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FICHE MANGA : Love so life - T1

FICHE MANGA : Love so life - T1
• MANGAKA : Kaede Kouchi.
• ANNÉE : 2009 (JAPON) ; 2012 (FRANCE).
• GENRE (S) : Shojo.
• THÈMES : Baby-sitter - Enfants - Adolescence - Puériculture - Rêves - Espoir - Tendresse - Amour - Famille - Joie de vivre - Tranche de vie - Confiance - Générosité - Patience - Entraide - Passif difficile...
• PAGES : 180.

Ma chronique du tome 2 : ici.
Ma chronique du tome 3 : ici.

Shiharu Nakamura est une orpheline de seize ans qui désire devenir puéricultrice ! Pour réaliser son rêve, elle travaille à mi-temps dans une garderie en plus de ses cours au lycée, jusqu'au jour où Seiji Matsunaga, un client de la crèche, lui propose de devenir la baby-sitter des jumeaux dont il a la garde. Shiharu accepte, ignorant alors que Seiji Matsunaga est une star de la télé...

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un shojo manga dont je n'avais jamais entendu parler avant de tomber dessus par hasard en médiathèque, j'ai nommé Love so life de la mangaka Kaede Kouchi. Malgré le fait que je ne connaissais ce titre ni d'Eve ni d'Adam et que je n'avais ainsi pas d'avis/arguments concrets sur lesquels me baser pour me décider à lui laisser ou non sa chance, j'ai été d'emblée convaincue que ce premier tome de la série devait repartir avec moi sans plus de discussion. La raison à cela est on-ne-peut-plus simple : dès que j'ai vu la couverture de ce premier volume, j'ai littéralement fondu. Vous voyez la Méchante Sorcière de l'Ouest qui se liquéfie à la fin du Magicien d'Oz ? Bah, c'était moi à ce moment-là. Et après avoir contemplé et bavé face à cette magnifique illustration pendant 1 poignée de secondes (je vous l'ai dit, ça a été du rapide), je me suis in fine décidée à emprunter ce tome 1 et à le ramener illico presto chez moi. Et pour une fois, je suis bien contente d'avoir cédé à mon penchant pour le kawaii à outrance (non mais vous avez vu ces deux bouilles d'amour qu'ont les jumeaux ?! Je suis désolée, moi, je vois ça, je craque !) car Love so life m'a assurément séduite !

Vous l'aurez compris, ce qui m'a tout d'abord conquise avec ce titre, c'est son graphisme. Certes criant de simplicité, il ne paye pas forcément de mine mais personnellement, j'ai trouvé que cela servait l'intrigue de la meilleure des manières. En effet, cette dernière nous parle essentiellement de la vie quotidienne, de personnages qui souhaitent tous simplement aller de l'avant, surmonter leur chagrin et être heureux, donc il n'y avait pas besoin à mon sens de fioritures dans les planches ou d'un trait de crayon particulièrement singulier. Au contraire, j'ai grandement apprécié le fait que l'on reste au plus proche du réel, de sa banalité qui est à mon sens d'une immense et lumineuse beauté. Par ailleurs, les protagonistes, de même que la façon dont ils sont dessinés reflètent à merveille cela : ils sont comme tout le monde, ils ont leurs rêves, leurs faiblesses, leurs défauts et leurs moments de découragement et cela ne les rend que plus rayonnants. Enfants comme adultes doivent pourtant souvent porter des masques pour mieux dissimuler leurs espoirs déçus et leur douleur incommensurable, béante, et ce "costume", ce sont justement ces cases de bande dessinée en noir et blanc que l'on pourrait aisément imaginer parées de couleurs pastels des plus "fifilles" et naïves. En réalité, ces illustrations sont tout ce qu'il y a de plus trompeuses car elles cachent une profondeur et une intelligence insoupçonnées au premier abord.

Cependant, si l'on y regarde d'un peu plus près, celles-ci se révèlent rapidement à leur maximum d'éclat. Pour vous donner un exemple de cette double-lecture que l'on peut faire du graphisme vichy du manga, je peux citer tout naturellement les jumeaux, tellement mignons que cela en est à proprement parler étourdissant comme le dirait si bien notre héroïne principale. Paraissant limite "trop beau pour être vrai" et répondre à une superficialité artistique et avant tout marketing ayant pour volonté de faire couiner dans les chaumières, le chara design de nos petits bouts de choux a tout simplement pour visée de nous rappeller la beauté et l'innocence tout bonnement indescriptibles des enfants. C'est à tout le moins comme cela que j'ai perçu et interprété les choses en lisant ce manga qui nous rappelle avec une franchise et un naturel désarmants de ne pas prendre la magnificence des choses élémentaires (la sincérité du coeur d'un pitchoune, la douceur d'une étreinte maternelle/féminine...) pour acquise.

L'ingéniosité et la puissante humanité et sagesse du manga sont également représentées par le caractère de nos protagonistes, doués d'indéniables qualités et d'un charme purement et simplement ravageur. C'est tout spécialement par leur façon d'agir entre eux et de percevoir le monde qui a un savant goût de miracle que ces formidables personnages m'ont le plus touchée et marquée. En écrivant ces lignes, je pense notamment à Shiharu, notre héroïne, cette admirable jeune fille tout ce qu'il y a de plus mature et réfléchie à son âge ingrat (ne m'en voulez pas les teenagers, on est tous passés par là - et puis, qui aime bien châtie bien après tout) dont la relation avec les jumeaux Aoi et Akane est purement et simplement exceptionnelle et émouvante, magnifique. Notre babysitter au grand coeur cache comme tout un chacun sa part de noirceur, elle qui a vécu des choses extrêmement difficiles mais elle continue envers et contre tout à se battre pour mériter chaque petit instant de bonheur qu'elle expérimente au quotidien. C'est cette leçon de vie que je retiens de ce manga : celle de rester digne et fidèle à vous-même malgré toutes les épreuves que la vie peut vous envoyer.

Vous l'aurez sans doute compris, la dernière chose à faire est de juger ce manga d'après ses apparences extrêmement girly et mièvres... et son appelation aussi. Le titre a effectivement l'air peu recherché et même incorrect grammaticalement parlant (à moins que ce ne soit I love so life mais là encore, ça sonne faux) mais qu'importe, c'est le contenu qui compte et autant vous dire que ce dernier est tout bonnement incroyable. En même temps, Love so life rassemble tous les bons ingrédients pour séduire : la paire de jumeaux (je n'ai pas pu résister à ce pléonasme) la plus adorable et attachante du monde + une héroïne qui est, sans mentir, la gentilesse incarnée et qui a définitivement le coeur sur la main + un séduisant et très touchant protagoniste masculin loin du stéréotype du beau gosse du shojo manga classique (contrairement à ce que l'on pourrait une fois encore penser) qui fait clairement de son mieux (pauvre chou) + une ribambelle d'autres personnages profondément humains et émouvants + une intrigue qui nous rappelle la préciosité de chaque petit instant = que demande le peuple ? J'ose même affirmer que ce manga pétillant et chaleureux m'a beaucoup rappelé mon manga favori de tous les temps, Fruits Basket, avec son humour décapant et sa sensibilité à fleur de peau, dans un style très différent cependant. En bref, je ne pouvais qu'adorer de toutes mes forces Love so life et c'est avec un plaisir non dissimulé que je vais me jeter sur la suite ! COUP DE FOUDRE ϟ

Nanette ♥
Tags : Fiche manga, Love so Life ♥, Tome 1 ♥, Kaede Kouchi, éditions Delcourt, 2009, 2012, Shojo ♥, Baby-sitter, Enfants ♥., Adolescence, Puériculture, Rêves, Espoir, tendresse, Amour ♥., Famille ♥, Joie de vivre ♥, tranche de vie, confiance, générosité, patience. ♥, entraide, passif difficile, Coup de foudre ♥
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#Posté le mardi 01 septembre 2020 11:19

Modifié le mercredi 02 septembre 2020 05:56

FICHE ANIME : Arte - Saison 1

FICHE ANIME : Arte - Saison 1
Source image : gvrejubi (tumblr).

SEINEN, HISTORIQUE, SLICE OF LIFE | 2020 | RÉALISÉ PAR HAMANA TAKAYUKI D'APRÈS L'¼UVRE ORIGINALE DE KEI OHKUBO | AVENTURE, APPRENTISSAGE, ITALIE, ART, RENAISSANCE, XVIe SIÈCLE, RENCONTRES DÉCISIVES, ENTRAIDE, AMITIÉ, FAMILLE, MISOGYNIE, LIBERTÉ, INDÉPENDANCE, COURAGE, HUMOUR | 1 SAISON DE 12 ÉPISODES (PRODUCTION EN PAUSE) | AVEC LES VOIX ORIGINALES DE MIKAKO KOMATSU, KATSUYUKI KONISHI, JUNYA ENOKI, SAYAKA OHARA...

➜ Florence, début du XVIe siècle.

Dans ce berceau de la Renaissance qui vit l'art s'épanouir dans toute sa splendeur, une jeune aristocrate prénommée Arte rêve de devenir artiste peintre et aspire à entrer en apprentissage dans un des nombreux ateliers de la ville...
Hélas ! Cette époque de foisonnement culturel était aussi celle de la misogynie, et il n'était pas concevable qu'une jeune femme ambitionne de vivre de son art et de son travail. Les nombreux obstacles qui se dresseront sur le chemin d'Arte auront-ils raison de la folle énergie de cette jeune femme déterminée ?

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un anime que je mourais d'envie de voir dès l'annonce de sa diffusion sur Wakanim, j'ai nommé Arte.

Bien que je sois loin d'avoir avancé dans ma lecture du manga originel (en réalité, je n'en suis qu'au tome un, j'ai honte), il m'était impossible de ne pas visionner séance tenante cette adaptation dont la simple mention de l'existence me fait tout bonnement chavirer le coeur - je n'exagère même pas, c'est promis juré !

En effet, j'aime tellement l'univers d'Arte qu'il me fallait vite, vite y retourner ! Et cette somptueuse, renversante première saison était bien le meilleur moyen d'accéder à ce splendide monde dédié à l'art et à la beauté de chaque chose et de chaque être en attendant que je puisse aller emprunter les autres tomes du manga à ma médiathèque. Ce qui m'a frappée d'emblée dans cette retranscription tout ce qu'il y a de plus réussie de l'atmosphère du manga, c'est la magnificence de son esthétisme et de sa colorimétrie. Les studios SEVEN·ARCS ont réalisé là de véritables prouesses avec cette palette de couleurs extrêmement lumineuse et ce foisonnement de détails dans le plus profond respect du style du mangaka, Kei Ohkubo. L'on a ainsi droit à des paysages et décors plus merveilleux les uns que les autres ainsi qu'à un chara design des plus élaborés. C'est comme si les planches en noir et blanc du manga prenaient vie sous nos yeux ! De quoi en avoir les mirettes ébahies du début jusqu'à la fin.

Dans un second temps, quelle joie cela fut pour moi de retrouver ma petite Arte et de pouvoir l'accompagner dans la suite de ses enthousiasmantes aventures ! En visionnant cet anime, j'ai pris au passage conscience que ce dernier, et donc le manga originel également, cela va de soi, s'inspirait (très) librement de la vie d'Artemisia Gentileschi (Artemisia, Arte... Comment n'ai-je pas pu faire le lien plus tôt ? Je me fatigue, sérieusement...), ou l'une des premières femmes-peintres de son temps et sans doute la plus renommée. Si la vie de notre Arte de fiction est loin d'être aussi sombre et tourmentée (pour le moment...) que celle de la véritable Artemisia, son incroyable et émouvant parcours met en exergue la difficulté tout ce qu'il y a de plus réelle pour une femme d'être reconnue pour son talent artistique à l'époque et même encore aujourd'hui, où le domaine notamment de la peinture demeure essentiellement masculin. Je ne sais malheureusement pas grand chose sur l'existence de cette femme exceptionnelle et en avance sur son temps qu'était Artemisia Gentileschi mais je reste néanmoins persuadée que ce manga-anime rend le plus vibrant des hommages à son combat pour la liberté et la reconnaissance qu'elle méritait de la part de ses pairs.

Je pourrais vous parler encore des heures de cet anime, de ses protagonistes qui m'ont fait couiner et chouiner comme pas possible (cette phrase commence bizarrement, je sais), de l'importance des messages qu'il véhicule, de la palette (c'est le cas de le dire) de sentiments par laquelle il nous fait passer tout au long de ses 12 épisodes mais je pense que je serai plus éloquente dans mes critiques des tomes du manga. Cela m'encouragera d'autant plus à les dévorer, comme ça ! Une dernier élément que je pourrais souligner au sujet de cette saison 1 d'Arte, c'est qu'elle se conclut de façon suffisamment arrêtée et nette pour nous satisfaire. Pour l'instant, la production de l'anime ne peut qu'être en stand-by, tout simplement parce que cette première saison couvre tous les tomes parus à ce jour. Autrement dit, il faudra attendre que la suite paraisse en manga pour espérer avoir une saison 2 un jour ! Et même si j'apprécie sincèrement qu'ils aient offert une fin relativement fermée à cette saison 1 afin que l'on ne se retrouve pas cruellement dans l'expectative d'une suite, je devrais me résigner la mort dans l'âme et le coeur en berne si jamais les producteurs décidaient d'in fine ne pas adapté la suite et la fin de ce manga qui mérite assurément d'être adapté dans son intégralité tant il est puissant, solaire et captivant. Pour l'heure, prions donc le dieu (ou la déesse, qui sait) des animes pour mes espoirs soient exaucés comme il se doit... COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥

FICHE ANIME : Arte - Saison 1
Source gif : rouge d portgas (tumblr).
Tags : Fiche anime, Arte, 1 saison, 12 épisodes, 2020, Seinen, historique, slice of life, Hamana Takayuki, Adaptation de manga, Kei Ohkubo, Aventure, Apprentissage, Italie ♥, Art, Renaissance, XVIe siècle, rencontres décisives, entraide, amitié, famille, mysogynie, liberté, indépendance, courage, humour, Mikako Komatsu, Katsuyuki Konishi, Junya Enoki, Sayaka Ohara, coup de coeur ♥
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#Posté le mardi 21 juillet 2020 08:34

Modifié le jeudi 23 juillet 2020 10:12

FICHE ANIME : Demon Slayer - Saison 1

FICHE ANIME : Demon Slayer - Saison 1
SHONEN, NEKKETSU, FANTASTIQUE | 2019 | RÉALISÉ PAR HARUO SOTOZAKI D'APRÈS L'¼UVRE ORIGINALE DE KOYOHARU GOTOGE | AVENTURE, LUTTE DU BIEN CONTRE LE MAL, QUÊTE, APPRENTISSAGE, SAGESSE, RENCONTRE DÉCISIVE, ENTRAIDE, ARTS MARTIAUX, COMBATS, VIOLENCE, CRUAUTÉ, DRAME, SURNATUREL, DÉMONS, AMITIÉ, FAMILLE, HUMOUR | 1 SAISON DE 26 ÉPISODES (ANIME EN COURS) | AVEC LES VOIX ORIGINALES DE NATSUKI HANAE, AKARI KITO, HIRO SHIMONO, YOSHITSUGU MATSUOKA...

➜ Depuis les temps anciens, il existe des rumeurs concernant des démons mangeurs d'hommes qui se cachent dans les bois. Pour cette raison, les citadins locaux ne s'y aventurent jamais la nuit. La légende raconte aussi qu'un tueur de démons déambule la nuit, chassant ces démons assoiffés de sang. Pour le jeune Tanjiro, ces rumeurs vont bientôt devenir sa dure réalité ...

ஜ MON AVIS :

Coucou les petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour ma chronique de la première saison d'un des derniers animes événements en matière de shonen, j'ai nommé Demon Slayer (Kimetsu no yaiba en V.O.) adapté du manga éponyme signé Koyoharu Gotōge (que je n'ai pas lu mais je compte bien remédier à cela).

Comme son titre anglais l'indique, cet anime va suivre l'apprentissage de plusieurs apprentis-pourfendeurs dont trois centraux qui vont, par un étrange concours de circonstances, se retrouver à former un drôle de trio survolté souhaitant atteindre un même objectif commun, à savoir : tuer le maître de tous les démons, l'ignoble Muzan Kibutsuji. Je dois bien vous avouer, et si vous consultez ce blog depuis quelques temps déjà, cela ne va pas vous étonner, que ce type d'épopée héroïque qui sentent la testostérone et l'hémoglobine à plein nez n'est guère ma tasse de thé. En matière de mangas notamment, je suis beaucoup plus partisane de gentilles petites tranches de vie lycéennes, vous voyez. Les animes kawaii et débordant de bonne humeur, ça, c'est ma vraie came. Mais malgré cet état de fait indéniable, force est de constater que Demon Slayer m'a totalement prise de court en m'entraînant sans résistance aucune dans une quête des plus sombres et rocambolesques.

Et pourtant, croyez-moi quand je vous dis que c'était franchement mal parti. En effet, dès que l'épisode pilot, on nous broie le coeur en mille morceaux avec des scènes d'une violence graphique et émotionnelle inouïe. Qui plus est, la formation et mentalité empreintes du plus pur des stoïcismes de l'Armée des pourfendeurs n'a pas manqué dans un premier temps de fortement m'agacer, pour ne pas dire de purement et simplement me dégoûter. Fort heureusement, notre jeune et vaillant protagoniste, Tanjiro, va réussir l'exploit de respecter de telles règles de vie et de combat tout ce qu'il y a de plus strictes et rebutantes tout en restant fidèle à sa nature profondément altruiste et bienveillante. Pour ma part, je suis tombée amoureuse de ce héros au coeur d'or et à la gentillesse et persévérance infinie. Les autres personnages ne sont également pas en reste : j'ai éprouvé pour chacun d'entre eux, protagonistes et antagonistes, une certaine fascination. Tous ont une personnalité bien marquée, une aura reconnaissable entre mille. Mais au fond, ce que j'ai le plus, mais alors le plus, aimé chez eux, c'est qu'ils me fassent rire comme personne. Je préfère vous prévenir, Demon Slayer oscille entre l'horrifique et l'humour burlesque poussé à l'extrême de façon continue et extrêmement déconcertante. Cela fait indubitablement mouche au bout d'un moment mais il n'empêche que ce revirement a de quoi surprendre au début, préparez vous à en avoir les nerfs rudement mis à l'épreuve !

Pour conclure, je pourrais passer des heures à vous parler de cette première saison assurément palpitante et réussie de Demon Slayer mais retenez simplement ceci : le graphisme est au top (mais alors, top de chez top, j'ai été éblouie à chaque épisode), la musique est au top (j'ai encore l'opening en tête, il ne cessera jamais de me hanter, je pense), le postulat de base est accrocheur et le scénario se révèle au fur et mesure tout bonnement mouvementé et prometteur. Quant aux personnages, vous aurez sûrement compris qu'ils sont parvenus à gagner toute ma sympathie. Je suis particulièrement impatiente d'accompagner mon trio de choc dans sa prochaine aventure qui se fera... sur grand écran ! Eh oui, quelle ne fût pas mon agréable surprise de découvrir cela ! Après, Demon Slayer a tout le potentiel pour s'exporter le temps d'un arc narratif au cinéma et j'espère sincèrement que le succès sera au rendez-vous, ce serait amplement mérité ! COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥

FICHE ANIME : Demon Slayer - Saison 1
Source images : we♥it.
Tags : Fiche anime, Demon slayer ♥, Adaptation de manga, Koyoharu Gotoge, Shonen, Nekketsu, Fantastique, 2019, 1 saison, 26 épisodes, anime en cours, Haruo Sotozaki, Aventure, lutte du bien contre le mal, quête, apprentissage, sagesse, Rencontre décisive, entraide, arts martiaux, combats, violence, cruauté, drame, surnaturel, démons, amitié, famille, humour, Natsuki Hanae, Akari Kito, Hiro Shimono, Yoshitsugu Matsuoka, coup de coeur ♥
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#Posté le vendredi 17 juillet 2020 08:23

Modifié le lundi 20 juillet 2020 10:04

FICHE LECTURE : Moi, Arthur, maître du royaume perdu

FICHE LECTURE : Moi, Arthur, maître du royaume perdu
• TITRE V.O. : The Land of Roar.
• AUTRICE : Jenny McLachlan.
• ANNÉE : 2019 (ROYAUME-UNI ; FRANCE).
• GENRE(S) : Jeunesse, fantastique.
• THÈMES : Magie - Amitié - Famille - Enfance - Grandir - Maturité - Affection - Amour inconditionnel - Danger - Mystère - Noirceur - Imaginaire - Espoir - Courage - Entraide - Merveilleux - Dragons - Sorciers - Épouvantails - Corbeaux - Sirènes...
• PAGES : 346.

Arthur en est sûr : il y a un sorcier dans le grenier de son grand-père. Pourtant, il va entrer au collège et n'est plus le petit garçon qui, avec sa s½ur jumelle Rose, s'était inventé un monde imaginaire dans le grenier. Un Royaume rempli de choses qu'ils aimaient : des dragons, des sirènes, des sorciers ninjas ; et d'autres qui les effrayaient... Aujourd'hui, le Pays de Groaar est presque oublié et, de toute façon, Arthur et Rose ne jouent plus ensemble.
Mais quand leur grand-père disparaît sous ses yeux, Arthur n'a plus le choix : il doit retrouver le chemin du Royaume. Se pourrait-il que Groaar soit... réel ?

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du roman jeunesse Moi, Arthur, maître du royaume perdu signé Jenny McLachlan et paru en France aux éditions Auzou. Je les remercie infiniment pour ce magnifique envoi.

Que vous dire si ce n'est que j'ai été complètement embarquée par ma lecture de ce titre qui me promettait moult aventures magiques et qui m'a in fine entraînée dans une odyssée féérique encore plus folle et captivante que je ne l'escomptais ? Très sincèrement, j'ai vécu mon périple à Groaar comme si j'y étais. Je voyais devant moi la Forêt enchevêtrée, la Route Magique et les abominables zombies-épouvantails comme si cela était devenu ma nouvelle réalité. A bien des égards, ce récit m'a rappelé de nombreux univers ayant bercé mon enfance et ne m'étant jamais véritablement quitté, tels le Pays imaginaire de Peter Pan et de ses enfants perdus, le Fantasia de L'Histoire sans fin ou bien encore le fameux Pays d'Oz régi par le célèbre magicien éponyme. En rédigeant cette chronique, je me rends compte que cette histoire ébouriffante est truffée de bien d'autres références encore à de grands classiques de la littérature jeunesse et à des contes de fées que je n'ai jamais cessé de chérir au plus profond de moi et rien que ce détail qui vous semblera peut-être de peu d'importance me donne envie d'y replonger séance tenante afin de reconnaître d'autres intrigues bien aimées dans les méandres de Groaar et les profondeurs de ses eaux.

Moi, Arthur, maître du royaume perdu, ce sont aussi des protagonistes diantrement attachants auxquels il est tout aussi aisé de s'identifier, des illustrations à tomber par terre que l'on doit au talentueux Ben Mantle et qui facilite d'autant plus notre immersion dans ce monde merveilleux des plus extraordinaires, une plume toute aussi vivante et colorée avec laquelle on accroche dès les premières lignes et que l'on suivrait jusqu'aux confins de cette contrée dont il nous reste encore tant à découvrir mais surtout un message des plus véridiques et émouvants. En effet, la leçon que je retiendrai de cette lecture, c'est qu'il ne faut jamais abandonner ses rêves d'enfant. On doit certes à un moment charnière de notre vie les renier un tant soit peu afin d'aller de l'avant et de faire de nouvelles expériences qui nous permettront de nous construire et de devenir la meilleure version de nous-même mais il ne faut cependant pas les oublier pour autant. Jenny McLachlan nous enseigne avec beaucoup de subtilité et de sagesse que continuer à cultiver notre part d'imagination et préserver notre innocence d'enfant toute notre vie durant, loin de nous rendre faibles ou bizarres, fera de nous les adultes les plus remarquables et admirables qui soient.

Vous l'aurez compris, je pense, mais j'ai été totalement séduite par la créativité de l'autrice, par la richesse de son écriture, la profondeur et la complexité de son univers et de ses personnages. J'en redemande encore et rien que de savoir que le tome deux de cette formidable épopée doit normalement paraître chez nous en 2020, j'en ai le c½ur bondissant de joie et les yeux constellés d'étoiles à la façon de la robe de Prosecco, l'étalon étincelant ! COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, service de presse, Moi Arthur maître du royaume perdu, Jenny McLachlan, Littérature anglaise, 2019, Jeunesse, fantastique, magie, Famille ♥, Amitié ♥, enfance, grandir, maturité, affection, Amour inconditionnel ♥, danger, mystère, noirceur, imaginaire, espoir, courage, entraide, merveilleux, dragons, sorciers, épouvantails, corbeaux, sirènes, coup de coeur ♥
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#Posté le mercredi 15 juillet 2020 07:26

Modifié le jeudi 16 juillet 2020 05:31

FICHE LECTURE : Circus Mirandus - T2 : La Femme Oiseau

FICHE LECTURE : Circus Mirandus - T2 : La Femme Oiseau
• TITRE V.O. : The Bootlace Magician.
• AUTRICE : Cassie Beasley.
• ANNÉE : 2019 (ETATS-UNIS), 2020 (FRANCE).
• GENRE(S) : Jeunesse, fantastique.
• THÈMES : Cirque - Magie - Amitié - Famille - Enfance - Grandir - Maturité - Affection - Amour inconditionnel - Danger - Mystère - Noirceur - Colère - Espoir - Courage - Entraide - N½uds - Merveilleux...
• PAGES : 571.

Ma chronique du tome 1 : ici.

Un miracle a conduit Micah au Circus Mirandus. Il en faudra un autre pour le sauver. Micah a réalisé son rêve : le jeune garçon vit désormais au Circus Mirandus en tant qu'apprenti du Plieur de Lumière. Tout semble pour le mieux dans le plus magique des mondes, entre la découverte de ce lieu surprenant et la maîtrise de ses pouvoirs. Mais c'est sans compter sur sa terrible grand-mère, la Femme Oiseau, qui a juré de se venger du cirque.
Micah et le Plieur de Lumière ont-ils une chance de défaire ses plans machiavéliques ?

ஜ MON AVIS :

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique du tome deux de la saga Circus Mirandus, La Femme Oiseau, signée Cassie Beasley et parue aux éditions Auzou. Je les remercie infiniment pour ce magnifique envoi.

Ayant tout bonnement adoré le premier tome, il me tardait de retrouver mon formidable petit Micah pour d'autres mémorables et fabuleuses aventures au sein de ce cirque pas comme les autres. Un aspect d'ailleurs de ce second tome que j'ai particulièrement apprécié, c'est celui d'avoir pu enfin faire la connaissance de l'ensemble des membres de ce merveilleux cirque. En effet, si dans le premier tome, on se focalisait essentiellement sur le Plieur de Lumière qui reste là encore la personne au sein du cirque de laquelle notre attachant jeune héros se sent le plus proche, ici, on apprend à connaître ses collègues et cela m'a procuré un bonheur incommensurable. C'est simple, je me suis sentie extrêmement proche de ces personnages remarquables, magiques jusqu'au bout des ongles, qui ont pour objectif dans leur quotidien d'apporter un peu de paix et de lumière aux enfants afin de préserver la part d'innocence qui réside en chacun d'eux. Si ce n'est pas le plus beau métier du monde, ça ! Plus sérieusement, je me suis sentie comme appartenir à cette joyeuse troupe solidaire dont aucun des membres n'est laissé pour compte, même quand face aux pires catastrophes. Et croyez moi, ils vont tous devoir en affronter dans ce tome-ci ; de quoi vous en hérisser les poils !

Un autre point du récit qui m'a extrêmement plu, même si j'ai trouvé cela triste tout à la fois, c'est que l'on sent que notre personnage principal, l'émouvant Micah, a grandi, mûri depuis le tome 1. Certes, il croit toujours en la magie en ce bas monde, comme au début de sa folle épopée, mais ce n'est malgré tout plus le petit garçon rêveur qui écoutait les histoires rocambolesques de son grand-père la bouche grande ouverte comme si on lui procurait du pain béni. Micah s'est rendu compte depuis de la cruauté et de la noirceur du monde, de l'incroyable et troublante complexité de ce dernier qui est capable depuis des millénaires d'abriter le pire comme le meilleur. Cela m'a attristée de parfois voir mon magicien en herbe d'ordinaire si joyeux et créatif à ce point désillusionné et en colère mais Micah tire les bonnes leçons de cette rage. Il comprend que s'abaisser au niveau des individus vils qui peuplent ce bas monde et qui font parfois même partie de sa propre famille ne lui apporterait strictement rien si ce n'est de l'amertume et un dégoût profond de lui-même. De Micah le petit garçon intrépide et candide, on est passés à Micah le pré-adolescent sage mais au c½ur toujours aussi pur, quand bien même certaines personnes (une en particulier mais je n'en dis pas plus) essayent de le corrompre, et vous ne pouvez pas savoir à quel point je suis fière de sa fantastique évolution. Micah ira loin dans la vie et il a encore beaucoup à apporter au Circus Mirandus, j'en suis persuadée. Sa place est là-bas, cela ne fait aucun doute.

Enfin, histoire de tout de même soulever un minuscule bémol à ce récit : j'ai trouvé que la femme oiseau qui donne pourtant son titre à ce second (ou deuxième ? Je l'espère vivement) tome arrivait bien tardivement dans l'intrigue. Certes, on ressent bien la menace que celle-ci représente tout au long de l'intrigue, telle une épée de Damoclès au-dessus de nos têtes, un danger imminent et effroyable qui, comme évoqué un peu plus haut, m'a véritablement donné des sueurs froides. Néanmoins, j'aurais tout de même souhaité que cette fameuse femme oiseau soit plus présente et surtout en apprendre plus sur elle que ce que le tome in nous en avait déjà dévoilé. Cependant, il semblerait que l'autrice n'ait pas jugé cela nécessaire et je peux tout à fait le comprendre : Cassie Beasley a en effet tenu à faire passer un message tout particulier à travers cette antagoniste et je l'ai trouvé pour ma part tout ce qu'il y a de plus clair et pertinent. Sans rancune, donc.

Pour conclure, malgré le léger désappointement que j'ai éprouvé face au traitement accordé à celle qui est censée être le personnage phare de ce second tome, et qui l'est d'une certaine façon tout ce qu'il y a de plus tonitruante et déroutante, j'ai autant adoré ce roman que son prédécesseur. Il est certes différent mais tout aussi poignant et authentique dans les émotions qu'il véhicule, et je puis vous assurer qu'il vous en fait passer par une sacrée palette ! En le lisant, j'ai eu envie de rire, de pleurer, de me cacher sous ma couette mais surtout, j'ai ressenti un amour juste incommensurable pour la quasi-totalité de ses personnages, une boule de chaleur au creux du ventre qui ne m'a plus quitté depuis que j'ai refermé ce livre et c'est bien là tout ce qui importe, non ? En clair, ce second tome de Circus Mirandus a été une franche réussite de mon côté et j'escompte bien qu'il ait une suite ! COUP DE C¼UR ♥

Nanette ♥
Tags : Fiche lecture, éditions Auzou, service de presse, Circus Mirandus, La Femme Oiseau, Cassie Beasley, 2019, 2020, Jeunesse, Fantastique, Cirque, Magie, Amitié, Famille ♥, Enfance, grandir, maturité, affection, Amour inconditionnel ♥, danger, mystère, noirceur, colère, espoir, courage, entraide, noeuds, merveilleux, Littérature américaine, Tome 2 ♥, coup de coeur ♥
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#Posté le samedi 13 juin 2020 08:14

Modifié le lundi 15 juin 2020 09:41

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