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FICHE LECTURE : Gardiens des Cités Perdues - T1

FICHE LECTURE : Gardiens des Cités Perdues - T1
• TITRE V.O. : Keeper of the lost cities, book 1.
• AUTRICE : Shannon Messenger.
• ANNÉE : 2012 (USA) ; 2014, 2017 (FRANCE).
• GENRE (S) : Fantastique.
• THÈMES : Aventure - Magie - Elfes - Longévité - Ecole spéciale - Amitié - Mystère - Pouvoirs - Suspens - Univers parallèle - Adolescence - Humour - Découvertes - Créatures fantastiques - Courage - Danger - Énigme - Dissensions...
• PAGES : 488.

Ma chronique du tome 2 : ici.
Ma chronique du tome 3 : ici.

Depuis des années, Sophie sait qu'elle n'est pas comme tout le monde. Elle se sent à part à l'école, où elle n'a pas besoin d'écouter les cours pour comprendre. La raison ? Elle est dotée d'une mémoire photographique... Mais ce n'est pas tout : ce qu'elle n'a jamais révélé à personne, c'est qu'elle entend penser les autres comme s'ils lui parlaient à voix haute. Un casque vissé sur la tête pour empêcher ce bruit de fond permanent de la rendre folle, elle se promène un matin avec sa classe au musée d'Histoire naturelle quand un étrange garçon l'aborde. Dès cet instant, la vie qu'elle connaissait est terminée : elle n'est pas humaine et doit abandonner son existence entière pour rejoindre un autre univers, qu'elle a quitté douze ans plus tôt. L'y attendent une pléiade de nouveaux condisciples, amis et ennemis, et une question obsédante : qui est-elle ? Pourquoi l'a-t-on cachée dans le monde des humains ? Pourquoi n'a-t-elle que des souvenirs partiels de son passé ? Un premier roman baigné de magie, dont la fantaisie et le sens du suspense font des miracles, et où éclate le talent indéniable de Shannon Messenger. Un nom à retenir !

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique d'un premier tome de saga et pas n'importe laquelle puisque celle-ci fait grandement parler d'elle depuis quelques années déjà, j'ai nommé Gardiens des cités perdues parue aux éditions Lumen. Il était grand temps que j'entame le premier volume de cette série livresque à la popularité désormais bien entérinée et force est de constater que j'ai été absolument conquise par cette lecture aussi palpitante que féerique !

Dans un premier temps, j'ai été tout bonnement fascinée et séduite par la richesse de l'univers élaboré par Shannon Messenger. Cette dernière a su s'inspirer d'un certain nombre de légendes et d'histoires bien connues de tous pour créer un monde à part, parallèle au nôtre, celui des Cités perdues où je me suis instantanément sentie comme chez moi. J'ai particulièrement apprécié chaque instant passé entre les quatre murs de Foxfire, l'extraordinaire école magique qu'intègre Sophie en début d'ouvrage et qui m'a semblé être telle une seconde maison.

Dans un second temps, l'intrigue que nous propose Shannon Messenger est tout aussi intense et captivante que l'arrière-plan dans lequel elle se déroule. À chaque chapitre que je tournais, il me fallait sans plus attendre commencer le suivant tant je prenais plaisir à suivre les journées rocambolesques de Sophie au sein de son nouvel établissement scolaire définitivement pas comme les autres et à découvrir tous les mystères de ces fabuleuses contrées peuplées d'elfes et de créatures fantastiques plus impressionnantes les unes que les autres à ses côtés.

Pour conclure, je ne peux que fortement vous encourager à laisser sa chance à cette saga. Beaucoup de lecteurs l'encensent (à raison à mon sens), d'autres la trouvent sympathiques sans véritablement accrocher... Au fond, c'est à vous et vous seuls de décider si cette saga vaut la peine de lui accorder de votre temps et de votre attention. Pour ma part, je ne regrette assurément pas d'avoir sauté le pas ; chaque minute passée entre les pages de ce premier tome était en tout cas pour moi un moment de pur régal. Pour tout vous dire, je suis d'ores et déjà immergée jusqu'au cou dans ma lecture du tome deux et, sans trop pouvoir me tromper, j'ose affirmer que ma critique de ce deuxième tome sera du même acabit que celle-ci... COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥

« Chaque espèce existe pour une raison. Qu'on en laisse disparaître une seule, et c'est la planète qui se trouve privée de la beauté et des qualité uniques dont elle était porteuse. »
Tags : Fiche lecture, éditions Lumen, Gardiens des cités perdues, Tome 1 ♥, Shannon Messenger, Littérature américaine, 2012, 2014, 2017, Fantastique, Aventure, magie, elfes, longévité, école spéciale, Amitié ♥, mystère, pouvoirs, suspens, univers parallèle, adolescence, humour, découvertes, créatures fantastiques, courage, danger, énigme, dissensions, coup de coeur ♥
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#Posté le samedi 05 septembre 2020 03:40

Modifié le samedi 05 septembre 2020 11:24

FICHE LECTURE : L'Anti-Magicien - T5 : Les Traîtres de la cour

FICHE LECTURE : L'Anti-Magicien - T5 : Les Traîtres de la cour
• TITRE V.O. : Spellslinger, book 5: Queenslayer.
• AUTEUR : Sébastien de Castell.
• ANNÉE : 2019 (CANADA, USA) ; 2020 (FRANCE).
• GENRE (S) : Fantasy.
• THÈMES : Magie, aventure, action, mystère, humour, cruauté, ignorance, légendes, mensonges, hypocrisie, secret, pouvoir, politique, puissance, sorts, malédiction, mépris, souffrance, guerre, féminisme, courage, intelligence, amitié, alliance, famille, fraternité, adolescence, maturité, grandir, s'endurcir, noirceur, magie noire, amour, créatures fantastiques, dignité, conscience, humanité, habileté, devenir soi-même, combat, espoir, générosité, bienveillance, combativité, pacifisme, savoir, connaissance, philosophie, destinée, volonté, détermination, révélation, affrontement, enseignement, cheminement...
• PAGES : 512.

Ma chronique du tome 1 : ici.
Ma chronique du tome 2 : ici.
Ma chronique du tome 3 : ici.
Ma chronique du tome 4 : ici.

Kelen, le mage sans pouvoir, a commis un acte impardonnable. Il sera pendu haut et court... à moins qu'il parvienne à obtenir la grâce de la Reine de Darome. Mais le palais est un guépier où les alliés d'hier sont les ennemis de demain : pour sauver leur peau, Kelen et le féroce Chacureuil Rakis n'auront pas droit à l'erreur.

Complots machiavéliques, pouvoirs explosifs et dangereuses rencontres: un héros qui détonne au c½ur d'une grande fresque pleine d'humour et d'action.

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique de la suite de saga que j'attendais sans doute le plus impatiemment cette année, j'ai nommé le tome cinq de L'Anti-Magicien, Les Traîtres de la cour, par Sebastien de Castell. Je remercie du fond du c½ur les éditions Gallimard Jeunesse de m'avoir fait parvenir ce cinquième opus en service de presse tout comme ses prédécesseurs. Depuis le tout début, cette série livresque a été une véritable révélation pour moi et je me surprends à chaque parution d'un nouveau tome à aimer ce dernier presque plus que le précédent, Les Traîtres de la cour ne faisant assurément pas exception à la règle.

Comme toujours avec un tome de L'Anti-Magicien, l'on a droit à une intrigue avec une entrée en matière tout bonnement tonitruante et une conclusion du même acabit. Entre les deux : une série de rebondissements chocs et de vérités éclatant au grand jour qui ont de quoi vous laisser sonnés. Une fois n'est pas coutume, Sebastian de Castell est parvenu à m'emporter dans son univers qui ne ressemble à aucun autre et à me faire vivre comme si j'y étais un récit des plus palpitants et sombres, le tout sans se dépareiller de son humour si caractéristique qui ne manque jamais de faire mouche (avec moi en tout cas).

En clair, j'ai retrouvé avec ce volume cinq tant espéré tous les ingrédients qui font de cette saga littéraire un authentique petit bijou à mes yeux. Pour autant, la partie n'était pas forcément gagnée d'avance : en effet, pendant un bon tiers, pour ne pas dire la moitié du récit, un sentiment désagréable me troublait sans que j'en puisse expliquer la raison. Puis j'ai réalisé "ce qui n'allait pas" (je mets cela entre guillemets car ce n'est pas un tort en réalité) : l'intrigue avait considérablement gagné en noirceur, en cynique avec ce cinquième opus ; cela se ressentait même jusque dans l'écriture et surtout dans les dialogues, beaucoup plus "clash". Le monde de l'Anti-Magicien n'était déjà pas un royaume de Bisounours à la base mais jusqu'à présent, il s'en dégageait toujours une certaine légèreté qui permettait de relâcher la pression ambiante. Là, malgré l'humour toujours omniprésent, la tension continuait à monter crescendo, sans nous accorder véritablement de répit, jusqu'à l'explosion finale qui m'a purement et simplement soufflée. Jusqu'alors, je parvenais toujours à m'émerveiller des aventures et exploits de Kelen, aussi dangereux soit-il, à trouver une certaine part de magie et de pureté dans cet univers essentiellement corrompu et au bord de l'implosion. Dans Les Traîtres de la cour, l'on sent que la fin d'une grande épopée est proche, que l'heure des révélations va bientôt sonner et que celles-ci ne vont probablement pas nous plaire. S'ajoute à cela que la Darome, contrée inspectée à la loupe dans ce récit, est sans conteste le royaume le plus hypocrite et froid de tout cet univers à mes yeux, et vous comprendrez aisément le sentiment de malaise et de suffocation que j'ai éprouvé pendant une bonne partie du récit. Sebastien de Castell nous prouve avec cet avant-dernier tome qui a déjà un déchirant goût d'adieu qu'il n'est pas là pour plaisanter et nous en mettre plein les mirettes mais au contraire pour aller jusqu'au bout de son histoire ayant pour coeur battant à 100/h une certaine ombre au noir dont la soi-disant propension à la cruauté et au mal n'a certainement rien à envier à la nature démoniaque et effarante de bien des actions perpétrées par les protagonistes principaux comme secondaires de cette remarquable fresque de fantasy.

Enfin, je ne pouvais pas conclure cette chronique sans vous parler du plus grand bouleversement que m'a procuré ce cinquième tome, à savoir l'évolution que connaît mon petit chouchou Kelen, au passage plus si petit que ça. Le tout jeune Jan'Tep de 15 ans avide d'amour et de reconnaissance de la part de sa famille comme de son peuple que je rencontrais dans le premier tome a effectivement laissé sa place à un jeune adulte de 18 ans beaucoup moins naïf et innocent, qui possède désormais un état d'âme d'homme, une maturité d'homme et qui nourrit aussi des désirs d'homme mûr (suivez mon regard, humhum). Cette constatation a été dure à encaisser car je voyais auparavant Kelen comme un petit frère, un petit garçon qu'il était de mon devoir de protéger de toutes mes forces. Il m'est maintenant impossible de porter un regard aussi candide, quasi maternel et attendri sur ce bout d'homme qui s'est sacrément endurci sans pour autant perdre ce qui fait qu'il est lui, cet anti-magicien à l'intelligence folle et au sarcasme ravageur dont je suis tombée éperdument amoureuse dans ce cinquième tome. Au fond, j'avais toujours considéré Kelen comme un fictional crush potentiel malgré le fait que je ressentais à chaque fois le besoin irrépressible de le serrer dans mes bras comme je l'aurais fait d'un de mes petits-cousins ou d'un enfant apeuré et en cruel manque d'affection et de soutien dès qu'il se retrouvait déçu/en danger de mort/enragé/désespéré, autrement dit à presque chaque page qui se tournait. Aujourd'hui, je peux affirmer haut et fort que Kelen fait partie de ce box tout ce qu'il y a de plus V.I.P. de mon petit c½ur et je l'assume pleinement, même si je sens que je vais regretter cette décision avec le tome six qui s'annonce des plus mouvementés et déchirants...

Pour conclure, je ne peux que vous conseiller de vous lancer dans la lecture de L'Anti-Magicien si ce n'est pas déjà fait. Au programme : de l'action, des combats à couper le souffle, un suspens insoutenable, des personnages complexes et captivants à suivre, une relation désarmante d'amour/haine à la magie, un humour aux petits oignons et des morceaux indénombrables de votre c½ur qui s'éparpilleront le long du chemin jusqu'à ce qu'il n'en reste rien, foi de Nanette. Alors, vous vous sentez d'attaque ? COUP DE FOUDRE ϟ

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, service de presse, Gallimard Jeunesse, L'Anti-Magicien, Tome 5, Les Traîtres de la couronne, hexalogie, Sébastien de Castell, Littérature américaine, Fantasy, Magie, aventure, action, mystère, humour, cruauté, ignorance, légendes, mensonges, hypocrisie, secret, pouvoir, politique, puissance, sorts, malédiction, mépris, souffrance, guerre, féminisme, courage, intelligence, amitié, alliance, famille, fraternité, adolescence, maturité, grandir, s'endurcir, noirceur, magie noire, amour, créatures fantastiques, dignité, conscience, humanité, habileté, devenir soi-même, combat, espoir, générosité, bienveillance, combativité, pacifisme, savoir, connaissance, philosophie, destinée, volonté, détermination, révélation, affrontement, enseignement, cheminement, Coup de foudre ♥, Les Traîtres de la cour
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#Posté le jeudi 06 août 2020 12:51

Modifié le jeudi 10 juin 2021 05:19

FICHE ANIME : Arte - Saison 1

FICHE ANIME : Arte - Saison 1
Source image : gvrejubi (tumblr).

SEINEN, HISTORIQUE, SLICE OF LIFE | 2020 | RÉALISÉ PAR HAMANA TAKAYUKI D'APRÈS L'¼UVRE ORIGINALE DE KEI OHKUBO | AVENTURE, APPRENTISSAGE, ITALIE, ART, RENAISSANCE, XVIe SIÈCLE, RENCONTRES DÉCISIVES, ENTRAIDE, AMITIÉ, FAMILLE, MISOGYNIE, LIBERTÉ, INDÉPENDANCE, COURAGE, HUMOUR | 1 SAISON DE 12 ÉPISODES (PRODUCTION EN PAUSE) | AVEC LES VOIX ORIGINALES DE MIKAKO KOMATSU, KATSUYUKI KONISHI, JUNYA ENOKI, SAYAKA OHARA...

➜ Florence, début du XVIe siècle.

Dans ce berceau de la Renaissance qui vit l'art s'épanouir dans toute sa splendeur, une jeune aristocrate prénommée Arte rêve de devenir artiste peintre et aspire à entrer en apprentissage dans un des nombreux ateliers de la ville...
Hélas ! Cette époque de foisonnement culturel était aussi celle de la misogynie, et il n'était pas concevable qu'une jeune femme ambitionne de vivre de son art et de son travail. Les nombreux obstacles qui se dresseront sur le chemin d'Arte auront-ils raison de la folle énergie de cette jeune femme déterminée ?

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un anime que je mourais d'envie de voir dès l'annonce de sa diffusion sur Wakanim, j'ai nommé Arte.

Bien que je sois loin d'avoir avancé dans ma lecture du manga originel (en réalité, je n'en suis qu'au tome un, j'ai honte), il m'était impossible de ne pas visionner séance tenante cette adaptation dont la simple mention de l'existence me fait tout bonnement chavirer le coeur - je n'exagère même pas, c'est promis juré !

En effet, j'aime tellement l'univers d'Arte qu'il me fallait vite, vite y retourner ! Et cette somptueuse, renversante première saison était bien le meilleur moyen d'accéder à ce splendide monde dédié à l'art et à la beauté de chaque chose et de chaque être en attendant que je puisse aller emprunter les autres tomes du manga à ma médiathèque. Ce qui m'a frappée d'emblée dans cette retranscription tout ce qu'il y a de plus réussie de l'atmosphère du manga, c'est la magnificence de son esthétisme et de sa colorimétrie. Les studios SEVEN·ARCS ont réalisé là de véritables prouesses avec cette palette de couleurs extrêmement lumineuse et ce foisonnement de détails dans le plus profond respect du style du mangaka, Kei Ohkubo. L'on a ainsi droit à des paysages et décors plus merveilleux les uns que les autres ainsi qu'à un chara design des plus élaborés. C'est comme si les planches en noir et blanc du manga prenaient vie sous nos yeux ! De quoi en avoir les mirettes ébahies du début jusqu'à la fin.

Dans un second temps, quelle joie cela fut pour moi de retrouver ma petite Arte et de pouvoir l'accompagner dans la suite de ses enthousiasmantes aventures ! En visionnant cet anime, j'ai pris au passage conscience que ce dernier, et donc le manga originel également, cela va de soi, s'inspirait (très) librement de la vie d'Artemisia Gentileschi (Artemisia, Arte... Comment n'ai-je pas pu faire le lien plus tôt ? Je me fatigue, sérieusement...), ou l'une des premières femmes-peintres de son temps et sans doute la plus renommée. Si la vie de notre Arte de fiction est loin d'être aussi sombre et tourmentée (pour le moment...) que celle de la véritable Artemisia, son incroyable et émouvant parcours met en exergue la difficulté tout ce qu'il y a de plus réelle pour une femme d'être reconnue pour son talent artistique à l'époque et même encore aujourd'hui, où le domaine notamment de la peinture demeure essentiellement masculin. Je ne sais malheureusement pas grand chose sur l'existence de cette femme exceptionnelle et en avance sur son temps qu'était Artemisia Gentileschi mais je reste néanmoins persuadée que ce manga-anime rend le plus vibrant des hommages à son combat pour la liberté et la reconnaissance qu'elle méritait de la part de ses pairs.

Je pourrais vous parler encore des heures de cet anime, de ses protagonistes qui m'ont fait couiner et chouiner comme pas possible (cette phrase commence bizarrement, je sais), de l'importance des messages qu'il véhicule, de la palette (c'est le cas de le dire) de sentiments par laquelle il nous fait passer tout au long de ses 12 épisodes mais je pense que je serai plus éloquente dans mes critiques des tomes du manga. Cela m'encouragera d'autant plus à les dévorer, comme ça ! Une dernier élément que je pourrais souligner au sujet de cette saison 1 d'Arte, c'est qu'elle se conclut de façon suffisamment arrêtée et nette pour nous satisfaire. Pour l'instant, la production de l'anime ne peut qu'être en stand-by, tout simplement parce que cette première saison couvre tous les tomes parus à ce jour. Autrement dit, il faudra attendre que la suite paraisse en manga pour espérer avoir une saison 2 un jour ! Et même si j'apprécie sincèrement qu'ils aient offert une fin relativement fermée à cette saison 1 afin que l'on ne se retrouve pas cruellement dans l'expectative d'une suite, je devrais me résigner la mort dans l'âme et le coeur en berne si jamais les producteurs décidaient d'in fine ne pas adapté la suite et la fin de ce manga qui mérite assurément d'être adapté dans son intégralité tant il est puissant, solaire et captivant. Pour l'heure, prions donc le dieu (ou la déesse, qui sait) des animes pour mes espoirs soient exaucés comme il se doit... COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥

FICHE ANIME : Arte - Saison 1
Source gif : rouge d portgas (tumblr).
Tags : Fiche anime, Arte, 1 saison, 12 épisodes, 2020, Seinen, historique, slice of life, Hamana Takayuki, Adaptation de manga, Kei Ohkubo, Aventure, Apprentissage, Italie ♥, Art, Renaissance, XVIe siècle, rencontres décisives, entraide, amitié, famille, mysogynie, liberté, indépendance, courage, humour, Mikako Komatsu, Katsuyuki Konishi, Junya Enoki, Sayaka Ohara, coup de coeur ♥
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#Posté le mardi 21 juillet 2020 08:34

Modifié le jeudi 23 juillet 2020 10:12

FICHE LECTURE : Moi, Arthur, maître du royaume perdu

FICHE LECTURE : Moi, Arthur, maître du royaume perdu
• TITRE V.O. : The Land of Roar.
• AUTRICE : Jenny McLachlan.
• ANNÉE : 2019 (ROYAUME-UNI ; FRANCE).
• GENRE(S) : Jeunesse, fantastique.
• THÈMES : Magie - Amitié - Famille - Enfance - Grandir - Maturité - Affection - Amour inconditionnel - Danger - Mystère - Noirceur - Imaginaire - Espoir - Courage - Entraide - Merveilleux - Dragons - Sorciers - Épouvantails - Corbeaux - Sirènes...
• PAGES : 346.

Arthur en est sûr : il y a un sorcier dans le grenier de son grand-père. Pourtant, il va entrer au collège et n'est plus le petit garçon qui, avec sa s½ur jumelle Rose, s'était inventé un monde imaginaire dans le grenier. Un Royaume rempli de choses qu'ils aimaient : des dragons, des sirènes, des sorciers ninjas ; et d'autres qui les effrayaient... Aujourd'hui, le Pays de Groaar est presque oublié et, de toute façon, Arthur et Rose ne jouent plus ensemble.
Mais quand leur grand-père disparaît sous ses yeux, Arthur n'a plus le choix : il doit retrouver le chemin du Royaume. Se pourrait-il que Groaar soit... réel ?

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du roman jeunesse Moi, Arthur, maître du royaume perdu signé Jenny McLachlan et paru en France aux éditions Auzou. Je les remercie infiniment pour ce magnifique envoi.

Que vous dire si ce n'est que j'ai été complètement embarquée par ma lecture de ce titre qui me promettait moult aventures magiques et qui m'a in fine entraînée dans une odyssée féérique encore plus folle et captivante que je ne l'escomptais ? Très sincèrement, j'ai vécu mon périple à Groaar comme si j'y étais. Je voyais devant moi la Forêt enchevêtrée, la Route Magique et les abominables zombies-épouvantails comme si cela était devenu ma nouvelle réalité. A bien des égards, ce récit m'a rappelé de nombreux univers ayant bercé mon enfance et ne m'étant jamais véritablement quitté, tels le Pays imaginaire de Peter Pan et de ses enfants perdus, le Fantasia de L'Histoire sans fin ou bien encore le fameux Pays d'Oz régi par le célèbre magicien éponyme. En rédigeant cette chronique, je me rends compte que cette histoire ébouriffante est truffée de bien d'autres références encore à de grands classiques de la littérature jeunesse et à des contes de fées que je n'ai jamais cessé de chérir au plus profond de moi et rien que ce détail qui vous semblera peut-être de peu d'importance me donne envie d'y replonger séance tenante afin de reconnaître d'autres intrigues bien aimées dans les méandres de Groaar et les profondeurs de ses eaux.

Moi, Arthur, maître du royaume perdu, ce sont aussi des protagonistes diantrement attachants auxquels il est tout aussi aisé de s'identifier, des illustrations à tomber par terre que l'on doit au talentueux Ben Mantle et qui facilite d'autant plus notre immersion dans ce monde merveilleux des plus extraordinaires, une plume toute aussi vivante et colorée avec laquelle on accroche dès les premières lignes et que l'on suivrait jusqu'aux confins de cette contrée dont il nous reste encore tant à découvrir mais surtout un message des plus véridiques et émouvants. En effet, la leçon que je retiendrai de cette lecture, c'est qu'il ne faut jamais abandonner ses rêves d'enfant. On doit certes à un moment charnière de notre vie les renier un tant soit peu afin d'aller de l'avant et de faire de nouvelles expériences qui nous permettront de nous construire et de devenir la meilleure version de nous-même mais il ne faut cependant pas les oublier pour autant. Jenny McLachlan nous enseigne avec beaucoup de subtilité et de sagesse que continuer à cultiver notre part d'imagination et préserver notre innocence d'enfant toute notre vie durant, loin de nous rendre faibles ou bizarres, fera de nous les adultes les plus remarquables et admirables qui soient.

Vous l'aurez compris, je pense, mais j'ai été totalement séduite par la créativité de l'autrice, par la richesse de son écriture, la profondeur et la complexité de son univers et de ses personnages. J'en redemande encore et rien que de savoir que le tome deux de cette formidable épopée doit normalement paraître chez nous en 2020, j'en ai le c½ur bondissant de joie et les yeux constellés d'étoiles à la façon de la robe de Prosecco, l'étalon étincelant ! COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, service de presse, Moi Arthur maître du royaume perdu, Jenny McLachlan, Littérature anglaise, 2019, Jeunesse, fantastique, magie, Famille ♥, Amitié ♥, enfance, grandir, maturité, affection, Amour inconditionnel ♥, danger, mystère, noirceur, imaginaire, espoir, courage, entraide, merveilleux, dragons, sorciers, épouvantails, corbeaux, sirènes, coup de coeur ♥
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#Posté le mercredi 15 juillet 2020 07:26

Modifié le jeudi 16 juillet 2020 05:31

FICHE LECTURE : L'école des Rêves - T1 : La promotion Neptune

FICHE LECTURE : L'école des Rêves - T1 : La promotion Neptune
• AUTEUR : Paul Ivoire.
• ANNÉE : 2020 (FRANCE).
• GENRE (S) : Fantastique, jeunesse.
• THÈMES : Monde des rêves - École - Apprentissage - Peur de l'échec - Aptitudes exceptionnelles - Créatures fantastiques - Animaux parlants - Entraide - Amitié - Courage - Mystère - Suspens - Humour...
• PAGES : 195.

Bienvenue dans la fabrique des rêves !

Loin au-dessus de nos têtes, par delà les nuages, se trouve le monde d'Evêria, où sont fabriqués les songes des humains.

À dix ans, le jeune Kimlan fait son entrée dans la prestigieuse école des rêves. Il y découvre les combats d'Imagination, les voyages à travers les tableaux, et fait la rencontre de drôles de créatures. Son but : obtenir sa première comète afin de rejoindre l'incroyable Atelier des Mille et un Songes.

Les leçons du maître des Cauchemars le mettent cependant en difficulté. Est-ce à cause de ce curieux pouvoir dont parlent les Anciens ? Et quelles sont ces mystérieuses chauves-souris qui envahissent les couloirs de l'école ?

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du premier tome d'une saga jeunesse qui s'annonce extrêmement prometteuse, j'ai nommé L'école des rêves signée Paul Ivoire. Je remercie infiniment les éditions Poulpe Fiction pour cet envoi juste merveilleux.

Avant même de commencer ce livre, je savais que j'allais embarquer pour une aventure tout bonnement extraordinaire et pour le moins... onirique. Il faut dire qu'Antoine Brivet a réalisé un remarquable travail avec cette illustration de couverture, véritable invitation au voyage, et que le reste de ses dessins proposés à nos mirettes ébahies au cours de la lecture ont achevé de m'immerger au sein de ce monde céleste et lumineux purement et simplement magique.

Après, rien de tout cela n'aurait été possible sans l'exponentielle force d'Imagination (oui, avec un grand I, vous comprendrez si vous lisez ce livre) de Paul Ivoire dont je découvrais ici pour la première fois la plume enchanteresse et la créativité sans limites. Alors certes, le postulat de départ, à savoir des enfants semblables aux humains se rendant dans une école extraordinaire pour y suivre une formation résolument pas comme les autres, n'est pas ce qu'il y a de plus novateur en matière de littérature jeunesse, mais c'est tout ce que Paul Ivoire est parvenu à nous proposer à partir de cette "simple" base qui m'a laissée sans voix. Pour résumer simplement, chaque paragraphe de ce récit, chaque ligne, chaque mot même est empreint d'une féerie presque irréelle ; chaque élément de cet univers somme toutes abracadabrantesque a été pensé de façon à nous faire nous évader, à nous donner envie de faire partie intégrante du fabuleux monde d'Evêria. Pour ma part, je ne désirais qu'une chose en progressant dans ma lecture : suivre les cours enseignés au Château de Chambord au côté de nos formidables jeunes héros et côtoyer notamment les Mililims, ces exceptionnels animaux à l'origine de nos rêves comme de nos cauchemars les plus fous. Pour être tout à fait honnête avec vous, j'ai vécu ma lecture de ce premier tome comme un authentique rêve éveillé, comme si je faisais moi aussi partie de la promotion Neptune et que j'avais la chance de pouvoir obtenir ma première Comète en étudiant entre autres la conception des rêves qui sont envoyés au subconscient des humains (oui nous, commun des mortels) et en essayant de comprendre comment des erreurs peuvent être produites au sein de ce fascinant Atelier des Mille et un Songes qui sera probablement au centre de l'intrigue dans le tome deux. Il me tarde d'en apprendre plus sur cette époustouflante fabrique ainsi que sur nos surprenants protagonistes ! En réalité, tant d'autres mystères restent à être élucidés au sein de cet esbroufant château, je trouve cela absolument exaltant !

Pour conclure, quelque soit votre âge, je ne peux que vous encourager à vous procurer séance tenante ce premier tome des spectaculaires péripéties de l'adorable Kimlan au sein de son collège incomparable a aucun autre. Cela tombe bien, il sort justement aujourd'hui, je ne pouvais pas rêver meilleur timing ! Plus sérieusement, je puis vous assurer que vous ne serez pas déçus en découvrant la promotion Neptune. Lire ce roman, c'est comme être sur un petit nuage de douceur, c'est retrouver son innocence et ses yeux émerveillés de petit enfant. Vous l'aurez compris, j'ai de mon côté été assurément séduite par ce début de saga qui a selon moi tout bon ! Vous embarquerez bien vous aussi au-delà des nuages avec moi, non ? COUP DE FOUDRE ϟ

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, L'école des rêves, La promotion Neptune, Tome 1 ♥, service de presse, Poulpe Fictions, Fantastique, Jeunesse, Paul Ivoire, Littérature française, 2020, Monde des rêves, écolé, apprentissage, peur de l'échec, aptitudes exceptionnelles, créatures fantastiques, Animaux parlants, Entraide, amitié, courage, mystère, suspens, humour, Coup de foudre ♥
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#Posté le jeudi 18 juin 2020 03:24

Modifié le jeudi 18 juin 2020 05:27

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