
Source de l'image : patricialyfoung.tumblr.com (non mais, admirez moi cette beauté ♥)
Coucou mes amis ! On se retrouve avec quelque chose que je n'avais pas faite depuis bien longtemps et qui m'avait franchement manqué : un tag ! Vous le savez, je suis dingue et j'en raffole, et celui-là est tout particulier. Il s'agit du tag consacré à la fabuleuse saga La Passe-miroir, qui est devenue en un rien de temps l'une de mes grandes chouchoutes, et il a été concocté par la pétillante, la lumineuse, la magnifique Emilie de la chaîne Bulledop et ses merveilleux abonnés. C'est parti pour une belle aventure dans le petit monde de la Passe-Miroir, embarquez dans mon dirigeable, il y a de la place pour tous ! ♥
Commençons fort, commençons bien...
1. Ton personnage masculin préféré ?
Easy peasy : mon Thornounet d'amouuuuur. Bon, il n'accepterait pas ce surnom d'un bon ½il mais il n'a pas le choix, nah ! Honnêtement, je peux comprendre que ce personnage en exaspère certains, au vu de son comportement froid comme un glaçon et réglé comme sa fidèle montre, dont il ne se dépare jamais (sauf...). Il y a de quoi lever les yeux au ciel et avoir des remontrances et des envolées de « Non, mais non ! ». Mais voilà, mon Thorn, c'est comme ça que je l'aime et je ne voudrais jamais qu'il ne change ! Vous devez savoir que j'ai deux épines qui règnent dans mon c½ur, attirantes au premier regard, mais qui s'y frotte s'y pique d'une certaine manière. L'un est le Thorn cité précédemment, un physique filigrane, anguleux, aux épaules et à la mâchoire carrée, les yeux tel un lac verglacé, la silhouette s'étendant de toute sa hauteur, cependant robuste et solide comme un roc, immuable comme une montagne. L'autre n'a rien à voir avec la choucroute, se prénomme Thorne avec un e et est capitaine de vaisseau spatial. Facon Albator quoi, le look et le sérieux en moins. Et je ne me dépareillerai jamais de mes deux épines ♥ (cette tentative de jeu de mots est infructueuse mais au moins j'aurais essayé...)
Avant de passer au débat sous-jacent à cette première question, et parce-que j'aime faire du zèle, j'aimerais juste rendre un petit hommage aux personnages de la saga qui m'ont touchés aussi. La question stipule bien qu'on doit choisir son favori (ce que j'ai fait avec moult arguments), néanmoins j'ai l'impression que ce sont toujours les deux mêmes qui ressortent, à savoir Thorn et Archibald (d'où la battle qui va s'en suivre). Ce que je peux aisément concevoir car non seulement ils sont les deux personnages masculins les plus importants du roman, mais aussi les plus marquants car ayant les personnalités les plus singulières. Qui plus est, l'opposition des deux est très intéressante : d'un côté, la froideur exemplaire de Thorn, qui est réglé comme un métronome, mais à l'intérieur bouillonnant face au monde dans lequel il évolue et ses sentiments naissants pour une certaine demoiselle. Ainsi que ceux qu'il éprouvait pour sa famille, enfin Bérénilde pour ce qu'il lui reste. Bref, Thorn est un personnage de marbre et honorable en apparence mais un charbon ardent à l'intérieur. Son introspection en fait un être fascinant. Archie, quant à lui, m'évoque plutôt un feu de joie. Malgré la rigueur et la froideur du Pôle, et en tant que natif de cet Arche il possède lui même sa part d'ombre glacée, il est un personnage haut en couleurs qui brille de par son exubérance, son extravagance, sa verve et son côté dandy tout à fait fou et des plus charmants. Les deux sont assez semblables au fond car chacun reflète qu'une part de lui-même, qui devient leur enveloppe, leur posture en société. Mais d'autres sentiments plus profonds en réalité les animent. Breeeef, tout ça pour dire que l'engouement pour ces deux énergumènes est largement justifié. Parlons maintenant de ces autres personnages masculins pour lesquels j'éprouve beaucoup de tendresse.
D'abord, Renard, présent depuis les premiers pas d'Ophélie au Pôle. Ce personnage nous est d'abord présenté comme étant une sorte d'hoi-la-loi, du moins de sacré gaillard somme toute opportuniste, qui, dès qu'il le peut va chercher à soutirer un avantage de quiconque dans le but que cela lui profite et lui permette de sortir de sa désagréable position. Cette image est peu flatteuse et heureusement qu'on ne s'en arrête pas là. Je ne sais si cela est à cause de son prénom de roublard, mais j'aime à m'imaginer Renard comme un Nick Wilde personnifié. En dehors de l'apparence (cheveux roux, tâches de rousseur, air dégingandé), ces deux-là se rejoignent du fait qu'ils sont des exclus de la société, condamnés dès le départ, et aigris au point de profiter eux-mêmes des injustices qui les insupportent dans cette hiérarchie pourrie. Cependant, c'est un c½ur noble et d'or qui se dissimulent dans leur poitrine, et ils nous le prouveront à de multiples reprises. Ils sont bien plus que ce qu'ils croient être, et c'est pourquoi j'adore Renard. Il est malin, très drôle, tendre, séduisant, fidèle en amitié et à son c½ur (d'ailleurs, c'est trop trop adorable) et il me fait fondre. Peu de gens ont ce pouvoir (c'est maître Olaf qui l'a dit) et il en faut donc les aimer d'autant plus fort ♥ (ça, c'est moi qui le dis)
D'autre part, j'avais envie de mettre en lumière deux nouveaux personnages du tome trois, à savoir Basil et Ambroise. Le premier est quelqu'un de très sensible, à fleur de peau. Il manque cruellement de confiance en lui du fait de sa poisse permanente qui se répercute sur les autres. Cela m'a fait énormément de peine pour lui, notamment car son âme est pure, entièrement désintéressée et fondamentalement bonne. Il est comme un modèle à suivre pour moi. Il va suivre Ophélie dans toutes ses galères, sans jamais rechigner, l'encourageant à chaque fois du mieux qu'il peut et je lui en suis infiniment reconnaissante. Je lui souhaite de renouer avec le bonheur, il le mérite. Vraiment. Ambroise est un personnage présent aux antipodes de ce tome, dont l'empreinte est moins marquante, mais il reste un personnage touchant et aux belles valeurs, malgré le milieu totalement dégradant envers sa situation handicapante dans lequel il a grandi. Rester confiné tout seul la plupart du temps, avec des robots angoissants pour seule compagnie, c'est de l'ordre de l'inhumain. Pourtant, sa part d'humanité, ce jeune homme a su la conserver avec force et honneur, et je ne peux que lui souhaiter le meilleur pour la suite. Lui aussi est un très bon ami, déférent, serviable et donnant le meilleur de lui-même. J'aurais même pu parler d'Octavio parce qu' il est un personnage masculin des plus intrigants (et je l'aime aussi), mais on va arrêter le calvaire maintenant !
Je me rends compte que je suis en train de faire ce tag vraiment à ma sauce... et ça, c'est BIEN ! Je fais ce que je veux, et toc !
Easy peasy : mon Thornounet d'amouuuuur. Bon, il n'accepterait pas ce surnom d'un bon ½il mais il n'a pas le choix, nah ! Honnêtement, je peux comprendre que ce personnage en exaspère certains, au vu de son comportement froid comme un glaçon et réglé comme sa fidèle montre, dont il ne se dépare jamais (sauf...). Il y a de quoi lever les yeux au ciel et avoir des remontrances et des envolées de « Non, mais non ! ». Mais voilà, mon Thorn, c'est comme ça que je l'aime et je ne voudrais jamais qu'il ne change ! Vous devez savoir que j'ai deux épines qui règnent dans mon c½ur, attirantes au premier regard, mais qui s'y frotte s'y pique d'une certaine manière. L'un est le Thorn cité précédemment, un physique filigrane, anguleux, aux épaules et à la mâchoire carrée, les yeux tel un lac verglacé, la silhouette s'étendant de toute sa hauteur, cependant robuste et solide comme un roc, immuable comme une montagne. L'autre n'a rien à voir avec la choucroute, se prénomme Thorne avec un e et est capitaine de vaisseau spatial. Facon Albator quoi, le look et le sérieux en moins. Et je ne me dépareillerai jamais de mes deux épines ♥ (cette tentative de jeu de mots est infructueuse mais au moins j'aurais essayé...)
Avant de passer au débat sous-jacent à cette première question, et parce-que j'aime faire du zèle, j'aimerais juste rendre un petit hommage aux personnages de la saga qui m'ont touchés aussi. La question stipule bien qu'on doit choisir son favori (ce que j'ai fait avec moult arguments), néanmoins j'ai l'impression que ce sont toujours les deux mêmes qui ressortent, à savoir Thorn et Archibald (d'où la battle qui va s'en suivre). Ce que je peux aisément concevoir car non seulement ils sont les deux personnages masculins les plus importants du roman, mais aussi les plus marquants car ayant les personnalités les plus singulières. Qui plus est, l'opposition des deux est très intéressante : d'un côté, la froideur exemplaire de Thorn, qui est réglé comme un métronome, mais à l'intérieur bouillonnant face au monde dans lequel il évolue et ses sentiments naissants pour une certaine demoiselle. Ainsi que ceux qu'il éprouvait pour sa famille, enfin Bérénilde pour ce qu'il lui reste. Bref, Thorn est un personnage de marbre et honorable en apparence mais un charbon ardent à l'intérieur. Son introspection en fait un être fascinant. Archie, quant à lui, m'évoque plutôt un feu de joie. Malgré la rigueur et la froideur du Pôle, et en tant que natif de cet Arche il possède lui même sa part d'ombre glacée, il est un personnage haut en couleurs qui brille de par son exubérance, son extravagance, sa verve et son côté dandy tout à fait fou et des plus charmants. Les deux sont assez semblables au fond car chacun reflète qu'une part de lui-même, qui devient leur enveloppe, leur posture en société. Mais d'autres sentiments plus profonds en réalité les animent. Breeeef, tout ça pour dire que l'engouement pour ces deux énergumènes est largement justifié. Parlons maintenant de ces autres personnages masculins pour lesquels j'éprouve beaucoup de tendresse.
D'abord, Renard, présent depuis les premiers pas d'Ophélie au Pôle. Ce personnage nous est d'abord présenté comme étant une sorte d'hoi-la-loi, du moins de sacré gaillard somme toute opportuniste, qui, dès qu'il le peut va chercher à soutirer un avantage de quiconque dans le but que cela lui profite et lui permette de sortir de sa désagréable position. Cette image est peu flatteuse et heureusement qu'on ne s'en arrête pas là. Je ne sais si cela est à cause de son prénom de roublard, mais j'aime à m'imaginer Renard comme un Nick Wilde personnifié. En dehors de l'apparence (cheveux roux, tâches de rousseur, air dégingandé), ces deux-là se rejoignent du fait qu'ils sont des exclus de la société, condamnés dès le départ, et aigris au point de profiter eux-mêmes des injustices qui les insupportent dans cette hiérarchie pourrie. Cependant, c'est un c½ur noble et d'or qui se dissimulent dans leur poitrine, et ils nous le prouveront à de multiples reprises. Ils sont bien plus que ce qu'ils croient être, et c'est pourquoi j'adore Renard. Il est malin, très drôle, tendre, séduisant, fidèle en amitié et à son c½ur (d'ailleurs, c'est trop trop adorable) et il me fait fondre. Peu de gens ont ce pouvoir (c'est maître Olaf qui l'a dit) et il en faut donc les aimer d'autant plus fort ♥ (ça, c'est moi qui le dis)
D'autre part, j'avais envie de mettre en lumière deux nouveaux personnages du tome trois, à savoir Basil et Ambroise. Le premier est quelqu'un de très sensible, à fleur de peau. Il manque cruellement de confiance en lui du fait de sa poisse permanente qui se répercute sur les autres. Cela m'a fait énormément de peine pour lui, notamment car son âme est pure, entièrement désintéressée et fondamentalement bonne. Il est comme un modèle à suivre pour moi. Il va suivre Ophélie dans toutes ses galères, sans jamais rechigner, l'encourageant à chaque fois du mieux qu'il peut et je lui en suis infiniment reconnaissante. Je lui souhaite de renouer avec le bonheur, il le mérite. Vraiment. Ambroise est un personnage présent aux antipodes de ce tome, dont l'empreinte est moins marquante, mais il reste un personnage touchant et aux belles valeurs, malgré le milieu totalement dégradant envers sa situation handicapante dans lequel il a grandi. Rester confiné tout seul la plupart du temps, avec des robots angoissants pour seule compagnie, c'est de l'ordre de l'inhumain. Pourtant, sa part d'humanité, ce jeune homme a su la conserver avec force et honneur, et je ne peux que lui souhaiter le meilleur pour la suite. Lui aussi est un très bon ami, déférent, serviable et donnant le meilleur de lui-même. J'aurais même pu parler d'Octavio parce qu' il est un personnage masculin des plus intrigants (et je l'aime aussi), mais on va arrêter le calvaire maintenant !
Je me rends compte que je suis en train de faire ce tag vraiment à ma sauce... et ça, c'est BIEN ! Je fais ce que je veux, et toc !
Une question en amène une autre : Team Thorn ou Team Archibald ?
Si cela n'était pas clair : THORN, THORN, THORN. Hop, next !
2. Sur quelle arche vivrais-tu?
J'aurais voulu dire Babel car cet arche donne la part belle à l'intelligence, au savoir universel, et ce sont des choses qui me parlent énormément. De plus, il s'agit d'un endroit cosmopolite, qui accepte les individus de toutes les arches confondues. Et puis la température estivale et la végétation tropicale qui se mélange à l'urbanisme, c'est un paysage des plus plaisants ! Cependant, leur attrait pour la futilité et l'ostentatoire avec l'esprit de famille Pollux et , plus leur façon de réglementer leur société, qui ne fait pas du tout montre d'une ouverture d'esprit quel qu'elle soit, cela me fait prendre une jolie douche froide. Le Pôle est très attirant, mais tout n'est en réalité que façade et poudre aux yeux, et en plus on se les caille. Winter is coming, on en donne assez... J'aimerais un savant mélange entre Anima, arche au climat tempéré et à la relation avec les objets et la lecture exaltantes, et Arc-en-Terre, pour son décor de carte postale façon les peintures du Douanier Rousseau. Néanmoins, on ne sait pas encore ce qu'il se passe là-bas alors on va rester prudents. Oui, j'impose mes conditions, et alors ?
J'aurais voulu dire Babel car cet arche donne la part belle à l'intelligence, au savoir universel, et ce sont des choses qui me parlent énormément. De plus, il s'agit d'un endroit cosmopolite, qui accepte les individus de toutes les arches confondues. Et puis la température estivale et la végétation tropicale qui se mélange à l'urbanisme, c'est un paysage des plus plaisants ! Cependant, leur attrait pour la futilité et l'ostentatoire avec l'esprit de famille Pollux et , plus leur façon de réglementer leur société, qui ne fait pas du tout montre d'une ouverture d'esprit quel qu'elle soit, cela me fait prendre une jolie douche froide. Le Pôle est très attirant, mais tout n'est en réalité que façade et poudre aux yeux, et en plus on se les caille. Winter is coming, on en donne assez... J'aimerais un savant mélange entre Anima, arche au climat tempéré et à la relation avec les objets et la lecture exaltantes, et Arc-en-Terre, pour son décor de carte postale façon les peintures du Douanier Rousseau. Néanmoins, on ne sait pas encore ce qu'il se passe là-bas alors on va rester prudents. Oui, j'impose mes conditions, et alors ?
3. Si tu étais un objet, lequel serais-tu ?
Pfiuuu là là... J'avoue que j'aimerais trop être la montre de Thorne, pour pouvoir être constamment à ses côtés (je suis un vrai marshmallow, je sais) ♥ Etre l'écharpe aussi, ça doit être sacrément badass ! (bon, une écharpe n'est pas censée avoir de derrière, mais... bon...)
Pfiuuu là là... J'avoue que j'aimerais trop être la montre de Thorne, pour pouvoir être constamment à ses côtés (je suis un vrai marshmallow, je sais) ♥ Etre l'écharpe aussi, ça doit être sacrément badass ! (bon, une écharpe n'est pas censée avoir de derrière, mais... bon...)
4. Quelle est ta couverture préférée ?
Celle du tome deux. Tout simplement parce qu'elle est JAUNEEEEEE ♥ Long live yellow ! Et puis, la Citacielle est super belle n'empêche !
Celle du tome deux. Tout simplement parce qu'elle est JAUNEEEEEE ♥ Long live yellow ! Et puis, la Citacielle est super belle n'empêche !
5. Quel pouvoir familial aimerais-tu avoir ?
Je me verrais bien avec les griffes. Vu que je suis une personne qui s'énerve très rarement, mon tempérament très calme et pacifique me permettrait justement de canaliser ce pouvoir et de garder le contrôle, de l'utiliser avec parcimonie et à bon escient afin de donner une bonne leçon à ceux qui le méritent vraiment. J'ajouterais que ce pouvoir doit être jouissif à l'extrême afin de se défouler à un moment donné (mais c'est pour la bonne cause) !
Je me verrais bien avec les griffes. Vu que je suis une personne qui s'énerve très rarement, mon tempérament très calme et pacifique me permettrait justement de canaliser ce pouvoir et de garder le contrôle, de l'utiliser avec parcimonie et à bon escient afin de donner une bonne leçon à ceux qui le méritent vraiment. J'ajouterais que ce pouvoir doit être jouissif à l'extrême afin de se défouler à un moment donné (mais c'est pour la bonne cause) !
6. De quelles couleurs vois-tu l'écharpe d'Ophélie ?
Je sais que l'écharpe est censée être tricolore, mais je me la suis toujours imaginée bicolore, cependant avec une troisième couleur. C'est assez spécial. Dans mon esprit, quand je la vois, elle est marron superposé beige au niveau des rayures, avec un halo jaune, comme si l'écharpe émettait sa propre lumière, qu'elle en était baignée. Etant donné qu'elle est un personnage à part entière, elle possède sa propre aura, qui est visible. J'en fait une espèce de vêtement mystique, mystifié, mais sachant que l'histoire se déroule dans un monde avec des esprits de famille, une sorte de religiosité ambiante, cela n'est pas trop détonnant je trouve.
Je sais que l'écharpe est censée être tricolore, mais je me la suis toujours imaginée bicolore, cependant avec une troisième couleur. C'est assez spécial. Dans mon esprit, quand je la vois, elle est marron superposé beige au niveau des rayures, avec un halo jaune, comme si l'écharpe émettait sa propre lumière, qu'elle en était baignée. Etant donné qu'elle est un personnage à part entière, elle possède sa propre aura, qui est visible. J'en fait une espèce de vêtement mystique, mystifié, mais sachant que l'histoire se déroule dans un monde avec des esprits de famille, une sorte de religiosité ambiante, cela n'est pas trop détonnant je trouve.
7. Quel personnage serais-tu ?
L'originalité de ma réponse sera de niveau zéro. Je vais donc répondre Ophélie, tout simplement. Je me sens très proche d'elle, elle est une kindred spirit. Timide, renfermée, fluette et se fondant dans la masse, Ophélie est en réalité un être singulier, vibrant, fort, courageux. Elle surpasse toujours ses limites et ne se laisse pas faire, elle nous démontre sa valeur et sa beauté, sa vivacité d'esprit et d'humanité avec brio au fur et à mesure que l'histoire progresse. Elle est sublime et me donne envie de me dépasser, d'aller de l'avant, de briser les préjugés et de m'aimer telle que je suis. Elle m'apporte plein de bonnes ondes ! ♥ Qui plus est,
j'ai fait l'expérience cet été de travailler dans un musée. Du coup, cela a rappelé à ma Junette le musée d'Ophélie sur Anima et cela m'a rendu encore plus fière de mon premier job !
L'originalité de ma réponse sera de niveau zéro. Je vais donc répondre Ophélie, tout simplement. Je me sens très proche d'elle, elle est une kindred spirit. Timide, renfermée, fluette et se fondant dans la masse, Ophélie est en réalité un être singulier, vibrant, fort, courageux. Elle surpasse toujours ses limites et ne se laisse pas faire, elle nous démontre sa valeur et sa beauté, sa vivacité d'esprit et d'humanité avec brio au fur et à mesure que l'histoire progresse. Elle est sublime et me donne envie de me dépasser, d'aller de l'avant, de briser les préjugés et de m'aimer telle que je suis. Elle m'apporte plein de bonnes ondes ! ♥ Qui plus est,
j'ai fait l'expérience cet été de travailler dans un musée. Du coup, cela a rappelé à ma Junette le musée d'Ophélie sur Anima et cela m'a rendu encore plus fière de mon premier job !
8. Si Ophélie ne portait pas l'écharpe, quel autre vêtement emblématique porterait-elle ?
(j'avoue n'avoir pas très bien compris la question alors je l'ai un peu reformulée...)
Je reconnais ne m'être jamais posée la question jusqu'alors. Déjà car Ophélie est tellement indissociable de son écharpe, c'est telle une extension de son cou voyez-vous, elles sont soudées l'une à l'autre en permanence alors... Et puis, Christelle Dabos fait une description assez précise d'Ophélie, avec son long manteau élimé, sa jupe qui descend jusqu'à ses pieds, ses bottines, ses lunettes rondes... Du moins, c'est ainsi que je me la représente, notre petite Ophé', ainsi que l'imaginaire des fabuleux fanarts ♥ Mais j'y pense,
on ne sait pas ce qu'il y a sous le manteau, huhu ! Au lieu de m'imaginer d'emblée un pull-over bien cosy et ample, j'ai pensé à un chemisier blanc, une petite note de féminité et de coquetterie qui siérait bien à notre ravissante Ophélie et à sa beauté naturelle. Non, vous n'êtes pas le bienvenue dans cinquante nuances de passe-miroir, c'est juste un petit côté raffiné qui lui irait bien selon moi.
(j'avoue n'avoir pas très bien compris la question alors je l'ai un peu reformulée...)
Je reconnais ne m'être jamais posée la question jusqu'alors. Déjà car Ophélie est tellement indissociable de son écharpe, c'est telle une extension de son cou voyez-vous, elles sont soudées l'une à l'autre en permanence alors... Et puis, Christelle Dabos fait une description assez précise d'Ophélie, avec son long manteau élimé, sa jupe qui descend jusqu'à ses pieds, ses bottines, ses lunettes rondes... Du moins, c'est ainsi que je me la représente, notre petite Ophé', ainsi que l'imaginaire des fabuleux fanarts ♥ Mais j'y pense,
on ne sait pas ce qu'il y a sous le manteau, huhu ! Au lieu de m'imaginer d'emblée un pull-over bien cosy et ample, j'ai pensé à un chemisier blanc, une petite note de féminité et de coquetterie qui siérait bien à notre ravissante Ophélie et à sa beauté naturelle. Non, vous n'êtes pas le bienvenue dans cinquante nuances de passe-miroir, c'est juste un petit côté raffiné qui lui irait bien selon moi.
9. Quel esprit de famille préfères-tu ? Auquel t'identifies-tu le plus ?
Je trouve cela assez ardu de s'attacher aux esprits de famille, étant donné qu'ils semblent très inaccessibles et dans leur bulle d'ignorance, l'oubli de leur passé, ainsi que dans leur sphère de supériorité. On sent qu'ils sont détachés de leur "famille" et coincés dans leur bulle incompréhensible et impossible à percer. Enfin, cela se fait lentement mais sûrement mais cet exercice n'est pas évident, et Ophélie en aura payé les frais... Je dirais que mon favori est Farouk, qui est quand même l'esprit de famille le plus marquant de par son importance capitale dans le tome deux. C'est un être très impressionnant et intéressant à approfondir, car, si au premier abord, il peut nous paraître apathique et effrayant, au vu du pouvoir de son regard, qui vous donne des pensées cauchemardesques et des tympans qui vrillent, il reste le seul esprit de famille qui essaye de creuser son passé, qui sent qu'il y a anguille sous roche et ça, il faut le mentionner. De plus, on sent qu'il a du mal de se contrôler ou même de se rendre compte de l'ampleur de sa prestance et de l'effet qu'elle produit sur de simples mortels. Il ne cherche jamais à blesser volontairement et sait se montrer concerné, tout au fond, il est c'est certain. Sauf si vous le mettez en boule, là, vous lâchez le fauve... Bref, c'est un personnage complexe qui a su provoquer diverses émotions en moi, au delà des apparences.
Quant à l'esprit de famille dont je me sentirais le plus proche... Pas Farouk cette fois, mais Hélène. La s½ur jumelle de Pollux est tout son contraire, ne serait-ce que par son physique disgracieux, tout en carré et extrêmement imposant. Or, tout le monde s'en fiche parce qu'Hélène rayonne de par son intelligence, son envie de voir ses élèves briller et aller jusqu'au bout, se battre pour leurs espérances afin d'obtenir chèrement leur place, peu importe leur sexe ou leur origine. Certes, les méthodes qu'elle emploie à son Académie ne sont pas très réglementaires et m'ont fait grincer des dents plus d'une fois, mais la beauté de son esprit éclairé, ses valeurs et sa détermination, c'est ce qui se rapproche le plus de ma personnalité. Bien que j'aurais voulu en savoir beaucoup plus sur Artémis, qui m'a l'air d'être un esprit de famille qui pourrait avoir des similitudes avec moi si je la connaissais mieux. Elle m'attire comme un aimant, je ne saurais expliquer pourquoi.
Je trouve cela assez ardu de s'attacher aux esprits de famille, étant donné qu'ils semblent très inaccessibles et dans leur bulle d'ignorance, l'oubli de leur passé, ainsi que dans leur sphère de supériorité. On sent qu'ils sont détachés de leur "famille" et coincés dans leur bulle incompréhensible et impossible à percer. Enfin, cela se fait lentement mais sûrement mais cet exercice n'est pas évident, et Ophélie en aura payé les frais... Je dirais que mon favori est Farouk, qui est quand même l'esprit de famille le plus marquant de par son importance capitale dans le tome deux. C'est un être très impressionnant et intéressant à approfondir, car, si au premier abord, il peut nous paraître apathique et effrayant, au vu du pouvoir de son regard, qui vous donne des pensées cauchemardesques et des tympans qui vrillent, il reste le seul esprit de famille qui essaye de creuser son passé, qui sent qu'il y a anguille sous roche et ça, il faut le mentionner. De plus, on sent qu'il a du mal de se contrôler ou même de se rendre compte de l'ampleur de sa prestance et de l'effet qu'elle produit sur de simples mortels. Il ne cherche jamais à blesser volontairement et sait se montrer concerné, tout au fond, il est c'est certain. Sauf si vous le mettez en boule, là, vous lâchez le fauve... Bref, c'est un personnage complexe qui a su provoquer diverses émotions en moi, au delà des apparences.
Quant à l'esprit de famille dont je me sentirais le plus proche... Pas Farouk cette fois, mais Hélène. La s½ur jumelle de Pollux est tout son contraire, ne serait-ce que par son physique disgracieux, tout en carré et extrêmement imposant. Or, tout le monde s'en fiche parce qu'Hélène rayonne de par son intelligence, son envie de voir ses élèves briller et aller jusqu'au bout, se battre pour leurs espérances afin d'obtenir chèrement leur place, peu importe leur sexe ou leur origine. Certes, les méthodes qu'elle emploie à son Académie ne sont pas très réglementaires et m'ont fait grincer des dents plus d'une fois, mais la beauté de son esprit éclairé, ses valeurs et sa détermination, c'est ce qui se rapproche le plus de ma personnalité. Bien que j'aurais voulu en savoir beaucoup plus sur Artémis, qui m'a l'air d'être un esprit de famille qui pourrait avoir des similitudes avec moi si je la connaissais mieux. Elle m'attire comme un aimant, je ne saurais expliquer pourquoi.
10. Passe-miroir ou liseuse ?
Le meilleur pour la fin ! Bien que le pouvoir de passe-miroir soit juste extraordinaire, à la façon Alice sauf que tu peux rester coincé(e) entre deux miroirs qui se font la passerelle, eh bien justement cette idée de me retrouver coupée en deux, c'est moyen-moyen. Je me doute bien qu'une fois qu'on maîtrise son pouvoir, le fait de pouvoir voyager d'un bâtiment à un autre d'un simple passage soit extrêmement pratique et convenant. Néanmoins, mon c½ur balance pour le pouvoir de liseuse. Qui a ses inconvénients aussi, je le concède. Question de respect de la vie privée d'autrui, mais aussi de pouvoir ressentir comme si c'était nous les sentiments des autres : leur joie, leur tristesse, leur colère... Il faut en avoir dans le ventre ! Mais rien que pour retracer la mémoire d'un objet, tout ce qu'il a "vécu" dans sa "vie" en passant de main en main, de foyer en foyer... Cela doit être si trépidant que le c½ur en bat plus fort et qu'un océan de secrets s'offre à nous... La puissance et la dextérité qui s'échappe de nos doigts doit être unique. Je me fantasme certainement le truc mais voilà ! Je suis une liseuse déjà, en tant que fan de l'oeuvre de Christelle Dabos, mais si je pouvais l'être pour de vrai de vrai, je serais comblée ! ♥
Le meilleur pour la fin ! Bien que le pouvoir de passe-miroir soit juste extraordinaire, à la façon Alice sauf que tu peux rester coincé(e) entre deux miroirs qui se font la passerelle, eh bien justement cette idée de me retrouver coupée en deux, c'est moyen-moyen. Je me doute bien qu'une fois qu'on maîtrise son pouvoir, le fait de pouvoir voyager d'un bâtiment à un autre d'un simple passage soit extrêmement pratique et convenant. Néanmoins, mon c½ur balance pour le pouvoir de liseuse. Qui a ses inconvénients aussi, je le concède. Question de respect de la vie privée d'autrui, mais aussi de pouvoir ressentir comme si c'était nous les sentiments des autres : leur joie, leur tristesse, leur colère... Il faut en avoir dans le ventre ! Mais rien que pour retracer la mémoire d'un objet, tout ce qu'il a "vécu" dans sa "vie" en passant de main en main, de foyer en foyer... Cela doit être si trépidant que le c½ur en bat plus fort et qu'un océan de secrets s'offre à nous... La puissance et la dextérité qui s'échappe de nos doigts doit être unique. Je me fantasme certainement le truc mais voilà ! Je suis une liseuse déjà, en tant que fan de l'oeuvre de Christelle Dabos, mais si je pouvais l'être pour de vrai de vrai, je serais comblée ! ♥
Et voilà, c'est tout pour cette fois ! N'hésitez pas à faire ce tag par commentaires ou bien par article si le c½ur vous en dit, et partagez moi tout ça ! Je vous fais plein de gros bisous ♥
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