, les soldats, les paysans ou les vétérinaires ne sont pas des ennemis mais des hommes, chez qui il rencontre la bonté comme la méchanceté. Joey partage leurs souffrances et leurs peurs et sait leur redonner espoir.

Grâce à Joey, découvrez une très belle et bouleversante histoire d'humanité, racontée avec simplicité par un grand auteur pour la jeunesse.

L'AUTEUR : Michael Morpurgo, né le 5 octobre 1943 à St Albans, en Angleterre, est un auteur anglais, connu pour ses romans pour enfants. Il devient célèbre grâce au roman Cheval de guerre, inspiré d'une histoire vraie à propos d'un cheval nommé Warrior, "Guerrier" en français. En tout, il a écrit plus de cent-vingt livres, qui ont été traduit dans vingt-cinq langues. Parmi ses ½uvres les plus connues, on peut citer bien sûr Cheval de guerre mais aussi Soldat Peaceful, paru en 2003, Le Royaume de Kensuké (1999) ou encore Le Roi Arthur (1995). Michael Morpugo écrit principalement des livres pour enfants, mais aussi des romans pour adolescents. Il est un écrivain renommé et reconnu dans le monte entier. Il est aussi l'un des auteurs les plus aimés de son pays d'origine, dans lequel il a été nommé officier du British Empire par la reine Elizabeth II pour ses nombreuses ½uvres qui ont rendu service à la littérature anglophone. Il a aussi été fait chevalier des Arts et des Lettres en France, chose très rare pour un écrivain britannique. Il est marié à Clare Morpurgo et a trois enfants.
BB en Livre : La guerre dans la littérature jeunesse
ஜ MON AVIS : Pour accompagner votre lecture de cette chronique : ♫.

Afin de bien commencer cette chronique, je tiens tout d'abord à dire que je suis absolument ravie de participer ainsi à l'OFF de BB en Livre. Mais qu'est-ce donc ? BB en Livre, petite abréviation toute mignonne de Booktube et la Blogosphère en Livre, est une initiative lancée par Nathan de la chaîne YouTube Le Cahier de Lecture de Nathan et qui consiste à célébrer la littérature jeunesse tout au long de l'été. Comment ? En publiant chaque jour une vidéo ou un article durant la fête du livre jeunesse Partir en Livre, qui a lieu officiellement du 11 au 22 juillet. Ce sont les blogueurs/youtubeurs faisant partie de BB en Livre qui nous font alors découvrir chaque jour divers ½uvres jeunesse qui méritent largement ce petit moment d'attention. Quant à l'OFF, il nous permet de prolonger la fête un peu plus longtemps car on n'en a jamais assez de parler de littérature jeunesse ! Si jamais mes explications ne sont pas claires, n'hésitez pas à aller voir la vidéo explicative de Nathan ici, ou à consulter les divers pages BBenLivre, sur Facebook, Twitter et Instagram. Voilà, n'hésitez pas à foncer vous renseigner sur tout ça, car vous trouverez également le premier concours de cette quatrième édition BB en Livre suggéré par Nathan ici, ainsi qu'un merveilleux concours proposant de gagner plus de 100 livres jeunesse de diverses maisons d'édition trop géniales. Et n'oubliez pas aussi d'aller voir/lire les avis hyper intéressants et enrichissants des autres participants au projet sur une pléiade d'ouvrages jeunesse ! Mais avant cela, restez avec moi encore un peu, vous ne le regretterez pas !

Alors, il faut déjà savoir que la littérature jeunesse, personnellement, et je pense que c'est aussi le cas des autres blogueurs/youtubeurs de BB en Livre, je la célèbre toute l'année, elle rythme mon quotidien 365 jours par an, sept jours sur sept. Depuis que je sais lire, elle ne m'a jamais quittée au fond. Tout ça pour dire que je me demandais sérieusement ce que j'allais bien pouvoir vous présenter. Rien qu'avec mes dernières lectures, ma tête fourmillait d'idées. Et puis, tout d'un coup, l'illumination ! Il y a cinq ans, j'avais fait une fiche lecture pour le cours de français dont j'étais et reste particulièrement fière. Je vous le promets, rien de barbant ! Dans cette fiche, je défendais corps et âme la littérature jeunesse. Ce que j'avais écrit me représentait parfaitement, et c'est ce que je pense encore aujourd'hui. Je vais donc vous parler de la guerre dans la littérature jeunesse. Plus particulièrement de la guerre 14-18, dont j'avais commémoré le centenaire par le biais de cette fiche lecture.

Le livre que j'avais choisi de présenter d'instinct s'intitule Cheval de guerre. Et je suis toute fébrile à l'idée de vous en reparler car ce roman m'a marquée de façon indélébile, et je n'ai pas oublié les extraordinaires émotions qu'il m'a fait ressentir. J'en suis encore totalement imprégnée, c'est juste dingue. Laissez-moi vous conter cette histoire de guerre, basée sur des faits réels comme évoqué plus tôt dans la bio de l'auteur. Un auteur extraordinaire par ailleurs, dont je ne taris jamais d'éloges, car il n'hésite pas à visiter de nombreuses écoles et bibliothèques dans le monde entier, notamment en France (Cocorico !, et je mourrais d'envie de le rencontrer au passage), afin de défendre les valeurs de la littérature dite "enfantine", qui n'est pas niaise, contrairement à ce que la connotation appliquée à ce mot peut le suggérer. Je ne peux qu'applaudir le combat que Michael Morpurgo et sa femme n'ont jamais cessé de mener contre ces préjugés stupides qui ont la peau dure, et, quand on lit un livre tel que Cheval de guerre, ou Soldat Peaceful, qui traite lui aussi d'Histoire et de première guerre mondiale et que je ne peux que chaudement vous recommander également, on comprend que le mot "enfantine" désigne beaucoup de tendresse et de beauté, mais aussi des sujets et des émotions plus matures comme la souffrance, la haine, qui peuvent tout aussi bien parler aux adultes, comme Michael Morpurgo le prouve justement dans Cheval de guerre, où un cheval et son maître sont séparés à cause d'un affreux conflit et évoluent au sein d'un milieu hostile, dangereux et empli de cruauté. L'auteur met ainsi un point d'honneur à redonner ses lettres de noblesse à la littérature jeunesse, qui est bien trop souvent dénigrée et peu mise en avant à cause du public qu'elle vise essentiellement : les enfants. Un public particulièrement exigeant et gratifiant selon mon cher Roald Dahl, et je suis sûre que Michael Morpurgo approuverait ses dires. Ce jeune lectorat ne mérite pas d'être ainsi négligé et a même beaucoup de choses à nous apprendre.

L'auteur du remarquable Cheval de guerre prend donc sa tâche de satisfaire ce lectorat bien spécial très au sérieux, et il s'adresse en réalité à tous, aux véritables chérubins, tout comme à ceux qui n'ont jamais cessé de l'être, s'ils prennent la peine d'écouter cette âme magnifique qui vibre encore en eux. Dans Cheval de guerre, cette âme crie à nous en briser les tympans, que ce soit dans l'étendue de la campagne du Devon, où débute l'histoire en 1912, deux ans avant le déclenchement fatidique de cette guerre mémorable pour sa boucherie et son idiotie, et où l'auteur réside, ou dans celle française, dans laquelle se déroule la majeure partie de l'histoire, et qui contraste en temps de guerre singulièrement avec celle fort paisible de l'enfance du fameux cheval et de son bien-aimé maître.

L'un des partis pris de l'auteur, et qui fait selon moi toute la force de ce roman si inspirant et profondément beau dans la souffrance et la Bêtise humaine qu'il nous expose, mais aussi dans la grandeur, le courage, l'Humanité et l'espoir qui continuent de vivre dans le c½ur de chaque homme et de chaque bête mobilisé(e) au combat, c'est qu'il nous raconte l'histoire du point de vue de Joey... qui se trouve être le cheval désigné par le titre à la fois si magistral et minimaliste de l'½uvre. Sous cette appellation, toute la vie de ce cheval exceptionnel va se révéler être un hasard extraordinaire. Acheté sous l'effet de l'ivresse par un fermier sans le sou, Ted Narracott, Joey va alors devenir le cheval d'Albert, un jeune garçon qui l'a vu naître et grandir, et qui n'a jamais cessé de l'admirer avec des yeux brillants d'un amour qui le consumait avant même qu'il ne s'en rendre compte. In fine, c'est Albert qui va appartenir à Joey de façon irrémédiable, et à chaque fois que Joey appelait Albert son Albert, j'en avais le c½ur battant à tout rompre de cette émotion indescriptible qui me saisissait alors. Michael Morpugo nous montre que le lien entre un animal et son maître est inviolable, incassable, malgré tout ce que le destin peut nous réserver de bon ou de mauvais. Malheureusement, Joey va être arraché à son Albert de la pire des manières : en étant vendu à l'armée anglaise. Albert, en maître merveilleux, au c½ur pur et empli de bonté et d'amour à revendre qu'il est (certains devraient en prendre de la graine au lieu de lâchement abandonner leurs animaux, c'est une honte), se jure de s'engager dans l'armée pour retrouver Joey coûte que coûte, dès qu'il en aura l'âge. Et c'est ce qu'il fera. Rien ne l'arrêtera pour parvenir à ses fins, pas même la peur de la mort.

BB en Livre : La guerre dans la littérature jeunesse

Le fait que l'histoire soit narrée à travers les yeux de Joey, avec ses ressentis, ses sentiments, permet aussi à l'auteur de faire une analyse très intelligente, lucide de notre espèce humaine et de pointer tout ce qui ne va pas chez nous (parce que nous sommes des êtres sacrément tordus et étranges quand même !) de façon externe grâce au point de vue de notre cher Joey. Rassurez-vous, Joey ne va pas être témoin extralucide que de la cruauté et de la Bêtise humaine, de tout ce qui cloche dans le fonctionnement de ces êtres à deux pattes, il va aussi faire de superbes rencontres qui vont bouleverser son existence de magnifique cheval à la robe bai roux, à l'étoile blanche singulière et visible sur le front et avec quatre balzanes exactement assorties en bien. A commencer par Albert, qu'il reconnaît comme étant le seul maître qu'il ait jamais eu malgré le nombre de "propriétaires" qu'il va avoir au cours de ses péripéties et qui tous, unanimement, qualifient ce cheval d'exceptionnel et de "pas comme les autres". Propos que je ne peux qu'approuver en hochant vigoureusement de la tête. Joey est un cheval qui va affronter bien des épreuves douloureuses dès sa naissance et qui va toujours les surmonter avec sa prestance légendaire. Une rencontre avec un tel animal, cela ne se vit qu'une fois en plusieurs siècles. On ne l'oublie jamais, et on continue à ressentir ce privilège et cet émerveillement tout bonnement saisissants dans tout notre être même des années après. La preuve en est avec votre humble servante.

Je ne suis pas prête d'oublier Albert Naracott non plus. Que ce soit sa version papier ou cinématographique. Jeremy Irvine continue de hanter mes rêves six ans après que je sois sortie de ma séance de l'adaptation pleine de justesse et magistrale de Spielberg, humhum... Quoiqu'il en soit, je me suis immédiatement identifiée à ce personnage, à mon petit Bertie, un jeune garçon qui a sacrément du cran (tel maître, tel animal !) et qui est quelqu'un de naturellement gai et optimiste, qui adore fredonner des airs populaires et des chansons. Retenez bien cela, car quand Albert fait entendre sa belle voix joyeuse, c'est la plus belle des musiques qui résonne à nos oreilles. Quand Albert chante, on est saisi de frissons (encore plus que dans tout le reste du roman), cela fait naître un grand sourire sur nos visages béats et rayonnants, et on a presque envie d'en pleurer de joie. S'il y a bien une chose qu'il faut retenir de ma longue chronique, c'est que jamais je n'avais ressenti de telles émotions aussi fortement avant ma lecture de Cheval de guerre. Il y a eu un avant et un après ce livre, inexorablement.

Au cours de son horrible séparation d'avec Albert, Joey aura la chance de rencontrer des âmes toutes aussi belles et bienveillantes que celle de son maître sur son chemin semé d'embûches, que ce soit celle du grand étalon énorme d'un noir de jais éclatant, dont le port de tête est d'une dignité majestueuse et qui est luisant de santé qu'est Topthorn, qui deviendra son meilleur ami cheval. L'affection qu'ils éprouvent l'un pour l'autre est extrêmement belle à voir. Les rencontres que fera Joey l'aideront à tenir le coup jusqu'à son but ultime qui est de retrouver son cher Albert, et ce soutien sera réciproque. En effet, Joey va bouleverser les existences des personnes qui croiseront sa route, tout comme il a bouleversé la vie de son âme s½ur humaine dès sa naissance, et il parviendra, en ces temps de tourments, à apporter un grand réconfort à tous ces gens. Que ce soit au Capitaine James Nicholls, un artiste dans l'âme qui va décider de faire de Joey sa muse, et à la grande finesse et extrême sensibilité selon ce dernier ; au Cavalier Charlie Warren, un jeune soldat craintif qui prendra grand soin de Joey avec une attention extrêmement méticuleuse et fera de lui son confident pour épancher son c½ur brûlant d'amour pour sa Sally qui l'attend à la maison ; à la maladive et si attendrissante Emilie et à son grand-père, qui l'aime plus que tout au monde et qui jouera un rôle très important par la suite ; ou encore au vieux soldat allemand Friedrich, Friedrich-le-Fou qui se parle tout seul car il est le seul à se comprendre et à vouloir s'écouter, mais qui est en réalité un homme bon, plein de bon sens et doux qui partage une belle complicité avec Topthorn et qui lui voue une admiration sans bornes, Joey leur apportera à tous un bonheur certes éphémère mais sans condition. Il rallumera la flamme de l'espoir dans leur c½ur, et c'est bien le plus beau cadeau qu'il pouvait leur faire.

Pour ce que je vais dire à présent, il aurait été plus judicieux de l'évoquer en début de chronique, mais cela importe peu au fond. J'écris mes sentiments comme ils me viennent. C'est tel un flot ininterrompu qui s'écoule de mes doigts qui tapent frénétiquement sur le clavier, mais que je dois cependant organiser un tant soit peu. Pour commencer, avant de lire ce livre merveilleux, je savais d'ores et déjà qu'il me plairait. Pourquoi une telle certitude aussi hasardeuse ? Eh bien, une telle histoire d'amitié entre l'espèce humaine et celle animale ne pouvait que m'emballer et me séduire ! Et puis, j'avais déjà vu le film de Spielberg auparavant, à sa sortie en 2012 (j'ai encore l'impression que c'était hier !), et j'ai lu le livre un an plus tard dans le cadre scolaire donc. Pour vous en parler un peu, de ce film d'exception, il est rapidement devenu l'un de mes préférés, tant il est beau et émouvant. Forcément, lorsque j'ai pu faire une pierre deux coups en lisant le livre à la fois pour le centenaire et pour le plaisir (après tout, j'ai pu le choisir le livre sujet de ma fiche !), j'étais aux anges. Il faut savoir que je pense la plupart du temps que le livre est mieux que le film (et je ne suis pas la seule à avoir cette façon de raisonner je pense). Cette fois, il y a exception. Non pas que le film soit meilleur que le livre : il lui fait honneur. Je ne saurais choisir entre le livre et son adaptation cinématographique en y réfléchissant, tant ils sont captivants et émouvants tous les deux.

Pour en revenir au livre, sujet principal de cet article, il se lit très rapidement (il fait deux cent pages à tout casser en même temps) sans pour autant avoir un langage facile d'accès, comme on pourrait le croire si on se réfère à la cible qu'il vise, on le rappelle, les enfants. Au contraire, le langage employé dans le livre est très souvent familier, il reflète le patois des différentes régions d'où viennent les soldats, ce qui en rajoute à sa véracité et à son authenticité. En fonction du niveau personnel de chacun, je pense que certains enfants qui ont du mal dans l'apprentissage de la lecture auraient un peu de mal à le lire à cause de cela. Néanmoins, je pense tout de même que tout le monde peut lire Cheval de guerre car c'est un roman familial et universel qui peut tous nous toucher, de l'enfant de primaire à l'adolescent, jusqu'à la personne âgée de 77 ans, en passant par l'adulte père/mère de famille ou au jeune adulte. Avec ce roman, Michael Morpurgo nous montre en Albert et son cheval chéri Joey à quel point l'amitié est précieuse, qu'il faut se battre pour la garder tant elle est importante et unique. A travers cette amitié hors-du-commun, il nous donne une belle leçon de fidélité et d'amour, tant Albert serait prêt à n'importe quoi pour son Joey, même à aller dans les terribles tranchées. L'auteur nous décrit aussi l'horreur de la guerre, qui nous prend tout et nous fait oublier les choses les plus essentielles, comme l'amour et l'amitié. Il nous montre que les enfants, principaux lecteurs touchés, ne sont pas des faibles d'esprit ; non, les enfants ressentent les choses intensément eux aussi, si ce n'est plus, ils ne sont pas aveugles concernant les horreurs qui ont lieu quotidiennement dans le monde. Simplement, ils savent que la vie est belle malgré tout cela et qu'il faut s'attarder sur les moments de joie, pas ceux de malheur, et qu'il faut positiver et se rappeler les points positifs de chaque chose, chaque objet, chaque personne. Je pense que ce n'est pas l'enfant qui doit prendre exemple sur ses parents, mais l'inverse, car un enfant est un être pur qui connaît au plus profond de lui les vraies valeurs de la vie. Pour en revenir à Cheval de guerre concrètement parlant, je tiens juste à rappeler que ce livre défend ces mêmes valeurs et nous montre à quel point on a besoin de nos amis pour vivre, chose que je ne comprenais pas à une époque. Ce livre m'a vraiment ému (non, ça ne se voit pas du tout !), tant l'amitié d'Albert et de Joey est belle, tant on aimerait avoir un ami fidèle tel qu'Albert, qui ne nous lâchera jamais, peu importe les circonstances, et qui sera toujours là pour prendre soin de nous et pour nous aimer de toutes ses forces. Selon moi, Michael Morpurgo destine ce livre non pas aux enfants, mais surtout aux adultes, qui ont oublié leur enfance et que toute magie, joie et amour a quitté. Il veut leur rappeler le temps de l'insouciance et leur montrer que l'amour et l'amitié sont essentiels à la vie, qu'il faut savoir toujours sourire à celle-ci et se contenter de peu de choses, comme le font les enfants. Les choses essentielles sont les plus belles, comme me l'a appris mon chanteur préféré, Michael Jackson, et ce livre. Ce livre qui est parti à la guerre et qui a gagné. Il l'a gagnée. Pour résumer tout cela, Cheval de guerre est un livre qui sert à défendre l'amour et l'amitié, et à dire que les personnes fidèles existent, même si elles sont très rares, et que, justement, il faut s'accrocher à elles de toutes nos forces une fois qu'on les a trouvées, et ne jamais oublier que la vie est belle car on a de telles personnes à nos côtés sur qui compter. Le livre critique donc bien sûr la guerre, tout le contraire de l'amour et de l'amitié, qui ne sert qu'à nous faire du mal et à en faire aux autres, à nous rendre amer et cruel et à nous faire croire que la vie est noire, morose et vaine.

Pour terminer cette chronique que, j'espère, vous aurez eu le courage et l'envie de lire jusqu'au bout (si c'est le cas, vous avez ma gratitude éternelle), je vous conseille de lire ce livre, qui pour moi est juste un livre essentiel, à lire au moins une fois dans sa vie, et qui s'adresse à tous. Je vous recommande également chaudement le film qui, malgré certains détails discordants avec le roman, nous rend ces mêmes valeurs d'harmonie, de fidélité et d'amitié, qui fait pétiller nos yeux d'admiration, et qui rend l'amitié entre Joey et Albert encore plus belle et émouvante si cela est possible, et c'est ce qui compte vraiment. J'espère de tout mon c½ur, sincèrement, que ma chronique vous aura donné envie de lire ce livre, car il en vaut vraiment la peine.

Sur ce, rendez-vous demain sur la chaîne de Smelly Kat ! ♥

Nanette ♥

BB en Livre : La guerre dans la littérature jeunesse

COUP DE FOUDRE ϟ qui durera pour toujours !

« Moi, je vous le dis, mes amis ; je vous dis que je suis le seul homme sain d'esprit de ce régiment. C'est les autres qui sont fous, mais ils ne le savent pas. Ils font la guerre et ils ne savent pas pourquoi. C'est pas de la folie ça ? Comment un homme peut-il en tuer un autre, sans vraiment savoir pour quelle raison ? [...] Et c'est moi qu'on trouve fou ! »
Tags : Fiche Lecture, Gallimard Jeunesse, Folio junior, BBenLivre, Booktube et la Blogosphère en Livre, litterature anglaise, Michael Morpurgo, 1982, Cheval de Guerre♥♥♥, Jeunesse, La guerre dans la littérature jeunesse, guerre, première guerre mondiale, campagne, Angleterre, France, amitié, relation maître/animal, chevaux, réquisition, armée, camps, boucherie, drame, séparation, traumatisme, deuil, mort, tuerie, espoir, ténacité, fidélité, bienveillance, affection, tendresse, amour éperdu, combats, no man's land, sang, folie meurtrière, incompréhension, humanité, foi, espérance, solidarité, bonté, attachement, courage, survivre, cruauté, Coup de foudre ♥, <= absolu ♥♥♥♥
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#Posté le mardi 14 août 2018 03:30

Modifié le jeudi 18 juillet 2019 09:03

FICHE LECTURE : Les Amoureux de la Lune

FICHE LECTURE : Les Amoureux de la Lune

• AUTRICE : Lizzie Felton.
• ANNÉE : 2018 (FRANCE).
• GENRE (S) : Contemporain, YA, fantastique.
• THÈMES : Romance, amour éperdu, grandir, changer, maturité, ouverture d'esprit, regard neuf sur le monde, Beauté, merveilleux, sensations, sentiments intenses, mystère, amitié, adolescence, drame, lumière/obscurité, secrets, peinture, inspiration, muse, art, splendeur, côte d'Azur...
• PAGES : 306.

A dix-sept ans, troquer sa vie parisienne pour suivre sa famille sur la côte d'Azur est un enfer pour Lucie. Pourtant, la jeune fille y intègre bien vite le cercle de la jeunesse dorée locale, qui l'initie à l'effervescence nocturne, où l'alcool coule à flots, les rencontres sans lendemain se succèdent et l'insouciance adolescente rayonne.
Mais lorsque Lucie rencontre Ulysse, le monde de la nuit prend un tout autre visage sous le regard azur de ce jeune peintre. Malgré les avertissements de ses nouveaux camarades, la jeune fille est attirée par ce mystérieux artiste qu'elle ne croise qu'à la nuit tombée, lui qui voit dans les ombres des couleurs que personne ne décèle, une magnificence que tout le monde ignore, une fascination pour l'astre argenté.
Lui qui voit et révèle en elle cette même beauté invisible...
S'épanouissant avec Ulysse dans la nuit, comme une fleur au soleil, Lucie est alors emportée par un tourbillon d'émotions, un amour de la Lune qui changera à jamais sa vision de la vie.

FICHE LECTURE : Les Amoureux de la Lune

ஜ MON AVIS :

Tout d'abord, je tenais juste à remercier Lizzie Felton d'avoir écrit ce somptueux roman et de me l'avoir si gentiment dédicacé. J'ai pris un réel plaisir à le dévorer.

En commençant ce livre, j'étais pourtant un peu inquiète car la personnalité de Lucie ne correspondait pas du tout à la mienne et ne me plaisait donc absolument pas. C'est simple : au début de l'histoire, Lucie est habituée à ce que ses parents fortunés disent « Amen » à tous ses caprices et passent l'éponge sur tout ce qu'elle fait de mal. Et pour le coup, des mauvaises actions, Lucie semble en commettre des tas, sans les assumer et, surtout, sans se rendre compte de leur gravité. Autant vous dire que cela démarrait sur les chapeaux de roues entre nous deux. Cependant, je sentais bien que Lucie était bien plus qu'une fille des boîtes de nuit à la cuillère en argent dans la bouche (en dehors du fait que son changement à venir soit indiqué dans le résumé du roman, humhum).

« Mourir au creux des bras d'Ulysse lui avait semblé être un moindre mal. Mourir au creux de ses bras semblait être un fin plus plaisante - plus plaisante du moins que ce réveil qui la confortait dans l'idée de l'avoir perdu à jamais. »

Même si je savais que cette évolution allait se produire, rien ne peut prévoir la rencontre directe entre un personnage et un lecteur. C'est si particulier et précieux comme moment à vivre. Celle que j'ai vécue avec la véritable Lucie, à fleur de peau et rayonnante sous la lumière de la lune et le regard d'Ulysse, fut extrêmement agréable. A vrai dire, Lucie a été ma plus belle surprise de tout le roman. Au contact de la Beauté à l'état pur d'Ulysse, elle va se rendre compte de sa vraie valeur et s'épanouir comme la plus magnifique des fleurs. J'ai été profondément touchée de la voir ainsi grandir et être capable de s'émerveiller face aux choses élémentaires, les plus importantes, de quitter ce monde de matérialisme, de paillettes et d'illusions déçues à coups de beuveries et de musique techno forte. Certes, Lucie va longtemps devoir faire semblant d'appartenir à cette "jet-set" adolescente, mais elle sait désormais qui elle est, et elle va apprendre à s'aimer et à se respecter autant qu'elle va être baignée dans l'amour sans bornes qu'Ulysse va lui apporter...

... un amour extraordinaire, qui m'a transpercé jusqu'aux os et qui, en véritable flèche de Cupidon (qu'on devrait rebaptiser sur-le-champ flèche d'Ulysse), a été tout droit jusqu'à sa cible, sans détour. Le sort que ces deux amoureux m'ont jeté est irréversible et je dis tant mieux. Je ne veux pas en être délivrée, non, vraiment pas. Vous savez, ce roman est classé dans la collection Cheshire des géniales éditions du Chat Noir, à savoir : la catégorie "fantastique" et "Young Adult". Je ne veux pas vous gâcher la surprise de la saveur exquise de voir le monde et l'Amour à travers les yeux d'Ulysse, alors je ne vous conseillerai qu'une chose : n'enfermez pas votre esprit dans vos fantasmes et vos préjugés. Et rappelez-vous que la vraie vie peut être bien plus incroyable, merveilleuse et surprenante qu'on ne pourrait le penser.

« - C'est gentil, mais j'ai pas mal de lecture. Je vais me poser avec un bouquin.
- Avec un bouquin ? répéta Achille, incrédule. Ça remonte pas le moral, ça ! Moi je remonte le moral, par contre ! Les rouquins, c'est mieux que les bouquins. N'oublie jamais ça Lucie. Jamais ! Enfin... non pas que je sois tout à fait roux, mais un peu quand même...
Lucie s'esclaffa. Ça faisait très longtemps que ça ne lui était plus arrivé, si longtemps qu'elle en eut mal aux mâchoires. Achille avait beau avoir un humour qui laissait à désirer, il avait toujours le mot pour rire. Les gens comme lui étaient des trésors. »

A commencer par l'existence d'un garçon tout bonnement exceptionnel prénommé Ulysse. Je sais d'ores et déjà ce que vous allez me dire : qu'Ulysse n'est qu'un être de papier et d'encre, et non une personne réelle. Dans le cas présent, il serait plus judicieux et approprié de comparer mon petit chouchou d'amour à une oeuvre d'art vivante. Dès que j'ai posé les yeux pour la première fois sur son autoportrait, j'ai su que j'étais irrémédiablement envoûtée comme avec Dorian Gray, les vices et l'âme vendue au diable en moins... Quoique... Tout comme Lucie, j'aurais été prête à vendre mon âme pour suivre Ulysse jusqu'au bout du monde. Ce garçon à la beauté presque irréelle, au point qu'on s'en pincerait d'émerveillement à chaque fois, et à la magie dans le sourire, la voix, le regard et jusqu'au bout des doigts, a su totalement capturer mon c½ur. Je ne suis pas prête à le lui réclamer par ailleurs, car je le sais entre de très bonnes mains. D'excellentes mains même, les meilleures qui existent. Et je suis persuadée que de telles perles d'êtres humains existent sur cette Terre, si on prend le temps et la peine de les dénicher et d'ouvrir grand les yeux et notre c½ur.

Les parents d'Ulysse, Catherine et Edouard, m'ont aussi beaucoup touchée. Alors que les autres habitants de Beaurepaire, ce paradis de la French Riviera, passent leur temps à les juger sur leur mode de vie très retiré, Catherine et Edouard arrivent à dépasser au quotidien le qu'en-dira-t-on afin de se concentrer sur l'essentiel, le plus important et capital : préserver leur fils unique coûte que coûte et assurer son bonheur. Leur amour pour leur enfant adoré est si palpable qu'il a pas besoin de mots pour s'exprimer. Il est, c'est tout. Et il nous submerge, des pieds à la tête. Oui, c'est ce que je dirais : ce roman nous submerge, nous enveloppe d'Amour sous toutes ses formes.

« Les gens qui pensent pouvoir tout contrôler sont fous. On a beau dire : "dans un an, je ferai ci, je serai là, avec telle personne, dans tel endroit", ce n'est qu'une chimère. Il est impossible de tout prévoir à l'avance. Certaines choses se jettent parfois en travers de notre chemin sans que l'on ne puisse rien y faire. En revanche, je crois que le choix du bonheur revient à chacun de nous, peu importe la situation et peu importe l'histoire. »

Ce livre aura vraiment réussi à me faire passer par une palette d'émotions très variées et intenses. Alors que j'avais déjà une vision du monde très semblable à celle d'Ulysse, ce dernier a accompli l'exploit de faire écarquiller mes yeux tout grands face à la magnificence éclatante des couleurs qu'il utilise pour peindre son univers si singulier, pur, immaculé de toutes les immondices de notre réalité et de nos pensées, une bulle cotonneuse et rayonnante de mille éclats de bonheur et d'amour qu'on ne voudrait jamais quitter. Vous vous imaginez donc bien qu'en en arrivant aux pages de l'épilogue, j'en avais le c½ur lourd, l'estomac tout retourné et les jambes en compote. Cependant, un sourire radieux s'est également dessiné sur mes lèvres lors de ce moment fatidique, car je ne regrettais rien de ce que j'avais vécu. Non, rien de rien.

« Le garçon avait un pouvoir incroyable : il rendait les gens meilleurs, les choses plus belles, les couleurs plus vives. Il tissait du rêve, insufflait de la joie, décuplait les émotions. Et il avait dit un jour à Lucie « Tout change, tout bouge, tout se transforme ». Ainsi, il lui avait appris à porter sur le monde un regard différent, infiniment plus poétique, mais c'était surtout elle, dans son entièreté, qui se sentait métamorphosée, à présent...
Il avait été le cocon qui avait permis à la chenille de devenir un papillon. »

Cette aventure aux côtés de Lucie et d'Ulysse fut véritablement extraordinaire. Elle fut en effet si pleine de vie, de lumière mais aussi de tourments et de souffrances qui n'ont pas pu être épargnées à nos personnages adorés. Elle finit aussi sur une belle touche d'espoir qui ravive une fois de plus la flamme dans nos c½urs. Même si j'ai quitté les rivages de Beaurepaire, ce quartier d'apparence si sélect, froid et superficiel qui a pourtant abrité l'amour le plus vrai et le plus ardent, la lumière de son phare, la lumière qui émane d'Ulysse et de Lucie, ne cessera jamais de me ramener vers cette seconde maison.

Je suis ravie d'avoir pu découvrir la plume fluide, coulant comme de l'eau de source épurée, et poétique de Lizzie grâce à ce premier roman. En plus d'être chanteuse de rock féminin trop stylé auprès de Félize LeNoir au sein du duo Tybalt et Mercutio, elle est aussi une jeune autrice bourrée de talent. Il me tarde de dévorer également ses prochaines ½uvres.

Vous l'aurez sans doute compris, ce one-shot (eh oui, ce n'est pas le début d'une énième saga, alors qu'attendez-vous pour foncer ?) m'a complètement séduite. Ce n'est qu'un au revoir que j'adresse à ma chère Lucie, à mon Ulysse d'amour, à l'attendrissante Marie, la meilleure amie nonchalante et tout feu tout flammes qui va se révéler être pleine de mystères, sensible et attentionnée ; au formidable Achille, toujours là pour ses amis ; et au ténébreux, arrogant, mais aussi généreux, à la carapace fendillée, Diego. Les Lovelasse ont tout intérêt à me réinviter séjourner dans leur splendide demeure car je relirai ce roman sans hésiter, et avec un immense plaisir !

Nanette ♥


FICHE LECTURE : Les Amoureux de la Lune

★★★★★
Une excellente lecture, une exquise découverte !

✓ - Lucie et Ulysse, mes petits chéris, ils entrent dans mon top de couples fictifs favoris direct !
- Tout l'amour que Lizzie Felton prodigue à ses personnages, qui sont comme ses "enfants", même les adultes. Telle une mère, elle se montre chaleureuse, compréhensive, ferme aussi. Cela en rend l'écriture d'autant plus délicieuse.
- Le beau et puissant message de vie qui est délivré, alors que le lecteur s'attend à ce que l'histoire prenne une direction toute différente, diamétralement opposée, et n'ait pas une telle ampleur.
- Les divers personnages, en particulier secondaires, se révèlent être plein de surprises. Le mur que chacun a érigé pour éviter de souffrir se désagrège petit à petit, grâce à l'amour de Lucie et Ulysse, qui agit tel un remède.


✗ - Les scènes de beuveries entre adolescents, réalistes (trop, même...), mais qui servent plus de repoussoir pour magnifier la beauté et la pureté des scènes Ulysse/Lucie qu'autre chose. J'avoue, je pinaille, mais je ne savais pas quoi dire d'autre de négatif, pfff... C'est embêtant la perfection, hein ?

« Lucie avait l'impression de recouvrer la vue après dix-sept années passées dans le noir. C'était comme si elle percevait enfin le monde, ses trésors et ses beautés cachés, pour la première fois de sa vie en dix-sept ans. Pour la première fois aussi depuis qu'elle était arrivée à Beaurepaire, les terrasses bondées de monde et éclairées par les lampadaires de la ville ne lui manquaient plus du tout.
- La nuit. Ses couleurs. Sa lune et ses étoiles. Ses jeux d'ombre et de lumière... Tout cela, c'est mon quotidien. »
Tags : Fiche Lecture, Editions du Chat noir, Lizzie Felton, 2018, Littérature française, Collection Cheshire, Young Adult, Fantastique, Romance ♥, Contemporain, amour éperdu, grandir, changer, maturité, ouverture d'esprit, regard neuf sur le monde, Beauté, merveilleux, sensations, sentiments intenses, mystère, amitié, adolescence, drame, lumière/obscurité, secrets, peinture, inspiration, muse, art, splendeur, côte d'Azur..., Excellente lecture !
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#Posté le vendredi 22 juin 2018 10:00

Modifié le vendredi 28 décembre 2018 08:31

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