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FICHE LECTURE : No et moi

FICHE LECTURE : No et moi

• AUTRICE : Delphine de Vigan
• ANNÉE : 2007 (FRANCE)
• GENRE(S) : Roman, contemporain.
• THÈMES : Adolescence - Lycée - Amitié - Amour - Secret - Famille - Sans-Abris - Pauvreté - Entraide - Jeunesse difficile, dés½uvrée - Roman d'apprentissage - Grandir - Se découvrir - S'accepter - Liberté - Disputes - Désaccords - Décisions difficiles - Attachement - Rupture - Évolution - Chemins croisés...
• PAGES : 256.

« Elle avait l'air si jeune. En même temps il m'avait semblé qu'elle connaissait vraiment la vie, ou plutôt qu'elle connaissait de la vie quelque chose qui faisait peur. »
- D. V.

Adolescente surdouée, Lou Bertignac rêve d'amour, observe les gens, collectionne les mots, multiplie les expériences domestiques et les théories fantaisistes. Jusqu'au jour où elle rencontre No, une jeune fille à peine plus âgée qu'elle. No, ses vêtements sales, son visage fatigué, No dont la solitude et l'errance questionnent le monde. Pour la sauver, Lou se lance alors dans une expérience de grande envergure menée contre le destin.
Mais nul n'est à l'abri...

ஜ MON AVIS : Chronique rédigée en 2014 /!\ Attention, mon avis est assez détaillé et malheureusement, il y a des spoilers ! Je déconseille donc aux personnes n'ayant pas lu ce roman de le lire ! Si vous êtes intéressés par ce titre et que vous avez besoin d'une opinion pour vous décider à le lire, fiez-vous uniquement à la conclusion de cette chronique. Je suis sincèrement désolée ! /!\

Bonjour ! Aujourd'hui, ma chronique portera sur un livre qui est sujet du thème de mars 2014, un auteur best-seller 2013 sur le blog le-temps-dun-livre. N'hésitez pas à devenir membre, nous lisons un livre par mois sur un sujet donné et ensuite, nous recueillons nos avis, c'est vraiment super ! Sur ce, c'est parti pour ma chronique de No et Moi, écrit par l'autrice best-seller Delphine de Vigan !

Le livre nous raconte l'histoire de Lou Bertignac, une jeune adolescente de treize ans surdouée qui mène une vie pas très banale entres ses expériences fantaisistes et le gouffre qui s'est creusé entre sa mère, son père et elle depuis la mort de sa petite s½ur Thaïs dans les bras de notre héroïne alors que la petite n'était encore seulement qu'un bébé. J'ai de suite adoré Lou, avec qui je me suis trouvé beaucoup de ressemblances, notamment sa peur bleue de parler à l'oral en classe. J'ai vraiment beaucoup de mal avec ça, ça m'horrifie et à chaque fois qu'il y a un exposé à faire, je fais énormément d'efforts pour ne pas trembler en parlant devant tout le monde. Je suis très heureuse de désormais m'améliorer là-dessus. Pour ma part, j'ai véritablement ressenti son malaise face à ses camarades de classe, cela ne doit pas être facile tous les jours d'être dans une classe où tout le monde a deux ans de plus que vous, d'être comme une intruse parmi les autres à cause de votre intelligence, au point de ne pas oser aller aux soirées organisées par les filles et garçons populaires de la classe. Je n'ai pas sauté de classes comme Lou (j'ai failli en sauter une mais du point de vue sociologique, je n'étais absolument pas prête) mais je la comprends tout à fait car je me sens moi aussi différente de mes camarades ; bien que l'ambiance soit super, car je suis l'une des premières de ma classe et je n'ose donc pas m'intégrer aux autres. Je me suis vraiment identifiée au personnage principal de ce point de vue-là et j'admets que c'est très agréable de rencontrer dans un livre un personnage qui vous ressemble au point qu'il vous fait fortement penser à vous-même. On se sent moins seul dans ces moments-là. Ce que j'ai beaucoup apprécié chez Lou également, c'est ses expériences tout à fait hors de l'ordinaire, sa curiosité et sa passion dévorante du français. Je me reconnais totalement dans ces deux derniers points : moi aussi, je cherche les mots de suite dans le dictionnaire quand je ne les connais pas et suis une véritable fan du français, ou la meilleure des matières (avec l'anglais). J'ai aussi trouvé que Lou avait de très belles valeurs morales, à penser aux sans-abris dans la rue, à ressentir beaucoup de compassion pour eux alors que d'autres s'en fichent pas mal, à essayer de comprendre pourquoi il en est ainsi, de laisser des milliers de personnes se débrouiller dans la rue, à ce que, elle, petite adolescente d'apparence ordinaire, peut faire pour aider quelqu'un dans des cas comme celui-là. J'ai trouvé cela vraiment très beau et admirable.

Du côté personnages, il n'y en a aucun que j'ai détesté, ils m'ont tout été agréables. Ah, sauf le patron de No, le directeur d'hôtel radin et qui la maltraite au point qu'elle n'est même pas payée pour ses heures supplémentaires, où elle remplace le barman avant qu'il n'arrive à dix-neuf heures, et à cause de qui elle travaille de plus en plus tard sans être payée. Je l'ai détesté ce type, il est tout bonnement affreux ! Pauvre Nolwenn (aka No) ! En parlant de cette dernière, elle m'a énormément beaucoup touchée et m'a fait aussi beaucoup de peine. C'est totalement injuste ce qui lui arrive dans ce livre : si jeune, à la rue, sans ressources, sans travail, sans rien, ne sachant pas où aller, se logeant là où elle le peut, alors que sa mère est en vie, pourrait s'occuper d'elle et n'en a rien à faire de la situation de sa fille qui n'a rien demandé (sa mère, Suzanne, l'a eu à l'âge de quinze ans et la méprise totalement)... No est en somme une jeune fille comme les autres, avec des sentiments et des rêves, notamment celui de devenir coiffeuse, qu'elle ne peut pas réaliser... En clair, son histoire m'a fendue le c½ur, j'en avais les larmes aux yeux tellement c'était affreux et injuste ! Personne ne mérite ça ! Le pire moment, selon moi, qui m'a fait pleurer comme une madeleine et m'a purement choquée (je suis une personne très sensible !) est celui où No essaye d'aller rendre visite à sa mère. Celle-ci est chez elle, a même eu d'autres enfants et sait que c'est sa fille aînée qui est derrière la porte mais elle ne lui ouvre pas, elle la laisse plantée là et je me suis demandée comment une mère pouvait abandonner son enfant comme ça, comment une mère pouvait ne rien ressentir pour son enfant, voire pire, ne ressentir que du mépris et de la haine envers la chair de sa chair. Je ne comprenais pas, cela m'était tout bonnement inadmissible. Beaucoup de mes lectures me confirment que j'ai les meilleurs parents du monde, je leur suis infiniment reconnaissante de l'amour inconditionnel qu'ils me portent ainsi que tout ce qu'ils font pour moi. J'ai été fin heureuse que les parents de Lou acceptent que No habite chez eux afin de se reconstruire, de se reposer et de trouver par la suite du travail. Très peu de personnes auraient accordé cette chance à une sans-abri et une marginale comme No et j'ai ressenti beaucoup d'admiration à l'égard de M. et Mme. Bertignac, qui accueillent une étrangère alors que leur situation familiale est tout ce qu'il y a de plus instable entre autre à cause de l'état de la mère de Lou. Par ailleurs, cela m'a fait chaud au c½ur de la voir reprendre goût à la vie avec l'arrivée de No dans la maison. J'en étais très, très heureuse, et j'espérais que tout s'améliore pour les deux. J'étais donc toute contente et excitée pour No qu'elle soit parvenue à trouver du travail, même si c'était loin d'être le meilleur qui soit. Je me disais qu'elle allait enfin vivre comme une fille dite "normale", avec un toit sur la tête, un travail et des personnes qui comptent pour elle et qui lui rappellent chaque jour à quel point elle est belle et importante. Ses conditions de travail et sa rechute, notamment avec l'alcool, m'a fait beaucoup de mal. Je voulais qu'elle arrête de boire autant, qu'elle se ressaisisse, cela m'était insupportable de la voir dans un tel état. Je pleurais intérieurement de nouveau face à cette insupportable situation, qui gâchait tout ce que Lou avait réussi à changer dans la vie désastreuse de No, à saper l'espoir que cette dernière était parvenue à lui redonner, à ternir cette vie nouvelle et bien meilleure que celle menée dans la rue que notre héroïne avait offerte en cadeau à son amie la plus chère, No. Je ne pouvais croire que No soit retombée aussi bas et en même temps, c'était tout à fait plausible. C'est là que l'on se dit que notre confort de vie et toutes ces petites choses élémentaires que l'on a la chance de posséder et de porter en nous sont loin d'être acquises et que la déchéance n'est jamais bien loin, prête à nous faire sombrer dans un océan de noirceur et de malheur, de pessimisme et de souffrance...

En conclusion, je dirais que No et moi est un très beau livre que j'ai beaucoup apprécié. Il s'agit en effet d'un roman tout ce qu'il y a de plus émouvant avec des personnages attachants, profondément humains et qui nous apprend beaucoup, beaucoup de choses. Une très belle histoire et leçon de vie en somme. Il m'a sincèrement donné envie de lire d'autres romans issus de la renommée bibliographie de l'auteure. Malheureusement, la fin est, selon moi, incomplète, extrêmement frustrante et j'ai trouvé cela est très dommage. Néanmoins, cela ne m'empêche pas de vous recommander chaudement ce livre, à lire à mon sens au moins une fois dans sa vie ! ★★★★★

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, Livre de poche, No et moi, Delphine de Vigan, Littérature française, Roman, contemporain, 2007, adolescence, lycée, amitié, amour, secret, famille, sans-abris, pauvreté, entraide, jeunesse difficile, jeunesse désoeuvrée, roman d'apprentissage, grandir, se découvrir, s'accepter, liberté, disputes, désaccords, décisions difficiles, attachement, rupture, évolution, chemins croisés, Très bonne lecture
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#Posté le lundi 19 août 2019 04:25

Modifié le lundi 19 août 2019 08:10

MES AVIS LECTURE EN VRAC #1

MES AVIS LECTURE EN VRAC #1
THE HOST | SCIENCE-FICTION, DYSTOPIE | 2008 | STEPHENIE MEYER | SUSPENS, AMOUR, AMITIÉ, COMMUNAUTÉ, HUMANITÉ, AVENTURE, ENTITÉS, RÉSISTANCE, ESPOIR, COHABITATION, CONNAISSANCE, CONTRÔLE | 671 PAGES.

Les âmes vagabondes m'a permis de découvrir véritablement le talent d'écrivain de Stephenie Meyer, et je n'ai pas été déçue. Au contraire, ce livre m'a conquise. Cette histoire de SF mêlée à de la romance est passionnante et si bien écrite de bout en bout. Vagabonde, dite Gaby, est un personnage attachant, émouvant, et sa quête d'identité, en vue d'être elle-même sans nuire aux autres (elle ne veut plus occuper d'êtres humains), m'a beaucoup émue. C'est un personnage fort, plus humain que l'ensemble des "vrais" humains au fond. Elle est sensible aux sentiments d'autrui, éprouve de la bienveillance, de la compassion ... Je l'ai adoré. Mélanie m'a un peu agacée au départ, mais si j'avais été à sa place, je n'en aurais pas mené large et j'aurais éprouvé la même colère. L'amitié, presque fraternelle, qui se tisse entre elle et Gaby est superbe. J'ai eu un gros coup de c½ur pour le personnage d'Ian, il est super. Je dirais que Les âmes vagabondes, c'est une histoire haletante, profonde, belle, palpitante, une belle leçon d'amour et d'humanité. Un concentré d'émotions qui ne peut pas nous laisser indifférent. COUP DE FOUDRE ϟ

MES AVIS LECTURE EN VRAC #1
THE PICTURE OF DORIAN GRAY | CLASSIQUE, FANTASTIQUE | 1891 | OSCAR WILDE | MEURTRE, ART, PACTE AVEC LE DIABLE, BEAUTÉ, JEUNESSE, VANITÉ, PÉCHÉS, NOIRCEUR DE L'ÂME, PHILOSOPHIE, FOLIE, VIEILLESSE, PEUR DE LA MORT, DRAME, HORREUR, ROMAN PSYCHOLOGIQUE, SURNATUREL... | 254 PAGES.

Ce roman est un petit bijou, l'un de mes trois romans favoris de la littérature anglaise du XIXème. L'écriture d'Oscar Wilde est exquise et il aborde ici superbement des thèmes qui nous parlent encore aujourd'hui : l'éternelle quête de la beauté, de la jeunesse, l'auto-destruction engendrée par l'orgueil... J'ai été tout bonnement conquise par Le Portrait de Dorian Gray. Ce fut une lecture raffinée, intelligente, qui va droit au but ; j'en suis pour ma part ressortie enrichie et scotchée, notamment par la fin, qui est sûrement l'une des fins de roman les plus magistrales que j'ai jamais lue. COUP DE FOUDRE ϟ

« Tout comme la poésie, la sculpture ou la peinture, la vie a ses chefs-d'½uvre précieux. »

« Il y a toujours quelque chose de ridicule dans les émotions des personnes que l'on a cessé d'aimer. »

MES AVIS LECTURE EN VRAC #1
Le premier tome de cette saga préquelle à TMI des Origines est vraiment excellent. En même temps, je n'en attendais pas moins de Cassandra Clare, la génialissime créatrice du Shadowworld. Avec ce livre, c'est retour au dix-neuvième siècle garanti et on s'y croirait tellement c'est bien décrit ! Il faut dire que Cassandra Clare a toujours cette plume unique qui fait indubitablement mouche, tant elle est addictive, impeccable et imprégnée d'un humour qui est devenu en quelque sorte sa marque de fabrique. On s'en délecte sans modération, c'est le moins que l'on puisse dire. J'aime beaucoup les nouveaux personnages de cet univers fantastique si riche et vaste que l'autrice est parvenue à créer, autant que ceux de la première saga à vrai dire : Tessa est une héroïne attachante, brave et qui doit faire face à beaucoup, beaucoup de révélations à encaisser et d'épreuves à surmonter ; Will est charmant et drôle, il nous rappelle un autre personnage qu'on adore et dont il est l'ancêtre, tiens ! Quant à Jem, c'est mon petit chouchou, je suis sa fan number one ! Dans l'ensemble, j'adore l'ensemble des pensionnaires de l'Institut de Londres, on dirait qu'ils forment une authentique et farfelue famille tous ensemble, et on ressent instantanément un puissant sentiment d'appartenance à cette dite famille. Et puis, ce roman est un véritable page-turner, il se lit à une de ces vitesses ! On est tellement pris dedans qu'on ne peut que finir conquis, tout simplement ! En clair, à lire et à relire ! COUP DE FOUDRE ϟ

MES AVIS LECTURE EN VRAC #1
JEUNESSE, FANTASY | 2003 | SOPHIE AUDOUIN-MAMIKONIAN | MAGIE, MONDE PARALLÈLE, HUMOUR, AMITIÉ, AVENTURE, NOIRCEUR, MENACE, AFFRONTEMENT, ADOLESCENCE, ROMAN D'APPRENTISSAGE, COURAGE, POUVOIRS, DON, RENCONTRES, ENTRAIDE, EXPLORATION, TRAHISON, SUSPENS, MYSTÈRE, QUÊTE D'IDENTITÉ | 556 PAGES.

Depuis le temps que je me disais que je devais commencer cette saga... C'est chose faite et je ne compte pas m'en arrêter à ce tome un qui est juste... complètement génial, abracadabrant ! Sophie Audouin-Mamikonian a une imagination de dingue, et ce pour notre plus grand bonheur ! Je me suis totalement immergée dans l'univers qu'elle a crée, c'est magique et palpitant ! Il y a tant de choses à découvrir sur AutreMonde, des univers, des royaumes, des créatures fantastiques de toute sorte... Et merci au lexique de fin qui nous résume bien tout ça, c'est juste parfait ! On suit Tara et ses amis dans leurs folles aventures, on alterne entre fous rires et émotions diverses et variées, et on peut dire qu'on est emportés dans le feu de l'action ! Du pur bonheur, il me faut la suite, et vite !!!! Les nombreux points d'exclamation traduisent une excitation et une frustration qui n'ont jamais été assouvies en plus de trois ans - la honte intersidérale quoi... Et sinon, inutile de préciser que c'est 1000 fois mieux que le dessin animé qu'ils en ont fait... COUP DE FOUDRE ϟ

MES AVIS LECTURE EN VRAC #1
5 ans au moins après avoir lu Percy Jackson, je commence enfin la saga Héros de l'Olympe ! Mais qu'est-ce que j'ai fichu, me direz-vous. Je sais, je suis incorrigible... Cependant, mieux vaut tard que jamais ! Et qui plus est, je sens que cette saga ne va pas faire long feu car je vais dévorer les quatre tomes restants au plus vite (lol), foi de Nanette ! Dès les premiers chapitres, j'ai retrouvé tant aimé l'univers de la Colonie des Sang-Mêlés, doublé de celui inédit du Camp Jupiter pour les demi-dieux et déesses romains tout aussi captivant, que j'avais quitté pendant un certain temps mais qui m'est si familier et cher à mon c½ur que j'en ai tout de suite retrouvé mes marques ♥ Avec cette seconde pentalogie, on est repartis pour de nouvelles aventures et on renoue avec l'exaltation irrésistible des quêtes périlleuses et mortelles à souhait, de l'importance fondamentale qu'implique leur réussite, et avec des chemins semés d'embûches et de nouveaux ennemis tout puissants et mythologiques à affronter. Ce premier tome m'a laissée toute secouée, ce fut là une succession de sacrés combats et de péripéties effrénées car nos trois demi-dieux ont quatre jours seulement pour sauver la Reine des dieux, rien que ça ! En parlant d'eux, je suis fan du nouveau trio constitué par les personnages principaux de ce nouvel arc : Jason, Léo et Piper. Je me suis attachée à eux à la vitesse de l'éclair ! En bref, à lire de toute urgence ! COUP DE FOUDRE ϟ

MES AVIS LECTURE EN VRAC #1
JOURNAL INTIME, AUTOBIOGRAPHIE | 1950 | SECONDE G.M., GÉNOCIDE, JUIFS, ADOLESCENCE, GUERRE, FAMILLE, SURVIE, AMOUR, LETTRES, TÉMOIGNAGE, NAZISME, HISTOIRE, DRAME | 357 PAGES.

C'est un livre indispensable à lire au moins une fois dans sa vie, ça, c'est clair et net. Anne était une jeune fille pleine de vie, intelligente, fourmillant d'idées, aimant du fond du c½ur sa famille, son Peter, même si elle se montrait parfois, souvent, injuste à leur égard dans ses propos ; cependant, elle était selon moi tout bonnement magnifique dans ses imperfections et dans sa nature profonde d'adolescente. J'ai été chamboulée par la lecture de son précieux journal, cette relique sacrée d'une période tout simplement atroce. Les Nazis auront commis des crimes abominables, mais ils n'auront pas réussi à tuer l'âme d'Anne, des Frank, qui continue à vivre dans ce Journal, ce pourquoi il faut à tout prix que nous le lisions, pour ne jamais oublier ces gens dont la vie leur a été arraché de manière si horrible (et encore, le mot est faible). Ce Journal m'aura bouleversée, émue aux larmes, transpercée le c½ur. Mais il était nécessaire que j'en passe par là, pour Anne, qui mérite qu'on lise ses écrits, qui nous en apprennent tant, sur son époque à elle, et sur nous aujourd'hui également. On a tous besoin d'une leçon d'humanité comme celle-là un jour, il s'agit là d'une absolue certitude. COUP DE FOUDRE ϟ

Coucou les amis ! Pour une fois, j'avais envie de changer de mes chroniques longues comme le bras pour vous proposer des mini-avis sur des romans que j'ai tous lus il y a déjà un bail et, comme vous avez pu le constater, adorés ! Je ressentais le besoin de souffler un peu, de casser avec le rythme effréné que je me suis imposée ces derniers temps. J'espère que ce type d'articles "en vrac" vous plaît et n'hésitez pas à me le dire si vous souhaitez que j'en refasse un comme ça ! Des bisous ♥
Tags : Mes avis lecture en vrac, #1, Les Âmes Vagabondes ♥, Stephenie Meyer, 2008, Science-fiction, Dystopie, Suspens, amour, Amitié ♥, communauté, humanité, aventure, entités, résistance, espoir, cohabitation, connaissance, contrôle, littérature américaine, littérature irlandaise, Le Portrait de Dorian Gray, 1891, Oscar Wilde. ♥, classique, fantastique, meurtre, art, pacte avec le diable, beauté, jeunesse, vanité, péchés, noirceur de l'âme, philosophie, folie, vieillesse, peur de la mort, drame, horreur, roman psychologique, surnaturel, Coup de foudre ♥, The Mortal Instruments - Les Origines, Tome 1 ♥, L'Ange mécanique, Cassandra Clare ♥, Tara Duncan, Les Sorcelliers, magie, monde parallèle, humour, amitié, noirceur, menace, affrontement, adolescence, roman d'apprentissage, courage, pouvoirs, don, rencontres, entraide, exploration, trahison, mystère, quête d'identité, Littérature française, Littérature néérlandaise, Journal, Anne Frank, Héros de l'Olympe ♥, Le héros perdu, Rick Riordan, Autobiographie, Seconde Guerre Mondiale, Pays-Bas, Annexe, génocide, juifs, guerre, famille, survie, justes parmi les nations, lettres, témoignage, nazisme, histoire
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#Posté le mercredi 14 août 2019 09:28

Modifié le vendredi 16 août 2019 04:43

FICHE FILM : Dumbo (2019)

FICHE FILM : Dumbo (2019)

REMAKE LIVE-ACTION | 2019 | TIM BURTON | DISNEY, ADAPTATION LIVE DE DESSIN ANIME, AVENTURE, FAMILLE, FANTASTIQUE, ÉLÉPHANTEAU, REJET, DIFFÉRENCE, CIRQUE, ENTRAIDE, CAUSE ANIMALE... | AVEC COLIN FARRELL, EVA GREEN, MICHAEL KEATON, DANNY DEVITO...

➜ Max Medici, propriétaire d'un cirque en difficulté, demande à Holt Farrier, son ancienne vedette, et à ses enfants de s'occuper de Dumbo, un éléphanteau aux oreilles démesurées. Très vite, ils découvrent que l'animal possède un talent exceptionnel : il peut voler. Dès lors, il devient l'attraction principale en attirant un nouveau public. Cependant, Dumbo attire également l'attention d'un entrepreneur mal intentionné. Les enfants vont devoir alors tout faire pour protéger Dumbo.

ஜ MON AVIS :

Bonjour les petits amis ! Aujourd'hui, je vais vous parler d'un film qui, sur le papier, s'annonçait être du pur génie mais qui in fine s'est révélé être fort décevant et assez creux alors qu'il avait pourtant (ou plutôt, aurait dû avoir) tout pour me plaire. Chers visiteurs venus d'ailleurs, la chronique du jour va traiter de Dumbo, la version de 2019, et je vous l'annonce sans détour : ça va barder sec - mais tout de même avec délicatesse car je suis une petite nature compatissante et bon public de façon générale. Néanmoins, mon indulgence a des limites et ce remake live-action d'un des Disney les plus attendrissants et surprenants qu'il m'ait été donné de voir jusqu'à présent me l'a prouvé à maintes reprises !

J'évoquais juste à l'instant le fait que ce film aurait dû être une petite pépite, un chef d'½uvre absolu. En effet, le talent créatif et tout bonnement visionnaire de Tim Burton + Dumbo soit l'une des histoires les plus émouvantes et inspirantes de Disney à mon sens + le milieu du cirque (logique avec notre éléphanteau volant) = comme l'a souligné si intelligemment Eva Green dans l'une des interviews qu'elle a donné pour la promotion du film, deux grands marginaux réunis ; d'un côté, un dessinateur/réalisateur prodigieux à l'univers fantasmagorique très sombre, mélancolique et tout simplement magique et de l'autre, un adorable petit animal sans défense qui a su faire de sa différence une incroyable force et qui parvient à nous toucher en plein c½ur depuis maintenant presque quatre-vingt ans (que le temps passe vite !) = COMBO de la muerte normalement. SAUF QUE... le film passe totalement à côté de son colossal potentiel et mon excitation est ainsi retombée comme un soufflé dès les premières scènes du long-métrage. Je dirais que Dumbo, c'est du Burton dans la forme mais pas dans le fond. J'avais lu/entendu des avis d'après lesquels on sentait au fur et à mesure du film qu'on avait mis des barrières au réalisateur, qu'on l'avait empêché d'aller jusqu'au bout de son idée et d'y ajouter son véritable grain de folie qui rend ses ½uvres si singulières, incomparables à aucune autres. Je ne relancerai pas le débat comme quoi cela fait des années, pour ne pas dire une décennie entière selon certains, que l'imagination si caractéristique de Burton se fait la malle, libre à vous de faire ça dans les commentaires, mais il faut reconnaître que ce manque de créativité se fait ressentir de plus en plus, et dans Dumbo plus particulièrement. Étant donné que l'on part de base d'une histoire et d'un microcosme qu'on ne présente plus, rien d'étonnant, me direz-vous, mais à mes yeux, l'échec est d'autant plus cuisant car Burton était fait pour réaliser ce remake live-action, vous ne me l'enlèverez pas de l'idée. Il aurait pu y apporter une aura, une étincelle d'âme supplémentaire qui aurait tout changé et qui nous aurait fait véritablement sentir sa patte. Mais vous l'aurez compris à ma manie incessante dans cette chronique d'utiliser le conditionnel qu'il n'en est rien.

Pour ce qui est des comédiens, les propositions sont intéressantes, surtout venant des trois acteurs "fétiches" de Burton présents à l'affiche, à savoir Danny DeVito, Eva Green et Michael Keaton. Danny DeVito est sans doute celui qui m'a le plus surpris. Je m'attendais à ce que le personnage de Medici me soit insupportable (les M.Zapata des cirques, ce ne sont pas forcément mes meilleurs amis - #teamprotectionanimale) mais en réalité, j'ai trouvé que c'était le personnage le plus humain du film, à la fois drôle, attachant et émouvant. Certes, il est loin de prendre les meilleures décisions (sinon, il n'y aurait pas de film, vous vous en doutez) mais sa loufoquerie et son extravagance ne sont jamais trop lourde à mon sens (sauf à la naissance de bébé Dumbo mais je pense que c'était un peu le but, afin que l'on rejette le personnage pour mieux l'en aimer par la suite - ou le principe de l'élastique, quoi) et on sent que DeVito interprète son personnage jusqu'au bout des ongles, qu'il fait corps avec lui tout du long des deux heures de film. Je regrette juste que le passif de ce personnage n'ait pas été plus creusé. Il est à peine effleuré et tout ce que cela a eu comme effet, c'est de titiller ma curiosité, de m'en faire en vouloir encore plus, bien plus, et cela vaut pour l'ensemble des protagonistes et de leur histoire personnelle respective absolument pas approfondie. Quel dommage ! Concernant Eva Green, elle est comme à son habitude impeccable. Son jeu est tout en finesse et en élégance, même si j'avais fortement peur au début que la distance placée entre le personnage et le public ne nous rende ce dernier trop froid et à la limite du détestable. Heureusement, cette crainte s'est vite évanouie par la suite. Enfin, pour ce qui est de Michael Keaton, je n'ai pas grand chose à redire sur sa prestation, si ce n'est qu'il incarne à merveille la folie, l'ambition démesurée et le manque de scrupules faits homme. Son personnage est d'une exubérance tout à fait grotesque et démentielle mais cela ne m'a pas dérangée car l'acteur joue ces traits de caractère extrêmes à la perfection.

Au fond, ma seule réelle déception au niveau du casting, et vous pouvez constater que je lui accorde même un paragraphe à part entière tant l'heure est grave et pour véritablement mettre en avant ce qui est pour moi une pure catastrophe en matière de choix d'acteur et d'interprétation, c'est Colin Farrell. De base, c'est un acteur que j'estime beaucoup et qui avait su me démontrer qu'il pouvait faire des miracles au sein d'une production Disney : son bouleversant rôle de Travers Goff dans le superbe, que dis-je le magistral Dans l'Ombre de Mary, en est la preuve incontestable à mes yeux. Alors, quand j'avais appris que Farrell jouerait le rôle principal de Dumbo, d'un film de Tim Burton pour la toute première fois qui plus est, je vous laisse imaginer à quel point j'étais en joie ! Autant vous dire tout de suite que j'ai vite déchanté une fois que je me suis retrouvée dans la salle obscure de mon cinéma. Je n'irai pas plus avant à ce propos car je pourrais ainsi déblatérer pendant des heures sur la platitude et l'insensibilité de son jeu, mais je vais juste affirmer la chose suivante : c'est probablement l'une des performances les moins habitées et les plus impersonnelles de laquelle j'ai été témoin de ce pourtant très grand acteur. Et les prestations des comédiens incarnant ses deux enfants dans ce film sont du même acabit. Cependant, à eux je leur pardonne car ils sont encore tout jeunes et ont encore beaucoup à apprendre sur ce métier très exigeant et éprouvant, qui ne pardonne aucun faux pas. Pour ce qui est de Colin Farrell, au vu de son expérience et de ce à quoi il nous a habitués, je considère qu'il n'a pas d'excuses valables pour expliquer ce qui se rapproche le plus d'un insipide et effroyable fiasco. J'ai décidé que je ne mâcherai pas mes mots aujourd'hui, j'ai besoin de faire ma catharsis en rédigeant cette critique cinéma, vous m'excuserez. A un moment donné, il faut savoir dire STOP (quand une Nanette agacée sort de ses gonds, ce n'est pas joli à voir !).

Au niveau de la musique, les compositions de Danny Elfman sont toujours aussi sublimes. C'est à chaque fois un enchantement de tous les instants, je n'ai absolument rien à redire là-dessus. En voilà un qui était au rendez-vous, lui au moins (désolée, je vais arrêter avec mon sarcasme et ma mauvaise humeur, promis-!). Le seul gros point noir que je me permettrais de souligner, c'est le fait indéniable que Baby Mine/Mon tout petit, ou l'une de mes musiques Disney chouchoutes depuis que mon monde est monde, méritait d'être beaucoup plus mise en valeur que ça. La place minime qu'elle occupe dans le film est un véritable scandale à mes yeux, j'ai par ailleurs toujours du mal à m'en remettre, même un peu moins de cinq mois après la sortie du film. Une chose est sûre, c'est que lorsque je suis rentrée de ma séance cinéma à cette époque-là, je n'ai pas hésité à écouter en boucle le passage originel mettant en exergue cette chanson ♪ afin de me remettre de cet affront. Qu'est-ce qu'il leur a pris de mettre Baby Mine comme ça dans un coin, de façon tout ce qu'il y a de plus littérale en plus ??!! Je vous le demande car, pour ma part, je me pose encore sérieusement la question à l'heure où j'écris ces lignes...

Allez, pour ne pas rester dans le négatif et parce que ce film a réellement une qualité indéniable qu'il me tenait à c½ur d'aborder, laissez-moi vous parler de la fameux scène des éléphants roses version Tim Burton. Je vais vous avouer quelque chose : j'ai beau considérer le Dumbo originel comme étant absolument poignant et inoubliable, s'il y a bien un défaut que je lui trouve en tous temps, c'est sa séquence culte des éléphants roses. Je ne supporte pas cette scène, je la déteste ! Certes, esthétiquement parlant et au niveau des prouesses techniques d'animation, elle est tout bonnement stupéfiante, surtout pour l'époque, et je comprends alors l'intérêt et l'amour qu'on lui porte, mais pour ce qui est de sa signification au sein du film... Très sincèrement, je me demande quel message on a voulu faire passer avec un éléphanteau et une souris ivres qui s'imaginent des pachydermes psychédéliques rose bonbon pendant leur état d'ébriété : que le monde est complètement fou, fou, fou ? Que rien n'a véritablement de sens ? Dans tous les cas, je trouve cette scène dans sa version originale juste inutile et extrêmement longue et ennuyeuse. Je me souviens que, lorsque j'ai vu Dumbo pour la première fois, j'avais l'impression que ça n'en finirait jamais ! Déjà que le dessin animé est l'un des longs-métrages les plus courts de l'histoire de Disney, si en plus une scène que j'exècre empiète sur une bonne partie de l'intrigue, autant se tirer une balle tout de suite (pardon, pardon, pardon, j'avais promis d'arrêter les exagérations !) ! Bref, tout ça pour vous dire que La Danse des éléphants roses version 2019 est juste parfaite pour moi : elle est brève, toute en légèreté, en douceur et en féérie. En clair, je l'adore. Je ne sais pas si je la revisionnerai un jour afin de ne pas en gâcher la savoureuse magie mais je conserverai ce sublime souvenir précieusement dans un recoin aménagé à cet effet de mon excellente mémoire, soyez-en assurés.

Pour conclure, je dirais que Dumbo est un live-action qui aurait pu résolument être un véritable petit bijou mais qui s'avère en réalité n'être absolument pas à la hauteur du film d'animation original. Je regrette notamment des messages forts et importants que Burton tente de nous faire passer sur la condition animale et sur le féminisme entre autres, mais cela est fait de tel façon que ça nous en parait être complètement superficiel, voire ridicule, et ça, c'est d'une tristesse sans nom. La satire faite à l'encontre de l'industrie Disney méritait également d'être beaucoup plus explicite et poussée. Vous l'aurez compris, ce film avait des idées pertinentes et ingénieuses dans le ventre mais pour le coup, cela a franchement peiné à décoller. Sur ce, j'achèverai ainsi ma chronique avec cet abominable jeu de mots, en espérant que ce film vous ait plus convaincus que moi ! ★★★★★ (parce que je suis gentille et que la magie Burton se fait encore un tant soit peu ressentir...)

Nanette ♥
Tags : Fiche film, Dumbo, 2019, Tim Burton ♥, Remake live-action, Disney ♥, adaptation live de dessin animé, aventure, Famille ♥, fantastique, cirque, éléphanteau, rejet, différence, entraide, cause animale, colin farrell ♥, Eva Green ♥, Michael Keaton, Danny DeVito, 3/5, Bon film
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#Posté le samedi 03 août 2019 11:44

Modifié le dimanche 04 août 2019 10:17

FICHE LECTURE : La Confrérie des Téméraires

FICHE LECTURE : La Confrérie des Téméraires

• AUTRICE : Floriane Turmeau.
• ANNÉE : 2019 (FRANCE).
• GENRE(S) : Jeunesse.
• THÈMES : Roman-enquête - Énigmes - Collège - Livre-jeu - Roman illustré - Suspens - Mystère - Aventure - Courage - Entraide - Amitié - Humour - Complot - Machination - Justice - Famille - Patrimoine - Culture - Musée...
• PAGES : 206.

Ça y est, c'est la rentrée en sixième pour les jumeaux Alix et Théo, qui découvrent le collège de leur petit village d'Aimange. Tout se déroule parfaitement, à une exception près : quelqu'un a cambriolé le casier de Théo et y a laissé un message. Si le jeune homme veut récupérer ses affaires, il devra accomplir une mission pour le compte de l'énigmatique « Confrérie des Téméraires »...
Aussitôt, Alix vole au secours de son frère et tous deux se lancent dans une enquête mystérieuse, qui dépassera de loin le cadre du collège. La confrérie savait-elle que l'objectif de sa quête chamboulerait durablement l'ordre établi de la ville ?
Une enquête à suspense accompagnée, à chaque moment crucial, de jeux à résoudre par le lecteur ! Un vrai défi à relever !

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du roman La Confrérie des Téméraires dont j'ai immédiatement adoré le concept, à savoir résoudre les différentes énigmes de l'enquête au c½ur de l'intrigue au côté des personnages. Ce petit côté ludique et immersif de l'histoire qui nous est proposée de vivre est totalement irrésistible à mon sens. En effet, je me suis véritablement prise au jeu, Floriane Turmeau a eu là une idée de génie. Je remercie infiniment les éditions Poulpe fiction pour ce merveilleux envoi et, sans plus attendre, place à mon avis très élogieux sur ce titre qui fleure bon l'atmosphère grisante à la Sherlock Holmes junior moderne et les aventures trépidantes, j'ai nommé La Confrérie des Téméraires !

Au niveau des jeux en soi qui parsèment le récit, je me suis franchement bien amusée à les faire. J'en trépignais même d'impatience à chaque nouvelle énigme qui s'annonçait, comme si je prenais part à une chasse au trésor, ce qui était un peu, voire carrément, le cas à vrai dire. Les activités inventées pour nous divertir sont suffisamment simples pour qu'on puisse rapidement avancer dans l'histoire mais parfois, je dois reconnaître que ce n'était pas toujours évident de trouver la bonne réponse, notamment pour ce qui est du jeu 11 où il n'y a pas de solution clairement donnée. J'ai beau ne pas trop mal me débrouiller en matière de bataille navale, cette énigme-ci me triture toujours le cerveau ; à l'heure actuelle, je ne l'ai toujours pas réellement comprise, je l'avoue sans honte aucune. Si jamais l'autrice passe par là, je serai heureuse qu'elle m'apporte la réponse définitive dont j'ai tant besoin ! Voilà, ça, c'est dit... Concernant notre échec ou notre réussite aux divers jeux, cela n'a pas spécialement d'incidence sur le cours de l'intrigue. Au contraire, cette dernière est déjà intégralement rédigée et construite, sur ses rails. Disons que dans le cas présent, il ne s'agit pas d'un livre où nos choix font changer la suite des événements et où plusieurs trames alternatives sont possibles. Néanmoins, si l'on se trompe de réponse à un moment donné, on s'en rend immédiatement compte car cela est insinué dans les dialogues entre les différents personnages ou bien il y a impossibilité de faire les jeux suivants correctement. Certes, on peut passer outre ce détail afin de simplement savourer le récit même du livre, bourré de suspens et indéniablement prenant, ainsi que les illustrations minutieusement réalisées par l'autrice, qui se fait ici multi-tâches, pour chaque énigme qui se présente à nous mais très sincèrement, je ne vois pas l'intérêt de faire cela. Pour ma part, j'ai pris la mission que Floriane Tumeau m'a confiée, ainsi qu'à ses jeunes et intrépides personnages, très à c½ur. Les péripéties qui ont découlé de cette décision m'ont captivée tout du long et je me sentais véritablement impliquée dans les tenants et aboutissants de l'intrigue.

Ce qui explique cela entre autres choses, c'est mon attachement instantané aux personnages. Bon, j'ai eu un peu du mal avec Alix au début, je la trouvais un peu trop brutale et hautaine à mon goût mais je comprenais aussi parfaitement ses raisons de se montrer aussi agressive et directe. Cette fille, c'est une véritable rose avec toutes ses épines de sorties, et je peux vous assurer qu'elles piquent sacrément fort quand il s'agit de défendre ceux qu'elle aime. Concernant Théo et Charly, ils sont juste adorables : Théo est extrêmement prévenant, attentionné et tout bonnement choupinours ; quant à Charly, cette dernière est pétillante, gentille et pleine de ressources - un véritable rayon de soleil, une amie sur laquelle on peut compter à tout instant. Bref, ces trois-là se sont assurément bien trouvés ! J'ai également ressenti une profonde affection pour les personnages secondaires, en particulier pour Hector, le père de nos deux jumeaux. Ce papa est tout simplement trop mignon, sympathique, drôle, attendrissant, passionnant et passionné. On éprouve une réelle empathie à son égard au fil de l'évolution de l'intrigue. Vous l'aurez compris, je suis indubitablement #teamHector dans toute cette histoire ! Ce qui me fait d'autant plus adorer ce personnage et la finalité de l'intrigue de façon plus générale, c'est le très subtil et beau message que l'autrice nous transmet sur la préservation essentielle de notre patrimoine commun, sur l'importance fondamentale des richesses du passé (j'ai l'impression de vous présenter une chronique sponsorisée par Stéphane Bern, pour le coup - #SecretsdHistoirecestlavie). Plus sérieusement, j'apprécie tout particulièrement le fait que Floriane Turmeau ait lié ainsi l'agréable à l'utile, elle nous délivre ainsi un récit vraiment complet sur tous les plans : visuel, émotions, action, valeurs véhiculées... Tout y est pour passer un instant de lecture mémorable et aussi divertissant qu'enrichissant.

Pour conclure, je dirais en toute sincérité que La Confrérie des Téméraires est un roman juste palpitant qui a su incontestablement me faire rajeunir et rencontrer de nouveaux inestimables amis d'encre et de papier. D'ailleurs, peu importe notre âge, impossible de ne pas se plonger avec délectation dans la lecture de ce roman et de penser à autre chose en accomplissant cette mystérieuse et fascinante quête au dénouement surprenant. Je vous laisserai juger par vous-même de ce dernier point si vous lisez un jour ce livre. Et très honnêtement, ce serait franchement dommage de ne pas le faire. Pour ma part, je dis un grand BRAVO à Floriane Turmeau qui a élaboré ce livre de A à Z avec un immense brio, chapeau l'artiste ! Sur ce, je conclurai sur ces mots dégoulinants d'excitation et d'impatience : VIVEMENT LA SUITE !! (il faut qu'il y en ait une, c'est obligé. S'il vous plaît.) ★★★★★ (♥)

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, service de presse, Poulpe Fictions, La confrérie des Téméraires, Floriane Turmeau, 2019, Jeunesse, roman-enquête, énigmes, collège, livre-jeu, roman illustré, suspens, mystère, aventure, courage, entraide, amitié, humour, famille, complot, machination, justice, patrimoine, culture, musée, Excellente lecture !, Mini coup de coeur
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#Posté le lundi 22 juillet 2019 09:12

Modifié le jeudi 25 juillet 2019 07:27

FICHE LECTURE : Magic Charly - T1 : L'Apprenti

FICHE LECTURE : Magic Charly - T1 : L'Apprenti

• AUTRICE : Audrey Alwett.
• ANNÉE : 2019 (FRANCE).
• GENRE (S) : Jeunesse.
• THÈMES : Fantasy - École - Humour - Magie - Mystère - Sorcellerie - Runes - Initiation - Apprentissage - Objets animés - Cuisine - Recettes farfelues - Secret - Famille - Retrouvailles - Enquête - Suspens - Danger - Méchanceté - Injustice - Ingéniosité - Courage - Amitié - Entraide...
• PAGES : 416.

On peut avoir un chat doué de capacités hors du commun et tout ignorer de l'existence des magiciers. C'est le cas de Charly Vernier, jusqu'à ce qu'il découvre que sa grand-mère pourrait être un membre éminent de cette société. Mais elle court un grave danger. S'il veut la sauver - et se sauver lui-même - Charly n'a pas le choix, il lui faut devenir apprenti magicier.

Beignets de prédiction, grimoires volants, serpillière enchantée et pilleur d'âmes... Bienvenue dans le monde ensorcelant de Magic Charly !

Audrey Alwett nous plonge dans une aventure de grande fantaisie, à la croisée des univers de Terry Pratchett, J.K. Rowling et Miyazaki.


ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un premier tome de saga qu'il me fallait AB-SO-LU-MENT, j'ai nommé Magic Charly : L'Apprenti. En effet, j'étais tout bonnement surexcitée à l'idée de dévorer ce livre ; et encore, je pèse mes mots. En même temps, ce titre tout ce qu'il y a de plus aguicheur pour la fana de fantastique, fantasy et sorcellerie en tout genre que je suis et cette couverture juste EXTRAORDINAIRE (un immense bravo à Stan Manoukian ; ça, c'est ce que j'appelle du travail d'orfèvre) me promettaient tout ce que j'aime : de l'aventure, du grand frisson et de la magie à l'état pur, tout simplement. Qui plus est, la plume et l'imaginaire d'Audrey Alwett m'avaient tout bonnement séduite lorsque je les avais découverts avec ses précédentes ½uvres, à savoir la somptueuse série de BDs Princesse Sara et le truculent Poisons de Katharz (voir ma chronique ici). En clair, j'étais toute prédisposée à me laisser embarquer dans le nouvel univers extraordinaire proposé par l'autrice, dont l'indéniable pouvoir magique d'inventer des mondes et des personnalités hors normes s'est vérifié ici aussi.

Premier point positif de L'Apprenti et ce qui nous happe immédiatement dès les toutes premières lignes de ce tome introducteur : l'imagination débordante de l'autrice. Ça nous éclabousse, ça déborde de couleurs et d'ingéniosité de partout, et ce à chaque page qui se tourne, à chaque minuscule recoin de ce monde grandiose, si vaste et dont il nous reste tant à explorer. Je vous le dis très sincèrement : impossible de ne pas être complètement subjugués face à un esprit créatif regorgeant d'autant de ressources comme celui d'Audrey Alwett. Je vais rester très évasive à ce sujet et m'en arrêter là car ce serait franchement dommage de vous gâcher toutes les fabuleuses et splendides surprises que cette écrivaine bourrée de talent vous réserve. Ce serait pour ainsi dire véritablement criminel, croyez m'en sur parole. Je vous dirais juste que, pour ce qui est de l'atmosphère singulière qui se dégage dans ce premier tome de Magic Charly et des nombreux lieux que nous parcourons au cours de cette lecture mouvementée et diablement envoûtante, l'émerveillement est total. On s'en prend plein les yeux sans aucun temps mort accordé pour se remémorer un seul petit instant notre morne quotidien de quiéton et c'est un réel et salvateur retour en enfance que j'ai vécu grâce à l'espièglerie et la générosité de la remarquable écriture de l'autrice. Cette dernière possède un véritable don de conteuse, elle nous prend par la main et mène nos émotions et notre perspicacité à la baguette avec une dextérité déconcertante. Et puis, elle n'a pas son pareil pour ce qui est de donner vie et esprit aux objets les plus abracadabrants et indispensables pour mener toute vie réussie qui se respecte - j'ai le besoin irrépressible d'acquérir une Pépouze pour me sentir pleinement heureuse, ceux qui auront lu ce livre comprendront certainement ce désir ardent mais à mon grand dam insatiable !

Autre grand point fort de ce récit résolument enchanteur : ses protagonistes. Ces derniers ne sont effectivement pas en reste et ils deviennent rapidement d'authentiques compagnons de route sur lesquels l'on peut constamment compter. En outre, le héros de cette folle et pétillante aventure, Charly, est extrêmement attachant et à mon sens, on ne peut que compatir au vu des épreuves qu'il a déjà subies et de celles qu'il doit encore traverser pour protéger ceux qu'il aime. Pour ma part, j'ai ressenti une profonde empathie à son égard, et je me suis également énormément à lui. En effet, je me suis beaucoup retrouvée dans le caractère à la fois calme et gai de ce personnage. D'un naturel gentil et généreux, souhaitant à tout prix éviter les conflits et quelconque forme de violence, Charly offre ses sourires lumineux à l'effet aussi efficace qu'un rayon de soleil perçant l'obscurité de notre humeur et sentiments souvent moroses comme un rien. Bon, ne vous y trompez pas, c'est aussi un fieffé coquin mais, pour bénéficier de la lumière éblouissante de ses dents parfaites et éblouissantes, je suis prête à tout lui pardonner ! Vous l'aurez compris, je suis littéralement tombée sous le charme de ce jeune garçon intrépide et indubitablement attendrissant, et je ne m'en cache même pas. Sa bonté désarmante et son exceptionnelle intelligence m'ont faite irrémédiablement fondre, que voulez-vous... Néanmoins, les figures emblématiques féminines de cette histoire n'ont rien à lui envier. Elles sont extrêmement intéressantes et fascinantes, même si elles m'ont parfois agacées plus que de mesure. Cependant, il suffit d'apprendre à les connaître, à les apprivoiser en quelque sorte, pour qu'elles se révèlent à nous telles qu'elles sont véritablement : deux jeunes filles fortes, astucieuses, inoubliables, profondément émouvante et tout simplement formidable pour l'une, carrément culottée, déjantée et au sens de l'humour décapant et très, très particulier pour l'autre. Être au contact de Sapotille et de June le temps de 416 pages précisément, c'est les adopter. Je les aime d'amour autant l'une que l'autre, même si je me suis évidemment plus retrouvée dans le sérieux à toute épreuve de Sapotille plutôt que dans la nonchalance légendaire de June. Je me rends compte en rédigeant cette critique que je pourrais vous parler de ces deux forts tempéraments radicalement différents, ainsi que de la vanité hilarante de Maître Lin, du comportement arrogant et de l'humour pince-sans-rire d'Alastair, pendant des heures mais une fois de plus, je vous invite à découvrir et à vous délecter de tout cela par vous-même. Si vous souhaitez connaître tous les ingrédients de cette recette magique maîtrisée à la perfection par Audrey Alwett qu'est L'Apprenti, il vous faudra vous procurer celle-ci par vos propres moyens ! (ou comment faire passer une incitation à l'achat subtilement, comme une lettre à la Poste, by Nanette)

Pour ce qui est de l'humour caractéristique de la plume résolument pétillante de l'autrice, ce dernier est omniprésent au sein de l'intrigue, même si ce trait-là du récit est moins marqué que dans Les Poisons de Katharz. Et j'ai franchement envie de dire « Encore heureux ! » parce qu'en voilà des diatribes salées et des réparties fleuries que les bambins ne doivent pas entendre à leur si jeune et innocent âge ! Cependant, Audrey Alwett est tout de même parvenue à apposer sa marque, son petit grain de folie à cette succulente expérience de cuisine littéraire qu'est Magic Charly pour tout lecteur impressionnable de sept à soixante-dix sept ans qui se respecte en mettant dans la bouche de l'ensemble de ses personnages des répliques mordantes et irrévérencieuses à souhait. Et je peux vous assurer que cela fait un bien fou au moral, une telle liberté de parole et d'expressions multiples ! On se laisserait presque, que dis-je, carrément, emporter par ce vent de fraîcheur qui souffle sur nous et dont l'autrice nous fait si malicieusement profiter au fur et à mesure que les chapitres défilent inlassablement et pour notre plus grand plaisir et joie.

Pour conclure, je dirais que ce premier tome fut à la hauteur de mes grandes espérances, même s'il manque encore un soupçon de je-ne-sais-quoi pour que cette série livresque réussisse à véritablement me conquérir. Mais je ne m'inquiète pas trop pour cela car il ne s'agissait là que du début des incroyables péripéties de Charly en tant que patouilleur et je suis sûre que la suite de ses mésaventures saura se révéler être aussi explosives que les papillotes de sa formidable grand-mère, dame Mélisse, à n'en pas douter ! Comme dirait son bien-aimé et fin gourmet petit-fils, il faut absolument plus de sucrétincelle pour que cela soit encore meilleur ! Ceci n'est pas un secret : la gourmandise est un vilain défaut mais à l'instar de notre adorable et facétieux héros, je l'assume fièrement ! Cependant, malgré le fait qu'Audrey Alwett n'ait pas voulu trop abuser des bonnes choses, et cela est parfaitement compréhensible (L'Apprenti ne constitue après tout que l'entrée du bel hors-d'½uvre qui s'annonce - vous vous en doutez, Audrey Alwett nous réserve encore bien des surprises et qui plus est, elle maîtrise l'art du suspens jusqu'au bout... Je ne me répéterai jamais assez mais ses talents sont multiples et flagrants, que les choses soient dites !), ce tome un a été pour moi l'équivalent d'un appétissant croissoleil qui vous réchauffe le c½ur, doublé d'une savoureuse madeleine de réconfort qui redonne instantanément du courage et qui, dans mon cas, est parvenue à réveiller l'âme de vaillante et émerillonnée (un mot synonyme d'espiègle, je découvre chaque jour de nouveaux mots ravissants grâce à ce blog !) petite sorcière qui sommeillait jusqu'alors en moi. En bref, un pur délice à déguster sans modération aucune ! ★★★★(★)

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, Gallimard Jeunesse, Magic Charly, Tome 1 ♥, L'Apprenti, Audrey Alwett, 2019, Littérature française, Jeunesse, Fantasy, école, humour, magie, mystère, sorcellerie, runes, initiation, apprentissage, objets animés, cuisine, recettes farfelues, secret, famille, retrouvailles, enquête, suspens, danger, méchanceté, injustice, ingéniosité, courage, Amitié ♥, entraide, Excellente lecture !
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